“1919: La Correspondance du Simple” de Roxane Chaloine : un passionnant roman épistolaire qui embarque les lecteurs au cœur de la “Grande Guerre”

Julienne et Marcel vivaient une vie paisible dans le Bordelais quand la guerre est brutalement déclarée en à peine quelques jours en aout 1914. L’homme de la famille est rapidement mobilisé pour le front. Il doit comme tous les autres abandonner sa vigne, sa femme, ses deux enfants et sa mère. Tout le monde s’accorde cependant sur un point : ce ne sera pas long. Il va juste casser du boche puis rapidement revenir.

L’absence durera quatre longues années. Julienne et Marcel vont s’attacher à décrire dans leurs lettres leurs quotidiens sous le feu des bombes et l’attente de nouvelles.

Dans “1919: La Correspondance du Simple”, Roxane Chaloine invite les lecteurs et les lectrices à plonger au cœur de la Première Guerre mondiale.

Courrier après courrier, ils assistent à l’évolution de l’espoir de retour de ces courageux soldats auprès de leurs familles. Parfois en vain.

Ce livre trouve aussi une résonance particulière dans le contexte actuel, marqué par les conflits en Ukraine et dans la bande de Gaza.

Ce conflit, très particulier, résonne encore aujourd’hui. Il y a un avant et un après “Grande Guerre”.

Roxane Chaloine

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Un roman historique et érudit sur le conflit de 1914 à 1918

Passionnée d’histoire et de littérature, Roxane Chaloine cherche toujours à mettre la culture au centre de son travail.

À 30 ans passés, elle publie ici un second roman qui s’inscrit dans sa démarche d’auteure : explorer un sujet axé sur la France, son histoire et ses habitants.

“1919 : La Correspondance du Simple” séduit notamment par sa forme épistolaire qui permet de vivre la Première guerre mondiale “de l’intérieur”. À travers les voix de Julienne et de Marcel, c’est tout un peuple qui exprime ses angoisses, ses désillusions et ses espoirs.

Extrait

“Je prie pour toi, pour eux, pour nous, pour tous ceux qui comme moi sont dans la boue toute la sainte journée. La seule chose qui nous réconforte ces derniers temps, c’est le temps justement. Il fait bon. Le froid ne nous gèle plus les mains et les pieds. Il fait même parfois trop chaud.

Enfin, crois-moi dans ces moments-là, on ne peut pas s’éloigner de notre Seigneur. La peur nous tient éveillés la nuit et nous hante la journée. On ne peut pas savoir ce que ça fait tant qu’on ne l’a pas vécue.

La terre se met à trembler et le bruit assourdissant des bombes annonce bien souvent une mort certaine. Ce long sifflement tombe du ciel pour finir sa course, écrasé sur le sol en un millier d’éclats assassins. Il n’y a même parfois pas une goutte de sang déversée. Il ne reste plus rien à pulvériser, ou à exterminer. Les victimes ne voient pas la fin arriver tellement l’impact est rapide. On devrait aussi parler des tirs qui fusent incessamment à chaque assaut comme si rien ni personne ne pouvait les arrêter. Je n’oublie pas non plus nos baïonnettes, nos propres baïonnettes, qu’ils retournent contre nous.

Il y a autre chose dont je n’ose pas parler tellement c’est inquiétant. C’est cette brume jaune, étouffante et aveuglante qui ne fait pas de détail. Elle s’attaque à l’ennemi et d’un simple coup de vent elle se retourne contre son propriétaire et dévaste la tranchée. Le gaz ! Ce foutu gaz. Il brule les poumons de l’intérieur. Les protections que nous utilisons sont inappropriées. Elles sont tellement inefficaces que je me demande même si elles n’accentuent pas les dégâts.

Enfin ! Tout cela pour te dire que dans de telles conditions, il m’est difficile de m’éloigner de Dieu. Je crains trop de le rejoindre à chaque instant.”

À propos de Roxane Chaloine

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Roxane Chaloine raconte dans ses romans les tragédies et les bonheurs du simple. Passionnée par l’intrication de la petite et de la grande histoire, et surtout de l’Histoire de France, l’auteure réalise chaque fois un véritable travail d’enquête.

Pour donner de la consistance, elle se documente et elle écrit à partir des archives, des journaux d’époque, et de lettres authentiques. Elle transforme alors le tout en une superbe intrigue qui contribue à son succès et ne trouvera sa résolution que dans les toutes dernières pages.

Informations pratiques

“1919: La Correspondance du Simple” de Roxane Chaloine

  • Éditeur ‏: ‎L’Occitanaire
  • ISBN-10 ‏: ‎2957880709
  • ISBN-13 : 978-2957880706
  • Dimensions ‏: ‎15.24 x 1.3 x 22.86 cm
  • Pages : 226
  • Prix : 15,57 € broché – 6,27 € e-book

En savoir plus

Découvrir le livre : https://www.amazon.fr/stores/author/B0BRD36Q52/about

Instagram : https://www.instagram.com/roxane.chl/

“InCarnatis” de Marc Frachet : une trilogie de romans en lecture augmentée qui incite à découvrir le plaisir de lire

Des romans immersifs pour vivre une expérience unique et disruptive

InCarnatis est un grand conte épique qui offre une dimension de lecture augmentée interactive inédite.

Les lecteurs sont plongés au cœur de l’histoire, ils la vivent véritablement : au fil des pages, en scannant des QR codes, ils accèdent à des médias additionnels. La narration est ainsi renforcée par des musiques, des récits audio, des illustrations, des artefacts… L’immersion devient totale, intense, inoubliable.

Avec, toujours, la “patte” de Marc Frachet : un souffle épique qui privilégie avant tout l’aventure, dans un style simple, visuel et percutant, accessible à tous.

Aventure, action, émotion et humour sont au rendez-vous de ce nouvel univers de science-fiction fantastique, à la fois original et familier.

Créer l’univers InCarnatis est un rêve d’ado ! Cette trilogie est comme un grand film à voir en famille où le Bien et le Mal s’opposent pour que survivent la Liberté et l’Amour face à la ‘tech-oligarchie’.

Marc Frachet, auteur d’InCarnatis

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InCarnatis, un univers de divertissement à 360°

InCarnatis est une trilogie de romans de science-fiction fantastique qui conjuguent les médias pour raconter l’histoire et prolonger l’immersion en allant au-delà du texte.

Avec un objectif : développer l’imaginaire pour redonner envie de lire !

Ici, l’édition traditionnelle imprimée est alliée au numérique, sans jamais tomber dans le dématérialisé. Une vertu par ailleurs appréciée en différents contextes ludiques et/ou éducatifs.

Il s’agit donc d’un univers et d’une démarche totalement inédits :

  1. À lire : ce grand conte épique en lecture augmentée contient 1000 pages ponctuées par 52 médias additionnels – 22 voix ;
  2. À écouter : 3h30 de musiques originales, de scènes et de récits audio joués par un casting extraordinaire de comédiens de doublage ;
  3. À jouer : une aventure de jeu de rôle, un escape game audio, et deux mini jeux, PC et réalité virtuelle.

Nous sommes les seuls à proposer des romans augmentés de cette nature et de cette qualité.

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Les (grands) petits plus

Une fiction globale

La trilogie InCarnatis s’étire de la Préhistoire au Technofascisme sur Terre au 24e siècle, et aborde des thèmes chers à l’auteur tels que le lien entre le réel et l’imaginaire, la vie, la mort, les grands mystères, mais aussi la liberté, l’information, la mémoire, l’organisation sociale…

Un auteur aux multiples influences

Marc Frachet est inspiré par les auteurs qui ont marqué son adolescence (J. Verne, E.P. Jacobs, I. Asimov, P. K. Dick, H. P. Lovecraft, etc.), mais aussi par le cinéma et son goût affirmé pour les mystères de l’univers, de la vie, du genre humain, de l’Histoire…

Un univers et une initiative d’auteur uniques

Depuis sa découverte du jeu de rôle, à dix-sept ans, l’auteur imagine et développe son propre univers, intéressé par l’idée de modéliser un monde et de le faire vivre à travers des histoires et des personnages ainsi que par le lien entre le réel et l’imaginaire.

Zoom sur les 3 opus de cette saga transmédia

Tome 1 – Le retour d’Ethelior

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Terre, 2385. Deux siècles après les catastrophes naturelles inexpliquées des Lunes Sombres, les aéroplaneurs de la Guilde commercent dans le monde entier, entre teks et domas, agissant dans la plus grande neutralité face à la montée du Technofascisme.

Révolté contre l’injustice, Yarel Grinh cherche à s’opposer. Tourmenté par d’étranges visions depuis son enfance, le jeune aérostier se lance dans une grande quête initiatique et se découvre d’étonnants pouvoirs liés à un Art magique ancestral : la Science Arcanique…

Tome 2 – La Prophétie

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Ayant découvert qu’il est la réincarnation d’Ethelior, fondateur de la Science Arcanique, Yarel doit maintenant recouvrer ses pouvoirs pour lutter contre Akaria, son éternelle ennemie.

Mais il doit aussi rallier l’Archicom, le puissant chef de la Guilde Universelle des Commerçants Aériens, à la grande marche des rebelles pour prendre le tek d’Aksys et mettre fin au Technofascisme de Tara Nex.

Tome 3 – La Bataille d’El Razel

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Tandis qu’Akaria continue son formidable sortilège, Yarel poursuit son voyage antérieur pour se procurer une pierre d’Emerae, un artefact magique destiné à contrer la démone. Mais il se retrouve bloqué dans son propre passé…

Cependant, les hackers d’Imen Zeren lancent une première offensive sur les Réseaux du Savoir en pleins jeux anniversaires du Technofascisme.

À propos de Marc Frachet, créateur et auteur d’InCarnatis

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InCarnatis est la concrétisation d’un rêve qui me porte depuis plus de 35 ans.

Comme il le dit souvent, Marc a deux pieds, l’un créatif, l’autre exécutif. Et s’il n’avance pas avec les deux, il tourne en rond ou se casse la figure ! C’est pourquoi InCarnatis est devenu pour lui un projet de vie, autour duquel il a construit un itinéraire atypique et ouvert.

Marc est né le 22 mars 1970 en région parisienne. Dès l’âge de 15 ans, il a envie de raconter des histoires et de refaire le monde. Cette passion ne le quittera jamais : elle a commencé par s’exprimer en musique, puis elle s’est poursuivie avec un projet combinant jeu de rôle, romans, BD, musiques et récits audio.

À l’époque, cette démarche de création artistique n’a pas de nom. C’est un “objet artistique non identifié”, un concept nouveau, que Marc finit par appeler “univers transmédia”. Il est désormais matérialisé par InCarnatis, un univers fictionnel science-fiction fantastique fantasy qu’il construit et étaye depuis l’âge de 17 ans.

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Toutefois, Marc comprend assez vite que le chemin sera long et difficile pour en vivre. Alors, il oriente sa vie professionnelle et personnelle pour développer ses compétences et savoir-faire dans les domaines de l’art, des technologies et de la production, avec comme fils conducteurs l’écriture, la musique et le développement de son univers.

Pendant plus de 25 ans, il multiplie les expériences, les rencontres et collaborations professionnelles et personnelles. Il crée début 2015, avec deux autres créatifs associés et le soutien de nombreuses personnes, ACCI Entertainment, pour produire et éditer InCarnatis.

Un enrichissement et un long travail qui permettront l’édition de son premier roman transmédia, InCarnatis, Le Retour d’Ethelior. C’est le point de départ d’une trilogie qui va très vite toucher une communauté de lecteurs et d’amateurs de mondes imaginaires.

Ainsi, depuis octobre 2015, Marc et son équipe participent à des salons et des festivals pour présenter l’univers InCarnatis ainsi que le concept de lecture augmentée. Plus de 150 à ce jour un peu partout en France.

Un nouvel ouvrage augmenté va paraître prochainement

Marc travaille actuellement à son prochain roman augmenté, toujours dans l’univers InCarnatis : “Saint-Germain”, dans lequel ses personnages, Lavoisier et Diderot vont enquêter sur le Comte de Saint-Germain, un mystérieux gentilhomme qui se prétendait alchimiste.

Cet ouvrage, qui se déroule au 18ème siècle dans un contexte historique, fait l’objet d’une campagne de financement participatif en dons contre contreparties sur Ulule, lancée le 29 septembre et courant jusqu’au 4 décembre. Un nouveau challenge pour Marc et son équipe !

En savoir plus

Dossier de presse : https://www.relations-publiques.pro/wp-content/uploads/pros/20230923094013-p2-document-haba.pdf

Découvrir et tester la lecture augmentée : https://incarnatis.com/lecture-augmentee

L’agenda : https://incarnatis.com/agenda

Portail InCarnatis : https://incarnatis.com

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“La maison des Alizés” de Didier Voyenne : bien plus qu’un roman, un chemin de vie inspiré et inspirant qui est aussi une ode à La Réunion

“Aristide m’avait dit un jour que la vie est un fusil à un coup sans savoir quelle est la bonne cible à atteindre et que la balle tirée lorsque l’on naît suit la ligne que la mire a tracée pour se ficher là où elle doit aller ; et que, même si l’on atteint le mille, l’on n’a pas forcément gagné. Mais, après m’avoir laissé d’abord et comme d’habitude dans un abîme de perplexité où il me plonge à chaque fois qu’il m’assène une telle sentence, il ajouta, dans son accoutumé grand rire, que, certes, si la trajectoire de la balle est inflexible, la cible elle peut bouger – pas facile à suivre, non ? –. Il avait raison : Alizé était la nouvelle cible de ma vie.”

La Réunion, terre de tolérance et d’équilibre, sera-t-elle la terre de rédemption et de renaissance des protagonistes de cette histoire ? Car si le destin est le leurre de ceux qui n’attendent rien de leur vie, la destinée est pour d’autres ce qu’ils font de la leur ? Parce que seuls ces derniers peuvent entrer dans la maison des Alizés…

Le roman de Didier Voyenne “La maison des Alizés” vient d’être publié par les éditions AlterPublishing.

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Sommaire

Époque 1 

  • Le toit bleu
  • La tempête
  • Sotto il sole d’Italia
  • Vento del sud
  • Vendetta
  • Ritorno
  • Pluie tropique
  • Tango

Époque 2 

  • L’arbre du voyageur
  • Rêve
  • Le passage des baleines
  • Sur les pentes du volcan
  • L’âne et le puits
  • Memento mori
  • Et le bonheur va
  • Aimons en restant vivants
  • Vivons en restant aimants
  • Épilogue

Extrait

“Le bonheur est ennuyeux, seul le désir du bonheur peut rendre heureux. On ne désire pas ce qui est bon, est bon ce que l’on désire. Le chemin vers la destination est bien plus agréable que l’atteinte de celle-ci. Tant que l’on a faim, on a envie de manger, une fois rassasié, on n’a plus rien à satisfaire. J’ai cherché à être heureux sans y parvenir. Le faut-il d’ailleurs ? Ici, je n’ai que le désir et, peut-être, celui d’exister. D’aucuns disent que l’on n’existe que dans le regard des autres. Du moins, c’est ce que je croyais avant d’arriver ici. Depuis lors, j’apprends à exister par moi-même et pour moi-même avant que de vouloir exister pour les autres. L’altruisme ne peut se concevoir sans une bonne dose d’égoïsme. Tel un bouddhiste, j’apprends à m’aimer moi-même pour aimer les autres, rejetant l’amour-propre, fait d’orgueil, pour l’amour de soi, fait d’humilité. Je comprends que je dois d’abord me préserver avant de préserver les autres. Jusqu’alors, j’avais fait l’inverse et n’étais parvenu à rien ! Là, je reprends les choses par le bon bout : moi-même !

La première chose que je décidai en arrivant dans cette maison fut de la balayer. Non que cela fût nécessaire, car Georgette fit bien les choses et avait laissé tout dans un ordre et dans une propreté sans reproche, mais parce que j’avais besoin de balayer ma vie d’avant dans la poussière de mes souvenirs comme si celle-ci était mêlée à celle de ceux de la case. Chaque geste du balai fait de branches de vacoa, qui ne soulevait aucune poussière, me faisait accumuler ici et là de tout petits fragments de pierre de lave. En fait, je faisais des petits tas des restes de ma vie d’avant pour plus tard les répandre dans la nature ainsi que l’on fait des cendres des défunts qui, en s’éparpillant, assure que plus rien, ni personne, ne pourra de nouveau les rassembler et leur redonner forme.

La deuxième chose fut d’abandonner mon téléphone portable – pardon mon smartphone dont l’intelligence semble résider uniquement dans la capacité à nous abêtir, non, pire encore, de nous soumettre à sa volonté – et ce qui va avec, les réseaux sociaux, je veux dire ceux d’Internet, car ceux bâtis sur des échanges directs, faits de chair et d’os, de parole et de souffle, de senteur et de toucher, ceux-là me paraissent non pas indispensables, mais vitaux ; alors que les premiers font que, ô paradoxe, on ne communique plus, malgré les dizaines de chats, les centaines de likes et les milliers de contacts quotidiens de friends qu’on ne voit jamais, ou seulement leurs photos retouchées assorties de mensonges assénés comme des vérités, et qui ne sont même pas des connaissances.”

Portrait de Didier Voyenne

 

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Après ses diplômes à l’ESSEC et au CNAM, où il a enseigné depuis en parallèle, Didier Voyenne a exercé une vie professionnelle intense dans diverses entreprises industrielles ou de services, dans les domaines comptables et financiers. Il a également co-écrit sur cette matière des ouvrages techniques.

Pendant plus de vingt ans, il a pratiqué les échecs en compétition. Cependant, le théâtre, le cinéma et la littérature sont ses centres d’intérêts personnels, et l’écriture son envie profonde.

Il a écrit quatre romans et deux pièces de théâtre.

À propos d’AlterPublishing

La maison d’édition AlterPublishing est née en 2012, à une époque où l’édition numérique était en plein essor. Dès ses débuts, cet éditeur « nouvelle génération » adopte des engagements forts : éditer des ebooks et des livres papier sans passer par le réseau de distribution des librairies traditionnelles, et répartir les droits d’auteur à égalité entre l’éditeur et l’auteur, dès le premier volume vendu.

AlterPublishing s’efforce par ailleurs de réduire son impact sur l’environnement, en privilégiant l’édition numérique et en éditant ses livres papier à la demande afin d’éviter le gaspillage.

Ce positionnement avant-gardiste et égalitaire a séduit de nombreux auteurs. Le catalogue d’AlterPublishing couvre ainsi de multiples domaines : littérature et fiction, culture et société, LGBT, scolaire et universitaire, BD et jeunesse, art de vivre, nature et loisirs, et savoirs.

Aujourd’hui, AlterPublishing représente une véritable alternative au circuit de l’édition traditionnelle. Ses ouvrages jouissent d’une belle visibilité sur les plateformes en ligne Amazon, Fnac, iBook, Amazon Kindle, Kobo Raluten et Nook.

Informations pratiques

“La maison des Alizés” de Didier Voyenne

  • Éditeur : AlterPublishing
  • Sortie : 4 septembre 2023
  • Dimensions : 13.97 x 1.42 x 21.59 cm
  • ISBN-13 ‏: ‎979-8859359981
  • Pages : 246
  • Prix : 17,10 €

En savoir plus

Découvrir le livre : https://www.alterpublishing.com/fr/la-maison-des-alizes.html

Facebook : https://www.facebook.com/AlterPublishing

Instagram : https://www.instagram.com/alterpublishingbooks/

“L’amazone du cercle polaire” de Véronique Zombardi : un roman optimiste qui met à l’honneur les femmes de 50 ans et plus, ces grandes invisibles de notre société

Le personnage de cette histoire a réalisé un rêve, celui de l’auteure. Véronique l’a pensé, Zély l’a fait.

Zély vient de passer le cap de la cinquantaine. Elle se remet en cause et reconsidère ses choix de vie. Lorsqu’une opportunité se présente, en Laponie, elle prend la décision de tout quitter pour Rovaniemi, dans le Grand Nord afin de lancer un projet qui lui est cher et d’oser enfin construire une vie qui lui ressemble.

Ce choix, ce parcours initiatique, conduira Zély vers des rencontres inattendues et improbables qui viendront pimenter et bouleverser son destin. Elle cherchera à se réconcilier avec elle-même, avec son corps, et tentera de panser et transformer les blessures du passé. Une quête de soi et en soi pour cette amazone à la recherche du bonheur. Y parviendra-t-elle ?

Avoir 50 ans et plus, n’est pas une catastrophe !

Avec sa plume mordante, Véronique Zombardi raconte sans complexe les “quinqua-tribulations d’une voyageuse en soi” pour en finir avec l’invisibilisation de ces “seniors”. Elle montre qu’au contraire, c’est un nouveau tome de leur vie qui commence et que tout est encore possible.

“L’amazone du cercle polaire” est un livre autoédité optimiste, positif, frais, et plein de rebondissements. Une véritable ode aux femmes de 50 ans et plus !

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4eme de couverture

On aime…

Un roman authentique sur les femmes de 50 ans et +

Enfin un livre sur les femmes qui ont passé le cap de la cinquantaine ! Sa force : une autofiction puissante, inspirée à 20 % par la vie de l’auteure. Avant-gardiste, il pousse à bouger les lignes de notre société concernant le regard porté sur toutes celles qui osent démarrer une nouvelle vie avec leur sagesse, leur maturité et leur force.

La multiplicité des sujets traités

Toutes les “quinquas” se retrouvent dans ce roman qui explore de nombreux thèmes : le passage à la cinquantaine, le milieu de vie, le syndrome du nid vide, la rupture amoureuse, le mouton noir (black sheep), le rapport au corps, les femmes de 50 ans et plus… invisibles ?, les cercles de parole de femmes de 50 ans, les créatifs culturels/trouver sa famille de cœur, oser et s’autoriser à suivre ses rêves, les injonctions parentales qui nous suivent toute notre vie, être enfin soi, s’aimer enfin, dépasser ses peurs, se réconcilier avec son corps, la sexualité après 50 ans, la vieillesse et le regard des autres et celui des hommes, comment envisager ses 30 prochaines années, l’amitié homme/femme, la ménopause, l’âgisme…

Une histoire positive, inspirante, qui invite à réfléchir sur soi pour mieux construire son avenir

“L’amazone du cercle polaire” est un livre de chevet éternel, un chemin d’introspection ressourçant. L’histoire, les citations et les références, contribuent à bannir les clichés sur la femme vieille de 50 ans. De manière objective et actuelle, il met l’accent sur la citoyenne, sur la consommatrice qu’elle est, sa force, sa détermination… et tout ce qui lui permet de vivre pleinement sa vie de femme accomplie.

Il est fondamental d’éveiller les consciences ! La société commence à peine à nous voir telles que nous sommes, à savoir avec une sexualité, un corps qui porte les stigmates de notre histoire, un cœur et des savoirs…

Sommaire

  • Note à l’attention des lecteur·trices
  • Chapitre 1 : Voilà, qui je suis… ou presque
  • Chapitre 2 : Éric, mon très cher ami
  • Chapitre 3 : Zély, enfin libre !
  • Chapitre 4 : Le big bang
  • Chapitre 5 : 50 ans, le cap et le corps, Amen !
  • Chapitre 6 : Un projet XXL
  • Chapitre 7 : Quand le sexe s’en mêle
  • Chapitre 8 : Une histoire d’argent
  • Chapitre 9 : L’attente
  • Chapitre 10 : Rovaniemi, me voilà !
  • Chapitre 11 : De drôles de rencontres
  • Chapitre 12 : Merry Christmas !
  • Chapitre 13 : La ligne d’arrivée
  • Chapitre 14 : L’inauguration
  • Remerciements

Extrait

“Je suis perdue dans mes pensées et je tourne inlassablement ma petite cuillère dans mon café crème. Je viens de passer le cap de la cinquantaine et le bilan de ma première partie de vie ne se fait pas attendre : deux garçons devenus de jeunes adultes, partis trop vite du nid, un travail dont j’ai fait le tour et qui ne me réserve ni surprise, ni joie, ni plaisir. Et puis l’amour.

Ah ! L’amour et son lot de bonheur, de souffrance et de désillusions : un divorce, quelques amants dont un, en particulier, pour lequel j’ai éprouvé un amour fou. Il est parti pour ne jamais revenir. L’espoir, l’attente du retour du beau chevalier sur son destrier a été bien longue et sans résultat.

Pourtant, ce n’était qu’un break m’avait-il écrit. Oui, un break qui se pérennise, moi, j’appelle cela une rupture. Il n’a pas osé me dire que c’était bel et bien fini, une manière élégante (ou pas) de me préserver, de ne pas me froisser. “ Je n’ai rien à te reprocher, tu es formidable ” m’a-t-il dit. Formidable ? Ben, alors pourquoi tu me quittes ? Voilà ce que j’aurais dû lui rétorquer, mais l’émotion a retenu ma langue tremblante pour ne pas entendre la vérité, enfin celle que je suppute : “Bien, je ne t’aime plus, tout simplement ”.

J’ai préféré alors espérer un hypothétique retour, alimenter un espoir qui apaiserait mon cœur brisé. J’ai voulu y croire, une belle manière de faire des petits arrangements avec moi-même pour ne pas trop endurer ce mal. Au vu de ces longs mois de vide abyssal en matière de messages, j’en ai simplement déduit que je n’étais plus l’élue de son cœur… définitivement. Je ne pouvais pas lutter contre son choix.

Je ne pouvais pas le forcer à m’aimer. On aime, puis on n’aime plus. Ça ne s’explique pas. Je n’ai jamais retenu personne jusqu’alors, ce n’est pas à cinquante-trois ans que je vais commencer à jouer au petit jeu du “ Fuis-moi, je te suis, suis-moi, je te fuis ”. Je décide alors de l’accepter ou presque.”

L’avis des premières lectrices

“L’amazone du cercle polaire” rencontre un accueil enthousiaste de la part des lectrices ! Véronique reçoit de nombreux témoignages disant qu’il a déjà changé leur vie : “Il y a un avant et un après “Zély” (l’héroïne de son livre)” est une phrase qu’elle a déjà entendue plusieurs fois.

Les avis laissés sur Amazon vont dans le même sens. En voici un aperçu :

“J’ai lu et j’ai aimé. Ouvrage finement écrit sur la liberté et l’accomplissement de soi. L’auteure nous emmène avec passion dans son voyage initiatique dans le pays de ses rêves. À lire absolument !”

“L’amazone du cercle polaire m’a prise par surprise. Je l’ai lu en une nuit, incapable de la lâcher. La narratrice a mis des mots sur des questionnements, des doutes, le lâcher-prise, des recommencements. Dans cette histoire romancée, je me suis reconnue et en sortant de cette bulle d’oxygène, je suis sortie apaisée et persuadée qu’il ne faut jamais, jamais laisser ses rêves. Merci Véronique pour ce moment de bonheur et d’espoir. “

“Ce livre m’a bouleversé. Il y a un avant et un après Zely… Aucune hésitation à avoir ! Lisez-le, offrez-le ! Merci à l’auteure pour ce pur bonheur. On attend le prochain !”

“Ce livre donne beaucoup d’espoirs sur la vie après 50 ans. Il contient des citations qui mènent à la réflexion sur la vie en général. Un voyage initiatique. Un livre qui donne du baume au cœur. À lire sans hésitation.”

À propos de Véronique Zombardi

Véronique est manager et chargée de mission dans l’audiovisuel public (radio).

En marge de sa profession, elle est coach de vie et OlfactoCoach. Véronique a créé des cercles de parole de femmes de 50 ans et plus “ 50 ans, cap ou pas cap ? ” qu’elle anime sur Facebook et Instagram. Elle a aussi été correspondante locale de presse pour le journal La Marne et le journal en ligne Magjournal77.

Elle a toujours aimé écrire. Elle manie la plume depuis l’adolescence, donnant naissance à des paroles de chansons, des poèmes, et des débuts de romans qui n’ont jamais abouti.

Ce sont toutes ces expériences qui l’ont aidée pour la rédaction du roman “L’amazone du cercle polaire”.

Le passage à la cinquantaine a été un moment douloureux et salvateur à la fois, puisqu’il m’a permis d’écrire ce livre. J’ai mis à jour des problématiques que je portais en moi depuis mon enfance, celles que j’ai rencontrées au fil de ma vie, surtout lors du passage de la cinquantaine…

Confinement, rupture amoureuse, syndrome du nid vide, rapport à son corps… ce sont toutes ces angoisses qui ont servi de moteur à l’écriture de ce livre et de thérapie. D’ailleurs, depuis, elle ne tient plus de journaux intimes ni de journaling !

Aujourd’hui, Véronique souhaite diffuser son livre le plus largement possible. Il devrait aussi servir de base à la création de podcasts, de conférences et un film, pourquoi pas.

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Informations pratiques

“L’amazone du cercle polaire ” de Véronique Zombardi

  • Éditeur ‏: ‎AFNIL (5 janvier 2023)
  • Broché
  • 210 pages
  • ISBN-10 ‏: ‎295860540X
  • ISBN-13 ‏: ‎978-2958605407
  • Dimensions ‏: ‎12.85 x 1.22 x 19.84 cm
  • Prix : 12,99 €

Pour en savoir plus

Découvrir le livre sur :

Amazon : https://www.amazon.fr/Lamazone-cercle-polaire-quinqua-tribulations-voyageuse/dp/295860540X/

FNAC/KOBO : https://bit.ly/3plgkRn

Facebook : https://www.facebook.com/people/V%C3%A9ronique-Zombardi-AuteureEcrivaine/100087327471966/

Instagram : https://www.instagram.com/veroniquezombardi/?hl=fr

LinkedIn : https://www.linkedin.com/in/v%C3%A9ronique-zombardi-98917837/

“Dans le murmure du vent : BleuS & Rose” : le nouveau roman de Cindy Triaire salué par Amélie Nothomb, qui invite à l’espoir, à la lutte contre les violences conjugales et à la reconstruction.

Rodolphe est un vieil homme que les années ont usé. Son cœur, depuis peu, semble bien fatigué. Coupé du monde, retranché dans une cabane abritée par la forêt, le bûcheron sait son temps compté.

La jeune Romane, alertée par la fragilité de son état de santé, quitte, le temps d’un week-end, Paris, le quotidien, ses projets, pour veiller sur celui qui, bien des années plus tôt, l’a en retour protégée.

Découvrez l’histoire de vie saisissante de cet homme meurtri, qui au nom de l’amour, a relevé tous les défis.

Et s’il était possible de chasser les nuages, de relever la tête après bien des naufrages ?

Si l’amour relève d’un thème universel, les violences conjugales qui y sont associées demeurent par trop souvent taboues.

Au travers de son dernier roman “Dans le murmure du vent : BleuS & Rose”, Cindy Triaire offre à ses lecteurs un roman coup de poing – coup de cœur, où les blessures et les coups côtoient sans conteste, les tourments et la magie du grand amour.

En écrivant cette histoire, je souhaitais offrir un second souffle à toutes celles et ceux que la vie a éprouvés. Une histoire pour les amoureux des livres qui aspirent, au fil des pages, à se laisser guider par la teneur de leurs sentiments. Un livre qui s’adresse aux femmes, qui, victimes de leurs conjoints, éprouvent au plus profond de leur cœur, l’espoir d’un nouveau départ.

Cindy Triaire

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Un livre contemporain qui plonge le lecteur dans les méandres du passé

Ce roman percutant a été écrit pour toutes les personnes combatives, abîmées mais déterminées à aller de l’avant. Un bel ouvrage pensé tel une main tendue pour retrouver, conserver ou renforcer son entrain et raviver sa joie de vivre.

Dans la lignée des précédents opus, ce tout nouveau roman de Cindy Triaire s’inscrit dans une volonté de valoriser des parcours de vies atypiques, forts et touchants. Rodolphe, né au lendemain de la seconde guerre mondiale, en est un exemple criant.

A noter que ses fidèles lecteurs apprécieront de retrouver Romane et Lilou, les deux jeunes femmes tourmentées mais non moins résilientes et pleines d’humour de son second roman « Demain, je déploierai mes ailes ».

Une préface signée par la lumineuse Florence Demortier

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Florence est une candidate émérite du dernier concours Miss France, durant lequel elle s’est classée parmi les 10 plus belles femmes de France.

Mannequin, Kinésithérapeute et Miss Midi Pyrénées 2022, elle écrit :

« À travers ce roman, l’auteure nous invite à comprendre ce que peut être un amour tourmenté et à garder espoir. Merci Cindy, de mettre des mots justes sur des actes injustes. Tu abordes ce sujet avec une grande sincérité et justesse. Ton amour et ta compassion font écho à tes personnages et nous transportent.

Merci d’être une femme engagée qui offre sa plume pour mettre en lumière des combats d’actualité. En lisant ce livre, le lecteur découvrira l’incroyable puissance de l’amour, mais également la force de l’âme humaine et de sa capacité à surmonter les épreuves les plus difficiles. Un véritable trésor d’émotions et d’espoir ».

Un livre salué par la romancière multi-primée Amélie Nothomb

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Amélie Nothomb dispose de plus de 30 romans à son actif. Traduite dans 40 pays, elle a vendu plus de 16 millions de livres et remporté des dizaines de prix littéraires, à l’image du Grand prix de l’Académie Française, du prix Goncourt ou du prix Renaudot. Plébiscitée pour son talent, une statue au musée Grévin lui a même été dédiée dès 2005.

A la lecture du manuscrit «Dans le murmure du vent », elle a de sa plume écrit les mots suivants :

« Cindy Triaire connaît très bien les êtres humains. Elle nous indique ici un itinéraire lucide parmi eux, sans angélisme, ni défaitisme. On en sort plein d’espoir ! »

Une formidable reconnaissance, à la fois inattendue et déterminante, pour le travail de cette jeune auteure.

Extrait    

“Mon tendre amour,

Avant que le ciel ne t’arrache à la terre, j’aurais voulu trouver les mots. Les bons, les justes, ceux qui se posent sur les lèvres avec la finesse d’un vol d’hirondelles. Des mots capables de défier l’horizon, de toucher du doigt la lune et le soleil.

Je n’ai jamais connu plus grande douleur que ton départ et mes traits se sont fanés sans l’éclat de ton sourire pour les illuminer.

Au supplice, j’ai ainsi appris que quand le malheur décide d’ouvrir une porte, il le fait en patron, sans frapper, sans s’annoncer, la tête haute, bien décidé quant à ses intentions.

Et de cette souffrance qui déchire le cœur et les entrailles, je suis resté prostré, éteint, en silence, conscient d’avoir perdu ma plus grande bataille.

Mais tout en déambulant, anéanti, j’ai compris qu’au-delà de la douleur qui dévore, du chagrin qui écrase, du vide qui demeure, un fil invisible relie ceux qui sont destinés. Et que s’il peut s’emmêler, s’étirer, se distendre, jamais, il ne saurait se casser, se briser, se fendre.

Ma bien-aimée, sans doute notre amour était-il trop grand à l’échelle d’une vie d’Homme. Peut-être avions-nous besoin de plus d’espace, de plus de temps, de plus d’éternité.

C’est pourquoi, lorsque la nuit tombe, je lève les yeux vers l’immensité et dépose à mes pieds un peu d’eau pour que s’y reflètent le ciel et ses étoiles. Je t’y cherche alors et te trouve ainsi, rieuse, filante, lovée parmi sa toile.

Et l’espace d’un soupir, je remonte le temps. De ces jours heureux, de nos jeux d’enfants, j’en revis des bribes, de petits éclats. J’imprègne mon cœur de magie, le saupoudrant de confettis et de ces instants bercés d’illusions, je revis.

Mon amour, je t’écris pour te dire que la vie est ce qui reste quand il ne reste plus rien. J’écris pour dire que la vie est avant tout. Qu’en restant vivant, j’interdis à la mort de te faucher une seconde fois.

Ma chérie, tu es celle qui fut, qui demeure et qui sera.

À tout jamais.

Pour l’éternité et l’au-delà.”

De la même auteure

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Cindy Triaire a créé une jolie collection qui appelle au rebond, à l’espoir et à la reconstruction :

Et j’ai donné son nom à une étoile – préfacé par Philippe Croizon (1er quadri amputé a avoir traversé la manche) – 2018

Découvrez le destin croisé de deux personnages aussi puissants qu’attachants, à la fois sombres et meurtris, mais qui jamais ne s’avouent vaincus. Si une seule personne pouvait vous tendre la main et bouleverser votre vie, la saisiriez-vous ?

Demain, je déploierai mes ailes – préfacé par Mélanie Rebreget – 2019

Plongez dans l’histoire trépidante d’une jeune femme abîmée, à qui l’on va offrir de réapprendre à rêver. Et s’il était possible de relever la tête et de déployer nos ailes ?

Au-delà des nuages, le soleil brille – préfacé par Vaimalama Chaves (Miss France 2019) – 2021

Découvrez l’histoire bouleversante de jeunes gens attachants, qui, à l’aide d’une main tendue, vont renouer avec leur espoir perdu. Et s’il était possible de mettre des mots sur les maux et de se rappeler un instant qu’au-delà des nuages… le soleil brille ?

À propos de Cindy Triaire, l’auteure

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GPS du rebond et de l’initiative, Cindy Triaire est Consultante, Auteure, Chroniqueuse Radio en Stratégie de Réussite et Présentatrice Micro. Cheffe d’entreprise engagée, elle intervient depuis 2013 dans le cadre de 3 axes complémentaires : Management, Reconversion Professionnelle & Développement Personnel.

Présentatrice pour le célèbre Concours Miss Midi Pyrénées pour Miss France, elle est l’une des premières consultante en motivation à proposer des romans de vie qui invitent au rebond et à la persévérance. Investie, Cindy encourage à l’action et au dépassement de soi.

Dans le cadre de mes fonctions de consultante, j’ai partagé l’histoire de centaines de personnes, eu vent de leur parcours, de leurs doutes, de leurs craintes, de leurs frustrations. Cette souffrance, bien souvent palpable, j’ai eu très vite l’envie de la combattre en vue de leur offrir un rayon de soleil, une petite bulle d’oxygène.

Elle a rédigé à ce titre deux premiers ouvrages sur cette thématique : “Audace, Enthousiasme & Persévérance : Les Clefs de la Réussite“(2016) et “La Nouvelle Vision du succès : Comment décider de sa Réussite ?” (2018).

Conquise par la richesse de notre langue et depuis toujours soucieuse de mettre des mots sur les maux, c’est presque naturellement que Cindy a, avec le soutien indéfectible de sa maman, osé se lancer.

Remarquée dès la sortie de son tout premier roman, c’est avec cœur et passion que Cindy a ainsi renouvelé l’expérience jusqu’à présenter ce jour le 4e d’une belle lignée.

L’avis des premiers lecteurs.trices

Hélène.R :Quel livre magnifique (encore) !! Merci Cindy pour ce très bel ouvrage que j’ai dévoré et que je conseille à tout ceux qui croient en la Vie“.

Emmanuelle.S : “Chère Cindy, je viens de terminer votre roman que j’ai lu d’une traite ! Je me suis laissée totalement embarquée ! Je vous remercie pour cette lecture et vous félicite pour votre talent d’écrivaine.”

Nicole.C :J’en ai pleuré ! Je l’ai lu extrêmement vite tant j’avais envie de connaître la fin ! Un très très bel ouvrage que je vais prendre grand plaisir à relire ! Merci Cindy !”

Alexis.T : “Un roman, qui démontre que si la vie peut être cruelle, l’optimisme et le désir d’avancer l’emportent. Des personnages, qui, malgré leurs blessures, gardent une fraicheur communicative et nous la font partager à travers le langage « épicé » de Romane et Lilou, et la sagesse de Rodolphe, le vieux bûcheron ! Un livre tout en émotion, qui vous tiendra en haleine, jusqu’à son dénouement.”

Mélanie.R : “Cindy. J’ai commencé votre livre hier et l’ai fini aujourd’hui ! Waouh, comment trouver les mots ? Votre écriture est à chaque fois incroyable, je suis captivée, obnubilé par l’histoire de ces personnages qui sont aussi inspirants les uns que les autres ! Vous êtes la seule auteure qui m’emporte autant lorsque je lis. Bravo pour la manière dont vous traitez des sujets difficiles. C’est un bel hommage que vous rendez aux victimes mais également un élan d’espoir pour chacune d’entres elles. Merci pour votre plume si magique. J’attends avec impatience le cinquième roman !”

Harmony.P : “Ouvrir ce roman, c’est retrouver les protagonistes du 2eme roman de l’auteur. Et quel bonheur ! Cette dernière aborde un sujet encore tabou et qui, à l’heure actuelle, connaît encore des chiffres dramatiques. Les violences conjugales ! Des destins croisés qui vous tiennent en haleine tout du long et qui, une fois de plus, vous apprennent à tirer le meilleur de chaque situation.”

Sandrine.D :Chère Cindy, j’ai avalé, j’ai bu toutes les paroles des héros de ce livre en 24h !! Impossible de m’arrêter, j’étais comme absorbée, hypnotisée par ces héros différents en apparence mais avec une force de vie, une sensibilité, une même humanité magnifique. Tu attaches et mets en lumière ce que l’on ne voit pas avec les yeux mais que l’on ressent avec le cœur ! Continue à diffuser, donner, transmettre tout ce bonheur !! Je t’embrasse très fort ! 

Informations pratiques

« Dans le murmure du Vent » de Cindy Triaire

  • Éditeur : Tremplin Carrière
  • 256 pages
  • Prix : 16 € broché

Pour en savoir plus

Pour découvrir ses interviews : https://www.tremplincarriere.com/dans-le-murmure-du-vent/

Pour retrouver tous les romans de Cindy Triaire : https://romans.cindytriaire.com

Site web : https://www.tremplincarriere.com/

Facebook : https://www.facebook.com/tremplincarriere/

Instagram : https://www.instagram.com/cindytriaire_tremplincarriere/

LinkedIn : https://www.linkedin.com/in/tremplincarriereconseil/

“Ex-Patrie” de Luna Vicentino : un roman sur l’immigration italienne, basé sur des faits réels, qui apporte un précieux éclairage sur la montée des nationalismes

1920. Bienno rosso. Deuxième année rouge pour l’Italie, écartelée entre tentation du bolchévisme et montée du fascisme. Des paysans dans la tourmente.

Pauvres parmi les pauvres de ce pays qui ne se remet pas d’une guerre qu’il a pourtant gagnée. Partir n’est plus une option que l’on examine mais une nécessité, une urgence et même une question de vie ou de mort quand on a les squadristes à ses trousses.

Alors quoi ? Se réfugier en France ? S’enfuir en Amérique ? Tout ailleurs est un Eldorado. On part pour y rester, y faire pousser de profondes racines, se donner tout entier à la nouvelle Demeter et devenir pour jamais anostalgique de l’amère patrie.

A l’heure où l’opinion publique s’interroge sur une montée des nationalismes, on constate un regain d’intérêt pour les mouvements politiques de type fasciste. D’ailleurs, la question migratoire passionne autant qu’elle divise les citoyens d’un même pays.

Dans ce contexte, il peut être utile d’examiner les circonstances particulières qui ont amené un peuple à se laisser séduire par de telles idéologies ou, au contraire, à les fuir.

La lecture d’Ex-Patrie de Luna Vicentino, une fiction largement inspirée d’événements réels et de situations vécues, est une opportunité pour le public de recevoir un éclairage personnel et d’exercer sa réflexion sur un phénomène aussi vieux que le monde.

Couverture (2)

Une fiction largement inspirée de l’histoire familiale de l’autrice

Luna Vincetino est la petite-fille d’une immigrée italienne, qui a fui avec ses parents et ses 10 frères et sœurs l’extrême misère des campagnes et la montée du fascisme dans les années 1920.

Par l’écriture, elle a tenu à rendre hommage à ces gens courageux éprouvés par une existence difficile. Tous ont dû abandonner définitivement leur terre d’origine pour tenter de commencer une nouvelle vie dans une patrie d’adoption, la France.

Je désirais que leur histoire, jamais racontée jusque-là, ne se perde pas et puisse être transmise aux générations futures.

Un roman destiné à un large public

Ex-Patrie séduira particulièrement :

  • Les descendants de la migration italienne, pour l’éclairage que le roman peut apporter sur leurs origines ;
  • Les amoureux de l’Italie, qui vont y découvrir le visage offert par ce pays il y a un siècle ;
  • Les amateurs d’Histoire, qui y revisiteront les circonstances ayant favorisé l’émergence du fascisme dans ce pays ;
  • Ceux et celles qui s’intéressent au phénomène migratoire sur notre territoire, car le roman est riche en éléments de réflexion ;
  • Les connaisseurs ou les curieux de la vie à la campagne, qui remonteront le temps pour s’évader vers la Vénétie des années 1920 avec ses mœurs rustiques ancestrales.

Extrait

“C’est comme ça que lui est revenue l’envie de partir. Une envie lancinante, comme une lame dans l’estomac, qui lui donne des aigreurs.

Le voilà de nouveau taraudé par ses démons d’autrefois, du temps où il voulait s’enfuir avec Serafino : quitter sa terre comme on quitte sa mère, une nuit, sans bruit, impatient et coupable. Car il y a une chose qu’il a bien comprise, c’est qu’il n’y a rien à espérer de la mobilisation paysanne qui, depuis plus d’un an, enflamme la région.

Les affrontements violents du printemps et de l’été derniers n’ont pas changé la donne. Deux années rouge-sang, de colère et de révolte, marquées au fer par la fureur des braccianti qui se sont mis en tête d’occuper les terres des propriétaires fonciers.

Pour quel résultat ? La pauvreté a-t-elle reculé après cela ? Des centaines de blessés et de morts et toujours pas de terre à soi. Pas de meilleures conditions de travail non plus dans les grandes propriétés. Toutes ces idées de révolution et de socialisme, c’est pour les travailleurs des villes. Eux, ils ont des chefs qui savent lire et qui leur disent pour qui voter aux élections.

Mais ici, à Tara, à San Giuliano, à San Cipriano, les hommes de la génération de Vittorio ne sont jamais allés à l’école. Les ouvriers peuvent se mettre en grève et espérer faire plier les patrons. Mais eux, les menara, en grève de quoi pourraient-ils bien se mettre ? En grève de traite de chèvre, de cueillette de noix, d’arrachage de pommes de terre ? Autant se mettre en grève de la faim. Et qui cela gênerait-il ? Les sans-terres peuvent bien crever, on trouvera toujours à les remplacer.”

A propos de Luna Vicentino

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J’aime alterner romans et nouvelles, deux genres littéraires qui présentent des possibilités et des contraintes différentes.

Agrégée de Lettres Modernes, Luna Vicentino écrit depuis l’âge de 10 ans.

Il y a quelques années, elle s’est décidée à publier ses écrits, en commençant par un premier roman en autoédition “J’écris pour te chercher” qui a été gratifié d’un “coup de cœur” sur la plateforme Librinova en 2019.

En 2021, les éditions Complicités (Paris) ont publié son recueil de nouvelles La Muse Interdite.

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En septembre 2022, son second roman Ex-Patrie est sorti aux éditions L’Harmattan. Luna s’est beaucoup investie dans sa diffusion, et le livre commence à bénéficier d’une belle visibilité.

Il a notamment fait l’objet d’une médiatisation dans 3 radios locales (dont France Bleu Pays d’Auvergne) et d’une séance dédicace à la grande librairie des Volcans. Ex-Patrie a également été exporté dans une région à la frontière franco-italienne (Modane et Val Cenis en Savoie) à l’occasion de conférences où il a pu rencontrer un public de choix essentiellement composé de descendants de la migration italienne.

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Informations pratiques

“Ex-Patrie” de Luna Vicentino

  • Editeur : L’Harmattan
  • ISBN : 978-2-14-026985-1
  • Format : 15,5 x 24 cm
  • Imprimé en France
  • 284 pages
  • Prix : 24 €

Pour en savoir plus

Commander le livre : https://www.editions-harmattan.fr/livre-ex_patrie_luna_vicentino-9782140269851-74193.html

L’actualité autour du livre et de l’autrice : https://www.lunavicentino.fr/452875254

Site web : https://www.lunavicentino.fr

Facebook : https://www.facebook.com/Romansetnouvelles/

“Le Refuge des étoiles” de Charlotte Saliou : une plongée au cœur du Saint-Germain-des-Prés littéraire et artistique mythique

“Je rentrais à La Louisiane et, sur mon chemin, je laissais mes idées vagabonder, ainsi que les images  : une cigarette qui brûle, un coup de révolver, une danse twistante, un rail de cocaïne, un meurtre, du sexe, un cunnilingus…”

Charly est une ancienne voleuse qui, en sévissant dans les appartements parisiens, rencontre Serge, un vieil homme qui lui conseille de travailler à l’hôtel La Louisiane et d’y voler des histoires de vie, puis de lui narrer les récits des voyageurs.

À l’Hôtel La Louisiane où elle travaille, Charly découvre l’amitié, mais aussi le sentiment amoureux et la vie charnelle.

Grâce à l’écriture, elle ressuscite les étoiles qui ont fréquenté cet hôtel, de Rimbaud à Verlaine, en passant par Lucian Freud, Jean-Paul Sartre, Simone de Beauvoir, Juliette Gréco, Albert Cossery, Keith Haring, Jim Morrison et Quentin Tarantino.

Comme sa jeune narratrice, Charlotte Saliou se passionne pour les légendes qui ont vécu à l’hôtel La Louisiane, le refuge mythique des artistes et des écrivains, niché au cœur de Saint-Germain-des-Prés.

Dans son roman “Le Refuge des étoiles”, publié par Blacklephant Éditions, elle les ressuscite pour mieux embarquer ses lecteurs au cœur d’un véritable voyage dans le temps.

Au fil des pages, on y rencontre Jean-Paul Sartre, Simone de Beauvoir, Boris Vian, Juliette Greco, mais aussi Jim Morrison, Les Pink Floyd, Keith Harring et Quentin Tarantino.

couverture

La Louisiane est un livre qui attendait d’être écrit. Charlotte Saliou l’a fait avant moi, avec lyrisme et nostalgie. Je l’envie beaucoup et lui en veux un peu. Maintenant, tous les secrets du Chelsea Hotel parisien sont dévoilés sur la place publique.

Extrait de la préface signée Frédéric Beigbeder

L’histoire confidentielle de l’hôtel La Louisiane et de ses coulisses enfin dévoilée au grand public

“Le Refuge des étoiles” est un roman qui plaira à toutes les générations de lecteurs, aux amoureux de Saint-Germain-des-Prés, ainsi qu’aux amateurs de littérature et d’art.

Avec la narratrice, une jeune femme amoureuse de son quartier et amoureuse des hommes, on part pour une balade inoubliable dans le 6e arrondissement de Paris.

Un roman envoûtant, construit autour d’un personnage principal : l’hôtel La Louisiane. Un établissement historique dans la capitale, à propos duquel Simone de Beauvoir écrit : “Aucun abri ne s’étant tant approché de mes rêves, j’envisageais d’y rester toute ma vie”.

On aime aussi le lien touchant et intergénérationnel qui se tisse entre Charly, à la personnalité attachante, et son vieux confident.

Sommaire

  • Préface
  • Voler un peu, beaucoup
  • Mon appartement, l’ennui
  • La rencontre
  • La visite des murs
  • Partir
  • Mon premier jour
  • Pulp Fiction, rien que cela
  • Une vie de pulp
  • Rêver du pire
  • Signé Ben
  • Rencontres respirantes
  • Lire Albert Cossery, en position voyageur
  • Le clochard lubrique
  • Juliette Gréco nous a quittés
  • Le petit billet
  • Des femmes plein les rues
  • Heureux qui comme Boris
  • Burn-out et hallucinations
  • Son monde est aux livres
  • Parle-moi de toi
  • Turn out the lights
  • Rompre un jour
  • Aimer un vieux, c’est aimer quand même
  • Un peu d’érotomanie ne fait pas de mal
  • Amour, gloire et emballage de capote usée
  • La French touch
  • Tournent les tambours
  • L’Inconnu du bataillon
  • Vivre avec son temps
  • La littérature enivre
  • Politique et boule de gomme
  • N’être seulement
  • Promenons-nous dans le VIe pendant que
  • Chambre 10, la légende
  • Musique de chambre
  • Albert Cossery
  • Serge, enfin, tu es là !
  • L’ancien futur ?
  • Joyeux bordel
  • La jalousie, vraiment ?
  • Rencontre littéraire au Danton
  • Amoureuse
  • Le Saint-Germain-des-Prés de Charly

Extrait

“Au fil des semaines s’accumulant, j’ai appris mon métier de réceptionniste. Ce lundi après-midi, Lydia a commencé à me former au logiciel de réception, paramétré pour la réservation des chambres, les arrivées et les départs. De nombreux passagers embarquent à La Louisiane pour faire un voyage. La raison ? Peut-être la découverte de Paris. D’autres, de renommée internationale, s’y plaisent, car ils demeurent incognito. Personne ne se rend compte de leur présence. Ils peuvent vivre leurs journées sereinement, en étant à l’abri des objets luxueux et flashy : dans les chambres modestes, l’inspiration se trouve aisément, sans boussole ni stress !

Passé les couloirs labyrinthiques de La Louisiane qui impressionnent quiconque pénètre les lieux, l’on se forge une belle solitude, bien lové dans le lit au milieu d’un espace de 12 mètres carrés minimum.

Depuis le siège de la réception placée sous l’escalier, j’avais peine à voir l’entrée de l’hôtel. Cette grotte me protégeait de toutes les espiègleries de la rue de Seine. C’est une artère où la fête se déverse encore un peu, pourtant le calme s’est emparé de Saint-Germain-des-Prés depuis une belle poignée d’années. Xavier me l’a expliqué : la rue était un rendez-vous de maraîchers, fromagers ; les commerces de bouche y étaient nombreux. Quiconque pouvait faire son marché, avant 2010. Les restaurants, en s’installant, ont transformé la rue jusqu’à son ambiance, aujourd’hui plus frivole. Elle s’anime quand la nuit tombe, alors c’est un défilé de jolies jambes qui s’y déroule ! Sans odeurs de fromage.

Par la force de ce changement, progressif ou non, le Germanopratin est conservateur le jour, plus moderne la nuit, en fonction des plaisirs qu’il apprécie, ceux-ci donnent le ton. Les familles et surtout les petits enfants en poussette, les personnes plus âgées ont, pour la plupart, déserté la rue. Ils ont disparu au rythme des petits commerces de bouche qui ont mis la clé sous la porte. Xavier m’a raconté cela avec un brin de nostalgie dans la voix, tout en se félicitant d’avoir pu résister ; La Louisiane étant la propriété d’un indépendant. Cet hôtel est un vieux repaire, un arbre qui s’enracine au centre d’une ville clinquante d’éphémères nouveautés.”

Portrait de Charlotte Saliou

Charlotte Saliou, née en Gironde, s’installe à Paris pour y finir ses études et tombe amoureuse de Saint-Germain-des-Prés.

Réceptionniste depuis plusieurs années à l’hôtel La Louisiane, son premier roman, “Le Refuge des Étoiles”, rend hommage aux artistes qui y ont résidé.

À propos de Blacklephant Éditions

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Animés par des valeurs humanistes, nous publions des livres qui contribuent à rendre le monde meilleur.

Dans un monde ultra-connecté et plongé dans l’instantanéité, Blacklephant Éditions invite à faire un pas de côté, à oser la prise de recul offerte par l’écriture.

Elle publie des romans, des témoignages, de beaux livres et de la bande dessinée. Autant d’ouvrages qui ont tous un point commun : ils sont écrits par des auteurs talentueux, libres et engagés, qui mettent en lumière la richesse de la diversité, l’inclusion, la protection de la vie, l’imagination, la connaissance, la résilience, la soif de découverte et l’ouverture au monde.

Toute l’équipe, guidée par son intuition, aime faire découvrir à ses lecteurs de véritables coups de cœur. C’est d’ailleurs pour cela qu’elle a choisi l’éléphant comme animal totem ! Il symbolise la loyauté, l’empathie et la camaraderie qu’elle veut incarner au quotidien auprès de tous ses interlocuteurs.

Blacklephant Éditions est située à Auray, en Bretagne Sud. Elle est une marque de Goodman et Compagnie, un studio de production audiovisuelle qui place l’humain au centre du jeu.

Informations Pratiques

“Le refuge des étoiles” de Charlotte Saliou

  • Sortie : 6 avril 2023
  • Éditeur : Blacklephant Éditions
  • Prix : 16,90 €

Pour en savoir plus

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L’histoire de l’hôtel La Louisiane en quelques mots : https://www.relations-publiques.pro/wp-content/uploads/pros/20230314091645-p4-document-zbnn.pdf

Site web : https://blacklephant.com/

Facebook : https://www.facebook.com/Blacklephant.editions/

Instagram : https://www.instagram.com/blacklephant.editions/

LinkedIn : https://www.linkedin.com/company/blacklephant/

“Sirasco” de Michel Sibra : un roman policier qui raconte le quotidien de la police des polices

Tout le monde a entendu parler des « bœuf-carottes », l’IGPN, la police des polices, mais peu de gens savent
ce qu’il s’y passe réellement.

Mis sur le gril à mijoter pendant quarante-huit heures, placé la nuit en cellule, voilà
ce qui attend le fonctionnaire impliqué dans un cas délictuel ou criminel.

Le commissaire divisionnaire Charles Besmir, d’origine albanaise et patron d’un service de police judiciaire non
opérationnel, classé « Secret Défense », a fomenté une fusillade sauvage dans son appartement bourgeois du XVIe
arrondissement de Paris.

Une folie. Trois assaillants sont morts, un autre est grièvement blessé.

Plus grave, un jeune fonctionnaire se trouve entre la vie et la mort et quatre autres collègues sont impliqués dans cette tuerie. En garde à vue, Besmir a deux jours et deux nuits pour prouver sa bonne foi. Les quarante-huit heures d’interrogatoire, psychanalyse express, vont permettre à Besmir de remonter à l’origine de son traumatisme.

Mais est-ce une justification suffisante ? Car, dans cette histoire, tout le monde a de lourds secrets à cacher…

Sortie le 09 mars chez Blacklephant Éditions. Disponible en librairie et sur les plateformes en ligne.

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Les points forts

“Sirasco” de Michel Sibra, c’est :

  • Un récit inédit qui permet de découvrir les coulisses de la police des polices de l’intérieur ;
  • Une alternance de scènes d’interrogatoire et de scènes d’action qui maintiennent le lecteur en alerte ;
  • Une guerre des nerfs psychologique entre le héros du roman et des fonctionnaires de police déterminés à le faire craquer ;
  • Un auteur chevronné qui a déjà fait ses preuves, en gagnant le Prix du Quai des Orfèvres en 1998 ;
  • Le portrait sulfureux d’un Paris qu’on devine sans le connaître réellement, celui de la prostitution, des trafics de drogue et de la mafia albanaise ;
  • Un héros au grand cœur et aux méthodes peu conventionnelles au sein de la police, qui séduit le lecteur et lui donne envie de connaître le dénouement de l’intrigue.

Portrait de Michel Sibra

Michel Sibra, né en 1947 à Guingamp, est un écrivain, réalisateur, scénariste et photographe français.

Auteur chevronné, il est nommé aux César pour son film La Soule en 1989 et en 1998 il remporte le Prix du Quai des Orfèvres pour son roman La Danse du soleil.

Après avoir écrit et réalisé des films pour le cinéma et la télévision, il se consacre désormais à la littérature.

À propos de Blacklephant Éditions

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Animés par des valeurs humanistes, nous publions des livres qui contribuent à rendre le monde meilleur.

Dans un monde ultra-connecté et plongé dans l’instantanéité, Blacklephant Éditions invite à faire un pas de côté, à oser la prise de recul offerte par l’écriture.

Elle publie des romans, des témoignages, de beaux livres et de la bande dessinée. Autant d’ouvrages qui ont tous un point commun : ils sont écrits par des auteurs talentueux, libres et engagés, qui mettent en lumière la richesse de la diversité, l’inclusion, la protection de la vie, l’imagination, la connaissance, la résilience, la soif de découverte et l’ouverture au monde.

Toute l’équipe, guidée par son intuition, aime faire découvrir à ses lecteurs de véritables coups de cœur. C’est d’ailleurs pour cela qu’elle a choisi l’éléphant comme animal totem ! Il symbolise la loyauté, l’empathie et la camaraderie qu’elle veut incarner au quotidien auprès de tous ses interlocuteurs.

Blacklephant Éditions est située à Auray, en Bretagne Sud. Elle est une marque de Goodman et Compagnie, un studio de production audiovisuelle qui place l’humain au centre du jeu.

Informations Pratiques

“Sirasco” de Michel Sibra.

  • Sortie : 09 mars 2023
  • Éditeur : Blacklephant Éditions
  • ISBN : 978-2-493043-17-7
  • Prix : 16,90 €

Pour en savoir plus

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Site web : https://blacklephant.com/

Facebook : https://www.facebook.com/Blacklephant.editions/

Instagram : https://www.instagram.com/blacklephant.editions/

LinkedIn: https://www.linkedin.com/company/blacklephant/

“Princesse Maïma” de Daniel Tahl, l’auteur du best-seller “L’homme à tête de chat” : un roman onirique, romantique et métaphysique

Après de nombreuses batailles et un parcours sinueux, Daniel Tahl entame un nouveau cycle de vie, cherchant encore et toujours un sens à son existence.

L’image d’une déesse imaginaire persiste dans son esprit depuis tout jeune sans qu’il ne sache se l’expliquer ni dire qui elle est.

Au travers d’une méditation où il échange avec elle, il l’implore de le rejoindre. Sans s’en rendre compte, il vient d’invoquer une âme chargée d’un bien lourd karma…

Nos désirs ardents sont l’embryon d’un futur probable.

C’est ce dont Daniel va faire l’expérience pour le moins perturbante lorsque l’univers pose sur son chemin la créature féminine venue d’une autre dimension. Mais qui est vraiment Claire et d’où vient-elle ?

Alors que Daniel cherche à percer le mystère de la création universelle, ce personnage, qui incarne divinement la femme, va lui permettre d’en trouver les clefs. Mais lorsque l’on joue avec les Éléments, il faut en assumer les conséquences…

1ère de couverture - Princesse Maïma

La suite de “L’Homme à la tête de chat”, un OVNI littéraire

5 ans après son best-seller, Daniel Tahl revient avec un nouveau roman pour le plus grand plaisir de ses fans !

Cette longue gestation aura été nécessaire pour écrire une suite à la hauteur de leurs attentes.

“L’Homme à la tête de chat” était un roman autobiographique qui s’arrêtait quand Daniel avait 32 ans. Mais l’auteur n’envisageait pas reprendre l’histoire à ce moment précis pour raconter la suite de sa vie.

J’ai pris le temps de vivre d’autres expériences, d’avoir d’autres révélations et de m’éveiller à de nouvelles prises de conscience. J’avais besoin d’une matière plus consistante, portée par une idée transcendante.

Daniel s’est donc allégé du carcan de l’autobiographie pour évoluer vers l’autofiction. Un choix qui lui ressemble : partir du réel pour y puiser ce qu’il y a de plus extraordinaire résume assez bien sa façon d’appréhender la vie !

Avec “Princesse Maïma”, les lecteurs vont être transportés et voyager au fil des pages de ce récit onirique, romantique et métaphysique. Un roman initiatique, riche d’un amour spirituel qui va toucher leur cœur dans un monde qui n’a besoin de rien d’autre.

Une personnalité atypique

Daniel Tahl a une âme d’artiste qui l’a conduit à devenir guitariste juste après un bac scientifique. Sa boussole, ce sont ses désirs. Il les suit en dépit de toutes les peurs qu’il peut avoir, convaincu que le sens de l’existence est de se laisser guider par ses envies et d’y prendre du plaisir.

Une stratégie gagnante : s’il n’est pas devenu une Rockstar, il a en revanche réussi à être pleinement lui-même. Il sait pourquoi il est né et ce qu’il a à faire ici.

Dans cet alignement parfait, c’est ainsi que j’agis et à 50 ans bientôt, je n’ai aucun regret. Je suis un chef d’entreprise, un joueur d’échecs, mais aussi un des types les plus “perchés” que l’on puisse rencontrer !

Extrait

Nombreux sont ceux qui cherchent l’âme sœur, rares sont ceux qui l’ont trouvée. Certains le croient ou souffrent le martyre, meurtris par la déception. Mais la plupart ont abandonné cette idée naïve qu’il existe une âme jumelle, celle avec laquelle le grand amour est possible. Il faudrait arrêter de courir après cet idéal qui n’existe pas, cette perfection que l’on recherche inconsciemment, son père ou sa mère, idée qui siège dans tous les lieux communs des gens instruits et intelligents.

De plus, n’importe laquelle de ces personnes avisées et raisonnables vous le dira : les princesses et les princes charmants n’existent pas, il ne s’agit là que de contes pour enfants. Alors, il faut se résigner, accepter cette vie raisonnable, avaler sans broncher cette soupe fade et froide : la réalité. Mais vous savez bien que le guerrier n’écoute pas les montagnes de raison et tous leurs beaux discours. Les rêves sont sa raison de vivre, ce qui le fait avancer chaque jour. Il y a ce que l’on croit, et ce dont on a l’intime conviction.

Cette déesse l’appelle, son empreinte est trop forte, son cœur lui crie qu’elle existe et la réclame.

« Ton travail intérieur n’est pas terminé, il te reste du chemin à parcourir pour arriver jusqu’à moi, mon guerrier, mais je t’attends… », lui souffle-t-elle au firmament.

Cette voix, Daniel ne l’entend pas. Et quand bien même, à quoi cet avertissement lui servirait-il, sinon à l’inquiéter inutilement?

Si l’homme devait savoir à l’avance combien d’épreuves l’attendent, il abandonnerait sans doute la partie avant la fin. Et si toutes ces épreuves se présentaient de façon simultanée, il n’y survivrait probablement pas. C’est sans doute pour cela que l’univers est un grand pédagogue et nous distille les leçons à apprendre petit à petit, ou plutôt à la juste mesure de ce que l’on est prêt à supporter.

Ainsi, la grande quête qui devait le mener à cette divinité féminine ne faisait que commencer. Et en effet, pour ceux qui connaissent son histoire , la vie ne lui épargna pas les expériences parfois très dures, à la hauteur de ce qu’il devait apprendre, afin de devenir un vrai guerrier. Quant à la fameuse femme mystérieuse et divine, il la trouva bien un jour. Cette histoire raconte comment, et ce que cette femme, au-delà de son apparence humaine, portait en elle de puissance pour devenir celle que l’on nomma Princesse Maïma.

Du même auteur

Le best-seller “L’Homme à la tête de chat”

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« Certaines portes que l’on ouvre ne se referment jamais. Elles donnent sur un chemin étroit et sinueux qui mène vers un changement extraordinaire du cours de l’existence… »

Né dans les années soixante-dix, Daniel est un jeune Parisien qui a grandi dans les odeurs d’encens de la spiritualité. Lorsqu’il est assez grand pour attraper l’un des livres sur l’ésotérisme qui peuplent la bibliothèque de sa mère, il est loin de se douter qu’il vient d’embarquer pour un voyage sans retour.

Lorsque l’on mène une quête, ce que l’on trouve n’est souvent pas ce que l’on attendait, et ce que l’on cherchait au départ.

Le livre de développement personnel “Le pouvoir de l’intime conviction”

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« Il n’y a pas de monde sans observateur. »

Cette réflexion en apparence toute simple nous permet d’en déduire l’incroyable Théorie du projecteur, selon laquelle nous sommes le dieu créateur de notre univers, grâce au Pouvoir de l’intime conviction.
Pourquoi détenons-nous tous sans le savoir ce pouvoir qui permet de modifier notre monde ?

Loin des manuels traitant d’une spiritualité abstraite, Daniel Tahl nous donne, dans le présent ouvrage, les clefs de notre transformation jusqu’à atteindre « l’intime conviction», état psychique tout particulier qui permet la production des miracles dans la réalité.

Portrait de Daniel Tahl

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Daniel Tahl est né à Paris en 1973.

Il a grandi dans les odeurs d’encens, bercé par la musique de Jimi Hendrix. Guitariste et compositeur, informaticien, chef d’entreprise, auteur, il est difficile d’établir son curriculum vitæ.

Les événements tragiques et l’adversité forgeront son esprit de « guerrier » positif, prêt à tout risquer comme s’il allait mourir demain.

Daniel surfe sur les paradigmes et “joue” ainsi sa vie entre métaphysique et ancrage fort dans la matière pour livrer à son public une spiritualité incarnée.

Les procédés permettant la transformation de l’état immatériel de l’esprit aux événements qui se produisent dans le réel sont au cœur de mes recherches. Ils se retrouvent dans les thématiques que j’aborde dans mes écrits.

L’ensemble de ses trois livres (“L’Homme à la tête de chat”, “Le Pouvoir de l’Intime Conviction” et “Princesse Maïma”) forme ainsi une trilogie cohérente et évolutive au sein de laquelle Daniel Tahl livre le fruit des recherches issues de sa propre existence quant à ces procédés que l’on nomme « Manifestation », « Matérialisation » ou encore « Transmutation », concepts souvent associés à la « Loi d’attraction ».

Une Master-Class pour apprendre à révéler en soi le pouvoir de l’intime conviction

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La Master Class organisée par Daniel TAHL est conçue comme un guide à la portée de tous pour permettre à chacun de devenir le créateur de son monde et de matérialiser ses rêves.

Via un smartphone, un PC ou une tablette, les 9 modules du cours sont accessibles 24h/24 et 7j/7 :

  • Étape 1 : La théorie du projecteur
  • Étape 2 : L’alignement avec le moi
  • Étape 3 : Le bon sens de la vis
  • Étape 4 : Cultiver son jardin intérieur
  • Étape 5 : L’hydre de la peur
  • Étape 6 : L’ultime vérité
  • Étape 7 : Le saut de la falaise
  • Étape 8 : Le mental du guerrier
  • Étape 9 : Le Pouvoir de l’Intime conviction

Le contenu de cette Master Class est particulièrement dense et qualitatif puisqu’il inclut : 3 heures de vidéos au format professionnel (soit 9 vidéos de 20 minutes), le livre “Le Pouvoir de l’intime conviction” (Livraison gratuite), 1 cahier d’exercices (86 pages de conseils et d’exercices classés par épisodes), l’e-book “Le pouvoir de l’intime conviction”, 1 audio guide, 3 questions/réponses avec Daniel Tahl, des invitations à ses prochains Webinaires et événements et 1 Code Promo pour réserver un coaching privé avec Daniel Tahl.

Prix : 180 €

À propos de Terre en Ciel

Terre en Ciel a été fondée par Félix Guillemot, connu sous le nom d’auteur Daniel Tahl. La maison d’édition tire son nom d’un rêve fait par son fondateur, dans lequel il est tombé amoureux d’une déesse nommée « Teyrrencielle ». Dix ans plus tard, en 2017, en contemplant un rocher majestueux en Provence, il a enfin compris la signification de son rêve : « Terre en Ciel ».

Tournée vers le développement personnel, la spiritualité et l’ésotérisme, Terre en Ciel publie des parcours de vie insolites, des guides de développement et d’épanouissement personnels, ainsi que des ouvrages allant à la rencontre de l’irréel. Elle a pour ambition de publier de « beaux livres », à la fois en surface et en profondeur.

Terre en Ciel Éditions est aujourd’hui composée d’une équipe de trois personnes. Son activité est en lien étroit avec celle de sa filiale, Terre En Ciel Productions, qui réalise des masterclasses sur les sujets publiés. Cela lui permet de proposer une offre plurielle à ses lectrices et lecteurs, tout en diversifiant les activités des auteurs.

Informations pratiques

Princesse Maïma de Daniel Tahl

  • Sortie : le 12 avril
  • Editeur : Terre en Ciel
  • Format : 16 × 24 cm
  • ISBN : 978-2492382550
  • Pages : 240
  • Prix : 22.90€

Pour en savoir plus

Découvrir le livre : https://terre-en-ciel.com/catalogue/daniel-tahl/princesse-maima-daniel-tahl/

Daniel Tahl sur HighCoaches : https://highcoaches.com/coaches/daniel-tahl/

Facebook : https://www.facebook.com/hommealatetedechat/

Instagram : https://www.instagram.com/danieltahl/

“La violoncelliste qui n’aimait pas sa grand-mère” d’Hélène Elisabeth : une ode à la résilience des femmes qui entre en résonance avec la situation en Ukraine

Héloïse vient tout juste de rentrer à l’Orchestre philharmonique de Paris et sa vie semble, enfin, réglée comme du papier à musique. À des milliers de kilomètres de là, Evguenia, habite une maisonnette au Kirghizistan. Elle n’attend plus grand-chose de la vie, si ce n’est de couler des jours tranquilles et heureux auprès de ses amis.

Une lettre anonyme vient perturber le quotidien de la jeune musicienne et de la babouchka. Le tempo s’accélère, la partition s’emballe à Paris et à Bichkek.

Dans La violoncelliste qui n’aimait pas sa grand-mère, Hélène Élisabeth rend hommage à toutes les femmes qui affrontent la vie avec courage et résilience.

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Des thèmes qui font écho avec la situation actuelle en Ukraine

Le roman est un prétexte pour aborder divers thèmes dont les secrets de famille, la résilience après un événement traumatique, et des questions sérieuses, comme le sort des populations déportées loin de chez elles.

Ces déportations de populations sont un moyen de mettre en place ou de renforcer un régime et d’écraser les oppositions locales. Ce thème prend une résonance actuelle avec la guerre en Ukraine où, selon un rapport d’Amnesty International, des populations civiles des zones occupées de l’Ukraine, ont été transférées de force, loin de leurs villes et villages, vers des territoires contrôlés par la Russie ou vers la Russie.

Ce livre reprend ainsi des thèmes chers à l’autrice  :

  • Les voyages, bien entendu, avec ce qu’ils apportent de découverte de nouvelles cultures, de langues et d’expérience ;
  • Les personnes déracinées et celles qui perdent tout du jour au lendemain ;
  • La place de la femme dans la société, notamment l’égalité entre les femmes et les hommes ;
  • Le quotidien. Tout simplement parce qu’il n’est pas nécessaire d’attendre qu’il nous arrive une histoire incroyable pour profiter de la vie ! Hélène Élisabeth est très sensible à tous les petits bonheurs quotidiens (boire un café en terrasse, lire un livre, aller marcher en forêt, discuter avec des amis). “J’ai une vision optimiste de la vie”, dit-elle.

Le deuxième tome d’une mini-série en 3 romans

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La violoncelliste qui n’aimait pas sa grand-mère est le tome II d’une mini-série de trois romans. Chacun peut être lu indépendamment.

I. La violoncelliste qui inventait des mots croisés érotiques

Ce premier volet embarque les lecteurs et les lectrices dans le monde de la littérature érotique, mais aussi… des jardins ! Hélène a voulu les évoquer comme un espace naturel de transformation cyclique, un espace où le promeneur peut se perdre physiquement ou en pensées.

II. La violoncelliste qui n’aimait pas sa grand-mère

Ce roman se déroule au Kirghizistan, une ancienne république soviétique d’Asie centrale, peu connue en France. L’un des personnages principaux est d’origine russe. Hélène a voulu parler des conditions dans lesquelles les Russes ont été déportés sous Staline et montrer les difficultés que certains ont rencontrées au moment de l’indépendance. Avec l’hyperinflation, ils ont tout perdu…

III. La violoncelliste qui voulait voir des girafes

Ce roman portera sur le Kenya. Tout simplement parce qu’Hélène Élisabeth a envie de faire voyager ses lecteurs et ses lectrices avec elle !

Extrait

“— J’ai encore reçu une lettre anonyme ce matin.

Héloïse avait retrouvé Alejandro dans son atelier situé en bordure de Paris. De retour d’Argentine, il avait loué ce petit local pour développer son entreprise de jardinerie d’art. Son activité démarrait à peine, mais son charisme, sa passion et son talent lui avaient permis de se constituer rapidement une petite clientèle en pleine expansion. Son affaire tournait bien, mais lui prenait énormément de temps. Il n’en oubliait pas cependant Héloïse et essayait de la voir aussi souvent que possible. Tout était bon pour que les deux jeunes gens se retrouvent : une promenade la nuit dans les rues ou dans les parcs et jardins de la capitale, en forêt aux abords de Paris, sans oublier les cours de tango du lundi soir.

— Toujours contre ton grand-père ? Il faut dire qu’il n’est pas commode, poursuivit Alejandro, conscient qu’il marchait sur des œufs lorsqu’il s’agissait de faire une remarque sur Dedouchka.

— Pourquoi dis-tu ça ?

— Tu as vu comment il m’a regardé quand je suis arrivé chez tes parents la semaine dernière ? Je vois bien qu’il ne m’aime pas trop. Je suis en train de lui voler sa petite-fille !

— Il a son caractère, c’est vrai, mais il ne mérite pas ces lettres anonymes, je trouve que c’est exagéré.

— Il a peut-être des ennemis au journal ? Il n’est pas facile. Tu vois bien combien il peut être cassant avec son entourage. Sauf avec toi, bien entendu, ajouta-t-il avec malice. De quoi s’agit-il, cette fois-ci ?

Héloïse sortit de son sac, la lettre, objet de son courroux. « Serge Vanié n’est qu’un imposteur. Vérifiez par vous-même. Je vous conseille de chercher du côté de Bichkek, organisation “Adoptez une babouchka “, Evguenia Postoïeva. »

— Celui ou celle qui t’a envoyé ça parle d’admiration, cette personne connaît vos rapports. Soit c’est quelqu’un qui te connaît et qui veut te déstabiliser, mais sans avoir de lien avec ton grand-père, soit c’est vraiment lui qui est visé à travers toi.

— Quel manque de courage, quand même ! C’est facile de cracher son venin sur Dedouchka comme ça, de manière anonyme.

Héloïse était véritablement en colère. Elle n’appréciait pas d’être le jouet d’un correspondant qui se cachait derrière ces lignes diffamatoires.

— Pourquoi n’en parles-tu pas à ton grand-père ?

— Je ne sais pas, quelque chose me retient.

— Tu crains de trouver un fond de vrai dans ces calomnies ?

— La deuxième partie du message m’intrigue. Pourquoi donner un nom ? Il doit s’agir d’une personne qui existe bel et bien.

— En tout cas, ton expéditeur inconnu arrive à ses fins. Il t’a non seulement contrariée, mais en plus il a piqué ta curiosité.

— Bichkek… Je ne sais même pas où c’est.”

À propos d’Hélène Élisabeth, autrice et globe-trotteuse

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Hélène Élisabeth est une voyageuse dans l’âme ! Enfant et adolescente, elle a habité en France, en Allemagne et sous les tropiques. Adulte, elle a continué à déménager sur tous les continents. Elle parle d’ailleurs plusieurs langues, dont le Swahili, et elle aime découvrir de nouvelles cultures.

Après un bac scientifique, elle suit des études de droit et décroche un diplôme de notaire. Elle travaille ensuite dans un office notarial qu’elle quitte pour intégrer le monde de l’entreprise afin de pouvoir continuer à voyager.

Elle part alors de France et devient Consultante pour des organisations internationales, notamment en qualité de traductrice.

Bouger sans cesse est parfois déstabilisant. Perdre ses amis, ses repères, sa sécurité en quelque sorte. Les livres ont toujours constitué un point d’ancrage, un refuge. J’ai donc beaucoup lu enfant et je ne me suis pas arrêtée. Ne pas avoir un ou deux livres d’avance est source d’angoisse ! Le plaisir d’écrire des romans est arrivé assez tard dans ma vie d’adulte.

“Journal d’une jeune fille irlandaise”

Son premier roman, Journal d’une jeune fille irlandaise, publié aux Éditions Petra (ISBN 2847430164) a été écrit après un séjour en Australie où Hélène Elisabeth prenait des cours de terminologie juridique auprès d’un avocat d’origine irlandaise. Elle y raconte, avec un grand souci de réalisme, les événements tels qu’ils s’étaient passés entre 1845 et 1847. Ainsi, même s’il s’agit d’une fiction, tout aurait pu arriver tel qu’elle le raconte. Les conditions du voyage, par exemple, sont véridiques.

Ce livre a connu un vif succès. Il va être réédité prochainement et vient d’être publié en version numérique (978-2847430165).

Après sa sortie, Hélène Elisabeth voulait écrire un roman sur le Kirghizistan où son époux était en poste (à Bichkek), tandis qu’elle travaillait à Paris. Elle faisait des allers-retours fréquents. Elle a alors écrit une première version du roman qui ne lui plaisait pas. Elle allait reprendre l’histoire quand son fils est tombé malade.

“Les Évadés de Curie”

Son fils Ewen

Son fils Ewen

Le second roman d’Hélène Élisabeth, Les Évadés de Curie, a été écrit avec son fils Ewen. Ils habitaient en Zambie lorsqu’ils ont appris sa maladie. Ewen a ensuite été hospitalisé à l’institut Curie, à Paris. Quand il a su qu’il devait rester 8 mois là-bas, sa réaction a été explosive : « Huit mois ici ? Mais c’est une éternité ! ».

C’est ainsi qu’est née l’histoire de deux enfants qui s’évadent chaque soir de leur chambre d’hôpital. Ce livre jeunesse a été publié aux Éditions Petra (ISBN 284743061X).

La mini-série de 3 tomes autour du personnage d’Héloïse

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Puis vinrent le deuil et le temps de la reconstruction. Hélène Élisabeth a mis plusieurs années avant de recommencer à écrire. Avec la crise du Covid, elle n’a pas pu rentrer en France pendant un an et demi.

Pour s’évader, elle a décidé d’écrire une mini-série, quelque chose de léger, mais avec des notes sérieuses. C’est ainsi qu’est né le personnage d’Héloïse. La Violoncelliste qui n’aimait pas sa grand-mère est le tome 2.

Les ateliers d’écriture

Hélène Élisabeth anime également des ateliers d’écriture pour des collégiens. (Mwendabaï ou sept nouvelles du Lac Kariba, publié aux Éditions Petra en 2009). l’an dernier, elle a travaillé avec les élèves de 3ème du Lycée français de Nairobi sur des nouvelles. L’action de chaque histoire se déroule durant la Première Guerre mondiale, au Kenya, sur le champ de bataille de Taïta Hills (où les Allemands et les Anglais se sont affrontés). Les personnages sont Allemands, Britanniques ou Kenyans.

Pour en savoir plus

Les livres d’Hélène : https://lesballand.wordpress.com/livres/

Site web : https://lesballand.wordpress.com/

Facebook : https://www.facebook.com/Heleneelisabethbooks

Instagram : https://www.instagram.com/heleneelisabethofficiel

LinkedIn : https://www.linkedin.com/in/helene-lesbats-84349075

“Slowboy” de Cédric Pellegrini : un récit drôle et addictif au dénouement bouleversant

L’histoire de Cédric Pellegrini, c’est celle d’un garçon de la classe moyenne qui apprend à exister à travers le regard des filles dans les années 80.

Au détour de ses émois amoureux, jamais très éloignés de la piste de danse, l’auteur vous présente aussi sa famille et il réalise que grandir est une belle arnaque.

“Slowboy” est un livre qui parle de la vie, de l’amour et de la mort sans jamais oublier de vous faire sourire, et qui donne espoir, même quand ça fait mal.

 

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Un récit d’apprentissage dans lequel chacun pourra se reconnaître

Slowboy est un roman “coup de cœur” qui va séduire toutes les générations de lecteurs.

La plume pleine de talent de Cédric Pellegrini embarque les lecteurs au cœur d’un récit à la fois drôle et plein d’autodérision.

Sans tabou, on y découvre l’éducation sentimentale et sexuelle d’un jeune quadra qui fait le bilan de sa vie. Mais derrière une apparente légèreté, avec ce héros qui semble avoir un véritable cœur d’artichaut, se cache une histoire familiale bouleversante.

Les (grands) petits plus

  • Un récit sans filtre et addictif au dénouement bouleversant ;
  • Un narrateur sincère et attachant qui assume ses échecs amoureux avec humour et autodérision ;
  • Un sujet de société malheureusement toujours d’actualité : les drames familiaux ;
  • Une plongée dans les années 80-90 qui fait découvrir ou revivre cette époque qui plaît au grand public.

Extrait

“Une fois mon bilan terminé avec pour la première fois pas trop de recommandations liées à mon régime alimentaire, ma consommation d’alcool ou mon manque d’exercice physique, j’ai suivi les conseils de la docteure et ai pris rendez-vous chez mon médecin traitant pour vérifier cette fameuse tension. J’avais une vague idée du problème, mais je tenais quand même à en être sûr. Une fois dans le cabinet, je lui exposai les faits et, comme d’habitude, il avait l’air de n’en avoir rien à foutre, tout en affichant une expression concernée.

— 12/6.

J’en étais sûr. Même mon médecin avait compris. On ne la fait pas à un mec qui a fait au moins dix ans d’études.

— Vous étiez stressé ce jour-là ?… Ou alors c’était peut-être à cause de la docteure ?

Et il m’a souri. Il savait. Moi aussi, je savais pourquoi j’avais eu cette montée, mais c’était la première fois que j’avais une preuve scientifique de ma pathologie.

J’avais littéralement pu mesurer ce qu’était la tension sexuelle, et j’avais enfin pu constater physiologiquement que j’étais totalement et irrémédiablement dépendant du regard des femmes, particulièrement quand on se présente à elles en slip. J’ai cherché un nom à cet état, mais apparemment il n’existe pas d’appellation d’origine contrôlée digne de ce nom. Pourtant, cela pourrait mériter une prise en charge. Le principe est limpide : que l’on soit en couple ou non, la moindre rencontre plus ou moins intéressante vire à la représentation systématique.

Parfois, ça ne va pas très loin et heureusement, car ça finit par prendre le pas sur le mental. On ressent les mêmes émotions que lorsqu’on tombe amoureux et on change même sa personnalité et ses qualités dans le but de plaire à cette personne, encore et toujours.”

Portrait de Cédric Pellegrini

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Cédric Pellegrini est né dans le Nord où il a vécu une grande partie de sa vie. Concepteur rédacteur depuis vingt ans, il a l’habitude de jouer avec les mots.

Après des années passées à écrire des histoires pour les autres mais surtout les grandes marques, il a décidé de raconter un peu de la sienne.

À propos de Blacklephant Editions

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Animés par des valeurs humanistes, nous publions des livres qui contribuent à rendre le monde meilleur.

Dans un monde ultra-connecté et plongé dans l’instantanéité, Blacklephant Éditions invite à faire un pas de côté, à oser la prise de recul offerte par l’écriture.

Elle publie des romans, des témoignages, de beaux livres et de la bande dessinée. Autant d’ouvrages qui ont tous un point commun : ils sont écrits par des auteurs talentueux, libres et engagés, qui mettent en lumière la richesse de la diversité, l’inclusion, la protection de la vie, l’imagination, la connaissance, la résilience, la soif de découverte et l’ouverture au monde.

Toute l’équipe, guidée par son intuition, aime faire découvrir à ses lecteurs de véritables coups de cœur. C’est d’ailleurs pour cela qu’elle a choisi l’éléphant comme animal totem ! Il symbolise la loyauté, l’empathie et la camaraderie qu’elle veut incarner au quotidien auprès de tous ses interlocuteurs.

Blacklephant Éditions est située à Auray, en Bretagne Sud. Elle est une marque de Goodman et Compagnie, un studio de production audiovisuelle qui place l’humain au centre du jeu.

Informations Pratiques

“Slowboy” de Cédric Pellegrini

  • Sortie : 24 novembre 2022
  • Éditeur : Blacklephant Éditions
  • ISBN : 978-2-493043-15-3
  • Format : 14.8 x 21 cm
  • Nombre de pages : 236
  • Prix : 15,50 €

Pour en savoir plus

Découvrir le livre : https://blacklephant.com/ouvrage/slowboy/

Site web : https://blacklephant.com/

Facebook : https://www.facebook.com/Blacklephant.editions/

Instagram : https://www.instagram.com/blacklephant.editions/

LinkedIn : https://www.linkedin.com/company/blacklephant/

“Le Vieux qui marchait avec son chien” de Patrick Garcia : un roman touchant qui met en lumière le regard singulier d’un senior sur la vie et la société moderne

“Tu veux qu’on fasse une longue promenade ? Mais je te préviens, ce sera une très, très longue promenade…”

C’est parfois dans l’épreuve que l’on révèle le meilleur de soi-même.

Jean, 70 ans, vient de perdre sa femme. Il n’a pas toujours été tendre avec elle, ni avec qui que ce soit d’ailleurs. Alors qu’il se sent perdu depuis qu’elle est partie, il décide de tout quitter pour traverser la France à pied.

Folie ? Démence ?

Qu’importe ! Accompagné de Kenny, son vieux chien, il s’élance sur les routes, prêt pour la grande aventure. Ensemble, ils parcourent un chemin initiatique rythmé par des rencontres drôles et bouleversantes.

Son périple apaisera-t-il son cœur coupable ? Et quel est l’objectif de cette mystérieuse randonnée ?

“Le Vieux qui marchait avec son chien” de Patrick Garcia est un roman à part, un périple rempli de rencontres insolites et de rebondissements pour une belle galerie de portraits.

Un road-trip aux allures de chemin de croix, un vieux qui a soif de liberté, et un chien irrésistible sont les trois atouts majeurs de ce roman.

Litté-romans

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Le road-trip décalé d’un vieux rebelle et de son chien très attachant

Pas de voiture, de vélo ou de camping-car : dans cette histoire atypique, le héros et son chien partent sur les routes de France à pied, et sans la moindre préparation.

Et avec eux, ils embarquent aussi les lecteurs.trices, qui peuvent aussi se projeter dans cette évocation du Covid-19 et de ses conséquences, notamment pour les voyages.

Au fil des pages, ils vont découvrir le lien fort qui unit ce chien à son maître, un héros sincère qui fait le bilan de sa vie et tente de se racheter auprès des siens.

Bouleversant !

Des livres sous les mots

Une histoire bientôt adaptée à l’écran ?

Ce livre regroupe tous les ingrédients d’un road-trip cinématographique : un vieil homme, accompagné de son chien, qui traverse la France à pied pour accomplir une mission que le lecteur découvre au fil de sa lecture.

Une belle histoire qui séduira un large public, et en particulier tous les amoureux de randonnée, de voyages, d’aventure, de chiens, et d’histoires familiales.

Extrait

“J’ai donc poursuivi ma route. Comme première étape, je m’étais fixé d’atteindre Bénodet, éloignée d’une douzaine de kilomètres. Un petit pas pour une voiture, un pas immense pour deux organismes rouillés comme les nôtres. On a emprunté le pont Christ, l’un des rares ponts de France avec habitations. Comment passer devant l’une des plus célèbres biscuiteries de Bretagne sans y acheter quelques spécialités ? Je laissai Kenny devant la porte, assis tout droit, aussi immobile qu’un garde républicain. J’en ressortis cinq minutes plus tard avec un sachet de madeleines, un kouign-amann salé accompagné d’une compotée d’oignons et de pâté. Faut bien se faire plaisir, non ? La route serait longue !

Après avoir partagé une douceur avec Kenny, nous nous sommes remis en route. J’avais emporté une carte Michelin de la France. Une carte qui n’avait jamais servi jusqu’alors. Elle est imposante, la France, que je me disais en la dépliant. Elle s’ouvrait devant mes yeux. Il était grand temps de la parcourir. Comme beaucoup de monde à l’époque, je ressentais des fourmis dans les jambes.

À la sortie de la ville, on est passés devant le stade de foot local où, il y a une trentaine d’années, j’emmenais mon fils, Éric, faire son entraînement et le récupérais deux heures après, les joues rougies des efforts fournis. À chaque fois, je lui demandais comment ça s’était passé et invariablement, il me répondait : « Ça va… »

Enfin, Pont-l’Abbé était derrière nous ! La campagne bretonne nous tendait les bras. Comme je connaissais mon département par cœur, j’avais dans l’idée de prendre des chemins de traverse, histoire d’éviter le mange-bitume permanent, mais compte tenu des kilomètres supplémentaires à fournir, je me suis rabattu dare-dare sur la D 44.

Aussi concentrés l’un que l’autre, Kenny et moi longions la route en silence. Elle s’étirait en courbes et on marchait sur le bas-côté afin d’éviter les rares voitures qui nous dépassaient. Certains conducteurs nous klaxonnaient pour nous avertir du danger. D’autres le faisaient par sympathie, accompagné d’un geste de la main. Certains nous regardaient comme si nous étions des extraterrestres, je n’imaginais pas qu’ils seraient les premiers d’une longue liste. C’est que des gens, on allait en rencontrer…”

Portrait de Patrick Garcia, l’auteur

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Patrick Garcia vit à Paris où il travaille pour une association caritative. Auteur de plusieurs nouvelles, il a écrit une pièce de théâtre qui sera jouée sur une scène parisienne en janvier 2023.

L’idée de ce roman lui a été inspirée par ses propres hobbys : la marche et l’imaginaire, qu’il a souhaité associer dans un livre abordant la thématique du lointain et de l’ailleurs.

À propos de Blacklephant Editions

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Animés par des valeurs humanistes, nous publions des livres qui contribuent à rendre le monde meilleur.

Dans un monde ultra-connecté et plongé dans l’instantanéité, Blacklephant Éditions invite à faire un pas de côté, à oser la prise de recul offerte par l’écriture.

Elle publie des romans, des témoignages, de beaux livres et de la bande dessinée. Autant d’ouvrages qui ont tous un point commun : ils sont écrits par des auteurs talentueux, libres et engagés, qui mettent en lumière la richesse de la diversité, l’inclusion, la protection de la vie, l’imagination, la connaissance, la résilience, la soif de découverte et l’ouverture au monde.

Toute l’équipe, guidée par son intuition, aime faire découvrir à ses lecteurs de véritables coups de cœur. C’est d’ailleurs pour cela qu’elle a choisi l’éléphant comme animal totem ! Il symbolise la loyauté, l’empathie et la camaraderie qu’elle veut incarner au quotidien auprès de tous ses interlocuteurs.

Blacklephant Éditions est située à Auray, en Bretagne Sud. Elle est une marque de Goodman et Compagnie, un studio de production audiovisuelle qui place l’humain au centre du jeu.

Informations Pratiques

“Le Vieux qui marchait avec son chien” de Patrick Garcia

  • Sortie : 20 octobre 2022
  • Éditeur : Blacklephant Éditions
  • EAN : 9782493043139
  • ISBN : -978-2-493043-13-9
  • Format : 14,8 x 21 cm
  • Nombre de pages : 238
  • Prix : 15€

Pour en savoir plus

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Découvrir le livre : https://livre.fnac.com/a17166493/Patrick-Garcia-Le-Vieux-qui-marchait-avec-son-chien

Site web : https://blacklephant.com/

Facebook : https://www.facebook.com/Blacklephant.editions/

Instagram : https://www.instagram.com/blacklephant.editions/

LinkedIn : https://www.linkedin.com/company/blacklephant/

“Mystère au manoir d’Ashford” d’Anaïs Bonaventure, une énigme ésotérique explorant les secrets et les ombres de l’âme humaine

Avec ce deuxième roman, Anaïs Bonaventure nous emmène dans un «cosy mystery» flirtant avec une part fantastique. Le décor est planté dans l’Irlande profonde de 1929, où les légendes celtes sont intégrées à la réalité d’un pays affaiblie par la guerre. Le récit prend place dans un huis clos où les personnages, petit à petit, dévoilent leurs véritables intentions.

C’est à la lisière du parc d’Ashford que tout commence, lorsque chaque soir un long et déchirant hurlement retentit dans ce petit village irlandais.

Créature cauchemardesque ou rôdeur mal intentionné… ?

Un spectacle macabre se répète et Jack Donegan, bientôt 18 ans, reste décidé à en découvrir les raisons.

Invité au manoir de la famille Harvest, il se retrouve alors au cœur d’une affaire où secrets et faux semblants se mêlent aux légendes celtes.

Derrière les sourires, à qui peut-il encore se fier ?

Un jeune homme hanté par le passé, une énigme ésotérique : un cosy mystery surprenant. “Mystère au manoir d’Ashford” d’Anaïs Bonaventure est le genre de roman qui se lit d’une traite, de la première à la dernière page.

Il est disponible en prévente à partir du 2 novembre sur le site officiel de l’auteure et à commander en librairie à partir du 9 novembre.

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Dans ce livre, je parle des secrets et des «ombres» subsistant en chaque personne et ce que cela peut engendrer sur les comportements. J’y montre les conséquences sur la vie, les répercussions sur l’entourage et surtout comment cela peut nuire aux relations humaines.

Anaïs Bonaventure

Une exploration de l’intimité d’une famille à partir d’un mythe irlandais

Dans ce premier roman de la série ” les chroniques de Jack Donegan “, l’auteure nous plonge en Irlande, une terre de légendes et nous fait découvrir le mythe de la Banshee : créature du folklore irlandais annonçant la mort d’une personne dans un foyer.

La Banshee vient alors mettre en lumière les secrets polluant une famille. On entre dans la psychologie des personnages pour mettre à nu les interactions viciées au sein du foyer, tout en abordant le poids et les «fantômes» du passé.

L’histoire navigue dans une ambiance fantastique et fantasmagorique, mais parfaitement encrée dans la réalité, afin de jouer sur la perte de repère. La fiction est alors utilisée pour appréhender la vérité de cette famille : il s’agit d’ailleurs d’un thème récurent dans l’écriture de l’auteure.

Un roman né de l’observation des comportements humains

Au quotidien, notre humeur peut interférer durant les discussions avec les autres. Tout est sujet à interprétation et c’est de là que naissent les quiproquos…

En regardant attentivement, on découvre qu’il existe autant de vérité qu’il y a des personnes pour vivre une expérience, chacun laissant son empreinte émotionnelle dicter ses actions et ses jugements. D’ailleurs, nos souvenirs sont impactés par cela. Ainsi deux personnes ayant vécu la même chose ne le raconteront pas de la même manière. L’un a-t-il tort et l’autre raison ?

Les deux sont dans le vrai, mais leur vérité est subjective.

Et c’est ce dédale complexe, à travers la culpabilité et les non-dits, que Jack Donegan devra affronter. Comment dénouer les fils de l’énigme quand chacun des protagonistes à sa propre croyance ?

Au sein de ma famille, de mes amis et de mon propre passé, c’est une chose que j’ai pu observer et que j’ai voulu décortiquer : comment naissent nos «ombres» intérieures et l’impact qu’elles ont sur nos souvenirs.

Extrait

“Les hautes herbes jaunies par le soleil s’agitaient les unes contre les autres, sous le soupir frémissant du lac, unique source d’écho dans ce décor déserté par les Hommes à la nuit tombée. S’effaçant peu à peu sous cet océan insondable de brume, le sentier restait le terrain de jeu d’une population d’animaux nocturnes. Pourtant, ce soir-là, seul le hululement d’une chouette venait rompre la monotonie. On n’entendait pas âme qui vive dans ce parc, rien que le vent et un souffle dans le lointain.

Puis, deux halètements.

La première respiration, celle d’un garçon de 5 ans, demeurait calme. La seconde inhalation, celle de son frère jumeau, au contraire, semblait précipitée. La crainte se lisait sur leurs visages à demi baignés par l’obscurité, mais ils n’écoutaient pas les avertissements que la nature leur lançait ni les grondements résonnant au loin. Ils continuèrent.

Le brouillard glissait sur les flots de l’eau comme un navire prêt à l’abordage. Cette tempête silencieuse leur oppressait les poumons, les obligeant à inspirer de plus en plus fort.

Le timide croissant de lune dans ce ciel sans étoiles fut bien vite remplacé par un voile nuageux rendant absolu le déclin de la lumière. Pourtant, rythmés par le son de leurs pas, les deux frères poursuivaient leur chemin avec détermination. Le premier resserra sa cape sur ses épaules, le second, plus inquiet, accéléra l’allure. Ils n’entendaient pas le râle rauque qui remontait du bois, préférant ignorer cette sinistre présence qu’ils ne pouvaient pas voir.

Des lambeaux de tissu d’une longue robe déchirée flottant dans les airs accompagnèrent les mouvements d’une étrange silhouette dans l’ombre des arbres. Le bruissement à peine perceptible du vêtement suffit pourtant à les figer. Ou bien était-ce l’odeur suivant l’apparition ?

La présence invisible dressa les poils sur les bras des enfants et chatouilla leur épine dorsale. C’était la peur. Brutale, incompréhensible, mais bien réelle, elle les tétanisa dans une expression d’horreur en découvrant l’ombre qui s’avançait vers eux.

Puis, un hurlement les sortit soudain de leur torpeur. Inhumain, à l’agonie, un cri venu d’outre-tombe qui les propulsa dans des visions sombres. Une clameur empreinte de douleur, d’affliction et d’épouvante provenant de la créature qui chemina vers eux. Quelques mètres seulement les séparaient de la silhouette fantomatique qui les dominait de sa hauteur. Sans un regard en arrière, les deux frères fuirent.”

À propos d’Anaïs Bonaventure, l’auteure

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Je ne cherche pas à narrer ce que je vois, mais dépeindre ma propre interprétation d’une scène. Relater l’expression d’une émotion et d’une expérience pour transcender la réalité.

Pour Anaïs, l’imagination a toujours été une source intarissable d’excitation et de peur. Très tôt, elle a découvert qu’il s’agissait d’un fantastique moyen pour regarder le monde différemment.

Après le bac, elle a donc entamé des études en école d’art, où elle a pu exploiter son potentiel d’artiste auteure, tout en apprenant des techniques d’animation et de narration. Sa passion pour les histoires l’a menée dans l’exploration de divers supports et médias pour enrichir sa vision : découvrir les multiples mécanismes pour raconter une histoire !

Depuis 2014, Anaïs travaille comme infographiste dans les effets spéciaux au cinéma tout en réalisant des clips musicaux en parallèle. En 2020, elle a publié son premier roman “les lettres de l’ombre” et en 2022, elle a organisé sa première exposition de peinture.

Ainsi, évoluant dans un milieu artistique, le style d’écriture d’Anaïs Bonaventure se veut vivant et visuel. Chaque description nous transporte à l’intérieur d’un tableau.

À travers les mots et les images, je cherche à créer une réalité dans la fiction, comme un voyage initiatique pour pousser les lecteurs et les spectateurs, à s’évader…

Informations pratiques

“Mystère au manoir d’Ahsford” d’Anaïs Bonaventure

  • Sortie : 9 novembre (disponible en prévente à partir du 2 novembre).
  • 210 pages
  • format broché
  • ISBN 9782322459414

Pour en savoir plus

Découvrir le livre : https://anaisbonaventure.com/projets/mystere-au-manoir-dashford/

E-shop : https://boutique.anaisbonaventure.com/

Site web : https://anaisbonaventure.com/

Facebook : https://www.facebook.com/AuteureBonaventure/

Instagram : https://www.instagram.com/anaisbonaventure/

LinkedIn : https://www.linkedin.com/in/ana%C3%AFs-bonaventure-0b9223a6

“Les Jambes de Bois” de Marie Grégond Roinard : un roman autour du handicap qui encourage à prendre soin de soi

Festival après festival, Mélanie ne s’arrête pas. Dans son monde où talons aiguilles et coupes de champagne sont la norme, les invités sont rois et le rythme est effréné. Jusqu’à ce que son corps en décide autrement…

Boum.

Les projecteurs s’éteignent, Mélanie tombe du haut de ses talons. Elle est atteinte d’une maladie orpheline : le syndrome Ehlers Danlos. Désormais, elle doit apprendre à vivre avec et à dépasser ses préjugés.

Une renaissance.

À l’hôpital, elle rencontre la joyeuse bande des Jambes de bois. Tous ensemble, ils décident de se lancer dans le tournage d’un film.

Cette aventure loufoque va leur réserver bien des surprises…

“Les jambes de bois” est un roman atypique, une bulle de positivité qui invite à voir le monde autrement.

Marie Grégond Roinard adresse ainsi un formidable message d’espoir pour tous ceux et celles qui traversent une période de fragilité.

Couverture

Un récit sincère et drôle

“Les Jambes de Bois” est un roman feel-good avec des personnages attachants et courageux.

Et à travers les aventures de cette bande d’amis, c’est toute la vie à l’hôpital qui est montrée avec humour et fantaisie. Avec de vraies trouvailles, comme ce projet déjanté de film racontant l’histoire d’amour entre deux personnes âgées, une population généralement oubliée des romances.

Le récit sincère et drôle de la narratrice, qui met en lumière le handicap invisible dont elle est atteinte, est aussi un encouragement à prendre soin de soi, notamment en se posant des limites dans sa vie personnelle et professionnelle.

Extrait

« Bien, madame, nous savons ce que vous avez. »

Je suis suspendue à leurs lèvres.

« Vous êtes atteinte du syndrome d’Ehlers-Danlos de type hypermobile. Nous avons mis du temps à le diagnostiquer, car c’est un syndrome assez complexe et il a fallu que nous allions faire des recherches dans les archives des hôpitaux où vous avez déjà été reçue. Tout concorde. C’est une maladie génétique des tissus conjonctifs. Cela touche le collagène. Il y a tout un groupe de symptômes qui sont exactement ceux que vous avez. Les douleurs, la fatigue, les problèmes digestifs, ces malaises que vous faites accompagnés de divers symptômes… Tout concorde.

— Mais… Je ne comprends pas bien… Je vais pouvoir reprendre la danse et le karaté ?

— Euh non… Vous allez finir par vous faire vraiment mal. C’est d’ailleurs déjà un peu le cas, d’après ce que vous m’avez dit tout à l’heure, avec vos multiples entorses. Je vais vous donner des papiers à lire. Vous comprendrez mieux. Je vais aussi vous donner des ordonnances. Il faut que vous portiez des vêtements compressifs pour tenir vos articulations, que vous preniez certains médicaments. Et il va falloir que vous repensiez votre mode de vie…

— Comment cela repenser mon mode de vie ?

— Il faut que vous continuiez à travailler, c’est important. Mais peut-être moins intensivement. Il faut vous ménager des temps de repos, du vrai repos. Pas juste une sieste le dimanche. Si vous ne faites pas cela, vous referez des crises, encore et encore…

— Mais je ne sais pas faire ça…

— Vous y arriverez. Tous mes patients y arrivent… Je vais aussi vous faire un papier de reconnaissance de handicap. Car c’est un handicap. Et vous allez suivre des soins à l’hôpital chaque semaine. »

Je reste muette. Je ne sais pas quoi répondre. Je pensais que tout le monde était comme moi à avoir des douleurs de partout tout le temps, des coups de trop-plein…

« Pouvons-nous l’annoncer à vos proches ?

— Oui… »

Bref, dans une attitude très solennelle, le professeur annonce à mes parents et à mon chéri que j’ai un handicap.

Rien que d’entendre ce mot, cela me laisse dans l’incompréhension totale… Avant de partir, il me fait des injections dans les points douloureux de mon corps. Vingt-six au total. Je pleure… Non pas à cause de l’aiguille, mais parce que d’un coup, en une seule fois, je n’ai plus mal. J’avais oublié ce qu’est de ne plus avoir mal.

« L’effet durera entre une et deux semaines, mais c’est déjà ça. »

Portrait de l’autrice

Photo Marie Grégond

Marie Grégond Roinard a travaillé dans la Culture et les Nouvelles Technologies.

Avec ce premier roman, elle prouve qu’avec de bons amis, de la passion et un grain de folie, tout est possible.

À propos de Blacklephant Editions

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Dans un monde ultra-connecté et plongé dans l’instantanéité, Blacklephant Éditions invite à faire un pas de côté, à oser la prise de recul offerte par l’écriture.

Elle publie des romans, des témoignages, de beaux livres et de la bande dessinée. Autant d’ouvrages qui ont tous un point commun : ils sont écrits par des auteurs talentueux, libres et engagés, qui mettent en lumière la richesse de la diversité, l’inclusion, la protection de la vie, l’imagination, la connaissance, la résilience, la soif de découverte et l’ouverture au monde.

Toute l’équipe, guidée par son intuition, aime faire découvrir à ses lecteurs de véritables coups de cœur. C’est d’ailleurs pour cela qu’elle a choisi l’éléphant comme animal totem ! Il symbolise la loyauté, l’empathie et la camaraderie qu’elle veut incarner au quotidien auprès de tous ses interlocuteurs.

Blacklephant Éditions est située à Auray, en Bretagne Sud. Elle est une marque de Goodman et Compagnie, un studio de production audiovisuelle qui place l’humain au centre du jeu.

Informations Pratiques

“Les Jambes de Bois” de Marie Grégond Roinard

  • Sortie : 6 octobre 2022
  • Éditeur : Blacklephant Éditions
  • EAN : 9782493043122
  • ISBN : 249304312X
  • Nombre de pages : 168
  • Prix : 15,90 €

Pour en savoir plus

Découvrir le livre : https://livre.fnac.com/a17166497/Marie-Gregond-Roinard-Les-Jambes-de-bois

Site web : https://blacklephant.com/

Facebook : https://www.facebook.com/Blacklephant.editions/

Instagram : https://www.instagram.com/blacklephant.editions/

LinkedIn : https://www.linkedin.com/company/blacklephant/

“Le cendrier. Dans la vie, tout s’explique !” de Mélodie Marine : un roman sur les violences faites aux femmes et leur courage exemplaire dans notre société

« Un dimanche matin, après une longue et sombre nuit hivernale, un corps inerte remonta à la surface. Le matelas enveloppant sur lequel gisait cette masse charnelle, entravée par les draps et les couvertures soyeuses et chaudes, ajoutaient à la difficulté de l’extraction. Son visage était dissimulé dans le moelleux de l’oreiller. Les tissus étaient blancs, brodés de fleurs colorées sur les extrémités et les étoffes laineuses arboraient des teintes crème. La peau de l’être humain sans vie était d’une extrême pâleur, presque laiteuse. Ses longs cheveux d’un blond naturel, brillaient délicatement. Une certaine harmonie des tons, aux abords rassurants, régnait. Pourtant un immense fracas, « PAN », fit retourner le corps. »

Doit-on résoudre tous les mystères qu’ils soient historiques, criminels, mécaniques, familiaux, scientifiques ? La vérité est-elle toujours à portée de main ? Jade pense que tout s’explique dans la vie jusqu’au jour où…

Dans Le cendrier. Dans la vie, tout s’explique !, son second roman publié aux éditions Mélodie D’Ô, Mélodie Marine aborde la notion de vérité. Que les faits soient historiques, criminels, mécaniques, sociétaux ou encore comportementaux, comment les auteurs en sont-ils arrivés là ? Au travers d’anecdotes, l’autrice dénoue certains mystères de la vie, jusqu’à se heurter à ce crime étrange… Pourquoi la ou le coupable aurait-il agi ainsi ? Plus largement, ce récit traite, tout en subtilité, de la maitrise de nos vies face aux évènements.

L’autrice ose évoquer avec un réalisme surprenant les violences faites aux femmes. Elle décrit, avec justesse, certains dysfonctionnements de la justice. Elle interpelle sur une situation qui doit évoluer, dans le respect du droit de notre démocratie ou de l’intérêt des concitoyens.

Mélodie Marine a gardé de son premier roman, cette plume légère et drôle, malgré les sujets brulants qu’elle exploite.

 La gent féminine connait souvent dans ses extrêmes les joies et les peines.

Mélodie Marine

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Synopsis

Jade vit joyeusement entourée de ses trois chats et fort occupée par une profession créative. Cette jeune femme rencontre quelques difficultés de voisinage. De détails en incivilités de plus en plus désagréables, son corps est un jour retrouvé sans vie.

Y a-t-il un lien ? Cette femme venait de rencontrer un grand Amour lors d’un de ses derniers déplacements. Un professeur qui lui offrit bien malgré lui, un très beau cadeau !

Un regard atypique sur la vie des femmes dans nos sociétés actuelles

Jade, le personnage principal, est très entourée au sein d’une vie professionnelle alternant entre calme et tumulte.

Pourtant, elle porte l’étiquette de la femme célibataire. Auprès d’un certain nombre de concitoyens, il s’agit d’une marque de faiblesses, de railleries, qui ouvrent la porte à de nombreux abus, stéréotypes, manques de considération et de légitimité dans la société.

Je veux tordre le cou à cette image des femmes solo, trop souvent décrites comme perdues, empotées, laides… sans l’attachement à un partenaire masculin. La réalité est beaucoup plus joyeuse, mais elle est encore méconnue ou ignorée !

Le passage au poste de police illustre le manque de crédibilité que la société offre aux femmes. Pourtant, ces citoyennes ont des droits au cœur de notre démocratie. Les hommes ont également toute leur place dans ce roman.

Les héros masculins sont respectueux, lumineux, parfois imprévisibles, portant leurs propres blessures, comme tout à chacun. Quant aux personnages néfastes, ils sont présentés avec objectivité et nuances.

L’anecdote du cendrier, pour confronter l’absurde au réalisme de la vie

L’énigme du cendrier, qui a donné son titre au livre, est une des nombreuses histoires intrigantes, et très inattendues de ce roman. L’explication (la vérité) est plus que surprenante.

La violente chute de cet objet anodin permet à Mélodie Marine de s’attaquer à un sujet dont on parle trop peu : la pollution des mégots de cigarette jetés dans nos rues et dans la nature.

Savez-vous, par exemple, qu’un seul mégot de cigarette pollue au moins 500 litres d’eau quand il est jeté à même le sol ?

Tout au long de l’ouvrage, des données souvent chiffrées sont annotées en bas de page. Toutes ces informations aident à prendre conscience de l’ampleur de certains fléaux ou étayent les connaissances des sujets abordés.

Les (grands) petits plus du livre

Une exploration des multiples facettes de la réalité : La vérité nous est-elle toujours accessible ?

Chaque protagoniste a une version, une approche des choses. Existerait-il plusieurs vérités ? Les êtres humains ont-ils toujours accès à la vérité, et donc à la maitrise de leur vie ? Ou s’agirait-il plutôt d’une hypothèse hautement probable ? Le roman tente d’y répondre avec beaucoup d’humour dans des situations hétéroclites : justice, histoire, gastronomie, famille, nature, etc.

Des sujets profonds traités de façon accessible et distrayante

Mélodie Marine décrit toujours la société dans laquelle ses protagonistes évoluent, avec une plume joyeuse et drôle. L’autrice veut divertir afin de mieux inviter à la réflexion. Elle met le beau en exergue, tout en évoquant notre époque, avec sa part d’ombre et de lumière.

Livre documenté

Pour permettre aux lecteurs et aux lectrices d’aller plus loin, Mélodie Marine partage des références de livres, d’articles et de textes de loi ainsi que des mises à jour. Retrouvez toutes ces données sur le site internet de l’autrice.
Comme la musique est un des plaisirs de la vie, Mélodie glisse au moins un titre de chanson dans ses romans.

Un roman qui aide à faire bouger les lignes

À sa manière, Mélodie veut contribuer à faire évoluer les regards sur toutes les femmes. Qu’elles soient victimes d’agression, de discrimination, qu’elles mènent leur barque en solo, en duo ou encore d’une façon singulière, chaque femme a le droit d’être respectée.

L’autrice a eu l’idée de mettre en forme cette histoire au printemps 2021 après les trois premières vagues du Covid-19. Ce thème lui tenait à cœur depuis longtemps, sans vraiment savoir comment la présenter à un large public.

L’autrice devait trouver la bonne dynamique pour narrer la violence perpétrée dans les vies heureuses et pleines d’énergie des femmes, un sujet tout en contradiction. Mélodie a su équilibrer son roman entre la noirceur de certains actes et la beauté des relations humaines. L’autrice raconte l’histoire de Jade, une femme lumineuse, qui va vivre le meilleur comme le pire dans un environnement serein au moins en apparence.

Les femmes, le plus souvent constantes en amour, au travail et dans leur devoir, sont souvent les victimes d’aléas de la vie très destructeurs.

Aujourd’hui, Mélodie souhaite que son roman Le cendrier. Dans la vie, tout s’explique ! touche un large public, incluant les représentants de la justice. Son objectif est de sensibiliser à l’intérêt de la prise en considération de la parole des victimes. Toute personne agressée qui se présente pour porter plainte, devrait être soutenue en ce sens, avant même d’être confrontée aux dires ou aux preuves de son agresseur.

Même si les êtres humains sont parfois compliqués et faux, il y a actuellement un réel manque de considération. Il faut entendre ce que les femmes ont à dire à la suite d’une agression ainsi que dans leur désir d’enfant et de liberté professionnelle.

Portrait de Mélodie Marine, l’autrice

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Mélodie est née en Vendée où elle a passé son enfance entre les joies de la mer, la nature à la campagne et une ville préfectorale aux nombreuses commodités. Elle a complété la fin de ses études en Île-de-France avant de s’expatrier à l’étranger.

De retour en France, Mélodie a développé ses compétences dans le domaine de la finance. Une dizaine d’années qu’elle a égayée par de nombreux voyages.

Après des écrits de fin d’études et des manuels professionnels, Mélodie décide de s’exprimer par l’écriture de romans.

Son premier roman, L’Amour, sinon rien ! sous le couvert d’histoires d’Amour, traite de nombreux sujets d’actualité : justice, écologie, violences faites aux femmes, art, gastronomie, entre autres.

Ce second roman, Le cendrier. Dans la vie, tout s’explique !, ne s’éloigne pas de ses thèmes de prédilection.

L’autrice parle des femmes, de leur désir d’Amour et d’enfants. Les nouveaux sujets abordés sont la véracité des choses de la vie présentes ou passées, le traitement des procès entre ceux des particuliers et les procès sociétaux — le procès de la mafia italienne de 1986 – 1987 — , les violences faites aux femmes, l’écologie à travers le tri des déchets, la pollution due aux mégots de cigarette, le cyclisme en Île-de-France…

Sans tabou, Mélodie évoque le beau comme le laid de notre société actuelle avec un pointe d’humour charmante et constante du début à la fin du roman.

À propos de la maison d’édition Mélodie D’Ô

Mélodie D’Ô est une nouvelle maison d’édition créée fin 2019 par Mélodie Marine. Sa ligne éditoriale vise à allier plaisir et connaissance, sans jamais se censurer sur les questionnements et les sujets abordés.

Elle publie ainsi des romans, des livres sur notre société ou des ouvrages professionnels constructifs et ouverts à la pluralité.

Nous voulons faire voyager nos lecteurs.trices dans des environnements variés : lieux, atmosphères, communautés, histoire… Avec une ambition : nourrir leurs savoirs ou leurs questionnements sur le monde passé, présent ou à venir.

La maison d’édition propose ses ouvrages sous différentes formes : les livres papier, les livres imprimés en grands caractères de taille 18, en format ebook et en support audio.

Informations pratiques

Le cendrier. Dans la vie, tout s’explique ! de Mélodie Marine

  • Éditeur : ‎Mélodie D’Ô
  • EAN : 9782491773090 (broché)
  • Format: 15 x 23 cm
  • Nombre de pages : ‎240
  • Prix : 20 €

Pour en savoir plus

Commander le livre : https://www.melodiemarine.net/contact

Site web Mélodie Marine: https://www.melodiemarine.net

Instagram : https://www.instagram.com/melodie.marine2019/

LinkedIn : https://www.linkedin.com/in/mélodie-d-ô-75770922a

Facebook : https://www.facebook.com/Melodiedeau

Rentrée littéraire : “Le goût du vertige” de Stéphane Chaumet, un roman puissant en hommage aux existences dans lesquelles vie et mort se croisent sans cesse

Peut-être que mourir ce n’est pas grand-chose, ce qu’il y a d’inadmissible, c’est la mort de ceux qu’on aime.

Une vingtaine d’années après la disparition de son amie, morte à 22 ans d’une maladie rare, le narrateur retrouve par hasard une autre femme qu’il a connue à cette époque, une violoniste avec laquelle il a vécu une étrange et brutale passion.

Resurgissent ces deux histoires séparées, mais intimement liées dans sa mémoire où se mêlent la violence du désir et celle du deuil.

Dans “Le goût du vertige”, son nouveau roman publié aux Éditions des Lacs, l’écrivain, poète et traducteur français Stéphane Chaumet, atteint l’équilibre parfait entre pulsion de vie et pulsion de mort. 

L’écriture devient le support d’un flot de pensées jaillissant. On est saisi à la lecture par son arythmie : les phrases courtes et longues se succèdent, les époques et les lieux changent pour signifier ce cœur qui bat de façon irrégulière, de façon douloureuse… Mais qui bat toujours.

Et puis il y a les personnages, tous confrontés à la mort d’une manière différente :

  • Isa qui souhaite vivre mais meurt ;
  • Isolde qui cherche à disparaître sans y parvenir
  • et le narrateur entre ces deux femmes qui sont pour lui les faces d’une même pièce.

À paraître le 25 août.

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Extrait

« Ne pas rater sa mort. » C’est quoi ne pas rater sa mort ?

Ma réponse : S’il n’y a rien après la mort, on ne peut pas faire l’expérience de la mort, de ce rien, puisqu’une fois mort on ne sait rien, on ne sent plus rien. On ne peut faire que l’expérience de mourir. C’est cette expérience que je ne voudrais pas “rater”, c’est-à-dire en avoir conscience. Mourir dans le sommeil, si je ne le sens pas, ne pas se réveiller, mourir comme on dit de « sa belle mort », voilà ce qui pour moi serait “rater sa mort”.

La sienne : Et si tu sentais l’ombre de la mort planer au-dessus de toi, pire, si tu sentais l’ombre de la mort s’étendre en toi, est-ce que tu penserais à la mort de la même façon ?

Et la mienne : Je ne sais pas. Sans doute que non. Et encore moins si elle venait, à contretemps et scandaleusement, usurper sa place. Et je joignais un fragment du poème de Rilke où il souhaite à chacun « sa propre mort ».

Isa m’avait répondu avec un poème de Desnos (Comme une main à l’instant de la mort et du naufrage se dresse), accompagné d’un dessin naïf et drôle où elle se caricaturait en dansant avec un squelette et moi faisant la lecture au chevet d’un lit vide, un chat assis sur la table de nuit comme à la place d’une lampe nous observait avec ironie.

Le poème de Desnos se termine par ces vers :

Tu pleureras sur mon tombeau,
Ou moi sur le tien.
Il ne sera pas trop tard.
Je mentirai. Je dirai que tu fus ma maîtresse.
Et puis vraiment c’est tellement inutile,
Toi et moi, nous mourrons bientôt.

Stéphane Chaumet : écrivain, poète et traducteur français

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Stéphane Chaumet (Dunkerque, 1971) a passé de longs séjours dans différents pays d’Europe, d’Amérique latine, au Moyen-Orient, en Asie et aux États-Unis avant de s’installer à Bogotá (Colombie).

Il a publié, entre autres :

ÉDITIONS DU SEUIL, Collection Cadre rouge

  • Même pour ne pas vaincre, roman, 2011
  • Au bonheur des voiles (chroniques syriennes), récit, 2013
  • Les Marionnettes, roman, 2015

ÉDITIONS AL MANAR

  • Les cimetières engloutis, poésie, 2013
  • Fentes, poésie, 2015
  • Le hasard et la perte, poésie, 2019

ÉDITIONS DERNIER TÉLÉGRAMME

  • Insomnia, poésie, 2018
  • Cellules, poésie, 2020

ÉDITIONS L’OREILLE DU LOUP

  • Urbaines miniatures, poésie, 2007
  • Dans la nudité du temps, poésie, 2007

ÉDITIONS LEGS

  • L’île impasse, récit, 2019

À propos de la maison Éditions des Lacs

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Notre marque de fabrique ? Oser des choix audacieux en publiant aussi d’”extraordinaires histoires de gens ordinaires” traitant de sujets tels que la transidentité, les troubles du comportement alimentaire, l’addiction sexuelle féminine ou encore la gestion du deuil.

En février 2020, les Éditions des lacs ont publié leur premier livre et, depuis, leur catalogue s’est considérablement enrichi d’auteurs francophones et italiens. Aujourd’hui et malgré la crise sanitaire qui aurait pu compromettre son lancement, la jeune maison d’édition est toujours là et s’apprête à vivre une nouvelle rentrée littéraire.

En publiant “Le goût du vertige” de Stéphane Chaumet, elle démontre sa capacité à porter un auteur d’une plus grande maison. Morgane, la Présidente, a été immédiatement séduite par ce texte.

Après un long entretien avec Stéphane, afin de s’assurer d’avoir bien compris et ressenti son livre, Morgane a décidé de le sortir à l’occasion de ce temps fort de la vie littéraire française.

Portrait de Morgane, la Présidente

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Morgane, 30 ans, était dans une autre vie gérante d’un cabinet d’assurance spécialisé en risques industriels et risques de la construction.

Un métier qui lui imposait de se contorsionner pour rentrer dans des cases de plus en plus petites. Alors un jour, elle a décidé de changer de voie pour créer sa propre case…

Elle a tout redémarré de zéro dans un domaine qui n’était pas le sien, quitte à tout faire et à tout apprendre.

Avec une ambition : lancer une maison d’édition qui soit le juste reflet d’histoires de vie. C’est d’ailleurs pour cela qu’elle l’a appelé Les Éditions des Lacs : la surface de l’eau est un miroir…

Informations Pratiques

“Le goût du vertige” de Stéphane Chaumet

  • Éditions des Lacs
  • Collection Méandres
  • Sortie : 25/08/2022
  • Roman
  • Format : 15 x 21 cm
  • ISBN : 9782491404239
  • 170 pages
  • Prix : 17,90 €

Pour en savoir plus

Découvrir le livre : https://www.editionsdeslacs.com/legoutduvertige.html

Un aperçu des précédents livres publiés : https://www.relations-publiques.pro/wp-content/uploads/pros/20220713080347-p3-document-uqvg.pdf

Site web : https://www.editionsdeslacs.com/

Facebook : https://www.facebook.com/editionsdeslacs

Instagram : https://www.instagram.com/editionsdeslacs/

LinkedIn : https://www.linkedin.com/company/editions-des-lacs

Après Le Chœur singulier de Milly Davis de S. A. Yarmond, qui s’est vendu à plus de 1 000 exemplaires, les Éditions Hurlevent préparent la sortie d’un nouveau roman, La Duchesse de Buckingham de Shannen Malka, historienne de l’art au service de la romance historique

Vous êtes cordialement invité au bal annuel de Sa Majesté la reine Victoria.

Après six mois d’existence, les Éditions Hurlevent s’apprêtent à sortir leur second ouvrage, La Duchesse de Buckingham de Shannen Malka, une romance sur fond de complots et de secrets de cour au temps du règne de Victoria.

À paraître le 12 octobre 2022.

La Duchesse de Buckingham de Shannen Malka, photo non contractuelle

La Duchesse de Buckingham de Shannen Malka, photo non contractuelle

 

Résumé

Angleterre, 1841. Elena Quincy, fille du comte de Winchester, mène une existence paisible au cœur de la campagne anglaise, dans un écrin de verdure qu’elle se plaît à parcourir à cheval, au détriment de ses leçons d’étiquette dont elle se passerait volontiers. Mais le calme de son quotidien est brisé lorsqu’elle assiste dans la ville de Southampton à une scène d’une rare violence entre un maître d’œuvre et son employé, un enfant d’à peine dix ans.

Cet événement bouleverse Elena qui ne parviendra pas à retrouver la sérénité avant d’en avoir apporté un peu à ces enfants. Une décision qui la mène, bien malgré elle, dans l’entourage de la reine Victoria.

À Buckingham Palace, Elena découvre un milieu qu’elle ne connaît pas et est emportée dans le tourbillon de complots et de mondanités qu’est la cour. Et alors qu’elle se fait quelques alliés et que la passion amoureuse s’invite, des figures menaçantes commencent à se dessiner, avides de la plonger dans le déshonneur, tandis qu’au-delà des grilles majestueuses du palais, le peuple gronde.

Le Chœur singulier de Milly Davis de S. A. Yarmond

Le Chœur singulier de Milly Davis de S. A. Yarmond, photo non contractuelle

Le Chœur singulier de Milly Davis de S. A. Yarmond, photo non contractuelle

Résumé

Milly Davis est une écrivaine à la confiance fragile. Si le premier tome de sa saga historique, Les espérances des femmes Templeton, s’est retrouvé sur les étals de toutes les plus grandes librairies du monde, son syndrome de l’imposteur a refait surface à l’apparition de critiques dénonçant des anachronismes.

Encouragée par Lyrah, avec qui elle entretient une amitié épistolaire depuis des années, Milly décide de braver troubles anxieux et timidité maladive en retrouvant les bancs de la fac d’histoire. Sous l’impulsion de son entourage et pour le bien de sa saga, elle sollicite l’aide d’Alphard Burton, professeur d’archivistique, qui accepte de lui prêter main-forte dans ses recherches.

Fouilles dans les rayonnages poussiéreux d’une librairie mystérieuse et discussions passionnées autour d’une tasse de thé bouleversent alors son quotidien habituellement casanier, et à mesure que l’histoire d’Isadorah Templeton s’écrit, celle de Milly se tisse également.

Entre les réunions du club d’activistes véganes de sa grand-mère, la fantasque Maggie, les rendez-vous studieux avec son professeur et l’écriture de son second roman, le train de vie de Milly s’intensifie, tant et si bien qu’elle peine à voir les évidences qui se dressent sur son chemin.

Des plaines écossaises battues par le vent aux allées sombres d’une librairie clandestine, Milly partira en quête de deux destins, celui de l’héroïne de son roman et le sien.

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S. A. Yarmond, l’autrice du roman Le Chœur singulier de Milly Davis

Les Éditions Hurlevent : les mots qui nous relient

Les Éditions Hurlevent sont une maison d’édition propulsée par trois jeunes femmes extérieures à cet univers mais passionnées de lecture. Connues dans la sphère littéraire Instagram et YouTube (pour Sarah), elles comptabilisent à elles trois environ 60 000 abonnés.

Elle se démarque par des partis pris forts et assumés :

Ne publier que des livres reliés

Sarah, Alexia et Marion ont envie de renouer avec un héritage littéraire oublié en remettant au goût du jour ces ouvrages d’une grande élégance aux dos travaillés, aux couvertures raffinées, à la manière des classiques que l’on peut trouver dans les bibliothèques de nos grands-parents.

Aujourd’hui, le livre est hissé au rang d’objet d’art, il est photographié, mis en valeur. Elles tiennent à mettre autant l’accent sur le contenu que sur le contenant.

Une esthétique et une ligne graphique soignées

Au-delà de quelque chose de visuellement joli, les Éditions Hurlevent tiennent à véhiculer des valeurs, des aspects qui leur sont chers. À savoir quelque chose de traditionnel, d’authentique, de nostalgique, confinant à la mélancolie et à la poésie.

Nous souhaitons que d’un coup d’œil, un lecteur/une lectrice ou un auteur/une autrice sache plus ou moins ce que l’on publie.

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Une ligne éditoriale qui privilégie l’ambiance d’un livre plutôt que son genre

Les Éditions Hurlevent ne se cantonnent pas à un genre en particulier, pour ne pas se sectariser et donner leur chance à davantage d’écrivains et écrivaines.

Certains types d’ouvrages sont toutefois exclus : la dystopie, la SF, le théâtre, les beaux-livres (livres d’art, de cinéma, etc.), la littérature jeunesse, la littérature érotique, les livres de développement personnel et les BD & mangas.

Une mise en page aérée

Lectrices avant tout, Sarah, Alexia et Marion cherchent à optimiser le confort de lecture. Cela passe par des marges plus larges, un interlignage suffisamment espacé, un livre qui se maintient ouvert pendant la lecture.

L’humain au centre de tout

Même si, dans un futur plus ou moins proche, l’équipe s’agrandit, les Éditions Hurlevent mettront toujours un point d’honneur à se tenir à la disposition des auteurs & autrices avec qui elles travaillent. Elles tiennent à les assister du début à la fin de leur aventure éditoriale, à écouter leurs aspirations et leurs envies au sujet de leur manuscrit. Avec, toujours, la volonté de développer et de conserver cette relation de confiance.

À propos des fondatrices

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De gauche à droite : Alexia VANDEVELDE, Sarah ABEL, Marion JUIN-SEMET

Sarah Abel – Directrice et fondatrice

Avocate de formation, elle a décidé de laisser de côté la robe noire pour se lancer dans le rêve d’une vie : créer sa propre maison d’édition. À 26 ans, Sarah cumule les casquettes : elle est cheffe d’entreprise, éditrice, youtubeuse, instagrammeuse, mais aussi autrice de deux romans, Amour, gluten et sororité paru en 2020, et Le Chœur singulier de Milly Davis, dont la sortie officielle est le 6 juillet 2022 aux Éditions Hurlevent.

Alexia Vandevelde - Graphiste et community manager 

Après des études de tourisme, elle a décidé de se réorienter en réalisant une formation de graphiste pour donner libre cours à sa créativité et son talent, et a créé son autoentreprise. Actuellement hôtesse de billetterie pour une grande entreprise, elle espère bientôt pouvoir travailler à temps plein pour la maison d’édition.

Marion Juin-Semet – Correctrice et rédactrice web

Marion a toujours baigné dans le monde des mots. Après avoir dédié ses études à la littérature, du bac au master, c’est tout naturellement qu’elle s’est dirigée vers la correction orthographique et a proposé ses services par le biais de son autoentreprise.

La genèse de cette belle aventure

Sarah mûrit le rêve de créer sa maison d’édition depuis l’adolescence. Elle avait tout en tête : le nom, l’esthétique, l’envie de ne publier que des livres reliés. Il ne manquait pas grand-chose pour concrétiser cette aspiration.

C’est en 2021, à la suite d’une énième désillusion dans le monde de l’avocature, qu’elle a décidé de se lancer. Elle a contacté Alexia et Marion – avec qui elle avait déjà travaillé pour son premier roman – et leur a exposé son projet qu’elles ont tout de suite approuvé.

Elles se sont alors associées et les Éditions Hurlevent ont vu le jour en mars 2022 à Dijon.

Aujourd’hui, tout en restant réalistes et conscientes du chemin qu’il reste à parcourir, elles souhaitent atteindre la dizaine de parutions par année civile. Pour cela, elles vont solliciter un financement bancaire afin de dynamiser leur calendrier éditorial.

Nous espérons pouvoir prochainement en vivre à temps plein et, pourquoi pas, agrandir l’équipe, développer de nouvelles collections, et contracter avec un diffuseur et un distributeur.

Informations pratiques

Le Chœur singulier de Milly Davis de S. A. Yarmond

  • Sortie : 06/07/2022
  • Les Éditions Hurlevent
  • Roman contemporain
  • Format : relié
  • ISBN : 978-2-494109-00-1
  • EAN : 978249109001
  • Dimensions : 21,7 x 15,6 x 5,7 cm
  • Nombre de pages : 750
  • Prix : 25 €

La Duchesse de Buckingham de Shannen Malka

  • Sortie : 12/10/2022
  • Les Éditions Hurlevent
  • Roman historique
  • Format : relié
  • ISBN : 978-2-494109-01-8
  • EAN : 9782494109018
  • Dimensions : à venir
  • Nombre de pages : 472
  • Prix : 25 €

Pour en savoir plus

Découvrir Le Chœur singulier de Milly Davis de S. A. Yarmond  (à commander en ligne ou en librairie) : https://editionshurlevent.wixsite.com/editions-hurlevent/catalogue

Dossier de presse : https://www.relations-publiques.pro/wp-content/uploads/pros/20220621161446-p3-document-afbk.pdf

Site web : https://editionshurlevent.wixsite.com/editions-hurlevent

Instagram : https://www.instagram.com/editionshurlevent/

Facebook : https://www.facebook.com/maisonhurlevent

LinkedIn : https://www.linkedin.com/company/%C3%A9ditions-hurlevent/

“Nos vies entre les morts” de Yuzu Murikawa : un roman qui plonge les lecteurs dans le Japon d’aujourd’hui où règne l’individualisme, la solitude… et la quête de sens

Dans moins de cinq heures, j’ouvrirai la porte sur plusieurs décennies d’existence, des objets de toutes sortes avec chacun une histoire que plus personne n’est là pour raconter…

Elle s’occupe des morts oubliés.

À Tokyo, Noriko, 31 ans, travaille pour une entreprise spécialisée dans la remise en état des habitations des kodokushi, ces “morts solitaires” parfois découverts des semaines après leur décès. C’est elle qui décide du devenir de leurs effets personnels, une mission dont elle essaye de s’acquitter le plus humainement possible.

Mais peut-on toujours tenir la mort à distance ?

Contrairement à son trio de collègues plus jeunes et insouciants, Noriko lutte pour ne pas se laisser hanter par les derniers instants des disparus. Sa solitude, autrefois désirée, lui apparaît de plus en plus comme un enfermement.

Elle entame alors une liaison qu’elle espère sans implication, pour tenir ses émotions à distance. Jusqu’à ce que le réel, tumultueux et intransigeant, la rattrape.

Écrit entre deux pays et deux cultures par Yuzu Morikawa, Nos vies entre les morts dépeint l’intimité de jeunes citadins d’aujourd’hui, confrontés à l’individualisme et mûs par leur désir d’une existence qui fait sens.

Pour autant, « une force de vie » se dégage du livre, « très beau » et d’une « grande qualité littéraire ».

Ouest-France

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Plus qu’un roman, un tableau humaniste d’un Japon que l’on raconte peu

Loin des images d’Épinal que nous avons parfois sur le Japon, Yuzu Morikawa aborde une thématique sociale profonde et sensible, encore peu connue : celle de la solitude des grandes villes et d’un monde vieillissant, loin d’une modernité prospère.

Une situation d’autant plus d’actualité que, depuis la pandémie de Covid-19, le pays du soleil levant a dû se doter d’un ministère de la Solitude pour lutter contre la vague de suicides frappant son pays (source).

Surfant sur la tendance actuelle d’un attrait du grand public et des mass medias pour le Japon, l’auteure nous amène aussi à nous interroger sur un phénomène qui effleure aussi parfois l’Occident : les kodokushi, ces personnes décédées chez elles sans que l’on s’en aperçoive. Comme ce Breton de 80 ans, dont le décès n’a été constaté que 4 mois plus tard (source), cette Italienne momifiée chez elle (source) ou ce Nivernais de 35 ans retrouvé trois semaines après son décès (source).

La mort, taboue et tenue depuis des décennies à distances de nos existences, fait son retour dans nos sociétés. Au fil des pages, les lecteurs découvrent comment le Japon l’appréhende, entre embarras et respect.

Yuzu Morikawa pose un regard sans compromis mais non dénué d’optimisme sur nos sociétés individualistes. Elle montre ainsi comment la jeunesse, entre désillusion et débrouillardise, se réinvente en permanence.

Par la voix de sa narratrice, elle livre aussi un récit sensuel et intimiste, avec une vision de la sexualité crue et émouvante, sans vulgarité ni lourdeur. Son univers singulier, riche en personnages inattendus, nous embarque aussi au cœur d’une histoire d’amour où rien n’est jamais joué…

Sommaire

  • Cleaning
  • Silences
  • Les mouches
  • Ce qu’on veut bien montrer
  • Uniques
  • « Le rêve s’épanouit dans la nuit »
  • Bourgeons
  • Clair-obscur
  • Traces
  • La femme qui a eu froid aux pieds toute sa vie
  • Sous les néons
  • House Keeping
  • Chair vibrante et palpitante
  • L’oubli
  • Ce qu’on cache
  • Ce qui se répare… ou pas
  • Ce qui manque
  • Seiji
  • Noriko
  • Flocons d’été
  • Ce qui reste
  • Playlist

Extrait

“Le nettoyage ou cleaning, comme on l’appelle dans le jargon officiel chez HeavenlyWays – comme si l’usage de l’anglais aseptisait l’opération pour la rendre plus présentable –, de la maison de M. Tatsumi aura duré trois jours complets.

Dès que HeavenlyWays reçoit un appel pour la prise en charge d’un logement de kodokushi, Koike, Aoyama et moi empruntons la camionnette, ou je les rejoins sur place, le patron faisant rarement le déplacement. Il arrive qu’on croise les services sociaux ou la police quand ils s’éternisent, mais c’est rare. Le corps, lui, n’est déjà plus là. En combinaison protectrice, avec masque et gants, je commence par prendre des photos, lesquelles font office d’état des lieux. Puis Koike et Aoyama repèrent les choses à jeter en priorité – denrées périssables, plantes mortes, animaux morts, ce qui arrive parfois… – pendant que j’observe l’ensemble pour évaluer la quantité de travail que nous allons devoir effectuer.

Nous découvrons le logement tel que le défunt ou la défunte l’a laissé, et c’est comme si on débarquait au milieu d’un repas ou d’une sieste, avec le sentiment d’interrompre quelque chose. Je ne crois pas aux fantômes, je ne parle pas non plus aux morts. Ils n’ont rien à me dire, on ne s’est jamais rencontrés et ils sont partis. Je me penche au contraire sur ce qu’il reste de vie, je m’attache à la façon dont cette personne pourrait subsister dans le souvenir des vivants. Je traque les marques, les reliefs susceptibles non pas de raconter qui était le défunt, parce que je sais combien résumer une personne à l’endroit où il a vécu ses dernières années peut être réducteur.

Les intérieurs ne sont que la surface d’une fin de parcours. Les piles de vêtements d’un homme ne disent rien de ce qu’il a été enfant, adolescent, adulte, elles ne racontent rien de ses amours, de ses peines ou de ses bonheurs. Ce qu’il reste des disparus n’est jamais que des restes.”

Portrait de Yuzu Morikawa, l’auteure

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Née dans la préfecture de Nara, Yuzu Morikawa vit depuis plusieurs années entre la France et le Japon. Après des études d’Histoire et différents métiers, elle est aujourd’hui traductrice et interprète.

Écrit directement en français, Nos vies entre les morts est son premier roman.

À propos de Blacklephant Editions

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Dans un monde ultra-connecté et plongé dans l’instantanéité, Blacklephant Éditions invite à faire un pas de côté, à oser la prise de recul offerte par l’écriture.

Elle publie des romans, des témoignages, de beaux livres et de la bande dessinée. Autant d’ouvrages qui ont tous un point commun : ils sont écrits par des auteurs talentueux, libres et engagés, qui mettent en lumière la richesse de la diversité, l’inclusion, la protection de la vie, l’imagination, la connaissance, la résilience, la soif de découverte et l’ouverture au monde.

Toute l’équipe, guidée par son intuition, aime faire découvrir à ses lecteurs de véritables coups de cœur. C’est d’ailleurs pour cela qu’elle a choisi l’éléphant comme animal totem ! Il symbolise la loyauté, l’empathie et la camaraderie qu’elle veut incarner au quotidien auprès de tous ses interlocuteurs.

Blacklephant Éditions est située à Auray, en Bretagne Sud. Elle est une marque de Goodman et Compagnie, un studio de production audiovisuelle qui place l’humain au centre du jeu.

Informations Pratiques

“Nos vies entre les morts” de Yuzu Murikawa

  • Éditeur : Blacklephant
  • Sortie : 5 mai 2022
  • Cible : grand public (d’abord français puis international)
  • Broché :‎ 224 pages
  • ISBN-10 ‏: ‎2493043073
  • ISBN-13 : ‎978-2493043078
  • Dimensions ‏: ‎15 x 1.6 x 21 cm
  • Prix : 15€

Pour en savoir plus

Découvrir le livre : https://blacklephant.com/ouvrage/nos-vies-entre-les-morts/

Site internet : https://blacklephant.com/

Facebook : https://www.facebook.com/Blacklephant.editions/

Instagram : https://www.instagram.com/blacklephant.editions/

LinkedIn : https://www.linkedin.com/company/blacklephant/

“Equation chinoise” de Jean-Luc Buchalet : un roman qui décrit de l’intérieur l’économie et la politique chinoise

Comprendre la Chine d’aujourd’hui

Le roman Équation chinoise, de Jean-Luc Buchalet, est le genre de livre qui donne le sentiment d’avoir appris quelque chose et de mieux comprendre le monde qui nous entoure. 

Cet enseignant, auteur de nombreux ouvrages d’économie, choisit cette fois la fiction pour plonger les lecteurs au cœur de l’actualité. Ils entrent de plain-pied dans l’Histoire chinoise, avec un grand H, grâce à des histoires prenantes.

Jean-Luc Buchalet a pris un malin plaisir à créer des personnages attachants, forts, sensibles, inoubliables… mais aussi d’autres moins fréquentables, violents, pervers, manipulateurs. Chacun peut ainsi s’identifier à leur vécu et comprendre, de façon plus sensible, le devenir de la Chine et celui du monde.

L’intrigue forte tient aussi en haleine jusqu’à la dernière page, comme un véritable thriller.

La force de cette “Équation chinoise” réside également en la connaissance intime que Jean-Luc Buchalet a de ce pays, grâce à sa belle-famille qui vit à Shanghai. Au fil des pages, chacun découvre toutes les couches de cette société complexe, du simple mingong jusqu’aux militaires, en passant par les responsables du PCC à Shanghai, dirigeants d’entreprises, médecins, étudiants, minorités religieuses, responsables des médias…

Une véritable immersion afin de capter l’âme chinoise. En filigrane, une question se pose : Taïwan sera-t-elle la nouvelle Ukraine dans les années à venir ? Et Xi Jinping, le nouveau Vladimir Poutine ?

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Un roman qui traverse le temps et qui permet de cerner les enjeux de demain

“Équation chinoise” donne à voir le passé pour mieux éclairer le présent. Il consacre notamment une partie à l’épopée vietnamienne d’un militaire des forces spéciales françaises, envoyé sur les hauts plateaux de la chaîne annamite pour convertir les tribus montagnardes Hmong à la cause française. Il parle aussi de la reconquête de la colonie de 1945 jusqu’à la chute de Diên Biên Phu en 1954.

Montrer l’influence déterminante des Chinois dans l’histoire, de façon plus accessible grâce au roman, c’est aussi aider à mieux appréhender ce qui se joue autour de nous.

Car la Chine, qui a façonné la région à son image, ne compte pas s’arrêter là avec « ses nouvelles routes de la soie ».

Xi Jinping, le nouvel empereur, a l’intention de prendre le leadership en se substituant aux États-Unis. Il défie l’ordre mondial et l’universalisme de manière répressive. Il est convaincu que son heure a sonné et que l’équilibre des pouvoirs est en train de basculer en sa faveur.

Extrait

“Les appartements des grandes tours sont tous vendus en moins d’un an, à des Hongkongais, à des étrangers d’origine chinoise ou des nouveaux riches des provinces, répondit Brume Matinale, se sentant à nouveau plus à l’aise. Shanghai est la vitrine de la réussite du Parti communiste. La ville attire les populations déshéritées qui proviennent des provinces moins riches et de tous les entrepreneurs à la conquête du monde.

Éric savait que l’injustice était d’autant plus durement ressentie par la population chinoise que la corruption était à la hauteur du dynamisme immobilier.

— Et personne ne réagit ? Pourquoi les gens ne se regroupent-ils pas pour protester ?

— Ce n’est pas si simple, répondit la jeune fille, qui mesura alors à quel point l’étranger ignorait les réalités de son pays.

— Mais pourquoi détruire toutes ces vieilles demeures ?

Brume Matinale hésita avant de répondre : — On appelle cela la réforme. Deng Xiaoping dit : Je traverse la rivière en touchant les pierres. Construire, démolir. Comme s’amuser à ouvrir et fermer une fermeture éclair. »

Cette façon imagée de s’exprimer, sans qu’il en comprenne le sens, amusa Éric. Cette fois, il eut droit à un sourire accompagné d’un regard qui bien vite s’abaissa.

La loi était devenue un pur artifice servant exclusivement l’intérêt des dirigeants chinois. Rares étaient les avocats qui défendaient les droits des délogés, car ils perdaient rapidement leur licence. La capacité pour la société civile et ses avocats aux pieds nus à négocier plus de liberté en s’appuyant sur le droit et la Constitution avait disparu sous le règne de Xi. Les nombreuses arrestations de militants et d’avocats y avaient mis un coup d’arrêt violent. Sous prétexte de faire prévaloir l’utilité publique contre des intérêts privés, les tribunaux déboutaient systématiquement les plaideurs de leurs demandes alors qu’ils ne réclamaient que l’application de la loi.

Les tensions sociales n’avaient pas disparu. Les conflits et manifestations n’étaient plus publiés officiellement.

L’administration était capable d’amortir les chocs grâce à son appareil policier high-tech et à son usage de l’intelligence artificielle dont la Chine était devenue un leader mondial. La société civile survivait malgré une répression sans précédent. Certains de ses membres attendaient que Xi fasse une faute grave, comme par exemple une invasion militaire de Taïwan.”

Portrait de Jean-Luc Buchalet

Fin connaisseur de la Chine, Jean-Luc Buchalet enseigne à la Sorbonne Business School, à l’AgroParisTech et au CNAM.

Il est l’auteur de nombreux livres d’économie dont La Chine, une bombe à retardement, lauréat du prix Turgot du meilleur livre d’économie financière en 2013.

À propos des Éditions Plume Libre

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La jeune maison d’édition Plume Libre, s’intéresse à tous les auteurs qui souhaitent exprimer leurs idées originales, partager leur art et leurs savoirs, dans des textes empreints de poésie quelquefois, de sincérité toujours.

Elle a été fondée par :

  • Sylvie Prat, sage-femme et diplômée universitaire de Généalogie-Histoire familiale ;
  • Marie Prat, voyageuse dans l’âme et citoyenne du monde, consultante internationale depuis 20 ans dans le domaine du numérique & du digital learning, et auteure (ouvrages informatiques chez ENI, roman chez Plume Libre).

Plume Libre est une maison 100 % indépendante qui édite des romans, des récits, des livres de sensibilisation sur des sujets techniques ou pointus, très actuels et qui impactent notre quotidien à tous.

Les thèmes des ouvrages sont très variés et les auteurs édités chez eux ont en commun la même passion pour une philosophie empreinte de libre pensée et de belle écriture.

Informations Pratiques

“Équation chinoise” de Jean-Luc Buchalet

  • Éditeur : Plume Libre ;
  • Pages : 481 ;
  • Format : 21 x 15 cm ;
  • ISBN 978-2-492126-44-4 ;
  • EAN 9782492126444 ;
  • Prix : 22 € .

Pour en savoir plus

Découvrir le livre : https://plumelibre.fr/produit/equation-chinoise/

Site web : https://plumelibre.fr

Facebook : https://www.facebook.com/editionsplumelibre

Instagram : https://www.instagram.com/ed.plumelibre/

“Banana Split” de Sabrina Bakir Rio : Le journal d’une Bridget Jones méditerranéenne !

“Crotte alors, je me demande si je suis alcoolique… Hier soir, pour le dîner, Tom avait préparé une dorade aux petits oignons, tomates, vin blanc et thym (quel était cet abruti d’un show de téléréalité qui demandait à ses codétenus : « C’est quoi du thym ? » – prononcé à l’anglaise team, ce n’est pas une blague), le tout au four. Et qui dit dorade dit vin blanc, donc je suis de nouveau tombée dans la marmite… Entre l’apéro et le repas j’ai dû boire trois ou quatre verres de Chardonnay… Vous pensez que ça fait beaucoup ? 

Je me demande si ce n’est pas ma tendance à toujours voir le verre à moitié vide. Dans la vie, il faut savoir relativiser, si ça se trouve par rapport à, je ne sais pas moi, Gérard Depardieu, je ne suis qu’une buveuse de tisane !”

Consciente du caractère tragique de la vie, Lucia Alvaro, 37 ans, a choisi d’aimer pleinement, de rire beaucoup et de faire de chaque jour de sa vie une surprise-party sans penser au lendemain, jusqu’au jour où son compagnon, Tom, qui rêvait de construire un bonheur durable avec elle, la quitte.

La voilà seule pour élever leur fils Félix et jongler entre son petit boulot et sa vie d’artiste, mais Lucia n’en perd pas son sens de l’humour pour autant : elle va tout faire pour reconquérir le cœur de Tom et réconcilier leurs deux visions de la vie…

Banana Split est un feel-good book et un roman social dans lequel Sabrina Bakir Rio aborde avec espièglerie, en brisant les tabous, la consommation d’alcool chez les jeunes femmes, la parentalité, l’argent dans le couple, les travailleuses précaires, la liberté et la quête de sens de toute une génération.

Léger et pétillant comme une bulle de champagne, ce roman réussit le pari d’être très drôle tout en réservant quelques jolis moments d’émotion.

Entre nous

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Un roman inspiré en partie du vécu de l’auteure

Dans son livre Banana Split, Sabrina Bakir Rio évoque avec humour divers sujets de société, dont la vulnérabilité et la sensibilité.

Si toute une partie est imaginaire, l’autre est directement et librement inspirée de ses journaux intimes.

Comme son héroïne, une Bridget Jones méditerranéenne, Sabrina a connu la fragilité économique lorsqu’elle travaillait dans l’Éducation Nationale. Elle a ainsi connu 7 ans de précarité…

Et toujours, comme Lucia Alvaro, Sabrina a aussi expérimenté la fragilité en devenant maman. “La parentalité ça nous happe, qu’on soit un homme ou une femme, on n’a plus les mêmes priorités”, dit-elle.

Ces expériences permettent aujourd’hui à Sabrina d’aborder des sujets profonds de manière légère, afin de donner le sourire à ses lecteurs à la fin de la journée. D’ailleurs, on imagine très bien “Banana Split” adapté un jour à l’écran (petit ou grand) !

Le moteur de mon écriture, ce sont les injustices. C’est une écriture de résistance. J’ai traversé des épreuves difficiles dans ma vie. Ça m’a transformée. On a tous des talents. Le mien, si c’est d’écrire et de manier les mots, je veux le mettre au service du bien et de faire du bien aux gens.

Sabrina Bakir Rio

Des thématiques d’actualité et un humour anglais qui fait mouche

Maniant l’art de l’autodérision, Sabrina aborde des sujets forts et contemporains qui parlent à tout le monde.

D’ailleurs, les lecteurs sont enthousiastes. Voici un petit aperçu de leurs témoignages :

“(…)Un roman qui nous invite à profiter de la vie et de ceux qui comptent le plus à nos yeux et à savourer les petits bonheurs du quotidien. Un livre qui se savoure comme les bonbons que notre héroïne dévore. Une histoire pétillante qui fait du bien et qui donne le sourire. 130 pages de bonheur et une bonne humeur contagieuse !”

“(…)L’air de rien le roman aborde aussi quelques questions sociétales : les emplois précaires, la famille monoparentale, le couple, être femme et mère, le slow life, qu’attend-t-on de la vie ? On s’identifie facilement à ce personnage et à certaines situations, on se pose aussi des questions sur sa propre vie et ses envies. C’est très plaisant, amusant, on passe un bon moment (…).”

Un roman à croquer sans modération où se mêlent amour, humour, poésie et émotion.

Le Télégramme

Sommaire

  • Cheers !
  • Relax, maman, relax.
  • Get serious get a job
  • Hasta la vista, baby !
  • Just married
  • Future starts slow
  • Water, please

Extrait

“Toutes mes tentatives de détox éthylique ont échoué et je réalise une fois de plus que je ne devrais compter que sur moi-même, Tom m’ayant regardée ce matin avec des yeux ronds en me demandant : « Et même ce soir avec 18 Clara et Yann tu ne vas pas boire ? Même pas à l’apéro ? Ça se fait pas ! Tu veux pas plutôt commencer un lundi ? » Là j’ai compris que pour le soutien moral, je repasserais, et que j’aurais comme compagnons de route les enfants et les alcooliques repentis.

En faisant les courses pour le dîner, j’ai donc acheté du crémant de Bourgogne bio pour mes invités avec un brin de nostalgie, et j’ai foncé au rayon frais faire le plein de smoothies pour Félix et moi. Quels parfums ? Fraise-framboise et mangue-passion, sans alcool la fête est plus folle, non ? Ça me rappellera les boums de mon enfance, après tout, le principal est de passer un bon moment ensemble, il me semble.

Pour accompagner mes nouilles chinoises, j’ai acheté deux bouteilles d’Anjou parce que j’avais lu que ce plat irait bien avec un vin de Loire, j’ai mis les bouteilles dans mon Caddy en me disant que ma nouvelle résolution me rendait altruiste (je pensais d’abord au plaisir que j’allais offrir aux autres plutôt qu’à ma p’tite pomme), puis j’ai choisi des bouteilles d’eau, allez hop, de la San Pellegrino, et j’ai réalisé qu’à partir de maintenant ma vie serait une succession de renoncements.

Comme j’ai une légère tendance à la mélancolie, j’ai essayé de voir, si je puis dire, le verre à moitié plein. En arrêtant l’alcool, j’allais :

Perdre du poids, même si je ne suis pas bien épaisse, ça ne me fera pas de mal, ou en tout cas ça m’évitera d’en prendre.
Pouvoir être capitaine de soirée et éviter à Tom et à mes amis de perdre leur permis et peut-être même la vie.
Gagner en lucidité et en énergie.
Offrir une nouvelle jeunesse à mon foie.
Ne plus avoir la gueule de bois.”

Portrait de Sabrina Bakir Rio, l’auteure

Sabrina

Sabrina Bakir Rio est née à La Garenne-Colombes en 1976.

Elle vit désormais en Bretagne et travaille à la fois en tant que chargée de projets pour le studio de production audiovisuelle Goodman et Compagnie et comme responsable éditoriale de Blacklephant éditions.

Sabrina tient également un blog sur le Huffington Post France, Québec, Maghreb et États-Unis depuis 2015 consacré à l’enfance, à l’éducation et au lifestyle ; des sujets qui la passionnent et lui tiennent à cœur.

À propos de Blacklephant Editions

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Dans un monde ultra-connecté et plongé dans l’instantanéité, Blacklephant Éditions invite à faire un pas de côté, à oser la prise de recul offerte par l’écriture.

Elle publie des romans, des témoignages, de beaux livres et de la bande dessinée. Autant d’ouvrages qui ont tous un point commun : ils sont écrits par des auteurs talentueux, libres et engagés, qui mettent en lumière la richesse de la diversité, l’inclusion, la protection de la vie, l’imagination, la connaissance, la résilience, la soif de découverte et l’ouverture au monde.

Toute l’équipe, guidée par son intuition, aime faire découvrir à ses lecteurs de véritables coups de cœur. C’est d’ailleurs pour cela qu’elle a choisi l’éléphant comme animal totem ! Il symbolise la loyauté, l’empathie et la camaraderie qu’elle veut incarner au quotidien auprès de tous ses interlocuteurs.

Blacklephant Éditions est située à Auray, en Bretagne Sud. Elle est une marque de Goodman et Compagnie, un studio de production audiovisuelle qui place l’humain au centre du jeu.

Informations Pratiques

“Banana Split” de Sabrina Bakir Rio

  • Éditeur : Blacklephant
  • Sortie : 14 octobre 2021
  • EAN : 978-2493043016
  • ISBN : 2493043014
  • Nombre de pages : 165
  • Format : 15 x 21 cm
  • Prix : 12,90 € broché – 8,99€ e-book

Pour en savoir plus

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Découvrir le livre : https://blacklephant.com/ouvrage/banana-split/

Site internet : https://blacklephant.com/

Facebook : https://www.facebook.com/Blacklephant.editions/

Instagram : https://www.instagram.com/blacklephant.editions/

LinkedIn : https://www.linkedin.com/company/blacklephant/

“La Violoncelliste qui inventait des mots croisés érotiques” d’Hélène Élisabeth, une comédie amoureuse qui interroge sur la place des femmes dans la littérature érotique

Pour Héloïse, jeune violoncelliste qui prépare un doctorat, la vie n’a rien d’une partition facile à jouer : quand elle ne se consacre pas à ses études ou à ses répétitions, elle enchaîne les petits boulots pour joindre les deux bouts.

Un jour, un magazine féminin lui propose d’inventer des grilles de mots croisés érotiques. Séduite par la légèreté du contrat, elle accepte. Commence alors une période tumultueuse, entre amis, amours, et recherche de vocabulaire. Parviendra-t-elle à trouver l’harmonie qui manque à sa vie trépidante ?

“La Violoncelliste qui inventait des mots croisés érotiques” est à la fois une comédie amoureuse facétieuse, qui ne manque pas de faire sourire, et une réflexion plus en profondeur sur la littérature érotique. L’autrice Hélène Élisabeth, qui a déjà publié plusieurs romans, s’interroge notamment sur la place occupée par les femmes dans cet univers singulier…

En prime, à la fin du livre, les lecteurs et les lectrices pourront aussi remplir “Le supplément jeux d’Héloïse” !

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Une immersion au cœur de la littérature érotique, avec un humour qui fait mouche

Lorsqu’elle s’est lancée dans l’écriture, Hélène Élisabeth voulait approcher 5 styles différents : Roman historique, policier, jeunesse, contemporain et érotique.

Elle connaissait déjà bien les quatre premières catégories, mais beaucoup moins la dernière !

N’étant pas spécialiste en la matière, elle a décidé de lire les classiques du genre, en partant de l’Antiquité jusqu’à une période récente (Platon, Ovide, Chaucer, Ronsard, Diderot, Apollinaire etc.). Hélène a ainsi retenu une cinquantaine de titres.

Une fois la pile de livres terminée, l’idée de “La Violoncelliste qui inventait des mots croisés érotiques” s’est imposée d’elle-même.

Nous étions tous en confinement, j’avais envie de légèreté mais pas d’un énième livre sur le sujet. J’ai préféré inventer une histoire autour de la littérature érotique avec un personnage qui n’avait rien à voir avec ce thème mais qui était amené à s’y intéresser.

Hélène Élisabeth imagine alors cette histoire de job d’étudiante consistant à inventer le supplément jeux d’un magazine féminin.

Au fil de ses lectures, elle relève alors le vocabulaire et des idées pour son projet. Elle s’est d’ailleurs bien amusée en créant les Jeux d’Héloïse, qu’elle propose à la fin du roman.

Le premier volet d’une saga en 3 tomes

“La Violoncelliste qui inventait des mots croisés érotiques” embarque les lecteurs et les lectrices dans le monde de la littérature érotique mais aussi… des jardins ! Hélène a voulu les évoquer comme un espace naturel de transformation cyclique, un espace où le promeneur peut se perdre physiquement ou en pensées.

Il sera suivi de deux tomes :

Soldats

Tome II – “La violoncelliste qui n’aimait pas sa grand-mère” : ce roman se déroule au Kirghizistan, une ancienne république soviétique d’Asie centrale, peu connue en France. L’un des personnages principaux est d’origine russe. Hélène a voulu parler des conditions dans lesquelles les Russes ont été déportés sous Staline et montrer les difficultés que certains ont rencontrées au moment de l’indépendance. Avec l’hyperinflation, ils ont tout perdu….

Tome III – “La violoncelliste qui voulait voir des girafes” portera sur le Kenya. Tout simplement parce qu’Hélène Élisabeth a envie de faire voyager ses lecteurs et ses lectrices avec elle !

 SAFARI

Un roman captivant et instructif

Hélène Élisabeth aime que ses lecteurs & lectrices apprennent quelque chose, de façon ludique, grâce à ses romans.

“La Violoncelliste qui inventait des mots croisés érotiques” n’est donc pas un énième livre érotique, bien au contraire ! Il s’agit d’une invitation à réfléchir à la place de la femme dans la littérature érotique.

Un sujet dans l’air du temps : les jeunes filles d’aujourd’hui laissent passer moins de choses que leurs aînées, elles sont plus engagées sur l’égalité des sexes. Elles remettent plus en cause les incohérences de notre société vis-à-vis des femmes.

Héloïse, l’héroïne du roman est, dans ce sens, une jeune fille moderne. Bien dans son corps, avec la certitude qu’il lui appartient. Plutôt ronde, elle s’accepte telle qu’elle est. Elle ne se laisse pas marcher sur les pieds et ne tolère pas les remarques misogynes ou machistes de ses collègues étudiants et le fait savoir.

Extrait

“Le nez plongé dans son recueil de poésie, Héloïse ne vit pas Solène arriver.

— Je ne te croise plus beaucoup en ce moment, ça avance ?

— J’ai fini les Contes de Canterbury, j’ai attaqué la poésie. J’avais oublié à quel point la femme était en sucre au XVIe siècle. À part être jolie, éthérée, discrète, modeste, de nature délicate, on n’attend rien d’autre d’elle. On ne loue pratiquement que sa beauté, jamais son intelligence ou son caractère. Depuis l’Antiquité elle doit prendre soin de son apparence, ses cheveux, son parfum, ne pas parler trop fort, savoir sourire, poser sa voix, connaître la musique, la poésie. Une jolie potiche qui ne doit surtout pas montrer qu’elle réfléchit de trop !

Et quand on ne la voit pas comme un objet fragile, elle est décrite comme sournoise ou fourbe. Franchement, pour l’instant, à part dans Lysistrata où les femmes prennent en main la vie de la cité et le Décaméron de Boccace, la femme n’est rien d’autre qu’une cruche ou au mieux une calculatrice.

— Tu abuses un peu, non ? L’amour courtois, le respect, l’honnêteté, c’était la bonne époque. On rêve toutes du prince charmant.

— À quel prix ! Franchement, ça ne t’énerverait pas à la longue qu’on te veuille uniquement pour ton côté pot de fleurs ?

— Aujourd’hui c’est différent.

— Parfois je me le demande. Passons. En attendant j’ai allongé ma liste des mots à utiliser. Si je te dis « vite enlevés, jamais dessus », tu penses à quoi ?

— C’est une définition pour tes mots croisés ?

— Oui. Alors ?

— Tu me prends à froid. Je n’ai pas d’idée. Un manteau ?

— Ce n’est pas très érotique comme réponse.

— …

— Des dessous !

— Pas mal. Une autre ?

— « Stimulant pour appétit charnel ».

— … Aucune idée.

— Satyrion.

— Connais même pas.

— C’est une racine qui serait aphrodisiaque, le bulbe ressemble à un testicule.

— Intéressant. Quoi d’autre ?

— « Il faut parfois les modérer ».

— Ardeurs ?

— Bien joué ! Une dernière ? « Parfois sur le pont ».

— …

— Soupirs. Trop tirée par les cheveux ?

— Il fallait y penser. Tu hibernes un peu trop avec tes lectures. Tu es libre, ce soir ? On pensait aller au resto avec Thomas et Cyril, on ne t’a presque pas vue de la semaine.

Héloïse avait prévu de terminer son recueil de poésie dans la soirée. Au diable la poésie. Elle décida de faire un écart dans son emploi du temps. Les programmes ne sont-ils pas faits pour être modifiés ?”

À propos d’Hélène Élisabeth, autrice et globe-trotteuse

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Hélène Élisabeth est une voyageuse dans l’âme ! Enfant et adolescente, elle a habité en France, en Allemagne et sous les tropiques. Adulte, elle a continué à déménager sur tous les continents.

Après un bac scientifique, elle suit des études de droit et décroche un diplôme de notaire. Elle travaille ensuite dans un office notarial qu’elle quitte pour intégrer le monde de l’entreprise afin de pouvoir continuer à voyager.

Elle part alors de France et devient Consultante pour des organisations internationales, notamment en qualité de traductrice.

Bouger sans cesse est parfois déstabilisant. Perdre ses amis, ses repères, sa sécurité en quelque sorte. Les livres ont toujours constitué un point d’ancrage, un refuge. J’ai donc beaucoup lu enfant et je ne me suis pas arrêtée. Ne pas avoir un ou deux livres d’avance est source d’angoisse ! Le plaisir d’écrire des romans est arrivé assez tard dans ma vie d’adulte.

Son premier roman, Journal d’une jeune fille irlandaise, publié aux Éditions Petra (ISBN 2847430164) a été écrit après un séjour en Australie. Elle y raconte, avec un grand souci de réalisme, les événements tels qu’ils s’étaient passés entre 1845 et 1847. Ainsi, même s’il s’agit d’une fiction, tout aurait pu arriver tel qu’elle le raconte. Les conditions du voyage, par exemple, sont véridiques.

Ce livre a connu un vif succès. Il va être réédité prochainement et vient d’être publié en version numérique (978-2847430165).

Le second roman d’Hélène Élisabeth, Les Évadés de Curie, a été écrit avec mon fils Ewen pendant son hospitalisation à l’institut Curie. C’est un livre jeunesse tourné vers l’évasion et la vie, publié aux Éditions Petra (ISBN 284743061X).

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Son fils Ewen

Hélène Élisabeth anime également des ateliers d’écriture pour des collégiens. (Mwendabaï ou sept nouvelles du Lac Kariba, publié aux Editions Petra en 2009). Elle travaille actuellement avec les élèves de 3ème du Lycée français de Nairobi sur des nouvelles. Le recueil regroupe plusieurs textes, tous écrits à la 1ère personne. L’action de chaque histoire se déroule durant la Première Guerre mondiale, au Kenya, sur le champ de bataille de Taïta Hills (où les Allemands et les Anglais se sont affrontés). Les personnages sont Allemands, Britanniques ou Kenyans.

“La Violoncelliste qui inventait des mots croisés érotiques” est donc son troisième roman.

Pour en savoir plus

Page officielle Facebook : https://www.facebook.com/Helene-Elisabeth-Books-101822975740973

Hélène Élisabeth : https://www.facebook.com/helene.elisabeth.7311

Instagram : https://www.instagram.com/heleneelisabethofficiel

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“Un équilibre incertain” de Marièle Collin : un nouveau roman palpitant basé sur un fait divers survenu dans les Deux-Sèvres

Ulysse est un jeune garçon qui n’a jamais connu son père, celui-ci ayant disparu peu de temps avant sa naissance. Depuis, nul ne sait ce qu’il est devenu. À la suite de l’indiscrétion d’un camarade, l’adolescent découvre que son père a fait de la prison, condamné pour le double meurtre de ses parents.

Pendant de nombreuses années, Ulysse va rejeter sa famille paternelle marquée par les drames et la violence. Ses ancêtres étant d’origine paysanne, il va se tourner vers la mer et ses multiples possibilités d’évasion. Mais le passé le rattrapera et il devra faire face à ce qu’il a si longtemps refusé de voir…

“Un équilibre incertain”, le second roman de Marièle Collin publié sous le pseudonyme de Romane Saint-Jean aux éditions St Honoré, plonge les lecteurs et lectrices dans une histoire captivante, inspirée d’un fait réel. Un livre qui tient en haleine jusqu’à la dernière page !

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Une histoire fictive… née d’un fait divers bien réel

Pour ce nouveau roman, Marièle Collin s’est inspirée d’un ancien fait divers qui s’est passé dans les Deux-Sèvres.

Dans une famille de paysans, des enfants auraient tué leurs parents qui refusaient de leur céder la gestion de la ferme. Lors du décès du père, personne ne les avait soupçonnés mais à la mort de la mère, peu de temps après, les gens avaient commencé à se poser des questions.

L’auteure a entendu parler de cette histoire. Elle n’a jamais connu la fin ni les détails de cette affaire mais cela a stimulé son imagination.

Pour des raisons personnelles, Marièle Collin a longtemps réfléchi aux secrets et non-dits dans les familles et aux conséquences néfastes de ses silences sur les descendants. Elle a alors décidé de relier cette histoire de parricide aux effets délétères de la loi du silence.

Extrait

“Pour l’inciter à travailler, le professeur de maths l’installe à côté d’un certain Jules, bien propre sur lui, bon élève et un peu fayot sur les bords. Il demande à Jules d’avoir la gentillesse de donner un coup de main à son camarade. Jules répond respectueusement « Oui, Monsieur » et se lance dans son rôle de mentor.

Mais au bout de quelque temps, agacé par la mauvaise volonté de son voisin de table, qui n’en perd pas une pour l’envoyer balader ou le traiter de lécheur, Jules lui glisse avec délectation, dans l’oreille, que son père, Jean-Luc, a fait de la prison et qu’il n’est que le fils d’un assassin. Ulysse le regarde, un instant, hagard, comme frappé par la foudre, et puis, d’un seul coup, il lui balance son poing dans la figure.

Jules se met à beugler en se tenant le nez et Ulysse se retrouve chez le proviseur. Ce dernier sermonne Ulysse et lui demande des explications mais il ne rencontre qu’un silence buté, alors il appelle Clarisse. Elle arrive un peu inquiète, ne sachant pas très bien de quoi il s’agit. Perturbée, elle se perd dans les couloirs mais finit par trouver le bureau du chef de l’établissement.

Ulysse est là, assis sur une chaise, l’air à la fois, renfrogné et mal à l’aise. Il balance régulièrement des coups de pied dans son sac de cours. Le proviseur raconte à Clarisse l’incident entre Jules et Ulysse, incident qui s’est terminé par un violent coup de poing. Il justifie ainsi sa décision d’exclure Ulysse trois jours pour son comportement inexcusable. Il ajoute qu’Ulysse refuse de s’expliquer et qu’il n’y a pas moyen de lui tirer un mot.

_ Son camarade affirme qu’il a toujours été poli et gentil avec lui et qu’il ne comprend pas son attitude. Je le connais bien, ce petit Jules, c’est un brave petit, un bon élève. Jamais, il ne raconterait des mensonges. Alors, vous comprenez, Madame, que ce serait bien qu’Ulysse réfléchisse et qu’à son retour, il s’engage à se comporter autrement et à faire des excuses à son camarade. Estimez-vous heureuse que les parents ne portent pas plainte ! Peut-être qu’Ulysse acceptera de vous parler, à vous…

Clarisse ne sait pas quoi dire. Elle prend le bras d’Ulysse et l’entraîne vers la sortie. ”

À propos de l’auteure Marièle Collin

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Pendant longtemps, Marièle Collin a été professeure de Français en collège, dans une petite ville proche de Bordeaux. Elle réside actuellement dans les Deux-Sèvres.

Tout au long de sa carrière, elle a rencontré plusieurs enfants au parcours difficile. Fin 2020, elle a publié le roman “Un enfant insupportable” sous le pseudonyme de Romane Saint-Jean, pour raconter le vécu douloureux de l’un d’entre eux et sensibiliser au sujet des violences psychologiques.

Face au succès rencontré par son premier livre, elle a repris la plume et publié fin 2021 “Un équilibre incertain” en s’inspirant d’une histoire vraie locale.

Marièle travaille désormais à la rédaction de son prochain livre.

Informations Pratiques

“Un équilibre incertain” de Marièle Collin

  • Éditeur : Saint Honore Eds
  • EAN : 978-2407023509
  • ISBN : 2407023501
  • Format : 15 x 22 cm
  • Pages : 220
  • Prix : 18,90€
  • Se procurer le livre :
    • Les professionnels (libraires, distributeurs…) peuvent passer commande via le logiciel Dilicom ;
    • Les particuliers peuvent se le procurer en contactant les éditions Saint-Honoré ou via un magasin/eshop distributeur (Dilicom, Decitre, Amazon, Chapitre.com, Fnac, Cultura, Place des Libraires, Rakuten Kobo, Electre…).

Pour en savoir plus

Blog : https://siunjourjecrivais.over-blog.com/

Facebook : https://www.facebook.com/mariele.collin.3

Harcèlement : “Au-delà des nuages, le soleil brille”, un nouveau roman coup de poing de Cindy Triaire qui invite à l’espoir et à la persévérance

En France et selon les chiffres officiels, 5 à 6% des élèves sont victimes de harcèlement scolaire (source). Les associations évoquent quant à elles, une statistique proche des 10%. Une situation alarmante qui va conduire à l’adoption d’une nouvelle loi instaurant la notion de délit spécifique (source).

Car derrière chaque jeune harcelé, se trame une histoire douloureuse, un traumatisme et parfois même, une vie définitivement brisée.

Dans son troisième roman coup de poing-coup de cœur, « Au-delà des nuages, le soleil brille », la pétillante auteure Cindy Triaire porte sur le devant de la scène le combat de trois adolescents brisés par l’écrasante rengaine du harcèlement.

Une belle et sombre histoire qui appelle au courage, invite à l’espoir et à la persévérance.

Un livre qui offre un second souffle à toutes celles et ceux que la vie a éprouvé

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Après le succès incontestable de ses deux premiers romans aux sujets difficiles, à l’image de la guerre du Rwanda, de la perte d’un enfant ou des conséquences innommables de l’enlèvement, Cindy Triaire a souhaité reprendre la plume pour porter la voix des jeunes gens moqués, qui, victimes de blâmes quotidiens, perdent peu à peu pied.
Une histoire qu’elle a voulu attachante et au plus près de cette douloureuse réalité.

Poignant et inspirant, « Au-delà des nuages, le soleil brille » est destiné à un large public :

  • Aux amoureux des livres qui éprouveront, au fil des pages, de sincères émotions ;
  • Aux victimes d’abus, qui trouveront un écho à leur ressenti et se sentiront soutenus ;
  • Aux parents, soucieux de protéger leurs enfants, qui découvriront la réalité du harcèlement et les signes, subtils, qui doivent les alerter ;
  • À celles et ceux qui, sans s’en rendre compte, endossent le rôle traumatisant de bourreau.

Un roman qui s’appuie sur des histoires vraies

Derrière chaque personnage du livre, chaque situation, il y a une réalité, un vécu dont l’auteure se fait la porte-voix.

Durant ces huit dernières années, elle s’est entendue confier des centaines de témoignages poignants partagés par des personnes fortes et résilientes, bien qu’abimées.

“Page après page, j’ai voulu mettre en lumière des expressions, insultes et actes tristement réels sans pour autant sombrer dans la noirceur”.

Ses touches d’humour, disséminées tout au long de l’ouvrage en témoignent, permettant entre autres, d’offrir au lecteur de belles pistes de réflexion et un grand moment d’évasion.

Une préface signée par Vaimalama Chaves, Miss France 2019

Vaimalama Chaves

Vaimalama Chaves, Miss France 2019, a marqué les esprits par son naturel, son humour et sa sagesse. De plateaux télé en interviews radio, elle nous a confié, tout au long de son règne, un peu de son histoire.

Si elle a connu les moqueries, si lors de son adolescence le surnom blessant de “monstre” a affecté un temps sa vie, elle a refusé malgré tout de se laisser marquer du sceau de la raillerie.

Inspirante et combative, elle est l’auteure de la préface de cet ouvrage et témoigne :

Ce roman est beau, plein de délicatesse et de douceur. Il rappelle que nous avons tous plusieurs batailles à mener.

Extrait

“Avant même de les voir, il reconnut leurs voix, et son cœur cessa de battre. Instantanément, il se sentit nauséeux. Sa peur soudaine fut telle, qu’il crut que ses jambes allaient se dérober. Il jeta un coup d’œil désespéré tout autour de lui afin de trouver une possible échappatoire, mais très vite, il comprit que les lieux ne lui seraient d’aucun secours.

Ses mains se mirent à trembler, son pouls au demeurant calme, à s’affoler. Il suffoqua. Surtout rester digne. Soutenir leur regard. Être fort. Sûr de soi. Il serra les poings, prêt à en découdre. Puis, il les vit, et il sut au fond de lui que tout ça, c’étaient des conneries. Qu’il allait flancher, la fermer et comme toujours, en venir à s’écraser. Les choses en allaient ainsi depuis des années.

- Et les mecs, regardez qui va là ! Une baleine échouée sur un coin de trottoir ! Dites, ce serait pas notre ami Porcy ?

- Ah ben merde alors, ça faisait un bail ! Eh Gras double, où tu vas comme ça ? Tu veux pas dire bonjour ?

Las, il se sentit péniblement déglutir.

- … Laissez-moi passer …

- C’est moi, ou notre pote à bourrelets est en train de se faire dessus ?

- Hey respire Bibendum, on dirait un ballon de baudruche ! Tu vas finir par nous péter à la gueule !

- … Laissez-moi tranquille … s’il vous plaît !

- Ôtez-moi d’un doute les gars ! Est-ce que Bouboule vient de nous demander de couper court à nos charmantes retrouvailles ?

- J’crois bien, ouais ! C’est pas très gentil, pas vrai ? Tiens, Babar, pour toi, cadeau de la maison !

Il n’eut pas le temps de reculer, d’esquiver ou de parer le coup qui s’en vint violemment heurter son épaule. Il perdit l’équilibre, reculant lourdement sous le poids de l’impact.

- Alors, mouche à merde, tu veux vraiment pas causer ? Où sont passées tes bonnes manières ?

L’évidence des questions rhétoriques.

Cette fois-ci, les poings de son oppresseur vinrent successivement se loger dans son ventre, ses flancs, avant d’embrasser douloureusement ses côtes. Il sentit son corps se voûter, ses jambes trembler et sa respiration mourir sous la violence de l’assaut.”

À propos de Cindy Triaire, l’auteure

 

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Issue d’un Master en Sociologie, Cindy Triaire décide de reprendre ses études à l’âge de 27 ans. Elle obtient un Diplôme de Niveau I avec pour spécialisation ‘”Management et Création d’Entreprise”.

Dès l’âge de 28 ans, elle crée ainsi Tremplin Carrière, un cabinet conseil en Stratégie de Réussite implanté dans la région toulousaine, avec pour vocation d’accompagner et promouvoir la réussite tant personnelle que professionnelle. Ses formations, ses ouvrages, ses vidéos et ses accompagnements personnalisés participent activement de ce positionnement stratégique.

GPS du rebond et de l’initiative, Cindy donne envie d’oser, de relativiser, de se renouveler. Elle agit tel un véritable couteau suisse de la motivation. Solaire, percutante, elle insuffle pep’s, audace et enthousiasme à qui la côtoie. Via ses coachings, ses chroniques radio et ses animations micro, la cheffe d’entreprise aux multiples casquettes encourage à l’action et au dépassement de soi.

Voilà huit années que je suis cheffe d’entreprise. J’ai ainsi pu accompagner des centaines de personnes et découvrir leur parcours, leurs souffrances et leurs frustrations. Ces tourments, bien souvent palpables, j’ai éprouvé le besoin de les apaiser.

Elle a ainsi créé une branche encline à favoriser le développement personnel et rédigé deux premiers ouvrages : “Audace, Enthousiasme & Persévérance : Les Clefs de la Réussite” (2016) et “La Nouvelle Vision du succès : Comment décider de sa Réussite ?” (2018), avant d’honorer un rêve de petite fille en donnant vie à deux premiers romans : “Et j’ai donné son nom à une étoile“, préfacé par Philippe CROIZON avant de reprendre la plume et de présenter à ses lecteurs un second livre : “Demain, je déploierai mes ailes“, préfacé par Mélanie REBREGET, jeune femme en lice pour les prochains JO paralympiques.

Aujourd’hui, elle présente un 3e opus : « Au-delà des nuages, le soleil brille », roman préfacé par la charismatique Miss France 2019, Vaimalama Chaves, elle-même victime de harcèlement durant son adolescence.

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L’avis des premiers lecteurs.trices

Colette G.« Je me suis régalée. J’ai passé un après-midi formidable ! Je ne voulais pas lâcher cet ouvrage. C’était parfois triste, mais toujours beau ! Tout se suit, tout s’intègre parfaitement, tout est cohérent. Je n’ai pas voulu poser le livre avant d’arriver à la fin. Bravo ! » 

Fabienne R. : « Je viens d’achever la lecture de votre manuscrit. J’ai été très intéressée par ce roman qui traite avec justesse et originalité du thème du harcèlement et qui offre quelques pistes de réflexion, tant du côté des victimes que des agresseurs. J’ai aimé cette alternance de points de vue. Merci pour vos textes qui apportent réconfort, poussent à la combativité et redonnent espoir à des êtres dans la difficulté. » 

Florence L. : « C’est super chouette ! J’ai adoré ! Les personnages sont touchants, les dialogues incisifs ! Ce roman mérite largement sa place dans une grande maison du livre ». 

Betty G. : « Une Histoire riche en rebondissements. Une farandole de personnages toujours plus attachants les uns que les autres. Une écriture fluide, facile et prenante pour ce troisième roman. Avec ses notes d’optimisme et d’espoir, l’auteure nous tire vers le haut, nous démontre une fois de plus que quelques soient les épreuves, il ne faut jamais baisser les bras. A lire d’une traite. Déjà dans l’attente du quatrième ! » 

CédricS: « Je ressors une troisième fois enthousiasmé de la lecture du nouveau roman de Cindy TRIAIRE. Ses personnages sont à la fois attachants, touchants et plus vrais que nature. Hemingway disait : ‘’Tous les bons livres ont cela en commun, ils sont plus vrais qu’aurait pu l’être la réalité’’, celui-ci est de cette veine. On s’identifie facilement aux personnages, même si l’on a pas vécu les mêmes choses. Ce roman est comme regarder un bon film de Noël au coin du feu avec quelqu’un que l’on aime dans ses bras. De nouvelles félicitations s’imposent donc pour l’auteure de cette magnifique tranche de vie. »

Informations Pratiques

« Au-delà des nuages, le soleil brille » de Cindy Triaire

  • Éditeur : Tremplin Carrière
  • 270 pages
  • ISBN 979-10-96213-04-7
  • Prix : 7.90€ format ebook / 15€ format papier

Pour en savoir plus

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Découvrir le livre : https://www.tremplincarriere.com/au-dela-des-nuages-le-soleil-brille/

Les livres de motivation de Cindy Triaire : https://www.tremplincarriere.com/categorie-produit/livres-de-motivation/

Site web : https://www.tremplincarriere.com/

Facebook : https://www.facebook.com/tremplincarriere/

Instagram : https://www.instagram.com/tremplincarriere/?hl=fr

LinkedIn : https://www.linkedin.com/in/tremplincarriereconseil/

“Le projet Cœlacanthe” de François Lequiller, un roman d’espionnage qui emmène le lecteur de Cherbourg jusqu’à la Russie soviétique

Cherbourg et les sous-marins : deux mots qui sont étroitement liés depuis plus d’un siècle et qui font régulièrement la une des journaux !

“Le projet Cœlacanthe” de François Lequiller est un roman d’espionnage qui plonge les lecteurs en pleine guerre froide, au moment où De Gaulle prend la décision de lancer l’ambitieux programme, appelé Cœlacanthe, de sous-marins nucléaires lanceurs d’engins, les fameux « SNLE ».

À cette époque, bien décidés à conserver leur avance sur la France, les Américains et les Russes surveillent de près les innovations des brillants ingénieurs français. Et le KGB a de multiples cordes à son arc pour arriver à ses fins, y compris une irrésistible « hirondelle rouge » !

Ce récit haletant nous emmène de Cherbourg à Toulon, de Moscou à Cuba, nous confronte à la psychologie tortueuse des espions, des espionnes, des traîtres et des agents doubles, nous plonge dans le milieu très fermé des ingénieurs et des sous-mariniers, tout en nous surprenant par des rebondissements totalement inattendus. C’est qu’une autre histoire, très sombre, qui remonte à la guerre et à la Résistance, s’entremêle étrangement à l’intrigue principale. La vengeance d’une veuve dont le mari a été dénoncé en 1942 va-t-elle faire exploser la stratégie des maîtres-espions ?

Toujours aussi bien documenté, François Lequiller a le talent de vous immerger (le mot est particulièrement adapté ici !) dans des mondes peu connus, au fil d’une aventure palpitante dont on a du mal à s’extirper.

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Un huitième roman passionnant pour découvrir l’histoire autrement

François Lequiller est un auteur prolifique avec un univers très singulier.

Amoureux de sa région d’adoption, ce passionné d’histoire écrit des romans accessibles à tous qui offrent plusieurs niveaux de lecture :

  • Les Normands sont séduits par l’angle original choisi et le fort ancrage local ;
  • Les passionnés d’histoire apprécient la qualité de la documentation qui sert de toile de fond aux romans ;
  • Les amateurs de littérature se laissent emporter par une histoire palpitante qui tient en haleine jusqu’à la dernière page.

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L’auteur jongle aussi avec des univers très différents. Alors que son livre précédent, “Amaïké”, faisait penser à un conte de fées pour adultes, “Le projet Cœlacanthe” est un roman d’espionnage qui plonge le lecteur dans le milieu très fermé des sous-marins, en pleine guerre froide.

Avec toujours, une plume qui invite au voyage : cette fois, François Lequiller part de Cherbourg pour mieux explorer ensuite la Russie soviétique.

Et que les fans de l’auteur se rassurent : ce huitième roman est aussi une œuvre de couple puisque c’est son épouse Elisabeth qui a réalisé les aquarelles pour illustrer la couverture et chaque chapitre.

Extraits

La vengeance de la veuve rouge.

Son nom de guerre était « Koba », le premier pseudonyme de Staline, son idole. Il s’appelait en vérité Hector Marie et était originaire de Ferville, un petit village du Cotentin. Depuis sa plus tendre enfance, il avait été un révolté. À peine en âge de servir, il avait déserté. Recherché par la police, il avait réussi à s’embarquer sur un cargo et, profitant d’un naufrage, avait changé d’identité et s’était caché au Brésil pendant toutes les hostilités de la première guerre mondiale. Il était devenu bolchévique et, une fois la guerre finie, était retourné à Cherbourg pour y fonder la première cellule communiste. Il y avait rencontré sa future femme, Louise, tout aussi engagée. Beaucoup plus jeune que lui, elle l’idolâtrait et l’avait suivi pas à pas dans sa fulgurante épopée au sein du Parti, d’abord comme responsable des cheminots de Caen, puis comme chef de l’organisation des anciens combattants communistes, l’ARAC. Elle lui avait donné trois enfants que, dans leur furie idéologique, ils avaient appelé Vladimir, Rosa et Karl. Koba était tout pour Louise : une référence permanente, un exemple inégalé, un tribun sans pareil. Bref, un demi-dieu !
Ce fut en janvier 1942 qu’elle le vit pour la dernière fois. Alors que la petite famille partageait une maigre soupe, serrés les uns contre les autres autour d’un poêle tiède alimenté des quelques bouses de vache séchées que les enfants avaient pu récolter dans les champs alentour, l’arrivée inopinée de leur démiurge venu d’un autre monde fut comme une fête. Surtout qu’il avait entre ses bras un cadeau pour chacun : un jambon entier pour la famille, une bouteille de vin pour Louise, l’intégrale de Conan Doyle pour Vladimir, une poupée pour Rosa et une locomotive miniature en bois pour Karl. Cette soirée fut mémorable bien qu’ils ne se doutassent nullement que c’était la dernière avec lui. Quand ils se réveillèrent le matin, il était déjà parti. Louise l’avait accompagné à la porte, à quatre heures du matin, encore tout émue de leur corps-à-corps nocturne. En le voyant disparaître dans l’obscurité, elle eut comme un pressentiment.
Deux semaines plus tard, elle fut prévenue de son arrestation par une simple note glissée sous sa porte. Elle savait très bien ce qui allait lui arriver et s’effondra, en larmes, devant des enfants traumatisés. Cette missive, elle la garda précieusement, même après qu’il eut été fusillé. Elle contenait un mot qui allait se graver indélébilement dans sa mémoire : dénonciation. Depuis ce moment, elle ne pensa qu’à une chose : le venger.

chapitre 2

À bord d’un sous-marin !

Karl entendit le claquement sec du lourd panneau d’accès au massif que le troisième souquait. Ça y était, le sous-marin était clos ! Le trois galons, l’uniforme trempé, posa les pieds sur le pont, lui fit une vague grimace et suivit le chemin qu’avait pris son supérieur. On entendit la voix de ce dernier :
– Ouvrez les purges ! Venez à dix mètres !
Comme à chaque fois, l’ordre fut répété. Devant Karl, un pompon rouge releva un premier puis un deuxième manchon. On entendit clairement l’eau qui s’engouffrait entre les deux coques. Lentement, le plancher gîta légèrement vers l’avant. Un hurlement sinistre de klaxon se fit entendre. Ils plongeaient ! Karl eut un pincement au cœur. Devant lui, à peine à deux mètres, le marin, dos aux manchons qu’il venait de débloquer, le contemplait, l’air amusé par l’anxiété qu’il pouvait lire dans ses prunelles. Karl nota qu’il avait un visage étrangement parsemé de trous de variole. Il s’efforça de lui sourire, mais il savait que cela ressemblait plus à une grimace.
– Immersion dix mètres, entendit-on crier du fond du central opérations.
– Assiette moins dix ! lança le pacha.
– Toutes purges ouvertes, lui fut-il répondu quelques secondes plus tard.
– On a admis cinq cents, dit une voix.
– Préviens-moi à une tonne, répondit calmement une autre.
Le sol sembla se dérober un peu plus. Karl s’agrippa à un montant de l’échelle.
– Immersion vingt mètres, entendit-il quelques secondes plus tard.
Soudain, il entendit un craquement. Il sursauta en pensant aux tonnes d’eau qu’ils avaient au-dessus d’eux et qui pourraient broyer le sous-marin comme un fétu de paille. Se pourrait-il ? Il croisa le regard encore plus amusé du matelot. Il eut honte. Apparemment, tout était en ordre… Le type lui chuchota :
– Ne t’en fais pas, on ne peut pas aller profond par ici. Quarante mètres, c’est un maximum. Je pense qu’on va s’arrêter à trente.
– On peut aller à combien au maximum ?
– Deux cents mètres. C’est ce qu’on appelle P. C’est la moitié de l’immersion de destruction.
Encore un mot de ce jargon impénétrable… Il n’eut pas le temps de demander quel était le rapport entre la profondeur maximum et le bruit du vent odorant qu’on expulse par son derrière, car on entendit, coup sur coup :
– Immersion vingt-cinq mètres.
– Fermez les purges, dit le commandant.
– Immersion de sécurité. Assiette zéro. On stabilise, répondit en écho une autre voix.
– Moteur avant 3, ordonna une autre voix.
– Tu vois, lui dit le marin, on ne va pas dépasser trente mètres.
Le bateau retrouva en effet rapidement son horizontalité. Karl apprécia et commença à se détendre. Le calme avait remplacé les secousses de la mer déchaînée trente mètres plus haut. Le submersible était maintenant d’une stabilité incroyable, naviguant comme dans du coton. Retrouvant ses esprits, il se remémora la loi d’airain du principe d’Archimède : le poids du sous-marin étant exactement égal au volume d’eau qu’il déplaçait, il était à l’équilibre. Le bruit sourd et régulier du moteur électrique lui parut soudain agréable.

epilogue

Un agent double du KGB.

– Hello, Mister Klimov, fit le nouveau venu.
Son accent ne fit que confirmer son origine. C’était un Français, très probablement du SDECE. Viktor aimait bien les Français. Ils étaient kulturny, pas comme ces cow-boys du Nouveau Monde.
– Bonjour, répondit Viktor en français.
L’homme sourit.
– Vous comprenez le français ? questionna-t-il dans sa langue.
– Un peu.
Colin s’interposa :
– In English! ordonna-t-il.
– Of course, fit le Français, en continuant dans cette langue : la CIA nous a appris que vous avez eu accès à des informations sur les réseaux soviétiques dans notre pays. Est-ce vrai ?
– Oui, marmonna le prisonnier.
– Pouvez-vous nous donner des éléments sur la nature de ces réseaux ?
Viktor lui sourit. Le Français était poli, mais ce n’était pas pour cela qu’il allait se laisser conter :
– Soyons clairs, cher Monsieur du SDECE, je ne donnerai des détails que quand ma famille sera à l’abri à Washington.
Le Français ne parut pas surpris :
– Je vous comprends, mais, d’un autre côté, mes amis américains ne sont pas entièrement convaincus de votre sincérité. Vous pourriez très bien être un imposteur. Essayez de nous donner au moins des indices qui pourraient nous confirmer que vous savez des choses… disons… confidentielles.
Viktor se trémoussa sur sa chaise. Il hésitait. Jusqu’où aller ? Il se décida :
– Une de nos sources est un haut fonctionnaire de votre gouvernement qui a pour nom de code Rubis au KGB.
– Connaissez-vous son véritable nom ?
Viktor ricana :
– Vous êtes complètement fou ! Seul son officier traitant à Paris le connaît. Moi, je n’ai eu accès qu’aux dépêches cryptées.
– Alors, donnez-moi au moins une information concrète que ce renégat aurait transmise.
Il y en avait de nombreuses. Cela faisait des années que Rubis trahissait son pays. Viktor choisit l’une des dernières auxquelles il avait eu accès avant d’être nommé à Helsinki :
– Votre gouvernement a relancé un programme de réacteur de propulsion nucléaire pour sous-marins.

chapitre 14

Il écrit, elle peint… le livre unit leur passion !

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François Lequiller, après avoir fait une carrière dans l’administration économique française, a été en poste dans plusieurs organisations internationales et, à ce titre, a roulé sa bosse en Afrique, en Europe et aux États-Unis.

Il est l’auteur de deux manuels économiques qui lui ont donné une notoriété internationale dans le milieu de la statistique économique. Il est marié à Elisabeth, son illustratrice, et a deux enfants.

Depuis vingt ans, la providence l’a conduit à acheter une maison dans un petit hameau du Cotentin, entre Coutances et Granville, sa région d’adoption.

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Il a raconté dans la trilogie « Le Pont de la Roque » les aventures d’Isabelle Colas, son héroïne inspectrice de police, tandis que sa trilogie « Les Dunes du Cotentin » nous a fait découvrir la saga de la famille Marie au parcours aussi brillant que tragique.

Dans « Amaïké », son précédent roman, un véritable conte de fées pour adulte, il a rapporté l’histoire extraordinaire, mais vraie, d’une jeune amérindienne dont le destin, au dix-neuvième siècle, a croisé celui de notre beau pays du Cotentin.

Pour en savoir plus

Site web : https://www.francoiselisabeth.fr/

Facebook : https://www.facebook.com/francoislequillerromancier

“Soleil Blanc” de Lise Muscat Verceil, une romance dystopique dans un monde ravagé par le bouleversement climatique

Et si l’amour n’était plus un droit ?

“Soleil Blanc” est un roman en deux tomes qui fait écho à l’actualité la plus récente. Cette aventure se déroule dans un monde où un bouleversement climatique a décimé une grande partie de l’humanité.

Les survivants se sont réfugiés aux pôles de la planète pour échapper aux dangers d’un soleil qui tue ou qui ne se lève plus pendant des mois, les plongeant dans une obscurité totale. Ils ont reconstruit un monde semblable à celui du XVIIIe siècle, privés des avancées modernes mais surtout des libertés.

Ils ont érigé une République, Pangée, protégée par un mur, où la vie est régie par un système de castes et où toutes les minorités ont perdu leurs droits. Au-delà de cette frontière, c’est l’inconnu…

C’est dans ce monde difficile et rigoureux que les personnages de Lise Muscat Verceil vont devoir vivre et se battre pour avoir le droit de s’affirmer et de s’aimer.

Car “Soleil Blanc” est avant tout une histoire d’amour. Amour fraternel au cœur des rancunes familiales. Amour interdit par les liens du sang ou des lois d’une société inégalitaire qui ne reconnaît que l’union des êtres de même naissance et qui interdit l’homosexualité. Et c’est dans cette tyrannie que vont se déchaîner les passions de tous ceux qui n’ont pas le droit de s’aimer.

“Soleil Blanc” est aussi l’histoire d’hommes et de femmes qui devront lutter pour être libres de leurs choix, de leur identité et de leur droit à décider de leur avenir.

Ce livre est un mélange de passion, de haine et d’amour, dans un monde hostile et féroce.

Un roman qui s’inscrit dans l’actualité de notre monde et de ses dérives

À mettre entre toutes les mains, “Soleil Blanc” fait de la dystopie une toile de fond pour aborder des sujets qui nous concernent tous : les changements climatiques et leurs conséquences pour l’humanité, les dangers d’une liberté fragile quand le monde change, ou encore la perte des droits des minorités et des femmes dans une société qui asservit pour sécuriser.

Autant de thèmes très sérieux qui sont abordés avec une grande finesse dans ce livre qui s’adresse à un large public : la romance emporte les lecteurs.trices et les tient en haleine de la première à la dernière page.

Lise Muscat Verceil précise :

À la portée de tous, ce roman s’adresse à un large public. Il passionne notamment les jeunes adultes qui se reconnaissent dans une société difficile et oppressante.

Livre I

 

Après un grand bouleversement climatique qui a exterminé une partie de l’humanité, les survivants se sont réfugiés aux pôles, seuls endroits viables du monde.

Le soleil, qui a brûlé toutes les terres du centre de la planète, est soit omniprésent dans le ciel et mortel à certaines heures de la journée, soit invisible, livrant les hommes à l’obscurité absolue. Les rescapés de cet exode ont construit un nouveau monde dans lequel ils ne sont pas tous arrivés : Pangée. Cette terre se cache derrière une frontière solide sur laquelle ils ont érigé un mur, interdisant son accès à tous ceux qui sont à l’extérieur.

​Aidan revient de cette frontière qu’il a défendue pendant cinq ans pour découvrir que la vie a changé pendant son absence et que ceux qu’il a laissé ont grandi. Il devra lutter pour résister à l’attirance qu’il éprouve pour Nina, avec qui il a été élevé mais qui est éprise de son jeune frère Nathan.

Cependant, ce dernier est en danger, victime de vieilles rancunes et de l’oppression d’une société inégalitaire.

C’est ensemble, et en tentant de résister à tout ce qui les rapproche irrésistiblement, qu’ils devront essayer de sauver Nathan.

Bravant un monde sans pitié et injuste, ils lutteront pour des combats qui les dépassent, mais qui les emmèneront au bout d’eux mêmes…

EXTRAITS

Extrait 1

“Céleste ferma les lourds volets de la fenêtre de sa petite chambre. Dehors il faisait un froid glacial. Le vent hurlait, violent, lugubre.

La nuit arrivait, la longue nuit, celle qui s’installait durant de longs mois, enfermant les hommes dans la peine et l’angoisse. Il paraissait même que lorsque tout avait commencé, elle avait duré presque une année. Pour survivre, il fallait être fort, se cacher, se battre et surtout, ne jamais abandonner.

Vivre sans soleil était un défi. D’abord, il fallait se nourrir. Aucune plantation ne résistait à la nuit. Les récoltes fanaient, la terre se tarissait et ceux qui n’avaient pas été prévoyants ou ceux qui ne possédaient rien, vivaient de longs jours de famine et de souffrance, entraînant avec elles des luttes sanglantes pour du pain ou pour un peu de chaleur. De plus, vivre dans la nuit c’était aussi vivre dans la peur. Les ombres étaient froides et dangereuses, presque toujours hostiles. Souvent, il fallait se cacher et se battre.

Céleste disait toujours que les hommes n’étaient pas faits pour vivre sans le soleil. Sans la lumière, c’était le froid, la peur, l’absence de vie.

Comment en était-on arrivé là ? songeait-elle. Cette terre jadis si belle avait fini par prendre sa revanche et elle le leur faisait lourdement payer. Comment se pouvait-il qu’en une vie de femme, si longue soit-elle, les choses aient pu autant changer ? Les hommes vivaient aujourd’hui dans un monde à la merci des éléments, un univers féroce et difficile où il n’y avait pas de place pour tous. Une terre ravagée par la famine, la maladie, la nuit… le soleil brûlant.”

Extrait 2

“Il fit glisser la robe le long de son corps offert, la souleva entre ses bras, et la déposa avec délicatesse sur les draps qui les attendaient. Elle se laissa aller avec indolence et désinvolture, comme appelée à la reddition.

Ce fut lorsqu’il l’entendit gémir en signe d’acceptation et d’abandon qu’il se sentit étranglé par leur trahison.

Ils s’étaient fourvoyés, perdus, et ils s’étaient menti.

Il se maudit de sa faiblesse.

Il s’arracha à son corps dans un supplice, gémissant de frustration et de rage.

— Je ne peux pas, déclara-t-il essoufflé et terrorisé. Nous n’avons pas le droit ! Toi et moi ça ne sera jamais possible… Jamais…

Il se retourna avec violence et quitta la chambre dans une précipitation surprenante.

Il se dirigea vers le jardin, mais les rondes autour du feu n’avaient pas encore cessé. Il rejoignit alors discrètement les écuries où il sella un cheval, et s’évanouit dans la nuit en hurlant son désespoir comme un blasphème.”

Livre II

Nathan et Nina qui se sont enfin retrouvés quittent Shankara et partent à la Capitale. Elle, pour fuir un amour malheureux, lui, pour en retrouver un qu’il n’a pas su reconnaitre.

Mais leurs chemins vont croiser ceux d’hommes et de femmes qui sauront éveiller leurs consciences à des rêves bien plus grands que l’amour ou le désir : la liberté. La terre providentielle qu’ils pensaient être leur ultime chance de survie n’est-elle pas celle qui les détruits, les asservis et les rend aveugles ?

​Dans le tumulte d’un monde sauvage, à la merci des éléments et de la tyrannie politique, ces hommes luttent pour défendre les droits de tous ceux qui n’en ont plus. C’est ce que vont apprendre Aidan, Nina, Nathan et tous ceux qui, autour d’eux, vont découvrir qu’il n’existe pas qu’une couleur de peau, une seule façon d’aimer, ni une seule terre sur laquelle il est possible de vivre…

C’est dans l’adversité et dans la douleur, mais aussi et surtout grâce à leur amour, qu’ils comprendront que les hommes sont meilleurs quand ils ne sont pas divisés et que c’est de leur différence que naissent la force et l’équilibre.

Ensemble, ils combattront aux cotés de tous ceux qui rêvent de liberté, et, c’est dans cette tourmente qu’ils s’apercevront qu’ils sont capables de s’aimer au-delà de tout et en dépit de tout…

EXTRAITS

Extrait 1

“— Merci à vous d’être ici ce soir en dépit des risques, commença-t-il. La même soif de liberté nous réunit et nous pousse à nous écouter et à nous comprendre.

Pangée est une République qui ne nous apportera rien d’autre que de la souffrance, puisque nous n’adhérons pas à ses principes totalitaires et à son absence d’équité et de tolérance.

Beaucoup d’entre vous sont des oubliés ou des exclus, pour des opinions ou des différences. D’autres sont des incompris, des révoltés, ou simplement des malheureux. Mais nous avons tous le même rêve.

Nous venons d’horizons différents, et nos naissances nous séparent depuis toujours. Pourtant, nous avons réussi à nous retrouver, parce que c’est simplement inacceptable.

Je viens d’un District où la vie est difficile pour ceux qui travaillent. La misère et la faim sont le quotidien des paysans qui nourrissent une élite oisive.

Charlotte Lombard est née ici à la Capitale, mais en tant que femme, elle a été victime de violences dont elle n’a jamais pu se défendre car elle n’a juridiquement aucun droit, comme beaucoup d’entre vous.

Jean Zola est né, à Elysium, au-delà de la frontière, celle qui vous fait si peur mais où les hommes ne sont ni agressifs ni dangereux.

Pangée s’est bâtie sur la terreur et sur la différence, afin de nous séparer pour nous empêcher de nous entendre.

Nous pouvons dépasser ces clivages ridicules et inutiles, et nous unir pour tout recommencer.

Derrière le mur, des hommes attendent pour vous libérer, pour vous rendre ce qu’on vous a pris, ce qu’on vous a volé sans jamais vous demander votre avis. Mais aujourd’hui, vous avez le droit, vous avez le devoir de tout reprendre, et c’est avec eux que nous pouvons tout recommencer !”

Extrait 2

“La première fois que Nina s’était approchée de cette montagne de pierres et d’acier, elle avait pensé qu’elle avait découvert l’enfer. En arrivant à Elysium, elle était inconsciente. Elle n’avait donc pas vu cette monstruosité que les hommes avaient construite pour s’empêcher de s’unir.

Ce mur immense portait en lui toute l’intolérance et la cruauté de ce qu’il représentait.

Il s’élevait sur une dizaine de mètres en un amoncellement de sable, de cailloux, de roches et de débris. Il était triste, sale, et puant le désespoir.

Mais surtout, il était dangereux et impitoyable.

Nombreux étaient ceux qui avaient tenté de le franchir de chaque côté, pour des raisons toujours légitimes ou nécessaires.

Mais très peu avaient eu la chance d’y parvenir.

Des cadavres jonchaient cette frontière sordide de part et d’autre de ce mur funeste.

Ce cimetière de rêves assassinés s’étendait sur des centaines de mètres, dévoilant l’horreur et l’absurdité de l’intolérance humaine.”

L’avis des lecteurs.trices

Voici un aperçu des témoignages laissés sur Amazon sur les deux romans :

“Très bon roman, plein de rebondissements, se lit facilement. Contente d’avoir commandé les deux tomes en même temps, car l’histoire m’a captivée jusqu’au bout du premier livre et là j’ai hâte de lire le second. Merci à l’auteure.”

“Ayant déjà lu les deux premiers tomes de cette saga, tout ce qui me vient à l’esprit c’est…. INCROYABLE. Autant les personnages que l’intrigue, cette saga m’a fait rêver, je ne pouvais plus lâcher le livre et mes nuits sont devenues courtes (mais cela en valait la peine). Des personnages qui vous font autant rire que pleurer et avec qui la vie n’est jamais ennuyeuse. Une histoire d’amour qui donne des frissons et une intrigue qui vous prend les tripes, tout ce qu’un bon livre devrait être, vous le trouverez dans Soleil Blanc. Lise Muscat Verceil nous emmène dans un monde qu’on ne veut plus quitter, j’ai extrêmement hâte de lire la suite de son ouvrage. Je recommande à 100%.”

“J’ai commencé le deuxième livre juste après avoir fini le premier car le premier tome se termine par un enchaînement de situations tendues qui m’ont fait réellement m’attacher aux personnages et qui m’ont absolument donné envie de connaître la suite. Ce livre a été une très bonne découverte et j’ai adoré le lire, adoré comprendre un peu mieux le monde dans lequel l’histoire se déroule et j’ai pu, tout au long de l’histoire, me familiariser avec les personnages et leurs relations très attachantes, aussi compliquées soient-elles!”

“Je viens de terminer le tome 2 de SOLEIL BLANC. Ce livre qui décrit admirablement toutes les situations m’a bouleversé tant les sentiments m’ont touchés. Ils y sont tous, la haine, la cupidité, la trahison, mais surtout l’Amour avec un grand A. On ressent en lisant ce livre toute la sensualité et la sensibilité de cette auteure. Bravo, ce roman mérite d’être lu et relu. J’attend avec impatience la suite car tel il se termine il devrait y en avoir une .”

“WOW, juste wow ! Je ne sais que dire de ce deuxième livre tellement il m’a transporté et fait ressentir tout un tas d’émotions. Que ce soit de l’amour, de la colère, du dégoût, de la joie, de la tristesse, ce livre a su réveiller en moi toutes sortes d’émotions que j’ai rarement ressenties lors de mes précédentes lectures. Ça a été un réel plaisir de suivre les personnages durant ce long périple et de voir comment ils se sont donnés les moyens de réussir afin d’abolir ce monde rempli d’injustices et d’inégalités. Je suis contente d’avoir pu davantage découvrir des personnages comme celui de Ana, de Nathan ou encore de Nina.

J’ai vraiment été touchée par chacun de leurs histoires et je me suis bien évidemment encore plus attachée à eux.
Ce livre a été pour moi une révélation ! J’ai rarement lu quelque chose d’aussi bien écrit, d’aussi précis et d’aussi fort ! Je le recommande plus que vivement !”

À propos de Lise Muscat Verceil, auteure azuréenne

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Née en 1973, Lise Muscat Verceil est passionnée de lecture et de musique depuis son plus jeune âge. Elle a suivi des études d’Histoire à l’université de La Sorbonne et de Piano à l’école Normale de Musique de Paris.

En parallèle, Lise a toujours écrit, animée par le besoin de coucher sur le papier toutes les histoires qu’elle a dans la tête. Mais ces projets ne sont jamais concrétisés.

Et puis il y a un peu plus d’un an, Lise a eu un véritable déclic.

En admirant l’un des fabuleux couchers de soleil de notre belle région, je me suis demandé quel genre de vie serait la nôtre si nous en étions privés. C’est à cet instant que Soleil Blanc a vu le jour dans mon esprit.

Ce roman s’est écrit tout seul, en un peu plus de huit mois, comme s’il était gravé dans sa tête et qu’il avait suffi à ses doigts de suivre le fil de son imagination.

Ces moments d’écriture ont été un pur bonheur qui m’ont apporté une joie intense. Mes personnages sont devenus mes amis et mon histoire m’a envahie pour m’absorber entièrement.

Informations Pratiques

“Soleil Blanc” de Lise Muscat Verceil

  • Livre I
    • Editeur : Le Lys Bleu
    • ISBN-13 ‏: ‎979-1037724069
    • Dimensions : 14.81 x 3.38 x 21.01 cm
    • Broché
    • 660 pages
    • Prix : 25,80 €
  • Livre II
    • Editeur : Le Lys Bleu
    • ISBN-13 ‏: ‎979-1037723420
    • Dimensions : 14.81 x 2.77 x 21.01 cm
    • Broché
    • 540 pages
    • Prix : 24,80 €

Pour en savoir plus

Découvrir les deux tomes de “Soleil Blanc” : https://www.lisemuscatverceil.fr/livres

Site web : https://www.lisemuscatverceil.fr/

Facebook : https://www.facebook.com/L.V.Muscat/

Instagram : https://www.instagram.com/lisemuscatverceil/

LinkedIn : https://www.linkedin.com/in/lise-muscat-verceil-a91bba221/

“La boîte sous la péniche” de Valérie Larrivain : un premier roman captivant, basé sur des faits réels, qui met en scène une intrigue familiale

En se promenant avec son chien Benny sur les bords de Seine,

Mark repère une boîte en métal sous une péniche voisine de la sienne.

Il la repêche et y découvre un contenu d’objets hétéroclites, une date, un nom.

Sur fond de poésie et d’histoire, la découverte de la boîte est le préambule à l’intrigue romancée des vies d’Alice et Jacques.

Dans son premier roman, “La boîte sous la péniche”, Valérie Larrivain partage avec les lecteurs une aventure humaine rendue possible par un formidable concours de circonstances.

Une histoire basée sur des faits réels qui captive de la première à la dernière page.

 

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Une intrigue familiale fictive, sur fond de poésie et d’histoire

En 2003, une boîte en métal est trouvée sous une péniche. Depuis, Valérie Larrivain porte en elle l’idée d’un livre qui partirait de cette fabuleuse histoire et permettrait aussi de garder une trace des événements incroyables vécus par sa famille.

Alors le 14 décembre 2020,  elle décide de donner vie à ce projet un peu fou !

Elle souligne :

J’ai voulu honorer ma grand-mère maternelle Alice et la poésie qui a jalonné sa vie. Je me suis donc inspirée de faits réels pour construire l’histoire, que j’ai ensuite très librement romancée.

Commence alors un travail minutieux et une aventure humaine passionnante.

Valérie retrouve les personnages impliqués dans l’histoire, obtient leurs accords, cogite et mène de nombreuses recherches pour rédiger le scénario de cette fiction.

Le 14 janvier 2021, pendant l’après-midi de la naissance de sa troisième petite-fille, elle s’est lancée dans l’écriture de ce roman.

Le (grand) plus du livre : une approche atypique, puisque l’autrice mélange narration et poésie, offrant ainsi un contraste émouvant avec la réalité de l’histoire.

Sommaire

  • Ces gens-là
  • Liske Kom
  • Le portrait sépia d’Alice
  • Le Requiem de Fauré
  • Le pendentif au bouton de rose
  • Les roses de Picardie
  • Alliances de nos cœurs
  • L’éclat de bombe
  • Peu importe, la vie nous reste
  • Du sang de son sang on est fier !
  • Sensations
  • Don Juan
  • Frida
  • La boîte à secrets
  • Au paradis des chiens heureux
  • La découverte
  • Le ticket de train
  • Ma violence
  • Fleur bleue
  • La clé de casier
  • Le départ d’Alice
  • La boîte dans la Seine
  • La remise de la boîte
  • Épilogue
  • Poème original
  • Remerciements

Extrait

“La boîte est fermée à clef. C’est une caisse à monnaie assez grande. Et sur le dessus, une étiquette est encore bien collée malgré son séjour dans l’eau. Il s’agit d’une petite bande dymo grisée par l’usure, qui porte des écritures blanches en relief presque illisibles. On dirait du braille. Je passe mes doigts dessus, comme s’ils pouvaient ressentir et lire à la place de mes yeux. Cela ne vient pas…Mon cœur ne sait pas encore déchiffrer.

Nous décidons de forcer sa serrure pour savoir. Isabelle était allée chercher un tournevis et c’est à moi que revient l’honneur de percer le mystère. Tout doucement, très respectueusement, je fouille le mécanisme et celui-ci cède facilement. Je me rappelle avoir pensé que la boîte était d’accord pour que je l’ouvre !

Ce qui nous interpelle en premier c’est la vase sombre qui emplit la boîte. Elle est dense et compacte.

Et puis nous nous apercevons qu’elle contient des objets plus ou moins bien conservés. Nous sommes émus. Il y a de la vie là-dedans !

Mon cœur d’enfant est saisi d’une joie intense. Des frissons chauds parcourent mon corps. C’est comme ouvrir un petit trésor. À la fois car la nuit tombe, et car nous voulons bien nettoyer notre trouvaille, nous décidons de poursuivre notre inventaire à bord de la péniche, et de façon plus intime, à l’abri des regards.

Religieusement, nous sortons les objets un à un, les rinçons d’abord grossièrement pour les débarrasser du plus gros de la vase. Puis nous les déposons sur une toile cirée, dont Virginie vient de recouvrir la table.

Alors apparaissent devant nos yeux écarquillés des pièces de monnaie, une petite clé rouillée, un pendentif argenté en forme de bouton de rose, une carte de fidélité Ikea rouge. Un autre objet indéfinissable en métal rouillé, de la taille d’un pouce, nous intrigue. Une pochette plastique laisse supposer la présence d’un ticket de train et d’une photo délavée. Quelle drôle d’association hétéroclite émouvante !

Nous découvrons aussi plusieurs compact-disques de musique classique et française. L’une des boîtes est particulièrement belle. La couverture presque incrustée dans le couvercle laisse apparaître à travers le reste de vase son titre : le requiem de Gabriel Fauré. Le christ sur sa croix est intact, miraculeusement net et épargné par les flots.

Nous nettoyons, à l’aide d’un coton-tige l’étiquette sur le dessus de la boîte. Nous sommes stupéfaits de pouvoir lire maintenant distinctement « A. et J. DOMART ». C’est le même nom que celui de la carte Ikea…

Nous n’étions pas au bout de nos surprises… Alors que nous pensions la boîte vidée, Isabelle découvre, en finissant d’inspecter avec ses doigts le fond rugueux, deux alliances en or !

De tailles différentes, à coup sûr celles d’un homme et d’une femme. Elles sont gravées. La coutume est certainement respectée avec la gravure du prénom du conjoint : à l’intérieur de la plus petite est écrit « Jacques. Alice 18.3.1940 ».

À l’intérieur de la plus grande est écrit en lettres capitales « ALICE. JACQUES 18.3.1940 »

Cette ultime découverte nous touche profondément. Nous sommes silencieux et nous nous regardons intensément.

Je me souviens avoir pensé, « tiens, il n’y a plus de musique ? ».

Qui sont ces gens ? Quelle est l’histoire d’Alice et Jacques, mariés il y a exactement soixante-trois ans ? Que racontent ces objets de leurs vies ? Et cette double question qui nous taraude : qui a donc jeté cette boîte dans la Seine et pourquoi ? ”

A propos de Valérie Larrivain, l’autrice

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Valérie Larrivain, 57 ans, exerce des métiers d’accompagnements dans des domaines aussi divers que le sport de haut niveau ou la réalisation de projets immobiliers.

“La boîte sous la péniche” est son premier roman. Aujourd’hui, l’autrice espère que son livre saura inspirer un beau scénario et pouvoir devenir un film.

Informations pratiques

“La boîte sous la péniche” de Valérie Larrivain

  • Éditeur : Books on Demand
  • Date de parution : 04/11/2021
  • ISBN : 9782322399215
  • Couverture souple
  • 228 pages
  • Prix  : 19 €
  • Livre distribué en France et à l’international.
  • Les libraires peuvent commander des exemplaires auprès du distributeur Sodis via le catalogue Dilicom

Pour en savoir plus

Découvrir le livre : https://www.bod.fr/librairie/la-boite-sous-la-peniche-valerie-larrivain-9782322399215

Facebook : https://www.facebook.com/laboitesouslapeniche/

Books on Demand soutient la promotion du livre, grâce à l’envoi gratuit d’exemplaires presse aux journalistes ainsi qu’aux blogueurs littéraires à large audience. Il vous suffit d’écrire à presse@bod.fr en indiquant : le titre “La boîte sous la péniche”, l’auteur “Valérie Larrivain”, l’adresse de livraison souhaitée et le nom et/ou le lien du média en question. Ils vous enverront alors un exemplaire presse de votre livre, sans frais.

“Je voulais tellement qu’elle m’aime …” de Jacqueline Duvary, un roman sentimental lesbien autour d’une spirale infernale

Ludivine a seize ans lorsqu’elle croise le chemin d’Angélique, une jeune fille de son âge et, dès le premier regard, la jeune adolescente timide, en mal de reconnaissance, va tomber amoureuse de cet être solaire qui représente pour elle tout ce qu’elle n’est pas.

Aveuglée par cet amour de jeunesse qui la poursuivra toute sa vie, elle se laissera entraîner dans une spirale infernale dont l’issue sera dramatique…

Dans “Je voulais tellement qu’elle m’aime…”, son dernier roman, Jacqueline Duvary  continue d’explorer toutes les facettes des amours lesbiens.  Avec, cette fois, un regard incisif sur la passion dévastatrice et les personnalités toxiques.

Nouvelle ambiance, style toujours aussi percutant ! Après Un jour d’hiver à Manhattan, la rencontre de 2 adolescentes qui va marquer leur vie à jamais. Dans une tonalité plus sombre, une histoire d’amour attachante. Psychologie implacable et situations émouvantes au programme.

Avis d’un lecteur sur Amazon

couverture

Extrait

“J’ignore depuis combien de temps je suis assise dans ce bureau, une heure… deux heures… J’ai perdu toute notion du temps qui passe.

L’officier de police qui m’interroge est une jeune femme, d’une trentaine d’années, grande et élancée sans être maigre, car on devine le rond de ses muscles sous son tee-shirt. Elle est jolie avec son visage fin, illuminé par des mèches blondes qui parsèment ses cheveux châtains. Elle me pose des questions avec douceur, voire une certaine bienveillance en me regardant de ses grands yeux verts qui semblent étonnés de me voir là, en ce lieu, comme si je n’étais pas à ma place.

- Reprenons, dit-elle, assise devant son ordinateur. Pouvez-vous me redonner votre nom ?
- Monerot.
- Prénom ?
- Ludivine.
- Date et lieu de naissance ?
- Vingt février mille neuf cent soixante-dix à Montpellier.

Elle relit ce qu’elle vient d’écrire puis me dévisage à nouveau.

- Bien ! reprend-elle, reconnaissez-vous que dans la soirée d’hier, samedi treize juin deux mille vingt, vers vingt heures, vous avez volontairement tiré plusieurs coups de feu sur Mademoiselle…

Sa voix se perd dans un épais brouillard, ma vue se trouble et c’est le trou noir… Lorsque je reprends mes esprits, je suis allongée par terre et la première chose que je vois est le visage inquiet de la policière penchée sur moi. Elle n’est pas seule, un gardien de la paix se tient à ses côtés.

- Que m’est-il arrivé ? Je bredouille, les idées pas encore tout à fait claires.
- Vous avez eu un malaise, me dit la jeune femme, ne bougez pas, nous avons appelé un médecin.
- Oh ! Ce n’était pas nécessaire, je suis coutumière de ce genre de chose, ça va aller. Je fais mine de me relever, mais mes jambes se dérobent et je m’accroche au bras de la jeune femme qui me soutient avec force.
- Vous êtes certaine que ça va ? me demande-t-elle.

- Oui, oui, ne vous inquiétez pas, dis-je avec un pauvre petit sourire à l’intention de la jeune femme qui décidément me plaît bien.

Avec l’aide de son collègue, elle me remet sur la chaise.
- Voulez-vous un verre d’eau ?
- Oui, merci.

Elle fait un signe de la tête en direction de l’homme et celui-ci quitte la pièce. Lentement je reprends pied, même si je me sens encore un peu faiblarde. Il faut dire qu’il y a des heures que je n’ai pas dormi, ni mangé…
- Mon collègue va vous ramener un verre d’eau et un sandwich.
- Je n’ai pas faim.
- Si, si vous allez manger un peu, insiste-t-elle, ensuite nous reprendrons cet interrogatoire et vous allez m’expliquer tout ce qui s’est passé, depuis le début.

Le médecin qui m’a examinée a jugé que je n’étais pas en état de poursuivre l’interrogatoire et m’a fait transférer à l’hôpital. Maintenant, allongée sur mon lit, une perfusion de sérum glucosé, branchée dans le bras, j’essaie de reprendre le cours des évènements.

« Vous allez tout me raconter depuis le début » a dit la jeune policière. Raconter tout depuis le début, mais quel début ? Il y a six mois, cinq ans, dix ans ! Non, sans doute que tout cela a commencé il y a bien plus longtemps… Tout a commencé le jour où mon père a décidé de tout plaquer pour élever des chèvres dans les Cévennes.”

 A propos de l’autrice

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Jacqueline Duvary vit dans le sud de la France, dans le département du Gard où elle a exercé la profession d’infirmière libérale avant de se lancer dans l’écriture.

En 2015, elle reçoit le Prix AlterPublishing pour son premier roman Amours contraires. Depuis, elle a signé quatre autres romans dont Un jour d’hiver à Manhattan qui a cartonné l’an dernier.

Son dernier roman Je voulais tellement qu’elle m’aime… est plus sombre que les précédents.

AlterPublishing, une autre vision de l’édition

L’aventure d’AlterPublishing débute en 2012, lorsque le phénomène des ebooks explose et qu’Amazon devient incontournable.

Dès sa création, cette maison d’édition “nouvelle génération” adopte un positionnement avant-gardiste et égalitaire :

  1. Editer des livres numériques (ebooks) et papier sans passer par le réseau de distribution des librairies traditionnelles ;
  2. Répartir les droits d’auteurs à égalité entre l’éditeur et l’auteur, sans plancher ni plafond, dès le premier volume vendu (après déduction des frais d’impression).

Les livres édités (ou réédités), en français ou en anglais, couvrent de multiples domaines : littérature et fiction, culture et société, LGBT, scolaire et universitaire, BD et jeunesse, art de vivre, nature et loisirs, savoirs.

AlterPublishing représente désormais une véritable alternative au circuit de l’édition traditionnelle. Et la visibilité des ouvrages est au rendez-vous : ils sont distribués via des plateformes qui touchent un grand nombre de lecteurs : Amazon, Fnac, iBook, Amazon Kindle, Kobo Raluten, Nook…

De plus, tous les livres sont édités à la demande, afin d’éviter tout gaspillage inutile.

Informations pratiques

Je voulais tellement qu’elle m’aime …, de Jacqueline Duvary

  • Editions AlterPublishing
  • ISBN: 979-8518302235
  • 270 pages
  • Prix : 17,30 € version broché – 5,99 € version e-book

Pour en savoir plus

Lire un extrait : https://www.relations-publiques.pro/wp-content/uploads/pros/20210916152055-p4-document-qbxc.pdf

Découvrir le livre : https://www.alterpublishing.com/fr/je-voulais-tellement-qu-elle-m-aime.html

Site web : https://www.alterpublishing.com/fr/

Facebook : https://www.facebook.com/JacquelineDuvaryAuteur

“L’éveil du Phénix” d’Arthur Sibony : le premier tome de la saga fantasy Lysarian, écrit par un jeune auteur de 20 ans, cartonne sur Amazon

Un continent où violence et misère s’entremêlent. Cinq pays qui se livrent des guerres sans fins. Un royaume au bord de l’effondrement. Des nobles félons et corrompus. Une force mystérieuse qui agit dans l’ombre. C’est dans cet univers chaotique, que Liam se révèle doué de magie, un don extrêmement rare. Malgré tout, le jeune homme mène une vie simple avec sa famille.

Pourtant, lorsque la guerre qui fait rage avec le royaume d’Anrid s’étend, Liam n’a d’autre choix que de faire face à son destin. Dans un monde de mort et de haine, il découvre petit à petit qu’un puissant pouvoir sommeille en lui. Un pouvoir aussi mystérieux que dangereux. Un pouvoir qui lui fera oublier que la frontière entre ténèbres et lumière ne tient qu’à un fil…

Ainsi naît la légende du phénix. Celle du plus puissant mage de l’histoire. L’homme qui détruira le monde de Lysarian.

“L’éveil du Phénix” d’Arthur Sibony marque le début de la saga Lysarian, une aventure épique qui mêle aussi bien magie et romance que guerres et complots.

Un premier roman qui dénote par son originalité et par la qualité de son univers. Les lecteurs.trices sont enthousiastes : dès sa sortie, le livre s’est classé parmi les 100 meilleures ventes d’Amazon fantasy épique et en dark-fantasy. 

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Un univers singulier qui mixe dark fantasy et fantasy épique, avec une pointe de romance

“L’éveil du Phénix” est un roman a deux visages : au fil des pages, on est embarqué dans un univers sombre, mais aussi rempli de magie qui met en scène un monde médiéval aux multiples facettes.

Son genre littéraire est d’ailleurs assez atypique puisque l’auteur s’affranchit des carcans figés : il n’hésite pas à mêler héroic fantasy et dark fantasy, tout en donnant de l’ampleur, au fil de l’histoire, à une belle romance.

Arthur Sibony joue aussi la carte de la surprise : dans son roman, chaque détail compte et un grand nombre d’intrigues se déroulent simultanément, sur plusieurs niveaux…

Des choses qui ne paraissent pas spécialement significatives sur le moment peuvent prendre beaucoup d’importances au fur et à mesure que la saga avance.

Enfin, il y a Liam, un héros particulièrement complexe qui oscille constamment entre le bien et le mal. S’il semble parfois dénué d’émotion, il se révèle d’autant plus attachant que sa froideur apparente se fissure dans certaines situations. Puissant et très intelligent, capable d’anticiper parfois des années en avance, Liam est aussi un manipulateur-né qui préserve toutefois les personnes qu’il apprécie.

De manière générale, il est difficile de savoir ce qu’il pense vraiment et c’est aussi ce qui le rend intéressant : on sort du traditionnel héros lisse et manichéen, pour découvrir un personnage ambivalent.

Un premier roman déjà classé dans le top 100 Amazon en Fantasy épique et Dark-fantasy

Malgré l’absence de notoriété et le choix de l’autoédition, “L’éveil du Phénix” rencontre un vif succès auprès des amoureux.ses de belles intrigues et de magie.

Dès la première semaine de sa sortie, il a séduit plus de cent lecteurs et s’est donc classé dans le top 100 Amazon en fantasy épique et en dark-fantasy, pour ne plus jamais en sortir.

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Voici un aperçu de leurs avis :

“Une histoire qui se lit très bien, un héros attachant et une petite romance dans un monde en guerre. Je vous le conseille à 100 %. Vivement janvier pour avoir la suite.”

“Aventure qui se lit très bien et personnages attachants et intrigants. Une bouffée d’air dans un monde qui manque de magie. J’ai hâte de pouvoir lire la suite.”

“Bien ficelé, l’histoire tient debout, le style est fluide et facile à lire, vivement la suite. Voilà voilà.”

“Un livre à ne pas manquer. Un univers prenant et original. Une histoire qu’on engloutit plus vite qu’on ne le pense.”

“Histoire très prenante. Difficile de décrocher de l’histoire. Vivement le tome 2.”

“Une histoire fantaisiste comme on les aime ! Idéal pour se détendre, je recommande à 100 % ! J’attends la suite avec impatience !”

Sommaire

  • Prologue
  • Chapitre 1 : Mort
  • Chapitre 2 : Rencontre
  • Chapitre 3 : Complots
  • Chapitre 4 : Joyau
  • Chapitre 5 : Rathdery
  • Chapitre 6 : Tempête
  • Chapitre 7 : Facettes
  • Chapitre 8 : Espoir
  • Chapitre 9 : Confrontations
  • Chapitre 10 : Légende
  • Chapitre 11 : Abîme
  • Chapitre 12 : Destin
  • Chapitre 13 : Haine
  • Chapitre 14 : Confiance
  • Chapitre 15 : Promesse
  • Chapitre 16 : Révélation
  • Chapitre 17 : Fantôme
  • Chapitre 18 : Guerre
  • Chapitre 19 : Naissance
  • Épilogue

Extrait (prologue)

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“La nuit est d’un noir profond. Au sommet d’une colline, deux silhouettes se détachent pourtant. Encapuchonnés, leurs visages ne sont pas reconnaissables. À leurs pieds gît un corps. Une lame d’un noir aussi sombre que le ciel est plantée dans son cœur. Autour de la blessure, une large tache rouge se répand sur des vêtements somptueux. Le cadavre arbore un visage fin, encadré par deux oreilles pointues. Les silhouettes, immobiles, observent silencieusement le défunt.

« Avons-nous vraiment eu raison ? demande finalement une voix rauque d’un ton inquiet.
– Il ne nous a pas laissé le choix, répond une autre, plus calme que la première, presque mélodieuse.
– Quand bien même…
– Il aurait mené notre peuple à sa perte. C’était le seul moyen.
– Tu ne crains pas la réaction des autres ?
– Ils me suivront sans hésiter. Les choses ont toujours été comme ça. Ils suivent la force, et uniquement la force.
– Mais s’il revenait encore…
– Cesse donc de t’inquiéter, cela n’arrivera pas. Pas cette fois. La lame empêchera son esprit de retrouver son corps.
– Tu dois avoir raison. J’espère que tu as raison. Sincèrement. Parce que dans le cas contraire, nous finirions tous deux réduits en cendres dans l’instant.
– Cela fait partie des risques. Et je ne t’ai pas forcé à le trahir. C’était ton choix, ne te débine pas maintenant. Bientôt je serai roi, et nous récupérerons enfin notre dû.
– À ce propos, j’ai eu une conversation avec les deux humains.
– Et alors ?
– Ils ont accepté sans hésiter une seconde. Comme tu l’avais prévu.
– Évidemment. L’ambition est le plus gros défaut des humains. Ils préfèrent se faire la guerre plutôt que de s’unir face à leurs ennemis communs. Cela les mènera inévitablement à leur perte. Mais assez discuté. Quelqu’un va finir par s’apercevoir qu’il a disparu. Ah, et n’oublie pas de te débarrasser du corps. Il serait malvenu que quelqu’un le découvre maintenant », conclut la seconde ombre en tournant les talons d’un pas léger.

À présent seule, la première silhouette reste immobile pendant de longues minutes, fixant le cadavre d’un regard triste.

« Pardonne-moi mon ami, lâche-t-elle finalement d’une voix hésitante. J’aurais aimé que les choses se passent différemment. »

À contrecœur, l’ombre lève une main au-dessus du corps. Des flammes noires en jaillissent aussitôt, dévorant le mort avec avidité. En un instant, il ne reste plus du cadavre que des cendres. Sa tâche accomplie, la deuxième silhouette s’en va à son tour. Seule subsiste sur la sinistre colline une lame noire plantée dans le sol.”

A propos d’Arthur Sibony, l’auteur

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Arthur Sibony est un jeune auteur âgé de 20 ans qui écrit depuis deux ans en parallèle de ses études.

Grand lecteur de fantasy et autre littérature de l’imaginaire depuis son enfance, il plonge dans ses premiers gros romans en découvrant l’univers d’Harry Potter.

Dès l’âge de 10 ans, il se met donc à lire énormément. Parce qu’Arthur trouve que le monde manque de magie, il dévore tous les grands classiques du genre : L’Assassin Royal, Eragon, Percy Jackson, Game of Thrones, Tara Duncan, l’Epouvanteur,..

C’est cet amour de la littérature qui le conduit par la suite à prendre la plume.

Il confirme :

Au fur et à mesure du temps, j’ai commencé à imaginer mon propre univers, avec mes personnages et mes histoires. Alors il y a environ deux ans, j’ai eu envie de leur donner vie en les écrivant.

Arthur met donc un peu d’ordre dans ses idées puis il se lance dans la rédaction du premier tome de la saga Lysarian.

Au début, il n’est pas sûr d’aller jusqu’au bout mais, très vite, il réalise qu’il adore se laisser emporter par ses personnages : au départ, il n’a en tête que les grosses intrigues et les scènes importantes du livre, ce sont eux qui décident du reste.

Aujourd’hui, il prévoit de publier l’intégralité de la saga, qui sera divisée en 3 trilogies (soit 9 tomes). Si Arthur a actuellement opté pour la liberté de l’auto-édition, il aimerait par la suite trouver un éditeur pour voir son livre distribué dans toutes les librairies. Il envisage également une traduction de sa saga pour la diffuser à l’étranger.

Son rêve ultime ? Voir l’univers Lysarian adapté au cinéma et surtout pouvoir un jour vivre de ses romans.

Actuellement, le jeune auteur finalise le deuxième tome, à paraître en janvier 2022. En parallèle, il pourrait également écrire des hors-série et des aventures parallèles en lien avec Lysarian ou de nouvelles sagas dans d’autres genres que la fantasy.

Informations Pratiques

“Lysarian: L’éveil du Phénix” d’Arthur Sibony

  • Public : Adolescent à partir de 13 ans et Adulte
  • 326 pages
  • Prix : 14,99 € broché – 3,99 € e-book (gratuit avec l’abonnement kindle).

Pour en savoir plus

Découvrir le livre : https://www.amazon.fr/Lysarian-L%C3%A9veil-Ph%C3%A9nix-Livre-fantasy-ebook/dp/B09CQL5VDP/

Facebook : https://www.facebook.com/ArthurSibony

Instagram : https://www.instagram.com/arthursibony/?hl=fr

“La Chienne-Mère”, de Simona Brunel-Ferrarelli : un roman d’une force rare autour des violences familiales et sociales

Allegra Felice et Sahi sont encore enfants lorsqu’ils adoptent chacun un chiot né dans la ferme familiale. Ce sera Mère, pour elle ; Bandit, pour lui.

En grandissant, les jeunes revendiquent leur place dans une société à la violence intrinsèque. Allegra Felice pourra-t-elle y échapper ?

Un texte brut, sincère, puissant. Une réalité tout aussi dure.

Dans La Chienne-Mère, le deuxième roman de l’auteure genevoise Simona Brunel-Ferrarelli, c’est Allegra Felice qui parle. Les lecteurs la découvrent alors qu’elle est encore dans le ventre de sa mère, comprennent la brutalité qui a entouré sa conception, et celle du monde dans lequel elle va naître.

Au fil des pages, l’auteure explore les rapports manqués entre mère et fille, les violences familiales et sociales… Il y a aussi l’adoption de Mère, cette chienne dont le sentiment maternel sera un exemple de dignité.

Autant de problématiques qui font écho avec les sujets de société émaillant régulièrement l’actualité, donnés à voir “de l’intérieur” et traités avec une plume incisive, précise, et d’une rare intensité.

couverture

Extrait

“Je suis née brute, vorace, prête avant l’heure pour le combat.

Ma mère, apprenant sa grossesse, avait décidé qu’elle ne survivrait pas à l’accouchement. Des générations de mères avant elle avaient tremblé pour moins que ça, une indisposition de rien du tout, trois fois rien d’égratignure. C’était une indéfectible marque de fabrique que de n’être bonnes à rien, chez nous.

Elle avait donc disposé de l’avenir en quelques mots, griffonnés sur un torchon, comme chaque fois qu’elle allait chez le médecin, certaine de ne pas en revenir.

Entre l’enfant et moi, sauvez l’enfant.

Mon père se consolerait, pensait-elle. Ne le faisait-il pas déjà ?

Lui se torturait pour autre chose. Une autre bouche à nourrir. Et, dans ces ceintures de ville où l’existence est rude, une bouche, c’est un gouffre. Comment c’est arrivé ? Cette question les tortura longtemps. À notre âge.

Pendant tout le temps de l’attente longue, je les entendis rugir depuis ma cage ventrue.

Cet enfant naîtra difficilement. Il faut que je mange peu, afin qu’il ne soit pas aussi gros que les autres, sinon il me tuera.

Tu t’inquiètes pour rien, marmonnait le père entre deux tassées de soupe. Laisse Dieu faire son travail.

Dieu dort, pensait ma mère, qui avait perdu la foi.

Quant à moi, je n’étais alors qu’un cœur minuscule battant dans des eaux grises. Mais je devinais déjà, dans toutes ces rebuffades, qu’un rien pourrait avoir raison de moi et que, pour me protéger de ces insanités, je devais faire quelque chose d’important, manifester mon enthousiasme, encourager ces deux-là à m’accueillir dignement.

Mais je n’existais pas. Pas encore.”

À propos de Simona Brunel-Ferrarelli, l’auteure

Simona Brunel-Ferrarelli est née à Rome en 1965. Arrivée à Genève en 1974, elle étudie les Lettres, puis enseigne la littérature française dans différentes écoles privées.

Passionnée par l’écriture et le théâtre, elle écrit abondamment sans jamais songer à être éditée. À la mort de sa mère, en 2016, elle signe Les Battantes (Encre fraîche, 2019), avec lequel elle fait une entrée remarquée sur la scène littéraire romande. Elle a reçu pour ce premier roman le prix SPG (prix de la Société Genevoise des écrivains) et a été finaliste de nombreux autres prix.

Informations Pratiques

La Chienne-Mère, de Simona Brunel-Ferrarelli

  • Sortie : 20/08/2021 ;
  • Editeur : Slatkine ;
  • Format : 14 x 21 cm ;
  • 184 pages ;
  • ISBN 9782832110706 ;
  • EAN13 9782832110706 ;
  • Prix : 19 €.

Pour en savoir plus

Découvrir le livre : https://www.slatkine.com/fr/editions-slatkine/75079-book-07211070-9782832110706.html

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Roman : “La tourmente du Serpent”, le polar de Sébastien Cazaudehore qui invite à découvrir l’âme de la Papouasie et ses mystères

Quelque part dans les Highlands de Papouasie-Nouvelle-Guinée, un secret s’est perdu… De nombreuses années plus tard, une étrange statuette sans visage est volée dans un grand musée parisien, et l’inspecteur Ulysse Treilhard est appelé pour enquêter.

L’esprit accaparé par l’étrangeté croissante du crime et par les souvenirs qui resurgissent d’un passé lointain, il se laisse peu à peu entraîner vers un monde de mystères qu’il ne croyait plus retrouver. Sans savoir s’il poursuit un criminel, une légende ou une force plus grande encore œuvrant contre lui, Treilhard replonge alors dans les jungles millénaires de Papouasie. C’est dans ces montagnes, au cœur du territoire Huli, qu’il cherchera les réponses à cette énigme intimement liée à son passé.

“La tourmente du Serpent” est bien plus qu’un simple roman ! Au fil des pages, Sébastien Cazaudehore plonge les lecteurs.trices dans une aventure anthropologique et spirituelle palpitante qui combine l’initiation chamanique et le mystère.

Tel un venin qui se répand et nous ensorcelle…

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Un polar anthropologique pour découvrir un peuple isolé du reste du monde

“La tourmente du Serpent” est un livre à part, puisqu’il est à la fois un roman policier et un roman d’aventure.

Sa particularité : offrir une approche anthropologique solide, afin de permettre aux lecteurs.trices d’entrer dans l’univers des anciennes légendes séculaires cultivées par les Hulis, un peuple isolé de nos sociétés modernes, mais qui a développé une culture riche et mystérieuse.

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Leurs légendes bien vivantes vont avoir des implications lorsqu’elles vont faire leur entrée dans notre monde… « Hela Huli » est une terre ou l’on doit toujours s’attendre à l’inattendu.

Pour parfaire cette immersion, un livret au centre du roman présente plusieurs photos des Hulis et de leur environnement. Car Sébastien connaît bien la Papouasie pour y avoir vécu.

Il souligne :

J’ai écrit le roman quelques années après être revenu pour la dernière fois de Papouasie. Il y avait un peu de nostalgie liée à ces souvenirs et ces aventures, mais surtout aux personnes. J’avais déjà écrit un récit de voyage personnel, alors j’ai voulu créer cette histoire avec l’inspecteur Treilhard pour revivre ces aventures. J’ai même été plus loin en imaginant ce que pouvaient receler les choses et les endroits que je n’avais pas réussi à voir et atteindre.

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Extrait du prologue

“1976. Quelque part dans les Highlands de Papouasie-Nouvelle-Guinée.

Cela faisait maintenant deux jours qu’Ekape courait, suivant une route que lui seul pouvait voir au travers de cette jungle inextricable. La peur au ventre, il sentait un danger invisible le poursuivre, se rapprochant inexorablement. À bout de souffle, il s’appuya quelques instants sur le tronc d’un arbre pour reprendre haleine et réajuster son précieux paquetage autour de ses épaules nues, ruisselantes de sueur. Il prit une profonde inspiration et écouta les sons de la forêt à la recherche des bruits qui ne lui appartenaient pas. Il ferma les yeux et concentra ses sens pour essayer de percevoir l’imperceptible.

Une voix au loin. Un cri. Un ordre crié.

Quelque part sur le flanc de la montagne, ses poursuivants se rapprochaient.

Il reprit sa course effrénée en prenant garde à ne pas perdre son orientation, et à laisser le moins de traces possibles de son passage, trop faciles à repérer pour les traqueurs qui guidaient les Honabis.

Depuis deux jours, il ne dormait presque pas, la peur lui faisait oublier l’épuisement et le manque de sommeil. Il n’avait qu’un but : rejoindre son frère qui l’attendait pour récupérer ce paquet que les anciens du clan lui avaient confié, pressentant les troubles imminents.

À dix-sept ans, Ekape était maintenant un homme, un initié, portant les responsabilités du clan. La mission lui avait été confiée, car il était l’un des meilleurs chasseurs et qu’il avait déjà fait plusieurs fois le voyage jusqu’à la vallée du Tagari, l’endroit que les Honabis appelaient maintenant Tari, incapables qu’ils étaient de prononcer le nom de la rivière correctement. Ils y étaient arrivés quelques années avant sa naissance, mais les gens de son clan vivaient dans une vallée reculée et n’avaient eu de contact avec eux que récemment.”

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A propos de Sébastien Cazaudehore

Anthropobiologue de formation (PhD), Sébastien Cazaudehore a suivi les enseignements des chamanes amazoniens, ainsi que de nombreuses autres formations touchant au développement personnel (hypnose eriksonienne, PNL, psychogénéalogie, décodage biologique).

En 2013, il a fondé le Centre Devas, d’abord en Équateur, dans l’Amazonie, puis en France avec son épouse Ambre Cazaudehore, où il est psychobiologue. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages dont “La tourmente du Serpent” (le premier opus de la série Treilhard), un roman d’aventure anthropologique dont l’intrigue se déroule en Papouasie-Nouvelle-Guinée.

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Sébastien, durant ces années d’anthropologue, était spécialisé sur la culture Huli de Papouasie-Nouvelle-Guinée. “La tourmente du Serpent” est née de son imagination, de son goût pour l’aventure et de ses expériences au sein du clan Pina près de Tari dont il a partagé le quotidien. A l’instar de son héros, Sébastien est parti à la découverte des mystères que ces montagnes recèlent, un monde d’esprits et de légendes qui enflamment l’imagination.

Après une douzaine d’années à vivre dans l’Amazonie d’Équateur, Sébastien vit aujourd’hui en France où il travaille comme auteur de romans, d’essais et de livres sur le développement personne, et thérapeute.

Informations Pratiques

La tourmente du Serpent” de Sébastien Cazaudehore

  • Éditeur ‏: ‎Véga Editions ; Illustrated édition (24 juin 2021)
  • ‎368 pages
  • ISBN-10 : 2381350098
  • Dimensions : 16.1 x 2.7 x 22.5 cm ‎
  • Prix : 23 € broché – 15,99 € e-book

Pour en savoir plus

Découvrir le livre : https://sebastiencazaudehore.fr/la-tourmente-du-serpent/

Lire le prologue : https://sebastiencazaudehore.fr/quelques-textes/prologue-du-roman/

Site web : https://sebastiencazaudehore.fr/

Facebook : https://www.facebook.com/S%C3%A9bastien-Cazaudehore-107744860729544

“L’Incroyable destin de Manika” de Catherine Gabriel, un premier roman inspirant et poignant autour de la résilience basé sur une histoire vraie

Manika, une jeune femme indienne d’une quarantaine d’années, a vécu le pire. Deuil, violence, trahisons, la vie ne l’a pas épargnée.

Elle a dû faire face à de nombreux défis plus éprouvants les uns que les autres. Et pourtant, elle a trouvé à chaque fois la force de rebondir et de braver l’adversité, pour en ressortir grandie et transformée.

Sa quête de spiritualité et une foi inébranlable en la vie l’ont aidée à se libérer de ses blessures et à retrouver un équilibre. Elle s’est reconstruite et réinventée.

Dans son premier roman “L’Incroyable destin de Manika”, Catherine Gabriel raconte ce chemin de résilience et offre un espoir à toutes les femmes qui ont souffert ou qui traversent des périodes difficiles.

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Une formidable leçon de résilience et un message d’espoir

L’histoire de ce roman est aussi celle d’une complicité et d’un coup de cœur amical entre deux femmes que tout sépare.

Elle prend naissance à Rome, en 2018, quand Catherine Gabriel rencontre Manika, une femme indienne de son âge. De passage à Paris chez une amie commune, Manika accepte spontanément de rendre visite à Catherine. Leur amitié est immédiate.

Manika lui raconte sa vie en toute confiance. Elle évoque ses déchirures, ruptures, deuils, trahisons diverses et autres épreuves très dures, mais toujours avec une sérénité et un détachement impressionnants.

Car Manika est une âme “évoluée”, qui pratique la spiritualité au quotidien, organise des méditations collectives, et fait des massages sacro-crâniens extraordinaires pendant lesquels elle capte des messages pour ses clients. Elle est aussi pleine d’humour et profite pleinement de tous les petits plaisirs de chaque jour. Avec Catherine, elle partage des moments de complicité forts en émotion et les deux amies se divertissent beaucoup.

Catherine souligne :

J’ai été littéralement subjuguée par sa force de caractère et sa foi en la vie ! Je me sentais curieusement très proche d’elle, alors que tout nous séparait. Elle m’a fait beaucoup réfléchir et elle a, je crois, profondément changé ma vision des choses.

Lorsque Manika retourne en Inde où elle habite, Catherine n’arrête pas de repenser à son histoire, même la nuit. Elle en parle en permanence à ses amies, qui lui suggèrent d’écrire sur sa vie.

Pour Catherine, ce projet fait sens. En tant qu’avocate, elle a une facilité de plume. Elle nourrit aussi un “fantasme de l’écrivain”, considérant qu’il s’agit du plus beau métier du monde, car il est le plus inspirant et le plus libre (il se pratique n’importe où, n’importe quand, et à tout âge). La rencontre avec Manika est le déclic qui lui a permis de réaliser ce rêve un peu fou…

Elle confie :

Avec ce livre, je veux honorer Manika et faire passer un message : quels que soient les défis rencontrés, il y a toujours moyen de garder cet amour de la vie. Manika en est une preuve vivante.

Les (grands) petits plus

Une structure originale, faite d’allers-retours entre l’Inde et Rome (de 1982 jusqu’en 2015) : les lectrices découvrent le destin romancé de Manika en Inde, et les moments de complicité à Rome entre l’autrice et l’héroïne (tous les 2 à 3 chapitres).

Un style accessible à tous : le livre est facile à lire et captivant, le ton reste léger, avec beaucoup de discussions.

Des pépites inspirantes, grâce aux conseils de Manika (ex : comment pratiquer la méditation) et au regard incroyablement positif qu’elle porte sur la vie.

Extrait

“Après les fêtes de Noël, je comptais les jours en attendant des nouvelles de Sohan. Je ne comprenais pas son silence. J’ai patienté des jours entiers en me faisant un sang d’encre. Je me disais qu’il avait deviné ce que j’avais à lui dire et qu’il voulait m’éviter. Je me suis fait un film. Toutes sortes de scénarios me passaient par la tête, cela me rendait folle. Et surtout quand je demandais de ses nouvelles à mes parents l’air de rien, ils se regardaient gênés, en se mordant les lèvres. Je trouvais ça vraiment angoissant et cela me confortait dans le fait qu’il ne voulait pas de moi. J’étais désespérée.

Un jour, un voisin et ami de la famille est passé à la maison. Je ne l’avais pas vu depuis longtemps. Quand il m’a aperçu, il s’est arrêté net, son visage s’est renfermé et il m’a pris délicatement dans ses bras. Je n’ai rien compris sur le coup. Je me demandais ce qui se passait, pourquoi il prenait soudain cet air de chien battu et pourquoi il me serrait comme ça, cela ne lui ressemblait pas. Et j’appris la terrible nouvelle, comme ça de but en blanc. Il m’annonça la mort brutale de Sohan un mois plus tôt, que c’était indécent de mourir à cet âge, qu’il était tellement désolé pour moi, qu’il aurait mérité de vivre plus longtemps…

Je ne sais pas si tu as déjà reçu une nouvelle où tu as l’impression que le sol se dérobe sous tes pieds. Ça te fait l’effet d’un tsunami. Tu te prends la tête entre les mains et tu veux disparaître, mourir, tu veux rembobiner le film et surtout que ce que tu as entendu n’ait jamais été dit… Je n’arrivais pas à croire que Sohan, mon seul et unique ami, qui m’accompagnait depuis mes six ans, et avec lequel je voulais me marier, était mort et enterré, et que je n’étais même pas au courant.

Juste après l’accident, ses parents ont retrouvé une lettre à mon intention, que Sohan n’avait malheureusement pas eu le temps de m’envoyer. Ils me l’ont donnée quelques semaines plus tard quand je suis allée leur rendre visite pour leur présenter mes condoléances. Sohan s’était vraiment appliqué, l’écriture était magnifique, tu aurais dû voir ça, du grand art. Tu vas peut-être trouver ça fou mais après toutes ces années, je m’en souviens encore par cœur. Je l’ai lue et relue tellement de fois, c’est la plus belle lettre d’amour que j’ai jamais reçue. Écoute ça.

« Ma chère et tendre Manika, je n’ai pas de mots assez forts et justes pour décrire ce que je ressens pour toi. Dès le premier jour de l’école où je t’ai offert des petits chocolats, j’ai su. C’est plus que de l’amitié et encore bien plus que de l’amour. C’est un sentiment plus complexe et plus noble qui fait que quand je pense à toi mon cœur s’accélère et sourit, je me sens ivre de bonheur et je plane. Tu es mon rayon de soleil et mon oxygène. Tu m’inspires toute la beauté et la délicatesse du monde, je veux te protéger et te combler. Je n’envisage pas ma vie sans toi, je te veux à mes côtés, et pour toujours. Tu m’es indispensable comme l’air que je respire, comme la beauté qui m’inspire, je t’aime et te serai fidèle. Veux-tu devenir ma femme ? Ton Sohan pour la vie ».

**

- Cette lettre est vraiment très belle Manika, tellement romantique. Tu vois qu’il t’a aimée dès le début, et qu’il rêvait lui aussi de se marier avec toi, tu t’es inquiétée pour rien. Mais comment est-il décédé exactement, que s’est-il passé ?

- Les voisins m’ont raconté qu’il allait rejoindre sa sœur chez elle, à quelques kilomètres de sa maison. Ils voulaient faire des photos de famille pour Noël, comme ils avaient l’habitude de le faire chaque année. Il avait reçu en cadeau pour ses seize ans une magnifique moto, une Suzuki verte anglaise flambant neuve, son rêve de toujours. Il m’en avait parlé plusieurs fois avec effusion. Apparemment, il a enfourché sa moto et il est parti comme une balle. C’est vrai que la vitesse l’a toujours grisé, c’était un intrépide, amateur de sensations fortes. Il a percuté un camion qui arrivait en sens inverse, en pleine gauche. Le conducteur était complètement ivre. On m’a dit que Sohan était décédé sur place, avant même l’arrivée des secours.”

A propos de Catherine Gabriel

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Née en Bourgogne, Catherine a passé son baccalauréat au lycée français de Washington.

Elle suit ensuite des études supérieures à Paris (Barreau de Paris en 1998 et MBA à Sciences Po en 2000) puis commence sa carrière en tant qu’avocate.

Avec sa famille, elle part vivre à Milan, où elle reste 4 ans. Elle rentre ensuite à Paris. Aujourd’hui, Catherine vit à Rome depuis 3 ans.

“L’incroyable destin de Manika” est son premier roman.

Devenue écrivaine à temps complet, Catherine travaille actuellement à son deuxième roman.

Informations pratiques

“L’Incroyable destin de Manika” de Catherine Gabriel

  • Éditeur :‎ Editions L’Harmattan
  • 176 pages
  • ISBN-10‏ : ‎2343212120
  • ISBN-13 : ‎978-2343212128
  • Prix : 18,50 €

Pour en savoir plus

Découvrir le livre : https://www.catherinegabriel-liguti.com/lincroyable-destin-de-manika/

Site web : https://www.catherinegabriel-liguti.com/

Facebook : https://www.facebook.com/catherinegabrielliguti

Instagram : https://www.instagram.com/cathliguti/

LinkedIn : https://www.linkedin.com/in/catherine-gabriel-liguti-75263457/

“Ne perds pas la face” de Simon Descotes, un roman palpitant qui plonge le lecteur au cœur des mouvements religieux intégristes

Quatre jeunes fervents catholiques vont faire main basse sur la relique ultime : la Sainte Face. Leur but est d’apporter la preuve irréfutable de l’existence du Christ et ainsi ramener les croyants dans les églises. Cette aventure pleine de rebondissements va questionner leurs convictions les plus profondes et mettre en lumière leurs contradictions.

Le roman “Ne perds pas la face” est un voyage au cœur des mouvements religieux radicaux et nationalistes qui traversent notre époque.

Simon Descotes, un auteur mystérieux qui a choisi un pseudonyme pour aborder ce sujet brûlant, montre comment les religions sont souvent instrumentalisées pour conquérir ou entretenir le pouvoir de quelques-uns. Elles ont pourtant façonné notre histoire en utilisant des symboles ou des allégories, parfois simplistes, derrière lesquels des légions entières de fanatiques continuent de s’affronter.

Un livre à mettre entre toutes les mains.

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Les plus du livre

  • Un style accessible à tous ;
  • Une histoire à rebondissements qui tient en haleine de la première à la dernière page ;
  • Un roman qui aborde une thématique d’actualité, et donne donc un autre éclairage sur le monde qui nous entoure.

Extrait

“Une semaine plus tard, le précieux linge était de retour à Compiègne. Gérard s’empressa de lui assigner la salle la plus tempérée de l’immense demeure. Il donna la consigne de le laisser dans le noir jusqu’à nouvel ordre. Quelques jours plus tard, le centre de datation rendit son verdict : le linge était vieux de 2 000 ans environ. Gérard exulta en apprenant la nouvelle. C’était une « bénédiction » pour le château, la ville et lui-même. Il s’attribuait une partie du mérite de la découverte car c’est lui qui avait ordonné la recherche initiale. Cerise sur le gâteau, l’équipe de Lucien avait pu confirmer la présence d’une source active dans le puits et l’avait remis en eau sur-le-champ, en dégageant tous les éboulis.

Avec l’autorisation du ministère et en présence du conservateur régional, Gérard donna une conférence de presse pour annoncer la nouvelle. Aucun média national ne reprit la nouvelle, ils demeuraient tous trop attachés à couvrir les premiers jours de la présidence d’Emmanuel Macron. Seuls trois journaux locaux et régionaux se firent écho de l’information.

Le diocèse de l’Oise tenta de récupérer le linge sacré, arguant le fait qu’il appartenait initialement à l’abbaye. Son placement dans la salle secrète du puits n’avait pour but que de le mettre à l’abri des révolutionnaires déchaînés. Le diocèse avait même saisi le juge en référé, mais il n’avait pas obtenu gain de cause.

Suivant les prescriptions des experts, il commanda une vitrine climatisée affichant le contrôle d’hygrométrie. En attendant sa livraison prévue fin septembre, il décida de le conserver sous clef, dans la salle qu’il lui avait octroyée, au deuxième étage du château dans l’aile droite, place Général De Gaulle. Il fit fermer les volets intérieurs par précaution, même si le linge se trouvait déjà à l’abri de la lumière dans sa valise.

Il fit équiper la pièce d’une caméra wifi, reliée au système central de surveillance du château. Il ne fallait prendre aucun risque.”

A propos de Simon Descotes

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Qui se cache derrière le pseudonyme Simon Descotes ?

Tout ce que l’on peut dire est que cet auteur est né dans une famille modeste, fidèle aux traditions chrétiennes. Jeune homme, il se passionne pour le fait religieux, mais choisit finalement le monde séculier : celui des affaires.

Hermann Hesse et Jean-Jacques Rousseau sont ses références littéraires majeures.

« Ne perds pas la face » démontre la fragilité des convictions des combattants de Dieu. Cette aventure pleine de rebondissements nous emmène au cœur des mouvements religieux radicaux et nationalistes qui traversent notre époque.

Avec ce livre, je veux montrer comment le politique peut instrumentaliser la foi pour servir ses intérêts. Comment certains politiciens sont prêts à tout pour se maintenir au pouvoir.

Une passion pour l’écriture

Simon considère qu’écrire est comme partir en voyage.

C’est d’abord un vagabondage, une rêverie qui apporte le thème, le fil directeur du texte à venir ; c’est le projet de voyage. Puis, il faut préparer ses valises : entreprendre des recherches, lire, se documenter. Vient le moment du départ : écrire les premiers mots. Ils ont du mal à sortir, comme un train qui quitte le quai et prend doucement de la vitesse.

Ensuite les idées, les mots affluent comme autant de paysages qui défilent et s’enchainent, selon une logique qui se découvre à lui.

Souvent, je deviens lecteur de mes propres écrits ; des aventures inattendues qui donnent tout leur relief à ma pérégrination. Ma destination finale est rarement celle que j’avais imaginée au départ. J’adore voyager.

Informations Pratiques

“Ne perds pas la face” de Simon Descostes

  • Editions Sydney Laurent
  • ISBN : 979-10-326-4261-0
  • Nombre de pages : 262
  • Prix Broché : 18,90 € – Prix Ebook : 9,99 €

Pour en savoir plus

Dossier de presse : https://www.relations-publiques.pro/wp-content/uploads/pros/20210601065003-p3-document-hmzf.pdf

Découvrir le livre : https://editions-sydney-laurent.fr/livre/ne-perds-pas-la-face/

Instagram : https://www.instagram.com/simon.descotes/

LinkedIn : https://www.linkedin.com/in/simon-descotes-6284ba214/

Youtube : https://youtu.be/vSw5H6f6fhw

La lecture de l’été : “Et un jour, le BONHEUR nous frôle” de Sixtine Doré, un roman #feelgood, drôle et rempli d’humanité

Trois femmes, trois destins.

Jeanne, la cinquantaine paisible, laisse derrière elle sa vie confortable et son mari dont elle apprend brutalement l’infidélité. Juliette désinvolte et rebelle, enchaîne les histoires sans lendemains. Elle veut vivre sans les contraintes de la vie de couple. Monique, vivant toujours chez ses parents à l’aube de la quarantaine, appréhende de voler de ses propres ailes. Elles se rencontrent par un heureux hasard sur une île des Maldives, chacune à la croisée de leur vie. Un point les rassemble, la soif de liberté.

Au fil de leur voyage, elles partent en croisade contre leurs propres peurs. Ensemble, elles rient, pleurent et avancent plus soudées que jamais. Mais peuvent-elles imaginer à quel point la vie réserve des surprises ?

“Et un jour le BONHEUR nous frôle” est le premier roman de Sixtine Doré. Touchant, joyeux et rempli d’humanité, il présente des destins de femmes dans lesquels les sentiments s’entremêlent.

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Extraits

Jeanne

“Cinquante ans. Jeanne se réveille ce matin, à l’âge de la maturité. Elle se réveille aussi, de sa vie insipide et étriquée. Sa migraine, qui a élu domicile en elle voilà sept mois, est encore là comme tous les matins de ses nuits sans sommeil. Une de plus.

Elle allume sa lampe de chevet, se lève et sort de sa chambre. Elle se dirige vers la cuisine et fait couler son café. Elle regarde par la fenêtre, tourne sa cuillère lentement en fixant son camélia, soucieuse. Elle fait l’ultime état des lieux de sa vie ce matin-là. Elle ratifie le choix de ce changement récent, manœuvré en secret, de son époux. À cet âge où elle pourrait profiter de petits enfants qu’elle n’a pas et de parents qu’elle n’a plus, elle s’imagine rencontrer un homme plus jeune. Elle refuse d’être une denrée périssable, de parler mutuelle et de programmer ses prochaines cures thermales avec ses amies. La peur de vieillir creuse les rides, elle le sait. Elle veut vivre et retrouver son indépendance. Son mari lui a facilité la tâche ces derniers temps, avec cette blonde. Elle vit avec un courant d’air. Le soir, elle retrouve seule son lit froid et le matin, la tasse dans l’évier de son mari enfui.

Elle ne se prépare pas ce matin-là, elle s’apprête. Elle s’apprête à quitter sa vie qu’elle ne veut plus, qu’elle jette comme un mouchoir usagé. Elle passe la journée à régler les dernières affaires courantes, ranger la maison, faire sa valise, ne rien oublier. Tout doit être ordonné. Elle ne lui laissera pas de lettre sur la table de la cuisine, c’est inutile, il comprendra.”

Monique

“Les mâchoires crispées, sa mère pose la valise sur le trottoir, avec Monique à côté. Elles s’embrassent. Une larme roule sur la joue maternelle. Le père tend juste la sienne. « Un homme ça ne pleure pas, lui disait sa propre mère ». Alors il s’est construit avec l’idée que les sentiments étaient des histoires de bonne femme.

Ils remontent dans le break. Monique, le cœur lourd, voit partir ses parents et Robert, son chien, la tête dépassant du coffre. Elle ne voit plus la voiture disparue dans la nuit, elle se sent alors perdue, seule. Son esprit est comme sorti de son corps, il est encore là mais à côté d’elle, elle ne sent plus ses jambes devenues cotonneuses. Elle ne sait pas où aller. Le bruit des avions qu’elle entend au loin et des valises roulant tout près, l’aide à sortir partiellement de son état. Déboussolée, elle se met à suivre quelqu’un au hasard.

Son regard est attiré par une femme portant un chapeau, descendue du RER B. Elle la suit de loin. La valise de Monique percute un poteau, elle se baisse pour la remettre sur ses roues et perd de vue la femme au chapeau. Elle suit alors le flot des voyageurs et franchit la porte automatique de l’entrée. Elle repère au loin la femme au chapeau et la rattrape. Le plus embêtant pour Monique est d’attendre patiemment qu’elle ressorte de la maison de la presse, elle a peur que cette femme s’en rende compte et appelle la sécurité. Elle s’éloigne. La femme ressort, Monique active le pas jusqu’à se mettre dans une file d’attente derrière elle. Elle attend, elle ne sait ni qui ni pourquoi, mais elle attend, résignée, dans cette queue qui avance au compte-gouttes.”

Juliette

“Les passagers du RER B descendent à la hâte pour respirer à nouveau l’air enrichi en oxygène. Juliette attend son tour. Chapeau de paille vissé sur la tête, elle se fraye un chemin parmi la foule du Terminal 2E de l’aéroport Paris-Charles-de-Gaulle, slalome entre les valises et dégaine son billet électronique pour confier ses bagages. Tout lui semble simple, rapide, efficace aujourd’hui. Elle se rend à la maison de la presse pour y prendre un magazine. Elle croise en sortant une jeune femme, et est frappée par sa très longue tresse.

Elle a pris le train de 7h44 en gare de Saint-Jean-de-Luz hier, un direct. Elle a dormi à Paris chez Alice, une copine inscrite au cours Florent depuis la rentrée. La nuit a été courte, Alice voulait lui faire tester un nouveau restaurant végan de son quartier pour fêter leurs 35 ans. Elles ont parlé de l’extinction des espèces animales, du sixième continent en plastique et de la catastrophe humanitaire au Yémen. Léopoldine, une copine, les a rejointes après être allée voir un film dénonçant les ravages du réchauffement climatique. Elle a participé à la grève de l’année dernière pour alerter les responsables politiques sur la nécessité d’agir. Elle a assisté à tous les meetings parisiens des militants écologiques. La conversation a glissé vers la dangerosité des pesticides, la toute-puissance des géants du web, les différentes menaces pesant sur la démocratie. Elles ont bu un cold brew café au bistrot d’en face et ont terminé la soirée chez Joseph.”

L’avis des premières lectrices

Voici un aperçu des témoignages laissés sur les sites de vente (Fnac, Amazon…) et sur les réseaux sociaux :

“Un coup de cœur! Beaucoup de sensibilité et de justesse dans ce roman, que j’ai commencé en riant et refermé en pleurant. Les personnages sont touchants d’humanité, le récit addictif, un très beau moment de lecture. Je recommande!”

“Je viens de passer trois jours avec Jeanne, Juliette, Monique…et les autres. Je me suis attachée à eux, j’ai voyagé et eu le sentiment d’être avec eux sur cette île des Maldives. Bravo pour ce beau roman, que je suis triste d’avoir terminé.”

“Je me suis laissée emporter par le tourbillon d’émotions de Et un jour le BONHEUR nous frôle. J’ai été submergée par ce magnifique roman ! Les histoires de Juliette, Monique et Jeanne m’ont touchée et surprise, je me suis vue avec elles aux Maldives, j’ai lu plus doucement sur la fin, pour savourer…Une ode à la résilience. Un roman beau, touchant et émouvant…”

“Merci pour votre magnifique roman. Je l’ai fermé avec le sourire aux lèvres et les larmes aux yeux, touchée par les émotions que dégagent vos personnages et votre histoire. Instagram permet de belles rencontres, de belles découvertes littéraires et votre roman en fait partie.”

“Sixtine Doré signe un premier roman très touchant et joyeux. La bonne humeur de ce roman est contagieuse et, en même temps, le livre nous transmet de très belles émotions.”

Portrait de Sixtine Doré

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Née en 1980 près de Bordeaux, Sixtine Doré est médecin. Mariée, elle vit en famille entre les Landes et le Pays basque.

Elle aime le café (avec un petit carré de chocolat, noir de préférence), lire, jouer du piano, rire, courir, l’odeur des pins. Elle aime aussi la place de son village décorée de fanions et de guirlandes à l’esprit guinguette, réunir sa famille chaque été, les chocolatines et vivre des choses simples mais authentiques !

Je vis dans le sud-ouest de la France où je crée mes plus beaux souvenirs. Comme je suis passionnée par l’écriture, je raconte des histoires qui font du bien, joyeuses et motivantes.

C’est dans ce bel environnement qu’elle a écrit Et un jour, le BONHEUR nous frôle, son premier roman.

A propos des éditions Plume Libre

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La jeune maison d’éditions Plume Libre, s’intéresse à tous les auteurs qui souhaitent exprimer leurs idées originales, partager leur art et leurs savoirs dans des textes empreints de poésie quelquefois, de sincérité toujours.

Elle a été fondée par :

  • Sylvie Prat, sage-femme et diplômée universitaire de Généalogie-Histoire familiale ;
  • Marie Prat, voyageuse dans l’âme et citoyenne du monde, consultante internationale depuis 20 ans dans le domaine du numérique & du digital learning, et auteure (ouvrages informatiques chez ENI, roman chez Plume Libre)

Plume Libre est une maison 100% indépendante qui édite des romans, des récits, des livres de sensibilisation sur des sujets techniques ou pointus, très actuels et qui impactent notre quotidien à tous.

Les thèmes des ouvrages sont très variés, les auteurs édités chez nous partagent notre philosophie de libre pensée et de belle écriture.

Informations Pratiques

“Et un jour, le BONHEUR nous frôle”  de Sixtine Doré

  • Editeur : Plume Libre
  • Date de parution : 05/2021
  • ISBN : 9782492126185
  • Dimensions : 15 cm x 21 cm
  • Nombre de pages : 273
  • Prix : 17,50 € broché – 7,49 € format Kindle

Pour en savoir plus

Découvrir le livre : https://plumelibre.fr/produit/et-un-jour-le-bonheur-nous-frole/

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Sortie littéraire mai 2021 : “L’Enquête de Sens” de Jean-Yves ROUX-LEVRAT, un roman historique et philosophique

Charles Alexandre est prêt à tout pour allonger le temps qui lui reste à vivre. Il va mobiliser des moyens considérables et user de nombreux stratagèmes pour s’emparer de la formule de l’Elixir de longue vie. Ses manœuvres vont le conduire aux portes d’un monde très secret : celui des Pères Chartreux. Il aura le privilège rare d’être invité à y pénétrer. Entre ces murs, il va découvrir bien plus que ce qu’il était venu chercher. Mais sera-t-il capable de tirer la quintessence de ces révélations intimes ?

“L’Enquête de Sens” de Jean-Yves ROUX-LEVRAT est une passionnante énigme policière qui interroge sur le sens de la vie, en proposant un voyage inattendu à travers l’Histoire.

L'Enquête de Sens

Un livre captivant autour du thème de l’extension de l’espérance de vie

Charles Alexandre, milliardaire Français, développe une ambition transhumaniste. Il veut réaliser son projet mégalomaniaque : devenir l’homme le plus riche du monde. Il va mobiliser des moyens considérables et user de nombreux stratagèmes pour s’emparer de la formule de l’Elixir de longue vie. Cette quête effrénée va le mener à découvrir son intériorité et sa spiritualité.

L’idée de ce roman historique et philosophique est née il y a une vingtaine d’années. L’auteur a alors mené des recherches très approfondies, qui lui ont permis ensuite de fonder son récit sur des bases très solides.

Jean-Yves ROUX-LEVRAT souligne :

La vie passe vite, trop vite. De tous temps, la science de l’immortalité, ou du moins la recherche de recettes secrètes de longévité, a fait rêver et phosphorer nombre de savants. A l’instar de nombreux milliardaires américains, Charles Alexandre, le héros de mon roman, se lance dans un combat contre la mort.

Extraits

Extrait 1 :

Après que les combats entre les troupes ennemies eurent cessés, la population n’opposa plus aucune résistance. Les habitants venaient au-devant des envahisseurs en brandissant des images saintes et des crucifix pour attirer leur bienveillance. Mais cela n’eut aucun effet. Ce fut même le contraire.

Un véritable massacre. Femmes, enfants, hommes de tous âges, 2 000 Byzantins furent embrochés par les épées vengeresses des assaillants.

Durant trois jours et trois nuits sans fin, Byzance fut la proie des plus terribles atrocités. Geoffroi ferma les yeux sur ces exactions, comme la totalité des Chevaliers : aucun ne chercha à se mettre en travers des exactions commises par ces hommes agissant, soi-disant, au nom de Dieu. Tous avaient pourtant prêtés serment sur l’Évangile et s’étaient engagés à être des modèles de vertu, à répandre le sang le moins possible et à n’avoir comme seul objectif la reconquête de Jérusalem. Comment ont-ils pu faire subir de tels outrages, une telle violence à leurs frères Chrétiens ? Comment ont-ils pu trahir à ce point leurs idéaux ?

Sans vergogne, ils mirent à sac toutes les maisons de la cité. Ils dépouillèrent les habitants de leurs biens les plus précieux. Pour les obliger, ils ne reculèrent devant rien : violences, intimidations, chantage… Tous les Byzantins furent dépossédés de leurs biens, riches ou pauvres. Si un habitant tentait de cacher un bijou ou un autre bien de valeur, il était percé par l’épée, dans l’instant.

Byzance subit le pire. L’inhumanité régna en maître. Aucune compassion, aucun bon sentiment, aucune pieuse pensée n’eut le droit de cité. Ici, la lumière n’avait plus sa place.

Extrait 2 :

“Cette nuit -là, le réveil pour les matines s’avéra plus compliqué. Un peu en mode automatique, Charles gagna la chapelle et prit place dans sa stalle. Il aimait vraiment cet office en pleine nuit. Il avait le sentiment de vivre un vrai privilège. Et cela en était un. Dès l’entame du premier chant, il perçut dans son corps, dans son dos, le long de sa colonne vertébrale, une sensation inédite, comme un serpent s’enroulant autour, en spirale. Cette sensation s’installa durablement. Pendant toute la cérémonie, il se sentit comme touché par la grâce. L’harmonie, la paix, l’amour, tous ces sentiments mêlés l’habitaient. Il se sentit dans un état proche de l’extase. À la fin des matines, il éprouva de la peine à s’extirper de son état. Il était bouleversé par cette expérience de vie. Dans son lit, il eut beaucoup de difficultés à trouver le sommeil. Il était rempli d’énergies positives.”

A propos de l’auteur

ROUX-LEVRAT-Jean-Yves

Jean-Yves ROUX-LEVRAT, né en 1956, a partagé sa vie entre sa Savoie natale et le Sud-Ouest où il est désormais installé.

Sa vie professionnelle dense et trépidante a régulièrement été ponctuée par des retraites dans des monastères qui ont enrichi ses connaissances et son intériorité. Mais il ne s’engagera pas ; il a l’ambition de fonder une famille et de jouir de la vie.

Il fait carrière dans le commerce et le marketing des technologies de l’information et services où il occupe différentes fonctions managériales.

Il attendra l’âge mûr pour retrouver le bonheur d’écrire. L’Enquête de Sens est son premier roman.

Epicurien, il a soif de découvrir de nouvelles contrées, de nouvelles cultures et de se nourrir de nouvelles amitiés. C’est un amoureux de la vie.

Informations Pratiques

L’Enquête de Sens de Jean-Yves ROUX-LEVRAT

  • Editeur: Editions Sydney Laurent
  • ISBN: 979-10-326-42603
  • Nombre de pages: 284
  • Prix Broché: 18,90 €
  • Prix Ebook : 9,99 €

Pour en savoir plus

Dossier de presse : https://www.relations-publiques.pro/wp-content/uploads/pros/20210427193154-p4-document-iacs.pdf

Découvrir le livre : https://editions-sydney-laurent.fr/livre/lenquete-de-sens/

LinkedIn Jean-Yves ROUX-LEVRAT : https://www.linkedin.com/in/jean-yves-roux-levrat-301266/

“Un enfant insupportable” de Marièle Collin, un roman bouleversant inspiré d’une histoire vraie sur les violences psychologiques faites aux enfants

Il y a des chiffres tellement effrayants qu’on préfèrerait presque les ignorer : chaque année, en France, 52.000 enfants et adolescents sont victimes de violences physiques, sexuelles et psychologiques, soit 200 enfants par jour (source).

Une situation qui a tendance à s’amplifier au vu du contexte actuel. Parmi toutes ces violences, il y a celles dont on parle peu, parce qu’invisibles de prime abord : les violences psychologiques, quelle que soit la forme qu’elles peuvent prendre (insultes, humiliations, propos dénigrants, menaces…).

Le Ministère de la Santé rappelle que la “sécurité affective et relationnelle fait partie des besoins fondamentaux de l’enfant” (source).

C’est pour aider le grand public à comprendre les ravages que peuvent causer les violences psychologiques sur les enfants que Marièle Collin a pris la plume. Cette ancienne professeure de français au collège a vu les difficultés des jeunes qui sont confrontés à cette situation inadmissible dont personne ne parle.

Dans son premier roman “Un enfant insupportable”, publié sous le pseudonyme de Romane Saint-Jean, elle s’inspire de l’histoire tragique d’un ado qu’elle a rencontré et qui l’a profondément marquée.

Un livre à mettre entre toutes les mains pour sensibiliser et comprendre, tout en levant la chappe de plomb qui entoure les violences psychologiques.

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Un roman qui interpelle sur une réalité trop souvent méconnue

“Un enfant insupportable” est un roman captivant. Les lecteurs s’attachent au personnage de James, à ses errances, et aux tourments qu’il traverse. Au fil des pages, ils sont interpellés sur les violences, à la fois sournoises et destructrices, dont de nombreux enfants sont victimes chaque jour.

Marièle Collin souligne :

J’ai eu envie de rendre hommage à cet enfant qui a terriblement souffert et, à travers lui, à tous les enfants qui ont des relations douloureuses avec leurs parents. Comme le dit Bernard Minier “l’enfance, on n’en guérit jamais” mais pour certains les séquelles sont plus graves que pour d’autres.

Ce sujet tenait particulièrement à coeur à l’auteure car il fait aussi écho à sa vie personnelle : elle a vu des personnes dans son entourage proche connaître des événements dramatiques.

Synopsis

Jeune professeure de collège, je fais la connaissance de James. C’est un élève de quatrième, un peu farfelu. Je vais être amenée à suivre son histoire.

Ses parents, Brigitte et Manuel, sont arrivés à Bayonne, à la fin des années soixante, avec leurs deux fillettes, Valérie et Sandrine. Tout ce petit monde a l’air heureux et sans histoire.

Brusquement la situation se dégrade. Brigitte attend un troisième enfant et ne parait pas ravie de la situation. Au début de l’été, elle part en vacances chez ses parents et revient le ventre plat. Tout le monde se demande où est passé l’enfant. Il apparaît six ans plus tard et il s’agit de James. Brigitte est froide et sévère avec lui. Elle le présente comme un enfant difficile et rebelle. James a du mal à trouver sa place car son arrivée a détruit l’équilibre familial. A part Sandrine, tous le rejettent. Tous les prétextes sont bons pour l’éloigner.

Après des années de collège relativement sans incident, James entre en classe de seconde. C’est une période où on aurait pu croire qu’il trouverait son chemin. Mais tout va basculer. Il s’éprend d’Alexis, un de ses camarades de classe. Il croit alors que le bonheur est possible. Quand Brigitte découvre cet amour qu’elle juge contre nature, elle se déchaîne et envoie James dans un internat, près de Pau. On comprend qu’une haine viscérale unit James et sa mère, suite à un événement traumatique. Manuel a depuis longtemps démissionné. Il abandonne le domicile conjugal.

James passe par des hauts et des bas. Il revoit quelques fois Alexis. Chaque fois qu’il reprend espoir, sa mère s’acharne sur lui et lui replonge la tête sous l’eau. Si elle souffre, il doit souffrir aussi. Avec la vitalité de la jeunesse, James résiste, autant qu’il peut, à la fureur maternelle.

James apprend qu’Alexis est gravement malade et commence à perdre pied. A la mort d’Alexis, il entame sa descente aux enfers. Il ne peut plus espérer être aimé, il ne peut plus aimer. Il éprouve un désespoir si intense qu’il met fin à ses jours.

Extrait

“James était alors un élève de quatrième. Il était fin, blond, les yeux bleus, la mèche sur l’œil, avec cette allure à la fois nonchalante et nerveuse que l’on imagine chez certains poètes. Il aurait eu une fleur à la main, le portrait kitsch eut été parfait. Mais James n’avait pas de fleur à la main et encore moins dans le cœur. Il n’avait que sa détresse et moi, mes yeux pour le regarder.

Il n’était pas très bien accepté par ses camarades car son caractère un peu trop spécial les heurtait souvent, et les adolescents n’aiment pas ceux qui sortent du lot. Il faut dire qu’il était un peu fantasque, farfelu, une espèce de Zébulon imprévisible. Il se permettait un peu tout et n’importe quoi au gré de ses humeurs. Il pouvait aussi bien se mettre à chanter, que se jeter par terre, sans autre raison qu’une soudaine pulsion.

De la même manière, il était un élève au parcours chaotique, car là aussi il ne suivait que ses humeurs et ses lubies. Il pouvait être charmant, très gentil ou terriblement énervant parce que, ce jour-là, il en avait décidé ainsi. Il déployait l’éventail de ses folies de préférence avec les professeurs de sexe féminin. Avec les hommes, il était complètement différent, mais il pouvait malgré tout devenir désagréable et méprisant s’il les jugeait trop faibles ou incapables de se faire respecter.

J’essayais tant bien que mal de le canaliser quand j’avais cours avec sa classe mais il avait senti en moi la débutante, ce qui n’était pas difficile, et il s’amusait de la situation. Il y avait des bons et des mauvais jours. Sa sensibilité à fleur de peau pouvait, d’un seul coup, à la suite d’une maladresse, d’une insoupçonnable contrariété, s’exacerber et le lancer dans un soudain délire.”

L’avis des lecteurs.trices

Voici un aperçu des témoignages des premiers lecteurs.trices du livre sur Amazon :

“Livre agréable à lire et bien écrit. Quand on commence à le lire, on ne peut plus s’arrêter car on a trop envie de connaître la suite. L’histoire de James est très émouvante.”

“J’ai lu ce roman dans la journée…il m’a ramenée à mes années d’enseignante proche de l’auteur… que j’ai retrouvée dans son écriture vraie mais aussi réservée et pudique…”

“Dès les premières pages on a envie de lire la suite !”

“Un roman que j’ai lu dans la journée tellement il est prenant. On a envie de connaître la vie de cette famille pour comprendre James le personnage central, si attachant… Ce roman nous interpelle sur les violences, si souvent sournoises et destructrices dont de nombreux enfants sont victimes. Bien écrit, jamais ennuyeux, à lire et à relire !”

A propos de l’auteure Marièle Collin

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Pendant longtemps, Marièle Collin a été professeure de Français en collège, dans une petite ville proche de Bordeaux.

Tout au long de sa carrière, elle a rencontré plusieurs enfants au parcours difficile. Elle a été particulièrement émue par la détresse de l’un d’entre eux, qui donnera naissance au personnage de James dans le livre.

Marièle souligne :

On parle beaucoup des violences physiques faites aux enfants mais on oublie les violences psychologiques qui font aussi de terribles ravages.

Pour écrire le roman “Un enfant insupportable”, publié sous le pseudonyme de Romane Saint-Jean pour diverses raisons, elle a donc mélangé l’histoire de James à celle d’autres enfants mais une grande partie du récit est véridique.

Aujourd’hui, Marièle travaille à l’écriture d’un nouveau roman, déjà presque terminé, et a déjà d’autres idées pour des livres à venir.

Informations Pratiques

“Un enfant insupportable” de Marièle Collin

  • Editeur : Honoré Editions
  • 142 pages
  • ISBN-13 : 978-2407018505
  • Format : 15 x 22 cm
  • Prix : 15,90 € broché – 7,99 € e-book

Pour en savoir plus

Site web : https://siunjourjecrivais.over-blog.com/

Facebook :  https://www.facebook/mariele.collin.3

Sortie du livre De très modestes cadeaux d’Uglješa Šajtinac : le roman serbe primé enfin traduit en français

Version 2.0 du genre épistolaire, ce roman est le dialogue par courriels de deux frères aux parcours opposés : le plus jeune est un dramaturge que la route du succès a mené aux États-Unis, son aîné est un chauffeur de camionnette resté en Serbie.

Leurs échanges, en apparence ordinaires, mettent en lumière autant le conflit générationnel que la différence d’idéologies et de cultures, le contraste entre l’Est et l’Ouest que la confrontation entre l’ancien et le nouveau. Des histoires personnelles, familiales et collectives s’y entrelacent et s’y imbriquent.

Alors que les frères parviennent à accepter leur destin, le cours de leur vies respectives change de façon inattendue.

De très modestes cadeaux est un livre qui a été salué par les critiques littéraires serbes :

Šajtinac a écrit, avec férocité, passion, incorruptibilité et engagement, un roman moderne exceptionnel, une chronique émouvante et provocante de nos jours (…)

Novosti (presse serbe)

Déjà traduit en huit langues, il est enfin publié en français (traduction : Alain Cappon) dans la collection « Fiction Europe » des Éditions Bleu & Jaune. Sa publication en France est soutenue par le programme Europe créative de la Commission européenne.

Tatiana

Il faut se battre pour le droit de mourir en dehors des grands faits historiques. En paix et avec un droit de regard sur son histoire personnelle.

Uglješa Šajtinac

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Dire le réel avec des mots simples et justes

La littérature n’a pas toujours besoin d’ébranler le monde avec de « grands sujets »…

Dans le roman De très modestes cadeaux, les vies ordinaires ont  autant d’importance, voire plus, que les grands faits historiques évoqués à l’arrière-plan.

Uglješa Šajtinac précise qu’il voulait se « débarrasser des descriptions et des récits inutiles » et mettre en avant « deux voix, deux observations, deux quotidiens » en laissant ses deux personnages dire « tout ce qui est important pour eux dans leurs propres mots ».

Habitué des prix et récompenses littéraires en Serbie, cet écrivain est considéré comme « la voix » de la nouvelle génération de la littérature serbe.

De très modestes cadeaux a obtenu le Prix de littérature de l’Union européenne en 2014.

Uglješa Šajtinac

Un traducteur chevronné au service du roman serbe

Le roman d’Uglješa Šajtinac a été traduit par Alain Cappon.

Né en 1947, Alain Cappon est professeur certifié d’anglais. Parallèlement à l’enseignement de l’anglais au lycée, il entreprend des études de russe, puis de serbo-croate auprès de l’écrivain Danilo Kiš. Les premières traductions d’Alain Cappon sont publiées en 1984, et il se consacre alors presque exclusivement à la traduction de la littérature ex-yougoslave pour les langues serbe, croate, monténégrine et bosniaque.

Lauréat du prix 2002 décerné par l’Association des traducteurs littéraires de Serbie, il compte à ce jour une quarantaine de traductions, dont plus de trente romans. Il participe en tant que traducteur et rédacteur au site Internet consacré à la littérature serbe de l’université de Bordeaux.

« Fiction Europe » : un autre regard sur la littérature européenne

La littérature européenne ne se résume pas aux œuvres anglaises, espagnoles, italiennes ou allemandes !

Afin de nous amener à comprendre nos voisins européens, à nous enrichir d’une vision différente sur le monde qui nous entoure ou à bousculer nos certitudes, la collection « Fiction Europe » met en avant des œuvres littéraires européennes de qualité, connues et reconnues dans leurs pays respectifs, récompensées au niveau international et encore inédites en France. L’objectif est de leur donner « une résonance nouvelle, une vie plus longue, un lectorat plus large ».

De jeunes auteurs talentueux vont côtoyer des auteurs déjà établis. Des sujets tabous ou restés longtemps comme tels dans notre société trouveront leur expression. Des thématiques historiques et des particularités nationales apporteront à cette collection une diversité captivante. Les quatre premiers titres, qui inaugurent cette collection, ont obtenu le Prix de littérature de l’Union européenne.

Une identité visuelle forte et unique

Selon un auteur et théoricien de l’art très connu, « le jaune apporte toujours une lumière » et « le bleu apporte toujours une ombre ». Cette approche fondamentale se retrouve au cœur de l’identité visuelle qui a été pensée pour la collection « Fiction Europe » : avec jeux de couleurs, d’ombres et de lumières, elle confère une nouvelle dimension à toutes ces œuvres venues d’ailleurs et met en avant la littérature haute en couleur.

Réalisé par WIPbrands, avec les illustrations de Mikki Rosa, le concept de couvertures vise à mettre en lumière – au sens à la fois propre et figuré – un personnage, un objet concret ou encore une chose abstraite que le lecteur découvre et comprend au fil des pages. Il ouvre ainsi une porte d’entrée sur l’imaginaire de l’auteur…

La citation sur la quatrième de couverture donne quelques indices, tandis que le marque-page intégré suggère deux directions de lecture opposées. Quel personnage est représenté sur la couverture de ce roman ? Au lecteur de trouver la réponse.

Le bandeau, qui signale la récompense internationale, acquiert ainsi une véritable fonction, car il permet au lecteur d’être partie prenante du livre.

Les Éditions Bleu et Jaune : aller à la rencontre de l’Autre

Les Éditions Bleu et Jaune, qui ont pour ligne éditoriale la découverte de l’Autre, s’attachent à cultiver l’ouverture sur le monde et à construire des ponts interculturels. Fondées en 2015 par Tatiana Sirotchouk, Docteure en langues et littérature françaises, elles ont leur siège social sur l’avenue des Champs-Élysées à Paris.

Leur ambition : mettre en lumière des œuvres écrites dans les langues moins répandues, qui représentent seulement 11 % des titres traduits en France, et plus particulièrement les langues et littératures qui se trouvent en Europe. Cet engagement est né de la croyance que les langues moins répandues produisent de grandes œuvres littéraires qui méritent d’être connues du lecteur français et francophone.

En 2019, la maison d’édition évolue en société d’édition et met en place des partenariats avec le diffuseur CED-CEDIF et le distributeur POLLEN.

L’année 2020 marque un tournant pour les Éditions Bleu et Jaune. Elles obtiennent les droits de traduction et de publication en France de plusieurs ouvrages récompensés par le Prix de littérature de l’Union européenne, qui seront publiés dans la collection « Fiction Europe » en 2021.

Un engagement en faveur de la planète

Consciente des enjeux environnementaux actuels, la maison d’édition adopte une démarche écoresponsable pour contribuer à stopper le dérèglement climatique. Cet engagement se traduit par des actions très concrètes :

Imprimer les livres en France

Les livres des Éditions Bleu et Jaune sont imprimés en France et sur du papier issu de forêts gérées durablement. Pour une jeune maison d’édition, ce choix a un coût, mais il est essentiel, car en accord avec les valeurs qui l’animent.

Contribuer au reboisement des forêts

Un partenariat de longue durée a été établi en 2020 avec la société française Naudet, spécialiste du reboisement des forêts en France. En mars 2021, cent arbres seront plantés en Alsace ; cette plantation est associée à la mise en place de la collection de littérature européenne. Chaque année, à la même période, de nouveaux arbres seront plantés. Ces plantations permettent de stocker le CO2 grâce à la photosynthèse, de filtrer l’eau, de libérer le dioxygène et de préserver la biodiversité et la faune.

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Des livres qui plantent des arbres

Mais la maison d’édition a la volonté d’aller encore plus loin. Son objectif, à court terme, est que chaque livre vendu participe, à la hauteur de 50 cents/1 euro, à la plantation d’un arbre et, à long terme, que chaque livre vendu contribue à planter un arbre. Les lecteurs peuvent ainsi s’engager aux côtés de la maison d’édition pour lutter contre le dérèglement climatique tout en lisant des livres de qualité.

À propos de Tatiana Sirotchouk, fondatrice et présidente des Éditions Bleu et Jaune

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Française d’origines ukrainienne et polonaise, Tatiana Sirotchouk est Docteure en langue et littérature françaises. Après ses études à l’université de Tchernivtsi en Ukraine, elle travaille en tant que professeure dans la même université.

En France, elle obtient le titre de Docteure en langue et littérature françaises en 2009 à l’université de Nancy 2 (actuellement université de Lorraine) et achève son parcours universitaire par une qualification aux fonctions de maître de conférences en études slaves. Cette même année, elle devient enseignante à l’INALCO, à Paris, et membre de l’équipe de recherche PLIDAM.

Avec plus de dix années d’expérience dans l’enseignement supérieur et la recherche, Tatiana Sirotchouk est l’auteure de différents ouvrages, programmes de recherches, contributions à des colloques et journées d’études, articles et conférences, présentés lors de manifestations universitaires et culturelles en France, en Ukraine, en Allemagne, en Pologne et au Canada.

Aujourd’hui, elle se consacre entièrement aux Éditions Bleu et Jaune, qu’elle dirige avec passion et engagement.

Informations Pratiques

De très modestes cadeaux d’Uglješa Šajtinac

  • Parution : 8 avril 2021
  • Collection Fiction Europe
  • Traduction : Alain Cappon
  • Format : 140 x 205 mm
  • 176 pages
  • ISBN livre papier : 979-10-94936-12-2
  • ISBN livre électronique : 979-10-94936-14-6
  • Prix : 18 €

Pour en savoir plus

Découvrir le livre : https://www.editionsbleuetjaune.fr/livres/de-tres-modestes-cadeaux-ugljesa-sajtinac/

Site web : https://www.editionsbleuetjaune.fr/

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Instagram : https://www.instagram.com/editionsbleuetjaune/

Contact Presse

Tatiana Sirotchouk

E-mail : presse@editionsbleuetjaune.fr

Tel : 0984345262

“Les Couloirs de l’Espoir” de Thierry Boyer : un thriller euphorisant dans lequel la volonté l’emporte sur l’adversité

Une petite fille disparaît sur une autoroute au cours d’un accident. Comme dans une histoire vraie relatée par la presse, ses parents la faisaient voyager dans son landau sur le toit de leur voiture ! Quelques heures plus tard, on découvre dans une maternité espagnole un bébé abandonné.

L’enquête, pourtant menée par une commissaire motivée, ne permet pas de retrouver les parents de l’enfant, qui finit par être adopté par une famille marseillaise. Mais le destin réserve parfois de mauvaises surprises : le couple ne résiste pas à la naissance, aussi inattendue que tragique, d’un fils handicapé. Le couple se sépare et entraîne Victoria dans son malheur.

C’est grâce à la natation et à une détermination hors du commun que la petite fille, devenue grande et superbe, reprend espoir et réussit à changer le cours de sa vie….

Les “Couloirs de l’Espoir” de Thierry Boyer est un thriller anti-dépresseur qui donne la pêche. Écrit par un médecin, ce “roman thérapeutique” délivre un formidable message : la volonté peut toujours réussir à vaincre l’adversité.

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Un livre à la frontière du réel et de l’imaginaire

Thierry Boyer vit à Paris, mais a passé beaucoup de temps à Marseille où se déroule la plus grande partie des « Couloirs de l’espoir », son second roman.

Si la médecine lui a donné une réelle ouverture aux autres, il aime dans l’écriture échapper au cartésianisme hérité de sa formation pour emmener les lecteurs dans une autre réalité, à la fois inspirée et inspirante.

Cet ancien grand sportif de compétition (essentiellement au tennis) donne aussi à vivre, au fil des pages, les émotions que la compétition et la victoire procurent.

Extrait

Août 2006

Comme tous les ans, le premier août exactement, les Da Costa sont partis rejoindre leur famille dans le nord du Portugal. Manuel et Maria ont entassé tout ce qu’ils pouvaient dans leur voiture et attaché deux valises et un landau sur la galerie du toit. Ils roulent depuis l’aube sous une chaleur torride à peine atténuée par la climatisation poussive de leur vieille Seat Cordoba. Angela, la petite dernière, est installée dans son siège au milieu de la banquette arrière pour séparer les deux aînés dont le jeu favori consiste à se taper dessus et à se donner des baffes. Manuel hurle aux enfants de se taire, mais sa voix est couverte par les cris encore plus puissants du bébé que Maria tente désespérément de calmer à coup de tétine et d’eau sucrée. Et, pour couronner le tout, « Bison-Futé » ne s’était pas trompé en prévoyant une journée rouge foncé. Manuel n’en peut plus, sa tête va éclater. Heureusement, il va pouvoir faire une petite pause car le voyant de la jauge à essence est allumé depuis un moment.

Pendant que Manuel fait la queue pour faire le plein, Maria emmène sa fille pour la changer dans la cafétéria prise d’assaut par une foule hétéroclite de 12 vacanciers impatients de se ravitailler, de se dégourdir les jambes, et de satisfaire leurs besoins naturels. Elle se faufile au milieu de femmes qui se contorsionnent en attendant désespérément une place aux toilettes et allonge enfin Angela sur une table à langer qui vient de se libérer. Bien que la petite soit rouge de chaleur et que de grosses larmes coulent sur ses joues, elle la contemple avec admiration. Pour le voyage, elle l’a habillée de sa robe de baptême qui ne lui ira plus très longtemps et a passé autour de son cou la superbe médaille en or que son parrain lui a offerte. Dehors, Alberto et Cecilia courent dans tous les sens et ne cessent de réclamer à leur père des provisions sucrées pour la route.

Au moment de repartir, Manuel, qui imagine de nouvelles heures de cris, a une idée. La plus mauvaise idée de sa vie.

— Dis, Maria, on pourrait la mettre dans son landau sur le toit la petite, elle aurait moins chaud et on aurait un peu la paix.

— Non, mais tu es dingue ! Si elle tombe, tu imagines !

— Ne t’en fais pas, tout est bien fixé et Angela ne risque pas de se sauver ! Et puis tu sais, avec les bouchons, on ne va pas aller bien vite. Je ne peux pas continuer à conduire avec ce raffut, c’est au-dessus de mes forces.

— Bon, essaie si tu veux, dit Maria épuisée.”

Les premiers avis des lecteurs.trices

Voici un aperçu des témoignages laissés sur Amazon où le livre a reçu un accueil enthousiaste :

“Ce livre est une intrigue humaine racontée de façon très touchante, dans un style vif, sobre et drôle. Les personnages sont très attachants et défendent des valeurs nobles (volonté, générosité, travail, audace, persévérance, amour, humour…). C’est une histoire de famille qui est traitée sous la forme d’un thriller et qui ne s’épanche pas le règlement de compte, le dénigrement ou les procédures familiales qui sont les grandes tendances littéraires du moment. Un livre bien écrit, qui fait du bien et qui ferait un formidable film tant il est vivant et visuel. Et si vous aimez l’auteur, essayez aussi son premier roman “Generis” hyper original.”

“Ce thriller vous entraîne de Paris vers le Sud et vous fait pénétrer dans des milieux divers allant de la drogue au sport en passant par le monde médical (l’auteur est médecin).
Le style est direct et réaliste avec des descriptions bien documentées, de riches observations de caractères humains.
Outre que son intrigue est bien conduite et ne vous lâche pas jusqu’à sa fin surprenante, ce roman policier aborde aussi certaines vérités pas souvent écrites sur le monde médical, sur le dopage dans le sport…
Bref, un trip littéraire … et enrichissant !”

“J’ai lu « les couloirs de l’espoir » d’une traite, impossible de m’arrêter ! C’est facile à lire, touchant, il y a du suspens, les personnages sont attachants et l’intrigue est bien menée jusqu’à la dernière page ! Bravo et merci, j’ai passé un très bon moment et ce roman m’a permis de me changer les idées pendant cette période de couvre-feu !
Je verrais tout à fait une adaptation à l’écran, le genre de film sympa à regarder en famille le dimanche soir.”

“Quel plaisir de lire un livre sans jamais avoir envie de le reposer. C’est un roman d’aventure qui se lit comme un thriller. La fin est jubilatoire et on est heureux de découvrir la destinée hors norme d’Ana. Je le recommande avec enthousiasme !!!!!”

“Thierry Boyer vient d’écrire un très agréable roman que vous pouvez télécharger pour 3,20€ !!!! Les bénéfices iront à une association caritative. Attention ! Ce livre est addictif !
J’en ai aimé l’intrigue, l’écriture vive et précise, les rebondissements. On est tenu en haleine du début à la fin….fin que je soupçonnais… sans savoir d’où venaient …,
Ce serait un super scénario de film.”

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A propos de Thierry Boyer, l’auteur

Thierry Boyer

Thierry Boyer, 73 ans, est médecin à Paris. Il a travaillé dans le domaine de la traumatologie, enseigné à Paris VII et dirigé des cliniques privées.

Il exerce actuellement en semi-retraite afin d’avoir du temps pour écrire. Il a déjà publié un premier roman dans la catégorie “fantasy” : “Generis”.

Déçu par l’expérience des éditeurs, il décide d’auto-éditer son nouveau roman sur Amazon et de faire don des droits d’auteur à une association caritative.

Les Couloirs de l’Espoir est né au départ de l’envie de Thierry d’écrire des nouvelles pour ses petits-enfants. Mais au fur et à mesure de l’avancement de ce projet, l’histoire a évolué, s’est enrichie, et est devenue un thriller palpitant adapté à tous les publics.

Publié le 11 mars, le roman démarre très bien grâce au soutien de 2 groupes d’amis (300 personnes au total sur FB et WhatsApp).

Aujourd’hui, il souhaite faire découvrir l’aventure de Victoria et son message d’espoir au plus grand nombre de lecteurs.trices. Ce roman ferait aussi un très bon scénario pour un film.

Informations Pratiques

“Les Couloirs de l’Espoir” de Thierry Boyer

  • Sortie : 11 mars 2021
  • Broché
  • 159 pages
  • ISBN : 978-2957707508
  • Dimensions : 13 x 20 cm
  • Prix : 12 €

Pour en savoir plus

Découvrir le livre sur Amazon : https://www.amazon.fr/Couloirs-lEspoir-victoire-ladversit%C3%A9-euphorisant/dp/2957707500/

Groupe Facebook “Les Couloirs de l’Espoir” : https://www.facebook.com/groups/794165274640745

Facebook Thierry Boyer : https://www.facebook.com/thierry.boyer.52

“J’ai écouté le bruit des anges” de Emilie Devienne, un roman inspirant et plein d’humour qui montre que, malgré les épreuves, une reconstruction est toujours possible

“J’ai écouté le bruit des anges” d’Emilie Devienne est un roman à mettre entre toutes les mains, surtout dans le contexte actuel.

Bien écrit, avec des personnages fouillés et plus vrais que nature, il se lit d’une traite de la première à la dernière page. Car dans ce livre #feelgood, il n’y a ni bons sentiments dégoulinants ni de mièvrerie.

Grâce à son expérience de coach, l’auteure trouve le bon équilibre entre humour, bienveillance inspirante, et intrigue bien menée. D’ailleurs, chacun.e d’entre nous peut s’identifier à son héroïne Edaine, en proie à un gros chagrin d’amour. Ses tâtonnements, ses découragements et ses espoirs font écho aux nôtres. Sa capacité à rebondir aussi.

Car, et c’est un message fort du roman, une reconstruction est toujours possible. Malgré les épreuves, un nouveau chemin positif va progressivement se dessiner.

D’abord publié au Canada en 2019, le roman est enfin disponible en France.

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 Synopsis

« Je te quittes ». La sentence est tombée, faute d’orthographe en prime : après dix ans de vie commune, Eric quitte Edaine. Comédienne parisienne en mal de succès, elle se retrouve qui plus est célibataire. Dévastée par le chagrin, Edaine reçoit un appel inattendu qui va bouleverser encore davantage son quotidien…

Maître Raciné, notaire normand, l’informe qu’elle hérite d’un âne de 5 ans, nommé Curcuma. Blague de mauvais goût ou signe du destin ? Avec l’aide de ses amis, Edaine décide de reprendre sa vie en main, quitte à plonger dans l’inconnu. Acceptera-t-elle d’écouter le bruit des anges ?

Extrait

“Je ne vous apprends rien, le couple est une invention à haut risque. Chaque désillusion nous abat, chaque déception nous éreinte, chaque trahison nous accable, et chacune de ces épreuves, bon gré, mal gré, nous fait grandir. Ce que vous ignorez peut-être encore ou ce dont vous avez du mal à vous convaincre, c’est qu’a posteriori, cette épreuve nous offre un surcroît de puissance et l’opportunité de nous déployer. La guérison nous libère et nous portons de nouveaux habits de lumière. Cependant, aucune relation significative et, partant, aucune rupture ne se ressemble. L’amour nous rend plus forts autant qu’il nous confronte à notre plus grande vulnérabilité.

Une fois assénée la claque amoureuse, il nous appartient de choisir le plus tôt possible ce que l’on veut faire de son chagrin. Ne gaspillez pas vos douleurs, pour paraphraser Rainer Maria Rilke qui invitait le jeune poète à ne pas gaspiller son courage. Servons-nous de ces terribles tourments pour aller de l’avant au lieu qu’ils ne nous servent de prétexte à nous complaire dans un misérabilisme affectif et intellectuel. Certes, nous ne sommes pas égaux en ce qui a trait à la force de caractère qui soutiendra ce parti pris. Cependant, chacun à notre échelle, nous pouvons mobiliser notre volonté pour sortir de cette mauvaise passe par le haut. Subir le malheur de plein fouet n’est pas une fatalité.

Moi, j’ai ouvert un petit musée digne d’un détour insolite à quelques encablures d’une route nationale et j’ai donné à mon cœur un nouvel acolyte. Vous, ce sera aussi une  nouvelle histoire, un nouveau job, la traversée de la France à pied, un tour du monde en vélo, l’expression d’un talent artistique que vous ne soupçonniez pas, une révélation sur le chemin de vie qui n’appartient qu’à vous. Peu importe.

L’idée est qu’au plus profond de la crise, nous n’y croyons pas et pourtant non seulement allons-nous rebondir, mais en plus, nous y trouverons un nouveau bonheur. Tout n’est pas perdu. Il suffit de repérer les indices du changement. Ne remettez pas votre chagrin à plus tard. Il reviendra vous gifler tant et aussi longtemps que vous le nierez ou le musèlerez. Quitte à souffrir, autant vous écrouler une bonne fois pour toutes. Au fond de la piscine, vous donnerez un bon coup de talon et vous remonterez. Le coup de foudre, la rencontre sentimentale et la séparation ne surviennent jamais par hasard. Nous aimerions le croire, mais en vérité, ces moments-clés nous poussent au changement, bon gré, mal gré.”

Premières critiques presse

  • La Provence, novembre 2020 : “Un texte qui fait du bien sans tomber dans la niaiserie totale. ” 
  • Femina (Suisse), novembre 2020 : “D’une écriture lucide et juste, Emilie Devienne nous raconte cette peine amoureuse…”
  • Sélectionné par Kobo (FNAC) parmi les romans qui « mettent du baume au cœur »
  • Sélectionné parmi les meilleures ventes Librinova chez les libraires, novembre 2020
  • Christine Michaud, chroniqueuse, Québec, mai 2019 : “Un antidote au chagrin d’amour. Une lecture qui répare.”

L’avis des lecteurs.trices

“Ce livre m’a donné l’immense plaisir de passer du temps avec des femmes inspirantes ! D’abord l’héroïne Edaine, capable de trouver le chemin de la résilience après une rupture amoureuse dévastatrice. Et puis Eugénie, vieille dame non pas indigne mais libre et non conventionnelle, pleine de fantaisie. Sans oublier Curcuma – même si ce n’est pas une femme inspirante ! – un adorable âne, personnage central et tellement attachant. J’ai eu un vrai coup de cœur pour ce roman très élégamment écrit. Avec le sentiment de plus en plus présent au fil des pages, que c’était peut-être aussi pour moi que les anges faisaient du bruit. Alors j’ai écouté…”

“Ce chagrin d’amour, à l’origine de l’histoire, réapparaît régulièrement par petites touches, sans drame et sans pesanteur… Il n’est pas nié mais il n’est pas le centre. L’auteure possède une créativité foisonnante qui nourrit ce retour de la vie à travers des personnages truculents. Pourquoi pas un film pour la prochaine étape de ce roman que je recommande.”

“Très belle découverte. Edaine m’a embarqué dans son aventure, franchement atypique. L’humour nous fait oublier le côté triste du chagrin d’Amour et c’est plein d’optimisme que j’ai terminé le livre. Bravo.”

“Roman intense, émouvant, personnages attachants, fine étude psychologique des relations amoureuses, riche documentation sur divers sujets, nombreuses pointes d’humour, le tout avec la présence insolite d’un âne, Curcuma, aussi facétieux que précieux.”

A propos d’Emilie Devienne

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Coach et écrivain, membre Titulaire de la SFCoach® (Société Française de Coaching), Emilie Devienne a travaillé une vingtaine d’années dans la presse et les communications, en France et au Canada.

Auteure d’une vingtaine d’ouvrages (dont deux romans) centrés sur l’équilibre personnel et l’évolution professionnelle, elle assure l’animation de divers ateliers, séminaires ou tables rondes et conférences. Elle intervient aussi dans les médias autour de sujets de société sur les liens entre la vie professionnelle et la vie privée. Elle est à l’origine du concept de bibliocoaching.

En parallèle, Emilie enseigne à la faculté d’Economie-Gestion d’Aix-en-Provence.

Informations Pratiques

“J’ai écouté le bruit des anges” d’Emilie Devienne

  • Editeur : Librinova
  • ISBN-13 : 979-1026260165
  •  240 pages
  • Prix : 15,90 € broché – 3,99 € e-book

Pour en savoir plus

Découvrir le livre : https://www.emilie-devienne.com/livrefiche.php?id=38

Lien Fnac : https://livre.fnac.com/a15159135/Emilie-Devienne-J-ai-ecoute-le-bruit-des-anges

Site web : https://www.emilie-devienne.com/

Facebook : https://www.facebook.com/EmilieDevienne2auteure/?ref=bookmarks

Sortie du livre La peau est la membrane élastique qui enveloppe l’ensemble du corps de Bjørn Rasmussen : le roman danois primé enfin traduit en français

Bjørn a quinze ans lorsqu’il tombe amoureux de son moniteur d’équitation, de vingt ans plus âgé. Déjà aux prises avec son homosexualité qu’il tente de dompter en se mutilant, l’adolescent se retrouve au cœur d’une étrange relation d’amour sadomasochiste.

Commence alors la quête d’une gratification impossible : les pulsions du corps l’entraînent dans un tourbillon effréné de transgressions. Mais derrière cette apparente perversion, c’est un véritable cri d’amour qui résonne…

La peau est la membrane élastique qui enveloppe l’ensemble du corps est un roman à la fois provocant et magnifique, vibrant et fragile. L’auteur danois Bjørn Rasmussen casse les codes du récit et de l’écriture, du genre et de la sexualité, tout en fascinant par son style sans précédent et par sa prose subtilement empreinte de poésie.

Déjà traduit dans de nombreuses langues, il est enfin publié en français (traduction :  Caroline Berg) dans la collection « Fiction Europe » des Éditions Bleu & Jaune.

C’est lui.
Ils vont se revoir.
Ça va arriver de nouveau.
Les chevaux vont chanter.

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Un livre qui ne laisse personne indifférent

Le roman de Bjørn Rasmussen est un ovni dans le monde de la littérature. Totalement inclassable, il évoque un sujet resté longtemps tabou. Le livre fascine plus qu’il ne choque, grâce à son vocabulaire et à son style, tous deux exceptionnels, et à la beauté indéniable de sa prose.

Tatiana Sirotchouk, la fondatrice des Éditions Bleu & Jaune, souligne :

Pour Bjørn Rasmussen, l’écriture, tout comme le corps, n’a aucune limite : le style est aussi sauvage que maîtrisé, le vocabulaire est aussi cru que poétique. La ponctuation suit ses propres règles, les phrases s’arrêtent au beau milieu de nulle part, la disposition du texte donne du fil à retordre… Pour l’éditrice que je suis, c’est à la fois un défi et un privilège de publier un roman qui casse tous les codes.

A l’origine, il a été publié par la deuxième plus ancienne maison d’édition du Danemark. Fondée en 1770, Gyldendal est cotée à la Bourse de Copenhague et est considérée comme la plus grande maison d’édition du pays.

Un auteur à part qui marque l’histoire littéraire de son pays

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Photo : © Frida Gregersen

Dans l’histoire de la littérature danoise, Bjørn Rasmussen est le premier auteur débutant à avoir obtenu le prestigieux Montanas Litteraturpris, avec La peau est la membrane élastique qui enveloppe l’ensemble du corps. Ce prix est décerné chaque année au Danemark à un auteur contemporain qui parvient à renouveler un genre littéraire ou qui présente la réalité d’une manière nouvelle et surprenante.

Selon le jury de Montanas Litteraturpris : 

 Bjørn Rasmussen livre, avec un impact remarquable et une intensité stylistique exceptionnelle, une histoire complexe traitant d’identité et de sexualité, de soumission et de survie. Il le fait de surcroît avec un sens impressionnant du dialogue intertextuel, doublé d’une capacité d’analyse critique étayée du normativisme social.

Au niveau international, ce roman jouit d’une belle reconnaissance. Il a ainsi obtenu le Prix de littérature de l’Union européenne en 2016, une récompense qui met en avant la richesse et la diversité de la littérature contemporaine européenne. À ce jour, le livre est traduit en dix langues. Il inaugure la collection « Fiction Europe » des Éditions Bleu et Jaune. Sa publication en France est soutenue par le programme Europe créative de la Commission européenne.

 

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Une traductrice chevronnée au service du roman danois

Le roman de Bjørn Rasmussen a été traduit par Caroline Berg, actrice et traductrice française de langues scandinaves. Elle parle six langues. Après une carrière de comédienne pendant vingt ans en France, en Italie, en Suisse et en Allemagne, Caroline Berg se consacre entièrement à la traduction littéraire d’auteurs à succès, dont le Danois Jussi Adler-Olsen, auteur de best-sellers, ou encore le Suédois Jonas Jonasson, dont le roman Le Vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire a été vendu en France à plus d’un million d’exemplaires. Pour la traductrice, le roman La peau est la membrane élastique qui enveloppe l’ensemble du corps est « un diamant brut ». Caroline Berg déclare : «Ce livre aura sans aucun doute été l’expérience la plus émouvante de ma carrière de traductrice

« Fiction Europe » : un autre regard sur la littérature européenne

La littérature européenne ne se résume pas aux œuvres anglaises, espagnoles, italiennes ou allemandes !

Afin de nous amener à comprendre nos voisins européens, à nous enrichir d’une vision différente sur le monde qui nous entoure ou à bousculer nos certitudes, la collection « Fiction Europe » met en avant des œuvres littéraires européennes de qualité, connues et reconnues dans leurs pays respectifs, récompensées au niveau international et encore inédites en France. L’objectif est de leur donner « une résonance nouvelle, une vie plus longue, un lectorat plus large ». De jeunes auteurs talentueux vont côtoyer des auteurs déjà établis. Des sujets tabous ou restés longtemps comme tels dans notre société trouveront leur expression. Des thématiques historiques et des particularités nationales apporteront à cette collection une diversité captivante. Les quatre premiers titres, qui inaugurent cette collection, ont obtenu le Prix de littérature de l’Union européenne.

Une identité visuelle forte et unique

Selon un auteur et théoricien de l’art très connu, « le jaune apporte toujours une lumière » et « le bleu apporte toujours une ombre ». Cette approche fondamentale se retrouve au cœur de l’identité visuelle qui a été pensée pour la collection « Fiction Europe » : avec jeux de couleurs, d’ombres et de lumières, elle confère une nouvelle dimension à toutes ces œuvres venues d’ailleurs et met en avant la littérature haute en couleur.

Réalisé par WIPbrands, avec les illustrations de Mikki Rosa, le concept de couvertures vise à mettre en lumière – au sens à la fois propre et figuré – un personnage, un objet concret ou encore une chose abstraite que le lecteur découvre et comprend au fil des pages. La citation sur la quatrième de couverture donne quelques indices, tandis que le marque-page intégré suggère deux directions de lecture opposées : c’est au lecteur de choisir. Le bandeau, qui signale la récompense internationale, acquiert ainsi une véritable fonction, car il permet au lecteur d’être partie prenante du livre.

Les Éditions Bleu et Jaune : aller à la rencontre de l’Autre

Les Éditions Bleu et Jaune, qui ont pour ligne éditoriale la découverte de l’Autre, s’attachent à cultiver l’ouverture sur le monde et à construire des ponts interculturels. Fondées en 2015 par Tatiana Sirotchouk, Docteure en langues et littérature françaises, elles ont leur siège social sur l’avenue des Champs-Élysées à Paris.

Leur ambition : mettre en lumière des œuvres écrites dans les langues moins répandues, qui représentent seulement 11 % des titres traduits en France, et plus particulièrement les langues et littératures qui se trouvent en Europe. Cet engagement est né de la croyance que les langues moins répandues produisent de grandes œuvres littéraires qui méritent d’être connues du lecteur français et francophone. 

En 2019, la maison d’édition évolue en société d’édition et met en place des partenariats avec le diffuseur CED-CEDIF et le distributeur POLLEN.

L’année 2020 marque un tournant pour les Éditions Bleu et Jaune. Elles obtiennent les droits de traduction et de publication en France de plusieurs ouvrages récompensés par le Prix de littérature de l’Union européenne, qui seront publiés dans la collection « Fiction Europe » en 2021.

Un engagement en faveur de la planète

Consciente des enjeux environnementaux actuels, la maison d’édition adopte une démarche écoresponsable pour contribuer à stopper le dérèglement climatique. Cet engagement se traduit par des actions très concrètes :

Imprimer les livres en France

Les livres des Éditions Bleu et Jaune sont imprimés en France et sur du papier issu de forêts gérées durablement. Pour une jeune maison d’édition, ce choix a un coût, mais il est essentiel, car en accord avec les valeurs qui l’animent.

Contribuer au reboisement des forêts

Un partenariat de longue durée a été établi en 2020 avec la société française Naudet, spécialiste du reboisement des forêts en France. En mars 2021, cent arbres seront plantés en Alsace ; cette plantation est associée à la mise en place de la collection de littérature européenne. Chaque année, à la même période, de nouveaux arbres seront plantés. Ces plantations permettent de stocker le CO2 grâce à la photosynthèse, de filtrer l’eau, de libérer le dioxygène et de préserver la biodiversité et la faune.

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Des livres qui plantent des arbres

Mais la maison d’édition a la volonté d’aller encore plus loin. Son objectif, à court terme, est que chaque livre vendu participe, à la hauteur de 50 cents/1 euro, à la plantation d’un arbre et, à long terme, que chaque livre vendu contribue à planter un arbre. Les lecteurs peuvent ainsi s’engager aux côtés de la maison d’édition pour lutter contre le dérèglement climatique tout en lisant des livres de qualité.

À propos de Tatiana Sirotchouk, fondatrice et présidente des Éditions Bleu et Jaune

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Française d’origines ukrainienne et polonaise, Tatiana Sirotchouk est Docteure en langue et littérature françaises. Après ses études à l’université de Tchernivtsi en Ukraine, elle travaille en tant que professeure dans la même université.

En France, elle obtient le titre de Docteure en langue et littérature françaises en 2009 à l’université de Nancy 2 (actuellement université de Lorraine) et achève son parcours universitaire par une qualification aux fonctions de maître de conférences en études slaves. Cette même année, elle devient enseignante à l’INALCO, à Paris, et membre de l’équipe de recherche PLIDAM.

Avec plus de dix années d’expérience dans l’enseignement supérieur et la recherche, Tatiana Sirotchouk est l’auteure de différents ouvrages, programmes de recherches, contributions à des colloques et journées d’études, articles et conférences, présentés lors de manifestations universitaires et culturelles en France, en Ukraine, en Allemagne, en Pologne et au Canada.

Aujourd’hui, elle se consacre entièrement aux Éditions Bleu et Jaune, qu’elle dirige avec passion et engagement.

Informations pratiques

La peau est la membrane élastique qui enveloppe l’ensemble du corps de Bjørn Rasmussen.

  • Traduit du danois par Caroline Berg
  • Parution : 11 mars 2021
  • Collection : Fiction Europe
  •  Format : 140 x 205 mm
  • 132 pages
  • Prix TTC : 18,00 €
  • ISBN : 979-10-94936-11-5
  • ePub : 979-10-94936-13-9

Pour en savoir plus

Site web : https://www.editionsbleuetjaune.fr/

Facebook : https://www.facebook.com/editionsbleuetjaune/

Instagram : https://www.instagram.com/editionsbleuetjaune/

“Et si un clic pouvait changer le monde ?” de Marie Prat, un roman d’anticipation

Et si un clic pouvait changer le monde ?
D’abord, un monde numérisé à outrance, un Enfant étrange, un Chat millénaire et connecté, une Dame qui traverse les mondes, c’est le décor de cette histoire qui va bien au-delà du temps et de l’espace.
Ensuite, un cataclysme inédit offre à l’enfant une chance unique de réinitialiser la planète.
Voilà le défi à relever pour une humanité au bord du gouffre !
Va-t-il le faire ?
Pour résumer, va-t-il réinitialiser le monde ? Faire un Reset World ?

Dans un contexte international marqué par les pandémies, humaine et informatique, le monde accélère sa mutation numérique. Jusqu’où ? Et surtout, le numérique est-il utilisé à bon escient ? Ne doit-on pas « réinitialiser » le monde et l’humain ? Si le monde buggait pour nous donner une leçon ?

Pour son premier roman “Et si un clic pouvait changer le monde ?”, l’experte du numérique Marie Prat partage une histoire qui se lit comme un conte, dans un univers de science-fiction très proche de ce que nous vivons tous actuellement.

Un livre dans l’air du temps, à mettre entre toutes les mains.

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Un voyage initiatique et inspirant

L’histoire se situe dans quelques années, une vingtaine d’années à peine. Le monde est tout numérique, les robots sont partout, les gens sont hyperconnectés, plus individualistes que jamais. Ils vivent enfermés dans leur bulle numérique et dans des villes protégées, emmurées. Quelques individus éclairés refusent le modèle, se nomadisent, d’autres sont repoussés à l’extérieur des villes (les migrants).

Et puis il y un enfant, différent, qui évolue dans cet univers en mode “décalé”…

A travers ses yeux, et forte d’une carrière dans le numérique, Marie livre un autre regard sur notre évolution vers le “tout digital” et à ses répercussions.

Elle souligne :

J’ai le sentiment que la civilisation s’est développée uniquement sur le côté mécaniste et mercantile, que l’humain a perdu son identité, son bon sens, ses connexions naturelles. Il est temps que nous soignions nos âmes pour retrouver l’essentiel… L’espoir est permis si nous en prenons tous conscience !

Les “plus” du livre

  • une histoire qui ne laisse personne indifférent ;
  • la parfaite connaissance de la réalité d’un monde numérisé ;
  • un roman de courte anticipation : en se situant dans une vingtaine d’années, le roman permet à tous les lecteurs.trices de se projeter dans ce futur réaliste et effrayant, un peu comme dans un conte ;
  • une écriture fluide, concise, style rapide et agréable ;
  • un récit riche et dense ;
  • un livre plein de tendresse et de lumière ;
  • des thématiques dans l’air du temps : le numérique, la robotique, la société de consommation, la liberté individuelle, la domination de la finance, le pouvoir, la sagesse de la nature, la place de l’être humain dans l’univers, la puissance de l’espoir…

Extrait

“Quelques petits jours avant le grand chamboulement, deux ou trois tout au plus…

L’Enfant somnole vaguement à l’arrière de la voiture qui sait où aller, comment y aller, et qui y va, sans aide humaine aucune.

L’Enfant regarde les paysages défiler, alternance de villes et de villages barricadés derrière des murs de béton et d’acier. Autour, les espaces naturels, plaines et forêts, restent miraculeusement intacts, au moins en apparence, au moins pour l’instant. Ici et là, à l’écart des remparts, sur les chemins bordant les routes, on aperçoit des groupes de marcheurs, nonchalants ou pressés, allant dans un sens ou dans un autre, leurs maigres bagages sur le dos.

La petite famille roule ainsi depuis le début de l’après-midi, ils ont déjeuné dans la voiture, équipée comme il se doit, pour rafraichir et réchauffer nourriture et boissons. Dans ces années-là, la révolution numérique a parcouru la planète à vitesse grand V, balayant tout sur son passage.

Quelques innovateurs visionnaires ont fait vaciller les modèles économiques préexistants. Les échanges et les liens sociaux ont été bouleversés en conséquence, la société métamorphosée en profondeur. De la révolution industrielle du millénaire passé, il ne reste que de maigres vestiges. Le numérique a engendré un monde de plateformes, transformé l’économie traditionnelle en une économie de la multitude.

Les technologies ont propulsé de nouveaux usages et de nouveaux comportements, et ont ainsi permis de proposer aux individus autre chose, vraiment autre chose ! Et le monde s’est numérisé, uberisé larga manu. L’intrusion, puis la généralisation du numérique dans toutes les sphères de la société a fait espérer aux plus optimistes qu’un monde meilleur était possible…

Les parents de l’Enfant, installés face à face dans des fauteuils très confortables et à leur goût, à l’avant du véhicule, devisent, comme ils aiment le faire dès qu’ils en ont l’occasion, sur l’état du monde. Tous les voyants de l’énorme tableau de bord sont au vert, tout va bien.

La mère a posé son téléphone intelligent, elle n’a plus de vies, le numéro 11101 du vieux jeu de bonbons attendra un peu…

Ils reviennent de la métropole régionale où ils sont allés consulter le médecin spécialiste pour le suivi de l’Enfant. Ils auraient pu éviter ce déplacement et réaliser la consultation en ligne, mais ils se sont dit qu’un petit « voyage réel » leur ferait du bien à tous les trois.

Un petit voyage réel ? L’Enfant sourit… La conversation ambiante lui paraissant relativement insipide, il replonge dans ses pensées : cela, il s’en délecte ! Quelques mois plus tôt, il a été grièvement blessé par un drone livreur qui volait beaucoup trop bas. Victime d’un traumatisme crânien grave, l’Enfant est resté sept jours dans le coma : autant de jours et de nuits d’angoisse pour ses parents.

Au matin du huitième jour, l’Enfant s’est réveillé, miraculeusement. Il a ouvert les yeux, emplis d’une nouvelle lumière, et il a raconté son séjour merveilleux dans l’autre monde : comme tout y est beau, comme on s’y sent bien.”

L’avis des lecteurs.trices

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Voici un aperçu des témoignages laissés par les lecteurs.trices :

“Voici un livre qui ramène à l’essentiel du monde. L’auteur nous promène dans une fiction sociale… qui pourrait bien un jour ne plus en être une. Une parabole des temps d’effondrement qui nous rappelle à l’enfance de notre âme, notre part de lucidité, celle qui peut nous sauver de l’inhumain. Merci à Marie Prat de l’avoir écrit.”

“Ce livre m’a plu énormément, une vraie découverte littéraire que je souhaite partager. Les 3 personnages sont attachants, l’histoire est très originale. On dévore le livre, et on en sort avec un peu plus d’espoir.
A lire absolument pour tous ceux qui rêvent de mieux, de plus humain, d’autre chose : une très belle histoire, j’espère qu’il y aura une suite.”

“Déjà lu 3 fois et j aime davantage à chaque lecture. Livre magnifiquement insolite, qui nous entraîne dans un voyage initiatique à travers l’espace, le temps et l’âme universelle, qui nous permet de nous questionner sur le sens de la vie et nous aide à trouver la vérité intérieure. Moi qui suis plutôt auditive, je vois un film se dérouler au fil de ma lecture, plutôt au fil de mon voyage car j entre directement dans le personnage de l’enfant et je suis émerveillée par tous ces univers si bien décrits et qui pourtant imaginés semblent si réels. Ce livre extraordinaire qui relie les mondes et les êtres, monde vivant et de l’au-delà représenté par la dame millénaire, monde d’ici et d’ailleurs, représenté par des extra-terrestres si différents et pourtant plus humanistes que les terriens, monde des robots déjà présents à notre époque et donc intégrés très fluidement par notre conscience , monde des animaux merveilleusement représenté par le chat, ce livre extraordinaire ferait aussi un film hors du commun, digne d’un Matrix, d’un Star Wars ou d’un Avatar, tout en étant plus doux, plus féminin, plus plus quoi !”

“Un livre qui fait du bien ! Ce livre m’a plu énormément, une vraie découverte littéraire que je souhaite partager. Les 2 personnages sont attachants, l’histoire est très originale. On dévore le livre, et on en sort avec un peu plus d’espoir.
A lire absolument pour tous ceux qui rêvent de mieux, de plus humain, d’autre chose : une très belle histoire, j’espère qu’il y aura une suite.”

“J’ai beaucoup aimé, c’est plein de notions qui me parlent. C’est une fable qui touche au cœur, beau style, sans fioriture. Certains points mériteraient d’être approfondis. Bien aussi le rappel de ce qu’on vit aujourd’hui vu du futur, la façon dont l’enfant écoute ses parents.”

“Je ne me lasse pas de relire ce roman, d’autant que l’actualité semble de mieux en mieux s’y fondre !! Si vous ne l’avez pas encore lu, vraiment n’hésitez pas, “Et si un clic pouvait changer le monde” ne peut pas vous laisser indifférent ! déroutant, touchant, fluide…bravo!”

A propos de Marie Prat

auteure

Marie PRAT démarre sa carrière informatique voilà plus de 25 ans, au temps des premiers sites web. Pionnière du digital learning, elle créée une agence web et e-learning avec 2 amis et publie une vingtaine d’ouvrages spécialisés. Son activité professionnelle de conseil et formation l’amène à travailler beaucoup à l’international.

Très investie depuis une dizaine d’années dans la représentation des TPE PME, elle connaît très bien le monde du numérique, ses acteurs et son environnement.

Marie PRAT, globe-trotter dans l’âme et citoyenne du monde, s’est inspirée de ses expériences personnelles et professionnelles, de son engagement, de sa sensibilité particulière et de son goût marqué pour l’écriture depuis toujours, pour donner naissance à un premier roman qui mêle suspense et espoir.

Informations Pratiques

“Et si un clic pouvait changer le monde ?” de Marie Prat

  • Editions Plume Libre
  • Dimensions : 12.7 x 1.57 x 20.32 cm
  • ISBN : 978-2900255032
  • 272 pages
  • Prix : 14,99 €

Pour en savoir plus

Découvrir le livre : https://plumelibre.fr/produit/monde_numerique_reset_world/

Site web : https://plumelibre.fr

Facebook : https://www.facebook.com/editionsplumelibre

Instagram : https://www.instagram.com/ed.plumelibre/?hl=fr

“Le temps à portée deMain” de Guillaume Muller, un captivant voyage dans le temps qui mêle fiction et réalité

Benjamin a créé une application sur smartphone qui permet de voyager dans le temps. Il décide de tenter l’expérience d’un voyage dans le futur avec Camille, sa meilleure amie. Époustouflés par ce qu’ils sont en train de vivre, ils ont hâte de revenir dans le présent afin de faire partager cette découverte au père de Benjamin, un scientifique de renom. Or, Benjamin va faire une erreur de programmation : au lieu de revenir 100 ans en arrière, il recule de 200 ans et se propulse avec Camille en l’an 1918.

« Fatale » erreur ! Comment revenir dans le présent, sachant que l’application utilise Internet et qu’en 1918, la technologie est encore bien rudimentaire ? Cette erreur de débutant sera forcément cause de beaucoup de trouble mais va aussi donner lieu au plus inattendu…

Pour son premier roman, “Le temps à portée deMain”, Guillaume Muller invite les lecteurs à vivre une aventure palpitante qui tient en haleine jusqu’à la dernière page. Le chanteur auteur et interprète, que le grand public a pu découvrir dans le spectacle musical “Bernadette de Lourdes”, montre ici une nouvelle facette de son talent.

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Un récit court et intense, accessible à tous

“Le temps à portée deMain” est une histoire née en 2018, un jour que Guillaume Muller était perdu dans ses pensées et dans ses rêves. Cette histoire s’est soudainement imposée à lui, jusqu’à l’obséder. Le début et la fin, ainsi que les personnages, étaient déjà là, comme une évidence.

Guillaume souligne :

J’ai été séduit par la possibilité de mélanger fiction et réalité, ce qui est rarement fait dans les histoires de voyages temporels. De plus, j’ai volontairement choisi un format court, pour plonger avec ce livre sans prétention les lecteurs.trices dans le cœur de l’action…

En prenant la plume, Guillaume veut aussi contribuer à nourrir l’imaginaire de chacun.e, notamment en laissant les lecteurs.trices construire leurs propres décors et devenir, en un sens, les “réalisateurs.trices” de l’histoire de l’auteur.

L’auteur veut qu’ils soient libres de développer “leur vision” des scènes du roman. Une volonté qui trouve son origine dans son histoire personnelle : lorsqu’il est né, Guillaume était atteint d’une double cataracte congénitale et un nystagmus qui faisaient alors de lui un aveugle. Il a alors subi très tôt plusieurs opérations qui lui ont  permis d’avoir accès à la vue, à une vue partielle, relativement handicapante.

Mais elle a aussi nourri son envie de se dépasser : qui ne voit pas ou qui voit mal physiquement caresse l’idée de « voir plus loin » !

Extrait

“Aujourd’hui, une circonstance extraordinaire m’a incité à me plonger dans la lecture d’un journal intime, celui de mon grand-père. Je viens tout juste d’achever cette première lecture. Jusqu’ici, je ne m’y étais jamais intéressé. Pourquoi ? Parce qu’à la maison, personne ne parle plus de mon grand-père depuis longtemps. Il est devenu un « sujet tabou » et il a donc été complètement oublié.

Je m’appelle Kyle. Je décide de publier ce livre pour rétablir la vérité, la vérité sur Benjamin Nébourli qui sera passé pour un illuminé aux yeux de tous. Je veux laver son honneur et lui rendre un hommage posthume. J’ai désormais l’intime conviction que son histoire fut authentique et j’ai mal de savoir qu’il lui a fallu endurer les railleries et incompréhensions de toute la famille. Des souvenirs d’enfant me reviennent où l’on parlait de lui en mal sans que je puisse alors comprendre ce qu’on lui reprochait exactement.

Benjamin est né le 17 octobre de l’an 2000. Il a rapidement été fasciné par les sciences et, d’un caractère plutôt lunaire, il avait tendance à s’évader quand il n’était plus question de sa première passion. Elle lui venait de son père, lui-même inventeur, qui avait tenu à témoigner de son enthousiasme pour les sciences en donnant à son fils le prénom de son illustre idole, Benjamin Franklin.

J’ai quelques photos de Benjamin, d’une qualité plutôt médiocre, faites avec ce que l’on appelait à l’époque un iPhone X. Il était plutôt beau garçon et j’avoue sans modestie que la lignée familiale lui doit beaucoup. Un scientifique à la tête d’ange, c’est plutôt rare !

Ce matin, journée pour moi inoubliable, j’ai eu une révélation qui me bouleverse et qui me convainc maintenant de publier le premier carnet du journal intime de mon grand-père. Ce carnet relate une histoire exceptionnelle, l’histoire d’un tout jeune homme qui a fait un voyage dans le temps.”

L’avis des lecteurs.trices

Voici un aperçu des témoignages laissés sur Amazon :

“J’ai passé un très bon moment en compagnie de ce livre, je recommande, en particulier en ce moment où l’on a bien besoin de s’évader…et de rêver un peu à l’impossible.”

“Super histoire de voyage dans le temps, bien écrit, haletant. Très bon premier roman.”

“Un roman pour tout âges, qui se lit facilement et rapidement. Personnages attachants. Je recommande.”

“J’ai adoré ce livre qui est très bien écrit, la lecture est facile, sans lourdeur. L’histoire est très captivante et passionnante. On peut aisément terminer le livre en une journée ce qui est appréciable. Un auteur talentueux qui a une très belle plume, on attend avec impatience le prochain ouvrage.”

A propos de Guillaume Muller

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Guillaume Muller, 28 ans, est né à Libourne en Gironde.

Il se remémore :

Arrivé sur Paris en 2011, j’ai travaillé le théâtre et le chant, notamment avec Armande Altaï (la célèbre professeure de la Star Academy) et Jean Laforet.

Guillaume réalise ensuite une série de concerts en piano-voix avec un pianiste dans une petite salle sur Paris. Il crée alors un groupe qui assure quelques belles dates, telles que le Rocher de Palmer en Gironde ou au festival de la chanson française de Montluçon.

En 2016, il enregistre son premier album, “L’envers du décor”, avec les musiciens de Bénabar. Il donne ensuite quelques concerts avec l’un d’entre eux et son guitariste.

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En  2018,  Guillaume est choisi pour rejoindre la troupe du spectacle musical “Bernadette de Lourdes” composé par le chanteur Grégoire et mis en scène par Serge Denoncourt. Il y tient un double rôle : le greffier et le photographe, qu’il assure encore aujourd’hui. En une saison, plus de 70 000 spectateurs verront le show.

Fin 2019, il termine la rédaction de son livre “Le temps à portée deMain”, qu’il publie aux Editions Maïa en mai 2020. En parallèle, malgré la pandémie de Covid-19, il continue de travailler en studio sur ses morceaux et ses projets personnels.

Guillaume vient notamment de sortir deux nouvelles chansons en piano-voix : “Je perds le nord” et “Nostalgie”.

Informations pratiques

“Le temps à portée deMain” de Guillaume Muller

  • Éditeur : Editions Maïa (11 mai 2020)
  • ISBN-13 : 978-2379163425
  • 90 pages
  • Prix : 15 €

Pour en savoir plus

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Découvrir le livre : https://www.editions-maia.com/livre/le-temps-a-portee-demain/

Site web de l’auteur : https://www.guillaumemuller.com/

Dossier de presse  : https://www.relations-publiques.pro/wp-content/uploads/pros/20210210113052-p3-document-lzsq.pdf

YouTube : https://www.youtube.com/channel/UCGhjJaEjV_Odo1W3E7yj3Rg

Facebook : https://www.facebook.com/guillaumemulleroff/

Instagram : https://www.instagram.com/guillaumemuller_officiel/

“Irish Renegades” : le premier tome de la saga écrite par Blandine P. Martin tord le cou au mythe du rêve américain

Nous avons tous, dans notre imaginaire collectif, une image d’épinal forgée par la littérature et le cinéma : le fameux rêve américain. Cette idée qu’il suffit de s’installer au pays de l’Oncle Sam, d’être volontaire et travailleur, pour voir enfin s’ouvrir les portes de la réussite.

Mais la réalité est tout autre. Si la récente actualité a mis en lumière les fractures qui existent au sein de la population américaine, il faut aussi savoir que s’intégrer dans cette société peut être très difficile.

Dans le premier tome de la saga Irish Renegades, la romancière Blandine P. Martin plante le décor : ses personnages sont des immigrés Irlandais qui doivent lutter au quotidien pour trouver leur place dans un environnement peu favorable.

Elle souligne :

Le rêve américain reste un leurre pour beaucoup, et la société américaine n’est pas l’Eldorado pour tous, loin de là.

En toile de fond de cette nouvelle romance à suspense riche en émotions, il y a donc plusieurs thématiques fouillées et documentées qui prennent vie : la précarité, le combat pour élever seul un enfant et les problèmes d’insertion.

Sortie de 5 février.

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Synopsis

Il se bat au quotidien pour changer de vie.

Elle est prête à tout pour fuir l’ennui qui la ronge.

Rien n’est plus dangereux que des éléments contraires qui s’attirent.

Cela fait plus de dix ans que Malone et Farrell ont fui leur Irlande natale pour vivre à New York. Avec l’aide de leur meilleur ami, Keziah, les deux frères se sont reconstruit une vie ici.

Mais après tout ce temps, le constat ne trompe personne : pour ce trio d’inséparables, le rêve américain a viré au cauchemar. Seule lueur au bout du tunnel pour Malone : sa fille, Hailey, qu’il élève seul. Chaque jour, il lutte comme un lion pour joindre les deux bouts et lui offrir un cadre de vie digne d’elle… mais il croule sous les dettes.

Quand le destin met Sarah sur sa route, une jeune femme intrépide en mal d’aventure, il le sait : cette rencontre connaîtra un avant et un après. Il ne manquait qu’elle à leur équation.

Ensemble, ils sont prêts à récupérer la place qui leur est due sur le territoire de l’Oncle Sam, quitte à braver la loi pour y parvenir.

Les Irish Renegades sont nés.

Une saga actuelle et captivante

L’intrigue des Irish Renegades se passe à New-York, dans le pays de l’Oncle Sam.

Le héros est père célibataire d’une fillette nécessitant un suivi médical onéreux. D’emblée, on perçoit la dureté du système américain envers les plus démunis : comme les soins ne sont pas pris en charge, ce qui est fréquent aux Etats-Unis, Malone cumule plusieurs emplois et s’éreinte à la tache. C’est cette situation qui va le faire plonger dans des magouilles illégales pour sortir la tête de l’eau.

On reconnait ici la “patte” qui caractérise Blandine P. Martin :

  • des romans qui transmettent son amour du voyage puisqu’ils prennent place dans des endroits du globe qu’elle adore ;
  • des histoires  d’amour qui défient les difficultés et quittent la case pré-cochée “impossible” pour devenir des évidences ;
  • des thématiques fortes, auxquelles la romancière est sensible ;
  • des romans palpitants, avec du suspense, qui délivrent aussi messages positifs et remplis d’espoir.

Plus que des romans : des expériences émotionnelles

Bien souvent, quand on entend “romance”, on pense “sous genre”, “érotisme facile”, “clichés”, … Mais avec Blandine P. Martin, que les amatrices de “Nous Deux” et “50 nuances de Grey” passent leur chemin.

Dans ses romans, la facilité et le tape-à-l’oeil n’ont pas leur place. Chaque roman est documenté par des mois de recherches sur des thématiques, des univers souvent méconnus. Les personnages sont aussi fouillés et disséqués pour avoir une véritable épaisseur.  La romancière ficèle tout son plan en amont, avant même de commencer à écrire.

Son leitmotiv ? L’émotion, car l’amour touche tout le monde. Il est omniprésent dans la vie de chacun.

Elle confirme :

J’écris des émotions fortes, des histoires humaines avant tout, des personnages qui évoluent, à qui l’on ressemble, se connecte.

Ses histoires parlent d’amour, mais pas seulement.

Ce sont des histories que l’on pourrait vivre nous mêmes, et qui en même temps, nous permettent de nous évader du quotidien. On s’attache aux personnages, on aime avec eux, on frissonne avec eux, on a peur avec eux : bref, on vit l’histoire.

Extrait

” —Il m’arrive de penser que nous avons commis une erreur le jour où nous sommes partis… Là-bas, au moins, tu aurais pu avoir ton atelier, créer ton entreprise… Tu ne survivrais pas en cumulant plusieurs emplois au point de t’épuiser. J’aurais sans doute un semblant de retraite et Farrell ouvrirait son restaurant…

— Maman… la coupé-je. Tu sais parfaitement que rien de tout ça n’est vrai. Nous n’avions pas le choix.

Elle me fixe, triste, et soupire. Bien entendu qu’elle le sait. Mais je peux déceler le mal du pays qui danse derrière l’humidité de ses yeux. On peut quitter l’Irlande, mais elle, ne nous quitte jamais. La voir ainsi en proie aux remords m’accable. Je suis en partie responsable de notre départ. J’ai cru agir au mieux. Aujourd’hui, chaque fois qu’elle doute de ce changement de vie, le poids que supportent mes épaules s’alourdit un peu plus. Je ne sais pas combien de temps je supporterai cette charge. Mais je lutte chaque jour, pour ma fille, pour ma mère. Parce qu’elles méritent mieux.

— Tu travailles trop, me sermonne-t-elle, plus compatissante qu’autoritaire.

— Un jour, ça changera, mais pour l’instant, je dois gagner assez d’argent pour nous permettre de vivre mieux.

— J’ai l’impression d’entendre ça depuis des années, admet-elle, émue. J’aimerais croire qu’un jour, tu pourras enfin penser un peu à toi, faire ta vie, profiter des choses simples. Personne n’obtient de second essai, Malone.

Ses mots sont une prière à mon intention. Percevoir sa souffrance me tue. Alors, je préfère couper court à cette discussion qui me plonge face à mes pires démons.

— Tu t’inquiètes pour rien, maman. Je te l’ai dit, je vais bien.

Elle ne prend pas la peine de me répondre, me connaissant trop bien pour s’aventurer davantage sur ce terrain en pente.”

A propos de Blandine P. Martin

Blandine P Martin

Blandine P. Martin est une romancière amoureuse de la vie et cela se ressent dans ses écrits.

Ce qu’elle aime par-dessus tout, c’est toucher le cœur de ses lecteurs et leur offrir des histoires capables de les faire voyager hors des sentiers battus et du quotidien.

Les émotions comme moteur, elle donne vie à des personnages forts, complexes, profonds, en quête d’eux-mêmes et plus encore. Chacun de ses romans est une ode à l’amour, à l’espoir, à l’égalité des sexes et à la tolérance.

Auteure depuis 2015, elle a été plusieurs fois publiée au sein de maisons d’édition renommées. Il y a trois ans, elle a finalement décidé de récupérer ses droits sur ses œuvres et choisi la voie de l’édition indépendante.

Elle précise :

L’écriture est devenue mon métier en plus d’être ma passion et un besoin essentiel. J’ai déjà publié plusieurs sagas et romans, dont la saga de romance suspense à succès Wild Crows qui compte plus de 25000 lecteurs à ce jour.

Dans son imaginaire, il y a une “liste d’attente de romans à écrire” qui se remplit plus vite qu’elle ne se vide. Des idées qui naissent de ce qu’elle lit, écoute, ressent, pense et rêve.

Blandine a commencé à travailler sur le projet des Irish Renegades fin 2019. Cette saga comptera 4 tomes, tous écrits et publiés cette année.

 Informations Pratiques

“Irish Renegades”-Tome 1 de Blandine P. Martin

308 pages

Sortie : 5 février 2021

Disponible en broché chez tous les libraires (physiques et en ligne) et en numérique sur Amazon.

Pour en savoir plus

Découvrir le livre : https://blandinepmartin.fr/irish-renegades/

Site web : https://blandinepmartin.fr/

Facebook : https://www.facebook.com/blandinepmartin

Instagram : https://www.instagram.com/blandinepmartin

LinkedIn : https://www.linkedin.com/in/blandine-p-martin-407657106/?originalSubdomain=fr

 

“La Fiancée de Dagobert”, le nouveau roman de Didier Baux, plonge les lecteurs dans l’univers surprenant des rencontres en ligne

Je me disais que pour la séduire, je devais la faire rire. Mais à chaque fois qu’elle riait, c’est moi qui tombais amoureux.

Tommaso Maria Ferrari (Cardinal et lecteur de philosophie italien, 1649-1716)

Alors que les inscriptions sur les sites de rencontres battent des records, que ce soit en périodes de fêtes (source), de Saint-Valentin (source) ou de confinement (source) : la séduction en ligne, qu’elle soit à visée éphémère ou durable, est devenue une réalité pour nombre de Français.

Plus de 16 millions de personnes, ce qui représente un quart de la population française, ont déjà franchi le cap de l’inscription sur une appli, et toutes les tranches d’âge sont concernées.

Mais comment est-ce que cela se passe réellement ? Au-delà de la réalité des chiffres, quelles sont les peurs, les doutes et les joies des hommes et des femmes qui tentent cette aventure ? Le virtuel cède-t-il facilement le pas au réel ? A quel moment a-t-on l’assurance que l’autre n’a pas menti sur son profil ou sur ses motivations ?

Avec son roman “La Fiancée de Dagobert”, l’auteur Didier Baux invite les lecteurs et les lectrices à plonger au cœur d’un véritable phénomène de société. Cet expert en communication et relations humaines (il est consultant et conférencier) a d’ailleurs choisi le style épistolaire pour donner plus de sincérité et d’authenticité aux propos de ses personnages..

Dans son univers à la fois malicieux, drôle et romantique, il donne à vivre tout le frisson, l’impatience et l’appréhension de la rencontre lorsqu’elle a pris naissance dans le monde virtuel.

Très joliment écrit, ce roman réserve aussi une belle surprise à la fin…

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Synopsis

Zoé et Florian se rencontrent sur le web.

Leurs échanges épistolaires, convenus au début, prennent rapidement un tour très intime.

Ils se plaisent et ont envie de basculer du virtuel au réel.

Mais se sont-ils révélés vraiment ? Qui sont-ils sous le masque des pseudonymes ?

Et qui se cache derrière la fiancée de Dagobert ?

Extrait

“09h13

Lui : Je reviens un instant sur notre conversation téléphonique d’hier soir. La toute première depuis que nous sommes en contact. J’ai été ravi de notre échange. Je connais désormais votre voix. Tout était doux et simple et ça m’a infiniment plu. Au point que je me suis endormi et réveillé avec vous. On se dit « à ce soir », bien sûr.

22h30

Elle : Je reviens, à mon tour, sur notre échange d’hier. Tout était doux et simple… enfin presque, car je vous ai trouvé hésitant parfois, un peu tendu même. Peut-être, est-ce parce qu’à l’écrit, vous maniez les mots avec une telle aisance… En fait, nous n’avons pas dit grand-chose, hormis, pardonnez-moi, quelques banalités. Mais rassurez-vous, j’ai aussi ma part, j’étais probablement aussi stressée que vous. C’est idiot, car ça fait près d’un mois que nous correspondons et je pensais que notre conversation aurait pris un tour autrement plus naturel. Disons-nous que ce n’est pas si grave et qu’avec un peu de temps, tout devrait aller progressivement mieux.

Lui : Peut-être, est-ce aussi parce que, lorsqu’on vous entend, vous êtes plus déconcertante que vous ne le pensez… Vous êtes déçue ?

22h50

Elle : Notre très proche rencontre, réelle celle-là, devrait arranger ça. Je serai ravie de vous lire demain.”

L’avis des premiers lecteurs

Joël TARIS – Bordeaux : “Ce livre est un petit bijou de finesse d’écriture et de subtilité. A partir d’un thème très actuel (les rencontres sur le web), Didier BAUX nous prend par la main et nous fait découvrir son univers à la fois ludique, coquin et romantique. Le dénouement est vraiment inattendu. Et l’on se prend à tomber amoureux de la fiancée de Dagobert. Une belle réussite !”

Amaury du CREST – Bordeaux : “Ce roman se lit d’une seule traite. Didier BAUX confirme qu’il a une belle plume. Je recommande “La fiancée de Dagobert”.”

Camille VALERDI – Paris : “A peine commencé que nous avons déjà envie de connaître l’avenir de Zoé et Florian. Les rencontres sur internet sont un sujet bien actuel dans notre société. Excellent livre !”

Loïc PEREZ – Toulouse : “Sans que nous nous en rendions compte, l’auteur nous embarque dans cette relation et nous fait vivre le frisson, l’impatience, l’appréhension de la rencontre. Et sans que nous le voyions venir, il nous offre un dénouement totalement inattendu. C’est un livre très bien écrit, qui nous fait passer un bon moment !”

Solange LAROZE – Bordeaux : “Drôle, sympathique, léger et extrêmement bien écrit. Ah, que j’aimerais être la fiancée de Dagobert …”

Dany BEYNEIX – Montpellier : “Ce roman est drôle et intelligent. L’écriture est fluide et particulièrement agréable à lire. Le dénouement, malicieux et inattendu. A savourer sans modération.”

Monique SIWECK – Lille : “Que voilà un très joli moment de découverte où se côtoient humour, subtilité, inventivité et la perception très affûtée de la nature féminine (jubilatoire !) On se laisse vite captiver par les échanges soutenus entre les deux protagonistes, souvent très drôles, parfois tendres, mais aussi… torrides ! Quant au dénouement… chut ! Une véritable réussite.”

A propos de Didier Baux

Depuis près de vingt ans, Didier Baux est Consultant en entreprises et Conférencier dans le domaine de la communication et des relations humaines.

Après “Quatre perles de pluie” publié en 2011, “Le Train Bleu” en 2013 et “Archibald” en 2014, il  signe avec “La fiancée de Dagobert” son quatrième roman.

Le sujet de son roman lui a été inspiré, en partie, par sa propre expérience.

Didier confie :

Il y a quelques années, j’ai rencontré sur Internet celle qui allait devenir ma femme ! A partir de cet événement vécu, mon imagination a fait le reste…

Informations pratiques

“La Fiancée de Dagobert” de Didier Baux

  • 176 pages
  • Prix : 16,90 € broché ou 3,99 € format e-book

Pour en savoir plus

Commander le livre : https://www.librinova.com/librairie/didier-baux/la-fiancee-de-dagobert#

Il est aussi disponible sur le site de la FNAC et d’Amazon. De plus, Hachette distribue le roman à plus de 5000 librairies auprès desquelles on peut le commander.

Facebook Didier Baux : https://www.facebook.com/didier.baux.3

Thanatos Kollection : réédition des deux romans sombres et torturés de Lénaïc Noirot, authentique écorché-vif

Des textes crus, des mots choisis avec minutie. La réédition exclusive des deux romans de Lénaïc Noirot, “Kill Yourself” et “Minuit Dix” plonge le lecteur au cœur d’un univers tourmenté et déchiré.

Chaque ouvrage véhicule une émotion unique, un mal-être profond, qui fait écho à celui qui tourmente les personnages. Fauste dans “Kill Your Self”, Gabriel dans “Minuit Dix”, deux anti-héros qui vivent une descente aux enfers.

Thanatos Kollection présente également quelques poèmes qui ont été initialement partagés avec la communauté en ligne de l’auteur.

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Kill Yourself

“Fauste, jeune adolescent, décide après une longue période de déspondence, de mettre fin à ses jours. A sa grande surprise, il se réveillera à la morgue et prendra cette dernière chance pour se venger.” Lénaïc Noirot

Dans ce livre, vous pourrez suivre la chance absente d’un adolescent au bord du gouffre, un hurlement noir écrit dans le désespoir d’un hôpital psychiatrique reculé. Cet ouvrage n’est pas recommandé pour les âmes sensibles, mais plutôt celles mourantes qui recherchent un dernier brin d’adrénaline.

Ce livre, sorti en 2014, a été écrit en 2008, quand l’auteur était interné en psychiatrie. “Kill Yourself” est un roman atypique, au style incisif, brut, qui reflète en filigrane le mal-être et les angoisses de Lenaïc.

Extrait

“J’en ai juste marre, marre de ce poids constant. La déspondence s’est abattue sur mes épaules. J’ai mal. J’ai l’impression que je suis mis à terre. J’ai … Un « je » qui est en trop. « Je » ne dois plus être. Je suis abattu et mis à terre, prêt à être sous terre. Cet abattement me plonge dans l’abysse de larmes et de terreur, dans l’innommable ! Je rampe vers ma porte, larmoyant. Je rampe vers ma porte, tel le misérable ver que je suis. Je suis sale ; je suis immonde ; je suis un indicible déchet ; je suis la pourriture envoyée de dieu, flétrissure inqualifiable.”

Minuit Dix

“[...] Me voilà devant une affiche, et je lis, je lis ce que j’ai fait, et relis… encore et encore. L’ai-je vraiment fait ? Je n’en sais rien. Mais, qui me croit, alors ? Qui sait ce que ça fait d’être comme moi ? Et ces cris, ces hurlements en moi. Comment m’y prendre ? Je ne le ferai pas… JE DOIS ! Et cette voix hurlante, je ne peux l’entendre… Aidez-moi… Je ne peux pas… Je ne peux pas… Je ne peux plus…” – Gabriel

Avec Thanatosis : Minuit Dix, Lénaïc Noirot plonge ses lecteurs dans les abîmes les plus profondes de la détresse humaine.

Allez-vous faire face à un jour différent suite à cette lecture ?

Cette histoire est née une nuit, à minuit dix, quand Lénaïc s’est réveillé en proie à de nouvelles hallucinations : des yeux rouges le fixent. S’en suit une longue nuit d’insomnie qui lui inspire le personnage de Gabriel et la descente en enfer de cet adolescent mal dans sa peau…

Extrait

 ” Puis-je croire que j’ai la force de lutter ? Ne suis-je pas pris par cette malédiction, ne l’ai-je pas en moi ? Le feu, les voix, l’agonie. Toujours devoir marcher dans les rues. Et je me suis toujours senti ainsi, depuis qu’il est après moi – Je suis moi-même. Ça me hante. Le silence. Mais je l’entends toujours. Oui, parfois je me sens comme courir après moi-même. Je veux que tous me fuient de cette façon. Mais je ne peux pas… Je ne peux pas fuir de moi-même. Je dois, je dois suivre le même chemin qu’il emprunte pour me pourchasser. Courir, courir… Des routes sans fin. Je veux m’enfuir, m’enfuir, je DOIS m’enfuir! Et avec moi, le fantôme d’une mère. Ils sont toujours là ! Toujours ! Toujours ! Toujours ! Mais moi…”

Lénaïc Noirot, écrire pour défier Thanatos

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« L’être de l’homme, non seulement ne peut être compris sans la folie, mais il ne serait pas l’être de l’homme s’il ne portait en lui la folie comme la limite de sa liberté. »

Jacques Lacan

Écrire pour partager, écrire pour se souvenir des belles choses, écrire pour déposer ses peines, écrire pour crier ses douleurs… Si l’écriture est souvent encouragée en tant qu’activité positive et de développement personnel, elle apparaît également aujourd’hui en tant qu’outil de thérapie.

Permettant de « décentrer la réflexivité du regard sur soi et constituant un premier pas vers l’autre, cet autre si redouté dans la psychose », l’écriture s’inscrit dans la notion de « suppléance », aide au moi dans la psychose (*J. Lacan, « Joyce le symptôme », Le Séminaire, livre XXIII, Le sinthome).

Lénaïc Noirot confie :

A la base, j’écris pour vider mon sac. C’est souvent personnel, bien que toujours implicite. J’ai écrit mon premier recueil de poèmes Eros & Thanatos en 2007 à mes 17 ans. Aujourd’hui, j’ai un bras plein de cicatrices, un cerveau malade, un cœur mort mais je choisis mes mots et j’écris sans détour des textes crus, la seule Katharsis étant l’écriture, et le vomi noir qui en découle.

Informations pratiques

“Thanatos Kollection” de Lénaïc Noirot

  • 182 pages
  • ISBN-13 : 979-8565357257
  • Dimensions : 15.24 x 1.04 x 22.86 cm
  • Prix : 22,99 € broché, 4,99€  au format Kindle

Pour en savoir plus

Commander le livre sur Amazon : https://www.amazon.fr/dp/B08NJR5F8G

Facebook : https://www.facebook.com/Thanatosis666

LinkedIn : https://www.linkedin.com/in/lbnoirot/

“Quelque chose en nous” de Joël Taris, un roman palpitant qui revient sur la trajectoire de Johnny Hallyday et révèle des anecdotes inédites

Saint-Barth, 5 décembre 2019. Des milliers de fans déferlent en pèlerinage sur l’île pour se recueillir sur la tombe de Johnny Hallyday.

Pour tous un voyage inoubliable, mais pour six d’entre eux le début d’un incroyable destin.

Emportés dans une spirale d’événements vertigineux, ils vont être confrontés à une fatalité implacable. Avec, en filigrane, le fantôme omniprésent de leur idole…

Consultant en communication verbale et conférencier professionnel, Joël TARIS est connu pour ses interventions sur le thème de la communication persuasive.

Mais dans le roman “Quelque chose en nous”, un titre en forme de clin d’œil, c’est le fan de la première heure qui prend la plume. À travers ce récit captivant, il révèle aux lecteurs les hasards et les coïncidences troublantes ayant jalonné la trajectoire hors du commun de Johnny Hallyday. Avec un (énorme) petit plus : au fil des pages, certaines révélations inédites touchant à la carrière du rocker sont dévoilées…

Très original, ce roman qui se lit d’une traite ne se contente pas de s’appuyer sur l’image de notre star nationale. Il dépeint aussi des personnages très différents qui évoluent au cœur d’une machination, dans une histoire pleine de rebondissements sous forme de synchronicités.

A mettre entre toutes les mains.

couverture

Un roman fascinant qui met en scène les fans de Johnny Hallyday

La relation entre Johnny Hallyday et ses fans a toujours été fusionnelle, entière. Tout au long de sa vie, “l’idole des jeunes” a été accompagné par cette communauté soudée et sincère. Tout le monde a en tête les images de cette foule immense venue dire un dernier adieu à la star, lors de ses obsèques à l’église de la Madeleine à Paris.

Pourtant, malgré les nombreux livres sur la vie de Johnny, rares sont ceux qui ont abordé le sujet de ses fans.

Parce qu’il est l’un d’entre eux, Joël Taris a un regard à part, plus intimiste et plus authentique, sur ces hommes et ces femmes qui suivent Johnny depuis toujours.

Ses 6 protagonistes sont plus vrais que nature et contribuent à embarquer les lecteurs dans cette histoire riche en rebondissements et en révélations. Avec, en permanence, l’ombre du rocker qui plane… Sa présence est presque palpable.

Joël confie :

Je suis fasciné par les hasards et les synchronicités qui régissent nos vies. Or en préparant le roman, j’ai découvert des coïncidences troublantes autour de la carrière de Johnny.

“Quelque chose en nous” est donc un roman qui touche un large public :

  • les fans de Johnny, qui vont adorer retrouver la présence de leur idole et découvrir des révélations inédites ;
  • les amateurs de thriller, car “Quelque chose en nous” tient en haleine de la première à la dernière page ;
  • les esprits ouverts qui s’intéressent aux prémonitions et aux hasards surprenants qui jalonnent et orientent le cours de nos existences.

Extrait

“Le vol entre Saint-Martin et Saint-Barthélemy affichait complet. La compagnie avait d’ailleurs doublé les navettes face à l’affluence. Les visages des occupants de la cabine étaient pour la plupart sérieux, voire graves, loin de l’allégresse coutumière qui présidait à l’acheminement de la clientèle huppée habituelle.

Rien de tout cela cette fois-ci. Pas de montres Philippe Patek, ni de sacs Vuitton ni de souliers Louboutin. Il s’agissait ici d’un melting pot réunissant des classes sociales très différentes, mais avec un objectif commun. Se recueillir sur Sa tombe, comme d’autres braveront les kilomètres pour embrasser le Saint-Sépulcre.

Trois ans déjà. Trois ans jour pour jour que Johnny Hallyday avait coupé le son et l’image. Il s’en suivit une tristesse abyssale. La mort de Johnny a été une bombe qui a explosé dans les entrailles des enfants du babyboom. Toute une génération a pleuré parce qu’elle venait de comprendre qu’elle allait bientôt mourir.

Elle qui se croyait indestructible, toujours jeune malgré la calvitie, les implants et l’arthrose qui menacent. Une génération qui chantait « l’Idole des jeunes » venait de réaliser qu’elle était devenue vieille, vulnérable et mortelle. Alors les larmes ont charrié les lambeaux de leur enfance, les amours d’été et l’élixir de leur jeunesse qu’ils croyaient éternelle. ”

L’avis des lecteurs.trices

Didier de Toulouse : “Des personnages particulièrement bien incarnés, la présence permanente de Johnny en toile de fond, un dénouement inattendu.”

Géraldine de Caen : ” De hasards en coïncidences , la trajectoire incroyable des six personnages nous scotche à ce roman qu’on a pas envie de lâcher jusqu’au dénouement.”

Benoît de Nantes :  ”  “Quelque chose en nous”,  le titre colle parfaitement à ce roman tant Johnny est présent tout au long de ce récit…”

Laurent de Nice , membre d’un fan club : “On sent que Joël Taris est un inconditionnel de notre Idole. Pourtant vrai fan de Johnny, j’ai moi-même appris des révélations inédites sur sa vie . Chapeau L’auteur !!”

Michael de Paris : “Pas très fan de Johnny, j’ai pourtant pris un énorme plaisir à la lecture de ce roman aux rebondissements inattendus.”

Solange de Bordeaux : “Si notre destin nous échappait et si notre vie était écrite d’avance ? Vrai question qui interpelle à la lecture de ce roman ..”

Audrey de Biarritz : “Ça commence par un hommage à Johnny, ça se poursuit par un enchaînement de coïncidences et une terrible machination pour aboutir à un dénouement inexorable. J’ai adoré ce récit original et terriblement addictif.”

Amaury de Bruxelles : “Puissant. Original. Imprévisible.”

À propos de Joël Taris

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Diplômé d’une école de commerce, Joël Taris a été directeur régional du groupe Manpower.

Depuis 25 ans, il dirige un cabinet de conseil en communication verbale. Joël intervient au sein des entreprises et à l’occasion de conférences sur le thème de la communication persuasive.

Il est aussi un fan de toujours de Johnny Hallyday, qu’il écoute depuis 1960. Alors, comme beaucoup de Français, il a été très touché par la nouvelle de sa mort…

L’idée de rédiger un roman autour de son idole s’est donc progressivement imposée comme une évidence.

Informations Pratiques

“Quelque chose en nous” de Joël Taris

  • 176 pages
  • Prix : 17,90 € + 4,10 € de frais de port

Pour en savoir plus

Site web :  https://www.quelquechoseennous.fr/

“La Jeune fille au ruisseau”, le roman captivant de l’écrivaine franco-croate Mirjana Stankić sur fond d’immigration clandestine

Lana Santini est écrivaine publique de profession. Dans le cadre de sa première mission, elle rencontre Ivana Plavac, une artiste-peintre à la notoriété bafouée. Cette dernière vient de purger une peine de prison et lui demande d’écrire une histoire romancée, relatant sa passion pour un immigré clandestin, Sami Hamadi, l’homme qu’elle a éperdument aimé et qui a défié la mort lors de sa périlleuse traversée de la Méditerranée.

Ivana Plavac, a-t-elle vraiment porté atteinte à cet homme ? Que s’est-il passé entre eux ? Peut-on jouer avec les sentiments amoureux de quelqu’un sans éprouver la moindre culpabilité ? La trahison, laisse-t-elle toujours des blessures indélébiles dans nos existences ? L’artiste-peintre, parviendra-t-elle à terminer le tableau sur lequel elle travaille et qui est, en réalité, la consécration de sa vie ?

Dans “La Jeune fille au ruisseau”, premier opus de la série littéraire “Raconte mon histoire”, l’écrivaine franco-croate Mirjana Stankić embarque ses lecteurs dans la vie de Lana Santini. Les embûches et tragédies qu’elle a eu à affronter sont dévoilées au fur et à mesure des témoignages bouleversants des clients qui croisent la route de cette écrivaine publique.

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Une plongée en profondeur dans la vie des “petites gens”

Dans “La Jeune fille au ruisseau”, l’héroïne Lana Santini découvre l’histoire d’amour vécue par sa cliente Ivana Plavac, une artiste-peintre, et Sami Hamadi, un immigré clandestin.

Au-delà des apparences, ces deux protagonistes n’ont pas les mêmes aspirations et ne partagent pas les mêmes sentiments amoureux.

Sous la plume de Mirjana Stankić, plusieurs thèmes s’entremêlent : l’immigration clandestine, la dépendance affective mais aussi l’importance de l’enfance, socle de toute vie réussie.

L’écrivaine franco-croate donne ici le ton de ce qui sera ensuite le fil conducteur de sa série littéraire “Raconte mon histoire”. Comme Zola, Balzac ou Maupassant, la romancière met en scène la vie des petites gens, des personnes que l’on croise tous les jours et dont on ne parle jamais.

Mirjana souligne :

J’aime imaginer la vie des protagonistes de mes romans, raconter leurs déboires, m’identifier à eux, exprimer mes propres ressentis. Je suis aussi très attachée à toutes ces petites choses simples, parfois invisibles ou insignifiantes, qui pourtant nous laissent sans voix.

“La Jeune fille au ruisseau” aurait dû être présenté au Salon du livre à Paris, un événement de renom hélas annulé cette année en raison de la pandémie de Covid-19.

Prix : 18,50 €

 

Affiche professionnelle

 

Une double culture qui vient enrichir les romans

Dans chacun de ses livres, l’écrivaine parle aussi de ses racines, de l’Histoire de son pays et des beautés de sa Croatie natale.

Il y a 25 ans, quand elle est arrivée en France, Mirjana ne parlait pas un mot de français. La littérature sera le pont qui lui permettra de développer un amour inconditionnel pour cette belle langue et sa terre d’adoption.

Aujourd’hui, elle considère tout simplement avoir deux patries.

Elle confirme :

Porter le nom Stankić en France a pu être un handicap dans le passé. Aujourd’hui, ce nom est devenu ma force, car je suis le fruit de deux cultures. Depuis mon intégration au sein de la société française, j’ai toujours voulu, malgré mes origines étrangères, faire partie de ceux qui laissent une trace quelque part, qui inscrivent leur nom dans la ligne du temps.

 Extrait

“Enfant, Ivana vivait dans la dévalorisation et les interdits. Elle repensait souvent à ces scènes lamentables où elle tordait ses petits doigts crispés, cogitant sur la réponse à donner à la simple question : « Quel âge as-tu ? » Comme toutes les autres, cette question aussi était un piège. Elle demeurait interdite devant sa mère qui s’indignait :

— Tu n’es qu’une petite sotte ! En plus de m’avoir imposé une vie de tourments solitaires, Dieu a accru mon malheur en me donnant une gamine stupide et insipide !

En grandissant, la même incertitude la poursuivait. Ivana gardait ses opinions pour elle sans jamais oser s’affirmer. Les endroits isolés semblaient lui convenir, autant qu’un adage qui correspondait à sa personnalité : « La parole est d’argent, le silence est d’or. » Ainsi donc, un véritable exploit venait de se produire en une seule soirée ? Deux amies fidèles, son cavalier nommé Sami et trois verres de mojitos l’avaient désinhibée ! C’était du délire ! Elle s’avouait que sans l’insistance d’Adela et Maëva, elle aurait tout fait pour se rendre invisible. Elle aurait même oublié qu’elle existait ! Mais, elles étaient là ! Et lui aussi, il était là avec cette odeur de campagne qui émanait de sa chemise et ses expressions de blédard.

Alertée par cette séquence de danse de slow qu’Ivana revivait en fermant les yeux, sa petite voix intérieure la mettait en garde : l’amour est un sentiment idéalisé et destructeur, nourri de fantasmes. Ne voulant pas imposer à son esprit de pareilles pensées qui méritaient une réflexion approfondie, la jeune femme s’endormit le sourire figé sur les lèvres, heureuse d’avoir été corrompue par des plaisirs banals de l’existence.”

Mirjana Stankić, c’est aussi la trilogie “Tant que les printemps reviennent”

Récemment rééditée en coffret cadeau, la trilogie “Tant que les printemps reviennent” a été à l’origine publiée sur six années, en 3 volumes, de 2011 à 2016.

Prix : 59,50€.

Tome 1 – L’enfant de Bilogora

Dans les années 1970, le père d’Ana disparaît alors qu’elle n’est qu’un bébé. Abandon de domicile ? Enlèvement ? Homicide ? Nul ne le sait…
Sa mère finit par se remarier. Ana devient l’aînée d’une fratrie de quatre. La famille vit dans la contrée croate de Bilogora où le dur travail des champs est rythmé par les saisons. La petite fille admire la nature, sa source de liberté.
Lasse des violences conjugales, sa mère fuit le domicile avec ses enfants et s’installe dans la capitale croate où elle fait la connaissance d’un homme de la ville. Ana voit en celui-ci le père tant attendu. Avec l’aide de cet inconnu, elle s’ouvre sur le monde et s’adapte rapidement au confort citadin.
Pourtant, une ombre plane sur sa vie : son père, est-il encore vivant ? Et cette Gitane rencontrée par hasard, quel secret détient-elle ?…

Tome 2 – Les tourbillons de l’existence

En Croatie, dans la famille d’Ana règnent l’angoisse et la consternation : où et pourquoi s’est-elle enfuie ? Comment a-t-elle pu faire une chose pareille ?
L’inspecteur Bilić – qui autrefois avait participé à l’enquête sur la disparition de Darko, le père biologique de la jeune fille – est diligenté pour la retrouver.
Rattrapé par son passé, Mirko n’a pas la conscience tranquille. Sa sœur de cœur Vida reçoit un visiteur inattendu. Ce dernier lui formule une bien étrange requête. Va-t-elle l’accepter ?
Tandis que sur Terre les Humains se débattent avec les problèmes du quotidien, dans le Monde de l’Au-Delà la bataille pour la Vie Éternelle s’avère éprouvante… Darko, disposera-t-il des forces nécessaires pour la gagner ?

Tome 3 – Le silence de l’aurore

Émigrée au pays de Cocagne, mariée à un homme plus âgé, Ana comprend qu’elle a trop idéalisé l’Ailleurs. Sa rencontre avec René, un jeune intellectuel, bouleverse sa vie. Elle combat ses propres sentiments afin d’honorer son mari et d’être digne de cette âme slavonne qui coule dans ses veines.
​La rencontre entre l’inspecteur Bilić et la mère d’Ana est imminente. Zora apprend que sa fille aînée est toujours vivante et cette nouvelle la comble de joie et d’espoir. Quand la reverra-t-elle ?
​Pour Vida et Mirko, la fraternité a toujours compté. Mais, la voyante la plus réputée du pays a du mal à trouver des solutions adaptées pour défendre les intérêts de son frère. Quant à la lourde ​tâche qui lui incombe, réussira-t-elle à révéler à sa protégée toute la vérité sur la disparition de son père biologique ?
Mirko a atteint ses objectifs matériels, mais son lourd passé le rattrape. Arrivera-t-il à s’en défaire ? Réussira-t-il à s’en sortir de cette situation qui le dépasse ?
Face à l’imminence de la guerre qui éclate sur le territoire yougoslave, les protagonistes sont pris de court. Que leur réserve le Destin ?
Évoluant dans le monde de l’Au-Delà, Darko s’accroche, franchit les étapes et comprend que gagner la Vie Éternelle n’est pas de tout repos…
​Et cette pierre de cristal qui semble présider au Destin de certains, d’où vient-elle et quels sont ses véritables pouvoirs ?

À propos de Mirjana Stankić, romancière et écrivaine publique

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La carrière de Mirjana a débuté en 1992 en Croatie où elle occupait des postes à caractère administratif.

En 1994, cette maman de deux enfants s’installe en France et travaille dans différents secteurs, notamment le tourisme car elle est polyglotte (anglais, allemand et français) et elle possède le titre professionnel de guide-accompagnateur.

En 2019, la romancière décide de concrétiser son projet d’aide à la rédaction en devenant écrivaine publique indépendante. Son autoentreprise “Des vies et des écrits” est au service des particuliers, des entreprises, des associations et des
collectivités. Elle leur propose de réaliser toutes les démarches administratives à leur place, de prendre en charge les travaux classiques de secrétariat, de gérer leur correspondance, privée et professionnelle ou d’écrire des récits de vie.

En parallèle, elle mène une carrière de romancière.

Pour en savoir plus

Commander le livre : https://mstankic.wixsite.com/desviesetdesecrits/la-jeune-fille-au-ruisseau

Site web : https://mstankic.wixsite.com/desviesetdesecrits

Facebook : https://www.facebook.com/mirjana.stankic

Instagram : https://www.instagram.com/mirjana_stankic/

“Demain, je déploierai mes ailes” de Cindy Triaire, un roman poignant et inspirant qui invite à surmonter les blessures de la vie

Parfois, la vie ne nous fait pas de cadeau. Elle nous heurte, nous contraint, nous pousse dans nos retranchements. Parce que les blessures sont souvent profondes, les guérir relève d’un véritable parcours du combattant. Mais la lumière au bout du tunnel, presque toujours existe.

Dans son second roman, “Demain, je déploierai mes ailes” (publié par Tremplin Carrière), Cindy Triaire offre un second souffle à toutes celles et ceux que la vie a éprouvés. Elle y communique un formidable message d’espoir en montrant que nous avons toutes et tous, au fond de nous, les ressources nécessaires pour rebondir et aller de l’avant. Un livre captivant à mettre entre toutes  les mains !

4ème de couverture

Romane, onze ans, trépigne. Pousser un caddie de supermarché n’a rien d’exaltant. Contrariée, la jeune fille désobéit et s’éloigne du chariot. Profitant de l’insouciance de l’enfant, un homme souriant approche. Il suffit parfois d’une seconde d’inattention, d’une rencontre, bonne ou mauvaise, d’une erreur de jugement pour que tout bascule.

Plongez dans l’histoire trépidante d’une jeune femme abîmée, à qui l’on va offrir de réapprendre à rêver. Et s’il était possible de relever la tête et de déployer nos ailes ?

Un roman inspiré par des parcours de vie atypiques, forts et touchants

Parce qu’elle accompagne au quotidien celles et ceux qui veulent avancer sur le chemin de la reconversion professionnelle et du développement personnel, Cindy Triaire a, au cours de ces sept dernières années, partagé l’histoire de centaines de personnes. Elle a ainsi eu vent de leur parcours, de leurs doutes, de leurs chagrins, de leurs frustrations mais également de leur envie et besoin de tourner la page en vue d’écrire un nouveau chapitre de vie. Aussi, a-t-elle voulu, à sa manière, mettre en lumière toutes celles et ceux dont l’histoire est à la fois belle, unique et poignante.

Cindy confirme :

Leur souffrance, bien souvent palpable, m’a beaucoup touchée. J’ai eu très vite l’envie de la combattre en leur offrant un rayon de soleil, une véritable bulle d’oxygène, qui les encourage à oser se réaliser.

“Demain, je déploierai mes ailes” est une source infinie d’inspiration et de motivation. Chaque lecteur.trice sera emporté par la force de ces jeunes femmes, aux caractères incroyablement combatifs, qui apprennent à faire fi des événements pourtant traumatisants de leur enfance. Quelles que soient les émotions qui les animent, toutes délivrent un magnifique message d’espoir, témoignant de la capacité de résilience dont nous sommes toutes et tous capables.

Une préface signée par Mélanie Rébreget

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Mélanie Rébreget est une jeune femme de 21 ans atteinte de paralysie cérébrale. “J’ai eu la chance de pouvoir préfacer ce livre ! Et quel livre ! Quelle histoire poignante et inspirante ! Ce deuxième roman donne tout comme le premier de l’espoir. Pour moi, il me montre que peu importe ce que l’on a pu vivre dans la vie, on peut toujours s’en sortir et trouver les ressources en soi pour rebondir. Cette histoire m’a beaucoup plu et bouleversée. Merci Cindy de nous faire partager autant d’émotions et d’espoir dans un même ouvrage !”

Extrait

“Elle venait d’avoir quatorze ans. Une journée d’anniversaire qui aurait pu être belle, qui, pour toute jeune fille de son âge, aurait dû l’être. Il avait pourtant mis les formes. Tôt le matin, il avait quitté la maison et s’en était allé acheter un royal au chocolat et avait pris soin de planter en son centre une jolie bougie rose et blanche. Il avait même, à l’heure du dessert, poussé la chansonnette en posant le gâteau au centre de la table. Les yeux de la jeune fille auraient dû briller, ses jolies dents se dévoiler, mais c’est son corps tout entier qui en cet instant s’était figé. Elle connaissait la musique, redoutait la partition. Une fois la dernière note achevée, il lui demanderait de souffler et sans un mot, elle s’exécuterait. La voix grave et rauque de l’homme la fit sursauter :

- Souffle ! Qu’est-ce que tu attends ? Souffle !

Alors, à la hâte, elle souffla. La flamme vacilla, doucement d’abord, puis, fragile, s’éteignit.

- Pourquoi tu souris pas ? Souris, j’ai dit !

Répondant à l’appel de l’instinct, la jeune fille esquissa un sourire crispé. Trop tard pour les faux semblants. La main de l’homme venait de s’écraser sur sa joue la projetant hors de sa chaise, sa tête venant heurter la porte froide du réfrigérateur. ”

A propos de Cindy Triaire, l’auteure

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Issue d’un Master en Sociologie, Cindy Triaire décide de reprendre ses études à l’âge de 27 ans. Elle obtient un Diplôme de Niveau I de Directeur de Centre de Profit, avec pour spécialisation Management et Création d’entreprise.

Dès l’âge de 28 ans, elle crée ainsi Tremplin Carrière, un cabinet conseil en Stratégie de Réussite implanté dans la région toulousaine. Avec une vocation : accompagner, encourager et promouvoir la réussite professionnelle au travers de formations, d’ouvrages, de séminaires, de vidéos et d’accompagnements personnalisés en communication humaine et positionnement stratégique.

Aujourd’hui, cela fait près de sept années que cette cheffe d’entreprise passionnée dirige Tremplin Carrière. Chroniqueuse radio, elle est par ailleurs relayée chaque semaine sur les ondes de DFM930 et partage très régulièrement de petites vidéos conseils à vocation d’accompagner la Réussite professionnelle.

En 2016, elle publie son premier ouvrage « Audace, Enthousiasme et Persévérance : Les Clefs de la Réussite ! » puis rédige en 2018 un second livre intitulé « La Nouvelle Vision du Succès : Comment décider de sa Réussite ? ». Ce dernier a très vite été promu sur le plateau TV de BFM Business et a ainsi participé de légitimer son travail d’auteure.

Passionnée par les mots, Cindy décide alors d’honorer un rêve de petite fille en concrétisant un projet que sa maman espérait la voir un jour réaliser : l’écriture de son premier roman.

Fin 2019, des lecteurs découvrent ainsi une nouvelle facette de sa personnalité avec la présentation de son ouvrage “Et j’ai donné son nom à une étoile : Tout perdre et se reconstruire”, préfacé par le très remarquable Philippe Croizon, Athlète quadri-amputé, Auteur, Conférencier & Chroniqueur pour France 5. Elle a ici repris la plume afin d’offrir à ses lecteurs une seconde histoire, à la fois poignante et trépidante, via ce nouveau roman : “Demain, je déploierai mes ailes”.

L’avis des lecteurs.trices

Betty.G :  “Cette lecture m a procuré un sentiment d’évasion. J’ai littéralement plongé dans l’histoire. Je suis allée à la rencontre de personnages fascinants. J’ai partagé leur tristesse, leurs émotions, leur joie, selon que le livre les a suscités. Je me suis sentie emportée par les mots, frappée par les sentiments de personnages attachants, par l’humour de femmes combatives et hors du commun. Poignant, émouvant, amusant, sombre et lumineux à la fois. Tout un arc en ciel en couleurs. Merci à l’auteure de m’avoir permis de m’évader de mon quotidien”. 

Cédric.S : “Après un premier roman que j’ai dévoré, j’ai espéré un second ouvrage de l’auteure. Inutile de dire que mes attentes étaient élevées et le moins que l’on puisse dire c’est que je n’ai pas été déçu. Nous découvrons l’intense histoire de ces adolescentes à la fois touchantes et attachantes qui, on l’espère tout au long de ce roman, trouveront à nouveau la force de croire en leurs rêves.”

Sandrine.C : “J’ai beaucoup aimé découvrir ces destins incroyables qui se dévoilent au fur et à mesure et s’entrelacent. Des personnages inspirants, très attachants, dont le parcours amène à réfléchir à plusieurs notions … une lecture très plaisante et enrichissante !!”

Harmony.P : “A nouveau, il est impossible de ne pas s’attacher aux nouveaux personnages de Cindy Triaire. Des vies bouleversées à leur commencement, mais une rage de vivre qui leur donne un tout autre tournant. Fidèle à sa doctrine, l’auteure nous apprend à voir le positif qui nous entoure et à rebondir face aux obstacles”.

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Informations pratiques

“Demain, je déploierai mes ailes” de Cindy Triaire

  • Éditeur : Tremplin Carrière
  • 248 pages
  • ISBN : 979-10-96213-03-0
  • Prix : 9,90 € format ebook / 15 € format papier

Pour en savoir plus

20200729151541-p1-document-ppyt Découvrir le livre : https://www.tremplincarriere.com/roman-demain-je-deploierai-mes-ailes/

Site web : https://www.tremplincarriere.com/

YouTube : https://www.youtube.com/channel/UCzwX-N2wGFCy0JMNXKizoTg

Facebook : https://www.facebook.com/tremplincarriereconseil/

Instagram : https://www.instagram.com/tremplincarriere/

LinkedIn : https://www.linkedin.com/in/tremplincarriereconseil/

Sortie du Livre 1 de « Nightmare », un mélange atypique de roman, d’illustrations et de bande dessinée, signé Johanna Zaïre et Thibault Colon de Franciosi

 « Nightmare » est un ouvrage hybride, atypique mélange de roman, d’illustrations et bande dessinée en 2 tomes qui plonge les lecteurs dans un univers mystérieux et frissonnant.

Un nouveau concept qui cartonne auprès des amateurs de romans et de bandes dessinées : la création du Livre 1 intitulé « Le Réveil » a été financée avec succès sur Ulule (302%) grâce au soutien de 278 contributeurs.

Johanna Zaïre (l’auteure) et Thibault Colon de Franciosi (l’illustrateur) ont donné vie à un monde très original, à la fois obscur et angoissant, qui évoque Tim Burton ou Stranger Things tout en ayant une singularité propre.

Les quelques 160 illustrations et les 25 planches de BD, réalisées par Thibault tout en couleurs à l’aquarelle, donnent vie aux personnages et nourrissent l’imaginaire alimenté par la plume captivante de Johanna.

Sortie prévue le 5 septembre.

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Résumé de l’histoire

Ève et Théo ne se connaissent pas. Après s’être réveillés sans aucun souvenir dans un monde où la population semble avoir disparue, ils se mettent en quête de réponses. Que s’est-il passé ?

Très vite, ils se rendent compte que le danger rôde, infâme et cauchemardesque…

De rencontres en péripéties, ils vont devoir survivre dans un monde post-apocalyptique. Des créatures fantastiques et de nombreuses épreuves les attendent sur le chemin d’une vérité terrifiante…

Ne vous fiez pas aux apparences… les monstres ne sont pas toujours ceux que l’on croit…

Une immersion dans un univers post-apocalyptique et fantastique

« Nightmare » est un roman… mais pas seulement !

Les lecteurs passent du texte à une illustration ou à une planche de BD et vice versa. Les genres s’entremêlent avec brio pour mieux embarquer le lecteur dans les aventures de Théo, Ève, Alice & Diego, Max, Glenn…

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Les personnages sont là sous leurs yeux.

Cet ouvrage atypique est aussi une passerelle culturelle, qui incite à aller plus loin : les amateurs de BD vont découvrir toute la puissance du roman, et les amoureux de littérature seront séduits par la force visuelle de la BD et des illustrations en couleurs, réalisées de façon traditionnelle à l’aquarelle.

A mettre entre toutes les mains à partir de 14 ans.

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Extrait

« En sortant de la demeure dans laquelle il était entré, il patienta sous le porche et observa la ville déserte. Son regard se posa alors sur ce qui semblait être une épicerie.

Dernière chance, se dit-il. Il traversa la rue, entra dans la boutique et se stoppa net, n’en croyant pas ses yeux. Les rayons étaient pleins. Ça, c’est le pied ! Il s’avança vers le premier rayon qui regroupait les textiles et objets souvenirs et se choisit un sac à dos. Il alla ensuite récupérer des boissons, optant pour du soda et de l’eau avant de se diriger vers son rayon préféré : gâteaux et apéritifs. Il prit le temps de choisir scrupuleusement les barres chocolatées et paquets de chips qu’il voulait embarquer.

Alors qu’elle continuait de fouiller dans le stock, Ève entendit du bruit venant de la boutique. Elle patienta quelques instants pour écouter puis sortit de la pièce sans faire de bruit. Elle avança lentement, se dirigeant vers les sons qu’elle entendait.

Il y avait un jeune homme vêtu d’un jean large et d’un sweat à capuche qui se servait dans les rayons. Silencieusement, Ève s’approcha de lui et leva sa batte de baseball.
Trop occupé à trier les articles qu’il voulait, Théo se fit surprendre.
— Qui es-tu ? s’écria Ève »

Les événements à ne pas manquer autour de « Nightmare »

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A partir du 17 septembre : L’exposition et le vernissage à la Galerie Art-Maniak (Paris) 

Du 17 septembre au 3 octobre, une exposition « Nightmare » se déroulera à la Galerie Art-Maniak à Paris.

Une vingtaine de planches de BD ainsi qu’une trentaine d’illustrations originales réalisées à l’aquarelle. Entrée gratuite.

Le vernissage aura lieu le jeudi 17 septembre 2020, à partir de 18h30, en présence des artistes qui échangeront avec les invités et dédicaceront  « Nightmare ».

Informations pratiques

  • Galerie Art-Maniak, 10 Rue de la Grange Batelière 75009 Paris (Métro Richelieu-Drouot)
  • Horaires de l’exposition : du lundi au vendredi de 10h à 19h, le samedi de 11h à 19h.
  • Organisateur :  Clément Gombert, le gérant de la galerie
  • Site web de la galerie : http://art-maniak.com/

Les séances de dédicaces dans les festivals en France

  • 05 et 06 Septembre 2020 – Roch’fort en Bulles – Rochefort (17)
  • 17 Septembre 2020 – Lancement de Nightmare – Paris (75)
  • 26 et 27 Septembre 2020 – Les Aventuriales de Ménétrol (63)
  • 03 et 04 Octobre 2020 – Festival BD Luisant (28)
  • 14 et 15 Novembre 2020 – Art to Play – Nantes (44)
  • 05 et 06 Décembre 2020 – Marché de Noël – Soyaux (16)

D’autres dates sont prévues et seront annoncées au fur et à mesure sur la page officielle Nightmare sur Facebook.

Une création originale née de la rencontre de deux artistes

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Le projet « Nightmare » est né de la rencontre de deux artistes talentueux : Johanna Zaïre (l’auteure) et Thibault Colon de Franciosi (l’illustrateur).

Leur première collaboration voit le jour en 2017, lorsqu’ils unissent leurs compétences pour créer un univers pour la jeunesse, à la fois magique et plein de rebondissements.

Ils consacrent près d’un an de travail à « Piti-Crok contre les Miam’s », qui est publié en mars 2018.

Toujours prêts à relever de nouveaux défis, ils décident de renouveler l’expérience avec « Nightmare », un projet ambitieux, mélange de roman, d’illustrations et bande dessinée.

Car tous deux ont un point commun : ils n’aiment pas s’enfermer dans des cases.

Johanna confirme :

Nous préférons laisser libre cours à notre créativité pour réaliser des projets qui nous ressemblent, plutôt que de faire quelque chose de simplement commercial. Ainsi, nous aimerions faire découvrir ce nouveau genre de lecture, où la bande dessinée et l’illustration prennent le relais sur le roman, et vice versa.

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Le projet « Nightmare » est d’ailleurs à l’origine de leur rencontre : une illustration de Thibault avait été offerte à Johanna, qui ne le connaissait pas. C’est grâce à cette petite fille en transe avec son ours en peluche que les deux artistes se sont liés d’amitié. C’est aussi grâce à elle que « Nightmare » a vu le jour, car ils ont décidé de lui donner vie à travers un univers mystérieux…

Ensemble, ils participent à de nombreux festivals et salons en France et en Belgique pour rencontrer leurs communautés respectives (Salon du Livre de Paris, Japan expo, Comic Con, Paris Manga, Trolls et Légendes, Cidre et Dragon, etc.), qu’ils souhaitent désormais réunir autour de « Nightmare » et ainsi faire découvrir cet univers riche à de nombreux lecteurs.

Thibault Colon de Franciosi, l’illustrateur

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Thibault Colon de Franciosi est un artiste autodidacte et polyvalent qui s’est découvert une vraie passion pour l’univers du dessin à l’âge de 17 ans. Graphiste et Illustrateur, Thib maîtrise de nombreuses techniques (traditionnelles et numériques) qui lui permettent de satisfaire toutes les demandes.

Il a travaillé pour des jeux de rôles, couverture de livres, character design, ainsi que pour des artistes comme Miss.Tic. Mais aussi pour diverses créations graphiques. Il recherche perpétuellement à réaliser des créations originales et graphiques.

Johanna Zaïre, l’auteure

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Johanna Zaïre évolue dans plusieurs domaines, en particulier l’écriture, la musique et le cinéma. En 2006, elle signe un contrat chez un éditeur et publie son premier ouvrage, un recueil de poèmes intitulé « Obscur Clarté », puis elle se consacre uniquement à la musique, parcourant des groupes pop rock en tant que parolière et chanteuse. C’est en 2013 qu’elle revient vers l’écriture avec « Sanatorium », un polar qui fait l’unanimité des lecteurs.

Habituée à être indépendante et déçue par différents éditeurs, elle opte finalement pour l’auto-édition.

En parallèle, elle intègre un groupe de comédie musicale et prend des cours de comédie au sein de l’école parisienne Paul Clément.

En 2017, elle remporte le Prix Landsegal pour son roman « World War Web – WWW ». Avec une dizaine d’ouvrages à son actif, elle s’illustre en tant qu’auteure dans différents genres : polar, dystopie, fantastique, jeunesse ou encore autobiographique.

N’abandonnant pas la musique pour autant, elle s’oriente vers une nouvelle carrière musicale en solo et prépare son album avec Nicolas Luciani (Mozart l’Opéra Rock) à la composition. Ce premier album « Rebirth », autobiographie et confession, sortira fin 2020.

Informations pratiques

Livre 1 « Nightmare – Le réveil » de Johanna Zaïre (l’auteure) et Thibault Colon de Franciosi (l’illustrateur)

  • Sortie : le 5 septembre 2020
  • Format d’édition : 17x24cm, couverture cartonnée avec vernis sélectif
  • Genre : Aventure, Action, Fantastique, Post-apocalyptique
  • 392 pages avec environ 160 illustrations + 25 planches de BD
  • Pour tous les lecteurs de romans et de BD à partir de 14 ans
  • Prix : 23 €

Pour en savoir plus

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Nightmare

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Pré-commander le livre :

Johanna Zaïre

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LinkedIn : https://www.linkedin.com/in/johanna-zaire  

Thibault Colon de Franciosi

Site web : http://thibault-cdf.com

Facebook : https://www.facebook.com/thibault.colondefranciosi

Instagram : https://www.instagram.com/colondefranciosi

LinkedIn : https://www.linkedin.com/in/colon-de-franciosi-thibault-61500135/

Sortie livre : “Lili, la première femme de Vitruve” d’Isabel Lavarec, un roman fantastique captivant qui aide aussi à se découvrir

“Lili, La première femme de Vitruve” est un récit fantastique sorti en juin 2020, où mystère, humour, poésie et philosophie se choquent et s’entrechoquent.

Isabel Lavarec a imaginé une histoire d’ombres qui partent, se réincarnent pour mener le lecteur à l’évasion et au questionnement.

Ce roman fantastique captivant mêle les évocations de la nature, paysages, et animaux, qui prennent forme dans l’imaginaire du lecteur… Ces allusions présentent des connotations familières (mer, étangs, dunes, parc à huîtres, cabane, bateau, ville touristique) mais toujours avec des indices d’étrangeté : des lieux où on peut se perdre, aux noms inconnus (Abalame).

“Lili, La première femme de Vitruve” tient le lecteur en haleine de la première à la dernière page. Et au fil du récit, des questions très actuelles sont posées : la conscience est-elle une production du cerveau ou est-elle extra-corporelle ? Le libre arbitre est-il une réalité ou une utopie ? Le paranormal est-ce un leurre ? Le monde n’est-il que ce que l’on voit ? La science peut-elle tout expliquer ?

Couverture

Une aventure hors du temps…

Courir après son ombre est une expression qui veut dire entretenir des espérances utopiques. Mais, si subitement l’ombre devenait indépendante et concurrente de son ancien corps, courir après son ombre se transformerait en réelle gageure.

C’est ce qui arrive à Lili, qui voit son double la quitter au milieu d’une réserve ornithologique semi-désertique. Malgré la panique, la femme devenue légère et en aplats décide de s’installer, telle une Femme de Vitruve, dans le cercle de sa vie.

Son mari, Jason, ne la voyant pas revenir part à sa recherche sur leur voilier. Il sera entrepris par l’Ombre réincarnée en séductrice perverse. De son côté, Lili rencontrera Blirage le sage pêcheur. Mais qui est-il vraiment ?

Voilà un couple séparé fortuitement. Chacun d’eux se voit propulsé sur un chemin difficile : la recherche du sens de sa vie. Chacun des héros devra traiter du problème de l’emprise et de la libération.

Voilà aussi, une histoire fantastique, difficile à croire pour ce groupe de scientifiques, amis d’enfance, invités par Noé en mémoire de son jumeau Jason, disparu en mer depuis un an.

4ème de couverture

Jason est mort il y a un an. C’est l’occasion, pour son épouse Lili, sa famille et ses amis d’enfance, de se retrouver afin de se soutenir lors de ce triste anniversaire.

Mais tandis que les soupçons d’une amie inconnue pleuvent sur la veuve, Lili égrène ses souvenirs qui pourraient bien faire la lumière sur les derniers moments de vie de Jason.

Quelque temps auparavant, Lili avait été soudainement séparée de son ombre. C’est cet événement, hors du commun, qui allait précipiter le destin.

Lili, La première femme de Vitruve est un récit fantastique où les ombres s’incarnent et entrent en concurrence avec leur ancien corps. Mystère, humour, poésie et philosophie s’y choquent et s’entrechoquent.

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Un roman primé par les Arts&Lettres de France

Avant même d’être publié, le manuscrit de “Lili la première femme de Vitruve” a été primé par les Arts & Lettres de France en 2019.

Voici le premier commentaire que cet ouvrage a reçu :

“Est-ce seulement un roman fantastique, palpitant à lire comme un policier, nage t’on dans l’irréel, l’onirique, avec des histoires d’ombres et de méduses, des histoires dans l’histoire où chaque narrateur contribue à la construction d’une vision globale de l’univers qu’Isabel ne formalise qu’à la toute fin ?”

Lili, à qui son père dira : “trace le cercle de la vie et place toi bien en son centre” rappelle immédiatement Vitruve, architecte romain et son célèbre dessin annoté par Léonard de Vinci qui lui permettra de déterminer le nombre d’or…

Lili, qui concentre toutes les passions de l’auteure : le bateau, la voile, la navigation, son vieux loup de mer de mari Jean Pierre, sa connaissance des sciences de la nature, des plantes et des parfums, de leur couleur et de leur taux vibratoire, un tableau de Jacques Eitelwein qui construisit des œuvres en s’appuyant sur le nombre d’or…

Lili finira par délivrer son ultime message, une vision quantique du monde à laquelle chaque narrateur apporte sa pierre. Et qu’elle ne dévoile qu’à la fin de ces pages à lire comme une histoire fantastique pas si fantastique que cela…

” Le cosmos pourrait être une structure infinie d’ondes où tout est lié à tout “ (ondes lumineuses, olfactives, énergétiques)

” Les ondes font que la vie est un changement de domaines vibratoires et que la mort n’est pas un anéantissement “

Nicole Laratte

De la même auteure : la série des aventures d’Halinéa (Polars jeunesse)

“Il est plus facile de désintégrer un atome qu’un préjugé”

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Il est plus facile de désintégrer un atome qu’un préjugé est une romance policière, une histoire linéaire, chronologique, où un vol mène par effet domino à une mort.

Les gens de voyage sont des vagabonds voleurs et incultes ?

Les gadje, des sédentaires racistes et sans âme ?

Kiero, 15 ans, futur chef de clan, ne veut plus ressasser ces stéréotypes nourris par la peur, il est assidu en classe et a des amis gadjé.

Seulement, lorsqu’une broche en or disparaît dans la copropriété où il jouait avec eux, c’est Kiero qu’on accuse.

Le jeune Gitan a contre lui le propriétaire de la broche et un policier vindicatif : mais à ses côtés, il a Halinea, son amie, aidée de sa grand-mère détective, et surtout dotée d’une arme qui a fait ses preuves : la méthode scientifique !

“L’Affaire Stéphanie : Carnets d’enquêtes d’Halinea”

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Avec “L’Affaire Stéphanie : Carnet d’enquêtes d’Halinea”, Isabel LAVAREC embarque ses lecteurs dans une passionnante investigation menée tambour battant par l’héroïne. Ce roman policier palpitant est aussi l’occasion de s’intéresser et d’ouvrir le débat sur un thème qui touche de près les adolescents : la phobie scolaire.

Stéphanie, une étudiante a disparu. Un corps est trouvé dans la forêt urbaine avoisinante. Une instruction est ordonnée.

En stage scolaire au commissariat, Halinea, détective en herbe, décide de mener l’enquête en catimini. La considérant un peu trop investigatrice, le brigadier-chef Jacques la déplace dans un laboratoire scientifique et lui lance un défi. Elle le relève.

Aidée par ses tuteurs João et Séverine, pour les connaissances, et, de ses amis Xavier et Caro pour les recherches, elle réussit l’épreuve avec brio… ce qui n’est pas du goût de certains qui réagissent parfois violemment.

Malgré les interdictions et les dangers encourus, la protagoniste réussira-t-elle à confondre le ou la coupable ?

Un cadavre à la consigne (Polar historique pour adultes)

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Il s’agit d’une enquête qui se déroule juste après l’hécatombe de la guerre qui a entraîné perte de repères et banalisation de la mort. Dans un style imagé non dépourvu d’humour, cette fiction inspirée d’un fait réel, fait prendre conscience de l’importance de l’être humain et de la nécessité de donner un sens à sa vie.

Une disparition, un cadavre dans une malle. Dans un contexte patriarcal d’après-guerre, l’épouse d’un riche négociant, féministe engagée, est la coupable idéale. Mais est-ce aussi simple ?

À propos d’Isabel Lavarec, l’auteure

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Isabel Lavarec est une auteure féministe engagée, adhérente à la SGDL (société des gens de lettres), la SOFIA, Charte auteurs jeunesse, LR2 (Occitanie), et ADA.

Elle a été lauréate au concours international littéraire organisé par les arts et lettres de France en 2019 et 2020 sections contes, nouvelles et romans.

Professeure agrégée des Sciences de la Vie et de la Terre, Isabel Lavarec a enseigné en formation initiale et continue pour adultes, en différents lieux (lycée, école normale, IUFM et université) et dans différents pays, départements et Territoires d’outre-mer (France, Algérie, Martinique, Tahiti). Elle a été directrice de département Sciences à l’IUFM de Nice et responsable départementale de l’action “main à la pâte “. En retraite, elle transmet son expérience de vie au travers de romans policiers, fantastiques, contes et nouvelles.

Parallèlement, comédienne dans une troupe de théâtre d’amateurs, elle s’est initiée à l’art de conter au Centre Méditerranéen Langue Orale (Cmlo) et à la pratique des entretiens en ethnologie avec l’ethnologue Catherine Barrière.

Son parcours en quelques dates clés

1980-1997

Publication de nombreux articles spécifiques, pédagogiques et didactiques des sciences dans plusieurs revues spécialisées.

1997

Manuel Scolaire école primaire : “La découverte du monde vivant en milieu tropical”, aux éditions NATHAN.

2005 et 2006

Manuel Scolaire école primaire : “Découvrir le monde vivant (biologie et français transversal) cycles 2 et 3″ – Direction des auteurs et auteur. Publié aux éditions SED.

2016

Publication du premier roman policier pour ados d’Isabel : “Il est plus facile de désintégrer un atome qu’un préjugé” aux éditions Oskar.

2017

Manuel scolaire école primaire: “Questionner le monde vivant, des objets et de la matière en cycle 2″ – Direction des auteurs et auteur. Publié aux éditions SED.

2018

Manuel scolaire école primaire: “Conception du modèle pédagogique adopté pour la création de « Sciences et Technologie » cycle 3″, publié aux éditions SED.

2019

  • Publication d’un roman policier historique pour adultes : “Un cadavre à la consigne”, éditions Ex-Aequo
  • Isabel est Lauréate des Arts et Lettres de France pour les sections : Conte (“La symphonie du bonheur”), Nouvelle (“Prendre sa place rien que sa place”) et Roman (“Lili la femme de Vitruve ou ombres croisées”)

2020

  • Publication roman jeunesse : “L’affaire Stéphanie carnet d’enquêtes d’Halinea”
  • Isabel est Lauréate des Arts et Lettres de France pour la section nouvelle avec “Éclats de vie d’Olympia, la Sicilienne”

Informations pratiques

“Lili la première femme de Vitruve” d’Isabel Lavarec

  • Editions Encre Rouge
  • 202 pages
  • Prix de vente : 20 €
  • EAN 13 : 9782377893508

Pour en savoir plus

Découvrir le livre : https://www.mollisa.fr/roman

Site web : https://www.mollisa.fr

Arts&Lettres de France : https://www.artsetlettresdefrance.fr/isabel-lavarec/

Twitter : https://twitter.com/ILavarec

Facebook : https://www.facebook.com/isabellavarec44

Instagram : https://www.instagram.com/isabel.lavarec/channel/

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Sortie livre : “Khôl” de Muriel Pactat, une plongée au sein du monde de la gendarmerie

Alors que le monde de la police et de la gendarmerie fait la une de l’actualité, son fonctionnement et son quotidien “sur le terrain” restent relativement inconnus des Français.

C’est justement ce qui fait l’originalité de Khôl, un roman policier en deux tomes saisissant de véracité et de réalisme. Et pour cause ! L’auteure Muriel Pactat est devenue Réserviste Citoyenne Gendarme dans la Drôme, ce qui lui permet de construire des enquêtes plausibles.

Elle n’hésite pas non plus à aborder des thèmes importants, tels que la souffrance au travail (et plus particulièrement celle du monde policier et médical), la cybercriminalité et les réseaux sociaux.

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Un bel hommage à toutes ces professions au cœur de nos actualités

Fascinée par les séries policières, Muriel Pactat écrit des romans policiers depuis 2012. Avec, toujours, une approche solidement documentée.

Elle confie :

J’ai été conseillée pendant 7 ans par les services de communication de la gendarmerie nationale. J’ai ainsi pu recevoir de précieux renseignements, notamment concernant la cybercriminalité.

L’impression de justesse véhiculée par ses livres vient aussi du fait qu’ils se déroulent toujours dans le contexte social et économique actuel, tout en mêlant étroitement la réalité et la fiction. Certains personnages travaillent réellement au sein d’entreprises drômoises, ce qui rend d’autant plus crédibles ces histoires.

Avec sa plume pertinente, fluide et précise, l’auteure Muriel Pactat aborde tous les sujets, même les plus délicats, mais en finissant toujours sur une note d’espoir.

Les deux tomes de Khôl, qui mettent à l’honneur l’univers de la gendarmerie mais aussi de la santé, ouvrent la porte à une meilleure compréhension de la réalité de ces professions complexes mais aussi à des questionnements plus personnels. Les lecteurs sont en effet amenés à s’interroger sur leur propre vie, en étant empathiques vis à vis des personnages et des épreuves qu’ils traversent.

Ce roman aborde des thématiques auquel chacun.e est confronté.e, à des degrés divers : l’influence des réseaux sociaux, l’évolution des techniques informatiques et l’engouement pour le monde virtuel. Khôl est ainsi à mettre entre toutes les mains pour sensibiliser aux dangers liés à l’utilisation du Net !

Synospsis du Tome 1

Une découverte funeste attend le capitaine de Gendarmerie réserviste Joey Savarin et son fils Sébastien à l’issue d’un souper : une jeune femme à moitié dénudée et sans papiers d’identité a été battue à mort, puis abandonnée sur un parking de la Nationale 7, près de la péniche de Joey à quai.

L’enquête va vite révéler qu’un enterrement de vie de garçon bien arrosé avait eu lieu cette nuit-là sur le site des « Roches qui dansent » à Ponsas.

Le futur marié et ses invités sont des internes respectés de la région.

Quel lien peuvent établir les enquêteurs entre cette agression sauvage et ces jeunes fêtards en liesse ?

Leurs investigations les mèneront à pénétrer le milieu médical en souffrance, tout en étant orientées vers l’espionnage industriel, que l’équipe de la cybercriminalité devra démanteler.

Synopsis du Tome 2

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Coralie Maginot se remet progressivement des suites de son agression.

En parallèle, les investigations se poursuivent et révèlent de nouveaux aspects de la personnalité de Pierre Lebrun. Celles-ci vont conduire les enquêteurs au cœur des relations intimes des protagonistes.

Le capitaine Joey Savarin et son équipe s’attachent à œuvrer afin que justice soit rendue à la jeune femme.

Ainsi ses blessures psychologiques pourront-elles se refermer avec le temps…

A propos de l’auteure Muriel Pactat

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Muriel Pactat a grandi dans un milieu familial valorisant la curiosité à travers la lecture et les rencontres.

Attirée par les sciences humaines et la psychologie, elle suit des études puis des formations qui l’amèneront à co-créer un organisme de formation en Ressources humaines pendant vingt-cinq ans. Manager et formatrice (formation de formateurs, management, communication, gestion du stress et violence urbaine), elle a piloté des projets et créé de la documentation et des études de cas en lien avec les milieux professionnels formés sur l’ensemble du territoire français.

En parallèle, l’écriture est une passion qu’elle cultive depuis son plus jeune âge. Son premier roman fut écrit dès l’âge de neuf ans. Ce sera le début d’une production régulière.

Elle décrit ses romans comme pédagogiques. Ils permettent à ses lecteurs d’appréhender la finesse de la psychogénéalogie à travers des ouvrages documentés et variés. Son parcours professionnel, enrichi de multiples rencontres, lui donne matière à ciseler l’âme humaine et les ressorts de l’inconscient.

En 2017, elle a repris le flambeau maternel en devenant responsable d’une petite maison d’édition. Ce challenge lui donne l’opportunité de travailler avec des professionnels de l’édition dans l’espoir d’offrir des ouvrages de qualité aux lecteurs.

Aujourd’hui, elle aimerait que Khôl devienne une fiction télévisée. Les deux tomes possèdent en effet tous les atouts requis : du suspens, des personnages bien campés, la description d’une région et de certaines de ses spécialités et une enquête à rebondissements.

Informations Pratiques

Khôl de Muriel Pactat

  • Le Cygne d’O Éditions
  • Prix de chaque tome: 18 € version papier et 9 € version e-book
  • Tome 1 : 292 pages – ISBN 978-2-912731-38-8
  • Tome 2 : 271 pages – ISBN 978-2-912731-39-5

Pour en savoir plus

Commander le Tome 1 : https://lecygnedo.fr/khol-t1.html

Commander le Tome 2 : https://lecygnedo.fr/hors-collection-khol-tome-2.html

Site web : http://lecygnedo.fr/

Facebook : https://www.facebook.com/lecygnedo.fr/

Sortie livre : “Souviens-toi… Sydney”, le roman poignant et réel d’Eeneh Quarter sur les abus sexuels sur mineurs dans une communauté religieuse

Alors que l’église catholique est souvent pointée du doigt concernant sa gestion des abus sexuels sur mineurs, le problème de la pédocriminalité est aussi une réalité dans les autres communautés religieuses.

En 2015, en Australie, un énorme scandale a mis en lumière les dysfonctionnements des Témoins de Jéhovah.

Plus d’un millier de cas de pédophilie ont été cachés aux yeux des autorités et les victimes stigmatisées pour qu’elles gardent le silence. La publicité donnée aux conclusions de la Commission royale australienne sur les réponses institutionnelles aux abus sexuels envers les enfants (ARC) a permis de délier des langues et de nombreuses autres affaires sont montées à la surface.

Ecrit au lendemain des conclusions de l’ARC, “Souviens-toi…Sydney” (publié chez Harpitanja Editions) est à la fois un témoignage poignant et un récit d’espoir.

L’autrice, Eneeh Quarter connait bien les témoins de Jéhovah, pour avoir grandi dans ce milieu et s’être intensément investie dans ce mouvement, avant de prendre du recul suite aux nombreuses dérives de l’organisation.

Dans ce roman captivant et très documenté, elle invite les lecteurs/lectrices à plonger dans l’univers fermé de cette communauté religieuse renommée au fonctionnement par trop souvent nébuleux. Le paradis promis se révèle alors être l’enfer…

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440 pages criantes de vérité pour qu’on ne fasse plus jamais taire les victimes

Il a fallu à Eeneh Quarter deux années d’écriture et d’investigations, de nuits blanches et de crampes aux poignets, pour rédiger “Souviens-toi…Sydney”, un titre qui évoque la commission australienne qui a mis sur le devant de la scène l’organisation des témoins de Jéhovah.

Bien que, par bonheur, elle n’ait pas connu d’expérience similaire, Eneeh a engagé des recherches approfondies et collecté des dizaines de témoignages sur internet dénonçant la politique de la Watchtower (l’entité éditoriale qui gère les activités des témoins de Jéhovah depuis Warwick, aux États-Unis) en matière de gestion des cas d’abus sexuels sur mineurs.

Plutôt que de faire un recueil d’histoires vécues, qui sont d’ores et déjà présentes en quantité sur la toile, elle a imaginé un récit captivant dans lequel chaque personne ayant vécu des expériences similaires peut se retrouver.

Ecrit à six mains avec les enfants d’Eeneh (son fils Josef, 22 ans, et sa fille Enge, 17 ans), “Souviens-toi…Sydney” n’est d’ailleurs pas destiné à condamner un mouvement en particulier, les faits rapportés étant communs à de nombreuses autres associations, cultuelles ou non (parascolaires, entre autres). Il a été écrit dans un esprit de critique saine et constructive et non sous le signe de la rancœur, de la colère, de la frustration ou de la haine, comme on le voit souvent.

L’autrice ne renie pas son passé et ne cultive pas d’animosité envers ses ex-coreligionnaires. De ce fait, il s’agit d’un ouvrage objectif, composé la tête froide et avec les idées claires, qui met en avant les dérives dues aux directives du corps dirigeant qui gèrent chaque instant de la vie des membres.

Eeneh souligne :

“Malgré les dénégations de ses responsables, il existe un vrai problème au sein de cette organisation. Les répercussions pourraient être bien plus graves que celles ayant atteint l’Église catholique, principalement dû au fait que les membres se refusent de voir la réalité en face. Ils ont en effet consigne de ne pas porter crédit aux accusations portées par les victimes.

Mais à travers le web, les voix des opprimés se font de plus en plus fortes et il sera de plus en plus difficile de les réduire au silence. Le réveil pourrait bien être brutal pour des millions de fidèles.”

Résumé

Claire, 21 ans, jeune mariée, a grandi à Lausanne dans une famille de témoins de Jéhovah. Elle pourrait être heureuse, mais des événements insolites viennent gâcher sa vie de couple. Jérémie, son mari, cherche à l’aider mais se trouve démuni face aux problèmes de sa femme.

La jeune épouse aurait bien aimé trouver un appui auprès de sa mère, mais sa foi aveugle dans le crédo de sa religion l’empêche d’aider sa fille comme il conviendrait. Elle a été remariée à Raymond, un témoin de Jéhovah belge, suite au départ du père de Claire, alors qu’elle avait sept ans. Les activités de son beau-père sont mystérieuses, mais a-t-il vraiment quelque chose à cacher ?

Elle trouve tout de même un soutien auprès de deux personnes: Isabelle, son amie d’enfance, avec qui elle a échafaudé un projet de voyage, et Éloïse, sa collègue de travail, qui la fait raisonner sur ses croyances et l’incite à ne pas mettre une confiance aveugle dans des hommes.

Deux événements tragiques vont de nouveau faire basculer sa vie et la séparer de ceux qui lui sont le plus cher. Elle connaîtra ainsi la douleur du rejet.

Éléonore, une psychothérapeute, et Anna, qui pratique l’hypnose douce, iront à la recherche des événements de son passé que la jeune femme a oubliés et qui expliquent certainement l’enfer de sa vie présente.

Extrait

“Affrontant l’orage, il entreprit de déplacer le tas de rondins qui attendaient l’hiver pour être brûlés dans le poêle en fonte qui trônait dans le salon. Une fois le déménagement effectué, il s’attela à la tâche la plus harassante, mais aussi la plus importante. À coups de pioche et de pelle, il creusa une fosse profonde, plus ou moins de la taille d’un gros chien. Malgré la pluie qui avait redoublé d’intensité, il était en sueur. Remuer cette terre devenue lourde n’était pas une besogne aisée. Il n’avait pas l’habitude des travaux physiques, mais il n’avait pas le choix. Vivienne finissait sa journée de travail à sept heures et demie et il ne lui faudrait pas plus de vingt minutes pour arriver à la maison. En cette période de vacances, il était même possible qu’elle rentrât un peu plus tôt, n’ayant pas à affronter l’intense circulation habituelle des autres mois de l’année. Il fallait absolument que tout fût fini au retour de sa femme.

L’opération dura près d’une heure. Pendant ce temps, il ne cessa d’émettre des imprécations, se maudissant pour son imprudence et la manière dont s’étaient déroulés les événements. Mais aussi était-ce de sa faute si la petite, d’ordinaire si docile, avait aujourd’hui montré autant de mauvaise volonté? Si elle l’avait laissé faire, comme cela avait été le cas jusqu’à présent, il ne serait pas dans cette situation. C’est ce qu’il y a de terrible, avec les enfants. On ne peut jamais prévoir leurs réactions. Le fait qu’elle sortît d’une varicelle qui l’avait contrainte au lit ces dernières semaines ne pouvait en aucun cas excuser son manque d’entrain dans les activités qu’ils avaient toujours partagées et auxquelles elle semblait prendre plaisir.

Au lieu de ça, elle avait préféré jouer avec le mobile au-dessus de son lit, un Pierrot assis sur une lune qu’elle affectionnait depuis toute petite et qui l’avait accompagnée durant sa maladie. Devant sa réticence, il s’était énervé et avait cassé le jouet, causant les pleurs hystériques de la fillette, crise qui avait abouti à son accès de colère et engendré la volée de gifles fatales. Ces semaines de privation l’avaient mis à cran. Pourtant, il n’était pas dans ses intentions de lui faire du mal. Mais comment aurait-il pu s’attendre à ce que sa tête allât frapper le rebord du lit et la faire sombrer dans l’inconscience ?”

Un livre solidaire

L’autrice et sa famille soutiennent l’action de l’association SCAARS pour que les clergés (toutes religions confondues) ne puissent plus se retrancher derrière le secret de la confession et aient l’obligation de dénoncer aux autorités les crimes dont ils viennent à connaissance, quelle qu’en soit la nature, mais plus particulièrement ceux touchant à l’intégrité des enfants.

De plus, en cette période de pandémie de Covid-19, 2 euros sont reversés pour chaque commande à une cagnotte au choix en faveur du personnel hospitalier.

Ce qu’en pensent les lecteurs/lectrices

Victor Bouadjio (du magazine Écrire Aujourd’hui) :

“Je vous écris au sujet du fameux roman d’Eneeh Quarter qu’en lisant sous cette forme finie et éditée, j’en redécouvre qualité et portée. Il est véritablement réussi et il faut absolument qu’il rencontre le succès qu’il mérite.
De plus, le travail de l’éditeur a donné un bel objet, attirant, agréable et donne envie de l’ouvrir. Tout y est, sans compter le prologue et le début qui ne laisse plus d’ambiguïté comme je l’aurais craint.
Eneeh peut être fière de son livre.”

Christophe B. (du groupe de soutien à Élise Lucet)

“En complément aux diverses enquêtes d’Elise Lucet et de son équipe sur la pédocriminalité, plaie sociale qui sévit dans bien des milieux (Eglise catholique, sport, leçons privées de musique, certains lieux touristiques…), je signale le livre récent d’Eneeh Quarter, “SOUVIENS-TOI… SYDNEY”. Tout est vrai dans ce livre-témoignage bien écrit, et qui serait un excellent scénario de film…”

Manon B. (lectrice du Canada) :

“Eneeh Quarter, tu as de quoi être fière. Un roman extraordinaire que j’ai eu plaisir à lire, un incontournable.”

Éric G. (lecteur de France) :

“Je suis très heureux pour le courage et la pugnacité que tu as déployé afin de voir aboutir tes efforts et ta lutte pour ces choses détestables commises à l’encontre de nombreuses victimes. Bravo pour ton ouvrage.”

Morganne D. :

“Ce livre est tout simplement d’utilité publique.”

Dominique Reynaud (youtubeuse) :

” Un premier roman qui est un chef d’oeuvre.”

À propos d’Eeneh Quarter, l’autrice

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Née en 1964, Eneeh a grandi dans une famille de témoins de Jéhovah.

Elle est la deuxième enfant d’une famille de quatre. Alors qu’elle avait atteint sa troisième année, ses parents, qui vivaient alors dans une petite commune de montagne, reçurent la visite d’un couple de témoins de Jéhovah et, séduits par le message promettant un proche avenir meilleur, se convertirent au mouvement. Elle a donc passé la majeure partie de sa vie à l’intérieur du groupe et en connaît pleinement les rouages.

Bien qu’ayant pris de la distance avec les témoins de Jéhovah, il y a plusieurs années, elle ne renie néanmoins pas son parcours. La dureté de l’éducation reçue, particulièrement de la part de son père, l’a rendue forte et désireuse d’affronter les aléas de la vie, qu’elle prend avec philosophie. Paradoxalement, cela a aussi induit une difficulté à s’estimer, ayant toujours la crainte de faire le mauvais choix ou d’échouer, hésitant à se mettre en avant.

Grande amatrice de livres – la bibliothèque familiale était abondamment fourni en auteurs classiques et il ne lui manquait pas la littérature enfantine que son père, représentant en édition, lui fournissait régulièrement – elle prit très tôt le goût de la lecture ainsi que de l’écriture. Elle écrivit son premier poème à l’âge de neuf ans et il fut mis en évidence dans la classe qu’elle fréquentait à l’époque.

Son rêve était d’écrire un livre, mais, devant s’investir très tôt dans les activités professionnelles et familiales – et religieuses, dans lesquelles elle s’impliqua intensément – ce désir se retrouva relégué au fond de ses préoccupations.

Atteint la cinquantaine, mariée et mère de deux enfants (un garçon et une fille), déçus par la direction que prenait l’organisation à laquelle ils avaient consacré leur vie, son mari et elle entreprirent un examen du mouvement des témoins de Jéhovah, groupement dans lequel ils se reconnaissaient de moins en moins. Des doutes commencèrent à germer, surtout quand ils mettaient en rapport les enseignements qui leur étaient donnés et l’étude personnelle de la Bible à laquelle ils s’adonnèrent.

C’est à cette même période que débutèrent, en Australie, les sessions de l’ARC, la Commission royale sur les réponses institutionnelles aux abus sexuels sur enfants, mise en place par le gouvernement.

Elle faisait suite à des dénonciations de déplacements d’auteurs d’abus sur mineurs pendant de nombreuses années, dans plusieurs groupements, comme l’Église Catholique, les Scouts, des écoles, etc. sans que rien ne fût entrepris pour stopper le phénomène, cherchant, au contraire, à l’enterrer. Les représentants locaux des témoins de Jéhovah furent entendus, ainsi qu’un des haut-responsables du siège américain.

C’est cet épisode dramatique qui lui a donné envie d’écrire “Souviens-toi… Sydney”.

Eeneh précise :

Je suis agréablement surprise de l’accueil fait à ce livre. La première édition, lancée en mars dernier au plus fort de la crise du covid-19, s’est écoulée en un mois à peine et a reçu d’excellentes critiques de la part du public. Aujourd’hui, nous avons donc décidé d’augmenter sa diffusion pour qu’un maximum de personnes, témoins de Jéhovah ou non, puissent comprendre le fonctionnement de cette organisation et sa main-mise sur ses membres.

Informations Pratiques

“Souviens-toi… Sydney” d’Eeneh Quarter

  • Editions Harpitanja
  • 440 pages
  • Prix : 18 €

Pour en savoir plus

Commander le livre : https://harpitanja.eu/souviens-toi/reservation.php

Site web : https://harpitanja.eu/souviens-toi/

YouTube : https://www.youtube.com/channel/UChgHoHNuNdoiFmRqywCQIBg

Facebook : https://www.facebook.com/Souviens-toi-Sydney-110352800502339

Sortie livre : “Amaïké” de François Lequiller, un roman qui emmène le lecteur de l’Argentine jusqu’au cœur de la Normandie

Nous sommes en 1872. Deux mondes séparés par l’immense océan Atlantique vont se dessiner peu à peu.

D’un côté, le monde étonnant, animiste, brutal et tragique des Indiens « mapuches » de la pampa argentine, au pied de la Cordillère des Andes. De l’autre, le monde aux traditions séculaires des paysans et des hobereaux de la Manche qui se transforme sous l’influence de la IIIe République et de la révolution industrielle.

Dans “Amaïké”, son septième roman publié aux Editions Eurocibles qui est un éditeur normand, François Lequiller fait frémir ses lecteurs.trices avec le sort d’une très jeune héroïne indienne plongée dans les guerres d’une violence inouïe au sein de l’Argentine conquérante et sans pitié des années 1870. En parallèle, ils vivent la lente évolution de la personnalité d’un jeune aristocrate du pays de Coutances qui veut se défaire des préjugés de sa caste et du destin tout tracé qu’on lui prépare. Cette histoire reflète la solidité de l’arrière-plan historique.

Par quel miracle, deux histoires parallèles qui, comme des droites en géométrie, ne devraient jamais se croiser, vont finir par le faire ? Qui va être le trait d’union entre elles ?

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La couverture de ce livre représente un tambour cérémoniel mapuche, appelé “kultrun”, sur fond de pampa et de profil du Cotentin.

Un récit palpitant qui relie la douce contrée du Cotentin et la sauvage pampa argentine

Amaïké est un roman d’amour historique qui fait le pont entre l’Argentine et la Normandie, entre des terres arides de l’autre bout du monde et la nature foisonnante du Cotentin.

Avec le style fluide qui le caractérise, François Lequiller donne à voir autrement la région qu’il aime tant, au travers d’une histoire qui se déroule de 1872 à 1891. Les lecteurs.trices de Normandie auront plaisir à retrouver des villes et des rues qu’ils connaissent bien, auréolées d’un parfum du passé qui transforme le présent.

Les aventures d’Amaïké, qui se lisent comme un conte de fées pour adultes, sont aussi un roman ethnographique qui invite à la découverte d’un peuple trop méconnu, le peuple “mapuche”.

La documentation d’Amaïké est très travaillée, notamment pour le peuple mapuche, puisé dans les documents du musée du Quai Branly, à Paris, musée des arts primaires ; puis concernant la vie paysanne dans le bocage normand à la fin du XIXème siècle.

François Lequiller :

Mes romans sont volontairement accessibles à tous, mais ils sont toujours très documentés. Je veux que chacun.e puisse apprendre tout en se faisant plaisir.

Un roman inspiré de faits réels

Ce roman est inspiré de manière lointaine par l’histoire véridique de « Lokoma », une Amérindienne d’une tribu mapuche probablement originaire de ce qui est aujourd’hui la province de Neuquén, au pied de la Cordillère des Andes, en Argentine.

François Lequiller a découvert le récit d’un voyageur français, Émile Daireaux, originaire de Courcy (Manche) et dont le père a fondé une ville argentine qui porte son nom. La ville de Daireaux est jumelée avec Coutances, cela fait donc un écho moderne à cette histoire ancienne.

Il raconte une partie de la vie d’une Indienne, adoptée toute jeune par l’ambassadeur de France à Buenos Aires.

Pour donner naissance à “Amaïké”, l’auteur a trempé sa plume dans la vie de “Lokoma” pour s’inspirer de son parcours extraordinaire, mais en lui insufflant une touche de romanesque et en laissant libre cours à son imagination.

Un extrait du livre

“Cela faisait trois jours que Constantin se postait à six heures du matin sur la dune la plus haute de la plage de Ferville espérant rencontrer de nouveau la jeune Indienne dont il avait appris qu’elle séjournait de nouveau chez Capelle. Cela avait été en vain car la belle sauvageonne n’était pas apparue. Ce quatrième matin était sa dernière chance. Le lendemain, il devait partir pour Deauville avec Léon pour une bonne semaine. Viendrait-elle aujourd’hui ?

Ce serait idéal car le temps s’annonçait magnifique. Comme à chaque fois qu’il venait là, il s’émerveillait, les yeux dans le lointain, de ce fabuleux paysage, si doux à cette heure de la journée où la mer est d’huile et, en même temps, si indompté avec ces kilomètres d’estran à l’état de nature. La veille, il s’était replongé dans Les Enfants du Capitaine Grant et en avait relu les pages qui se déroulaient en Argentine. Il n’arrivait pas à visualiser ce « pays à l’horizontalité parfaite », comme l’écrivait Jules Verne. Était-ce comme la Manche qui s’étalait devant lui ?”

Il écrit, elle peint… le livre unit leur passion !

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François Lequiller, après avoir fait une carrière dans l’administration économique française, a été en poste dans plusieurs organisations internationales et, à ce titre, a roulé sa bosse en Afrique, en Europe et aux États-Unis. Il est marié avec Elisabeth, son illustratrice, et a deux enfants.

Il y a vingt ans, le destin l’a conduit à acheter une maison dans un hameau du Cotentin, entre Coutances et Granville. Depuis, cette région est devenue son pays d’adoption. Il a raconté dans sa première trilogie, « Le Pont de la Roque », les aventures d’Isabelle Colas, son héroïne inspectrice de police. Dans sa deuxième trilogie, « Les Dunes du Cotentin », il a relaté l’extraordinaire saga de la famille Marie, avec laquelle il nous a fait traverser le XXe siècle.

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Il a déjà vendu plus de 3 000 exemplaires de ces précédents romans.

Avec « Amaïké », il nous plonge, en plein XIXe siècle, dans un récit qui relie étonnamment la douce contrée du Cotentin et la sauvage pampa argentine. Ce beau roman est, à nouveau, une oeuvre de couple : Elisabeth a illustré la couverture, ainsi que chaque chapitre, avec ses superbes aquarelles disponibles sur le site internet.

Informations Pratiques

“Amaïké” de François Lequiller, disponible dans toutes les librairies de Normandie et de la région de Versailles.

  • Editions Eurocibles
  • ISBN : 9782354580858
  • Prix : 25 €

Pour en savoir plus

Interview sur France 3 Normandie : https://www.youtube.com/watch?v=eROVh3TQhlo

Site web : https://www.francoiselisabeth.fr/

Facebook : https://www.facebook.com/francoislequillerromancier

“La Souciance” d’Eric-Louis Henri, un roman en forme de balade philosophique qui invite à aller à la rencontre de soi

Un couple de voyageurs fait halte dans un village suspendu entre mer et montagne. Une étape de plus, somme toute ordinaire, lors d’un périple estival sans but précis.

Mais ce qui aurait pu n’être qu’un simple instant de découverte heureuse révèle d’emblée une autre dimension, singulière, insolite. L’évidence du lieu, fragile, immédiate et surprenante, dessine alors pour le couple un futur inattendu.

Dans ce premier roman, publié aux Editions du Panthéon, Eric-Louis Henri nous propose un moment hors du temps, une réflexion profonde, intime et poétique, induite par un pays propice à l’introspection et à la découverte de la « souciance ».

La Souciance - Éric-Louis Henri

Une balade philosophique pour cheminer vers l’intime

Le fil de l’histoire se déroule dans le sud méditerranéen : cela pourrait être l’Italie ou la France, la Grèce ou l’Espagne, la Crête ou la Carthagène tunisienne… Il est de tous ces lieux et d’aucun à la fois. Apatride et universel, berceau et tremplin. Il est de tous les temps aussi, quoique résolument contemporain.

L’histoire débute par une halte dans un village suspendu entre mer et montagne ; ce n’aurait pu être qu’une simple étape d’un périple estival. L’instant de découverte passé, se révèle une autre dimension, singulière, insolite pour un couple de voyageurs. L’évidence d’un lieu dessine alors pour celui-ci un futur inattendu, propice à la “souciance”.

Mais quelle est donc cette “souciance” ? Ce terme, issu de la phénoménologie, évoque à la fois l’infime singularité de toute existence et les incertitudes essentielles de la vie humaine.

“La Souciance” d’Eric-Louis Henri est tout à la fois :

  • Le journal d’un apprenti en pensée.
  • L’itinéraire d’un homme qui, à l’épreuve du réel, est en quête de ce qui fait sens en lui et pour lui. Qui tente de ne pas manquer ce rendez-vous en s’ouvrant à l’imprévisible, à l’inattendu, … à cette part de “réalité singulière qui constitue son universalité”.
  • Une mise en abîme des présupposés contemporains gouvernant notre existence.

Un livre à mettre entre toutes les mains

“La Souciance” n’est pas un livre réservé à quelques “happy few” férus de philosophie. L’auteur a adopté une écriture simple, accessible, et vivante.

Chacun.e peut aussi se projeter, en filigrane, dans cette histoire : même si sont évoqués quelques lieux et moments qu’Eric-Louis Henri a croisés, visités ou “entre-vécus”, même si elle s’en est nourrie, La Souciance n’est pas une autobiographie.

Voici ce que la journaliste-correspondante en Europe, éditrice et critique littéraire équatorienne Sofia Cardoen (Diario El Universo – Perla del pacifico Ediciones) écrit à propos de ce roman captivant :

“Ne cherchez pas une histoire, ne cherchez pas une action, ne cherchez pas des personnages haut en couleurs. En ouvrant ce livre, c’est vous-même que vous allez rencontrer. D’une façon détournée, imprévue, l’auteur vous emporte dans son monde intérieur et de cette intériorité s’ouvre un passage à votre propre être par le rythme et la réflexion que l’auteur a suscitée. Observer, méditer, ralentir pour se retrouver au milieu d’un nulle part qui ne prend sens que parce que vous vous y trouvez. La souciance est ce temps qu’on devrait accorder à soi-même et qu’on passe toute une vie à remettre pour plus tard.”

Extrait

“Et si l’éternité n’existait pas ?
Et si l’éternité, ce n’était que le passé.
Derrière nous…Résolument clos.

Devant, il n’y aurait que l’infini. Sans cesse naissant, indéfiniment mouvant. Indéterminé, voire improbable…

En arrivant au village, j’ai aussitôt ressenti que quelque chose se jouait du temps. Un “je-ne-sais-quoi” qui frissonnait à la surface du présent. Comme un air de commencement.

D’ordinaire, lorsqu’on se rend quelque part, la destination est connue. On sait où le chemin nous mènera. On sait où l’on va et, normalement, par où aller. Sans que l’ordre du monde, de son monde, n’en soit bouleversé.

Ce fut différent, cette fois.
Hasard ou coïncidence ?
Prédestination ou providence ?”

La genèse de ce roman hors du temps

L’écriture de “La Souciance” est née dans un avion, alors qu’Eric-Louis Henri partait vers le Sud de l’Italie avec son épouse.

Alors qu’il sort d’une rupture professionnelle tendue et tumultueuse suivie de 6 ans de procédures, procès et actions en justice, il reprend son cahier de notes. Sur ce Moleskine petit format non ligné, celui qui l’accompagne toujours où qu’il soit, il jette sur la page blanche ouverte : “Et si l’éternité n’existait pas?”

Cette même phrase, cette même interrogation qui ouvre “La Souciance”. Et le reste a suivi, spontanément, en un flot continu, comme si cela allait de soi et était normal. Eric-Louis ne relèvera la tête qu’à l’atterrissage, trois heures plus tard.

Il écrit alors le livre en 3 mois. Puis il passe autant de temps à le relire, le réviser, le corriger, le compléter… Lui qui écrit à la main, au crayon, dactylographie ensuite le manuscrit et l’envoie à des éditeurs figurant sur une liste fournie par un ami bibliothécaire.

Il accepte la proposition de la première maison d’édition qui lui répond, sans réfléchir. Comme une page que l’on tourne car l’essentiel était que cela se passe, s’accomplisse et se frotte à sa réalité…

Eric-Louis raconte :

Les miens se sont demandés six ou sept mois durant quel était ce dossier qui m’accaparait une fois de plus à ce point. Je ne leur en ai donné la raison qu’une fois le manuscrit totalement retranscrit. C’est à ce moment-là qu’ils ont découvert le roman.

Aujourd’hui, la publication de La Souciance a été bien accueillie, tant dans son entourage privé que professionnel. La critique en Belgique francophone a été positive de même que les commentaires sur ses réseaux sociaux.

A propos d’Eric-Louis Henri, l’auteur

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Eric-Louis Henri est philosophe de formation. Il parcourt désormais le monde au service de projets d’entreprise.

Né dans une famille bourgeoise au passé colonial et entrepreneurial pesant et guindé, il marque une première rupture en pratiquant la danse classique durant 12 ans. Cette discipline, à la fois sportive et artistique, représente pour lui à la fois un éveil et une révélation.

Dès que l’âge civil l’y autorise, il prend alors son envol…

Après deux ans de mathématiques appliquées, il est initié à l’école de la phénoménologie (Husserl & Heidegger) et du postmodernisme (Jean-François Lyotard). Il suit ensuite un MBA international puis se forme au management, et notamment à ses modèles contraignants et “castrateurs”.

Auteur d’une méthodologie de Stratégie et Communication Corporate, il accompagne aujourd’hui des projets de développement d’entreprises start-ups et PME dans le monde.

Véritable électron libre, il est toujours à l’écoute des nouveaux modèles de pensée. C’est d’ailleurs ce qui le conduit à poursuivre sa réflexion aujourd’hui sous un mode narratif.

Eric-Louis souligne :

L’écriture est pour moi un chemin qui laisse advenir le sens, et me permet de prendre le temps d’être à l’écoute de ce qui se passe aujourd’hui dans le monde, de comprendre davantage les disruptions, les failles d’une civilisation en proie à “l’algorithmisation” de l’existence.

L’auteur est notamment fasciné par les premières rencontres, celles d’un lieu, d’un temps, d’une existence. Pour lui, elles sont toujours porteuses de sens et d’infini, spontanément, et préfigurent déjà un futur à naître…

Eric-Louis travaille actuellement à la rédaction d’un autre roman, qui emmènera le lecteur vers les pays de l’Est. Sans être une suite de La Souciance, son “ici et maintenant” en prolongera la réflexion.

Informations pratiques

  • “La Souciance”
  • Editions du Panthéon
  • 120 pages
  • ISBN :978-2-7547-4668-7
  • Prix public : 12,90€ (format broché) ; 9,90€ (format numérique)

Pour en savoir plus

Site web : https://elhenri.com/

Facebook : https://www.facebook.com/LaSouciance/

Instagram : https://www.instagram.com/ericlouishenri

LinkedIn : https://www.linkedin.com/in/eric-louis-henri-3a244b1a8/

Sortie livre : “L’intégrale de Dieu” de Jean-Luc Cadranel

Une île perdue en Méditerranée est rattrapée par la 2ème Guerre Mondiale. Dans ce lieu confiné, un réseau de Résistance se constitue autour d’individualités diverses par leurs origines.

Dans “L”intégrale de Dieu” (éditions LTP), l’auteur Jean-Luc Cadranel invite les lecteurs(trices) à partager l’action des membres du réseau mais aussi, tout au long du conflit, leurs analyses profondes des événements, ainsi que des implications que laisse présager cette déflagration gigantesque pour l’avenir de l’humanité.

Sur cette île, on se bat, en fin de compte, pour sauver le monde… ou plutôt notre planète errante. On y croise le Diable, qui se glisse dans la vie de tous les jours. Mais on y découvre aussi, sur une plage isolée dans la nuit étoilée, l’évidence de Dieu exprimée sous forme d’un théorème qui relève le défi de Kant.

L’histoire commencée en 1938, rebondit en 1973, à partir d’une apparition effrayante qui nous interroge sur la persistance des périls menaçants notre planète.

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S’éveiller à la précarité de notre civilisation au sein d’un immense univers

“L’intégrale de Dieu” évoque le nazisme, la guerre, la résistance et la déportation, jusqu’à l’après-guerre. Il révèle la signification profonde de ces événements pour l’Humanité.

Le procédé habile de la double fin, très utilisé au cinéma, permet aussi à l’auteur de faire un saut en 1973 pour nourrir notre réflexion.

Jean-Luc Cadranel précise :

Dans cet ouvrage, c’est la survie de l’Humanité qui est en cause, symbolisée sur la couverture par une explosion nucléaire. L’idée sous-jacente est que nous pouvons construire ensemble ou tout détruire ensemble. L’Humanité est en sursis…

Le livre met en lumière des personnalités diaboliques notoires, comme Hitler ou Mussolini, mais aussi, dans l’ombre de l’après-guerre, certains chefs d’Etat et dirigeants d’organisations internationales.

Car le diable a face humaine ! Pourtant Dieu existe. Il suffit pour s’en convaincre d’observer, sur une plage au sud de la Méditerranée, la nuit étoilée…

Un livre captivant

Une histoire d’amour poignante dans une époque tragique, des styles qui s’entremêlent, la véracité de l’histoire contemporaine, des dialogues vivants, un soupçon d’art romanesque… “L’intégrale de Dieu” est le genre de roman qui se lit d’une traite, de la première à la dernière page, tant il tient en haleine.

Les amateurs d’Histoire apprécieront aussi les développements complets autour de la guerre telle qu’elle a été vécue dans le sud de la Méditerranée.

Ce récit total, à plusieurs niveaux de lectures, est donc particulièrement passionnant.

Extrait

” Je comprends, répondit Alberto,… l’humanité approche d’un seuil critique de puissance donc de nuisance. Soit elle sera capable d’un sursaut de lucidité et de responsabilité, soit elle disparaîtra à brève échéance. Et il faudra des millions d’années, avant que ne refleurisse sur terre la moindre civilisation !

Et il ajouta ensuite : La nature, après tout, progresse par tâtonnements, par essais et erreurs. L’ Homo sapiens n’existe que depuis deux cent mille ans, tandis que la Terre existe depuis plusieurs milliards d’années. Peut-être que finalement, ce sera le destin de l’humanité de servir de garde-fou, par la splendeur des vestiges qu’elle laissera enfouis dans le sol, aux civilisations terrestres à venir.

Nous sommes libres. Libres donc responsables de nos actes et de nos choix. Nous pouvons construire ensemble ou nous détruire ensemble. Nous approchons de l’heure de vérité, du jugement dernier. Du jugement de Dieu ! “

Témoignages de lecteurs

“Un roman qui va rejoindre ma bibliothèque et que j’ai été contente de découvrir. Je vous conseille de suivre de près cet auteur et de vous plonger sans aucune réticence dans cet écrit.”

“C’est un roman ambitieux que vous avez écrit. Avec ce qu’il faut d’intrigue et de progression dans le non-dit pour donner envie d’en découvrir plus.”

“Il utilise une magnifique langue, sait construire un récit et rendre compréhensible des concepts hautement complexes, ce qui est loin d’être évident. “

A propos de Jean-Luc Cadranel, l’auteur

auteur

Jean-Luc Cadranel est né au Sahara dans l’après-guerre, dans une région qui bruissait encore des souvenirs des Français Libres et de la guerre du désert.

Là-bas, il découvre l’immensité du ciel dans les nuits étoilées, une beauté qui laisse sans voix. Il apprend aussi à réagir vite en vivant sur une poudrière nucléaire, à la merci des dictateurs. Il sait qu’il ne faut jamais se laisser endormir par l’illusion des routines du quotidien.

Jean-Luc, qui est avant tout un esprit rationnel, a été interpellé par le mystère de la vie, ce qui l’a conduit à s’intéresser aux religions.

Il souligne :

De réflexions en réflexions, j’ai fini par conclure que le sentiment religieux est une intuition rationnelle qui peut se partager et même être formalisée. D’où l’idée du titre de ce roman : “L’intégrale de Dieu”.

En parallèle, Jean-Luc se positionne comme un lanceur d’alerte, refusant de laisser le champ libre à des dirigeants sans foi ni loi, quelle que soit l’idéologie dont officiellement ils se prévalent.

Il confie :

Dans mes livres, je veux avant tout faire passer des messages pour que les gens prennent conscience de la précarité de l’Humanité. Tous à notre échelle, nous pouvons nous mobiliser et être des citoyens actifs du monde !

Pour en savoir plus

Site web : https://www.amazon.fr/dp/2956236407

Facebook : https://fr-fr.facebook.com/jeanluc.cadranel.1

Sortie livre : “Permission de Naître”, le deuxième roman de Thalia Remmil, à paraître le 29 mars 2020

« Tant désiré et maintenant rejeté, j’ai décidé de m’accrocher pour voir la tête que fera ma mère ! »

Après “Tendresse Aveugle”, Thalia Remmil publie un nouveau roman psychologique passionnant autour de la difficulté d’aimer quand la routine du couple s’installe. Abandonner son statut de jeune femme pour celui de jeune maman est loin d’être une évidence !

Mais dans “Permission de Naître”, ce n’est pas Pauline, la mère qui parle.

Le narrateur n’a pas de nom. Pour l’instant, du moins. Et pour cause, il n’est qu’une âme. Après moultes réincarnations, elle recommence le processus à zéro. Lasse des vicissitudes humaines, elle se demande si cette nouvelle vie va l’amener à un constat plus réjouissant sur l’humanité.

Timothée, depuis le ventre de sa mère, invite les lecteurs(trices) à plonger dans une aventure qui tient en haleine de la première à la dernière page. Car au-delà de l’histoire d’amour de ses parents, des problèmes de maternité et de paternité, il y a le questionnement de la naissance, celle que l’on se donne le droit d’avoir, sa liberté d’être et de vivre.

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Faut-il se pardonner ses fautes pour naître à la vie ?

Timothée n’est pas encore né mais c’est pourtant lui qui parle, lui qui a envie de naître malgré tout, et qui déroule le fil de son histoire mais aussi de celle de Pauline et Adem, ses parents.

Il nous conte les mille et une nuits zébrées de leur rencontre : Pauline en vacances avec son pote homo à Istanbul qui tombe amoureuse d’un guide turc aussi macho qu’irrésistible. C’est le véritable coup de foudre. Sans davantage réfléchir, ils décident de se marier, Adem quitte son pays natal pour aller vivre en France ; les voilà partis dans une vie conjugale loin des étoiles de la cité magique. Quand enfin, elle tombe enceinte après d’interminables espoirs, Pauline se braque : elle ne veut pas de ce bébé. Certaines haines cachent parfois des erreurs commises que nous n’arrivons pas à nous pardonner…

Dans “Permission de Naître”, Thalia Remmil parle de la difficulté d’aimer… mais pas seulement ! Ce roman captivant offre plusieurs niveaux et angles de lectures, autour de multiples thèmes :

  • la réincarnation et la rédemption avec la capacité de chacun de nous de devenir une meilleure version de soi-même ;
  • le poids du secret de famille ;
  • la paternité biologique ;
  • la place du papa ;
  • la réincarnation ;
  • la grossesse gémellaire ;
  • la  première grossesse ;
  • le « enceinte blues » ;
  •  le pardon.

Le tabou des grossesses mal vécues

“Permission de Naître” ose aussi aborder un sujet dont on ne parle pas : les grossesses mal vécues et tous les questionnements autour du fait de perdre son statut de femme, de fille, pour devenir une mère.

Un sujet qui fait écho à la vie de l’auteure.

Thalia Remmil confie :

Mal vivre sa grossesse est encore tabou dans notre société ! J’ai vécu mes 2 grossesses comme un don du ciel mais j’ai aussi connu les affres des fausses couches et du difficile face à face lorsque le choix de l’avortement s’impose à nous.

C’est cette réalité qui a donné naissance à “Permission de naître” : Timothée, le futur bébé à venir, est le guide qui conduit les lecteurs(trices) au cœur de cette intrigue, jalonnée de secrets et de mensonges, mais aussi d’une vérité.

Une auteure atypique

Thalia Remmil se livre en filigrane dans chacun des personnages de ses romans. On peut la retrouver chez Nahéma, Pauline, et Mèl son 3ème roman en préparation, ses 3 héroïnes, mais aussi un peu chez Dorothée, la mère de Pauline.

Depuis l’enfance, son chemin de vie a été toxique, malsain, malmené, manipulé et clivé. Comme tant d’autres personnes, elle a connu des heures de souffrance et de nombreux obstacles à surmonter.

Mais c’est aussi ce qui donne de la puissance à son écriture. À l’heure des mouvements #BalanceTonPorc et #MeToo, qui ont contribué à libérer la parole des femmes, l’auteure montre qu’il est important d’oser dire et de dénoncer la loi du silence. Et surtout, elle montre qu’une résilience est possible pour se construire une vie plus belle et plus lumineuse.

De nombreuses lectrices se reconnaîtront dans son parcours, elles pourront mettre leurs pas dans les siens mais aussi trouver des pistes pour se relever et continuer à avancer.

Un extrait du livre

 Annoncer l’heureuse nouvelle à son mari. Mon Dieu il va sauter de joie ! Dans les yeux de Pauline brille la douleur, et ce NON qui résonne en elle. NON elle ne veut pas, elle n’en veut pas ! 

« En », cet enfant, elle le tue dans son ventre, il ne peut pas exister ! Elle se dégoûte de ces pensées, elle si douce, si fragile, devenue répugnante ! Elle qui a tellement désiré être enceinte, devenir mère. Elle qui malgré ses multiples tentatives infructueuses, gardait espoir qu’un petit être viendrait se nicher dans son ventre. Comment a-t-elle pu se laisser aller si facilement à cette erreur de parcours ?

Pourquoi Adem l’a-t-il délaissée au point que cette solitude en devienne fatale ? Pourquoi n’a-t-elle pas trouvé la force de résister ? La culpabilité, ce monstre maléfique, lui broie les intestins.

Cette chose l’a transformée. 

Informations pratiques

  • “Permission de Naître” de Thalia Remmil
  • Date de parution : dimanche 29 mars 2020
  • Pré-commande à partir du 21 mars sur Amazon KDP
  • Nombre de page : 367
  • Récompenses : Sélection “Concours Pitch 2019″ sur Librinova

À propos de l’écrivaine Thalia Remmil

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Thalia Remmil est écrivaine, entrepreneure, mère de 2 grands enfants et mamie d’un bout de chou de 20 mois.

Son parcours de vie chaotique lui a fait découvrir ce que signifient les mots « traumatisme d’enfance ». Femme construite et accomplie, elle vit dans le Vexin, région du Nord-Ouest de la France, avec sa famille, ses deux chiens et ses neuf chats.

Elle qui a toujours écrit décide en 2019 de se lancer dans la rédaction et la publication de son premier roman, “Tendresse aveugle”.

Elle dévoile :

Ma vie intense est un roman dont j’ai appris à tourner les pages avec l’écriture. Finalement, la naissance de mes enfants et la pratique d’une multitude de thérapies permettent ma résilience.

Son univers, empli d’une grande sensibilité pose inlassablement la question : C’est quoi l’Amour ? Au travers de fictions aux personnages attachants, l’écriture lui permet d’exorciser ses souffrances tout en faisant voyager ses lecteurs dans des univers mystiques, palpitants et envoûtants.

Thalia Remmil écrit pour le moment des livres qu’elle nomme « romans psychologiques », mais aussi des autofictions. L’artiste engagée aimerait apporter sa voix sur des causes qui lui tiennent à cœur, telle que l’enfance maltraitée, les relations toxiques, les femmes et leurs droits ou encore la résilience.

Elle souligne :

Si je peux mettre quelques pierres à l’édifice de la protection de l’enfance et la femme en danger, j’aurais fait ce pourquoi, je pense, je suis venue au monde.

Avec son deuxième roman, l’auteure souhaite développer et fidéliser sa communauté de lecteurs. En parallèle, son troisième livre est déjà en cours d’écriture : comme les deux premiers, il s’agira une fiction inspirée de sa vie.

Pour en savoir plus

Découvrir le livre : http://thaliaremmil.com/roman-resilience-permission-de-naitre-evenement/

Site web : https://thaliaremmil.com

Facebook : https://www.facebook.com/ThaliaRemmil/

Instagram : https://www.instagram.com/thaliaremmilauteure/

La face cachée de la douance révélée dans “La surprise du surdoué”, roman-témoignage de Pascal-Henri Poiget

Un surdoué, qu’est-ce c’est ? Tout le monde a en tête le cliché d’un “petit génie” qui résoudrait une mystérieuse équation mathématique d’un claquement de doigt.

Pourtant, la réalité est toute autre. 2,5% de la population ont un QI (quotient intellectuel) supérieur à 130, alors qu’il est compris entre 85 et 115 pour la plupart des gens.

Pascal-Henri Poiget, l’auteur de La surprise du surdoué (Éditions AlterPublishing), l’aborde dans son roman : “Être surdoué, ce n’est pas être différent au niveau intelligence ou cérébral, c’est être différent en tout : physique, émotivité, cérébralité.”

Le surdoué, n’est donc pas seulement rapide… C’est aussi celui qui peut être dans la lune, souvent solitaire, toujours multi-tâches, très empathique et donc parfois manipulé, hypersensible, créatif, tellement perfectionniste et curieux qu’il donne aussi l’impression de ne pas pouvoir “se fixer” et “trouver sa place”.

D’ailleurs 30% des enfants “à haut potentiel” échouent dans leur cursus scolaire et un sur deux vivra un épisode de dépression plus ou moins intense au cours de ses études (source).

Dans son roman, librement inspiré d’une histoire réelle et étayée par de nombreuses recherches sur le sujet, Pascal-Henri Poiget écrit :

Pour donner une image de mon cerveau, c’est un moteur qui s’emballe, en permanence, au bord de l’explosion, dans une descente en roue libre, où tous les moindres freins sont hors d’usage ou impuissants. La seule différence, c’est qu’il n’y a jamais de fin, jamais de chute. Que l’on cherche en permanence en soi un quelconque frein à main, ou, à défaut, des freins à disque. Qu’on ne trouve pas.

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La douance, une vie en décalage permanent avec les autres

“J’ai compris assez tôt que j’étais différent, donc. Atypique, comme on dit. Oh, ça ne veut pas dire plus intelligent, meilleur que d’autres. Non. Au contraire. On a l’impression d’être un animal à part, un zèbre, comme on le qualifie souvent. Le zèbre a des rayures blanches et noires. Ce n’est pas un cheval. Ce n’est pas un âne. C’est un zèbre. Est-ce mieux ? Est-ce moins bien ? C’est différent, tout simplement. Singulier, au mieux.”

Le surdoué est tellement singulier qu’il peut vivre son haut potentiel comme une souffrance. Car le décalage avec les autres est marqué à de multiples niveaux :

Sur le plan intellectuel : il a une pensée transversale ou matricielle, quand les autres ont une pensée verticale. Il est donc souvent capable d’avoir des solutions quand les autres en sont aux questions… mais il ne saura pas expliquer comment il a eu les réponses. Le raisonnement même lui échappe : “Vous avez la solution, sans savoir comment vous l’avez eue, sans pouvoir justifier le cheminement de votre pensée, sans pouvoir donner le moindre indice aux autres et à vous-mêmes du comment vous avez trouvé le juste résultat.”

Sur le plan comportemental : il a l’air de ne pas écouter alors qu’il a parfaitement entendu, a l’air absent même s’il écoute attentivement, donne l’impression d’être en-dehors alors qu’il est à fond, gère en permanence plusieurs sujets à la fois ce qui peut le disperser (ou lui donner l’air dispersé).

Sur le plan physique : en ébullition permanence, son corps est presque bipolaire, avec des pics d’énergie et des pics de fatigue.

Le résultat est une vie cocasse et singulière, en marge, avec laquelle il va falloir apprendre à composer. Le zèbre est pris au mieux pour un illuminé sympathique, au pire pour un fou. Dans la sphère professionnelle comme personnelle, s’aventurer en dehors des sentiers battus est en effet valorisé… mais seulement à condition de ne pas aller trop loin !

Pascal-Henri souligne :

Un “zèbre” n’est ni blanc ni noir. Alors, comme le vilain petit canard du conte d’Andersen, il doit apprendre à vivre ses différences. Il n’a pas le choix. Encore une fois, question de survie.

Un mode de fonctionnement à 200%

« Être surdoué, c’est vivre excessivement au lieu de normalement, transversalement et non verticalement, passionnément plutôt que raisonnablement. Ce n’est pas être mieux, c’est être trop en tout, autrement et involontairement. »

Le surdoué vit rarement dans l’ici et le maintenant. Son esprit est toujours ailleurs, il suit avec passion mille et une idée qu’il veut explorer dans les moindres détails, donnant souvent une fausse impression de distraction.

Il n’y a pas que son cerveau qui turbine à 300 à l’heure, son hypersensibilité aussi. Un surdoué a constamment l’émotion au bord des lèvres, une hyperréactivité qui fait éclater en sanglot et qui anéantit au quart de tour. Il suffit d’une demi-seconde pour que tout bascule !

“Trop forte, trop vive, trop envahissante”, cette émotion va aussi avoir un impact sur le corps.

« (…) les dernières études et expériences prouvent la chose suivante : avec ce bouillonnement cérébral, ce déchaînement du cœur, le corps n’est pas en reste et n’a rien à leur envier : il est lui aussi plus réactif. Là où les autres sont bien portants, vous êtes allergique. À tout. Vous avez mal. Pour un rien. De telle sorte qu’on vous explique que vous vous écoutez. Certains ont même remarqué que la température de leur corps était un peu plus élevée. Foutaises ? Illusions ? Pas si sûr. Comme si cette cocotte-minute cervelée et cardiaque se répercutait sur le reste du corps. Et comme si ça ne suffisait pas… Non seulement ça va vite, mais il y a des hauts et des bas : des phases de surexcitation et des phases d’abattement… En permanence. »

Cacher sa différence pour mieux s’intégrer

Comment bien vivre en société quand on n’est pas comme tout le monde ? Parce que la plupart des “surdoués” ne sont pas identifiés comme tels, ils vont se percevoir comme fous, atypiques et anormaux. Cette souffrance est d’autant plus vive qu’elle est exacerbée par leur hypersensibilité.

Le surdoué vit alors sa différence dans la solitude et l’incompréhension, allant parfois jusqu’à sombrer dans la dépression.

Il est d’autant plus complexe de s’ouvrir aux autres que le sujet de la douance est relativement méconnu et sujet à beaucoup d’idées reçues. Oser dire “je suis surdoué(e)”, revient souvent à s’exposer au mépris ou au rejet.

Pourtant, il est indispensable de s’avouer cette réalité à soi-même, pour la comprendre et l’assimiler, afin de composer avec le mieux possible.

« De ce fait, on vit au jour le jour. En essayant de vivre au milieu des autres, sans rien leur expliquer, sans rien leur dire, sans rien leur imposer. Question de survie. En se forçant à ne rien montrer. C’est relativement facile, en fait : tout se passe à l’intérieur. »

Même si au quotidien, le zèbre peut être amené à vivre des situations étonnantes !

L’un des protagonistes surdoués de cette histoire vraie romancée, lui, a un instinct très puissant, qui l’amène à remarquer ce que les autres ne voit pas. Il détecte par exemple facilement les femmes qui sont enceintes, les couples légitimes ou pas, et les personnes qui se droguent.

C’est l’ensemble de la vie qui est cocasse et décalée. En permanence, sur tous les sujets :

« La personne qui m’a parlé des atypiques, ou plutôt des surdoués, me dirait : « Ce n’est pas l’instinct. Ton esprit met bout à bout des informations qui sont inaccessibles pour les autres, et, logiquement, en arrive à une conclusion. Ce que tu prends pour de l’intuition est simplement le fruit d’un assemblage de données issues de ton cerveau. »

« Pour les couples ok, pour la dope, d’accord, mais pour les femmes enceintes, sérieusement, je ne comprends pas ! Car il m’est souvent arrivé de savoir, avant elles, qu’elles attendaient un enfant. Peut-être avais-je repéré un teint brouillé, un détail physique qui ne me trompait pas ? Je suis très, mais très observateur. Sans le montrer. On croit d’ailleurs souvent que je ne regarde pas, que je n’écoute pas : j’ai le regard lointain, les yeux perdus ailleurs, fixés sur un point vague. Au contraire, je vois et j’entends. À ma manière. Sans le montrer. Mais j’écoute avec beaucoup d’attention. Que d’autres n’ont pas. »

La surprise du surdoué, le nouveau roman de Pascal-Henri Poiget aux éditions AlterPublishing

La surprise du surdoué est le nouvel ouvrage de Pascal-Henri Poiget, publié à la fois au format numérique et papier aux éditions AlterPublishing.

Une histoire fondée sur une intrigue véritable, à la fois incroyable, impensable et impossible parce que la réalité dépasse toujours la fiction.

« Le zèbre, cet animal différent, cet équidé qui est le seul que l’homme ne peut apprivoiser, qui se distingue nettement des autres dans la savane tout en utilisant ses rayures pour se dissimuler, qui a besoin des autres pour vivre et prend un soin très important de ses petits, qui est tellement différent tout en étant pareil. Et puis, comme nos empreintes digitales, les rayures des zèbres sont uniques et leur permettent de se reconnaître entre eux. Chaque zèbre est différent. », selon Jeanne-Siaud Facchin, qui évoque ces « drôles de zèbres ».

Mais est-il vraiment si simple pour les surdoués de s’identifier entre eux pour se sentir enfin compris et en sécurité ? C’est justement l’objet de ce roman passionnant.

Le synopsis du livre

« Être surdoué, c’est l’émotion au bord des lèvres, toujours, et la pensée au bord de l’infini, tout le temps. » Quand un surdoué rencontre ce qu’il imagine être une surdouée, les standards et les références explosent de part et d’autre.

Rythmée par des airs de chanson, la douance, l’amour, l’humour et la musique sont les ingrédients inédits d’une rencontre imprévue, improbable et impitoyable, qui va faire valser les derniers repères.

Être surdoué n’est pas un avantage, pas une supériorité, c’est un décalage, voire une souffrance, un voyage permanent entre passion et raison. Car comme l’écrit Erasme, « Toute la différence entre un fou et un sage, c’est que le premier obéit à ses passions et le second à la raison. »

À propos de Pascal-Henri Poiget

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Après une double licence de lettres classiques et d’études appliquées de civilisation, complétée par des recherches en troisième cycle en littérature et civilisation française, Pascal-Henri Poiget s’est réorienté vers une carrière centrée sur les chiffres et les ressources humaines après l’obtention de son diplôme de l’ESSEC.

Passionné de musique, de littérature et de cinéma, il se consacre à l’écriture en marge de sa vie professionnelle, où il a coécrit trois ouvrages de management. Aux Éditions AlterPublishing, il a publié Le jeu de Marienbad (2012), Debussy musicien des poètes (2013), Chateaubriand fervent des femmes (2013), Un amour de manipulateur (2016), Le choix d’attendre (2018), La surprise du surdoué (2019) et une version modernisée des Prophéties de Nostradamus (2015).

Aujourd’hui, avec La surprise du surdoué, son nouvel ouvrage disponible en e-book et sous format papier aux Éditions AlterPublishing, Pascal-Henri Poiget élargit son champ d’action et aborde une thématique forte.

Pour en savoir plus

Site internet de l’auteur : https://www.pascalhenripoiget.com

Éditions AlterPublishing : https://www.alterpublishing.com/fr/la-surprise-du-surdoue.html

Instagram Pascal-Henri POIGET : https://www.instagram.com/phpoiget/

Twitter Pascal-Henri POIGET : https://twitter.com/PHPoiget

Sortie livre : “Quand bruissent les ailes des libellules”, Une grande aventure romanesque et historique, une histoire d’amour, d’indépendance et de liberté !

Synopsis du livre

Élisa a décidé de quitter son compagnon. Émue, la jeune femme se rend à la Ferme des Marais, la maison de son enfance, où souvenirs heureux et nostalgie s’entremêlent. Dans une vieille boîte, une lettre. Celle que sa grand-mère Jeanne lui a laissé avant de disparaître, une lettre à n’ouvrir qu’après sa mort, une lettre emplie de mystère et de secrets…

En 1925, Jeanne a dix-huit ans, elle rêve de Paris, de devenir infirmière et bien sûr d’amour.
Mais son monde se réduit à son petit village de paysans et à ses coutumes rigides. Jusqu’au jour où elle rencontre Eugénie Morel et son frère Marius. Tout semble alors sourire à Jeanne, mais dans la petite bourgade, le drame couve…

Jeanne parviendra-t-elle à trouver la liberté et le bonheur qu’elle appelle de tous ses vœux ? Sa lettre changera-t-elle le cours de la vie d’Élisa ?

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Un destin de femme exceptionnel

Dans son nouveau livre, Rosalie Lowie évoque la vie des femmes en 1925.

Cette grande aventure romanesque et historique, qui met en scène un secret de famille, a été inspirée par la grand-mère de l’auteure.

Rosalie Lowie confie :

Ma grand-mère ne nous a jamais parlé de sa vie. C’est à la fois terriblement frustrant et triste… alors j’ai eu envie de lui inventer une vie. Puis l’imagination a pris le dessus et j’ai voulu parler des femmes au cœur de la France de 1925.

Extrait

Que sait-on finalement de la vie de sa grand-mère ?
Pas grand-chose.
C’est en substance ce qu’Élisa Beaulieu se dit, en détachant ses yeux de la lettre. Et cette pensée la bouleverse terriblement. Quel est donc le secret de Jeanne ?
La tombe est fleurie de roses blanches, ses préférées. Baignée d’un étrange halo luminescent, l’atmosphère du petit matin s’embrase d’une brume d’étoiles crépitantes, comme des allumettes enflammées par le frottement sec.
Il va faire beau.
Élisa retient cet instant du bout des yeux.
Les âmes perdues des morts chatouillent les pieds, dans un dédale de stèles de guingois, tapissées d’herbe drue dans le plus pur style anglais. Parfois, un souffle mélodieux, issu d’une harpe invisible, retentit au travers des buissons d’aubépine qui ceinturent l’endroit.
Accroupie, Élisa caresse du bout des doigts les pétales humides de rosée matinale. L’envie de réciter une prière l’étreint, un « Je vous salue Marie », pour assurer que l’amour est plus fort que l’oubli. Pourtant, le visage de Jeanne s’évapore dans le relief de ses souvenirs depuis quatre mois, gommés grossièrement. Bientôt, seules des traces noirâtres et éparses subsisteront sur la toile du passé.
Il est encore tôt.
Une fraîcheur incisive picote les chairs et s’insinue dans les veines. Élisa a toujours bien aimé venir le matin (très tôt parfois) se recueillir sur la sépulture de sa grand-mère. Quand il n’y a pas âme qui vive… L’ombre des fantômes joue à cache-cache avec l’austère gardien fossoyeur des lieux, un vieux bougre, taiseux, au dos brisé, au visage si anguleux qu’il en laboure le sol de larges sillons. Il boitille, appuyé sur son balai, crache sa chique en boule visqueuse et noirâtre, tous les dix pas. Mais il n’y a pas plus protecteur que lui pour le cimetière. C’est une vraie terreur et dès que son regard de rapace se pose sur vous, les frissons d’angoisse ne sont pas loin. Les gamins ne jouent plus entre les tombes. Les chats ne grattent plus le sol. Même les oiseaux font grise mine et hésitent à se poser sur les stèles. Le gardien aime ses morts et ils le lui rendent bien.
Un homme âgé se tient à l’écart. Cheveux grisonnants, une tristesse élégante dans le teint flétri, plus blanc qu’un linge trop savonné. Un homme âgé encore beau, au profil grec, qui exhale la puissance passée et la douce sagesse du grand âge. Malgré la démarche légèrement claudicante d’un corps rongé d’arthrose, il accroche le regard.
Il n’approche pas, préférant garder ses distances. Stoïque, il semble méditer en silence. Ou bien il hésite sur la direction à prendre pour rejoindre la tombe visitée. Peut-être a-t-il oublié.
Les bras chargés de fleurs et un sourire fané sur les lèvres.
Finalement, il se dirige vers une tombe en marbre, sur la droite.
Élisa rassemble ses esprits en vadrouille, replie la lettre du bout des doigts.
Il est temps de rentrer chez Mamie Jeanne et d’affronter le passé.

Une auteure déjà récompensée par le “Grand Prix Femme Actuelle 2017″

Le policier de province, Marcus Kubiak rêve de ses vacances dans les îles. Un cadavre sur la falaise compromet ses plans. Dans la petite station balnéaire de Wimereux, aux portes de l’Angleterre et de la Mer du nord, dans des paysages sauvages à couper le souffle, c’est le choc. Surtout à l’approche de la saison touristique…Marcus Kubiak se voit confier l’enquête et croise sur son chemin l’intrépide journaliste, Zoé Rousseau et son flair redoutable. Mais le printemps vire au cauchemar quand un second cadavre remonte à la surface…

Le premier roman de Rosalie Lowie, le polar “Un bien bel endroit pour mourir” a reçu le “Grand Prix Femme Actuelle 2017″.

Publié d’abord en grand format le 25 mai 2017, il a ensuite été réédité en format France Loisirs sur les catalogues du 1er semestre 2019. Il connait actuellement une nouvelle vie puisqu’il est sorti le 4 juillet 2019 en format poche aux éditions Pocket.

 Témoignages de lectrices

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“Merveilleuse Jeanne !
Une belle et poétique histoire de femmes libres, alors que les années folles sont aux portes de Paris, bien loin de la campagne et de la ferme des marais.
L’écriture est musicale, poétique. L’émancipation de ces femmes où la vie est rude, les sillons tracés, le cœur et la passion camouflés. Bravo !”

“En un mot ce roman est tout simplement magnifique ! Entre les pages se déroulent des destins de femmes au cœur d’une époque où leur liberté ne dépassait pas le cercle familial. On se trouve plongé dans la France rurale, au bord de la Canche et on chemine auprès de Jeanne, une héroïne dont la seule force est celle d’aimer. Un témoignage prenant sur les années 1925 où celles que l’on voulait soumises se sont révoltées imperceptiblement. Longtemps encore après la lecture, les Libellules continuent d’agiter leurs ailes au-dessus de mes pensées…”

“J’ai suivi avec émotion l’histoire de Jeanne racontée à sa petite fille. La plume de Rosalie a pris les couleurs d’une poésie fantastique dans ce roman, aussi irisées que les ailes d’une libellule miroitant au soleil.
Jeanne est une femme superbe. Surprenante, admirable, attachante. Rosalie nous offre un tableau saisissant des années folles. Les “vraies”. Car finalement, en-dehors des paillettes parisiennes de Joséphine Baker et de cette vie trépidante que l’on explore habituellement, j’ai découvert ce qu’il se passait “autour”. Et la rencontre fracassante d’un monde terrien ancré dans ses traditions et l’arrivée de cette nouvelle façon de vivre sont peut-être encore plus intéressantes. Je me suis régalée de cette histoire pleine d’humanité. La fin est une très belle surprise autant qu’une leçon de force intérieure.
La façon très originale et subtile de percevoir le monde à la façon de Jeanne me trottera longtemps dans la tête.”

À propos de Rosalie Lowie

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Originaire de région parisienne, mariée, maman de deux enfants et entourée de ses chats, Rosalie Lowie vit sur la Côte d’Opale depuis une vingtaine d’années.

Cette Responsable Ressources Humaines a toujours aimé les livres et l’écriture.

Il lui a toutefois fallu du temps pour prendre confiance et oser écrire un roman ! Pour se lancer, elle a puisé son inspiration dans le bord de mer et la côte sauvage du Littoral. Curieuse de tout, elle s’essaie à des genres différents : polar, roman contemporain, nouvelle, pièce de théâtre, guidée avant tout par le plaisir d’écrire des histoires.

Elle a déjà publié :

  • un roman policier (“Un bien bel endroit pour mourir” ), qui a reçu le Prix Femme Actuelle 2017,
  • et un recueil de nouvelles (“Quelques mots à vous dire…”), écrit avec 3 autres auteurs primés Femme Actuelle, Dominique Van Cotthem, Émilie Riger et Frank Leduc. et publié en avril 2019

Rosalie Lowie a désormais de nombreux projets. Elle envisage notamment d’écrire une suite à son polar, mais aussi un autre recueil de nouvelles et un roman contemporain.

Elle confie :

 J’aime avoir une écriture variée ! J’ai la curiosité d’aller vers des histoires ou des genres littéraires différents : polar, nouvelles, roman contemporain mais aussi historique ou d’aventures.

Informations pratiques

“Quand bruissent les ailes des libellules” de Rosalie Lowie

  • Éditions Prisma, collection « Nouveaux auteurs »
  • 374 pages
  • Prix : 18,95€

Pour en savoir plus

Feuilleter un extrait : https://www.amazon.fr/dp/B083F93JWF?

Facebook : https://www.facebook.com/Rosalie-Lowie-163797750865800/

Instagram : https://www.instagram.com/rosalielowie

Sortie livre : “L’Affaire Stéphanie : Carnets d’enquêtes d’Halinea” d’Isabel LAVAREC

Stéphanie, une étudiante a disparu. Un corps est trouvé dans la forêt urbaine avoisinante. Une instruction est ordonnée.

En stage scolaire au commissariat, Halinea, détective en herbe, décide de mener l’enquête en catimini. La considérant un peu trop investigatrice, le brigadier-chef Jacques la déplace dans un laboratoire scientifique et lui lance un défi. Elle le relève.

Aidée par ses tuteurs João et Séverine, pour les connaissances, et, de ses amis Xavier et Caro pour les recherches, elle réussit l’épreuve avec brio… ce qui n’est pas du goût de certains qui réagissent parfois violemment.

Malgré les interdictions et les dangers encourus, la protagoniste réussira-t-elle à confondre le ou la coupable ?

Avec “L’Affaire Stéphanie : Carnet d’enquêtes d’Halinea”, Isabel LAVAREC embarque ses lecteurs dans une passionnante investigation menée tambour battant par l’héroïne. Ce roman policier palpitant est aussi l’occasion de s’intéresser et d’ouvrir le débat sur un thème qui touche de près les adolescents : la phobie scolaire.

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Un livre plein d’humour que les ados adoreront dévorer

Ce roman policier situe l’action dans un contexte contemporain. L’héroïne, en classe de seconde, fait son stage dans un commissariat et un laboratoire de formation de police scientifique. Dans son carnet d’enquêtes, elle note ses ressentis pendant le déroulement de l’enquête qu’elle mène en catimini.

Une intrigue prenante, de belles saillies humoristiques et une héroïne de leur âge : voilà le cocktail détonant qui va tenir les ados en haleine de la première à la dernière page.

Mais “L’Affaire Stéphanie”, c’est bien plus que cela.

Isabel LAVAREC confirme :

En plus des thèmes récurrents dans les livres pour adolescents (la drogue, les copains d’abord, les relations avec la famille et les profs, les petits copains…), il y aussi, en toile de fond, un sujet d’actualité sur lequel il est important de communiquer afin de sensibiliser et de libérer la parole des jeunes : la phobie scolaire, une pathologie qui touche de 1 à 3% des adolescents en France (source).

De plus, Isabel LAVAREC s’appuie sur ses connaissances de Professeure agrégée des Sciences de la vie et de la terre pour apporter un éclairage scientifique à l’enquête et distiller de précieuses informations.

Un angle très original

Contrairement aux autres romans policiers, “L’Affaire Stéphanie” plonge les jeunes lecteurs(trices) directement au coeur de l’enquête.

Isabel LAVAREC souligne :

Les adolescents suivent les carnets qu’Halinea rédige, jour après jour, tout au long de ses investigations.  Ils partagent ses découvertes, ses doutes, et chacune de ses péripéties, exactement comme s’ils les vivaient.

Et du lundi 16 novembre, date de début de l’enquête, jusqu’à sa résolution 28 avril, il y a une multitude de rebondissements et de découvertes !

Un extrait du livre

“Des éclats de voix me réveillent.
— Qu’est-ce que je fais là ?
Le soleil est déjà bas. Seize heures ! Un message de João sur mon portable. Il l’a envoyé à quatorze heures : « Dors bien. Au plaisir de te revoir… A+. »
Je suis navrée. Je dois aller m’excuser avant qu’il ne signale l’incident à Jacques.
Je cours le rejoindre dans son bureau. Dans le long couloir, les différentes portes sont ouvertes. Seule, celle de João est fermée. Ce n’est pas de veine ! J’aurais pu entrer sans me faire remarquer. J’ouvre tout doucement et me faufile à l’intérieur.
Il est là. Dos tourné fouillant dans son placard. J’entre à pas de loup. Il semble très concentré. Arrivée près de la table qui me sert de bureau, je tousse pour attirer son attention. Surpris, il fait tomber le paquet qu’il essayait de mettre dans un sac poubelle : documents, photos, et une chemise rose. Je me précipite pour l’aider à ramasser. Il me repousse.
— Non. Va-t’en ! Je n’ai pas besoin de toi. Je veux être seul !
Surprise par tant de violence, je me fige. Une lettre qui a été déchirée et reconstituée avec du papier adhésif a glissé jusqu’à mes pieds. Elle est signée d’un cœur fait de hiéroglyphes dessinés à l’encre rouge. Je photographie mentalement la figure. Il s’en aperçoit et se précipite pour la récupérer et l’enfouir dans sa poche. Faisant semblant de n’avoir rien vu, je me retourne pour prendre mon sac. J’aperçois alors une photo sous ma chaise. Je m’en approche naturellement et d’un léger coup de pied, l’envoie sous l’armoire. Demain, j’arriverai plus tôt que lui et la rangerai dans mon cartable. En le regardant, je balbutie timidement :
— Je venais simplement m’excuser. Il n’est pas dans mon habitude de faire la sieste. Mais, hier soir, j’ai été malade et n’ai pas dormi. Je suis navrée de vous avoir dérangé dans votre nettoyage. Sincèrement, je croyais bien faire en venant ici.
João se reprend rapidement.
— Excuse-moi, j’ai gardé les réflexes de mon pays où un mauvais coup arrive toujours par-derrière. Merci d’être venue. Je pardonne ton écart, ajoute-t-il en me raccompagnant jusqu’à la porte.
Il espère me revoir le lendemain après le cours du prof
— Tu verras, c’est très intéressant.”

Retrouver Halinea dans d’autres aventures

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Les Carnets d’Halinea forment une série avec les mêmes personnes qui enquêtent et un fil rouge qui les relient : l’amour tumultueux de l’héroïne avec un gitan Kiero.

Un premier opus a déjà été publié en 2016 aux éditions Oskar : “Il est plus facile de désintégrer un atome qu’un préjugé”, autour de la discrimination.

Les ados apprécient de voir l’évolution du personnage, qui grandit en même temps qu’eux : dans le premier opus, Halinea est en 3ème, dans “L’Affaire Stéphanie” elle est en seconde, etc.

Les carnets 3 et 4, qui conduiront Halinea jusqu’en 1ère, sont déjà en cours d’écriture !

Isabel LAVAREC, c’est aussi des policiers pour adultes !

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Isabel LAVAREC a également publié un policier historique, toujours aux éditions EX-Aequo : “Un cadavre à la consigne”.

Il s’agit d’une enquête qui se déroule juste après l’hécatombe de la guerre qui a entraîné perte de repères et banalisation de la mort. Dans un style imagé non dépourvu d’humour, cette fiction inspirée d’un fait réel, fait prendre conscience de l’importance de l’être humain et de la nécessité de donner un sens à sa vie.

Une disparition, un cadavre dans une malle. Dans un contexte patriarcal d’après-guerre, l’épouse d’un riche négociant, féministe engagée, est la coupable idéale. Mais est-ce aussi simple ?

A propos de l’auteure Isabel LAVAREC

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Isabel LAVAREC est une ancienne Professeur agrégée en Sciences de la Vie et de la Terre. Elle a enseigné en formation initiale et continue, à différents niveaux (lycée, école normale, centre PEGC, IUFM, université) et dans différents pays, départements et territoires d’outre-mer (France, Algérie, Comores, Martinique, Tahiti).

Parallèlement, elle a fait partie de troupes de comédiens amateurs à Nice, puis à Montpellier. Elle s’est également initiée à l’art de conter et de pratiquer des entretiens en ethnologie.

Ses premières publications étaient consacrées aux thématiques liées à sa profession (articles scientifiques et pédagogiques dans plusieurs revues spécialisées et plusieurs séries de manuels scolaires).

Isabel a ensuite décidé de transmettre son expérience de vie au travers de romans policiers, romans fantastiques, contes et nouvelles.

En 2019, son travail a été récompensé par trois prix délivrés par les Arts & Lettres de France (prix littéraires internationaux) : 2ème prix (section conte) pour “La Symphonie du Bonheur”, 3ème prix (section nouvelle) pour “Prendre sa place rien que sa place” et 1er accessit (section roman) pour “Lili femme de Vitruve ou ombres croisées).

Informations pratiques

“L’Affaire Stéphanie” d’Isabel LAVAREC

  • Editions EX-Aequo
  • 144 pages
  • Prix de vente : 13 €
  • ISBN : 978-2-37873-809-9

Pour en savoir plus

Commander le livre : https://editions-exaequo.com/laffaire-stephanie-isabel-lavarec

Site web : https://www.mollisa.fr

Facebook : https://www.facebook.com/isabellavarec25

LinkedIn : https://fr.linkedin.com/in/isabel-lavarec-a4822647 

Changer de vie ? Faut-il encore l’assumer ! avec le tome 2 de « Suivre les vagues », nouveau roman d’Anaïs W.

Six mois après la sortie du tome 1 de “Suivre les vagues – À contre-courant” Anaïs W. présente au début du mois d’octobre le 2ème tome “Au gré du vent”, son sixième roman, très attendu.

Qui n’a pas déjà eu envie de tout plaquer ? Regarder avec envie ceux qui l’ont fait avant nous ? Comment savoir si c’est le bon choix ? Ce que l’on laisse et ce que l’on trouvera ? Sera-t-il encore possible de revenir en arrière ? Ce n’est qu’en franchissant le pas que l’on trouvera les réponses, comme nous le montre Éléa, l’héroïne de “Suivre les vagues”.

Dans ce nouveau tome, à travers les questionnements d’Éléa, Anaïs W. amène subtilement le lecteur à une introspection sur la vie et sur lui-même. Et que ceux/celles qui n’ont pas encore eu la chance de découvrir le premier tome se rassurent : “Au gré du vent” peut se lire de façon indépendante.

Date de sortie : 12 octobre 2019

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Pourquoi faisons nous le grand saut ? Comment oser ré-enchanter sa vie ?

C’est bien souvent un grand sentiment d’insatisfaction qui nous pousse à considérer un changement de vie. Insatisfaction professionnelle, personnelle, mal-être, impression d’être coincé, de ne pas trouver sa place… Avant même de penser à tout plaquer, il faut réussir à mettre des mots sur ce qui nous rend malheureux et nous paralyse.

C’est ce chemin qu’emprunte Éléa dans le premier tome de « Suivre les vagues ». Lasse de jouer au caméléon pour plaire, étouffée par les diktats sociaux, elle cherche la force de décider de son destin… Mais rapidement, par facilité, elle se laisse distraire par un homme et s’éloigne de son objectif de réinventer sa vie.

Petit à petit, à chaque fois que nous nous efforçons de redresser la barre, nous nous rapprochons de ce qui compte vraiment pour nous, jusqu’au jour où nous sommes enfin prêts à tout changer.

À la fin du tome 1, Éléa voit ainsi ses derniers espoirs s’envoler après une rupture sentimentale. Elle se retrouve face à une réalité à laquelle elle ne peut plus échapper : il est temps pour elle de prendre son envol, de suivre ses rêves les plus fous, qu’importent ses peurs et les conséquences…

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Changer de vie ? Oui, faut-il encore l’assumer jusqu’au bout !

Changer de vie, c’est comme sauter dans le vide. Qui sait sur quoi on va tomber ? Pour se rassurer, on se nourrit d’espoir.

Comme Éléa, on espère ne plus ressentir de frustrations, de peines, de douleurs. On voudrait que tout soit simple. Pas seulement meilleur. On aimerait que ça soit parfait. Mais ce n’est jamais le cas, n’est-ce pas ? Alors, comment assumer ? Ne pas vouloir revenir en arrière ? Ne pas paniquer face aux premières difficultés ?

C’est tout un cheminement que les lecteurs font aux côtés d’Éléa dans le tome 2 de “Suivre les vagues”. Son aventure devient aussi la leur, elle réveille en creux des réflexions qui vont les aider à avancer.

Un personnage principal inspiré du vécu de l’auteure

“En venant m’installer ici, je pensais que mes problèmes se résoudraient d’eux-mêmes. Après tout, c’est ce qu’on attend d’un changement, non ? Que les choses rentrent dans l’ordre et s’améliorent. Mais j’ai vite été confrontée à une réalité cruelle : c’est un mensonge. Une nouvelle vie ne répare pas l’ancienne. Elle ne nous transforme pas du jour au lendemain et elle ne panse pas nos plaies encore à vif… Par contre, elle nous ouvre des opportunités différentes, accompagnées de difficultés qui nous façonnent et nous font grandir. Je le découvre jour après jour depuis mon arrivée à Seignosse.” - Synopsis “Au gré du vent

Éléa, l’héroïne du tome 2 de “Suivre les vagues”, est un personnage touchant et sincère, qui est inspiré directement de l’expérience personnelle d’Anaïs W. Elle aussi, en tant que romancière indépendante, a été confrontée aux bouleversements intérieurs liés au changement de vie.

Son écriture riche en émotions nous emporte ainsi dans les méandres de ce nouveau départ, fait de joies et de déconvenues. La force de ce récit tient à son authenticité et à la force des réflexions d’Éléa.

Anaïs W. souligne :

Les questionnements d’Éléa trouvent un écho en chacun(e) de nous ! Car tous, nous avons aussi été confronté(e)s à des moments de doute et de quête de sens concernant nos souffrances, la confiance en soi, mais aussi la maternité, la surconsommation, l’amitié, et le travail.

Mêlant une nouvelle fois fiction et développement personnel, ce second tome est une invitation au voyage intérieur. Le tout dans une ambiance estivale, sur les plages des Landes autour de l’univers du surf dans lequel s’épanouie la jeune héroïne, qui viendra ouvrir de nouveaux horizons et divertir le lecteur.

Extrait

” Il n’y a pas de fatalité dans la vie : nous ne pouvons pas modifier notre passé, mais rien n’est permanent dans le présent ou l’avenir. Nous détenons les clés de notre vie, car tout tient à notre perception. Bien sûr, nous ne pouvons pas éviter la mort, les coups durs, nous protéger des autres, cependant, nous pouvons choisir comment nous interprétons ces éléments et le sens que nous leur donnons. Seul notre état d’esprit compte et d’un instant à l’autre nous pouvons radicalement changer notre point de vue.

Pendant des mois, j’ai voulu me fixer des objectifs, un sommet… mais c’était stupide. Le bonheur, l’amour, la fortune ne sont pas des choses que l’on doit conquérir et obtenir à tout prix, au risque de se sentir dans l’échec lorsque nous n’y parvenons pas. C’est quelque chose que l’on doit juste essayer d’avoir le plus souvent possible, en vivant au jour le jour, en ayant un point à l’horizon qui nous permet de ne pas dériver. En regardant Farès, la tête reposée sur le siège, les yeux fermés, un sourire aux lèvres, je comprends ce qui nous a aidés à surmonter toutes nos difficultés : nous avons lâché prise. Nous avons accepté de faire de notre mieux, avec l’incertitude du futur. La vie et ses aléas sont comme le mouvement perpétuel de l’océan : on ne peut pas aller contre. À nous de choisir quelles vagues nous souhaitons suivre.”

A Propos d’Anaïs W., l’auteure

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Née en mars 1988 à Laval, dans la Mayenne, Anaïs W. est une jeune auteure française. Sa passion pour l’écriture naît à l’âge de douze ans et se renforce à l’adolescence, où l’écriture devient une véritable soupape.

Et pourtant, c’est vers la science qu’Anaïs se tourne ; elle décroche un master en virologie et commence en 2015 une thèse sur le VIH. Mais quelques mois après, elle quitte la recherche pour se consacrer à temps plein à sa première passion, dont elle vit aujourd’hui.

Anaïs W. a publié quatre romans. Après deux premiers livres publiés en 2015 et 2016, ses romans L’espoir au corps en 2017, suivi de Juste Puni en 2018, ont connu un véritable succès et ont ouvert un nouveau chapitre dans sa carrière d’auteur.

Ses histoires ont aujourd’hui séduit plus de 10 000 lecteurs.

Elle confie :

Je suis animée par une forte conviction : quelles que soient nos difficultés, nous pouvons nous en sortir en cherchant au fond de nous les bonnes ressources.

Pour en savoir plus

Suivre les vagues : https://anaisw.com/suivre-les-vagues-t2

Site web : https://anaisw.com/

Facebook : https://www.facebook.com/leslivresdanaisw.fr

Instagram : https://www.instagram.com/anaisw_romanciere/

Linkedin : https://www.linkedin.com/in/anais-w/

Sortie livre : “Les Maladies du Bien”, le premier roman initiatique de Yan Serre

L’invitation au voyage apparaît dès la couverture des « Maladies du Bien ». La mer et les bateaux qui apparaissent au loin sont autant de métaphores de nos états intérieurs fluctuants sur lesquels il faut apprendre à voguer pour arriver à bon port. Le lecteur se laissera embarquer dans une histoire captivante et poétique qui, au fil des pages, le conduira vers l’autre rive où il se révélera à lui-même. Un océan sur lequel on ferait aisément iriser son propre nom, redécouvrant la part lumineuse de notre Être.

« Le bonheur ne s’atteint pas en appliquant quelques recettes miracles ».

Voilà la réflexion qui teinte l’esprit à la clôture du premier roman initiatique de Yan SERRE : « Les Maladies du Bien ».

Là où tous ces manuels encyclopédiques de « développement personnel » ou de « pensées positives » peuvent finir par laisser un goût amer à celles et ceux à qui l’on a promis la félicité assurée et garantie en quelques leçons, il nous invite à prendre en considération les singularités de chacun sur son cheminement spirituel.

Yan SERRE, voyageur dans tous les sens du terme, a choisi d’adopter une démarche radicalement différente et ce parce qu’il se laisse deviner à lui-même que le bonheur est le fruit d’un cheminement mêlant questionnement, dépouillement et avancées. Ainsi, Yan a fait le choix de transmettre ses pépites d’éveil à travers un roman.

Après les deux tomes de « Népalsolo », un récit qui avait conduit les lecteurs dans les montagnes de l’Himalaya, il publie cette première épopée réaliste et initiatique. Une œuvre à la fois inspirée et inspirante. Pure fiction? Autobiographie totale ou partielle ? Plane là un mystère certain sur la part de Yan dans Théophile, un personnage aussi singulier qu’à la quête universelle. Clé de voûte du récit, un amour aussi jouissif que progressif de la nature et du genre humain qui permet d’avancer et de se réaliser pleinement ! Reste aux lectrices et aux lecteurs à aiguiser leur ressenti sur le cheminement parfois à la limite du déraisonnable de Théophile… Tantôt tiraillé entre la félicité et l’anéantissement, la découverte de l’ouvrage interpelle sur nos propres questionnements intérieurs.

Subsiste une certitude : “Les Maladies du Bien” sonne tel un de ces livres qui continue à jouer sa petite musique à l’intérieur de nous bien après que la dernière page ne soit tournée.

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Yan Serre nous précise :

L’Homme peut grandir, avancer et évoluer. Ce lent apprentissage aide à réveiller nos forces intérieures, les seules qui soient capables de nous porter quand la vie nous bouscule. Ce sont elles qui libèrent aussi les semences de la sérénité et de la plénitude, tant intérieures qu’extérieures. Avec “Les Maladies du Bien”, j’ai souhaité surfer sur une mystérieuse « fiction » afin que chacun, au détour d’un chemin de cette aventure initiatique, puisse découvrir de nouvelles portes à ouvrir dans sa propre vie.

Un extrait des “Maladies du Bien”

 “Son égoïsme s’effritait peu à peu là où Jacques avait davantage démonté, l’air de rien, un pan de son illusoire forteresse. La suffisance de Théophile lui sautait aux yeux, sans échappatoire possible, le laissant face à sa petite personne. Il pouvait ainsi se voir, et comme jamais, tel qu’il était ! Avec une sérénité certaine, Jacques avait l’art singulier de continuer à démanteler ses arguments fallacieux. Il lui montrait ce qu’il pensait, avec certitude, être le seul à savoir le concernant. Son égocentrisme était en totale liquéfaction et le laissait dans l’incapacité de s’énerver. Il l’avait rendu prisonnier de son propre jeu : prise de conscience soudaine de ces années gâchées et passées à construire un édifice sans fondement et complètement bancal. «Cette frêle construction : c’est moi !» s’avouait péniblement Théophile. Un petit «Je» tout étriqué et rabougri se contemplant si majestueux et beau.”

 

Yan SERRE, éveilleur et voyageur

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Originaire du nord Finistère, de Brignogan plages, Yan nourrit une passion pour la littérature et la nature depuis son plus jeune âge (il écrit depuis l’âge de 12 ans). Les mondes de la philosophie et de la spiritualité l’attirent très rapidement et c’est ainsi qu’il se met à lire Descartes puis Platon dès la classe de 3ème.

D’un tempérament solitaire et aventurier, son enfance est portée par deux grands rêves : parcourir le globe seul par les mers et aller découvrir l’Himalaya. Il suit des études de philosophie puis exerce pendant cinq années au sein de l’Éducation nationale. Il a pourtant peu à peu envie d’indépendance et d’introspection. C’est alors qu’il se met en quête de tout ce qui pourrait l’aider à mieux vivre et à libérer son esprit de son quotidien matérialiste. Il découvre le yoga et le bouddhisme vers ses trente ans, mais décide surtout de voyager plus et mieux ! Il multiplie les départs, d’abord en Europe puis dans le reste du monde. A l’hiver 2012, il entame un voyage initiatique en direction du sommet de l’Everest en solitaire, sans guide, sans porteur et sans moyen de communication. Cette expérience le transforme, humainement et spirituellement parlant. De retour, il est poussé par une incroyable envie de changer de vie et de se consacrer à la recherche du Soi. Il quitte son emploi pour créer sa propre société Terrévada afin de venir en aide aux artisans rencontrés au Népal.

Sous les encouragements et à la demande de ses proches, il se lance dans sa passion d’écriture en publiant un premier livre qu’il auto-édite par choix, comme un pas de plus dans sa démarche d’indépendance mais toujours guidé par l’envie de partage. Il s’agit de “Népalsolo”, un premier livre qui sera par la suite suivi d’un deuxième tome axé sur “La révélation de soi”.

En 2016, il choisit d’adopter un style de vie différent, pour cela il se sépare d’une très grande partie de ses affaires personnelles afin d’acheter un camping-car, un lieu dans lequel il vit une grande partie de l’année et grâce auquel il peut poursuivre sa quête d’une vie plus indépendante et nomade. Il y approfondit son désir de partir à la rencontre des autres en leur faisant découvrir ses livres et les révélations découvertes lors de ses voyages.

Pour continuer dans cette démarche d’ouverture, Yan se tourne alors vers la rédaction d’un premier roman. Constatant que les sommets de l’Himalaya sont en réalité partout, en chacun de nous, il souhaite transmettre au plus grand nombre des pistes pour avancer sur la voie du développement spirituel qu’il a lui-même accompli sur plusieurs décennies.

Pour en savoir plus

Présentation du livre

Les éditions Terrévada : https://terrevada.com/

« 1557 », entre histoire d’amour et amour de l’Histoire, le nouveau roman de Jean-Pierre Croset

En 1557, Saint-Quentin est assiégée par l’armée espagnole mais ses habitants sont bien décidés à résister. Sous l’impulsion de l’amiral Coligny, la ville se bat avec acharnement durant vingt-sept jours, sacrifiant ses « Enfants » devenus de véritables remparts humains devant l’assaillant. Ces semaines gagnées affaiblissent l’ennemi : Philippe II renonce à venir assiéger Paris. Sur fond de vérité historique, Jean-Pierre Croset nous conte l’histoire d’amour d’Anne Dassonville, jeune résistante à la pointe des combats, et de Guillaume de Rhuis, chevalier au service du roi Henri II.

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Quand l’amour et l’aventure mettent en lumière l’Histoire de France

« 1557 » est un roman historique de Jean-Pierre Croset à paraître aux éditions Zinedi, un roman rythmé mêlant Histoire de France et profonde histoire d’amour. L’auteur entraîne le lecteur dans une aventure romanesque pour mieux lui faire revivre les événements de cette période historique, jusqu’au tournoi fatal qui causa la mort du roi de France Henri II et à la déchéance de sa favorite.

La première partie de l’histoire se déroule à Saint-Quentin mais « 1557 » ne concerne pas seulement cette zone géographique. Personnages historiques et fictifs se rencontrent au fil des mots : Guillaume de Rhuis est l’envoyé du roi en Italie et auprès des gouverneurs de province tandis que l’héroïne, Anne Dassonville, deviendra l’apothicaire attitrée de Diane de Poitiers et sera accusée d’espionnage par Catherine de Médicis.

L’auteur annonce :

J’ai longtemps ignoré l’histoire du siège, de la bataille de 1557 à Saint-Quentin et de ses conséquences. Pourtant, face au magasin de mes parents, trônait un imposant monument, place de l’Hôtel-de-ville. Bien plus tard, l’idée d’un récit ayant pour cadre cette bourgade au XVIe siècle fit son chemin dans ma tête.

Jean-Pierre Croset se met alors en recherche d’informations et commence à se documenter auprès de la Société académique, mémoire de la ville de Saint-Quentin. Cette immersion dans les archives de la cité dure huit mois avant que l’écrivain n’en rédige les premiers mots :

« Il fit en sorte d’arriver à Saint-Quentin le samedi, veille de Pentecôte de l’an 1557. Cette ville du Vermandois d’environ huit mille habitants, réputée pour ses pèlerinages, attirait lors des fêtes religieuses nombre de croyants. Venus de Picardie mais aussi de régions voisines, ils célébraient, priaient, imploraient un miracle du saint apôtre et martyr qui donna son nom à la ville. Une humble chapelle, érigée au IIIe siècle, devint un sanctuaire.

[...]

Georges Montcalm, encore à plus d’une demi-lieue, vit l’imposant édifice dans le soleil couchant, sur la hauteur de Saint-Quentin…. »

« 1557 » : entre roman, vérité historique et hommage

Jean-Pierre Croset choisit de raconter son histoire à la manière d’un film, privilégiant sentiments, images, actions et dialogues. Il n’hésite pas à s’inspirer des codes et de la force narrative d’Alexandre Dumas, dont il est un admirateur inconditionnel. Il précise :

J’espère, par ce livre, rendre hommage aux citoyens héroïques de la cité picarde de Saint-Quentin qui contribuèrent à éviter que l’armée espagnole ne marche sur la capitale. « Les clefs de Saint-Quentin ouvrent les portes de Paris » disait alors un adage populaire. J’ai compris que je tenais la trame d’un grand roman d’amour et d’aventure sur fond de vérité historique.

Cet épisode tragique, capital de l’Histoire de France est méconnu. Très peu d’historiens contemporains se sont penchés sur ce dernier et l’on ne trouve généralement que quelques lignes à ce propos. Les Saint-Quentinois eux-mêmes ignorent souvent quels événements ont animé leur ville à cette époque.

Alexandre Dumas l’évoque dans « Histoire de la maison de Savoie » et il s’est pour cela abreuvé à la même source que Jean-Pierre Croset : la relation détaillée qu’en fit plus de trois siècles plus tard Charles Gomart, membre de la Société académique de Saint-Quentin.

Xavier Bertrand, ancien ministre et maire de Saint-Quentin jusqu’en décembre 2015, président de la région Nord-Pas-de-Calais-Picardie a préfacé le roman.

Jean-Pierre Croset, mettre la vie en paroles

20151222173823-p2-document-folrComédien de formation, ancien élève du Cours Simon, Jean-Pierre Croset s’oriente en premier lieu vers la chanson. Il reçoit dans ce domaine le prix international du disque de l’Académie Charles Cros et compte à son actif plus de 300 textes de chansons.

Il poursuit en parallèle une carrière dans l’édition, chez Hachette.

Sa corde artistique n’a jamais cessé de vibrer et après 30 ans de vie professionnelle comblée, il revient à ses premières amours : la musique, le chant et surtout l’écriture.

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Sa bibliographie rassemble déjà de nombreux textes : « Sur tous les tons » est par exemple un recueil de chansons paru chez Jean-Claude Lattès tandis que son premier roman, “Écris-moi”, est paru aux éditions Liriade en 2014.

L’écrivain partage aujourd’hui sa vie entre Paris et le Perche, sans jamais oublier pour autant Saint-Quentin, sa ville natale.

Informations pratiques :

ISBN 978-2-84859-141-4
280 pages – format 16 x 24 – 22 €

Couverture : Le sac de Saint-Quentin par les troupes de Philippe II en 1557, Francis TATTEGRAIN, Huile sur toile, 1899

Collections musée Antoine Lécuyer de Saint-Quentin

Sortie en librairie le 2 mai 2016

Pour en savoir plus

La page du livre : http://www.zinedi.com/pages/catalogue/1557.html

Le site de la maison d’édition Zinedi : http://www.zinedi.com

Contact Presse

Fabienne Germain
Mail : contact@zinedi.com
Tel : 06 09 63 48 07

“Le jeu de Marienbad”, miroir littéraire du film d’Alain Resnais

Passionné de littérature, et vouant un intérêt particulier aux scénarii d’Alain Resnais, Pascal-Henri Poiget publie “Le jeu de Marienbad”. Egalement inspiré par le style d’écriture déstructuré du “nouveau roman” d’Alain Robbe-Grillet, l’auteur revisite l’oeuvre cinématographique d’Alain Resnais en la métamorphosant en oeuvre littéraire.

2 hommes, 1 style

Pascal-Henri Poiget choisit de revisiter le film d’Alain Resnais, “L’année dernière à Marienbad” réalisé en 1961, et d’y glisser sa plume d’écrivain. Pour n’exclure aucun lectorat et aider les personnes qui n’auraient pas vu le film, des extraits de ce dernier sont présents tout au long de son roman-nouvelles, écrits en bleu. L’auteur apporte ainsi des images en “patchwork” à son livre.

“L’année dernière à Marienbad” est un film composé d’énigmes. C’est aussi ce qui caractérise l’oeuvre de Pascal-Henri Poiget. D’abord incompréhensibles, puis qui se dénouent petit à petit, les deux œuvres proposent autre chose que du “déjà vu”. Ce qui explique cet aspect déroutant est l’omniprésence du jeu.

La vie est un long jeu tranquille

Le jeu de Marienbad (à l’origine le jeu de Nim) est un jeu de stratégie, un peu comme le jeu d’échecs ou le jeu de dames. L’objectif est de trouver la bonne stratégie et de faire perdre l’adversaire. Si on connaît l’astuce du jeu, on gagne à tous les coups. Dans son film, Alain Resnais utilise ce jeu comme fil conducteur, pour faire vivre ses personnages, pour construire ses énigmes, pour mener ses actions etc…

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Pascal-Henri Poiget reprend cette idée de structuration/déstructuration mais dans le style littéraire. En effet, au fil des pages, il offre au lecteur des clefs, qui l’aident à s’orienter, à comprendre, à imaginer et à se repérer dans cet univers spatio-temporel. Il est important que l’imagination du lecteur ne soit pas bridée.

L’auteur confie :

L’idée est de reprendre le principe du “jeu” qu’Alain Resnais développe dans son film tout en amenant ma plume de littéraire.

L’amour… est-ce un jeu ?

Le jeu de Marienbad illustre surtout l’histoire d’amour présente, à la fois dans l’oeuvre cinématographique d’Alain Resnais, et dans le roman-nouvelles de Pascal-Henri Poiget. Effectivement, deux personnes se rencontrent et semblent avoir vécu une aventure l’année précédente. C’est, en tout cas, ce que l’homme va tenter d’expliquer à la femme…

Alors : vérité ? Mensonge ? Ou simple jeu ?

C’est ce que Pascal-Henri Poiget raconte, avec beaucoup de rebondissements et de moments inattendus, dans son oeuvre littéraire. La fin du roman-nouvelles ne nous donne pas clairement la réponse, l’auteur a préféré laisser la liberté au lecteur de décider s’il souhaite une “happy end” ou non.

Un auteur atypique, une oeuvre atypique

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Après un double diplôme de Lettres Classiques et d’Etudes appliquées de Civilisations, Pascal-Henri Poiget poursuit ses études en troisième cycle par des recherches en littérature et civilisation française. Il s’est pourtant ensuite réorienté vers une carrière exclusivement axée sur les chiffres et les Ressources Humaines.

Épris de musique et de littérature, en parallèle de sa vie professionnelle, Pascal-Henri Poiget se remet à l’écriture et rédige trois ouvrages de management. “Le jeu de Marienbad” est son premier roman, publié avec l’accord des Editions de Minuit.

Un roman-nouvelles

Pour sa première oeuvre littéraire, l’auteur a choisi le format roman-nouvelles. En effet, il peut se lire de 2 manières différentes :

- Par nouvelles, séparément

- Sous forme de roman, dans sa globalité

Que ce soit l’un ou l’autre, la facilité de lecture ne diffère pas.

Entre revisite et modernité

Alain Resnais avait cette volonté de toujours écrire des films en leur apportant une aura hors du commun, qui sortent les spectateurs des sentiers battus. Pour son oeuvre littéraire, Pascal-Henri Poiget a également vu différemment : il l’a publiée en ebook.

Que les lecteurs férus de papier se rassurent, cela ne change en rien la lecture de ce roman-nouvelles, qui se dévore littéralement !

Vous trouverez donc “Le jeu de Marienbad” en disponibilité sur la plateforme Alterpublishing.

En savoir plus

Ebook disponible sur la plateforme Alterpublishing

Publié avec l’accord des Editions de Minuit

Sites web : www.lejeudemarienbad.com / www.lejeudemarienbad.fr

Contact presse

Pascal-Henri Poiget

Email : pascal.poiget@alterpublishing.com

Téléphone : 0670019079

 

 

 

Dimitri Loose signe un premier roman : La carte oubliée – Lancelot

La Carte Oubliée aurait pu être un court-métrage. Pour le plus grand plaisir des lecteurs, c’est un roman ! Webdesigner, infographiste 3D et scénariste, Dimitri Loose a choisi la littérature pour écrire une intrigue fantastique saupoudrée de surnaturel, une mythologie originale basée sur les cartes à jouer…  Lancelot est le 1er tome de cette épopée, disponible en version papier et kindle.

Et si les événements de l’Histoire n’étaient que les conséquences d’une partie de cartes…

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Formidable épopée fantastique contemporaine basée sur l’univers du jeu de cartes, La Carte Oubliée comporte 4 tomes. Le 1er, Lancelot, est d’ores et déjà disponible en versions papier et kindle.

Dans un univers empreint de poker et de surnaturel, Dimitri Loose a imaginé une mythologie originale basée sur les cartes à jouer. Au fil d’une complexe intrigue, ses personnages hauts en couleur, souvent blasés, révèlent la part qu’ils ont gardé au fond d’eux pour accepter le merveilleux.

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Caractéristiques techniques :

  • Catégorie : Roman
  • Genre : Fantastique contemporain
  • Format : 15,25 x 22,86 cm
  • Pages : 362
  • ISBN : 979-10-92942-00-2

Disponible sur Amazon : http://www.amazon.fr/Carte-Oubliée-1-Lancelot-Dimitri-Loose/dp/B00EWSD2D8/ref=la_B00EX60EOO_1_1?s=books&ie=UTF8&qid=1385377438&sr=1-1

Tarif broché : 19,22 € - Tarif Kindle : 2,99 €

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A propos de l’auteur, Dimitri Loose

Né dans les années 80, Dimitri Loose fait partie de cette génération qui a baigné dans la pop culture. Comics, bandes dessinés, mangas, littérature fantastique, jeux de rôles, etc. ont façonné son univers.

De Philip K Dick en passant par Stephen King, Toru Fujisawa, Yochiro Tagashi ou Tolkien, il définit de par ses influences, la lecture comme un univers, un voyage, une histoire…

Après des études en infographie 3D à Isart Digital, Dimitri Loose devient webdesigner pour diverses agences de communication sur Paris et Lille.

En 2008, il débute l’écriture d’un scénario destiné au court métrage. Au fil des pages, du temps et des voyages qu’il entreprend à travers l’Europe de l’Est en 2012, Dimitri Loose décide de se libérer des contraintes du court métrage pour offrir une plus grande liberté à l’histoire qui le hante depuis plusieurs années.

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Ils ont lu le 1er tome…

“Où est la suite ? C’est la pensée qui nous traverse lorsque l’on ferme le livre. Très sincèrement, j’ai adoré l’univers dépeint, les intrigues exposées, le fil de l’histoire, la fluidité de la narration, l’aspect fantastique très habilement manipulé par l’auteur. Ce récit à l’originalité savoureuse nous entraîne dans une aventure palpitante, il est difficile de prévoir les rebondissements, et encore plus de deviner la suite de l’histoire ! Je recommande chaudement et j’espère très vite lire la suite”.

Ysiad

“Je recommande vivement ce roman pour tous les lecteurs amateurs de thriller et de fantastique. Si vous n’y connaissez rien en jeu de carte comme moi, pas de souci vous comprendrez sans problème et serez fasciné par l’intrigue, l’histoire part dans plusieurs directions sans jamais nous perdre, les personnages sont attachants et l’auteur nous fait profiter de son expérience touristique afin nous faire voyager pour notre plus grand plaisir.  Le tome 2 n’est pas encore écrit ? Zut…je fais quoi en attendant ??”

Laloux

Pour en savoir plus

Site web : www.lacarteoubliee.com

Pour contacter Dimitri Loose

Mail : dimitri.loose@live.fr

Tél. 06 41 83 41 15