Supamar lance son support d’amarre novateur, pour des accostages en toute sérénité

L’accostage d’un bateau est une étape particulièrement délicate pour les plaisanciers. La réussite de la manœuvre dépend de plusieurs facteurs, dont la puissance et la direction du vent, et la présence ou non de bateaux sur lesquels s’appuyer.

L’inquiétude monte vite quand on n’arrive pas à correctement crocheter les amarres, souvent lancées trop loin sur un quai qui menace la coque fragile du bateau. Malgré la gaffe, les équipiers sont ainsi souvent mis en difficulté par l’éloignement de l’amarre.

C’est donc pour aider les plaisanciers à accoster que Dominique Garand a créé la marque Supamar, qui propose des supports d’amarre innovants.

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Le concept Supamar

La société « Supamar », nom qui est la contraction de « support d’amarre », propose des équipements totalement novateurs. Ceux-ci présentent aux plaisanciers les amarres, facilement saisissables à la main depuis leur bateau. Les amarres sont suspendues au-dessus de l’eau au lieu d’être couchées sur le quai. Aujourd’hui, aucun autre produit similaire n’existe sur le marché.

Trois équipements différents sont disponibles, pour satisfaire chaque type d’accostage :

  • Les quais ou pontons avec le support “Supamar” qui surélève les amarres et les avance de 1 mètre au-dessus de l’eau.
  • Les catways avec le support “Supamar” qui surélève les amarres à l’extrémité du catway à deux mètres de haut.
  • Les pieux avec le support “Supamar” qui permet de laisser des amarres à poste.

Chaque équipement peut disposer d’une lampe solaire avec un éclairage en longueur pour le catway, et un éclairage circulaire pour les quais, pontons et pieux. Les accostages de nuit sont ainsi facilités tout comme les débarquements entre le bateau et le quai.

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Supamar, mode d’emploi

Le support d’amarres Supamar s’utilise en trois étapes simples :

  1. On crochète les amarres de poste suspendues avec la gaffe, avant le nœud d’arrêt. Cela permet de disposer de 2,5 à 3 mètres de distance avant le quai.
  2. On saisit les amarres et on les fixe aux taquets du bateau. Si on est seul, on peut laisser de la distance pour seulement crocheter la pendille.
  3. On crochète la pendille avec la gaffe, et on règle le mouillage du côté chaine mère, avant de finir de tendre les amarres de poste.

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Les avantages de Supamar

Supamar a pour mission de faciliter la manœuvre d’accostage. Avec ce système, les amarres restent à poste : c’est comme si on disposait en permanence d’un équipier sur le quai. Les plaisanciers peuvent ensuite installer tranquillement leurs propres amarres.

Le support d’amarre est ergonomique, pour aider à la mise en place des amarres lors du départ. La pendille est suspendue et avancée, pour plus d’aisance, et les amarres sont munies d’un nœud d’arrêt.

Le support d’amarres Supamar apporte également une sécurité précieuse : les amarres sont lestées afin de rester bien en place, et il n’y a aucun risque pour les hélices. Enfin, les supports sont esthétiques : ils s’intègrent bien dans les ports, et évitent l’encombrement des quais.

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À propos de Dominique Garand, fondateur de Supamar

Plaisancier depuis près de 30 ans, Dominique Garand habite sur un port. Ce grand amoureux des bateaux et des manœuvres fait régulièrement voguer son 18 pieds, et aime aussi observer les grands bateaux de 40 pieds et plus accoster à quai.

Il s’est ainsi aperçu que, malgré leurs deux moteurs et leur propulseur d’étrave, les grands bateaux rencontrent eux aussi bien souvent des difficultés au moment de l’accostage. « Il reste toujours ce moment particulier où il faut aller à la pêche aux amarres jetées toujours trop loin sur ce quai si inquiétant et solide par rapport à la coque si fragile », explique-t-il.  C’est ainsi qu’il a eu l’idée d’inventer un support d’amarres novateur et de lancer la marque Supamar.

Le support d’amarres n’est pas la première invention de Dominique, qui aime créer des choses nouvelles en partant d’observations quotidiennes. Entrepreneur de nature, il a créé une entreprise d’orthopédie en 1983, à l’âge de 24 ans, et a inventé le corset lombaire « Octopussy » et le releveur de pied en carbone « Dynergie ».

Conquis par Supamar, les professionnels du nautisme ont demandé à Dominique d’imaginer un support pour catway, puis un support pour pieu, et enfin une solution d’éclairage, qui est souvent modeste sur les quais éloignés des zones animées où se trouvent les restaurants.

Cinq ans de recherche et de développement ont été nécessaires pour obtenir des produits aboutis et testés en situation. Dominique compte faire connaître Supamar dans le monde entier, en commençant par les ports maritimes et fluviaux de toute la France.

Pour en savoir plus

Site web : http://www.supamar.com

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