Art Can Die : Une exposition artistique d’ampleur internationale est financée exclusivement par la vente d’une cryptomonnaie.

Art Can Die est une société web3 qui connecte des artistes, des collectionneurs et des passionnés et qui produit des projets artistiques.

Son Président et co-fondateur l’avocat international Jean-Marc Goossens nous explique :

Art Can Die organise sa première exposition d’art, The New Ark Exhibition, à partir du 1er septembre prochain à Bangkok.

Nous exposerons durant 6 semaines les œuvres de 13 artistes internationaux sur 600 m² à River City qui est l’un des centres artistiques les plus connus d’Asie.

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Affiche de l’exposition avec le mystérieux artiste Dir Jacq

C’est la première fois qu’une exposition artistique de cette ampleur est financée exclusivement par la vente d’un token et nous avons reçu les patronages officiels des ambassades de France et de Belgique à Bangkok, ainsi que celui du Ministère de la Culture de Thaïlande.

L’ambassadrice de Belgique va inaugurer officiellement l’exposition le 1er septembre et nous venons de recevoir la confirmation de la présence de l’attaché culturel de France et de celle du Ministre de la Culture de Thaïlande.

En ma qualité d’avocat médiateur international (ndlr : en plus de sa spécialité blockchain/crypto) avec une longue expérience inter-culturelle, je peux vous assurer qu’obtenir le soutien officiel et la venue du ministre en personne pour le coupé du ruban rouge est exceptionnel en Thaïlande et surtout pour un projet international.

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Me Jean-Marc Goossens et Me Gaël Boven

Mr Goossens, qui est aussi professeur invité à l’université de management de Singapour (SMU), poursuit : Au-delà du caractère exceptionnel de cet événement du point de vue artistique, j’aimerais aussi souligner ce qu’il apporte au monde de la crypto.

On entend encore souvent, par ignorance et même par crainte de cette révolution, que les cryptomonnaies n’auraient aucune valeur sous-jacente. Depuis la suppression de l’étalon or, c’est la confiance qui est la valeur sous-jacente de toutes les monnaies, qu’elles soient des monnaies fiat ou des cryptomonnaies.

Fabriquer un billet de cent dollars coûte seulement 16 cents. Les 99,84 dollars restants, c’est de la confiance. La confiance que l’on a dans la première économie mondiale, sa politique, ses dirigeants. Prenez le bolivar vénézuélien, il ne vaut pratiquement rien car les gens ont perdu confiance dans leur économie et leurs dirigeants.

Les monnaies fiat comme le dollar ou l’euro n’ont donc de valeur que dans la mesure où les gens pensent qu’elles ont de la valeur puisque leur émission se fait sans garantie d’échange en or (comme c’était le cas sous le système de l’étalon or). C’est donc totalement subjectif et il n’y a pas de différence avec les cryptomonnaies sur ce point, contrairement à ce que certains voudraient faire penser.

Notre exposition à Bangkok montre notre savoir-faire et notre solide modèle économique. Les principes fondamentaux de ART CAN DIE sont ancrés dans l’art physique. Nous produisons d’abord la pièce physique, puis nous la dupliquons en numérique sous forme de NFT. Cela nous permet, contrairement à d’autres projets, d’avoir des fondamentaux solides et de nous positionner sur un marché en plein essor, tout en tirant parti des deux mondes.

Ce caractère “phy-gital” nous permet de nous distinguer des autres projets cryptos et de donner la confiance que cherche tout investisseur. Les temps incertains que nous vivons nous permettent de nous distinguer positivement de la concurrence qui n’a pas ou trop peu de connexions avec le monde réel.

Pour en savoir plus

Site web : https://www.artcandie.com

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