Edith PIAF OLYMPIA 61- Le concert mythique de la star interprété par Nathalie ROMIER au théâtre Montmartre Galabru DATE SUPPLÉMENTAIRE : Jeudi 12 mai à 21H30

 dfh

C’est un hommage inédit à Edith PIAF que nous dévoile Nathalie ROMIER en nous faisant revivre le dernier concert de la dame en noir à l’Olympia.

À la suite du succès des trois premières dates, une date supplémentaire est ajoutée. Ce sera le 12 mai prochain au théâtre Montmartre Galabru à 21H30.

Réservations ouvertes !

Nathalie ROMIER, artiste plurielle, considérée comme l’une des meilleures interprètes du répertoire de la môme reconstitue la date mythique du dernier concert de PIAF.
Renouant avec le même univers visuel et les mêmes chansons, dans le même ordre de passage, le spectacle sera une réplique du récital que PIAF délivra à son public en 1961.
L’artiste n’imite pas PIAF mais l’interprète avec émotion et sincérité en se rapprochant au plus près du personnage mythique de son modèle, portant ainsi la même robe et se drapant d’une intensité au plus proche de l’irremplaçable star.
Le public pourra ainsi redécouvrir le mythe PIAF et replonger dans l’atmosphère unique de cet Olympia.

Le dernier Olympia

En 1961, Edith Piaf n’a plus envie de faire de la musique. Ses plus gros succès sont déjà loin derrière elle (La Vie En Rose est sortie 15 ans plus tôt) et la chanteuse ne veut même plus monter sur scène. Pendant ce temps, l’Olympia, alors dirigé par Bruno Coquatrix, est au bord de la faillite après un enchaînement d’annulations à la dernière minute ainsi que des choix douteux.

Quelques mois avant qu’Edith Piaf monte sur la fameuse scène parisienne, Gilbert Bécaud annule tous ses concerts prévus à l’Olympia. C’est un nouveau coup dur pour la salle de concert qui traverse une mauvaise passe, et qui est alors forcée d’organiser des spectacles de cirque. C’est lorsque les troubadours se retrouvent à faire des pirouettes devant dix personnes que la situation devient réellement catastrophique pour la salle. Dès lors, une seule solution s’offre à Bruno Coquatrix pour sauver l’Olympia : appeler l’une de ses vieilles amies, Edith Piaf.

Coup de bol pour Coquatrix, alors que la Môme vit des moments difficiles, elle accepte. L’unique raison de cette réponse positive ne tient qu’à une chanson : Non, je ne regrette rien. Ce morceau, composé par Charles Dumont (musicien détesté par Piaf à l’époque) et écrit par Michel Vaucaire, a été proposé à la chanteuse quelques semaines seulement avant l’appel de détresse de l’Olympia. Lorsqu’elle l’entend pour la première fois, c’est le coup de foudre. Cette chanson lui correspond à merveille et Edith Piaf décide de l’interpréter pour son retour sur scène à l’Olympia, le 29 décembre 1960.

La Môme signe pour trois mois de concerts chaque soir sur la célèbre scène parisienne.
Édith sauve l’Olympia de la faillite, mais a du mal à se tenir debout et à bouger du fait de sa polyarthrite très invalidante, et ne réussit à chanter que grâce à une importante perfusion de morphine.

La voix dans la peau

Originaire d’Angers, Nathalie ROMIER va vouer très tôt une admiration sans borne pour PIAF. C’est cette passion pour la môme et la chanson française en général qui l’entrainera très tôt à se produire dans une multitude de cabarets parisiens dont, Le Limonaire, le Canotier du Pied de la Butte, le Don Camilo… Elle va parcourir la France de long en large mais aussi en parcourant le monde ou elle sera la digne ambassadrice de la chanson française dans de nombreux festivals ou en accompagnant en son temps le président Chirac lors de manifestations culturelles.

Réservations :

TICKETAC-BILLETREDUC-TICKETMASTER

fgbhdfh  cfdbxfbn

dfh

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Vous pouvez utiliser ces balises et attributs HTML : <a href="" title=""> <abbr title=""> <acronym title=""> <b> <blockquote cite=""> <cite> <code> <del datetime=""> <em> <i> <q cite=""> <strike> <strong>