« Once upon a Time in 2024 », le calendrier d’art subaquatique rétro, glamour et à tirage ultra limité par Harry Fayt

Esthétiquement aboutie, symbole du patriotisme US, sensuelle et populaire, l’image de la pin-up, quoi que rétro, est imprimée dans la mémoire collective de tout un chacun.

Véritable icône artistique des années 40, les poses et tenues des pin-up suggéraient la séduction, sans toutefois dépasser les limites de la décence, tendant à faire d’elles l’idéal féminin de l’époque.

Revisitant le mythe de sa griffe artistique unique, Harry Fayt, chantre de la photographie subaquatique, sublime aujourd’hui l’élégance et l’attrait de ces créatures tout droit sorties des années 40 à travers une pièce artistique inédite, le Calendrier « Once upon a Time in 2024 », composé de 12 œuvres éditées sur 14 feuilles de papier cartonné haute de gamme et limité à 200 exemplaires.

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Un premier essai réussi pour Harry Fayt

Limité à 200 exemplaires, le tout premier calendrier d’art de Harry Fayt ne déroge pas à la ligne créatrice qui a fait sa marque de fabrique : la photographie subaquatique.

Prestigieuse s’il en est, composé de 12 images inédites, intemporelles et de premier choix, cette nouvelle série de photographies, présentée sous la forme d’un calendrier inédit est le fruit d’une année de travail et fait d’ores et déjà l’objet d’une campagne de financement participatif.

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12 œuvres de haute facture réunies au sein d’un calendrier inédit

Œuvre d’art à part entière, « Once upon a Time in 2024 » conjugue, à lui seul, toutes les facettes que requiert la création artistique, et qu’un public, même averti, peut avoir du mal à appréhender sous toutes les coutures.

Outre le travail et signature artistique, reconnaissable parmi cent autres, la création de Harry Fayt s’appuie sur la dévotion sans faille des modèles, des plongeurs assurant leur sécurité, des maquilleuses, assistants et autres stylistes, sans oublier la location des piscines publiques nécessitant d’être entièrement privatisées pour la réalisation des œuvres.

Ce projet est le résultat de nombreuses collaborations avec des personnes géniales qui me suivent dans mes délires artistiques et qui supportent mes stress d’artiste depuis plus de 12 ans. Toutes ces personnes m’ont donné beaucoup de leur temps, et je ne pourrai jamais leur être assez reconnaissant pour leur présence indispensable.

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Un irrépressible besoin de fraîcheur et de légèreté

Suite à la morosité des années que la pandémie a savamment déversé sur l’ensemble de la population mondiale, Harry Fayt a éprouvé un irrépressible besoin de fraîcheur et de légèreté.

Post crise sanitaire, l’idée d’« Once upon a Time in 2024 » tombe donc à pic.

Back to the 40’s

Enfourchant sa machine à remonter dans le temps, direction les USA des années 40, l’artiste y croise des personnalités inspirantes et « géniales » (sic) dont Bruce Mozert, pionnier de la photographie subaquatique.

Cette rencontre donne à Harry Fayt l’envie de se plonger dans cette pratique – la photo subaquatique – ainsi qu’au cœur de cette fabuleuse époque des 40’s.

Le grand Mozert lui présente alors sa sœur, Zoé Mozert…

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De fil en aiguille, la force, l’insouciance et l’indépendance des pin-up se dessinent en toile de fonds

Poursuivant sur la lancée de son frère, Zoé Mozert introduit Harry Fayt auprès d’Earl Morran, de Harry Eckman, ainsi que de l’énorme Gil Elvgren.

Le point commun à ces 3 artistes mondialement reconnus ?

Tous trois ont travaillé pour Brown & Bigelow soit, le plus gros éditeur de calendrier des années 40 avec, pour vedettes, des pin-up !

Morran, Eckman et Elvgren peignaient, avec brio, ces représentations de femmes sublimés, sexy et parfois maladroites, que les militaires accrochaient allègrement aux murs et dont la publicité raffolait.

Ainsi, après une période plutôt sombre, Harry Fayt souhaite saupoudrer notre ère d’une once d’une époque désormais révolue et ramener, au cœur du quotidien, joie de vivre, insouciance et légèreté, le tout accompagné d’un soupçon de nostalgie, via la mise en scène de pin-up subaquatiques, mais toujours détentrices de ce qui a toujours fait leur charme : la force, l’indépendance, la beauté, la sensualité à peine masquée ainsi que le côté décalé… le tout, en poussant le bouchon jusqu’au bout en proposant un calendrier.

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Une ambition grandement influencée par l’altruisme de l’artiste

1 calendrier.

12 images.

200 exemplaires.

Au-delà de cette présentation, l’ambition première de ce projet reste cependant de proposer un véritable objet d’art constitué d’un calendrier très exclusif de 42×52 cm, limité à 200 exemplaires, à celles et ceux appréciant le travail de Harry Fayt et, surtout, désireux d’acquérir des pièces de premier choix, sans nécessairement disposer des moyens leur permettant de s’offrir une œuvre à plusieurs milliers d’euros.

L’artiste profite pleinement de l’occasion pour asseoir un peu plus sa notoriété et proposer une toute nouvelle série originale.

Enfin, toutes les images restent, bien évidemment, disponibles sous la forme de tirages d’art limités.

À noter : il est possible de recevoir, sous format PDF, un exemplaire du calendrier en basse définition.

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À propos de Harry Fayt

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Originaire de Charleroi en Belgique, Harry Fayt obtient d’abord, en 1998, un diplôme en photographie publicitaire.

Son parcours professionnel l’emmène, par la suite, vers le portrait, où il photographie d’abord des musiciens grâce auxquels il étudie et s’imprègne de la physionomie des émotions.

Peaufinant son art, Harry Fayt se tourne alors vers la photographie de famille…

Son rite initiatique vers l’autre monde, celui de la photographie subaquatique, Harry Fayt le passe en immortalisant des bébés nageurs.

L’histoire s’accélère ensuite : en 2012 il rencontre l’auteure-interprète Typh Barrow et revient à son premier amour, le portrait d’artiste… sous l’eau !

Enrichi de cette singularité, il multiplie les expérimentations grâce auxquelles il donne naissance, aujourd’hui, à de nouvelles images.

Aimant plus que tout repousser les frontières d’un monde qu’il a lui-même façonné, Harry Fayt poursuit toujours le même objectif : questionner, étonner et élargir le champ des possibles.

Pour en savoir plus

Site web : http://www.harryfayt.com

Facebook : https://www.facebook.com/HarryFaytunderwater

Instagram : https://www.instagram.com/harryfaytunderwater

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