Le cabinet d’avocats Lexial lance une permanence et offre un premier conseil juridique gratuit aux victimes du wokisme et de MeToo

Sommes-nous tous concernés par les dérives du wokisme ? Force est de constater que certaines situations contreviennent déjà au droit français.

Récemment, une université a refusé d’inscrire certains étudiants à un atelier d’informatique parce qu’ils étaient des hommes (source). Un syndicat étudiant, par la voix de sa présidente, a légitimé les “réunions non-mixtes”. Parfois, notamment en milieu universitaire, l’obligation d’utiliser l’écriture inclusive va jusqu’à… l’exclusion pour ceux qui ne s’exécutent pasDes statues de Napoléon ou de Churchill sont déboulonnées. Quant à MeToo, si la dénonciation calomnieuse n’est pas la règle, elle concerne au moins 2% des cas, ce qui est énorme en termes de milliers de vies détruites (source).

Me Emmanuel Ruchat, fondateur de Lexial, a pu constater de plus en plus souvent chez certains de ses clients les dégâts provoqués par de telles dérives.

C’est pourquoi Lexial met en place, à partir du 16 octobre 2023, une permanence visant à donner un premier conseil juridique gratuit aux victimes du wokisme au sens large. Les victimes d’actes woke se sentent impuissantes en termes de moyens de réaction, surtout lorsqu’elles font face à des attaques sur les réseaux sociaux.

Pourtant, il existe des outils juridiques, dont on parle étrangement peu. L’objectif de la permanence Lexial est ainsi de les informer sur ces outils.

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Une initiative inédite en France

Alors que certaines mairies envisagent de proposer ce type de permanences, Lexial est la première société d’avocats à franchir le pas. Avec un objectif : expliquer à toutes les victimes du wokisme quelles sont les premières démarches à accomplir.

Car elles ignorent trop souvent qu’elles ont des droits ! En matière de MeeToo, c’est la dénonciation calomnieuse prévue par l’article 226-10 du code pénal, et surtout la défense de la présomption d’innocence face au tribunal des réseaux sociaux. Concernant l’écriture inclusive, il est possible de s’appuyer par exemple sur la circulaire ministérielle du 21 novembre 2017, la loi Toubon de 1994, ou les précisions de l’Académie française, bien qu’elle n’ait pas de pouvoir juridique stricto sensu. Les réunions non-mixtes quant à elles sont sujettes à des actions en discrimination.

À propos de Lexial

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Lexial a été créé en 2007 par Emmanuel Ruchat dans un esprit d’innovation, avec la volonté de mettre en œuvre une approche résolument moderne de la pratique du droit. Le cabinet possède des bureaux à Paris, Bruxelles et Genève.

Ses domaines de prédilection sont le droit pénal et l’immigration d’affaires.

Site web : https://lexial.eu/

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