Londres, décembre. La neige recouvre les toits, les vitrines scintillent, et les pubs débordent de chaleur, de musique et de confidences. Dans l’air flotte ce mélange d’allégresse et de mélancolie propre à la fin d’année, quand la fête s’installe comme un refuge contre la grisaille. Au cœur de cette ville traversée de rires, d’ombres et de lumière, un jeune barman observe la foule. Chaque nuit, il sert des histoires qu’il ne vit plus. Jusqu’au soir où un visage du passé réapparaît et fissure le réel.
C’est là que commence Les Fabuleuses Hallucinations de Théodore Simmons, le roman immersif et visuel d’Oli Ondor, une œuvre unique enrichie de plus de 80 illustrations cinématographiques qui plongent le lecteur au cœur des scènes comme dans un film.
Entre réalisme urbain et imaginaire poétique, l’auteur entraîne le lecteur dans une odyssée intérieure, au croisement de la fête, du rêve et de la quête de sens. L’hiver y devient le décor d’une transformation, et la période de Noël, celle d’une métamorphose intime : un moment où la magie n’appartient plus aux contes, mais à ceux qui acceptent de traverser leurs propres illusions.
À la fois récit initiatique, aventure émotionnelle et expérience visuelle, Les Fabuleuses Hallucinations de Théodore Simmons s’impose comme une lecture de saison, idéale pour celles et ceux qui aiment retrouver, sous la neige et les lumières, la part de mystère qui relie encore l’imaginaire au réel.

Un roman entre deux mondes : quand la fête devient frontière
Les Fabuleuses Hallucinations de Théodore Simmons s’ouvre comme un film : des verres qui tintent, une foule en liesse, des éclats de rire, la neige qui tombe derrière les vitres.
Théodore, jeune barman londonien, observe ce spectacle chaque soir.
La fête est sa routine, son échappatoire, son mirage.
Mais dans cette euphorie de fin d’année, un événement impossible survient : il croit revoir Lana Blackwood, son amour disparu depuis des années.
La poursuite de cette vision l’entraîne sous la surface du monde.
Dans les tunnels glacés et les ruelles oubliées de Londres, où résonne encore l’écho de la fête, il découvre le Monde d’en bas, un univers parallèle où se mêlent rêveurs, artistes, esprits mythologiques et âmes en quête de lumière.
Un lieu aussi fascinant que dangereux, où chaque fête dissimule une épreuve, et où chaque visage devient le reflet d’une peur.
Lorsqu’un monstre remonte des profondeurs des océans et effleure Théodore de son venin, le transformant peu à peu. Théodore sombre alors dans une série d’hallucinations prophétiques où il entrevoit le retour de la Mère des Monstres, entité annonciatrice de la fin du monde.
Son périple devient une traversée initiatique, une quête de sens dans un univers de miroirs, d’ombres et d’illusions.
L’univers des Fabuleuses Hallucinations : un Londres magique et chaotique
Ce roman, c’est d’abord une expérience sensorielle.
Londres, ici, n’est pas un simple décor : c’est une entité vivante, vibrante, traversée de mystères.
Les pubs humides, les rues enneigées, les reflets de néons dans les flaques : tout y respire la poésie du chaos.
Entre le réalisme du monde contemporain et l’imaginaire des grandes sagas, le roman invente un genre hybride.
Il évoque tour à tour :
- la magie secrète d’Harry Potter ;
- la mythologie urbaine de Percy Jackson ;
- la flamboyance et la décadence de Gatsby le Magnifique ou Babylon.
Mais ici, la fête n’est pas un décor ; elle devient symbole.
Elle représente la société moderne, fascinée par le mouvement et le bruit, mais hantée par un besoin de sens.
Le roman parle de cette tension : entre euphorie et chute, entre apparence et vérité.
Sous sa dimension fantastique, Les Fabuleuses Hallucinations interroge nos propres vertiges : qu’est-ce qui nous pousse à fuir ? À aimer ? À rêver ?
Une écriture cinématographique : lire comme on regarde un film
Avant d’être romancier, Thomas Jeanjean, connu sous le nom d’artiste d’Oli Ondor, est un vidéaste, et cela se ressent à chaque page.
Le texte déploie un rythme visuel : panoramiques sur la ville, travellings dans la nuit, gros plans sur des émotions fugitives. Les scènes s’enchaînent comme des séquences de cinéma, guidées par la lumière et la musique.
Cette écriture sensorielle plonge le lecteur dans une expérience quasi visuelle : on entend la pluie, on sent la neige fondre sur les doigts, on perçoit la chaleur des foules et la solitude qui s’installe après la fête. Le roman se lit comme un scénario intérieur, un film que chacun projette dans sa propre imagination.
Cette approche a d’ailleurs séduit les lecteurs en ligne : les vidéos immersives créées autour de l’univers du roman ont déjà cumulé plus de 100 000 vues et généré plus de 3 000 clics vers le lien d’achat.
L’amour, la perte et la renaissance : les véritables moteurs du récit
Derrière les hallucinations et la mythologie, il y a un cœur battant : l’amour.
Pas un amour tranquille ou apaisé, mais un sentiment qui bouleverse et consume.
Lana Blackwood, figure fantasmée et réelle à la fois, incarne cette tension entre lumière et douleur.
Théodore, en la suivant, ne poursuit pas seulement un fantôme : il cherche à se retrouver lui-même.
Le roman devient alors une parabole du dépassement, une invitation à affronter ses propres abîmes.
L’amour y est la clef, la musique y est la respiration, et l’imaginaire, la dernière arme contre la peur.
Oli Ondor y explore les thèmes de l’amitié, de la filiation, de l’art et de la résilience.
Chaque personnage, chaque épreuve, devient une manière d’explorer la fragilité humaine et la beauté de la transformation.
Extrait
Alors que le serpent colossal fonçait vers lui, Théodore, armé de l’épée de Flamma, était prêt à en découdre. Monté sur la selle de sa moto, il se dressa, armé de courage, les larmes aux yeux causées par le froid et la vitesse. Sa chevelure flottait au vent, et une partie de son tatouage luminescent émergeait de sa manche. Dans un moment de silence tendu, le monstre émergea, ouvrant grand sa gueule. Théodore sauta alors courageusement dans la gueule béante de la bête, un gouffre mortel de dents acérées. Lana s’écria d’horreur : « Non ! » tandis que Théodore chutait dans les profondeurs humides et sombres de la gueule du serpent. Une dent plus longue que les autres le blessa gravement au dos. Après une longue chute, il atterrit dans l’obscurité du tunnel caverneux du serpent. L’odeur était insupportable, il sortit un bandana pour se protéger. Les lumières de son tatouage brillèrent, lui permettant de voir à l’intérieur de la créature. Dans les profondeurs obscures du monstre, Théodore progressa armé de son épée, guidé par le battement puissant du cœur de la bête. Au loin, dans la lumière rougeoyante, il aperçut le cœur palpitant de la créature.
De la nuit à la lumière : la genèse du projet
C’est dans les bars londoniens que tout a commencé.
Thomas Jeanjean, originaire du sud de la France, quitte sa région à vingt ans pour voyager : Londres, l’Australie, Ibiza, le Mexique , les Alpes.
Derrière les comptoirs, il découvre le monde de la nuit : ses excès, ses paradoxes, sa poésie brute.
À Shoreditch, il travaille dans un bar devenu son observatoire.
Les artistes côtoient les punks, les banquiers discutent avec les poètes, les rêveurs se perdent dans la musique.
Cette collision d’univers devient la matière première de son imaginaire.
C’est là, entre deux commandes, qu’il commence à écrire.
Sur les tickets de caisse, il note des fragments, des images, des visages.
Petit à petit, le Monde d’en bas prend forme : un lieu où toutes les contradictions du réel se rejoignent.
À 21 ans, il publie une première version du roman en autoédition. L’univers venait de naître.
Love Is The Cure : une constellation artistique
Autour du roman, Thomas Jeanjean a fondé son propre studio artistique : Love Is The Cure.
Ce collectif réunit création littéraire, visuelle et musicale, dans le but de construire une mythologie moderne cohérente.
Sous le nom d’artiste Oli Ondor, il développe des projets complémentaires :
- Des courts-métrages et vidéos cinématiques ;
- Une série en développement, The Mirror World, inspirée de l’univers du roman ;
- Des films indépendants où la fête, la chute et la beauté se répondent ;
- Et des visuels IA immersifs qui prolongent les mondes qu’il écrit.
La série The Mirror World, pensée pour un public jeune adulte, explore l’idée d’un monde miroir où nos vérités prennent une autre forme.
Entre l’introspection de Black Mirror et le mystère de Stranger Things, elle incarne l’ambition d’Oli Ondor : faire dialoguer le texte, l’image et l’émotion.
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Univers visuel et narratif du roman : https://www.instagram.com/lesfabuleuseshallucinations.ts
Studio artistique Love Is The Cure : https://www.instagram.com/love.is.the.cure





