Pour Hécate, sorcière à Paris, Lucifer n’est ni bobo ni 2.0…

Au Moyen-Âge, on aurait certainement brûlé Hécate pour les pratiques qu’elle revendique.

Mais avec l’arrivée des nouvelles technologies et d’Internet, la situation s’est inversée… Longtemps pratiquée par des femmes et des hommes rejetés de la société, la sorcellerie s’est “démocratisée” aux dépens de tout acquis sérieux de connaissances et de savoir.

Dans un futur pas si lointain, nous verrons tous ces « néo-sorciers » pétitionner sur le niveau trop élevé de leurs « MOOC en ligne » qui ne leur ont pourtant pas permis de transformer leur vilain crapaud de petit ami Facebook en Prince Charmant dans la vie réelle.

Mais Hécate n’en a cure : elle qui aide ses consultants depuis les années 80, observe l’évolution de la société en matière de sorcellerie avec un œil amusé.

Souvent reprise par les séries télévisées, l’image de Lucifer est assombrie par l’iconographie chrétienne, pourtant très éloignée de ses origines historiques d’ange déchu, puisqu’il est en vérité très distant du Diable.

Loin de la Sorcellerie féministe et politique des mouvements traversant notre siècle, Hécate, avec l’indépendance qui la caractérise, pense malgré tout que chacune et chacun peut revendiquer sa liberté de pensée, de croire et d’agir sur son destin.

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La sorcellerie, une pratique rituelle à des années lumières de la révolution numérique

A l’heure du tout virtuel, de l’ultra-rapide et de l’éphémère, la Doyenne des sorcières de France se moque bien de la tendance à l’hyper-connexion. Elle sourit  quand elle voit des apprentis sorciers se lancer dans des consultations en ligne, et encore plus quand leurs clients réalisent la supercherie…

…tout simplement parce que Lucifer et les puissances occultes ne sont pas des geeks que l’on convoque avec une baguette magique 2.0 !

Hécate souligne :

Depuis 35 ans que j’exerce la sorcellerie, j’ai acquis une certitude : rien ne remplacera jamais le savoir-faire ni le dialogue et l’écoute. Pour résoudre un problème, encore faut-il prendre le temps de bien le comprendre ! C’est cette qualité d’attention qui fait la différence, puisque c’est elle qui va permettre de déterminer le choix du rituel à mettre en place.

Il ne s’agit pas de faire n’importe quoi : en tant que sorcière, Hécate a une lourde responsabilité, puisqu’elle est l’Intermédiaire entre les Forces Occultes invoquées et l’action à réaliser.

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Un art ancestral qui exige une réelle maîtrise technique

Oubliez tout ce que vous avez toujours cru savoir sur la sorcellerie. Hécate ne vous recevra pas juchée sur un balai ni avec une chouette sur l’épaule !

Loin des contes et des légendes, la sorcellerie est un art séculaire qui exige un long apprentissage pour être réellement assimilée.

Pour Hécate, tout a débuté lorsqu’elle avait une quinzaine d’années. Adolescente, elle se rebelle pour refuser et réfuter les dogmes traditionnels selon lesquels « l’existence serait une vallée de larmes ».

Elle qui a été élevée dans la tradition catholique prend alors une décision qui va changer son existence : elle va consacrer sa vie à la pratique de la sorcellerie.

Cet art fascinant et inquiétant lui est enseigné par les Maîtres Octave Sieber, Grand Prêtre Luciférien, Yull Rugga, Grand Maître français de la Wicca Occidentale, et Anubis, Grand Maître de l’Église Belge de Satan (aujourd’hui décédés). Ils ont initié la jeune femme selon le courant luciférien à l’antique tradition du « Porteur de Lumière » et à l’art délicat de faire dévier le cours du destin.

Suivre cette formation “à l’ancienne”, dans la plus pure tradition de l’occultisme, lui prendra plus de 10 ans…

La charmante sorcière Hécate confie :

A la façon des Compagnons du devoir, il faut travailler dur et longtemps pour maîtriser cet art qui ne peut se transmettre qu’oralement et qu’à un petit nombre d’élèves par maître. Savoir suggérer et modifier les courants d’ondes qui nous entourent ne s’improvise pas !

Pour modifier le cours naturel des choses, Hécate utilise tout un arsenal d’outils  : les statuettes de cire appelées Dagydes, le poignard, le feu, l’encens, l’eau, et parfois du sang (toujours celui de la sorcière)… mais aussi des instruments secrets qui la lient à la chaîne ancestrale de ses maîtres.

Un travail d’initiée qui a d’ailleurs été remarqué par Dominique Camus, Docteur ès science de l’École de Hautes Études en Science Sociales (EHESS), ancien enseignant à l’université de Rennes I et chercheur au LADEC (LAS) à l’université de Rennes II. Fasciné par les pratiques magiques dans la France contemporaine, il a fait la part belle au savoir-faire de la sorcière Hécate dans son livre “Magiciens et Sorciers – Enquête sur des citoyens au-dessus de tout soupçon” (L’Apart édition – 240 pages couleurs).

Lucifer au secours des maux de notre époque

Dans l’antre d’Hécate, les demandes se succèdent… Venus de toute l’Europe francophone et de tous les âges, tous viennent faire appel à sa science de l’occulte et à son savoir-faire incomparable.

Il y a des chefs d’entreprise qui veulent booster leur chiffre d’affaires et/ou éloigner la concurrence, des consultants à la recherche de solutions pour se sortir d’une impasse, des amoureux(ses) voulant donner un second souffle à leur couple qui bat de l’aile, des cœurs brisés qui souhaitent voir revenir l’être cher…

Tous partagent la même volonté : réagir pour ne plus subir. Et avec Hécate, ils profitent d’une grande liberté de ton.

Hécate confirme :

On peut presque tout me dire ! Qu’il s’agisse de rituels d’amour ou de haine, pour la richesse ou la faillite, la puissance ou la déchéance, la vie et, pourquoi pas, la mort… Je suis toujours à l’écoute. Mais c’est toujours moi, en dernier ressort, qui décide si l’action demandée est en accord avec ma vision des mondes.

Hécate propose deux types de consultations :

  • La consultation en cabinet : chacun(e) vient exposer sa situation, expliquer ses motivations et souhaits. La sorcière Hécate, toujours attentive, garantit une grande confidentialité en ne recevant que sur rendez-vous.
  • L’étude par correspondance : pour tous ceux/celles qui n’ont pas la chance de pouvoir se déplacer en cabinet, Hécate accepte le courrier postal. Une lettre manuscrite contenant toutes les informations, accompagnée d’éléments matériels (photo, mèche de cheveux, etc.) permettra à Hécate de « ressentir » la situation avant de prendre contact avec son expéditeur.

Pour en savoir plus

Site web : https://www.hecate.fr

 

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