À l’approche de Noël, Le Droit de Perdre présente ses nouveaux jeux : Speed Letters et Mes amis sont…

Incontournables pour passer des soirées conviviales, les jeux de société font de jolis cadeaux pour petits et grands. Cette année, Noël sera placé sous le signe des trésors de la langue et de l’humour transgressif, avec deux nouveautés de l’éditeur Le Droit de Perdre.

Avec Speed Letters, un jeu de lettres vitaminé, le but est de recomposer des mots qui valent de l’or, tandis qu’avec Mes amis sont…, les joueurs plongent dans la tête des internautes pour retrouver, à partir des débuts de recherche, un maximum de suggestions de fin relevées sur le web.

Ces deux titres originaux et innovants s’inscrivent parfaitement dans la ligne éditoriale du Droit de Perdre et feront le bonheur des amateurs de jeux d’ambiance décalés.

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Speed Letters : une palpitante course de lettres

Un jeu divertissant et didactique

Imaginé par l’auteur Erwan Morin, Speed Letters invite les joueurs à partir à la conquête des trésors de la langue. Ce jeu d’ambiance pour 2 à 5 joueurs, à partir de 7 ans, est basé sur un concept simple et addictif, qui a immédiatement convaincu Le Droit de Perdre.

Speed Letters a pour avantage d’être facile à prendre en main, tout en se corsant rapidement, grâce à quelques twists dans la règle. Il demande de mémoriser des mots, d’écouter les autres joueurs, et d’agir vite.

L’aspect didactique du jeu a été récompensé à l’été 2021 par le trophée Educaflip, remis à l’occasion du festival international des jeux de Parthenay par un jury d’enseignants.

Le but : recomposer un mot lettre par lettre, en simultané

Chacun a devant lui un paquet de 26 cartes avec chaque lettre de l’alphabet. Les joueurs découvrent ensemble un mot sur une carte « Trésor » et mémorisent chaque lettre qui le compose, cette carte étant ensuite cachée dans un coffre au trésor, au centre du jeu.

Mains dans le dos, « 3, 2, 1, Go ! » : chacun se rue sur ses cartes Lettre et dès qu’un joueur trouve dans son paquet une lettre faisant partie du mot-trésor, il la dépose dans le coffre en la prononçant à voix haute. Les joueurs doivent agir vite, mais écouter les autres attentivement, car il ne faut pas déposer de lettres en trop !

Une partie de Speed Letters se joue en 5 tours, le nombre de lettres augmente de tour en tour. Les parties pour adultes commencent ainsi avec un mot de 8 lettres et se terminent avec un mot de 12 lettres. Le jeu contient aussi des cartes Trésor Junior avec des mots beaucoup plus accessibles, composés de 6 à 10 lettres.

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Un astucieux système de récompense

Pour le décompte, les joueurs révèlent les lettres une par une, dans l’ordre dans lequel elles ont été déposées. Il y a trois niveaux de pierres précieuses : les 5 premières lettres rapportent chacune une perle qui vaut 1 point, et les suivantes rapportent d’abord des pépites (2 points), puis des rubis (3 points).

Ce système fait de Speed Letters un jeu de « stop ou encore » promettant de nombreux rebondissements. Les plus audacieux – ceux qui posent des lettres vers la fin alors qu’il devient difficile de se souvenir de ce qui a déjà été posé – peuvent empocher de belles récompenses et doubler les plus rapides, mais ils peuvent aussi perdre gros, car chaque lettre posée en trop fera perdre des pierres, à commencer par les plus précieuses.

Le joueur avec le butin qui vaut le plus de points remporte la carte Trésor mise en jeu. À la fin de la partie, le joueur qui a remporté le plus de trésors est déclaré vainqueur.

À propos de l’auteur

Erwan Morin est, depuis de nombreuses années, magicien et artiste de spectacles vivants. Passé récemment à la création de jeux, il y consacre désormais l’essentiel de son temps, porté par une imagination prolifique et des titres à succès tels Le Clan Arc en Ciel chez Haba, Cupcake Academy chez Blue Orange ou Speed Colors chez Lifestyle.

Pour Speed Letters, il a d’abord contacté Le Droit de Perdre par e-mail. Immédiatement séduite, l’équipe éditoriale lui a répondu dans l’heure qu’il avait réussi à créer un « accès ludique, simple et efficace à l’un des trésors de la langue française : ses mots oubliés ».

Un an et demi plus tard, à l’été 2021, Speed Letters est devenue une belle pépite dans le catalogue Le Droit de Perdre, offrant 230 mots charmants et atypiques, à découvrir selon 50 thématiques originales.

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Mes amis sont… le jeu de brainstorming survolté

Un jeu inspiré par les suggestions automatiques sur Internet

Créé par les auteurs Benoit Turpin et Romaric Galonnier, Mes amis sont… est un jeu pour 3 à 11 personnes, à partir de 16 ans. Dans un moteur de recherche, lorsqu’on écrit le début d’une phrase, des suggestions apparaissent automatiquement. Par exemple, si on tape « mes amis sont… », la suite peut être « …morts », « …ma famille » ou « …hypocrites .

Avec Mes amis sont…, les joueurs doivent trouver en 40 secondes un maximum de fins suggérées. En tout, le jeu contient 300 débuts de phrase croustillants et variés, pour lesquels 6 suggestions automatiques ont été sélectionnées. Le jeu prend immédiatement et provoque des crises de rire et de stupéfaction, car les recherches les plus populaires sont souvent très décalées.

Sorti en octobre 2021, Mes amis sont… s’est déjà écoulé à plus de 10 000 exemplaires en un mois à peine.

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Le principe : deux équipes cherchent à penser comme Internet 

Les joueurs désignent un arbitre et se répartissent en deux équipes. L’arbitre pioche une carte Recherche, dont il lit uniquement le début – par exemple « Comment faire semblant de… » (exemple dans l’illustration ci-dessous) - puis il retourne le sablier de 40 secondes.

Les deux équipes font alors autant de propositions qu’elles le souhaitent pour trouver un maximum de suggestions parmi les 6 notées sur la carte de l’arbitre. Ce dernier dispose de jetons, qu’il distribue dès qu’un joueur vient de donner une réponse valable.

À l’issue des 40 secondes, chaque équipe avance d’une case par bonne réponse. La piste de score est habilement intégrée à la boite de jeu, avec deux pions qui se déplacent le long de la tranche. Dès qu’une équipe a amené son pion sur la case finale, la partie est terminée.

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Un jeu qui concilie humour et réflexion

Mes amis sont… invite les joueurs à se lâcher et dire beaucoup de bêtises, qui parfois correspondent à de vraies recherches et parfois feront surtout rire toute l’assemblée. Les suggestions indiquées dans le jeu proviennent en tout cas toujours d’authentiques recherches populaires, repérées sur le web, même si les auteurs précisent utilement que ces résultats peuvent varier selon les tendances ou l’historique et la localisation des internautes.

Ce jeu fait ainsi pénétrer les joueurs dans une dynamique psychologique intéressante : pour gagner, il faut se mettre à la place d’un internaute moyen. Mes amis sont… est donc également un miroir de notre société. Il résume l’époque en montrant qui nous sommes à travers ce que nous cherchons sur le web, et plus subtilement encore à travers ce que nous pensons que les autres cherchent…

Mes amis sont… se joue rapidement, les parties s’enchaînent. Les joueurs peuvent changer d’arbitre et continuer de vivre, à travers les nombreuses cartes du jeu et les projections qu’elles engendrent, un condensé d’émotions explosif.

À propos des auteurs

Mes amis sont… réunit deux auteurs qui ont percé dans le monde du jeu de société ces dernières années. Benoit Turpin est notamment à l’origine de la série des jeux Welcome chez Blue Cocker, tandis que Romaric Galonnier a publié entre autres Profiler chez Cocktail Games.

C’est en 2016 que le duo a rencontré la maison Le Droit de Perdre, lui présentant au Festival des jeux de Cannes un prototype intitulé « Comment j’ai rentré mon… », déjà basé sur les suggestions de recherche web. Benoit et Romaric ont ensuite développé la mécanique pour aboutir à un concept rapide et grand public.

Ils ont ensuite construit une immense base de données pour finalement sélectionner les 300 meilleures cartes et 1800 suggestions correspondantes, donnant ainsi naissance à un jeu générationnel, qui fait penser au jeu télévisé « Une famille en or » dans une version à la sauce web… avec plus de piment et d’interactions !

Le Droit de Perdre : la maison d’édition de jeu à l’humour irrévérencieux 

Le Droit de Perdre a été fondé par François Lang et Fabian Olive qui, après des études respectives en relations internationales et ressources humaines, ont décidé de s’épanouir dans le domaine créatif. Ensemble, ils s’essaient à l’écriture et au théâtre, avant de trouver leur voie dans le jeu de société humoristique.

En 2009, la jeune maison d’édition publie son premier jeu, Questions de merde : le jeu qui commence là où l’intelligence s’arrête. Le public est au rendez-vous : le jeu se vend à plus de 180 000 exemplaires et est traduit en plusieurs langues.

Depuis, Le Droit de Perdre a lancé une quinzaine de nouveaux jeux, avec plusieurs titres qui se sont fait une belle place dans le paysage ludique, notamment les best-sellers Taggle et Comment j’ai adopté un gnou, ou encore Buzzer F*cker, Crazy Theory, Kiki va sortir les poubelles ? et I am a banana.

Pour en savoir plus

Site web : http://www.ledroitdeperdre.com

Facebook : https://www.facebook.com/ledroitdeperdre

Instagramhttps://www.instagram.com/ledroitdeperdre/

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