Nouveau roman de Charly Barbier : Le Faussaire. Ou l’histoire d’un homme qui raconte à son procès pourquoi et comment il va vous arnaquer…

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C’est l’histoire d’un voleur magnifique auquel rien ne résiste, avec une seule quête en filigrane : l’amour de sa vie. Un procès retrace le parcours de ce faussaire envoûtant, coupable d’avoir dupé des célébrités, ainsi que la présidente de la République, dont il était devenu l’ami.

Butin : cent millions d’euros !

Ce caméléon, c’est Benalla, Spaggiari et Rocancourt en un seul homme. Il encourt quinze ans de prison et nous raconte ses vies, ses mobiles, sa méthode, ses victimes, mais aussi ceux qu’il a aidé.

C’est le récit d’un séducteur, du glamour aux paillettes en passant par la peur et la honte, avec une question omniprésente : l’arnaqueur charmeur est-il un prédateur ou un escroc au grand coeur ?

Note d’intention

Le Faussaire est un roman d’aventures et une histoire d’amour qui, à l’ère du complotisme et des Deep Fake, pose la question de notre époque :
Peut-on encore distinguer le vrai du faux ?

La vérité n’existe pas ! La vérité dépend des points de vue, comme l’ont mis en évidences des films tels que Rashomon (Kurosawa) ou Citizen Kane (Welles).

Les contrefaçons sont un témoignage de chaque époque, un symptôme qui bouscule nos identités, nos libertés, nos peurs et nos dogmes, tout en facilitant nos économies.

De La casa de papel (2017) à Lupin (2021), de Franck Abagnale (Catch me if you can, 2002) à Madoff, les arnaqueurs s’attaquent à nos raisonnements et à nos valeurs, mais ils nous captivent ! Le Faussaire est un livre dynamique, plein d’émotions, de rebondissements et de personnages attachants, mais il a l’ambition d’interroger le lecteur sur sa propre capacité à recevoir un récit, à nuancer ses certitudes.

Bien que la formule soit – par définition – une arnaque, l’histoire « s’inspire de faits réels » : des postiches, de l’acide pyrogallique, des stratégies bancaires aux « exploits » d’anonymes ou de célébrités, tels que BENALLA, SPAGGIARI, ou ROCANCOURT. L’objet n’est en aucun cas de glorifier les faussaires et les arnaqueurs, mais d’autopsier et de démythifier leurs méthodes.

Le concept

Un roman qui raconte l’histoire d’un arnaqueur,
dont la narration ne peut être qu’une arnaque !

Jérémy Médiana, l’anti-héros, c’est le Magnifique (de Broca, 1973), un Belmondo 2.0 atteint d’un trouble de l’identité, un charmeur incurable et un mythomane pathologique. Il se confesse au-delà des plaidoiries et nous relate « sa version des faits » avec tendresse, mêlant sincérité, lucidité, et mensonges… Il fantasme une relation amoureuse passionnelle, mais incompatible avec ce qu’il est, un escroc.

Toute escroquerie repose sur la complicité – involontaire ou non – de la victime. Drôle, envoûtant et extravaguant, Médiana est un conteur : un griot ! De son box, le prévenu agit sur le lecteur, comme avec ses proies… Il vous charme, vous fascine et vous offre ce que vous désirez, ce pourquoi vous le lisez : romance, tensions, peurs, exploits et rebondissements, relatés avec franchise, humour et connivence, afin d’assurer le processus d’identification.
Comment ne pas l’aimer ?
Comment lui faire confiance – si ce n’est déjà fait ?
Comment discerner le vrai du faux ?

Comme tout bon escroc, Médiana est un personnage d’autant plus dangereux qu’il est terriblement humain, tragique et attachant. Incapable de s’assumer, ce caméléon rêve sa vie comme un film et, cinéphile, il se prend pour ses héros favoris ; non-violent, il ment, crée, triche et joue la comédie pour résoudre tous ses conflits dans un cycle infernal, tendu par une arche de plus en plus dramatique :

Les histoires d’escrocs, il le sait, ça finit souvent mal !

En dupant le lecteur, Médiana fait du récit une mise en abîme d’un « vrai faux », à travers la réalité du métier d’escroc : un Arsène Lupin qui se ferait passer pour un éblouissant « Robin des Bois des temps modernes », parce que simplement prêt à tout pour être aimé.

Les personnages

L’ANTI-HÉROS :

Jérémy Médiana est un falsificateur et menteur dans l’âme, avec un talent qui n’a d’égal que son culot. Cinéphile, il imite Belmondo comme Bruce Willis depuis son plus jeune âge, et s’invente autant d’univers que de personnages. Tantôt escroc génial, tantôt arnaqueur au grand cœur, il se perd toujours par amour ; c’est son élément déclencheur ! Tour à tour, agent immobilier, notaire, producteur, pilote, espion, faux-monnayeur, puis ex-soldat d’élite reconverti en politique, Jérémy Médiana entourloupe tout et tout le monde, y compris le lecteur !
Il ira aussi loin que possible, comme un cri du cœur. Un appel au secours d’un séducteur qui se sait malade et totalement irrésistible… donc inarrêtable.

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L’AUTEUR :

Scénariste français, Charly Barbier est né en 1984 au Gabon et a vécu en Asie et en Afrique. Il rentre en France après le coup d’État du Général Gueï en Côte d’Ivoire, en 2000, et intègre les classes préparatoires (Lettres) à Saint-Cyr, puis une formation audiovisuelle. Il est l’auteur d’un téléfilm et de deux romans sur l’âge d’or de la piraterie, doublés d’une chasse au trésor : Le Trésor de Levasseur.

Pour en savoir plus sur Le Faussaire :

Version papier : 340 pages à 14,99€

Version eBook à 3,99€

Lien page de vente : https://vu.fr/nhzb

Lien chapitres gratuits : https://amzn.to/3FAjvqz

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