Réponse aux propos diffamatoires sur Le Lab de l’Endo dans l’émission « Les gourous de l’endométriose ou comment exploiter la souffrance des femmes »

La SAS SANAFLOW dément vivement les propos diffusés sur FRANCE INTER(Groupe Radio France) décriant son site Internet « Le Lab de l’Endo » dans l’émission du samedi 5 novembre 2022 intitulée « Les gourous de l’endométriose ou comment exploiter la douleur des femmes ».

Sujet : Polémique liée à la vente de produits naturels complémentaires à la médecine traditionnelle pour les femmes souffrant des symptômes pouvant être liés à l’endométriose.

Dans l’émission de radio du 5 novembre 2022 intitulée « Les gourous de l’endométriose ou comment exploiter la douleur des femmes », la journaliste Laetitia CHEREL de France INTER déclare publiquement que Le Lab de l’Endo exploite « le filon » de la naturopathie au détriment des femmes.

Ces accusations sont graves et totalement infondées.

En premier lieu, la journaliste insinue que l’expérience professionnelle antérieure en marketing chez Christian Dior de notre co-gérante lui aurait permis d’apprécier le caractère lucratif d’une activité commerciale, sans avoir même effectué et présenté la première des recherches objectives, à savoir les chiffres relatifs aux bénéfices de l’entreprise.

Pour étayer ses propos diffamatoires, la journaliste a, entre la 6ème et la 7ème minute, volontairement coupé une vidéo en ligne des deux co-fondateurs, précisément le passage suivant :

« Sur notre site les femmes vont trouver de l’information, du conseil, du partage avec d’autres femmes pour vraiment reprendre leur santé en main ».

Ce passage, volontairement tu aux auditeurs, atteste pourtant de la conception par les fondateurs de leur objet entrepreneurial originel et prioritaire : devenir un intermédiaire entre des femmes qui souffrent de maux identiques.

En effet, l’activité principale du Lab de l’Endo n’est pas la revente de produits mais avant tout de proposer du contenu pour libérer la parole, rediriger les femmes vers les professionnels pertinents, et sensibiliser la jeune génération sur les réseaux sociaux (Instagram, tiktok, notre média). Cette activité, purement bénévole, correspond à 50% de l’activité totale des co-fondateurs. Ceci avait d’ailleurs été précisé dans les réponses écrites faites par l’entreprise aux questions de la journaliste mais cette dernière a, là encore, choisi de tenir ces propos secrets.

La co-gérante de l’entreprise avait même évoqué, dans les éléments de réponse communiqués, son but ultime : « Pouvoir vivre mieux, mais aussi aider d’autres femmes à vivre mieux est donc ma plus belle victoire ».

On est donc ici bien loin d’un but purement lucratif.

En second lieu, les produits présentés à la vente par le Lab de l’Endo ne sont que des produits testés et approuvés par la co-fondatrice elle-même, qui les partage à la Communauté de femmes souffrant d’endométriose ou de symptômes associés. Ces produits viennent donc au soutien d’un relais d’expérience et d’entraide, en complément d’un accompagnement médical et pluridisciplinaire.

Sur les prix des produits cités, la journaliste fait part de produits moins chers « du même type ». Mais, outre le caractère subjectif de la comparaison, les produits cités vendus par Le Lab de l’Endo sont quasi-exclusivement des produits de revente, donc avec des prix que les co-gérants ne peuvent pas modifier. Il peut sans conteste exister moins cher si on va sourcer les composants pour faire la recette soi-même, directement dans une épicerie, mais les femmes n’y trouveront pas le même travail de sensibilisation et de partage communautaire associé. Après, si le professeur interviewé par la journaliste le souhaite, il est bien sûr libre à lui d’en conseiller de son côté.

Seule la tisane est un produit sur lequel notre entreprise a eu une part décisionnelle en termes de fixation de prix, de manière débattue avec le partenaire fabriquant qui fait notamment appel à des conseils de pharmaciens botanistes et aromaticienne pour développer cette formule unique (ce partenariat implique donc de facto un prix plus élevé que s’il était vendu chez un pharmacien botaniste directement en officine).

Le fait de comparer notre prix avec un prix en herboristerie ne prend pas en compte le fait que les herboristeries ne sont pas nombreuses, que toutes les femmes n’y ont pas forcément accès, et surtout qu’elles n’ont pas forcément l’envie ou le savoir pour créer des recettes elles-mêmes. Notre tisane constitue dès lors pour elles, à tout le moins, une bonne alternative.

En troisième lieu, concernant les allégations thérapeutiques (renvoyant à un « soulagement de la douleur ») qui figuraient sur les fiches-produits du site Internet du Lab de l’Endo, c’est notre co-fondatrice qui, de toute bonne foi, souhaitait initialement faire part aux internautes de ce que tel ou tel produit avait eu comme effet positif sur elle au regard de sa pathologie propre, mais il ne s’agissait en aucun cas de présenter les produits en question pour des médicaments.

Nous étions justement en contact, avant même la diffusion de l’émission de France Inter, avec l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM), laquelle travaillait sur la validation des correctifs apportés au site et demeure tout à fait encline à collaborer avec notre jeune entreprise en vue d’éviter de nouveaux impairs. De plus, les packagings des produits ne parlent jamais d’endométriose, les produits n’étant donc pas présentés comme conçus pour la pathologie. La réglementation sur les médicaments est donc parfaitement respectée. Le fait d’avoir avancé que les produits du Lab de l’Endo devraient être enregistrés en tant que médicaments était donc un avis subjectif et mal renseigné, seul quelques termes sur les fiches produits étaient à corriger.

En quatrième lieu, il est à souligner que l’ANSM n’accepterait pas de collaborer avec ce que la journaliste appelle des « gourous de l’endométriose ». D’ailleurs, en aucun cas les co-fondateurs du Lab de l’Endo ne s’estiment être des chefs de secte, surtout que les femmes souffrant d’endométriose ne constituent pas un groupe sectaire. Il s’agit d’une maladie réelle et scientifiquement établie concernant une large partie de la population féminine.

En cinquième lieu, le Lab de l’Endo ne propose pas de « pseudo thérapie », que ce soit par le jeûne ou autre pratique controversée en termes d’inoffensivité. Il ne propose que des produits naturels, inoffensifs par les propres dires du professeur interrogé par France Inter, même s’il n’en demeure pas moins que la naturopathie est encore trop souvent décriée. Cependant, chaque patient.e a le droit de faire appel à des traitements naturels s’il le souhaite. Et nous envoyons notre soutien à tous les thérapeutes compétents grâce auxquels des femmes se sentent mieux au quotidien, qui ont été injustement assimilés à des charlatans dans ce reportage à charge.

La désinformation induite par France Inter est d’autant plus dommageable que le secteur de la e-santé est à la fois plein d’espoir pour les patients et les professionnels de santé mais aussi rempli de risques à anticiper. Il est donc fort dommage de perdre du temps à décrier des petits acteurs eux-mêmes inoffensifs lorsque le patient est par ailleurs confronté à de potentielles tromperies par d’autres plus agressifs.

La co-fondatrice a donné des pistes à la journaliste, suite à ses questions avant la diffusion de l’émission, sur de réelles dérives de traitements de l’endométriose dont elle avait souffert, comme une majorité de femmes de sa communauté, et encore une fois la journaliste a préféré passer sous silence ces informations importantes qui auraient dû figurer dans cette enquête à charge.

Nous appelons donc les media à être vigilants dans le traitement de l’information sur ce sujet sensible. Le Lab de l’Endo reste à la disposition de tous ceux qui souhaitent traiter de cette thématique mais avec sincérité et responsabilité.

Pour en savoir plus

Site web : https://www.lelabdelendo.com/

Instagram : https://www.instagram.com/lelabdelendo/

TikTok : https://www.tiktok.com/

LinkedIn : https://www.linkedin.com/company/75402427/admin/

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