“La maison des Alizés” de Didier Voyenne : bien plus qu’un roman, un chemin de vie inspiré et inspirant qui est aussi une ode à La Réunion

“Aristide m’avait dit un jour que la vie est un fusil à un coup sans savoir quelle est la bonne cible à atteindre et que la balle tirée lorsque l’on naît suit la ligne que la mire a tracée pour se ficher là où elle doit aller ; et que, même si l’on atteint le mille, l’on n’a pas forcément gagné. Mais, après m’avoir laissé d’abord et comme d’habitude dans un abîme de perplexité où il me plonge à chaque fois qu’il m’assène une telle sentence, il ajouta, dans son accoutumé grand rire, que, certes, si la trajectoire de la balle est inflexible, la cible elle peut bouger – pas facile à suivre, non ? –. Il avait raison : Alizé était la nouvelle cible de ma vie.”

La Réunion, terre de tolérance et d’équilibre, sera-t-elle la terre de rédemption et de renaissance des protagonistes de cette histoire ? Car si le destin est le leurre de ceux qui n’attendent rien de leur vie, la destinée est pour d’autres ce qu’ils font de la leur ? Parce que seuls ces derniers peuvent entrer dans la maison des Alizés…

Le roman de Didier Voyenne “La maison des Alizés” vient d’être publié par les éditions AlterPublishing.

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Sommaire

Époque 1 

  • Le toit bleu
  • La tempête
  • Sotto il sole d’Italia
  • Vento del sud
  • Vendetta
  • Ritorno
  • Pluie tropique
  • Tango

Époque 2 

  • L’arbre du voyageur
  • Rêve
  • Le passage des baleines
  • Sur les pentes du volcan
  • L’âne et le puits
  • Memento mori
  • Et le bonheur va
  • Aimons en restant vivants
  • Vivons en restant aimants
  • Épilogue

Extrait

“Le bonheur est ennuyeux, seul le désir du bonheur peut rendre heureux. On ne désire pas ce qui est bon, est bon ce que l’on désire. Le chemin vers la destination est bien plus agréable que l’atteinte de celle-ci. Tant que l’on a faim, on a envie de manger, une fois rassasié, on n’a plus rien à satisfaire. J’ai cherché à être heureux sans y parvenir. Le faut-il d’ailleurs ? Ici, je n’ai que le désir et, peut-être, celui d’exister. D’aucuns disent que l’on n’existe que dans le regard des autres. Du moins, c’est ce que je croyais avant d’arriver ici. Depuis lors, j’apprends à exister par moi-même et pour moi-même avant que de vouloir exister pour les autres. L’altruisme ne peut se concevoir sans une bonne dose d’égoïsme. Tel un bouddhiste, j’apprends à m’aimer moi-même pour aimer les autres, rejetant l’amour-propre, fait d’orgueil, pour l’amour de soi, fait d’humilité. Je comprends que je dois d’abord me préserver avant de préserver les autres. Jusqu’alors, j’avais fait l’inverse et n’étais parvenu à rien ! Là, je reprends les choses par le bon bout : moi-même !

La première chose que je décidai en arrivant dans cette maison fut de la balayer. Non que cela fût nécessaire, car Georgette fit bien les choses et avait laissé tout dans un ordre et dans une propreté sans reproche, mais parce que j’avais besoin de balayer ma vie d’avant dans la poussière de mes souvenirs comme si celle-ci était mêlée à celle de ceux de la case. Chaque geste du balai fait de branches de vacoa, qui ne soulevait aucune poussière, me faisait accumuler ici et là de tout petits fragments de pierre de lave. En fait, je faisais des petits tas des restes de ma vie d’avant pour plus tard les répandre dans la nature ainsi que l’on fait des cendres des défunts qui, en s’éparpillant, assure que plus rien, ni personne, ne pourra de nouveau les rassembler et leur redonner forme.

La deuxième chose fut d’abandonner mon téléphone portable – pardon mon smartphone dont l’intelligence semble résider uniquement dans la capacité à nous abêtir, non, pire encore, de nous soumettre à sa volonté – et ce qui va avec, les réseaux sociaux, je veux dire ceux d’Internet, car ceux bâtis sur des échanges directs, faits de chair et d’os, de parole et de souffle, de senteur et de toucher, ceux-là me paraissent non pas indispensables, mais vitaux ; alors que les premiers font que, ô paradoxe, on ne communique plus, malgré les dizaines de chats, les centaines de likes et les milliers de contacts quotidiens de friends qu’on ne voit jamais, ou seulement leurs photos retouchées assorties de mensonges assénés comme des vérités, et qui ne sont même pas des connaissances.”

Portrait de Didier Voyenne

 

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Après ses diplômes à l’ESSEC et au CNAM, où il a enseigné depuis en parallèle, Didier Voyenne a exercé une vie professionnelle intense dans diverses entreprises industrielles ou de services, dans les domaines comptables et financiers. Il a également co-écrit sur cette matière des ouvrages techniques.

Pendant plus de vingt ans, il a pratiqué les échecs en compétition. Cependant, le théâtre, le cinéma et la littérature sont ses centres d’intérêts personnels, et l’écriture son envie profonde.

Il a écrit quatre romans et deux pièces de théâtre.

À propos d’AlterPublishing

La maison d’édition AlterPublishing est née en 2012, à une époque où l’édition numérique était en plein essor. Dès ses débuts, cet éditeur « nouvelle génération » adopte des engagements forts : éditer des ebooks et des livres papier sans passer par le réseau de distribution des librairies traditionnelles, et répartir les droits d’auteur à égalité entre l’éditeur et l’auteur, dès le premier volume vendu.

AlterPublishing s’efforce par ailleurs de réduire son impact sur l’environnement, en privilégiant l’édition numérique et en éditant ses livres papier à la demande afin d’éviter le gaspillage.

Ce positionnement avant-gardiste et égalitaire a séduit de nombreux auteurs. Le catalogue d’AlterPublishing couvre ainsi de multiples domaines : littérature et fiction, culture et société, LGBT, scolaire et universitaire, BD et jeunesse, art de vivre, nature et loisirs, et savoirs.

Aujourd’hui, AlterPublishing représente une véritable alternative au circuit de l’édition traditionnelle. Ses ouvrages jouissent d’une belle visibilité sur les plateformes en ligne Amazon, Fnac, iBook, Amazon Kindle, Kobo Raluten et Nook.

Informations pratiques

“La maison des Alizés” de Didier Voyenne

  • Éditeur : AlterPublishing
  • Sortie : 4 septembre 2023
  • Dimensions : 13.97 x 1.42 x 21.59 cm
  • ISBN-13 ‏: ‎979-8859359981
  • Pages : 246
  • Prix : 17,10 €

En savoir plus

Découvrir le livre : https://www.alterpublishing.com/fr/la-maison-des-alizes.html

Facebook : https://www.facebook.com/AlterPublishing

Instagram : https://www.instagram.com/alterpublishingbooks/

Edilivre lance le premier concours littéraire avec l’intelligence artificielle ChatGPT

Et si les Patrick Modiano, Amélie Nothomb, Pierre Lemaître ou Marie Ndiaye de demain étaient en réalité… des IA ?

Dans le petit monde des écrivains, l’arrivée de ChatGPT est une réalité qui suscite beaucoup de questions, de peurs et parfois de colère.

Le chatbot va-t-il se mettre à écrire des livres à la place de leurs auteurs ? ChatGPT pourra-t-il recevoir un jour le très convoité Prix Goncourt ? Éric Giacometti, scénariste des BD Largo Winch et auteur de plusieurs polars, n’hésite pas à parler d’un “pacte avec le diable” (source).

Pourtant, certains ont déjà franchi le cap, avec plus ou moins de bonheur. Alors que les maisons d’édition sont submergées de manuscrits rédigés par ChatGPT, de grands noms de la littérature commencent à témoigner de leur intérêt pour cette technologie. C’est notamment le cas de Mo Yan, prix Nobel de littérature en 2012, qui a avoué s’être appuyé sur l’IA pour écrire un discours et vaincre ainsi “l’angoisse de la page blanche” (source).

Dans ce contexte, la maison d’édition Edilivre organise le premier concours littéraire avec l’intelligence artificielle ChatGPT !

Du 12 septembre au 6 octobre, les auteurs et les autrices pourront lui envoyer leurs nouvelles rédigées avec le chatbot.

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Un concours expérimental de nouvelles pour démystifier l’IA

En proposant d’utiliser ChatGPT comme outil d’écriture innovant, Edilivre affiche un positionnement singulier dans le monde littéraire et de l’édition.

Son pari : s’écarter des polémiques et des craintes irrationnelles pour transformer cette technologie en alliée, en comprenant ses faiblesses, ses atouts et ses limites.

Son concours de nouvelles ne vise donc pas à inciter à recourir à l’IA pour écrire un ouvrage, mais à explorer les possibilités.

Nous voulons démontrer que ChatGPT est un outil ! Il ne peut actuellement pas produire des textes littéraires convaincants sans l’intervention et les instructions d’un auteur.

Les auteurs sont donc invités à participer largement à ce concours de nouvelles, en produisant des textes qui reflètent leurs talents de plume.

Pour guider les auteurs dans l’utilisation de ChatGPT, Edilivre organisera un webinaire dirigé par Alexandre Gefen, directeur de recherche au CNRS, critique littéraire et auteur de l’ouvrage “Vivre avec ChatGPT”. Le mercredi 20 septembre à 18h00.

Edilivre, une maison d’édition alternative engagée aux côtés des primo auteurs

Rachetée en 2022 par le Groupe d’édition Nombre7, la maison d’édition Edilivre favorise l’émergence de nouveaux talents depuis plus de 12 ans.

Sa force : offrir plusieurs possibilités d’édition aux auteurs, pour donner sa chance à chacun, après étude de chaque manuscrit par son comité de lecture.

Elle casse ainsi les codes d’un univers souvent hermétique en se revendiquant accessible et ouverte à tous. Un engagement qui se traduit aussi de façon très concrète par la gratuité de la publication des livres.

Très active sur les réseaux sociaux, elle organise de nombreux événements : concours littéraire, masterclass, spectacle, …

À taille humaine, cette belle maison d’édition est composée d’une équipe d’authentiques passionnés qui sont très attachés à la relation de confiance auteur-éditeur.

Les chiffres-clés

  • + de 44 500 livres publiés ;
  • + de 3 000 jeunes talents soutenus ;
  • Une communauté de + de 90 500 fans sur Facebook.

En savoir plus

Page web du concours : https://www.edilivre.com/concours-de-nouvelles-2023-le-prix-de-la-plume-virtuelle/

Site web : https://www.edilivre.com/

Facebook : https://www.facebook.com/Editions.Edilivre

Instagram : https://www.instagram.com/editions_edilivre/

LinkedIn : https://fr.linkedin.com/company/edilivre

Céline Musmeaux, la “Reine de la littérature pour jeunes adultes” selon Gala, publie son 100e roman

HPI littéraire, étoile montante de la jeune génération d’écrivaines qualifiée de “Reine de la littérature pour jeunes adultes” par la presse (Gala), la talentueuse Céline Musmeaux célèbre ses 10 ans d’écriture en publiant son 100ème manuscrit : “Laisse-moi m’envoler”.

Avec cette nouvelle romance, l’autrice à la plume addictive veut marquer les esprits pour mettre en lumière les dangers de la prédation, de l’emprise et de la violence dans le couple.

Dans cette histoire, qui est à la fois une mise en garde et une formidable ode à la liberté, Céline retrace l’histoire de Lysane, une jeune artiste tombée sous l’emprise d’un homme de 6 ans plus âgé qu’elle à la sortie de l’adolescence. Les lecteurs et lectrices vont découvrir son enfer, mais également la façon dont elle va réussir à s’en extirper avec l’aide de Lisandro et de son ami Rayan.

Publié dans la collection Soft Romance® des Éditions Nymphalis, ce 100ème roman marque la fin et le début d’un nouveau cycle.

Deux éditions sont disponibles, ainsi qu’un pack anniversaire :

  • L’édition superbement illustrée par l’autrice, en version brochée, à paraître en librairie ;
  • L’édition classique, en version brochée et numérique, à paraître le 15 novembre dans toutes les librairies et les e-librairies ;
  • Ainsi qu’un pack anniversaire au tirage limité à 100 exemplaires, à paraître le 4 novembre (le jour de l’anniversaire de Céline !), exclusivement sur le site des éditions Nymphalis.

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Synopsis

Après sa rencontre en ligne avec Florian, Lysane a rapidement vu son rêve de devenir illustratrice professionnelle tourner au véritable cauchemar.

Prise au piège dans cette relation toxique, elle regrette amèrement d’avoir été séduite par cet homme qu’elle idéalisait alors qu’elle n’avait que dix-sept ans et lui, vingt-trois.

Terrorisée en sa présence, elle accepte tout de sa part, même le pire, dans l’espoir qu’un jour il puisse redevenir celui dont elle pensait être tombée amoureuse.

Seulement, elle a beau faire tout ce qu’il lui demande, rien ne s’arrange. Cela devient même pire le jour où ils croisent la route de Lisandro, leur nouveau voisin.

Entre emprise, peur et violence, acceptera-t-elle la main tendue de cet étudiant en médecine qui semble avoir compris ce qu’il se passe dans leur couple ?

Extrait

Florian me prend la tablette des mains afin de contrôler mon travail.

— C’est bien. Tu as avancé rapidement. On pourra enchaîner sur le client suivant ce soir.

Dans une sorte de fierté malsaine, son approbation me réconforte.

— Tu trouves ? Il acquiesce en reposant mon outil de travail sur la table.

— Oui. Tu as vraiment beaucoup de talent, Lysane.

Les battements de mon cœur s’accélèrent, car au-delà du compliment, je sens bien qu’il désire me faire comprendre autre chose.

Il veut du sexe, hein ? Pour devancer sa demande, je fonds sur ma tablette et mon stylet en cafouillant :

— Je vais terminer ça alors. Il me masse les épaules puis il presse ma nuque entre ses doigts.

— Il n’y a pas le feu.

Je lui assure : — Je suis inspirée. Le fait que tu aies validé m’a motivée.

J’argumente : — Et puis, comme tu l’as dit, on a besoin d’argent. Donc, plus vite je terminerai, plus vite on recevra le deuxième paiement, puis l’acompte du prochain projet…

Florian tire mollement sur mes cheveux. Je ressens une sorte de peur qui me pousse à suspendre ma respiration. Aussi, quand il s’écarte pour repartir jouer, j’ai l’impression que je viens d’échapper à un prédateur pour les trente à quarante prochaines minutes.

Ce n’est vraiment pas la vie que j’espérais. Oui, en me mettant avec un mec plus âgé, je pensais trouver une forme de sécurité à ses côtés. Mais le rêve a rapidement tourné au cauchemar. Tout du moins, au fil des jours, des semaines, des mois, son masque a fini par tomber. Florian n’est pas tout à fait l’homme que j’idéalisais quand je l’ai rencontré, il y a trois ans…

Parce qu’il a remis son casque pour discuter avec ses copains en ligne, je me lève pour aller aux toilettes à mon tour. Je m’y enferme pour pleurer parce que je ne sais plus très bien quels sont les sentiments que j’éprouve pour lui.

Quand on est rentré en contact pour la première fois, j’avais dix-sept ans et lui, il en avait vingt-trois. Au départ, on échangeait par messages sur ce jeu sur lequel il passe ses journées. Et après, on est passé sur TchatApp, et on a commencé à être plus « intime ». J’étais heureuse qu’un gars plus âgé me complimente, et s’intéresse à moi. Alors, je lui ai montré mes dessins, et il m’a dit que j’avais un immense talent.

D’un échange à l’autre, j’ai fini par être séduite par son charisme, et j’ai cédé à ses approches. Moi, la lycéenne solitaire et rêveuse, j’attirais un mec bien différent des garçons de mon âge. Lui, il était un homme à mes yeux. Il était responsable et sérieux. Cependant, je ne suis plus très sûre d’avoir eu raison de tomber amoureuse de lui…

Zoom sur le pack collector

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Limité à 100 exemplaires, ce pack contient une édition illustrée par Céline, qui renoue ainsi avec sa passion pour le dessin. Elle a personnellement créé chaque visuel, sur la couverture et à l’intérieur du livre, ainsi que tous les objets dérivés.

Ce collector sortira le 4 novembre, le jour de son anniversaire, mais il est déjà disponible en pré-commande en exclusivité sur le site des éditions Nymphalis.

Il contient :

  • 1 livre de 428 pages dédicacé à la couverture illustrée par Céline Musmeaux ;
  • 15 illustrations réalisées par Céline Musmeaux ;
  • 1 marque-page (recto verso) ;
  • 1 carte (recto verso collection lecture A6) ;
  • 1 standee en acrylique de 10 cm (prix hors pack 15 €) ;
  • 1 porte-clés de 6 cm (prix hors pack 6 €).

Prix : 34,90 €.

Portrait de Céline Musmeaux

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Née à Marseille en 1986, Céline Musmeaux se passionne depuis son plus jeune âge pour toutes formes d’art. L’émotion et les sentiments prenant une part importante dans ses récits, c’est avec précision qu’elle aborde entre autres des thèmes comme l’amour, l’amitié, la souffrance et la complexité de la vie.

Depuis 2013, Céline Musmeaux a déjà écrit 100 ouvrages, qui touchent un large public d’adultes et d’adolescents.

Ses romans sont publiés par les éditions Nymphalis, dans les collections Soft Romance® et Sweet Romance®. Avec une particularité : chacune de ses nouvelles histoires immersives rencontre un succès immédiat, avec un classement dans le top 3 des ventes Kindle. Son lectorat se tourne également massivement vers l’édition papier, preuve de l’engouement provoqué par ses œuvres.

Et pour cause : Céline se démarque par sa capacité à explorer des thèmes forts, qui parlent à toutes les générations. De plus, son style singulier et sa narration immersive plaisent à tous les adolescents, y compris lorsqu’ils sont dyslexiques.

En 2023, cette HPI littéraire vient de passer le cap des 105 manuscrits écrits en 10 ans… ce qui représente plus de 10 000 000 de mots !

À propos des Éditions Nymphalis

Fondée en 2015, la société NYMPHALIS est une maison d’édition indépendante à compte d’éditeur qui représente les intérêts de Céline Musmeaux.

Ses collections Soft Romance® et Sweet Romance®, deux marques déposées, sont devenues des références de la littérature ados & jeunes adultes.

Cette belle Maison affiche une autre particularité : ses publications sont sans scène de sexe explicite, respectant ainsi la « Loi n° 49-956 du 16 juillet 1949 sur les publications destinées à la jeunesse » (en 14+)

En savoir plus

Découvrir le livre :

Site web : https://softromance.fr/

Céline Musmeaux

Site web : https://celinemusmeaux.com/

Facebook : https://www.facebook.com/celine.musmeaux

Instagram : https://www.instagram.com/celinemusmeaux/

LinkedIn : https://www.linkedin.com/in/celine-musmeaux/

Bougainvillier éditions : une maison d’édition associative fondée par des auteurs allant à la rencontre des lecteurs

Une nouvelle “maison d’auteurs et d’actions”

Et si l’on arrêtait de dire que trop de livres sortent en France chaque année ? Ce discours ambiant, largement répandu, finit par masquer une réalité plus problématique : notre pays manque en réalité de lecteurs.

C’est pour cela que les auteurs membres-fondateurs de Bougainvillier éditions, une dizaine à ce jour, se sont lancés dans un projet un peu fou : s’engager au sein d’une “maison associative” qui mixe édition ET médiation auprès des lecteurs.

Tous sont animés par une conviction : la désaffection d’une partie de la population française pour le livre et la lecture n’est pas une fatalité.

Notre ambition est autant de fabriquer des lecteurs que des livres !

Stéphane Aucante, Directeur éditorial

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Fabriquer des livres en s’interrogeant sur ceux qui les liront

Lancée en janvier dernier, Bougainvillier éditions se développe en suivant deux axes forts :

La création d’un catalogue à la fois exigeant et engagé

Cette maison d’édition atypique souhaite éditer une dizaine de livres par an, en s’appuyant sur les quatre collections ouvertes dès la création de la maison : une pour le roman, une pour les textes courts, une pour la poésie et le théâtre, et une pour la littérature jeunesse.

Avec une particularité : ce catalogue est particulièrement attentif, entre autres, aux questions de parité, de diversité et d’écologie.

Les ouvrages publiés seront ensuite défendus dans les grands salons ou festivals du livre de France, voire au-delà (Bruxelles, Montréal).

Le développement d’actions de sensibilisation, en particulier en direction des publics éloignés ou empêchés

Bougainvillier éditions s’appuie sur certains dispositifs de médiation littéraire existants — Nuits de la Lecture, Partir en Livre, Printemps des Poètes, Dis-moi dix mots — pour aller à la rencontre de tous ceux et celles qui sont exclus des circuits habituels du livre et de la lecture.

Des actions ont ainsi déjà été menées en milieu pénitentiaire, en centres sociaux, ou bien en EHPAD ; et la maison  Bougainvillier vient d’avoir confirmation d’un financement dans le cadre de l’appel à projets « Action culturelle et langue française » (pour intervenir à l’année dans un village d’accueil d’enfants retirés à leurs familles pour raisons judiciaires).

Oser humanité, proximité et simplicité dans un monde de l’édition “à la française” souvent jugé opaque et sectaire

Une forme associative, réellement partagée et collégiale

À mille lieues du modèle de l’éditeur tout-puissant, qui détient une sorte de droit de vie ou de mort sur les auteurs, la maison est composée d’auteurs qui sont tous membres de l’association.

S’ils le souhaitent, ils peuvent participer aux comités de lecture (quand leurs propres livres n’y figurent pas) et plus généralement à la vie quotidienne de la maison ; ainsi sont-ils invités par exemple à être présents sur les salons ou à être force de proposition pour tous types d’animations littéraires (dédicaces, lectures musicales, etc.). Tout ceci repose sur une autre conviction : on est toujours plus forts à plusieurs que tout seul.

Une implantation en région

Fini l’entre-soi ! Alors que 80 % des maisons d’édition françaises sont implantées à Paris, Bougainvillier éditions est basée en Hauts-de-France, dans le Département du Nord, entre Dunkerque et Valenciennes. Elle entretient d’ailleurs des liens étroits avec l’Agence Régionale du Livre et de la Lecture des Hauts-de-France (AR2L).

Un Président qui n’est ni un auteur ni un homme de lettres

Laurent Journaux est ingénieur agronome. Ami d’enfance de Stéphane Aucante, il est comme lui originaire du Berry, et plus exactement de l’Indre. Bougainvillier éditions entretient donc des liens nourris avec le centre de la France, pour des raisons de cœur et d’amitié.

Zoom sur deux nouveaux livres à paraître pour la rentrée littéraire

Premier roman de la maison : “Vers l’autre rive !” de Didier Destremau

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Dans les années 1920, marchons sur les pas d’Anton, adolescent maltais de 15 ans. Né sur l’île voisine de Gozo où les traditions paysannes séculaires et l’autorité naturelle des femmes pèsent lourd, un premier faux-pas le fera entrer plus vite que prévu dans le monde des adultes. Quel avenir pour Anton sur cette île, confetti méditerranéen, où les influences des divers envahisseurs sont encore si fortes ?

Ce livre est le 17ème roman de Didier Destremau, ancien diplomate toujours très impliqué dans les relations entre la France et la Syrie. Il s’agira du premier roman publié par Bougainvillier éditions. 

Premier livre de femme : “Le moineau rouge” de Nada Varnicic-Donjon

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D’une nouvelle à l’autre, du réel à l’imaginaire, Nada Varničić, auteure serbe traduite en français par son époux, Pascal Donjon, nous fait voyager en poésie et interroge l’enfance et son environnement familier. Sous l’apparence trompeuse de la banalité, trouble et mystère s’invitent, jusqu’à la surprise du dénouement. Et au détour d’une phrase, d’un dialogue, le sens du décalage et d’un humour gris propre aux Balkans surgit.

Avec ce recueil de nouvelles, Bougainvillier éditions publie pour la première fois une écriture féminine. 

À propos de Stéphane Aucante, directeur éditorial

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Stéphane Aucante a un parcours dans l’audiovisuel puis dans le spectacle vivant, deux domaines dans lesquels il s’est essayé à l’écriture, d’épisodes de série TV ou de chanson de scène.

Il est ensuite parti vivre et travailler en Palestine de 2015 à 2018. Le choc a été tel que, cette fois, il a écrit en vue d’être édité. Son premier livre, « Naplouse, Palestine – Portraits d’une occupation » (21 portraits de femmes et d’hommes palestiniens) est paru en juillet 2018, aux éditions DACRES, pour lesquelles il a mené aussi des missions de communication ou de recherches de financements.

Suivront « Palestine by nights », carnet de bord intime, et « Six pieds sur terre – Récits de Palestine », recueil de contes et nouvelles. Pour mieux défendre son quatrième livre palestinien, « Sans voile – Féminité(s) en Palestine », il a décidé, fin 2022, de créer une maison d’édition avec quelques proches et amis, la plupart auteurs eux-mêmes, et désireux d’essayer d’éditer autrement.

La genèse de l’aventure Bougainviller éditions

À l’origine du projet, il y a d’abord des déceptions d’auteurs qui se sentaient mal édités et souhaitaient reprendre en main leurs destins, pour fabriquer différemment des livres, mais aussi se donner les moyens d’aller au contact des lecteurs, au travers d’actions de médiation littéraire. Pour des personnes largement cinquantenaires, voire un peu plus, il y a sans doute également le souhait de vivre une nouvelle aventure, dans une forme d’urgence à laquelle le coup d’arrêt brutal dû au Covid n’est pas étranger…

Pendant ces deux années de crise, Stéphane Aucante, fer de lance du projet, est reparti à l’étranger, en Macédoine du Nord. À son retour au printemps 2022, il a d’abord été question de reprendre une maison d’édition indépendante existante ; mais le projet n’a pas abouti, les vendeurs refusant de signer le jour de la vente…

Qu’à cela ne tienne ! Jacques Grange, Didier Destremau, Camille Aubaude, Laurent Journaux et donc Stéphane Aucante décident de créer leur propre maison d’édition, Bougainvillier éditions, et de lui donner une forme associative, afin d’avoir les moyens de mener à bien des actions de médiation littéraire en plus d’éditer des livres. Officiellement, la « maison… » est née le 3 janvier 2023.

Pour en savoir plus

Le catalogue : https://www.bougainvilliereditions.com/nos-livres

Site web : https://www.bougainvilliereditions.com

Facebook : https://www.facebook.com/profile.php?id=100089440873903

LinkedIn : https://www.linkedin.com/company/93842357/

Instagram : https://www.instagram.com/bougainvillier_editions/

“Dans le murmure du vent : BleuS & Rose” : le nouveau roman de Cindy Triaire salué par Amélie Nothomb, qui invite à l’espoir, à la lutte contre les violences conjugales et à la reconstruction.

Rodolphe est un vieil homme que les années ont usé. Son cœur, depuis peu, semble bien fatigué. Coupé du monde, retranché dans une cabane abritée par la forêt, le bûcheron sait son temps compté.

La jeune Romane, alertée par la fragilité de son état de santé, quitte, le temps d’un week-end, Paris, le quotidien, ses projets, pour veiller sur celui qui, bien des années plus tôt, l’a en retour protégée.

Découvrez l’histoire de vie saisissante de cet homme meurtri, qui au nom de l’amour, a relevé tous les défis.

Et s’il était possible de chasser les nuages, de relever la tête après bien des naufrages ?

Si l’amour relève d’un thème universel, les violences conjugales qui y sont associées demeurent par trop souvent taboues.

Au travers de son dernier roman “Dans le murmure du vent : BleuS & Rose”, Cindy Triaire offre à ses lecteurs un roman coup de poing – coup de cœur, où les blessures et les coups côtoient sans conteste, les tourments et la magie du grand amour.

En écrivant cette histoire, je souhaitais offrir un second souffle à toutes celles et ceux que la vie a éprouvés. Une histoire pour les amoureux des livres qui aspirent, au fil des pages, à se laisser guider par la teneur de leurs sentiments. Un livre qui s’adresse aux femmes, qui, victimes de leurs conjoints, éprouvent au plus profond de leur cœur, l’espoir d’un nouveau départ.

Cindy Triaire

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Un livre contemporain qui plonge le lecteur dans les méandres du passé

Ce roman percutant a été écrit pour toutes les personnes combatives, abîmées mais déterminées à aller de l’avant. Un bel ouvrage pensé tel une main tendue pour retrouver, conserver ou renforcer son entrain et raviver sa joie de vivre.

Dans la lignée des précédents opus, ce tout nouveau roman de Cindy Triaire s’inscrit dans une volonté de valoriser des parcours de vies atypiques, forts et touchants. Rodolphe, né au lendemain de la seconde guerre mondiale, en est un exemple criant.

A noter que ses fidèles lecteurs apprécieront de retrouver Romane et Lilou, les deux jeunes femmes tourmentées mais non moins résilientes et pleines d’humour de son second roman « Demain, je déploierai mes ailes ».

Une préface signée par la lumineuse Florence Demortier

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Florence est une candidate émérite du dernier concours Miss France, durant lequel elle s’est classée parmi les 10 plus belles femmes de France.

Mannequin, Kinésithérapeute et Miss Midi Pyrénées 2022, elle écrit :

« À travers ce roman, l’auteure nous invite à comprendre ce que peut être un amour tourmenté et à garder espoir. Merci Cindy, de mettre des mots justes sur des actes injustes. Tu abordes ce sujet avec une grande sincérité et justesse. Ton amour et ta compassion font écho à tes personnages et nous transportent.

Merci d’être une femme engagée qui offre sa plume pour mettre en lumière des combats d’actualité. En lisant ce livre, le lecteur découvrira l’incroyable puissance de l’amour, mais également la force de l’âme humaine et de sa capacité à surmonter les épreuves les plus difficiles. Un véritable trésor d’émotions et d’espoir ».

Un livre salué par la romancière multi-primée Amélie Nothomb

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Amélie Nothomb dispose de plus de 30 romans à son actif. Traduite dans 40 pays, elle a vendu plus de 16 millions de livres et remporté des dizaines de prix littéraires, à l’image du Grand prix de l’Académie Française, du prix Goncourt ou du prix Renaudot. Plébiscitée pour son talent, une statue au musée Grévin lui a même été dédiée dès 2005.

A la lecture du manuscrit «Dans le murmure du vent », elle a de sa plume écrit les mots suivants :

« Cindy Triaire connaît très bien les êtres humains. Elle nous indique ici un itinéraire lucide parmi eux, sans angélisme, ni défaitisme. On en sort plein d’espoir ! »

Une formidable reconnaissance, à la fois inattendue et déterminante, pour le travail de cette jeune auteure.

Extrait    

“Mon tendre amour,

Avant que le ciel ne t’arrache à la terre, j’aurais voulu trouver les mots. Les bons, les justes, ceux qui se posent sur les lèvres avec la finesse d’un vol d’hirondelles. Des mots capables de défier l’horizon, de toucher du doigt la lune et le soleil.

Je n’ai jamais connu plus grande douleur que ton départ et mes traits se sont fanés sans l’éclat de ton sourire pour les illuminer.

Au supplice, j’ai ainsi appris que quand le malheur décide d’ouvrir une porte, il le fait en patron, sans frapper, sans s’annoncer, la tête haute, bien décidé quant à ses intentions.

Et de cette souffrance qui déchire le cœur et les entrailles, je suis resté prostré, éteint, en silence, conscient d’avoir perdu ma plus grande bataille.

Mais tout en déambulant, anéanti, j’ai compris qu’au-delà de la douleur qui dévore, du chagrin qui écrase, du vide qui demeure, un fil invisible relie ceux qui sont destinés. Et que s’il peut s’emmêler, s’étirer, se distendre, jamais, il ne saurait se casser, se briser, se fendre.

Ma bien-aimée, sans doute notre amour était-il trop grand à l’échelle d’une vie d’Homme. Peut-être avions-nous besoin de plus d’espace, de plus de temps, de plus d’éternité.

C’est pourquoi, lorsque la nuit tombe, je lève les yeux vers l’immensité et dépose à mes pieds un peu d’eau pour que s’y reflètent le ciel et ses étoiles. Je t’y cherche alors et te trouve ainsi, rieuse, filante, lovée parmi sa toile.

Et l’espace d’un soupir, je remonte le temps. De ces jours heureux, de nos jeux d’enfants, j’en revis des bribes, de petits éclats. J’imprègne mon cœur de magie, le saupoudrant de confettis et de ces instants bercés d’illusions, je revis.

Mon amour, je t’écris pour te dire que la vie est ce qui reste quand il ne reste plus rien. J’écris pour dire que la vie est avant tout. Qu’en restant vivant, j’interdis à la mort de te faucher une seconde fois.

Ma chérie, tu es celle qui fut, qui demeure et qui sera.

À tout jamais.

Pour l’éternité et l’au-delà.”

De la même auteure

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Cindy Triaire a créé une jolie collection qui appelle au rebond, à l’espoir et à la reconstruction :

Et j’ai donné son nom à une étoile – préfacé par Philippe Croizon (1er quadri amputé a avoir traversé la manche) – 2018

Découvrez le destin croisé de deux personnages aussi puissants qu’attachants, à la fois sombres et meurtris, mais qui jamais ne s’avouent vaincus. Si une seule personne pouvait vous tendre la main et bouleverser votre vie, la saisiriez-vous ?

Demain, je déploierai mes ailes – préfacé par Mélanie Rebreget – 2019

Plongez dans l’histoire trépidante d’une jeune femme abîmée, à qui l’on va offrir de réapprendre à rêver. Et s’il était possible de relever la tête et de déployer nos ailes ?

Au-delà des nuages, le soleil brille – préfacé par Vaimalama Chaves (Miss France 2019) – 2021

Découvrez l’histoire bouleversante de jeunes gens attachants, qui, à l’aide d’une main tendue, vont renouer avec leur espoir perdu. Et s’il était possible de mettre des mots sur les maux et de se rappeler un instant qu’au-delà des nuages… le soleil brille ?

À propos de Cindy Triaire, l’auteure

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GPS du rebond et de l’initiative, Cindy Triaire est Consultante, Auteure, Chroniqueuse Radio en Stratégie de Réussite et Présentatrice Micro. Cheffe d’entreprise engagée, elle intervient depuis 2013 dans le cadre de 3 axes complémentaires : Management, Reconversion Professionnelle & Développement Personnel.

Présentatrice pour le célèbre Concours Miss Midi Pyrénées pour Miss France, elle est l’une des premières consultante en motivation à proposer des romans de vie qui invitent au rebond et à la persévérance. Investie, Cindy encourage à l’action et au dépassement de soi.

Dans le cadre de mes fonctions de consultante, j’ai partagé l’histoire de centaines de personnes, eu vent de leur parcours, de leurs doutes, de leurs craintes, de leurs frustrations. Cette souffrance, bien souvent palpable, j’ai eu très vite l’envie de la combattre en vue de leur offrir un rayon de soleil, une petite bulle d’oxygène.

Elle a rédigé à ce titre deux premiers ouvrages sur cette thématique : “Audace, Enthousiasme & Persévérance : Les Clefs de la Réussite“(2016) et “La Nouvelle Vision du succès : Comment décider de sa Réussite ?” (2018).

Conquise par la richesse de notre langue et depuis toujours soucieuse de mettre des mots sur les maux, c’est presque naturellement que Cindy a, avec le soutien indéfectible de sa maman, osé se lancer.

Remarquée dès la sortie de son tout premier roman, c’est avec cœur et passion que Cindy a ainsi renouvelé l’expérience jusqu’à présenter ce jour le 4e d’une belle lignée.

L’avis des premiers lecteurs.trices

Hélène.R :Quel livre magnifique (encore) !! Merci Cindy pour ce très bel ouvrage que j’ai dévoré et que je conseille à tout ceux qui croient en la Vie“.

Emmanuelle.S : “Chère Cindy, je viens de terminer votre roman que j’ai lu d’une traite ! Je me suis laissée totalement embarquée ! Je vous remercie pour cette lecture et vous félicite pour votre talent d’écrivaine.”

Nicole.C :J’en ai pleuré ! Je l’ai lu extrêmement vite tant j’avais envie de connaître la fin ! Un très très bel ouvrage que je vais prendre grand plaisir à relire ! Merci Cindy !”

Alexis.T : “Un roman, qui démontre que si la vie peut être cruelle, l’optimisme et le désir d’avancer l’emportent. Des personnages, qui, malgré leurs blessures, gardent une fraicheur communicative et nous la font partager à travers le langage « épicé » de Romane et Lilou, et la sagesse de Rodolphe, le vieux bûcheron ! Un livre tout en émotion, qui vous tiendra en haleine, jusqu’à son dénouement.”

Mélanie.R : “Cindy. J’ai commencé votre livre hier et l’ai fini aujourd’hui ! Waouh, comment trouver les mots ? Votre écriture est à chaque fois incroyable, je suis captivée, obnubilé par l’histoire de ces personnages qui sont aussi inspirants les uns que les autres ! Vous êtes la seule auteure qui m’emporte autant lorsque je lis. Bravo pour la manière dont vous traitez des sujets difficiles. C’est un bel hommage que vous rendez aux victimes mais également un élan d’espoir pour chacune d’entres elles. Merci pour votre plume si magique. J’attends avec impatience le cinquième roman !”

Harmony.P : “Ouvrir ce roman, c’est retrouver les protagonistes du 2eme roman de l’auteur. Et quel bonheur ! Cette dernière aborde un sujet encore tabou et qui, à l’heure actuelle, connaît encore des chiffres dramatiques. Les violences conjugales ! Des destins croisés qui vous tiennent en haleine tout du long et qui, une fois de plus, vous apprennent à tirer le meilleur de chaque situation.”

Sandrine.D :Chère Cindy, j’ai avalé, j’ai bu toutes les paroles des héros de ce livre en 24h !! Impossible de m’arrêter, j’étais comme absorbée, hypnotisée par ces héros différents en apparence mais avec une force de vie, une sensibilité, une même humanité magnifique. Tu attaches et mets en lumière ce que l’on ne voit pas avec les yeux mais que l’on ressent avec le cœur ! Continue à diffuser, donner, transmettre tout ce bonheur !! Je t’embrasse très fort ! 

Informations pratiques

« Dans le murmure du Vent » de Cindy Triaire

  • Éditeur : Tremplin Carrière
  • 256 pages
  • Prix : 16 € broché

Pour en savoir plus

Pour découvrir ses interviews : https://www.tremplincarriere.com/dans-le-murmure-du-vent/

Pour retrouver tous les romans de Cindy Triaire : https://romans.cindytriaire.com

Site web : https://www.tremplincarriere.com/

Facebook : https://www.facebook.com/tremplincarriere/

Instagram : https://www.instagram.com/cindytriaire_tremplincarriere/

LinkedIn : https://www.linkedin.com/in/tremplincarriereconseil/

Eric Chartier, créateur de spectacles immersifs pour découvrir toute la richesse du Patrimoine Littéraire français

Eric Chartier est un comédien atypique, un précurseur “dont la voix réaccorde le public à la littérature” comme l’a décrit le grand écrivain Julien Gracq.

Formé à l’ENSATT de 1966 à 1969, Eric a très tôt perçu la dynamique théâtrale de l’écriture romanesque. Une intuition qui va devenir une véritable vocation : en 1980, après avoir perfectionné une technique inédite, il abandonne totalement sa carrière pour se consacrer pleinement à cette forme d’expression.

Aux États-Unis où son concept a séduit, Eric lance cette approche qui va résolument changer le regard porté sur les œuvres littéraires. Il est ainsi le premier à démontrer, dans des spectacles captivants de 90 minutes, que des auteurs comme Flaubert, Proust ou Céline peuvent “tenir la scène” et le spectateur en haleine.

Une vision pionnière qui prend un nouvel essor en 1983 à l’ère du développement de la micro-informatique et des supports multimédias : Eric va s’en emparer et faire en sorte que ses récitals littéraires ou mises en voix servent aussi de contenu à l’enseignement interactif alors balbutiant.

Actuellement à l’affiche, il donne son spectacle immersif Le Rouge et le Noir d’après l’œuvre de Stendhal, tous les mercredis à 19h au théâtre “Au port du Salut” 163 bis rue Saint-Jacques à Paris (75005).

De la scène réelle à la scène virtuelle :

Partant de la force sans cesse accrue des algorithmes, sa prestation, une fois captée, sera ensuite intégrée à l’application Rhapsod.IA qui mixe interactivité, IA et 3D-réalité virtuelle pour fournir aux enseignants une gamme d’outils numériques plus étendue et contemporaine. 

Mon art consiste à créer à la fois un effet d’immersion et de proximité qui le rend accessible sans jamais sortir d’une éthique quant au respect du public. Je pratique une sorte “d’hypnose”. Ni décor, ni costume, mais j’entraîne le public à créer les siens propres, à s’approprier l’œuvre jusqu’à ce que, par ma suggestion et par son imaginaire stimulé, chacun oublie toute autre réalité pour n’être plus que témoin invisible des scènes comiques ou dramatiques du roman.

Eric Chartier

C’est un sacré phénomène que cet Eric Chartier : Télérama,-Sortir.

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Relever le défi de l’éducation et de la langue pour transmettre l’amour de la littérature

C’est grâce à deux voix emblématiques qu’Eric Chartier a trouvé la sienne. En 1962, il est enthousiasmé par un vinyle enregistré par Maria Casarès et Gérard Philippe, puis par la version du Petit Prince de ce même artiste.

Il comprend alors l’incroyable puissance de la voix et de l’interprétation. Par la suite, lors de ses études à l’ENSATT, ce goût et ses talents spécifiques sont confirmés lors de certaines épreuves de notation : les étudiants devaient dire des textes littéraires mémorisés.

Interview par le Collège de France : lien ci-dessous.

Cette passion ne va plus le quitter, donnant naissance à un répertoire inépuisable (25 spectacles différents à ce jour).

La force d’envoûtement et la richesse de ses interprétations vont faire son succès. Eric tourne notamment durant dix ans dans de grandes universités américaines et se produit dix autres années à l’affiche à Paris.

En parallèle, il fonde son propre théâtre dans une grange à Pornic 44210, où un public fidèle le suit depuis trente-cinq ans. Il réhabilite ainsi un lieu de mémoire : ce bel espace a vu Saint-Exupéry et son avion et Albert Camus y a achevé La Peste.

En 1992, Eric devient l’interprète exclusif du très grand écrivain Julien Gracq et il continue depuis de jouer quatre de ses œuvres culte.

Plébiscités par le public, ses spectacles ont aussi convaincu des institutions telles que le Collège de France ou La Sorbonne.

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Le Rouge et Le Noir : une découverte unique de cette œuvre magistrale de Stendhal

Fils d’un charpentier installé dans une petite ville de province, Julien Sorel rêve d’autres horizons. Tour à tour précepteur, séminariste et secrétaire, le jeune homme s’élève peu à peu dans la société et découvre l’ardeur de passions défendues.

Parcouru d’élans contradictoires, il suit un itinéraire semé d’embûches qui ne saurait le mener qu’au drame. En dotant son personnage ambitieux et rebelle d’une âme romanesque, Stendhal transforme un récit d’apprentissage en tragédie moderne.

Dans ce spectacle immersif et jamais interprété en public, Eric Chartier a choisi de se concentrer sur Julien Sorel et Madame de Rénal.

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Durant 1h15, son interprétation permet de redécouvrir le roman, mais aussi de voir tout ce qui n’apparaît pas lors d’une simple lecture. Le spectateur va notamment assister en direct au drame vécu par cette épouse aristocratique modèle et pieuse, emportée jusqu’à la folie par sa passion pour ce beau jeune homme .

Les spectateurs sont conquis. Voici un aperçu de leurs avis sur l’Officiel des Spectacles :

“La tragédie de Madame de Rênal, le drame de Julien Sorel et la sinistre comédie sociale de la Restauration sont rendus présents avec beaucoup de force par une diction qui témoigne d’un travail incroyable sur toutes les nuances du texte. Du grand art.”

“Merveilleux acteur, merveilleux personnage, dans un lieu sans décor, Eric Chartier arrive à nous plonger au cœur d’une œuvre, de la façon la plus vive possible, entrant tour à tour avec une grande compréhension à l’intérieur des personnages avec gravité et malice !”

En mettant en lumière les effets de l’écriture, je guide le spectateur dans l’univers de l’auteur et du roman pour lui permettre de le vivre selon son imaginaire personnel.

Théâtre Au port du Salut – 163 bis rue Saint-Jacques, 75005 Paris – Tous les mercredis à 19 heures. Places de 10 à 20 €.

Rhapsod.IA, l’application immersive d’e-learning pour découvrir la littérature autrement

Animé par la volonté de faire de la pédagogie autrement, Eric Chartier a aussi co-fondé en 2022 la start-up Immersive Adventures avec une professionnelle de l’e-learning (fondatrice de Itanova-easyprof).

Avec un objectif : démocratiser l’accès au e-learning immersif en permettant de créer des cours captivants. Cette plateforme “nouvelle génération” permet ainsi, en quelques clics, d’importer une vidéo ou une captation en réalité virtuelle, d’intégrer des fichiers multimédias, d’éditer des contenus, de créer des activités pédagogiques et de suivre, de manière pénétrante, la progression des apprenants.

Grâce à l’IA, les formations évoluent et s’auto-adaptent au profil d’apprentissage de chaque élève.

La start-up Immersive Adventures s’apprête désormais à lancer une levée de fonds de 1,2 million d’euros. Son site web est encore en cours de construction, mais ses produits sont quasiment finalisés et seront rapidement mis en ligne.

Il y aura notamment Rhapsod.IA, une application unique au monde tant dans son principe que dans sa méthode.

Le concept : utiliser les spectacles immersifs d’Eric Chartier pour initier un large public à la littérature. En effet, l’oreille a son génie propre que des siècles d’imprimerie ont occulté. Ses spectacles donnent aussi l’envie de lire.

En mobilisant l’outil informatique, l’intelligence artificielle et la 3D, l’oreille de l’apprenant vient seconder l’œil dans l’apprentissage des plus grandes œuvres et auteurs de notre patrimoine (et bien plus encore).

Chaque spectacle va ainsi servir de contenu pour étudier un auteur, son style littéraire, la beauté de sa langue… Un atout pour toutes les personnes qui souhaitent se former à la lecture, se cultiver ou redécouvrir, via cet autre accès, tel ou tel écrivain.

À propos d’Eric Chartier, ambassadeur de la littérature française

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Né en 1947 à Suresnes dans les Hauts-de-Seine en France, Eric Chartier fait ses études à l’École nationale supérieure des arts et techniques du théâtre (1967-69). Il participe à la création du Théâtre Panique avec Fernando Arrabal, puis à celle du Grand Magic Circus avec Jérôme Savary ; il est engagé au cinéma par Stanley Donen, Georges Lautner et Jean-Luc Godard.

À partir de 1980, il crée, produit et diffuse, seul et sans aide, ses spectacles littéraires en Amérique du Nord (Universités, services culturels, congrès, Alliance française).

À partir de 1986, il est régulièrement invité à l’ONU à New York. Il rencontre Paul Auster, Mircea Eliade, Roger Shattuck, Alex Szogy, Gerald Honigsblum, Annette Insdorf, acteurs actifs de la présence culturelle française en Amérique du Nord.

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Il travaille au premier programme de recherche pédagogique francophone -multimédia avec l’Université de Chicago. François Furet, qui a vu la vidéo de son spectacle « Michelet » lors des célébrations du bicentenaire, commente très favorablement ce travail et y décèle une voie d’avenir. Eric va alors effectuer dix années de tournées dans plus de cent universités américaines et canadiennes.

À partir de 1988, il s’installe au Château des Brefs à Pornic et y diffuse ses spectacles chaque été.

À partir de 1991, il noue un partenariat avec l’Université de Nantes (vidéo, cours, spectacles, intervention dans les congrès). Il rencontre Julien Gracq et crée quatre spectacles d’après l’auteur (dont un avec la ville de Nantes).

En 2000, il signe un contrat avec les éditions Gallimard pour la production d’un CD audio « Proust » préfacé par R. Shattuck et reçoit la médaille de la ville de Pornic.

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En 2004, il rencontre l’écrivain Robert de Goulaine qui l’invite à se produire régulièrement au Château dans ses soirées littéraires ouvertes au public. Il fait la connaissance de Paul Louis Rossi, écrivain originaire de Nantes, pour la création de son spectacle « Nantes ». Il correspond avec Jean d’Ormesson.

Eric Chartier s’est produit également dans des lieux de mémoire : le Musée Jules Michelet à Vascoeuil, le Château de la Duchesse Anne à Nantes, le Musée Marcel Proust à Combray, la Maison de Chateaubriand à Châtenay-Malabry, le Musée Dobrée à Nantes, la galerie Eureka de Chambéry, l’église Sainte-Cécile à Paris et le Château Saint-Simon à La Ferté-Vidame.

Il est invité à siéger en 2006 au sein de la Commission de recherche sur la complexité présidée par le philosophe Edgar Morin (Université de Nantes). Il effectue de multiples tournées en Europe, Amérique centrale, Océan Pacifique et Moyen-Orient. Il crée son spectacle Mémoires d’Outre-Tombe qu’il joue à la Maison de Chateaubriand, puis au Château des Brefs en juillet 2006. Il est élu en décembre « Membre de l’Académie de Bretagne » et reçoit la médaille de la ville de Nantes.

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En 2007, il joue au Château des Brefs La Forme d’une ville de Julien Gracq et Les Confessions de Jean-Jacques Rousseau.

En 2008, il crée Le Rouge et le Noir de Stendhal.

En 2015, il crée à la Grange des Brefs « Ainsi naquirent les cathédrales » d’après Histoire de l’art d’Elie Faure.

Depuis 2008, Eric Chartier s’est produit successivement au Théâtre de l’Île-Saint-Louis, à la Comédie Saint-Michel et Au Port du Salut à Paris avec Julien Gracq, Flaubert, Proust, Saint-Simon, Tocqueville, l’Abbé Prévost, Bossuet.

Pour en savoir plus

Site web : https://eric-chartier.com/

Facebook : https://www.facebook.com/eric.chartier.rhapsode

LinkedIn : https://fr.linkedin.com/in/eric-chartier-a44383107?original_referer=

“La violoncelliste qui n’aimait pas sa grand-mère” d’Hélène Elisabeth : une ode à la résilience des femmes qui entre en résonance avec la situation en Ukraine

Héloïse vient tout juste de rentrer à l’Orchestre philharmonique de Paris et sa vie semble, enfin, réglée comme du papier à musique. À des milliers de kilomètres de là, Evguenia, habite une maisonnette au Kirghizistan. Elle n’attend plus grand-chose de la vie, si ce n’est de couler des jours tranquilles et heureux auprès de ses amis.

Une lettre anonyme vient perturber le quotidien de la jeune musicienne et de la babouchka. Le tempo s’accélère, la partition s’emballe à Paris et à Bichkek.

Dans La violoncelliste qui n’aimait pas sa grand-mère, Hélène Élisabeth rend hommage à toutes les femmes qui affrontent la vie avec courage et résilience.

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Des thèmes qui font écho avec la situation actuelle en Ukraine

Le roman est un prétexte pour aborder divers thèmes dont les secrets de famille, la résilience après un événement traumatique, et des questions sérieuses, comme le sort des populations déportées loin de chez elles.

Ces déportations de populations sont un moyen de mettre en place ou de renforcer un régime et d’écraser les oppositions locales. Ce thème prend une résonance actuelle avec la guerre en Ukraine où, selon un rapport d’Amnesty International, des populations civiles des zones occupées de l’Ukraine, ont été transférées de force, loin de leurs villes et villages, vers des territoires contrôlés par la Russie ou vers la Russie.

Ce livre reprend ainsi des thèmes chers à l’autrice  :

  • Les voyages, bien entendu, avec ce qu’ils apportent de découverte de nouvelles cultures, de langues et d’expérience ;
  • Les personnes déracinées et celles qui perdent tout du jour au lendemain ;
  • La place de la femme dans la société, notamment l’égalité entre les femmes et les hommes ;
  • Le quotidien. Tout simplement parce qu’il n’est pas nécessaire d’attendre qu’il nous arrive une histoire incroyable pour profiter de la vie ! Hélène Élisabeth est très sensible à tous les petits bonheurs quotidiens (boire un café en terrasse, lire un livre, aller marcher en forêt, discuter avec des amis). “J’ai une vision optimiste de la vie”, dit-elle.

Le deuxième tome d’une mini-série en 3 romans

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La violoncelliste qui n’aimait pas sa grand-mère est le tome II d’une mini-série de trois romans. Chacun peut être lu indépendamment.

I. La violoncelliste qui inventait des mots croisés érotiques

Ce premier volet embarque les lecteurs et les lectrices dans le monde de la littérature érotique, mais aussi… des jardins ! Hélène a voulu les évoquer comme un espace naturel de transformation cyclique, un espace où le promeneur peut se perdre physiquement ou en pensées.

II. La violoncelliste qui n’aimait pas sa grand-mère

Ce roman se déroule au Kirghizistan, une ancienne république soviétique d’Asie centrale, peu connue en France. L’un des personnages principaux est d’origine russe. Hélène a voulu parler des conditions dans lesquelles les Russes ont été déportés sous Staline et montrer les difficultés que certains ont rencontrées au moment de l’indépendance. Avec l’hyperinflation, ils ont tout perdu…

III. La violoncelliste qui voulait voir des girafes

Ce roman portera sur le Kenya. Tout simplement parce qu’Hélène Élisabeth a envie de faire voyager ses lecteurs et ses lectrices avec elle !

Extrait

“— J’ai encore reçu une lettre anonyme ce matin.

Héloïse avait retrouvé Alejandro dans son atelier situé en bordure de Paris. De retour d’Argentine, il avait loué ce petit local pour développer son entreprise de jardinerie d’art. Son activité démarrait à peine, mais son charisme, sa passion et son talent lui avaient permis de se constituer rapidement une petite clientèle en pleine expansion. Son affaire tournait bien, mais lui prenait énormément de temps. Il n’en oubliait pas cependant Héloïse et essayait de la voir aussi souvent que possible. Tout était bon pour que les deux jeunes gens se retrouvent : une promenade la nuit dans les rues ou dans les parcs et jardins de la capitale, en forêt aux abords de Paris, sans oublier les cours de tango du lundi soir.

— Toujours contre ton grand-père ? Il faut dire qu’il n’est pas commode, poursuivit Alejandro, conscient qu’il marchait sur des œufs lorsqu’il s’agissait de faire une remarque sur Dedouchka.

— Pourquoi dis-tu ça ?

— Tu as vu comment il m’a regardé quand je suis arrivé chez tes parents la semaine dernière ? Je vois bien qu’il ne m’aime pas trop. Je suis en train de lui voler sa petite-fille !

— Il a son caractère, c’est vrai, mais il ne mérite pas ces lettres anonymes, je trouve que c’est exagéré.

— Il a peut-être des ennemis au journal ? Il n’est pas facile. Tu vois bien combien il peut être cassant avec son entourage. Sauf avec toi, bien entendu, ajouta-t-il avec malice. De quoi s’agit-il, cette fois-ci ?

Héloïse sortit de son sac, la lettre, objet de son courroux. « Serge Vanié n’est qu’un imposteur. Vérifiez par vous-même. Je vous conseille de chercher du côté de Bichkek, organisation “Adoptez une babouchka “, Evguenia Postoïeva. »

— Celui ou celle qui t’a envoyé ça parle d’admiration, cette personne connaît vos rapports. Soit c’est quelqu’un qui te connaît et qui veut te déstabiliser, mais sans avoir de lien avec ton grand-père, soit c’est vraiment lui qui est visé à travers toi.

— Quel manque de courage, quand même ! C’est facile de cracher son venin sur Dedouchka comme ça, de manière anonyme.

Héloïse était véritablement en colère. Elle n’appréciait pas d’être le jouet d’un correspondant qui se cachait derrière ces lignes diffamatoires.

— Pourquoi n’en parles-tu pas à ton grand-père ?

— Je ne sais pas, quelque chose me retient.

— Tu crains de trouver un fond de vrai dans ces calomnies ?

— La deuxième partie du message m’intrigue. Pourquoi donner un nom ? Il doit s’agir d’une personne qui existe bel et bien.

— En tout cas, ton expéditeur inconnu arrive à ses fins. Il t’a non seulement contrariée, mais en plus il a piqué ta curiosité.

— Bichkek… Je ne sais même pas où c’est.”

À propos d’Hélène Élisabeth, autrice et globe-trotteuse

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Hélène Élisabeth est une voyageuse dans l’âme ! Enfant et adolescente, elle a habité en France, en Allemagne et sous les tropiques. Adulte, elle a continué à déménager sur tous les continents. Elle parle d’ailleurs plusieurs langues, dont le Swahili, et elle aime découvrir de nouvelles cultures.

Après un bac scientifique, elle suit des études de droit et décroche un diplôme de notaire. Elle travaille ensuite dans un office notarial qu’elle quitte pour intégrer le monde de l’entreprise afin de pouvoir continuer à voyager.

Elle part alors de France et devient Consultante pour des organisations internationales, notamment en qualité de traductrice.

Bouger sans cesse est parfois déstabilisant. Perdre ses amis, ses repères, sa sécurité en quelque sorte. Les livres ont toujours constitué un point d’ancrage, un refuge. J’ai donc beaucoup lu enfant et je ne me suis pas arrêtée. Ne pas avoir un ou deux livres d’avance est source d’angoisse ! Le plaisir d’écrire des romans est arrivé assez tard dans ma vie d’adulte.

“Journal d’une jeune fille irlandaise”

Son premier roman, Journal d’une jeune fille irlandaise, publié aux Éditions Petra (ISBN 2847430164) a été écrit après un séjour en Australie où Hélène Elisabeth prenait des cours de terminologie juridique auprès d’un avocat d’origine irlandaise. Elle y raconte, avec un grand souci de réalisme, les événements tels qu’ils s’étaient passés entre 1845 et 1847. Ainsi, même s’il s’agit d’une fiction, tout aurait pu arriver tel qu’elle le raconte. Les conditions du voyage, par exemple, sont véridiques.

Ce livre a connu un vif succès. Il va être réédité prochainement et vient d’être publié en version numérique (978-2847430165).

Après sa sortie, Hélène Elisabeth voulait écrire un roman sur le Kirghizistan où son époux était en poste (à Bichkek), tandis qu’elle travaillait à Paris. Elle faisait des allers-retours fréquents. Elle a alors écrit une première version du roman qui ne lui plaisait pas. Elle allait reprendre l’histoire quand son fils est tombé malade.

“Les Évadés de Curie”

Son fils Ewen

Son fils Ewen

Le second roman d’Hélène Élisabeth, Les Évadés de Curie, a été écrit avec son fils Ewen. Ils habitaient en Zambie lorsqu’ils ont appris sa maladie. Ewen a ensuite été hospitalisé à l’institut Curie, à Paris. Quand il a su qu’il devait rester 8 mois là-bas, sa réaction a été explosive : « Huit mois ici ? Mais c’est une éternité ! ».

C’est ainsi qu’est née l’histoire de deux enfants qui s’évadent chaque soir de leur chambre d’hôpital. Ce livre jeunesse a été publié aux Éditions Petra (ISBN 284743061X).

La mini-série de 3 tomes autour du personnage d’Héloïse

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Puis vinrent le deuil et le temps de la reconstruction. Hélène Élisabeth a mis plusieurs années avant de recommencer à écrire. Avec la crise du Covid, elle n’a pas pu rentrer en France pendant un an et demi.

Pour s’évader, elle a décidé d’écrire une mini-série, quelque chose de léger, mais avec des notes sérieuses. C’est ainsi qu’est né le personnage d’Héloïse. La Violoncelliste qui n’aimait pas sa grand-mère est le tome 2.

Les ateliers d’écriture

Hélène Élisabeth anime également des ateliers d’écriture pour des collégiens. (Mwendabaï ou sept nouvelles du Lac Kariba, publié aux Éditions Petra en 2009). l’an dernier, elle a travaillé avec les élèves de 3ème du Lycée français de Nairobi sur des nouvelles. L’action de chaque histoire se déroule durant la Première Guerre mondiale, au Kenya, sur le champ de bataille de Taïta Hills (où les Allemands et les Anglais se sont affrontés). Les personnages sont Allemands, Britanniques ou Kenyans.

Pour en savoir plus

Les livres d’Hélène : https://lesballand.wordpress.com/livres/

Site web : https://lesballand.wordpress.com/

Facebook : https://www.facebook.com/Heleneelisabethbooks

Instagram : https://www.instagram.com/heleneelisabethofficiel

LinkedIn : https://www.linkedin.com/in/helene-lesbats-84349075

“Mystère au manoir d’Ashford” d’Anaïs Bonaventure, une énigme ésotérique explorant les secrets et les ombres de l’âme humaine

Avec ce deuxième roman, Anaïs Bonaventure nous emmène dans un «cosy mystery» flirtant avec une part fantastique. Le décor est planté dans l’Irlande profonde de 1929, où les légendes celtes sont intégrées à la réalité d’un pays affaiblie par la guerre. Le récit prend place dans un huis clos où les personnages, petit à petit, dévoilent leurs véritables intentions.

C’est à la lisière du parc d’Ashford que tout commence, lorsque chaque soir un long et déchirant hurlement retentit dans ce petit village irlandais.

Créature cauchemardesque ou rôdeur mal intentionné… ?

Un spectacle macabre se répète et Jack Donegan, bientôt 18 ans, reste décidé à en découvrir les raisons.

Invité au manoir de la famille Harvest, il se retrouve alors au cœur d’une affaire où secrets et faux semblants se mêlent aux légendes celtes.

Derrière les sourires, à qui peut-il encore se fier ?

Un jeune homme hanté par le passé, une énigme ésotérique : un cosy mystery surprenant. “Mystère au manoir d’Ashford” d’Anaïs Bonaventure est le genre de roman qui se lit d’une traite, de la première à la dernière page.

Il est disponible en prévente à partir du 2 novembre sur le site officiel de l’auteure et à commander en librairie à partir du 9 novembre.

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Dans ce livre, je parle des secrets et des «ombres» subsistant en chaque personne et ce que cela peut engendrer sur les comportements. J’y montre les conséquences sur la vie, les répercussions sur l’entourage et surtout comment cela peut nuire aux relations humaines.

Anaïs Bonaventure

Une exploration de l’intimité d’une famille à partir d’un mythe irlandais

Dans ce premier roman de la série ” les chroniques de Jack Donegan “, l’auteure nous plonge en Irlande, une terre de légendes et nous fait découvrir le mythe de la Banshee : créature du folklore irlandais annonçant la mort d’une personne dans un foyer.

La Banshee vient alors mettre en lumière les secrets polluant une famille. On entre dans la psychologie des personnages pour mettre à nu les interactions viciées au sein du foyer, tout en abordant le poids et les «fantômes» du passé.

L’histoire navigue dans une ambiance fantastique et fantasmagorique, mais parfaitement encrée dans la réalité, afin de jouer sur la perte de repère. La fiction est alors utilisée pour appréhender la vérité de cette famille : il s’agit d’ailleurs d’un thème récurent dans l’écriture de l’auteure.

Un roman né de l’observation des comportements humains

Au quotidien, notre humeur peut interférer durant les discussions avec les autres. Tout est sujet à interprétation et c’est de là que naissent les quiproquos…

En regardant attentivement, on découvre qu’il existe autant de vérité qu’il y a des personnes pour vivre une expérience, chacun laissant son empreinte émotionnelle dicter ses actions et ses jugements. D’ailleurs, nos souvenirs sont impactés par cela. Ainsi deux personnes ayant vécu la même chose ne le raconteront pas de la même manière. L’un a-t-il tort et l’autre raison ?

Les deux sont dans le vrai, mais leur vérité est subjective.

Et c’est ce dédale complexe, à travers la culpabilité et les non-dits, que Jack Donegan devra affronter. Comment dénouer les fils de l’énigme quand chacun des protagonistes à sa propre croyance ?

Au sein de ma famille, de mes amis et de mon propre passé, c’est une chose que j’ai pu observer et que j’ai voulu décortiquer : comment naissent nos «ombres» intérieures et l’impact qu’elles ont sur nos souvenirs.

Extrait

“Les hautes herbes jaunies par le soleil s’agitaient les unes contre les autres, sous le soupir frémissant du lac, unique source d’écho dans ce décor déserté par les Hommes à la nuit tombée. S’effaçant peu à peu sous cet océan insondable de brume, le sentier restait le terrain de jeu d’une population d’animaux nocturnes. Pourtant, ce soir-là, seul le hululement d’une chouette venait rompre la monotonie. On n’entendait pas âme qui vive dans ce parc, rien que le vent et un souffle dans le lointain.

Puis, deux halètements.

La première respiration, celle d’un garçon de 5 ans, demeurait calme. La seconde inhalation, celle de son frère jumeau, au contraire, semblait précipitée. La crainte se lisait sur leurs visages à demi baignés par l’obscurité, mais ils n’écoutaient pas les avertissements que la nature leur lançait ni les grondements résonnant au loin. Ils continuèrent.

Le brouillard glissait sur les flots de l’eau comme un navire prêt à l’abordage. Cette tempête silencieuse leur oppressait les poumons, les obligeant à inspirer de plus en plus fort.

Le timide croissant de lune dans ce ciel sans étoiles fut bien vite remplacé par un voile nuageux rendant absolu le déclin de la lumière. Pourtant, rythmés par le son de leurs pas, les deux frères poursuivaient leur chemin avec détermination. Le premier resserra sa cape sur ses épaules, le second, plus inquiet, accéléra l’allure. Ils n’entendaient pas le râle rauque qui remontait du bois, préférant ignorer cette sinistre présence qu’ils ne pouvaient pas voir.

Des lambeaux de tissu d’une longue robe déchirée flottant dans les airs accompagnèrent les mouvements d’une étrange silhouette dans l’ombre des arbres. Le bruissement à peine perceptible du vêtement suffit pourtant à les figer. Ou bien était-ce l’odeur suivant l’apparition ?

La présence invisible dressa les poils sur les bras des enfants et chatouilla leur épine dorsale. C’était la peur. Brutale, incompréhensible, mais bien réelle, elle les tétanisa dans une expression d’horreur en découvrant l’ombre qui s’avançait vers eux.

Puis, un hurlement les sortit soudain de leur torpeur. Inhumain, à l’agonie, un cri venu d’outre-tombe qui les propulsa dans des visions sombres. Une clameur empreinte de douleur, d’affliction et d’épouvante provenant de la créature qui chemina vers eux. Quelques mètres seulement les séparaient de la silhouette fantomatique qui les dominait de sa hauteur. Sans un regard en arrière, les deux frères fuirent.”

À propos d’Anaïs Bonaventure, l’auteure

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Je ne cherche pas à narrer ce que je vois, mais dépeindre ma propre interprétation d’une scène. Relater l’expression d’une émotion et d’une expérience pour transcender la réalité.

Pour Anaïs, l’imagination a toujours été une source intarissable d’excitation et de peur. Très tôt, elle a découvert qu’il s’agissait d’un fantastique moyen pour regarder le monde différemment.

Après le bac, elle a donc entamé des études en école d’art, où elle a pu exploiter son potentiel d’artiste auteure, tout en apprenant des techniques d’animation et de narration. Sa passion pour les histoires l’a menée dans l’exploration de divers supports et médias pour enrichir sa vision : découvrir les multiples mécanismes pour raconter une histoire !

Depuis 2014, Anaïs travaille comme infographiste dans les effets spéciaux au cinéma tout en réalisant des clips musicaux en parallèle. En 2020, elle a publié son premier roman “les lettres de l’ombre” et en 2022, elle a organisé sa première exposition de peinture.

Ainsi, évoluant dans un milieu artistique, le style d’écriture d’Anaïs Bonaventure se veut vivant et visuel. Chaque description nous transporte à l’intérieur d’un tableau.

À travers les mots et les images, je cherche à créer une réalité dans la fiction, comme un voyage initiatique pour pousser les lecteurs et les spectateurs, à s’évader…

Informations pratiques

“Mystère au manoir d’Ahsford” d’Anaïs Bonaventure

  • Sortie : 9 novembre (disponible en prévente à partir du 2 novembre).
  • 210 pages
  • format broché
  • ISBN 9782322459414

Pour en savoir plus

Découvrir le livre : https://anaisbonaventure.com/projets/mystere-au-manoir-dashford/

E-shop : https://boutique.anaisbonaventure.com/

Site web : https://anaisbonaventure.com/

Facebook : https://www.facebook.com/AuteureBonaventure/

Instagram : https://www.instagram.com/anaisbonaventure/

LinkedIn : https://www.linkedin.com/in/ana%C3%AFs-bonaventure-0b9223a6

Rentrée littéraire : “Le goût du vertige” de Stéphane Chaumet, un roman puissant en hommage aux existences dans lesquelles vie et mort se croisent sans cesse

Peut-être que mourir ce n’est pas grand-chose, ce qu’il y a d’inadmissible, c’est la mort de ceux qu’on aime.

Une vingtaine d’années après la disparition de son amie, morte à 22 ans d’une maladie rare, le narrateur retrouve par hasard une autre femme qu’il a connue à cette époque, une violoniste avec laquelle il a vécu une étrange et brutale passion.

Resurgissent ces deux histoires séparées, mais intimement liées dans sa mémoire où se mêlent la violence du désir et celle du deuil.

Dans “Le goût du vertige”, son nouveau roman publié aux Éditions des Lacs, l’écrivain, poète et traducteur français Stéphane Chaumet, atteint l’équilibre parfait entre pulsion de vie et pulsion de mort. 

L’écriture devient le support d’un flot de pensées jaillissant. On est saisi à la lecture par son arythmie : les phrases courtes et longues se succèdent, les époques et les lieux changent pour signifier ce cœur qui bat de façon irrégulière, de façon douloureuse… Mais qui bat toujours.

Et puis il y a les personnages, tous confrontés à la mort d’une manière différente :

  • Isa qui souhaite vivre mais meurt ;
  • Isolde qui cherche à disparaître sans y parvenir
  • et le narrateur entre ces deux femmes qui sont pour lui les faces d’une même pièce.

À paraître le 25 août.

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Extrait

« Ne pas rater sa mort. » C’est quoi ne pas rater sa mort ?

Ma réponse : S’il n’y a rien après la mort, on ne peut pas faire l’expérience de la mort, de ce rien, puisqu’une fois mort on ne sait rien, on ne sent plus rien. On ne peut faire que l’expérience de mourir. C’est cette expérience que je ne voudrais pas “rater”, c’est-à-dire en avoir conscience. Mourir dans le sommeil, si je ne le sens pas, ne pas se réveiller, mourir comme on dit de « sa belle mort », voilà ce qui pour moi serait “rater sa mort”.

La sienne : Et si tu sentais l’ombre de la mort planer au-dessus de toi, pire, si tu sentais l’ombre de la mort s’étendre en toi, est-ce que tu penserais à la mort de la même façon ?

Et la mienne : Je ne sais pas. Sans doute que non. Et encore moins si elle venait, à contretemps et scandaleusement, usurper sa place. Et je joignais un fragment du poème de Rilke où il souhaite à chacun « sa propre mort ».

Isa m’avait répondu avec un poème de Desnos (Comme une main à l’instant de la mort et du naufrage se dresse), accompagné d’un dessin naïf et drôle où elle se caricaturait en dansant avec un squelette et moi faisant la lecture au chevet d’un lit vide, un chat assis sur la table de nuit comme à la place d’une lampe nous observait avec ironie.

Le poème de Desnos se termine par ces vers :

Tu pleureras sur mon tombeau,
Ou moi sur le tien.
Il ne sera pas trop tard.
Je mentirai. Je dirai que tu fus ma maîtresse.
Et puis vraiment c’est tellement inutile,
Toi et moi, nous mourrons bientôt.

Stéphane Chaumet : écrivain, poète et traducteur français

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Stéphane Chaumet (Dunkerque, 1971) a passé de longs séjours dans différents pays d’Europe, d’Amérique latine, au Moyen-Orient, en Asie et aux États-Unis avant de s’installer à Bogotá (Colombie).

Il a publié, entre autres :

ÉDITIONS DU SEUIL, Collection Cadre rouge

  • Même pour ne pas vaincre, roman, 2011
  • Au bonheur des voiles (chroniques syriennes), récit, 2013
  • Les Marionnettes, roman, 2015

ÉDITIONS AL MANAR

  • Les cimetières engloutis, poésie, 2013
  • Fentes, poésie, 2015
  • Le hasard et la perte, poésie, 2019

ÉDITIONS DERNIER TÉLÉGRAMME

  • Insomnia, poésie, 2018
  • Cellules, poésie, 2020

ÉDITIONS L’OREILLE DU LOUP

  • Urbaines miniatures, poésie, 2007
  • Dans la nudité du temps, poésie, 2007

ÉDITIONS LEGS

  • L’île impasse, récit, 2019

À propos de la maison Éditions des Lacs

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Notre marque de fabrique ? Oser des choix audacieux en publiant aussi d’”extraordinaires histoires de gens ordinaires” traitant de sujets tels que la transidentité, les troubles du comportement alimentaire, l’addiction sexuelle féminine ou encore la gestion du deuil.

En février 2020, les Éditions des lacs ont publié leur premier livre et, depuis, leur catalogue s’est considérablement enrichi d’auteurs francophones et italiens. Aujourd’hui et malgré la crise sanitaire qui aurait pu compromettre son lancement, la jeune maison d’édition est toujours là et s’apprête à vivre une nouvelle rentrée littéraire.

En publiant “Le goût du vertige” de Stéphane Chaumet, elle démontre sa capacité à porter un auteur d’une plus grande maison. Morgane, la Présidente, a été immédiatement séduite par ce texte.

Après un long entretien avec Stéphane, afin de s’assurer d’avoir bien compris et ressenti son livre, Morgane a décidé de le sortir à l’occasion de ce temps fort de la vie littéraire française.

Portrait de Morgane, la Présidente

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Morgane, 30 ans, était dans une autre vie gérante d’un cabinet d’assurance spécialisé en risques industriels et risques de la construction.

Un métier qui lui imposait de se contorsionner pour rentrer dans des cases de plus en plus petites. Alors un jour, elle a décidé de changer de voie pour créer sa propre case…

Elle a tout redémarré de zéro dans un domaine qui n’était pas le sien, quitte à tout faire et à tout apprendre.

Avec une ambition : lancer une maison d’édition qui soit le juste reflet d’histoires de vie. C’est d’ailleurs pour cela qu’elle l’a appelé Les Éditions des Lacs : la surface de l’eau est un miroir…

Informations Pratiques

“Le goût du vertige” de Stéphane Chaumet

  • Éditions des Lacs
  • Collection Méandres
  • Sortie : 25/08/2022
  • Roman
  • Format : 15 x 21 cm
  • ISBN : 9782491404239
  • 170 pages
  • Prix : 17,90 €

Pour en savoir plus

Découvrir le livre : https://www.editionsdeslacs.com/legoutduvertige.html

Un aperçu des précédents livres publiés : https://www.relations-publiques.pro/wp-content/uploads/pros/20220713080347-p3-document-uqvg.pdf

Site web : https://www.editionsdeslacs.com/

Facebook : https://www.facebook.com/editionsdeslacs

Instagram : https://www.instagram.com/editionsdeslacs/

LinkedIn : https://www.linkedin.com/company/editions-des-lacs

Après Le Chœur singulier de Milly Davis de S. A. Yarmond, qui s’est vendu à plus de 1 000 exemplaires, les Éditions Hurlevent préparent la sortie d’un nouveau roman, La Duchesse de Buckingham de Shannen Malka, historienne de l’art au service de la romance historique

Vous êtes cordialement invité au bal annuel de Sa Majesté la reine Victoria.

Après six mois d’existence, les Éditions Hurlevent s’apprêtent à sortir leur second ouvrage, La Duchesse de Buckingham de Shannen Malka, une romance sur fond de complots et de secrets de cour au temps du règne de Victoria.

À paraître le 12 octobre 2022.

La Duchesse de Buckingham de Shannen Malka, photo non contractuelle

La Duchesse de Buckingham de Shannen Malka, photo non contractuelle

 

Résumé

Angleterre, 1841. Elena Quincy, fille du comte de Winchester, mène une existence paisible au cœur de la campagne anglaise, dans un écrin de verdure qu’elle se plaît à parcourir à cheval, au détriment de ses leçons d’étiquette dont elle se passerait volontiers. Mais le calme de son quotidien est brisé lorsqu’elle assiste dans la ville de Southampton à une scène d’une rare violence entre un maître d’œuvre et son employé, un enfant d’à peine dix ans.

Cet événement bouleverse Elena qui ne parviendra pas à retrouver la sérénité avant d’en avoir apporté un peu à ces enfants. Une décision qui la mène, bien malgré elle, dans l’entourage de la reine Victoria.

À Buckingham Palace, Elena découvre un milieu qu’elle ne connaît pas et est emportée dans le tourbillon de complots et de mondanités qu’est la cour. Et alors qu’elle se fait quelques alliés et que la passion amoureuse s’invite, des figures menaçantes commencent à se dessiner, avides de la plonger dans le déshonneur, tandis qu’au-delà des grilles majestueuses du palais, le peuple gronde.

Le Chœur singulier de Milly Davis de S. A. Yarmond

Le Chœur singulier de Milly Davis de S. A. Yarmond, photo non contractuelle

Le Chœur singulier de Milly Davis de S. A. Yarmond, photo non contractuelle

Résumé

Milly Davis est une écrivaine à la confiance fragile. Si le premier tome de sa saga historique, Les espérances des femmes Templeton, s’est retrouvé sur les étals de toutes les plus grandes librairies du monde, son syndrome de l’imposteur a refait surface à l’apparition de critiques dénonçant des anachronismes.

Encouragée par Lyrah, avec qui elle entretient une amitié épistolaire depuis des années, Milly décide de braver troubles anxieux et timidité maladive en retrouvant les bancs de la fac d’histoire. Sous l’impulsion de son entourage et pour le bien de sa saga, elle sollicite l’aide d’Alphard Burton, professeur d’archivistique, qui accepte de lui prêter main-forte dans ses recherches.

Fouilles dans les rayonnages poussiéreux d’une librairie mystérieuse et discussions passionnées autour d’une tasse de thé bouleversent alors son quotidien habituellement casanier, et à mesure que l’histoire d’Isadorah Templeton s’écrit, celle de Milly se tisse également.

Entre les réunions du club d’activistes véganes de sa grand-mère, la fantasque Maggie, les rendez-vous studieux avec son professeur et l’écriture de son second roman, le train de vie de Milly s’intensifie, tant et si bien qu’elle peine à voir les évidences qui se dressent sur son chemin.

Des plaines écossaises battues par le vent aux allées sombres d’une librairie clandestine, Milly partira en quête de deux destins, celui de l’héroïne de son roman et le sien.

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S. A. Yarmond, l’autrice du roman Le Chœur singulier de Milly Davis

Les Éditions Hurlevent : les mots qui nous relient

Les Éditions Hurlevent sont une maison d’édition propulsée par trois jeunes femmes extérieures à cet univers mais passionnées de lecture. Connues dans la sphère littéraire Instagram et YouTube (pour Sarah), elles comptabilisent à elles trois environ 60 000 abonnés.

Elle se démarque par des partis pris forts et assumés :

Ne publier que des livres reliés

Sarah, Alexia et Marion ont envie de renouer avec un héritage littéraire oublié en remettant au goût du jour ces ouvrages d’une grande élégance aux dos travaillés, aux couvertures raffinées, à la manière des classiques que l’on peut trouver dans les bibliothèques de nos grands-parents.

Aujourd’hui, le livre est hissé au rang d’objet d’art, il est photographié, mis en valeur. Elles tiennent à mettre autant l’accent sur le contenu que sur le contenant.

Une esthétique et une ligne graphique soignées

Au-delà de quelque chose de visuellement joli, les Éditions Hurlevent tiennent à véhiculer des valeurs, des aspects qui leur sont chers. À savoir quelque chose de traditionnel, d’authentique, de nostalgique, confinant à la mélancolie et à la poésie.

Nous souhaitons que d’un coup d’œil, un lecteur/une lectrice ou un auteur/une autrice sache plus ou moins ce que l’on publie.

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Une ligne éditoriale qui privilégie l’ambiance d’un livre plutôt que son genre

Les Éditions Hurlevent ne se cantonnent pas à un genre en particulier, pour ne pas se sectariser et donner leur chance à davantage d’écrivains et écrivaines.

Certains types d’ouvrages sont toutefois exclus : la dystopie, la SF, le théâtre, les beaux-livres (livres d’art, de cinéma, etc.), la littérature jeunesse, la littérature érotique, les livres de développement personnel et les BD & mangas.

Une mise en page aérée

Lectrices avant tout, Sarah, Alexia et Marion cherchent à optimiser le confort de lecture. Cela passe par des marges plus larges, un interlignage suffisamment espacé, un livre qui se maintient ouvert pendant la lecture.

L’humain au centre de tout

Même si, dans un futur plus ou moins proche, l’équipe s’agrandit, les Éditions Hurlevent mettront toujours un point d’honneur à se tenir à la disposition des auteurs & autrices avec qui elles travaillent. Elles tiennent à les assister du début à la fin de leur aventure éditoriale, à écouter leurs aspirations et leurs envies au sujet de leur manuscrit. Avec, toujours, la volonté de développer et de conserver cette relation de confiance.

À propos des fondatrices

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De gauche à droite : Alexia VANDEVELDE, Sarah ABEL, Marion JUIN-SEMET

Sarah Abel – Directrice et fondatrice

Avocate de formation, elle a décidé de laisser de côté la robe noire pour se lancer dans le rêve d’une vie : créer sa propre maison d’édition. À 26 ans, Sarah cumule les casquettes : elle est cheffe d’entreprise, éditrice, youtubeuse, instagrammeuse, mais aussi autrice de deux romans, Amour, gluten et sororité paru en 2020, et Le Chœur singulier de Milly Davis, dont la sortie officielle est le 6 juillet 2022 aux Éditions Hurlevent.

Alexia Vandevelde - Graphiste et community manager 

Après des études de tourisme, elle a décidé de se réorienter en réalisant une formation de graphiste pour donner libre cours à sa créativité et son talent, et a créé son autoentreprise. Actuellement hôtesse de billetterie pour une grande entreprise, elle espère bientôt pouvoir travailler à temps plein pour la maison d’édition.

Marion Juin-Semet – Correctrice et rédactrice web

Marion a toujours baigné dans le monde des mots. Après avoir dédié ses études à la littérature, du bac au master, c’est tout naturellement qu’elle s’est dirigée vers la correction orthographique et a proposé ses services par le biais de son autoentreprise.

La genèse de cette belle aventure

Sarah mûrit le rêve de créer sa maison d’édition depuis l’adolescence. Elle avait tout en tête : le nom, l’esthétique, l’envie de ne publier que des livres reliés. Il ne manquait pas grand-chose pour concrétiser cette aspiration.

C’est en 2021, à la suite d’une énième désillusion dans le monde de l’avocature, qu’elle a décidé de se lancer. Elle a contacté Alexia et Marion – avec qui elle avait déjà travaillé pour son premier roman – et leur a exposé son projet qu’elles ont tout de suite approuvé.

Elles se sont alors associées et les Éditions Hurlevent ont vu le jour en mars 2022 à Dijon.

Aujourd’hui, tout en restant réalistes et conscientes du chemin qu’il reste à parcourir, elles souhaitent atteindre la dizaine de parutions par année civile. Pour cela, elles vont solliciter un financement bancaire afin de dynamiser leur calendrier éditorial.

Nous espérons pouvoir prochainement en vivre à temps plein et, pourquoi pas, agrandir l’équipe, développer de nouvelles collections, et contracter avec un diffuseur et un distributeur.

Informations pratiques

Le Chœur singulier de Milly Davis de S. A. Yarmond

  • Sortie : 06/07/2022
  • Les Éditions Hurlevent
  • Roman contemporain
  • Format : relié
  • ISBN : 978-2-494109-00-1
  • EAN : 978249109001
  • Dimensions : 21,7 x 15,6 x 5,7 cm
  • Nombre de pages : 750
  • Prix : 25 €

La Duchesse de Buckingham de Shannen Malka

  • Sortie : 12/10/2022
  • Les Éditions Hurlevent
  • Roman historique
  • Format : relié
  • ISBN : 978-2-494109-01-8
  • EAN : 9782494109018
  • Dimensions : à venir
  • Nombre de pages : 472
  • Prix : 25 €

Pour en savoir plus

Découvrir Le Chœur singulier de Milly Davis de S. A. Yarmond  (à commander en ligne ou en librairie) : https://editionshurlevent.wixsite.com/editions-hurlevent/catalogue

Dossier de presse : https://www.relations-publiques.pro/wp-content/uploads/pros/20220621161446-p3-document-afbk.pdf

Site web : https://editionshurlevent.wixsite.com/editions-hurlevent

Instagram : https://www.instagram.com/editionshurlevent/

Facebook : https://www.facebook.com/maisonhurlevent

LinkedIn : https://www.linkedin.com/company/%C3%A9ditions-hurlevent/

Sortie du livre Hana d’Alena Mornštajnová : le roman best-seller en République tchèque enfin traduit en français

Un jour d’hiver 1954, Mira, neuf ans, désobéit à ses parents. En guise de punition, elle est privée de dessert.
Cet incident, d’apparence ordinaire, va pourtant changer sa vie pour toujours. Elle se retrouve avec son étrange
tante Hana et découvre, peu à peu, le passé tragique de sa famille…

À un rythme captivant et avec un remarquable sens du drame, Alena Mornštajnová nous livre le récit de deux
destins étroitement imbriqués, où s’entrelacent la culpabilité et la souffrance, la mort et le souvenir, un récit
où chaque mot a son poids et les silences sont éloquents.

Alena Mornštajnová est une autrice à succès : son roman Hana est un best-seller qui s’est vendu à plus de 200 000 exemplaires en République tchèque et qui a déjà été traduit en 14 langues. Il a aussi remporté le Prix du livre tchèque en 2018.

 

Des souvenirs viennent toujours me rendre visite. Il y en a encore beaucoup de pénibles, mais il y en a de plus en plus qui me donnent envie de vivre.

Alena Mornštajnová

Hana, 1ère de couv, avec bandeau

Un roman bientôt adapté pour le cinéma

Déjà adapté au théâtre et prochainement sur grand écran en République tchèque, Hana est un roman emblématique de la nouvelle littérature tchèque.

Plébiscité par les lecteurs et récompensé par de nombreux prix, il a reçu des critiques élogieuses de la presse internationale :

Der Haubentaucher : “Raconter des histoires de manière à ce que le lecteur ne puisse pas les lâcher est le secret des bons livres. Ces histoires ont la qualité de former une alliance avec les lecteurs et de résonner avec eux. Hana d’Alena Mornštajnová appartient à cette catégorie.”

Radiožurnál : “Alena Mornštajnová est l’une des écrivaines tchèques les plus populaires de notre époque.”

Agáta Pilátová, Týdeník Rozhlas : “Conteuse merveilleuse, ses rebondissements et ses points sont exposés avec une habileté magistrale.”

Tino Dallmann, SWR2 : “Le roman Hana d’Alena Mornštajnová est considéré comme l’un des livres tchèques les plus réussis de ces dernières années. “

Hana est le premier roman d’Alena Mornštajnová publié en France.

Hana, 1ère de couv, avec et sans bandeau

Alena Mornštajnová, une romancière incontournable de la littérature tchèque contemporaine

Alena Mornštajnová est une romancière et traductrice tchèque.

Elle débute dans la littérature en 2013 avec le roman Slepá mapa (La Carte aveugle), suivi de Hotýlek (Un petit hôtel) en 2015.

C’est avec Hana (2017), plusieurs fois récompensée, y compris avec le Prix du livre tchèque en 2018, et acclamée par la critique et les lecteurs, qu’Alena Mornštajnová s’impose comme l’un des principaux écrivains contemporains tchèques.

Une adaptation théâtrale d’Hana est jouée par le Théâtre national de Brno depuis juin 2019, ainsi que par le théâtre Klicperovo divadlo de Hradec Králové depuis juin 2021. Une adaptation cinématographique est en cours de réalisation.

Hana s’est vendue à plus de deux cent mille exemplaires et est déjà traduite en quatorze langues.

Alena Mornštajnová est également l’autrice de deux autres romans, Tiché roky (Des années de silence), 2019, et Listopád (Novembre), 2021, et de livres pour enfants.

L’ensemble de ses livres s’est déjà vendu à plus de cinq cent mille exemplaires. Elle vit aujourd’hui de sa plume et réside dans la ville de Valašské Meziříčí, dans l’est de la République tchèque.

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Un traducteur de talent au service de la littérature tchèque

Le roman Hana a été traduit en français par Benoît Meunier.

Né à Lyon en 1977, il abandonne rapidement ses études de philosophie pour se tourner vers les langues vivantes et s’installe définitivement à Prague en 2004, où il travaille comme professeur de français et comme traducteur.

Il commence sa carrière de traducteur littéraire avec un inédit de B. Hrabal, Jarmilka (2002). Suivent divers romans, notamment une nouvelle traduction des Aventures du brave soldat Švejk pour Folio classique (2018), des livres pour enfants, des pièces de théâtre, des bandes dessinées.

Avec un recueil de poèmes de B. Reynek (2016), il revient à la traduction de la poésie, notamment tchèque contemporaine.

Pour lui, la traduction littéraire est une pratique qui fait pendant à l’écriture : il publie des poèmes dans des revues tchèques et françaises, ainsi qu’un premier recueil de nouvelles, Désertiques, en 2022.

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« Fiction Europe » : un autre regard sur la littérature européenne

La littérature européenne ne se résume pas aux œuvres anglaises, espagnoles, italiennes ou allemandes !

Afin de nous amener à comprendre nos voisins européens, à nous enrichir d’une vision différente sur le monde qui nous entoure ou à bousculer nos certitudes, la collection « Fiction Europe » met en avant des œuvres littéraires européennes de qualité, connues et reconnues dans leurs pays respectifs, récompensées au niveau international et encore inédites en France. L’objectif est de leur donner « une résonance nouvelle, une vie plus longue, un lectorat plus large ».

De jeunes auteurs talentueux vont côtoyer des auteurs déjà établis. Des sujets tabous ou restés longtemps comme tels dans notre société trouveront leur expression. Des thématiques historiques et des particularités nationales apporteront à cette collection une diversité captivante. Les quatre premiers titres, qui inaugurent cette collection en 2021, ont obtenu le Prix de littérature de l’Union européenne.

Une identité visuelle forte et unique

Selon un auteur et théoricien de l’art très connu, « le jaune apporte toujours une lumière » et « le bleu apporte toujours une ombre ». Cette approche fondamentale se retrouve au cœur de l’identité visuelle qui a été pensée pour la collection « Fiction Europe » : avec ses jeux de couleurs, d’ombres et de lumières, elle confère une nouvelle dimension à toutes ces œuvres venues d’ailleurs et met en avant la littérature haute en couleur.

Avec les illustrations de Mikki Rosa, le concept de couvertures vise à mettre en lumière – au sens à la fois propre et figuré – un personnage, un objet concret ou encore une chose abstraite que le lecteur découvre et comprend au fil des pages.

La citation sur la quatrième de couverture donne quelques indices, tandis que le marque-page intégré suggère deux directions de lecture opposées. C’est au lecteur de choisir.

Le bandeau, qui signale aussi la récompense principale du livre, acquiert ainsi une véritable fonction, car il permet au lecteur d’être partie prenante du livre.

Les Éditions Bleu et Jaune : aller à la rencontre de l’Autre

Les Éditions Bleu et Jaune, qui ont pour ligne éditoriale la découverte de l’Autre, s’attachent à cultiver l’ouverture sur le monde et à construire des ponts interculturels. Fondées en 2015 par Tatiana Sirotchouk, Docteure en langue et littérature françaises, elles ont leur siège social sur l’avenue des Champs-Élysées à Paris.

Leur ambition : mettre en lumière des œuvres écrites dans les langues moins répandues, qui représentent seulement 11 % des titres traduits en France, et plus particulièrement les langues et littératures qui se trouvent en Europe. Cet engagement est né de la croyance que les langues moins répandues produisent de grandes œuvres littéraires qui méritent d’être connues du lecteur français et francophone.

En 2019, la maison d’édition évolue en société d’édition et met en place des partenariats avec le diffuseur CED-CEDIF et le distributeur POLLEN.

L’année 2020 marque un tournant pour les Éditions Bleu et Jaune. Elles obtiennent les droits de traduction et de publication en France de plusieurs ouvrages récompensés par le Prix de littérature de l’Union européenne, qui sont publiés dans la collection « Fiction Europe » en 2021.

Un engagement en faveur de la planète

Consciente des enjeux environnementaux actuels, la maison d’édition adopte une démarche écoresponsable pour contribuer à stopper le dérèglement climatique. Cet engagement se traduit par des actions très concrètes :

Imprimer les livres en France

Les livres des Éditions Bleu et Jaune sont imprimés en France et sur du papier issu de forêts gérées durablement. Pour une jeune maison d’édition, ce choix a un coût, mais il est essentiel, car en accord avec les valeurs qui l’animent.

Contribuer au reboisement des forêts

Un partenariat de longue durée a été établi en 2020 avec la société française Naudet, spécialiste du reboisement des forêts en France.

Chaque année, des arbres sont plantés grâce au financement des Editions Bleu et Jaune. Ces plantations permettent de stocker le CO2, de filtrer l’eau, de libérer le dioxygène et de préserver la biodiversité et la faune. En 2021, deux plantations ont eu lieu : en avril 2021, cent arbres ont été plantés en Alsace et, en décembre 2021, cent arbres ont été plantés dans le domaine de Chantilly (à proximité du château de Chantilly), géré par l’Office national des forêts.

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Des livres qui plantent des arbres

Mais la maison d’édition a la volonté d’aller encore plus loin. Son objectif, à court terme, est que chaque livre vendu participe, à la hauteur de 30-50 cents, à la plantation d’un arbre et, à long terme, que chaque livre vendu finance la plantation d’un arbre. Les lecteurs peuvent ainsi s’engager aux côtés de la maison d’édition pour lutter contre le dérèglement climatique tout en lisant des livres de qualité.

À propos de Tatiana Sirotchouk, fondatrice et présidente des Éditions Bleu et Jaune

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Française d’origines ukrainienne et polonaise, Tatiana Sirotchouk est Docteure en langue et littérature françaises. Après ses études à l’université de Tchernivtsi en Ukraine, elle travaille en tant que professeure dans la même université.

En France, elle obtient le titre de Docteure en langue et littérature françaises en 2009 à l’université de Nancy 2 (actuellement université de Lorraine) et achève son parcours universitaire par une qualification aux fonctions de maître de conférences en études slaves. Cette même année, elle devient enseignante à l’INALCO, à Paris, et membre de l’équipe de recherche PLIDAM.

Avec plus de dix années d’expérience dans l’enseignement supérieur et la recherche, Tatiana Sirotchouk est l’auteure de différents ouvrages, programmes de recherches, contributions à des colloques et journées d’études, articles et conférences, présentés lors de manifestations universitaires et culturelles en France, en Ukraine, en Allemagne, en Pologne et au Canada.

Aujourd’hui, elle se consacre entièrement aux Éditions Bleu et Jaune, qu’elle dirige avec passion et engagement.

Informations Pratiques

Alena Mornštajnová, Hana

  • Parution : 9 juin 2022
  • Collection « Fiction Europe »
  • Traduction : Benoît Meunier
  • ISBN livre papier : 979-10-94936-23-8
  • Prix : 23 euros

Pour en savoir plus

Découvrir le livre : https://www.editionsbleuetjaune.fr/livres/hana/

Site web : https://www.editionsbleuetjaune.fr/

Facebook : https://www.facebook.com/editionsbleuetjaune/

Instagram : https://www.instagram.com/editionsbleuetjaune/

“Nos vies entre les morts” de Yuzu Murikawa : un roman qui plonge les lecteurs dans le Japon d’aujourd’hui où règne l’individualisme, la solitude… et la quête de sens

Dans moins de cinq heures, j’ouvrirai la porte sur plusieurs décennies d’existence, des objets de toutes sortes avec chacun une histoire que plus personne n’est là pour raconter…

Elle s’occupe des morts oubliés.

À Tokyo, Noriko, 31 ans, travaille pour une entreprise spécialisée dans la remise en état des habitations des kodokushi, ces “morts solitaires” parfois découverts des semaines après leur décès. C’est elle qui décide du devenir de leurs effets personnels, une mission dont elle essaye de s’acquitter le plus humainement possible.

Mais peut-on toujours tenir la mort à distance ?

Contrairement à son trio de collègues plus jeunes et insouciants, Noriko lutte pour ne pas se laisser hanter par les derniers instants des disparus. Sa solitude, autrefois désirée, lui apparaît de plus en plus comme un enfermement.

Elle entame alors une liaison qu’elle espère sans implication, pour tenir ses émotions à distance. Jusqu’à ce que le réel, tumultueux et intransigeant, la rattrape.

Écrit entre deux pays et deux cultures par Yuzu Morikawa, Nos vies entre les morts dépeint l’intimité de jeunes citadins d’aujourd’hui, confrontés à l’individualisme et mûs par leur désir d’une existence qui fait sens.

Pour autant, « une force de vie » se dégage du livre, « très beau » et d’une « grande qualité littéraire ».

Ouest-France

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Plus qu’un roman, un tableau humaniste d’un Japon que l’on raconte peu

Loin des images d’Épinal que nous avons parfois sur le Japon, Yuzu Morikawa aborde une thématique sociale profonde et sensible, encore peu connue : celle de la solitude des grandes villes et d’un monde vieillissant, loin d’une modernité prospère.

Une situation d’autant plus d’actualité que, depuis la pandémie de Covid-19, le pays du soleil levant a dû se doter d’un ministère de la Solitude pour lutter contre la vague de suicides frappant son pays (source).

Surfant sur la tendance actuelle d’un attrait du grand public et des mass medias pour le Japon, l’auteure nous amène aussi à nous interroger sur un phénomène qui effleure aussi parfois l’Occident : les kodokushi, ces personnes décédées chez elles sans que l’on s’en aperçoive. Comme ce Breton de 80 ans, dont le décès n’a été constaté que 4 mois plus tard (source), cette Italienne momifiée chez elle (source) ou ce Nivernais de 35 ans retrouvé trois semaines après son décès (source).

La mort, taboue et tenue depuis des décennies à distances de nos existences, fait son retour dans nos sociétés. Au fil des pages, les lecteurs découvrent comment le Japon l’appréhende, entre embarras et respect.

Yuzu Morikawa pose un regard sans compromis mais non dénué d’optimisme sur nos sociétés individualistes. Elle montre ainsi comment la jeunesse, entre désillusion et débrouillardise, se réinvente en permanence.

Par la voix de sa narratrice, elle livre aussi un récit sensuel et intimiste, avec une vision de la sexualité crue et émouvante, sans vulgarité ni lourdeur. Son univers singulier, riche en personnages inattendus, nous embarque aussi au cœur d’une histoire d’amour où rien n’est jamais joué…

Sommaire

  • Cleaning
  • Silences
  • Les mouches
  • Ce qu’on veut bien montrer
  • Uniques
  • « Le rêve s’épanouit dans la nuit »
  • Bourgeons
  • Clair-obscur
  • Traces
  • La femme qui a eu froid aux pieds toute sa vie
  • Sous les néons
  • House Keeping
  • Chair vibrante et palpitante
  • L’oubli
  • Ce qu’on cache
  • Ce qui se répare… ou pas
  • Ce qui manque
  • Seiji
  • Noriko
  • Flocons d’été
  • Ce qui reste
  • Playlist

Extrait

“Le nettoyage ou cleaning, comme on l’appelle dans le jargon officiel chez HeavenlyWays – comme si l’usage de l’anglais aseptisait l’opération pour la rendre plus présentable –, de la maison de M. Tatsumi aura duré trois jours complets.

Dès que HeavenlyWays reçoit un appel pour la prise en charge d’un logement de kodokushi, Koike, Aoyama et moi empruntons la camionnette, ou je les rejoins sur place, le patron faisant rarement le déplacement. Il arrive qu’on croise les services sociaux ou la police quand ils s’éternisent, mais c’est rare. Le corps, lui, n’est déjà plus là. En combinaison protectrice, avec masque et gants, je commence par prendre des photos, lesquelles font office d’état des lieux. Puis Koike et Aoyama repèrent les choses à jeter en priorité – denrées périssables, plantes mortes, animaux morts, ce qui arrive parfois… – pendant que j’observe l’ensemble pour évaluer la quantité de travail que nous allons devoir effectuer.

Nous découvrons le logement tel que le défunt ou la défunte l’a laissé, et c’est comme si on débarquait au milieu d’un repas ou d’une sieste, avec le sentiment d’interrompre quelque chose. Je ne crois pas aux fantômes, je ne parle pas non plus aux morts. Ils n’ont rien à me dire, on ne s’est jamais rencontrés et ils sont partis. Je me penche au contraire sur ce qu’il reste de vie, je m’attache à la façon dont cette personne pourrait subsister dans le souvenir des vivants. Je traque les marques, les reliefs susceptibles non pas de raconter qui était le défunt, parce que je sais combien résumer une personne à l’endroit où il a vécu ses dernières années peut être réducteur.

Les intérieurs ne sont que la surface d’une fin de parcours. Les piles de vêtements d’un homme ne disent rien de ce qu’il a été enfant, adolescent, adulte, elles ne racontent rien de ses amours, de ses peines ou de ses bonheurs. Ce qu’il reste des disparus n’est jamais que des restes.”

Portrait de Yuzu Morikawa, l’auteure

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Née dans la préfecture de Nara, Yuzu Morikawa vit depuis plusieurs années entre la France et le Japon. Après des études d’Histoire et différents métiers, elle est aujourd’hui traductrice et interprète.

Écrit directement en français, Nos vies entre les morts est son premier roman.

À propos de Blacklephant Editions

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Dans un monde ultra-connecté et plongé dans l’instantanéité, Blacklephant Éditions invite à faire un pas de côté, à oser la prise de recul offerte par l’écriture.

Elle publie des romans, des témoignages, de beaux livres et de la bande dessinée. Autant d’ouvrages qui ont tous un point commun : ils sont écrits par des auteurs talentueux, libres et engagés, qui mettent en lumière la richesse de la diversité, l’inclusion, la protection de la vie, l’imagination, la connaissance, la résilience, la soif de découverte et l’ouverture au monde.

Toute l’équipe, guidée par son intuition, aime faire découvrir à ses lecteurs de véritables coups de cœur. C’est d’ailleurs pour cela qu’elle a choisi l’éléphant comme animal totem ! Il symbolise la loyauté, l’empathie et la camaraderie qu’elle veut incarner au quotidien auprès de tous ses interlocuteurs.

Blacklephant Éditions est située à Auray, en Bretagne Sud. Elle est une marque de Goodman et Compagnie, un studio de production audiovisuelle qui place l’humain au centre du jeu.

Informations Pratiques

“Nos vies entre les morts” de Yuzu Murikawa

  • Éditeur : Blacklephant
  • Sortie : 5 mai 2022
  • Cible : grand public (d’abord français puis international)
  • Broché :‎ 224 pages
  • ISBN-10 ‏: ‎2493043073
  • ISBN-13 : ‎978-2493043078
  • Dimensions ‏: ‎15 x 1.6 x 21 cm
  • Prix : 15€

Pour en savoir plus

Découvrir le livre : https://blacklephant.com/ouvrage/nos-vies-entre-les-morts/

Site internet : https://blacklephant.com/

Facebook : https://www.facebook.com/Blacklephant.editions/

Instagram : https://www.instagram.com/blacklephant.editions/

LinkedIn : https://www.linkedin.com/company/blacklephant/

La deuxième édition du festival “Lire sur la Sorgue” accueille une trentaine d’auteurs & d’artistes du 17 au 22 mai à L’Isle sur la Sorgue (84)

L’association “le cercle des lecteurs des Sorgues”, la librairie « Le Passeur de l’Isle », le Fonds de dotation “Nouveaux lecteurs” organisent à L’Isle-sur-la-Sorgue le Festival « Lire sur la Sorgue » du 17 au 22 mai 2022.

Après le succès de la première édition d’octobre 2021, nous accueillerons cette année une trentaine d’auteurs, dont Sorj Chalandon, Valérie Perrin, René Frégni, François Jullien et Jacques Ravenne…

Parce que les mots voyagent et se posent où ils le veulent, sont prévues au programme des lectures musicales, des conférences, et des rencontres avec le public dans des lieux emblématiques de l’Isle… Il faut dire qu’à l’Isle, il est hors de question pour les auteurs de rester assis pendant deux jours devant leurs piles de livres à enchaîner les dédicaces : ici, ils se découvrent en discutant, en marchant et même en naviguant sur les eaux limpides de la Sorgue.

L’organisation de ce festival est un véritable travail d’équipe qui engage une grande partie de la communauté : au soutien de la mairie s’ajoutent ceux des commerçants, des chambres d’hôtes, des établissements scolaires, des structures d’accueil et d’insertion et de nombreux bénévoles viennent enrichir l’équipe existante. Le festival est la face visible d’une réflexion et d’un travail qui courent tout au long de l’année.

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Pour faire le point sur cette deuxième édition, une conférence de presse est prévue le vendredi 29 avril à 11 heures à la 4rtgallery, 15 rue Danton, 84800 L’Isle sur la Sorgue

La genèse du festival

L’aventure du festival a débuté en octobre 2020, suite à une discussion entre Gilbert et Maria, co-organisateurs.

Tous deux ont partagé plusieurs constats :

  • L’apparition de nouveaux lecteurs à la librairie de Maria ;
  • Le besoin d’aller chercher les bonnes informations au bon endroit ;
  • Et l’envie, après les confinements, de réapprendre à vivre les uns avec les autres, d’échanger à nouveau et de faire vivre la ville.

En octobre 2021, ils ont mis à l’épreuve leurs idées en réalisant une première édition de Lire sur la Sorgue. Les premiers auteurs invités sont repartis le sourire aux lèvres et avec l’envie de revenir !

Le Festival aura désormais lieu tous les ans au mois de mai.

D’ici 5 ans, le festival Lire sur la Sorgue sera tout simplement un rendez-vous annuel incontournable !

Des événements littéraires qui se poursuivent tout au long de l’année

Au-delà d’organiser des rencontres classiques entre auteurs/lecteurs, les organisateurs du Festival ont à cœur de développer en parallèle des actions hors les murs pour toucher les « lecteurs empêchés »

  • Travail à l’année de médiation culturelle avec des structures médico-sociales et d’insertion professionnelle ;
  • Rencontres ciblées au sein d’entreprises de la région ;
  • Rencontres en milieu scolaire (collèges et lycées) et auprès d’organismes de formation ;
  • Travail sur les mots et l’écriture en passant notamment par la vidéo.

Tout l’objectif est de mettre, dans la joie, des livres dans les mains de ceux qui n’ont jamais osé franchir les portes d’une librairie ou qui pensent que les livres ne sont pas faits pour eux.

À propos des organisateurs du festival

Maria FERRAGU - Libraire au « Le Passeur de l’Isle »

Maria

Le Passeur de L'Isle

Après un début de carrière dans la communication, Maria réalise son rêve : créer une librairie ! Comme si c’était écrit, elle reprend celle qu’elle fréquente depuis des années et y met sa patte et son enthousiasme. Elle en fait un lieu magique où les livres, les lecteurs, les éditeurs, les auteurs se rencontrent régulièrement. « Le Passeur de l’Isle » est désormais un lieu de vie central de l’Isle sur la Sorgue.

Gilbert CONIL – Président, association Cercle lecteurs des Sorgues

Gilbert

Né dans une maison sans livres, Gilbert se construit pourtant grâce à eux, tout au long de sa vie, quel que soit le métier qu’il exerce : ouvrier électromécanicien en 3×8, releveur de compteurs à EDF ou directeur de maison de retraite…

Ces mots qui ont fait de lui ce qu’il est aujourd’hui, il s’attache aujourd’hui à les transmettre. Pour Gilbert, transmettre le goût de la lecture, c’est bien souvent sauver une vie.

Humbert Mogenet – Président du Fonds de dotation « Nouveaux lecteurs »

Humbert

Fonds de Dotation Nouveaux lecteurs

L’histoire d’Humbert est celle d’un lyonnais tombé amoureux d’une Provençale et de la Provence ! Sa carrière bancaire l’amène à s’établir à l’Isle-sur-la-Sorgue, ce village-monde, encore marqué par le passage de nombreux artistes et écrivains. Aujourd’hui, comme un passeur, Humbert souhaite faire sienne la tradition de terre d’accueil et son amour de la lecture.

Pour en savoir plus

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Site web : https://liresurlasorgue.com

Facebook : https://www.facebook.com/liresurlasorgue/

Instagram : https://www.instagram.com/liresurlasorgue/

“La Violoncelliste qui inventait des mots croisés érotiques” d’Hélène Élisabeth, une comédie amoureuse qui interroge sur la place des femmes dans la littérature érotique

Pour Héloïse, jeune violoncelliste qui prépare un doctorat, la vie n’a rien d’une partition facile à jouer : quand elle ne se consacre pas à ses études ou à ses répétitions, elle enchaîne les petits boulots pour joindre les deux bouts.

Un jour, un magazine féminin lui propose d’inventer des grilles de mots croisés érotiques. Séduite par la légèreté du contrat, elle accepte. Commence alors une période tumultueuse, entre amis, amours, et recherche de vocabulaire. Parviendra-t-elle à trouver l’harmonie qui manque à sa vie trépidante ?

“La Violoncelliste qui inventait des mots croisés érotiques” est à la fois une comédie amoureuse facétieuse, qui ne manque pas de faire sourire, et une réflexion plus en profondeur sur la littérature érotique. L’autrice Hélène Élisabeth, qui a déjà publié plusieurs romans, s’interroge notamment sur la place occupée par les femmes dans cet univers singulier…

En prime, à la fin du livre, les lecteurs et les lectrices pourront aussi remplir “Le supplément jeux d’Héloïse” !

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Une immersion au cœur de la littérature érotique, avec un humour qui fait mouche

Lorsqu’elle s’est lancée dans l’écriture, Hélène Élisabeth voulait approcher 5 styles différents : Roman historique, policier, jeunesse, contemporain et érotique.

Elle connaissait déjà bien les quatre premières catégories, mais beaucoup moins la dernière !

N’étant pas spécialiste en la matière, elle a décidé de lire les classiques du genre, en partant de l’Antiquité jusqu’à une période récente (Platon, Ovide, Chaucer, Ronsard, Diderot, Apollinaire etc.). Hélène a ainsi retenu une cinquantaine de titres.

Une fois la pile de livres terminée, l’idée de “La Violoncelliste qui inventait des mots croisés érotiques” s’est imposée d’elle-même.

Nous étions tous en confinement, j’avais envie de légèreté mais pas d’un énième livre sur le sujet. J’ai préféré inventer une histoire autour de la littérature érotique avec un personnage qui n’avait rien à voir avec ce thème mais qui était amené à s’y intéresser.

Hélène Élisabeth imagine alors cette histoire de job d’étudiante consistant à inventer le supplément jeux d’un magazine féminin.

Au fil de ses lectures, elle relève alors le vocabulaire et des idées pour son projet. Elle s’est d’ailleurs bien amusée en créant les Jeux d’Héloïse, qu’elle propose à la fin du roman.

Le premier volet d’une saga en 3 tomes

“La Violoncelliste qui inventait des mots croisés érotiques” embarque les lecteurs et les lectrices dans le monde de la littérature érotique mais aussi… des jardins ! Hélène a voulu les évoquer comme un espace naturel de transformation cyclique, un espace où le promeneur peut se perdre physiquement ou en pensées.

Il sera suivi de deux tomes :

Soldats

Tome II – “La violoncelliste qui n’aimait pas sa grand-mère” : ce roman se déroule au Kirghizistan, une ancienne république soviétique d’Asie centrale, peu connue en France. L’un des personnages principaux est d’origine russe. Hélène a voulu parler des conditions dans lesquelles les Russes ont été déportés sous Staline et montrer les difficultés que certains ont rencontrées au moment de l’indépendance. Avec l’hyperinflation, ils ont tout perdu….

Tome III – “La violoncelliste qui voulait voir des girafes” portera sur le Kenya. Tout simplement parce qu’Hélène Élisabeth a envie de faire voyager ses lecteurs et ses lectrices avec elle !

 SAFARI

Un roman captivant et instructif

Hélène Élisabeth aime que ses lecteurs & lectrices apprennent quelque chose, de façon ludique, grâce à ses romans.

“La Violoncelliste qui inventait des mots croisés érotiques” n’est donc pas un énième livre érotique, bien au contraire ! Il s’agit d’une invitation à réfléchir à la place de la femme dans la littérature érotique.

Un sujet dans l’air du temps : les jeunes filles d’aujourd’hui laissent passer moins de choses que leurs aînées, elles sont plus engagées sur l’égalité des sexes. Elles remettent plus en cause les incohérences de notre société vis-à-vis des femmes.

Héloïse, l’héroïne du roman est, dans ce sens, une jeune fille moderne. Bien dans son corps, avec la certitude qu’il lui appartient. Plutôt ronde, elle s’accepte telle qu’elle est. Elle ne se laisse pas marcher sur les pieds et ne tolère pas les remarques misogynes ou machistes de ses collègues étudiants et le fait savoir.

Extrait

“Le nez plongé dans son recueil de poésie, Héloïse ne vit pas Solène arriver.

— Je ne te croise plus beaucoup en ce moment, ça avance ?

— J’ai fini les Contes de Canterbury, j’ai attaqué la poésie. J’avais oublié à quel point la femme était en sucre au XVIe siècle. À part être jolie, éthérée, discrète, modeste, de nature délicate, on n’attend rien d’autre d’elle. On ne loue pratiquement que sa beauté, jamais son intelligence ou son caractère. Depuis l’Antiquité elle doit prendre soin de son apparence, ses cheveux, son parfum, ne pas parler trop fort, savoir sourire, poser sa voix, connaître la musique, la poésie. Une jolie potiche qui ne doit surtout pas montrer qu’elle réfléchit de trop !

Et quand on ne la voit pas comme un objet fragile, elle est décrite comme sournoise ou fourbe. Franchement, pour l’instant, à part dans Lysistrata où les femmes prennent en main la vie de la cité et le Décaméron de Boccace, la femme n’est rien d’autre qu’une cruche ou au mieux une calculatrice.

— Tu abuses un peu, non ? L’amour courtois, le respect, l’honnêteté, c’était la bonne époque. On rêve toutes du prince charmant.

— À quel prix ! Franchement, ça ne t’énerverait pas à la longue qu’on te veuille uniquement pour ton côté pot de fleurs ?

— Aujourd’hui c’est différent.

— Parfois je me le demande. Passons. En attendant j’ai allongé ma liste des mots à utiliser. Si je te dis « vite enlevés, jamais dessus », tu penses à quoi ?

— C’est une définition pour tes mots croisés ?

— Oui. Alors ?

— Tu me prends à froid. Je n’ai pas d’idée. Un manteau ?

— Ce n’est pas très érotique comme réponse.

— …

— Des dessous !

— Pas mal. Une autre ?

— « Stimulant pour appétit charnel ».

— … Aucune idée.

— Satyrion.

— Connais même pas.

— C’est une racine qui serait aphrodisiaque, le bulbe ressemble à un testicule.

— Intéressant. Quoi d’autre ?

— « Il faut parfois les modérer ».

— Ardeurs ?

— Bien joué ! Une dernière ? « Parfois sur le pont ».

— …

— Soupirs. Trop tirée par les cheveux ?

— Il fallait y penser. Tu hibernes un peu trop avec tes lectures. Tu es libre, ce soir ? On pensait aller au resto avec Thomas et Cyril, on ne t’a presque pas vue de la semaine.

Héloïse avait prévu de terminer son recueil de poésie dans la soirée. Au diable la poésie. Elle décida de faire un écart dans son emploi du temps. Les programmes ne sont-ils pas faits pour être modifiés ?”

À propos d’Hélène Élisabeth, autrice et globe-trotteuse

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Hélène Élisabeth est une voyageuse dans l’âme ! Enfant et adolescente, elle a habité en France, en Allemagne et sous les tropiques. Adulte, elle a continué à déménager sur tous les continents.

Après un bac scientifique, elle suit des études de droit et décroche un diplôme de notaire. Elle travaille ensuite dans un office notarial qu’elle quitte pour intégrer le monde de l’entreprise afin de pouvoir continuer à voyager.

Elle part alors de France et devient Consultante pour des organisations internationales, notamment en qualité de traductrice.

Bouger sans cesse est parfois déstabilisant. Perdre ses amis, ses repères, sa sécurité en quelque sorte. Les livres ont toujours constitué un point d’ancrage, un refuge. J’ai donc beaucoup lu enfant et je ne me suis pas arrêtée. Ne pas avoir un ou deux livres d’avance est source d’angoisse ! Le plaisir d’écrire des romans est arrivé assez tard dans ma vie d’adulte.

Son premier roman, Journal d’une jeune fille irlandaise, publié aux Éditions Petra (ISBN 2847430164) a été écrit après un séjour en Australie. Elle y raconte, avec un grand souci de réalisme, les événements tels qu’ils s’étaient passés entre 1845 et 1847. Ainsi, même s’il s’agit d’une fiction, tout aurait pu arriver tel qu’elle le raconte. Les conditions du voyage, par exemple, sont véridiques.

Ce livre a connu un vif succès. Il va être réédité prochainement et vient d’être publié en version numérique (978-2847430165).

Le second roman d’Hélène Élisabeth, Les Évadés de Curie, a été écrit avec mon fils Ewen pendant son hospitalisation à l’institut Curie. C’est un livre jeunesse tourné vers l’évasion et la vie, publié aux Éditions Petra (ISBN 284743061X).

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Son fils Ewen

Hélène Élisabeth anime également des ateliers d’écriture pour des collégiens. (Mwendabaï ou sept nouvelles du Lac Kariba, publié aux Editions Petra en 2009). Elle travaille actuellement avec les élèves de 3ème du Lycée français de Nairobi sur des nouvelles. Le recueil regroupe plusieurs textes, tous écrits à la 1ère personne. L’action de chaque histoire se déroule durant la Première Guerre mondiale, au Kenya, sur le champ de bataille de Taïta Hills (où les Allemands et les Anglais se sont affrontés). Les personnages sont Allemands, Britanniques ou Kenyans.

“La Violoncelliste qui inventait des mots croisés érotiques” est donc son troisième roman.

Pour en savoir plus

Page officielle Facebook : https://www.facebook.com/Helene-Elisabeth-Books-101822975740973

Hélène Élisabeth : https://www.facebook.com/helene.elisabeth.7311

Instagram : https://www.instagram.com/heleneelisabethofficiel

LinkedIn : https://www.linkedin.com/in/helene-lesbats-84349075

Harcèlement : “Au-delà des nuages, le soleil brille”, un nouveau roman coup de poing de Cindy Triaire qui invite à l’espoir et à la persévérance

En France et selon les chiffres officiels, 5 à 6% des élèves sont victimes de harcèlement scolaire (source). Les associations évoquent quant à elles, une statistique proche des 10%. Une situation alarmante qui va conduire à l’adoption d’une nouvelle loi instaurant la notion de délit spécifique (source).

Car derrière chaque jeune harcelé, se trame une histoire douloureuse, un traumatisme et parfois même, une vie définitivement brisée.

Dans son troisième roman coup de poing-coup de cœur, « Au-delà des nuages, le soleil brille », la pétillante auteure Cindy Triaire porte sur le devant de la scène le combat de trois adolescents brisés par l’écrasante rengaine du harcèlement.

Une belle et sombre histoire qui appelle au courage, invite à l’espoir et à la persévérance.

Un livre qui offre un second souffle à toutes celles et ceux que la vie a éprouvé

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Après le succès incontestable de ses deux premiers romans aux sujets difficiles, à l’image de la guerre du Rwanda, de la perte d’un enfant ou des conséquences innommables de l’enlèvement, Cindy Triaire a souhaité reprendre la plume pour porter la voix des jeunes gens moqués, qui, victimes de blâmes quotidiens, perdent peu à peu pied.
Une histoire qu’elle a voulu attachante et au plus près de cette douloureuse réalité.

Poignant et inspirant, « Au-delà des nuages, le soleil brille » est destiné à un large public :

  • Aux amoureux des livres qui éprouveront, au fil des pages, de sincères émotions ;
  • Aux victimes d’abus, qui trouveront un écho à leur ressenti et se sentiront soutenus ;
  • Aux parents, soucieux de protéger leurs enfants, qui découvriront la réalité du harcèlement et les signes, subtils, qui doivent les alerter ;
  • À celles et ceux qui, sans s’en rendre compte, endossent le rôle traumatisant de bourreau.

Un roman qui s’appuie sur des histoires vraies

Derrière chaque personnage du livre, chaque situation, il y a une réalité, un vécu dont l’auteure se fait la porte-voix.

Durant ces huit dernières années, elle s’est entendue confier des centaines de témoignages poignants partagés par des personnes fortes et résilientes, bien qu’abimées.

“Page après page, j’ai voulu mettre en lumière des expressions, insultes et actes tristement réels sans pour autant sombrer dans la noirceur”.

Ses touches d’humour, disséminées tout au long de l’ouvrage en témoignent, permettant entre autres, d’offrir au lecteur de belles pistes de réflexion et un grand moment d’évasion.

Une préface signée par Vaimalama Chaves, Miss France 2019

Vaimalama Chaves

Vaimalama Chaves, Miss France 2019, a marqué les esprits par son naturel, son humour et sa sagesse. De plateaux télé en interviews radio, elle nous a confié, tout au long de son règne, un peu de son histoire.

Si elle a connu les moqueries, si lors de son adolescence le surnom blessant de “monstre” a affecté un temps sa vie, elle a refusé malgré tout de se laisser marquer du sceau de la raillerie.

Inspirante et combative, elle est l’auteure de la préface de cet ouvrage et témoigne :

Ce roman est beau, plein de délicatesse et de douceur. Il rappelle que nous avons tous plusieurs batailles à mener.

Extrait

“Avant même de les voir, il reconnut leurs voix, et son cœur cessa de battre. Instantanément, il se sentit nauséeux. Sa peur soudaine fut telle, qu’il crut que ses jambes allaient se dérober. Il jeta un coup d’œil désespéré tout autour de lui afin de trouver une possible échappatoire, mais très vite, il comprit que les lieux ne lui seraient d’aucun secours.

Ses mains se mirent à trembler, son pouls au demeurant calme, à s’affoler. Il suffoqua. Surtout rester digne. Soutenir leur regard. Être fort. Sûr de soi. Il serra les poings, prêt à en découdre. Puis, il les vit, et il sut au fond de lui que tout ça, c’étaient des conneries. Qu’il allait flancher, la fermer et comme toujours, en venir à s’écraser. Les choses en allaient ainsi depuis des années.

- Et les mecs, regardez qui va là ! Une baleine échouée sur un coin de trottoir ! Dites, ce serait pas notre ami Porcy ?

- Ah ben merde alors, ça faisait un bail ! Eh Gras double, où tu vas comme ça ? Tu veux pas dire bonjour ?

Las, il se sentit péniblement déglutir.

- … Laissez-moi passer …

- C’est moi, ou notre pote à bourrelets est en train de se faire dessus ?

- Hey respire Bibendum, on dirait un ballon de baudruche ! Tu vas finir par nous péter à la gueule !

- … Laissez-moi tranquille … s’il vous plaît !

- Ôtez-moi d’un doute les gars ! Est-ce que Bouboule vient de nous demander de couper court à nos charmantes retrouvailles ?

- J’crois bien, ouais ! C’est pas très gentil, pas vrai ? Tiens, Babar, pour toi, cadeau de la maison !

Il n’eut pas le temps de reculer, d’esquiver ou de parer le coup qui s’en vint violemment heurter son épaule. Il perdit l’équilibre, reculant lourdement sous le poids de l’impact.

- Alors, mouche à merde, tu veux vraiment pas causer ? Où sont passées tes bonnes manières ?

L’évidence des questions rhétoriques.

Cette fois-ci, les poings de son oppresseur vinrent successivement se loger dans son ventre, ses flancs, avant d’embrasser douloureusement ses côtes. Il sentit son corps se voûter, ses jambes trembler et sa respiration mourir sous la violence de l’assaut.”

À propos de Cindy Triaire, l’auteure

 

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Issue d’un Master en Sociologie, Cindy Triaire décide de reprendre ses études à l’âge de 27 ans. Elle obtient un Diplôme de Niveau I avec pour spécialisation ‘”Management et Création d’Entreprise”.

Dès l’âge de 28 ans, elle crée ainsi Tremplin Carrière, un cabinet conseil en Stratégie de Réussite implanté dans la région toulousaine, avec pour vocation d’accompagner et promouvoir la réussite tant personnelle que professionnelle. Ses formations, ses ouvrages, ses vidéos et ses accompagnements personnalisés participent activement de ce positionnement stratégique.

GPS du rebond et de l’initiative, Cindy donne envie d’oser, de relativiser, de se renouveler. Elle agit tel un véritable couteau suisse de la motivation. Solaire, percutante, elle insuffle pep’s, audace et enthousiasme à qui la côtoie. Via ses coachings, ses chroniques radio et ses animations micro, la cheffe d’entreprise aux multiples casquettes encourage à l’action et au dépassement de soi.

Voilà huit années que je suis cheffe d’entreprise. J’ai ainsi pu accompagner des centaines de personnes et découvrir leur parcours, leurs souffrances et leurs frustrations. Ces tourments, bien souvent palpables, j’ai éprouvé le besoin de les apaiser.

Elle a ainsi créé une branche encline à favoriser le développement personnel et rédigé deux premiers ouvrages : “Audace, Enthousiasme & Persévérance : Les Clefs de la Réussite” (2016) et “La Nouvelle Vision du succès : Comment décider de sa Réussite ?” (2018), avant d’honorer un rêve de petite fille en donnant vie à deux premiers romans : “Et j’ai donné son nom à une étoile“, préfacé par Philippe CROIZON avant de reprendre la plume et de présenter à ses lecteurs un second livre : “Demain, je déploierai mes ailes“, préfacé par Mélanie REBREGET, jeune femme en lice pour les prochains JO paralympiques.

Aujourd’hui, elle présente un 3e opus : « Au-delà des nuages, le soleil brille », roman préfacé par la charismatique Miss France 2019, Vaimalama Chaves, elle-même victime de harcèlement durant son adolescence.

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L’avis des premiers lecteurs.trices

Colette G.« Je me suis régalée. J’ai passé un après-midi formidable ! Je ne voulais pas lâcher cet ouvrage. C’était parfois triste, mais toujours beau ! Tout se suit, tout s’intègre parfaitement, tout est cohérent. Je n’ai pas voulu poser le livre avant d’arriver à la fin. Bravo ! » 

Fabienne R. : « Je viens d’achever la lecture de votre manuscrit. J’ai été très intéressée par ce roman qui traite avec justesse et originalité du thème du harcèlement et qui offre quelques pistes de réflexion, tant du côté des victimes que des agresseurs. J’ai aimé cette alternance de points de vue. Merci pour vos textes qui apportent réconfort, poussent à la combativité et redonnent espoir à des êtres dans la difficulté. » 

Florence L. : « C’est super chouette ! J’ai adoré ! Les personnages sont touchants, les dialogues incisifs ! Ce roman mérite largement sa place dans une grande maison du livre ». 

Betty G. : « Une Histoire riche en rebondissements. Une farandole de personnages toujours plus attachants les uns que les autres. Une écriture fluide, facile et prenante pour ce troisième roman. Avec ses notes d’optimisme et d’espoir, l’auteure nous tire vers le haut, nous démontre une fois de plus que quelques soient les épreuves, il ne faut jamais baisser les bras. A lire d’une traite. Déjà dans l’attente du quatrième ! » 

CédricS: « Je ressors une troisième fois enthousiasmé de la lecture du nouveau roman de Cindy TRIAIRE. Ses personnages sont à la fois attachants, touchants et plus vrais que nature. Hemingway disait : ‘’Tous les bons livres ont cela en commun, ils sont plus vrais qu’aurait pu l’être la réalité’’, celui-ci est de cette veine. On s’identifie facilement aux personnages, même si l’on a pas vécu les mêmes choses. Ce roman est comme regarder un bon film de Noël au coin du feu avec quelqu’un que l’on aime dans ses bras. De nouvelles félicitations s’imposent donc pour l’auteure de cette magnifique tranche de vie. »

Informations Pratiques

« Au-delà des nuages, le soleil brille » de Cindy Triaire

  • Éditeur : Tremplin Carrière
  • 270 pages
  • ISBN 979-10-96213-04-7
  • Prix : 7.90€ format ebook / 15€ format papier

Pour en savoir plus

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Découvrir le livre : https://www.tremplincarriere.com/au-dela-des-nuages-le-soleil-brille/

Les livres de motivation de Cindy Triaire : https://www.tremplincarriere.com/categorie-produit/livres-de-motivation/

Site web : https://www.tremplincarriere.com/

Facebook : https://www.facebook.com/tremplincarriere/

Instagram : https://www.instagram.com/tremplincarriere/?hl=fr

LinkedIn : https://www.linkedin.com/in/tremplincarriereconseil/

Sortie du livre Loin d’ici, près de nulle part d’Artem Chapeye : le roman ukrainien finaliste du prix BBC Livre de l’année enfin traduit en français

Partir travailler à l’étranger ! Voilà une solution qui est censée améliorer la vie d’une famille ukrainienne moyenne, les Tkatchouk : Youriï, Olia et leurs deux enfants.

Lui choisit les États-Unis d’où il rentre sans un sou. Elle devient badante, esclave des temps modernes, en Italie. Tous deux croient pourtant qu’ils sont très différents des autres travailleurs migrants et qu’une vie meilleure est encore possible…

Dans un style immédiat et direct, le roman Loin d’ici, près de nulle part cherche à répondre à la question : « Pourquoi tant d’hommes et de femmes dans le monde décident-ils de tout quitter – patrie, famille, amis – et de partir dans un pays lointain où tout est étranger, et où l’avenir est si inconnu et incertain ? »

Le roman a été finaliste du prix BBC Livre de l’année 2015 en Ukraine. C’est un des plus prestigieux prix littéraires, discerné chaque année par la BBC News en Ukraine pour le meilleur livre de langue ukrainienne. Artem Chapeye est un auteur habitué de ce prix, dont il a été finaliste quatre fois. C’est aussi son premier livre traduit en français. Sa publication en France, dans la collection « Fiction Europe » des Éditions Bleu & Jaune, est soutenue par le programme Europe créative de la Commission européenne et par le programme de traduction Translate Ukraine de l’Institut ukrainien du livre (Ukranian Book Institute).

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La vie passe comme un songe. Elle glisse entre les doigts.

Artem Chapeye

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Découvrir un phénomène qui touche profondément la société ukrainienne

Selon Anh Nguyen, chef de mission de l’OIM en Ukraine, des centaines de milliers d’Ukrainiens, partis travailler à l’étranger, sont « l’épine dorsale de l’économie ukrainienne » : ils aident leurs familles à « couvrir les besoins de base, notamment la nourriture, le loyer, l’éducation et les soins de santé ».

Artem Chapeye, écrivain et journaliste ukrainien engagé, met ces travailleurs au cœur de son roman Loin d’ici, près de nulle part. Une place centrale, comme celle qu’ils occupent dans la société ukrainienne contemporaine.

Avec les États-Unis, dont il est question dans le roman, l’Italie a été, et reste, l’une des destinations privilégiées des travailleurs qui quittent l’Ukraine.

Les Italiens ont accueilli les travailleurs ukrainiens comme une réponse à la pénurie d’aidants à domicile. Les Ukrainiens constituent ainsi une des plus grandes communautés d’immigrants en Italie : on estime leur nombre de 300 000 à 1 million, dont environ 80% des femmes.

Artem Chapeye raconte le phénomène de la migration féminine dans une prose immédiate et réaliste et peint ses personnages avec authenticité et sincérité.

Couv LOIN, d'ICI, sans bandeau

Un auteur incontournable de la littérature ukrainienne contemporaine

Artem Chapeye

© Валентин Кузан/Valentyn Kuzan

Artem Chapeye est un écrivain, journaliste et traducteur ukrainien.

Né en 1981 à Kolomyïa, il commence ses études supérieures à l’Académie nationale des services de sécurité d’Ukraine, qu’il abandonne pendant le mouvement de protestation « L’Ukraine sans Koutchma ». En 2008, il obtient un diplôme de philosophie à l’Académie Mohyla de Kiev.

Voyageur passionné, Artem a passé un an et demi à vivre, à travailler et à voyager aux États-Unis et en Amérique centrale. Cette expérience a beaucoup influencé son écriture.

Plusieurs de ses récits ont été traduits en anglais, en polonais, en tchèque et en slovène. Il fait partie des auteurs publiés en 2016 dans la série « Best European Fiction ». Il a été lauréat de la bourse de L’Initiative de l’Europe centrale pour les écrivains en résidence (Slovénie) et de la bourse Paul Celan pour les traducteurs (Autriche).

Reporter pendant la guerre du Donbass, Artem a été deux fois finaliste du prix journalistique Honneur de la profession. En 2015, il coécrit avec Kateryna Serhatskova un recueil de reportages sur la guerre du Donbass qui a été finaliste du prix Kurt Schork en journalisme international.

Quatre fois finaliste du prix BBC Livre de l’année en Ukraine, y compris avec le roman Loin d’ici, près de nulle part en 2015, Artem Chapeye est l’un des auteurs ukrainiens les plus en vogue.

Une traductrice de talent au service du roman ukrainien

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Le roman Loin d’ici près de nulle part a été traduit de l’ukrainien par Justine Donche-Horetska.

Après deux ans passés en Ukraine en totale immersion comme volontaire dans l’ONG Point-Cœur, Justine Donche-Horetska rentre en France afin de poursuivre ses études à l’Inalco. Titulaire d’une licence d’ukrainien, elle se tourne vers un master de littérature générale et comparée à la Sorbonne Nouvelle qu’elle obtient en 2016.

Cette même année, elle signe son premier contrat de traduction pour Conte sur Maïdan avec les Éditions Bleu et Jaune, qui publient la plupart de ses traductions.

En 2018, elle traduit en français l’ouvrage Persécutes pour la vérité : les gréco-catholiques ukrainiens derrière le rideau de fer, édité par l’université catholique d’Ukraine et distingué par le Prix académique 2019 de l’Œuvre d’Orient.

Publié aux Éditions Bleu et Jaune en 2020, le livre Histoires sur les roses, la pluie et le sel, de Dzvinka Matiyash, que Justine Donche-Horetska traduit de l’ukrainien, lui vaut les nominations au prix Révélation de traduction de la Société des gens de lettres, au prix Drahoman 2020 en Ukraine et est toujours en lice pour le prix Pierre-François-Caillé de la traduction, décerné chaque année par la Société française des traducteurs, qui distingue un traducteur en début de carrière dans l’édition.

« Fiction Europe » : un autre regard sur la littérature européenne

La littérature européenne ne se résume pas aux œuvres anglaises, espagnoles, italiennes ou allemandes !

Afin de nous amener à comprendre nos voisins européens, à nous enrichir d’une vision différente sur le monde qui nous entoure ou à bousculer nos certitudes, la collection « Fiction Europe » met en avant des œuvres littéraires européennes de qualité, connues et reconnues dans leurs pays respectifs, récompensées au niveau international et encore inédites en France. L’objectif est de leur donner « une résonance nouvelle, une vie plus longue, un lectorat plus large ».

De jeunes auteurs talentueux vont côtoyer des auteurs déjà établis. Des sujets tabous ou restés longtemps comme tels dans notre société trouveront leur expression. Des thématiques historiques et des particularités nationales apporteront à cette collection une diversité captivante. Les quatre premiers titres, qui inaugurent cette collection, ont obtenu le Prix de littérature de l’Union européenne.

Une identité visuelle forte et unique

Selon un auteur et théoricien de l’art très connu, « le jaune apporte toujours une lumière » et « le bleu apporte toujours une ombre ». Cette approche fondamentale se retrouve au cœur de l’identité visuelle qui a été pensée pour la collection « Fiction Europe » : avec ses jeux de couleurs, d’ombres et de lumières, elle confère une nouvelle dimension à toutes ces œuvres venues d’ailleurs et met en avant la littérature haute en couleur.

Réalisé par WIPbrands, avec les illustrations de Mikki Rosa, le concept de couvertures vise à mettre en lumière – au sens à la fois propre et figuré – un personnage, un objet concret ou encore une chose abstraite que le lecteur découvre et comprend au fil des pages.

La citation sur la quatrième de couverture donne quelques indices, tandis que le marque-page intégré suggère deux directions de lecture opposées. C’est au lecteur de choisir.

Le bandeau, qui signale aussi la récompense principale du livre, acquiert ainsi une véritable fonction, car il permet au lecteur d’être partie prenante du livre.

Les Éditions Bleu et Jaune : aller à la rencontre de l’Autre

Les Éditions Bleu et Jaune, qui ont pour ligne éditoriale la découverte de l’Autre, s’attachent à cultiver l’ouverture sur le monde et à construire des ponts interculturels. Fondées en 2015 par Tatiana Sirotchouk, Docteure en langue et littérature françaises, elles ont leur siège social sur l’avenue des Champs-Élysées à Paris.

Leur ambition : mettre en lumière des œuvres écrites dans les langues moins répandues, qui représentent seulement 11 % des titres traduits en France, et plus particulièrement les langues et littératures qui se trouvent en Europe. Cet engagement est né de la croyance que les langues moins répandues produisent de grandes œuvres littéraires qui méritent d’être connues du lecteur français et francophone.

En 2019, la maison d’édition évolue en société d’édition et met en place des partenariats avec le diffuseur CED-CEDIF et le distributeur POLLEN.

L’année 2020 marque un tournant pour les Éditions Bleu et Jaune. Elles obtiennent les droits de traduction et de publication en France de plusieurs ouvrages récompensés par le Prix de littérature de l’Union européenne, qui sont publiés dans la collection « Fiction Europe » en 2021.

Un engagement en faveur de la planète

Consciente des enjeux environnementaux actuels, la maison d’édition adopte une démarche écoresponsable pour contribuer à stopper le dérèglement climatique. Cet engagement se traduit par des actions très concrètes :

Imprimer les livres en France

Les livres des Éditions Bleu et Jaune sont imprimés en France et sur du papier issu de forêts gérées durablement. Pour une jeune maison d’édition, ce choix a un coût, mais il est essentiel, car en accord avec les valeurs qui l’animent.

Contribuer au reboisement des forêts

Un partenariat de longue durée a été établi en 2020 avec la société française Naudet, spécialiste du reboisement des forêts en France. En avril 2021, cent arbres ont été plantés en Alsace ; cette plantation est associée à la mise en place de la collection de littérature européenne. Chaque année, de nouveaux arbres seront plantés à la même période. Ces plantations permettent de stocker le CO2 grâce à la photosynthèse, de filtrer l’eau, de libérer le dioxygène et de préserver la biodiversité et la faune.

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Des livres qui plantent des arbres

Mais la maison d’édition a la volonté d’aller encore plus loin. Son objectif, à court terme, est que chaque livre vendu participe, à la hauteur de 30-50 cents, à la plantation d’un arbre et, à long terme, que chaque livre vendu finance la plantation d’un arbre. Les lecteurs peuvent ainsi s’engager aux côtés de la maison d’édition pour lutter contre le dérèglement climatique tout en lisant des livres de qualité.

À propos de Tatiana Sirotchouk, fondatrice et présidente des Éditions Bleu et Jaune

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Française d’origines ukrainienne et polonaise, Tatiana Sirotchouk est Docteure en langue et littérature françaises. Après ses études à l’université de Tchernivtsi en Ukraine, elle travaille en tant que professeure dans la même université.

En France, elle obtient le titre de Docteure en langue et littérature françaises en 2009 à l’université de Nancy 2 (actuellement université de Lorraine) et achève son parcours universitaire par une qualification aux fonctions de maître de conférences en études slaves. Cette même année, elle devient enseignante à l’INALCO, à Paris, et membre de l’équipe de recherche PLIDAM.

Avec plus de dix années d’expérience dans l’enseignement supérieur et la recherche, Tatiana Sirotchouk est l’auteure de différents ouvrages, programmes de recherches, contributions à des colloques et journées d’études, articles et conférences, présentés lors de manifestations universitaires et culturelles en France, en Ukraine, en Allemagne, en Pologne et au Canada.

Aujourd’hui, elle se consacre entièrement aux Éditions Bleu et Jaune, qu’elle dirige avec passion et engagement.

Informations Pratiques

Loin d’Ici, près de nulle part de Artem Chapeye

  • Parution : 4 novembre 2021
  • Collection « Fiction Europe »
  • Traduction : Justine Donche-Horetska
  • Format : 140 x 205 mm
  • 296 pages
  • ISBN livre papier : 979-10-94936-19-1
  • Prix : 22 euros

Pour en savoir plus

Site web : https://www.editionsbleuetjaune.fr/

Facebook : https://www.facebook.com/editionsbleuetjaune/

Instagram : https://www.instagram.com/editionsbleuetjaune/

Programme Europe Créative : https://ec.europa.eu/culture/fr/node/812

Ukrainian book institute : https://book-institute.org.ua/uk 

Les Editions Valeurs d’Avenir fêtent leurs 10 ans et annoncent la sortie de deux ouvrages qui célèbrent la vie et l’amour

Après 10 ans d’édition, les Editions Valeurs d’Avenir n’ont pas l’intention de s’arrêter en si bon chemin.

Gardant toujours la même ambition, les Éditions Valeurs d’Avenir, par leur choix d’ouvrages et d’auteurs souhaitent donner à leurs lecteurs l’envie de s’engager dans des démarches concrètes pour le bien-être et le développement des humains.

A l’occasion de ce 10e anniversaire, sortent de nouveaux ouvrages qui viennent confirmer ce positionnement résolument humain :

  •  “Elle e(s)t moi“, de Camille Moon, une véritable ode à la vie après l’horreur ;
  • et “Le journal de Gilles Gamèche 1949 – 202… Chroniques du temps présent“, une œuvre présentant le destin d’un héros moderne confronté à la mort de l’être cher, perdu et sauvé in extremis.

Les Editions Valeurs d’Avenir fêtent leurs 10 ans !

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L’association VDA-Valeurs d’Avenir, a été créée en mai 2011 en vue de promouvoir la réflexion sur l’homme, la société, l’économie, la politique. Il a ensuite semblé logique à ses créateurs d’élargir les horizons de l’association en lui permettant de publier et de distribuer des ouvrages d’initiation, aussi nommés « romans d’apprentissage ».

L’objectif de l’association VDA est de poursuivre à travers le livre, le texte, les images et les films un vrai désir de communiquer les questionnements, les réflexions, les doutes et les recherches des héros, et finalement à travers eux, ceux de tout un chacun.

Cette association est ouverte à tous les volontaires qui partagent la même ambition et qui souhaitent encourager la diffusion de valeurs humaines porteuses d’espoir et d’éveil.

Le projet éditorial des Éditions valeurs d’Avenir est vraiment singulier : par les paroles et les actes, mais aussi par les héros des romans et leurs auteurs, nous voulons promouvoir des valeurs humaines fortes qui permettent la cohésion sociale et le développement de la personne.

Zoom sur les deux nouvelles œuvres des Editions Valeurs d’Avenir

Elle e(s)t moi” de Camille Moon – Un hymne à la vie après l’horreur

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« Dans ma tête on est… au moins deux… Elle et moi… ou plutôt, elle EST moi… »

Camille Moon livre un témoignage de vie émouvant depuis une enfance et une adolescence hors du commun jusqu’à la difficile reconstruction après bien des doutes et des douleurs. L’œuvre est à caractère autobiographique et possède de la sorte un pouvoir libératoire.

L’auteur montre avec adresse, fraîcheur et lucidité la plongée dans le monde intérieur, ses peurs, ses émotions, ses colères et ses combats contre elle-même et les autres. Elle offre les clés de sa Tour intérieure et son expérience invite chacun à rejoindre son propre enfant, source de richesse et de compréhension de soi.

Une histoire vraie, à travers un monde onirique.

Le journal de Gilles Gamèche 1949 – 202… Chroniques du temps présent” - A 3000 ans d’écart avec son homonyme, le destin d’un héros moderne confronté à la mort de l’être cher, perdu et sauvé in extremis

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À l’occasion d’un dîner, l’auteur, qui demeure anonyme, fait la connaissance de la veuve d’un certain Gilles Gamèche, dont le nom ressemble étrangement à celui d’un roi antique, Gilgames (prononcer Guilgamesh) qui a été le héros de l’Épopée traduite par Jean Bottéro.

Elle lui confie le journal de son mari et l’auteur est à ce point passionné et bouleversé qu’il demande l’autorisation de publier ce journal en le mettant en parallèle avec l’Épopée de Gilgames.

L’ouvrage est donc une forme d’autobiographie d’un homme qui a vécu de 1939 à 2025 et a donc traversé « les Temps Modernes » et a subi des épreuves identiques à celles qu’a franchies Gilgames, en particulier la mort de l’être aimé, ce qui le conduit toujours plus loin vers l’Est à la recherche de l’oubli, jusqu’à l’opium et le sursaut providentiel qui lui fait reprendre sa place de simple humain.

La vie de Gilles Gamèche est donc inscrite dans l’histoire, ce qui donne au lecteur l’occasion de découvrir toute les questions que se pose le héros et de le suivre dans sa vie aventureuse, depuis l’enfance en Afrique, le métier militaire et l’Algérie, le Chili dans les années 70, la Russie, la Chine, jusqu’à sa « réinsertion » dans la société française et ses derniers jours dans l’Ouest et le soleil couchant…

Portraits des fondateurs

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Jean Taillardat (Président des Editions Valeurs d’Avenir)

Ex-officier de Marine, dirigeant et consultant international, Jean Taillardat est écrivain depuis 2011 sous le nom de Camille Valleix. Son dernier roman est Le journal de Gilles Gamèche 1949 – 202… Chroniques du temps présent.

Camille Moon

Enfant nomade voyageant à travers les USA et l’Europe en accompagnant de célèbres groupes musicaux, Camille Moon s’est ensuite tournée vers le mannequinat, puis l’événementiel. Elle e(s)t moi est son premier roman.

Michèlle Schitter

Michèlle Schitter a exercé la fonction de DRH dans une grande entreprise d’assurances avant de devenir coach professionnelle. Passionnée par les questions de résilience elle a créé l’association Fil de Soi qui donne la parole à des personnes qui ont vécu des expériences traumatisantes et s’en sont sorties “par le haut”.

Pour en savoir plus

Site web : https://www.editionsvaleursdavenir.com

Facebook Jean Taillardat : https://www.facebook.com/jeantaillardat/

Facebook Camille Moon : https://www.facebook.com/Camillemoonauteure/

Déjà plus de 5 millions de livres collectés : Book Hémisphères devient un acteur incontournable de l’économie solidaire et de la culture

La France n’est pas seulement une terre de grands auteurs… Elle est aussi un pays de lecteurs !

Selon le baromètre 2021 publié par le Centre National du Livre (source), près de 9 Français sur 10 ont lu un livre au cours des 12 derniers mois. Certains sont même de véritables accros : 22 % ont lu plus de 20 livres en une année. Nos compatriotes sont aussi des inconditionnels du livre papier, qu’ils plébiscitent à 83 %.

À l’heure du tout-numérique, on constate donc que le livre n’a pas dit son dernier mot !

Reste un obstacle de taille à cet accès à la lecture : son prix. Se procurer des ouvrages neufs en librairie coûte cher, ce qui est particulièrement dissuasif. On n’ose pas alors découvrir de nouveaux auteurs, essayer de nouveaux genres, ou tout simplement se faire plaisir.

Dans ce contexte, Book Hémisphères est un acteur de l’économie circulaire qui a initié une démarche positive et fédératrice : collecter tous les ouvrages, sans distinction de type de livre, d’état ou d’année de parution.

Tous les livres qui traînent dans les greniers, sur les étagères… Peuvent ainsi avoir une seconde vie et être revendus ou donnés à un public défavorisé. Mieux : comme l’entreprise est “à gestion désintéressée”, les bénéfices servent vraiment à soutenir des actions solidaires ! 

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+ de 5 millions de livres déjà collectés pour créer un monde meilleur

Pourquoi l’accès à la culture devrait-il être réservé à quelques heureux élus ? Pourquoi une entreprise ne pourrait-elle pas défendre un modèle qui profite réellement au plus grand nombre ?

Book Hémisphères est un acteur de l’économie sociale et solidaire bien décidé à faire bouger les lignes.

Cette structure atypique poursuit en effet plusieurs objectifs ambitieux :

  1. Développer l’économie circulaire ;
  2. Assurer la promotion et le développement de la culture via son activité de collecte, de tri et de vente de livres ;
  3. Accompagner des personnes en insertion (elle dispose de l’agrément d’Entreprise d’Insertion).

Et ça marche !

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Cette Société Coopérative d’Intérêt Collectif (SCIC) à gestion désintéressée connaît un développement continu. Elle a ainsi collecté 40 000 livres par mois en 2017, 50 000 livres par mois l’année suivante, puis 60 000 livres par mois en 2019.

En 2020, malgré la crise, elle a réussi à collecter plus de 40 000 livres par mois en moyenne. La même année, Book Hémisphères a remporté les Trophées Bretons du Développement Durable dans la catégorie entreprise : “une seconde vie pour les livres et un tremplin pour l’emploi”.

Aujourd’hui, elle a donc la fierté de franchir le cap des 5 millions de livres collectés et de continuer à porter un projet riche de sens et de valeurs.

Nous encourageons à ne plus jeter de livres ! Ils peuvent tous être réemployés ou recyclés pour allier la transition écologique à la transition sociale et solidaire.

Un mode de fonctionnement atypique 100 % éthique

Book Hémisphères est une SCIC qui se met au service d’un projet rapprochant plusieurs parties prenantes.

L’accompagnement vers un retour à l’emploi

Agréée Entreprise d’Insertion, la SCIC compte 23 salariés dont 13 en contrat d’insertion. Ces personnes, éloignées de l’emploi, sont accompagnées pour lever les freins à l’embauche. Le but est de les aider à trouver un emploi ou une formation dans les deux ans.

La gestion désintéressée

Tous les bénéfices de Book Hémisphères sont réinvestis en création d’emploi et/ou en investissement. Ses statuts le précisent clairement : 15 % sont attribués à la réserve légale et 85 % à l’action de la SCIC. Elle a donc une vocation à but non-lucratif.

Le partage démocratique du pouvoir

Agréée ESUS et ayant donc une dimension sociale, la SCIC agit en toute transparence et applique une prise de décision collective.

Des salariés, partenaires, collectivités, associations… Mais aussi des particuliers soutenant la démarche peuvent souscrire une part. Comme toutes les coopératives, il y a une libre entrée et sortie des sociétaires.

La protection de la planète

Tous les livres sont collectés localement, dans un rayon de 100 km. L’impact carbone des livres remis en circulation est ainsi réduit au maximum.

La préservation des trésors du patrimoine culturel

Book Hémisphères est la seule structure spécialisée en France capable de traiter tout type de livre, y compris les revues. Elle est aussi la seule à traiter les anciens livres sans code barre… Or, ceux-ci contiennent d’authentiques pépites qui ne doivent surtout pas finir en pâte à papier !

En parallèle, pour démocratiser l’accès à la culture, la SCIC donne des livres pour un public défavorisé.

Livrenpoche.com : le site de référence pour dénicher un livre d’occasion

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Spécialiste du livre format poche d’occasion, Livrenpoche.com compte plus de 540 catégories et 350 000 ouvrages.

Du livre à 0,90 € à la perle rare, il y en a pour tous les goûts et toutes les envies : polar, roman sentimental, fiction, fantasy, sciences humaines, art, littérature jeunesse…

Tous les profils de lecteurs, qu’ils soient amateurs, lecteurs passionnés ou collectionneurs peuvent ainsi trouver leur bonheur.

Zoom sur les catégories les plus populaires

Les Revues

Collection des “J’aime Lire” pour les enfants, le recueil “Les œuvres libres” avec des textes des plus grands auteurs pour les mordus de littérature, “Jazz Hot” pour les inconditionnels de musique, …

Livrenpoche propose des milliers de revues d’occasion, accessibles à tous et à toutes. À partir d’1,20 €.

Les policiers & thrillers

Des incontournables Agatha Christie ou Léo Mallet jusqu’aux auteurs de best-sellers contemporains (Robert Cook, Maxime Chattam, Michael Connelly, Harlan Coben..)… Livrenpoche offre une immersion à 360° au cœur de la littérature policière. À partir de 0,90 €.

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La littérature sentimentale

Parce que nous avons tous besoin d’amour et de passion, laissons la magie des mots enflammer notre imaginaire ave Danielle Steel, Barbara Cartland, Guy des Cars, … A partir de 1 €

La littérature générale

C’est la catégorie de rêve pour découvrir les plus grands auteurs et penseurs de la littérature française et étrangère : Umberto Eco, Jules Verne, Nobokov, Joseph Kessel, Stendhal, Jean-Jacques Rousseau…. C’est aussi une vraie caverne d’Ali-Baba pour tous les parents et tous les étudiants qui veulent acheter à petits prix les livres obligatoires pour le collège, le lycée ou la fac. A partir de 0.90 €.

Bookhemispheres.org : des services sur-mesure pour les professionnels

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Pop-up Store Sonia Rykiel

Book Hémisphères propose différentes prestations aux professionnels telles que la vente en lots de livres pour la revente ou encore au mètre pour la décoration. Il est également possible d’obtenir des livres pour créer des bibliothèques ou préparer des ateliers autour du livre par exemple.

La SCIC a acquis une réelle expertise dans les projets de décoration autour du livre. Elle a ainsi fourni des milliers de livres, dans des domaines variés : décors de cinéma, showrooms, design d’espace, décorations d’intérieur, hôtels…

Elle est en effet la seule sur le marché à être capable de répondre à un cahier des charges précis (taille des livres, couleurs, thématique…).

À propos de Benjamin Duquenne, le fondateur

Tombé dans les livres adolescent, Benjamin Duquenne, s’est toujours demandé « que faire des livres qui dorment dans nos greniers ? »

Dès 2000, il liste informatiquement sa collection de livres. Deux ans plus tard, il lance Livrenpoche.com : la première entreprise en France à avoir professionnalisé la vente de livres de poche d’occasion sur Internet avec sa propre base de données.

Mais cela ne répondait pas à la question « comment remettre en circulation les livres qui dorment dans les étagères et les greniers ?»

Sensibilisé à l’économie sociale et solidaire, l’idée d’une entreprise d’insertion de collecte, de tri et de réemploi du livre s’est dessinée pour voir le jour en 2010 sous le nom de Book Hémisphères.

Forte de son développement en Bretagne Sud et sur la toile, la SCIC souhaite désormais étendre ses services à l’ensemble de la Bretagne.

Pour en savoir plus

Livrenpoche

Livrenpoche : https://www.livrenpoche.com

Book Hémisphères

Présentation : https://www.relations-publiques.pro/wp-content/uploads/pros/20210621145744-p3-document-bjbu.pdf

Site web : https://www.bookhemispheres.org

Facebook : https://www.facebook.com/book.hemispheres

Instagram : https://www.instagram.com/book_hemispheres/

LinkedIn : https://www.linkedin.com/company/1513592/

“Les âmes confinées” de Linda Gandolfi : neuf nouvelles au coeur de l’enfermement psychique qui interrogent la notion de liberté

Écoles, magasins, bars et restaurants fermés, rues désertes, silence assourdissant, villes figées qui retiennent leur souffle : soudain, le flot incessant de l’activité humaine est suspendu.

Dans “Les âmes confinées”, la psychanalyste Linda Gandolfi se saisit de cet arrêt sur image et nous livre neuf nouvelles au cœur de l’enfermement psychique qu’exacerbe le confinement. Neuf situations cathartiques à la chute souvent inattendue qui interpellent sur le sens de l’existence et sur celui de cette pandémie.

Toutes ont une résonance philosophique et renvoient à un questionnement existentiel sur la liberté de chacun.

La privation extérieure de liberté questionne notre enfermement intérieur. La liberté est dans la conscience. Ainsi le confinement va révéler les structures psychiques de chacun et dévoiler les positions de replis ou au contraire accentuer les opportunités.

Linda Gandolfi

couverture livre

 

 

Des récits qui sont autant de photographies de situations d’aliénation

Comment les évènements de l’extérieur qui semblent échapper à tout contrôle impactent-t-ils l’âme ?

Le confinement décidé durant la pandémie a été diversement vécu. Mais d’une manière générale, il a exacerbé les problématiques de chacun et nous a interpellés sur notre propre accès à la liberté. Il a mis à l’épreuve tout un chacun notamment en supprimant les échappatoires que sont le travail, les rencontres amicales, les distractions de toutes sortes… autant de possibilités de contourner l’ennui mais aussi les difficultés du quotidien.

Ainsi, face à l’enfermement forcé, chacun est questionné plus loin sur le sens de son existence.

Ces neuf nouvelles sont comme neuf photographies de ces vies qui tout à coup se trouvent confrontées à cette situation extraordinaire. Le monde extérieur serait-il le prétexte à une quête de liberté ?

Linda précise :

J’ai écrit ce livre pendant le premier confinement. Frappée par les réactions très différentes à cet enfermement, j’y ai vu l’occasion de parler du problème de la liberté en lien avec la construction psychique et notre accès à la pensée consciente. Car c’est ce niveau de conscience, propre à chacun, qui va déterminer notre ressenti face aux situations d’aliénation.

Synopsis des nouvelles

Séparation

La première nouvelle raconte l’histoire d’une jeune femme qui décide de partir seule se confiner dans un appartement dans le sud de la France où elle va chaque été en vacances avec ses parents. A la fin de ses études, elle compte profiter de ce temps de confinement pour achever son mémoire. Fille unique, elle a été particulièrement choyée dans son enfance et rien ne laisse prévoir ce qui va se passer.

La solitude loin de ses parents et sans la présence de son petit ami, va venir pointer son absence réelle d’autonomie. Nous la retrouvons seule face à elle-même confrontée à une angoisse irrationnelle et totalement incontrôlable. C’est face à la difficulté que l’âme est mise à l’épreuve.

Disparition

La deuxième nouvelle est le récit d’un jeune garçon qui, comme tant d’enfants, souffre de mal être aimé par des parents dépassés par la situation. Comme tout enfant, il tente de répondre à une situation impossible et qui va prendre des proportions exorbitantes durant le confinement. Là encore la réalité extérieure vient percuter l’âme de cette mère aux prises avec son tourment.

Le chien des voisins

La troisième nouvelle est l’histoire d’une famille iranienne immigrée. Les parents sont atteints du COVID et n’osent ni le dire, ni faire appel à un médecin par peur d’être accusés d’avoir amené le virus qui par ailleurs flambe en Iran. Là encore, une situation totalement irrationnelle mais qui va se résoudre grâce à la présence d’un couple qui ose prendre ses responsabilités.

Escapade de l’EPHAD

Yvette a vécu seule dans sa maison aussi longtemps qu’elle a pu le faire. Mais le grand âge l’a contrainte à rejoindre une EPHAD où elle attend la mort. La nouvelle épidémie est plutôt pour elle, une bonne nouvelle. Elle n’a pas peur. Elle regarde la mort comme elle regarde sa vie écoulée avec le sentiment qu’elle a fait tout ce qu’elle pouvait faire pour lui trouver du sens. Il est temps de partir et elle souhaite le faire dans de bonnes conditions.

Coup d’arrêt

Cette nouvelle évoque la situation des femmes victimes de violences conjugales. Françoise, mère de deux enfants, est seule à assumer la charge du foyer. Son époux en échec professionnel soigne sa déprime par la boisson. Ne pouvant supporter la situation, il lui arrive de se défouler sur sa femme comme pour rajouter à l’injustice.

La promiscuité du confinement et le regard pesant des enfants fait réagir Françoise qui va bénéficier d’un concours de circonstances et trouver une issue peu banale. Dans ce cas, la situation d’enfermement fait effet de loupe et pousse à réagir. Ce qui était supportable ne l’est plus.

La catharsis d’Adèle

Le confinement n’a pas toujours des accents dramatiques. Il va être l’opportunité pour Adèle de se libérer de ses peurs d’enfant et de vivre au cours de cette parenthèse irréelle, sa première idylle. Une nouvelle en forme de conte de fée, parce que ça existe aussi.

Omid

C’est l’histoire d’un jeune immigré afghan. En temps normal, la vie est dure, mais en temps de confinement, dans un Paris figé, la vie devient un calvaire. C’est aussi l’occasion d’un constat qui met en question les choix faits. L’appel de l’Occident apparaît comme une illusion au goût amer.

Rupture

Rose a passé des mois à préparer son mariage. Un jour très spécial dans lequel elle se projette depuis qu’elle est enfant. Or, voilà qu’à cause de cette pandémie, tout est annulé. La jeune femme ne décolère pas. Son fiancé qui tente de la raisonner se pose tout à coup des questions. C’est dans la difficulté que la vraie nature des personnes se révèle.

Psychopathe

Comment un enfant devient-il psychopathe ? Comment la perversion vient-elle se glisser dans les mailles d’une éducation dite “bienveillante” ? Cette dernière nouvelle évoque la position d’un père présent auprès de ses enfants mais dont les préceptes religieux mal digérés l’ont conduit à se voiler les vrais problèmes. Lors du confinement, un de ses fils poussera la transgression jusqu’au meurtre.

Extrait de la nouvelle Séparation

“Le soleil s’érigeait sur la mer au-dessus de l’horizon à une vitesse incroyable. Lola ne voulait rien perdre du spectacle et regrettait qu’Alexandre ne soit pas à ses côtés. Dès qu’elle avait entendu la décision du gouvernement de confiner, elle avait pris comme résolution de quitter Paris et de s’installer dans le petit appartement que ses parents avaient acheté dans le Sud pour les vacances. Elle espérait qu’Alex pourrait la rejoindre et qu’ils auraient enfin un peu de temps à passer en tête à tête. Malheureusement, Alex travaillait au service d’un opérateur téléphonique qui, en ces temps troublés, redoublait d’activité.

Le lundi soir, elle avait entassé pêle-mêle dans sa voiture son ordinateur, ses livres, quelques vêtements, et avait pris la route sans rien dire à personne. Elle était arrivée à Sanary-sur-Mer au petit matin, juste à temps pour ressentir l’impact de cette lumière matinale si éblouissante.

L’université avait fermé ses portes depuis plusieurs jours, mais cela ne l’avait pas touchée car elle était plongée depuis quelques mois dans la rédaction d’un mémoire de master et avait validé tous ses séminaires. Elle avait même songé que ce temps de confinement était plutôt pour elle une occasion de travailler sans relâche. Mais elle ne voulait pas rester à Paris.

Sa mère avait regretté sa décision de partir dans le Sud et lui avait bien sûr proposé de les rejoindre, elle et son père, dans leur maison de la vallée de Chevreuse :

- Tu seras tout à ton aise avec nous, tu pourras travailler tranquillement sans te préoccuper des repas et tu auras le jardin pour te relaxer…

Lola songea que sa mère avait certes pensé à tout et, vu de l’extérieur, cela semblait raisonnable. Mais, depuis qu’elle avait rencontré Alex, Lola avait entamé une période de ce qu’elle appelait “son sevrage maternel” et, si elle avait un instant songé à dire oui, ce ne fut qu’un bref instant.”

Les (grands) petits plus du livre

Une approche philosophique subversive : l’autrice, en s’appuyant sur une approche anthropologique évolutive, montre que l’homme est responsable de ce qui lui arrive. Etant donné que notre conscience relève d’une construction, nous sommes sans cesse interpellés par la réalité. Ainsi, s’il y a du hasard dans ce qui arrive, il y a aussi une part en lien direct avec nous et c’est cette part là qui constitue notre liberté.

Une grande accessibilité : Linda aborde des notions très compliquées dans des histoires très simples. Faciles à lire, elles ont ainsi une réelle profondeur.

A propos de Linda Gandolfi

Psychanalyste rattachée à l’Association de psychanalyse anthropologique, co-fondatrice des Enfants de Chiron dont elle est Responsable de la formation, Linda Gandolfi a orienté sa recherche vers une interprétation symbolique des situations visant à dévoiler la dimension métaphysique des évènements du quotidien.

Linda Gandolfi est l’autrice de plusieurs livres :

  • Dieux de l’Olympe et enfants d’aujourd’hui, éd Tom Pousse, 2017 ;
  • La Maladie, le Mythe et le symbole, en collaboration avec R Gandolfi, éd. Le Rocher, 2001, 2011 ;
  • Egoïste, toi-même, éd. Flammarion, 2005
  • Petites histoires analytiques, éd. le Rocher, 2002

A travers ses ouvrages, elle poursuit le même but : montrer que l’histoire de chacun est une construction qui déploie son potentiel mais qui a aussi ses garde-fous.

Linda explique :

Les difficultés existentielles peuvent être vues comme des épreuves à dépasser qui nous font grandir et dans ce cas, c’est dans ce dépassement que réside la liberté. Mais elles peuvent aussi être perçues comme des événements extérieurs sans lien avec notre histoire, ce qui supprime alors toute liberté.

Informations Pratiques

“Les âmes confinées” de Linda Gandolfi

  • Editeur : L’Harmattan
  • Format : 13,5 x 21,5 cm
  • ISBN : 978-2-343-22241-7
  • 112 pages
  • Prix : 12,50 €

Pour en savoir plus

Découvrir le livre : https://www.editions-harmattan.fr/livre-les_ames_confinees_linda_gandolfi-9782343222417-68130.html

Site web : https://www.lesenfantsdechiron.com/

Facebook : https://www.facebook.com/lesenfantsdechiron/

Sortie du livre De très modestes cadeaux d’Uglješa Šajtinac : le roman serbe primé enfin traduit en français

Version 2.0 du genre épistolaire, ce roman est le dialogue par courriels de deux frères aux parcours opposés : le plus jeune est un dramaturge que la route du succès a mené aux États-Unis, son aîné est un chauffeur de camionnette resté en Serbie.

Leurs échanges, en apparence ordinaires, mettent en lumière autant le conflit générationnel que la différence d’idéologies et de cultures, le contraste entre l’Est et l’Ouest que la confrontation entre l’ancien et le nouveau. Des histoires personnelles, familiales et collectives s’y entrelacent et s’y imbriquent.

Alors que les frères parviennent à accepter leur destin, le cours de leur vies respectives change de façon inattendue.

De très modestes cadeaux est un livre qui a été salué par les critiques littéraires serbes :

Šajtinac a écrit, avec férocité, passion, incorruptibilité et engagement, un roman moderne exceptionnel, une chronique émouvante et provocante de nos jours (…)

Novosti (presse serbe)

Déjà traduit en huit langues, il est enfin publié en français (traduction : Alain Cappon) dans la collection « Fiction Europe » des Éditions Bleu & Jaune. Sa publication en France est soutenue par le programme Europe créative de la Commission européenne.

Tatiana

Il faut se battre pour le droit de mourir en dehors des grands faits historiques. En paix et avec un droit de regard sur son histoire personnelle.

Uglješa Šajtinac

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Dire le réel avec des mots simples et justes

La littérature n’a pas toujours besoin d’ébranler le monde avec de « grands sujets »…

Dans le roman De très modestes cadeaux, les vies ordinaires ont  autant d’importance, voire plus, que les grands faits historiques évoqués à l’arrière-plan.

Uglješa Šajtinac précise qu’il voulait se « débarrasser des descriptions et des récits inutiles » et mettre en avant « deux voix, deux observations, deux quotidiens » en laissant ses deux personnages dire « tout ce qui est important pour eux dans leurs propres mots ».

Habitué des prix et récompenses littéraires en Serbie, cet écrivain est considéré comme « la voix » de la nouvelle génération de la littérature serbe.

De très modestes cadeaux a obtenu le Prix de littérature de l’Union européenne en 2014.

Uglješa Šajtinac

Un traducteur chevronné au service du roman serbe

Le roman d’Uglješa Šajtinac a été traduit par Alain Cappon.

Né en 1947, Alain Cappon est professeur certifié d’anglais. Parallèlement à l’enseignement de l’anglais au lycée, il entreprend des études de russe, puis de serbo-croate auprès de l’écrivain Danilo Kiš. Les premières traductions d’Alain Cappon sont publiées en 1984, et il se consacre alors presque exclusivement à la traduction de la littérature ex-yougoslave pour les langues serbe, croate, monténégrine et bosniaque.

Lauréat du prix 2002 décerné par l’Association des traducteurs littéraires de Serbie, il compte à ce jour une quarantaine de traductions, dont plus de trente romans. Il participe en tant que traducteur et rédacteur au site Internet consacré à la littérature serbe de l’université de Bordeaux.

« Fiction Europe » : un autre regard sur la littérature européenne

La littérature européenne ne se résume pas aux œuvres anglaises, espagnoles, italiennes ou allemandes !

Afin de nous amener à comprendre nos voisins européens, à nous enrichir d’une vision différente sur le monde qui nous entoure ou à bousculer nos certitudes, la collection « Fiction Europe » met en avant des œuvres littéraires européennes de qualité, connues et reconnues dans leurs pays respectifs, récompensées au niveau international et encore inédites en France. L’objectif est de leur donner « une résonance nouvelle, une vie plus longue, un lectorat plus large ».

De jeunes auteurs talentueux vont côtoyer des auteurs déjà établis. Des sujets tabous ou restés longtemps comme tels dans notre société trouveront leur expression. Des thématiques historiques et des particularités nationales apporteront à cette collection une diversité captivante. Les quatre premiers titres, qui inaugurent cette collection, ont obtenu le Prix de littérature de l’Union européenne.

Une identité visuelle forte et unique

Selon un auteur et théoricien de l’art très connu, « le jaune apporte toujours une lumière » et « le bleu apporte toujours une ombre ». Cette approche fondamentale se retrouve au cœur de l’identité visuelle qui a été pensée pour la collection « Fiction Europe » : avec jeux de couleurs, d’ombres et de lumières, elle confère une nouvelle dimension à toutes ces œuvres venues d’ailleurs et met en avant la littérature haute en couleur.

Réalisé par WIPbrands, avec les illustrations de Mikki Rosa, le concept de couvertures vise à mettre en lumière – au sens à la fois propre et figuré – un personnage, un objet concret ou encore une chose abstraite que le lecteur découvre et comprend au fil des pages. Il ouvre ainsi une porte d’entrée sur l’imaginaire de l’auteur…

La citation sur la quatrième de couverture donne quelques indices, tandis que le marque-page intégré suggère deux directions de lecture opposées. Quel personnage est représenté sur la couverture de ce roman ? Au lecteur de trouver la réponse.

Le bandeau, qui signale la récompense internationale, acquiert ainsi une véritable fonction, car il permet au lecteur d’être partie prenante du livre.

Les Éditions Bleu et Jaune : aller à la rencontre de l’Autre

Les Éditions Bleu et Jaune, qui ont pour ligne éditoriale la découverte de l’Autre, s’attachent à cultiver l’ouverture sur le monde et à construire des ponts interculturels. Fondées en 2015 par Tatiana Sirotchouk, Docteure en langues et littérature françaises, elles ont leur siège social sur l’avenue des Champs-Élysées à Paris.

Leur ambition : mettre en lumière des œuvres écrites dans les langues moins répandues, qui représentent seulement 11 % des titres traduits en France, et plus particulièrement les langues et littératures qui se trouvent en Europe. Cet engagement est né de la croyance que les langues moins répandues produisent de grandes œuvres littéraires qui méritent d’être connues du lecteur français et francophone.

En 2019, la maison d’édition évolue en société d’édition et met en place des partenariats avec le diffuseur CED-CEDIF et le distributeur POLLEN.

L’année 2020 marque un tournant pour les Éditions Bleu et Jaune. Elles obtiennent les droits de traduction et de publication en France de plusieurs ouvrages récompensés par le Prix de littérature de l’Union européenne, qui seront publiés dans la collection « Fiction Europe » en 2021.

Un engagement en faveur de la planète

Consciente des enjeux environnementaux actuels, la maison d’édition adopte une démarche écoresponsable pour contribuer à stopper le dérèglement climatique. Cet engagement se traduit par des actions très concrètes :

Imprimer les livres en France

Les livres des Éditions Bleu et Jaune sont imprimés en France et sur du papier issu de forêts gérées durablement. Pour une jeune maison d’édition, ce choix a un coût, mais il est essentiel, car en accord avec les valeurs qui l’animent.

Contribuer au reboisement des forêts

Un partenariat de longue durée a été établi en 2020 avec la société française Naudet, spécialiste du reboisement des forêts en France. En mars 2021, cent arbres seront plantés en Alsace ; cette plantation est associée à la mise en place de la collection de littérature européenne. Chaque année, à la même période, de nouveaux arbres seront plantés. Ces plantations permettent de stocker le CO2 grâce à la photosynthèse, de filtrer l’eau, de libérer le dioxygène et de préserver la biodiversité et la faune.

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Des livres qui plantent des arbres

Mais la maison d’édition a la volonté d’aller encore plus loin. Son objectif, à court terme, est que chaque livre vendu participe, à la hauteur de 50 cents/1 euro, à la plantation d’un arbre et, à long terme, que chaque livre vendu contribue à planter un arbre. Les lecteurs peuvent ainsi s’engager aux côtés de la maison d’édition pour lutter contre le dérèglement climatique tout en lisant des livres de qualité.

À propos de Tatiana Sirotchouk, fondatrice et présidente des Éditions Bleu et Jaune

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Française d’origines ukrainienne et polonaise, Tatiana Sirotchouk est Docteure en langue et littérature françaises. Après ses études à l’université de Tchernivtsi en Ukraine, elle travaille en tant que professeure dans la même université.

En France, elle obtient le titre de Docteure en langue et littérature françaises en 2009 à l’université de Nancy 2 (actuellement université de Lorraine) et achève son parcours universitaire par une qualification aux fonctions de maître de conférences en études slaves. Cette même année, elle devient enseignante à l’INALCO, à Paris, et membre de l’équipe de recherche PLIDAM.

Avec plus de dix années d’expérience dans l’enseignement supérieur et la recherche, Tatiana Sirotchouk est l’auteure de différents ouvrages, programmes de recherches, contributions à des colloques et journées d’études, articles et conférences, présentés lors de manifestations universitaires et culturelles en France, en Ukraine, en Allemagne, en Pologne et au Canada.

Aujourd’hui, elle se consacre entièrement aux Éditions Bleu et Jaune, qu’elle dirige avec passion et engagement.

Informations Pratiques

De très modestes cadeaux d’Uglješa Šajtinac

  • Parution : 8 avril 2021
  • Collection Fiction Europe
  • Traduction : Alain Cappon
  • Format : 140 x 205 mm
  • 176 pages
  • ISBN livre papier : 979-10-94936-12-2
  • ISBN livre électronique : 979-10-94936-14-6
  • Prix : 18 €

Pour en savoir plus

Découvrir le livre : https://www.editionsbleuetjaune.fr/livres/de-tres-modestes-cadeaux-ugljesa-sajtinac/

Site web : https://www.editionsbleuetjaune.fr/

Facebook : https://www.facebook.com/editionsbleuetjaune/

Instagram : https://www.instagram.com/editionsbleuetjaune/

Contact Presse

Tatiana Sirotchouk

E-mail : presse@editionsbleuetjaune.fr

Tel : 0984345262

Sortie du livre La peau est la membrane élastique qui enveloppe l’ensemble du corps de Bjørn Rasmussen : le roman danois primé enfin traduit en français

Bjørn a quinze ans lorsqu’il tombe amoureux de son moniteur d’équitation, de vingt ans plus âgé. Déjà aux prises avec son homosexualité qu’il tente de dompter en se mutilant, l’adolescent se retrouve au cœur d’une étrange relation d’amour sadomasochiste.

Commence alors la quête d’une gratification impossible : les pulsions du corps l’entraînent dans un tourbillon effréné de transgressions. Mais derrière cette apparente perversion, c’est un véritable cri d’amour qui résonne…

La peau est la membrane élastique qui enveloppe l’ensemble du corps est un roman à la fois provocant et magnifique, vibrant et fragile. L’auteur danois Bjørn Rasmussen casse les codes du récit et de l’écriture, du genre et de la sexualité, tout en fascinant par son style sans précédent et par sa prose subtilement empreinte de poésie.

Déjà traduit dans de nombreuses langues, il est enfin publié en français (traduction :  Caroline Berg) dans la collection « Fiction Europe » des Éditions Bleu & Jaune.

C’est lui.
Ils vont se revoir.
Ça va arriver de nouveau.
Les chevaux vont chanter.

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Un livre qui ne laisse personne indifférent

Le roman de Bjørn Rasmussen est un ovni dans le monde de la littérature. Totalement inclassable, il évoque un sujet resté longtemps tabou. Le livre fascine plus qu’il ne choque, grâce à son vocabulaire et à son style, tous deux exceptionnels, et à la beauté indéniable de sa prose.

Tatiana Sirotchouk, la fondatrice des Éditions Bleu & Jaune, souligne :

Pour Bjørn Rasmussen, l’écriture, tout comme le corps, n’a aucune limite : le style est aussi sauvage que maîtrisé, le vocabulaire est aussi cru que poétique. La ponctuation suit ses propres règles, les phrases s’arrêtent au beau milieu de nulle part, la disposition du texte donne du fil à retordre… Pour l’éditrice que je suis, c’est à la fois un défi et un privilège de publier un roman qui casse tous les codes.

A l’origine, il a été publié par la deuxième plus ancienne maison d’édition du Danemark. Fondée en 1770, Gyldendal est cotée à la Bourse de Copenhague et est considérée comme la plus grande maison d’édition du pays.

Un auteur à part qui marque l’histoire littéraire de son pays

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Photo : © Frida Gregersen

Dans l’histoire de la littérature danoise, Bjørn Rasmussen est le premier auteur débutant à avoir obtenu le prestigieux Montanas Litteraturpris, avec La peau est la membrane élastique qui enveloppe l’ensemble du corps. Ce prix est décerné chaque année au Danemark à un auteur contemporain qui parvient à renouveler un genre littéraire ou qui présente la réalité d’une manière nouvelle et surprenante.

Selon le jury de Montanas Litteraturpris : 

 Bjørn Rasmussen livre, avec un impact remarquable et une intensité stylistique exceptionnelle, une histoire complexe traitant d’identité et de sexualité, de soumission et de survie. Il le fait de surcroît avec un sens impressionnant du dialogue intertextuel, doublé d’une capacité d’analyse critique étayée du normativisme social.

Au niveau international, ce roman jouit d’une belle reconnaissance. Il a ainsi obtenu le Prix de littérature de l’Union européenne en 2016, une récompense qui met en avant la richesse et la diversité de la littérature contemporaine européenne. À ce jour, le livre est traduit en dix langues. Il inaugure la collection « Fiction Europe » des Éditions Bleu et Jaune. Sa publication en France est soutenue par le programme Europe créative de la Commission européenne.

 

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Une traductrice chevronnée au service du roman danois

Le roman de Bjørn Rasmussen a été traduit par Caroline Berg, actrice et traductrice française de langues scandinaves. Elle parle six langues. Après une carrière de comédienne pendant vingt ans en France, en Italie, en Suisse et en Allemagne, Caroline Berg se consacre entièrement à la traduction littéraire d’auteurs à succès, dont le Danois Jussi Adler-Olsen, auteur de best-sellers, ou encore le Suédois Jonas Jonasson, dont le roman Le Vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire a été vendu en France à plus d’un million d’exemplaires. Pour la traductrice, le roman La peau est la membrane élastique qui enveloppe l’ensemble du corps est « un diamant brut ». Caroline Berg déclare : «Ce livre aura sans aucun doute été l’expérience la plus émouvante de ma carrière de traductrice

« Fiction Europe » : un autre regard sur la littérature européenne

La littérature européenne ne se résume pas aux œuvres anglaises, espagnoles, italiennes ou allemandes !

Afin de nous amener à comprendre nos voisins européens, à nous enrichir d’une vision différente sur le monde qui nous entoure ou à bousculer nos certitudes, la collection « Fiction Europe » met en avant des œuvres littéraires européennes de qualité, connues et reconnues dans leurs pays respectifs, récompensées au niveau international et encore inédites en France. L’objectif est de leur donner « une résonance nouvelle, une vie plus longue, un lectorat plus large ». De jeunes auteurs talentueux vont côtoyer des auteurs déjà établis. Des sujets tabous ou restés longtemps comme tels dans notre société trouveront leur expression. Des thématiques historiques et des particularités nationales apporteront à cette collection une diversité captivante. Les quatre premiers titres, qui inaugurent cette collection, ont obtenu le Prix de littérature de l’Union européenne.

Une identité visuelle forte et unique

Selon un auteur et théoricien de l’art très connu, « le jaune apporte toujours une lumière » et « le bleu apporte toujours une ombre ». Cette approche fondamentale se retrouve au cœur de l’identité visuelle qui a été pensée pour la collection « Fiction Europe » : avec jeux de couleurs, d’ombres et de lumières, elle confère une nouvelle dimension à toutes ces œuvres venues d’ailleurs et met en avant la littérature haute en couleur.

Réalisé par WIPbrands, avec les illustrations de Mikki Rosa, le concept de couvertures vise à mettre en lumière – au sens à la fois propre et figuré – un personnage, un objet concret ou encore une chose abstraite que le lecteur découvre et comprend au fil des pages. La citation sur la quatrième de couverture donne quelques indices, tandis que le marque-page intégré suggère deux directions de lecture opposées : c’est au lecteur de choisir. Le bandeau, qui signale la récompense internationale, acquiert ainsi une véritable fonction, car il permet au lecteur d’être partie prenante du livre.

Les Éditions Bleu et Jaune : aller à la rencontre de l’Autre

Les Éditions Bleu et Jaune, qui ont pour ligne éditoriale la découverte de l’Autre, s’attachent à cultiver l’ouverture sur le monde et à construire des ponts interculturels. Fondées en 2015 par Tatiana Sirotchouk, Docteure en langues et littérature françaises, elles ont leur siège social sur l’avenue des Champs-Élysées à Paris.

Leur ambition : mettre en lumière des œuvres écrites dans les langues moins répandues, qui représentent seulement 11 % des titres traduits en France, et plus particulièrement les langues et littératures qui se trouvent en Europe. Cet engagement est né de la croyance que les langues moins répandues produisent de grandes œuvres littéraires qui méritent d’être connues du lecteur français et francophone. 

En 2019, la maison d’édition évolue en société d’édition et met en place des partenariats avec le diffuseur CED-CEDIF et le distributeur POLLEN.

L’année 2020 marque un tournant pour les Éditions Bleu et Jaune. Elles obtiennent les droits de traduction et de publication en France de plusieurs ouvrages récompensés par le Prix de littérature de l’Union européenne, qui seront publiés dans la collection « Fiction Europe » en 2021.

Un engagement en faveur de la planète

Consciente des enjeux environnementaux actuels, la maison d’édition adopte une démarche écoresponsable pour contribuer à stopper le dérèglement climatique. Cet engagement se traduit par des actions très concrètes :

Imprimer les livres en France

Les livres des Éditions Bleu et Jaune sont imprimés en France et sur du papier issu de forêts gérées durablement. Pour une jeune maison d’édition, ce choix a un coût, mais il est essentiel, car en accord avec les valeurs qui l’animent.

Contribuer au reboisement des forêts

Un partenariat de longue durée a été établi en 2020 avec la société française Naudet, spécialiste du reboisement des forêts en France. En mars 2021, cent arbres seront plantés en Alsace ; cette plantation est associée à la mise en place de la collection de littérature européenne. Chaque année, à la même période, de nouveaux arbres seront plantés. Ces plantations permettent de stocker le CO2 grâce à la photosynthèse, de filtrer l’eau, de libérer le dioxygène et de préserver la biodiversité et la faune.

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Des livres qui plantent des arbres

Mais la maison d’édition a la volonté d’aller encore plus loin. Son objectif, à court terme, est que chaque livre vendu participe, à la hauteur de 50 cents/1 euro, à la plantation d’un arbre et, à long terme, que chaque livre vendu contribue à planter un arbre. Les lecteurs peuvent ainsi s’engager aux côtés de la maison d’édition pour lutter contre le dérèglement climatique tout en lisant des livres de qualité.

À propos de Tatiana Sirotchouk, fondatrice et présidente des Éditions Bleu et Jaune

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Française d’origines ukrainienne et polonaise, Tatiana Sirotchouk est Docteure en langue et littérature françaises. Après ses études à l’université de Tchernivtsi en Ukraine, elle travaille en tant que professeure dans la même université.

En France, elle obtient le titre de Docteure en langue et littérature françaises en 2009 à l’université de Nancy 2 (actuellement université de Lorraine) et achève son parcours universitaire par une qualification aux fonctions de maître de conférences en études slaves. Cette même année, elle devient enseignante à l’INALCO, à Paris, et membre de l’équipe de recherche PLIDAM.

Avec plus de dix années d’expérience dans l’enseignement supérieur et la recherche, Tatiana Sirotchouk est l’auteure de différents ouvrages, programmes de recherches, contributions à des colloques et journées d’études, articles et conférences, présentés lors de manifestations universitaires et culturelles en France, en Ukraine, en Allemagne, en Pologne et au Canada.

Aujourd’hui, elle se consacre entièrement aux Éditions Bleu et Jaune, qu’elle dirige avec passion et engagement.

Informations pratiques

La peau est la membrane élastique qui enveloppe l’ensemble du corps de Bjørn Rasmussen.

  • Traduit du danois par Caroline Berg
  • Parution : 11 mars 2021
  • Collection : Fiction Europe
  •  Format : 140 x 205 mm
  • 132 pages
  • Prix TTC : 18,00 €
  • ISBN : 979-10-94936-11-5
  • ePub : 979-10-94936-13-9

Pour en savoir plus

Site web : https://www.editionsbleuetjaune.fr/

Facebook : https://www.facebook.com/editionsbleuetjaune/

Instagram : https://www.instagram.com/editionsbleuetjaune/

NBE éditions lance la collection pornoésies & autres, une collection d’ouvrages pour dire au singulier le plaisir et la sexualité

Dans un contexte pandémique délétère, toutes les libertés qu’il est encore possible de pratiquer deviennent précieuses et indispensables,

…y compris et surtout lorsqu’il s’agit de plaisir et de sexualité, l’expression de nos libertés au singulier.

NBE éditions lance la collection pornoésies & autres pour faire découvrir les voix de femmes du siècle, oser un autre regard sur la sensualité et l’érotisme, à mille lieues des idées reçues. Une ode à la liberté qui commence par la publication de 6 titres qui réveillent les sens et font monter la température…

 

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Dès le 14 février : 3 ouvrages, 3 femmes, 3 générations

Elles ont 60, 40 et 30 ans. Trois auteures audacieuses ont décidé de s’emparer de trois classiques de la littérature érotique, tous marqués d’une forte empreinte masculine, pour les revoir et les corriger à leur goût féminin.

Des vidéos sur chaque titre sont disponibles sur la chaîne YouTube de NBE éditions.

Deux nuits d’excès : Une dystopie radicale

2 nuits d'excès Ces deux nuits d’excès sont librement inspirées de l’érotique d’Alfred de Musset, Gamiani. Unique récit sauvagement érotique de la période romantique, Gamiani ou Deux nuits d’excès d’Alfred de Musset est l’ouvrage licencieux le plus lu du XIXe siècle et le plus publié clandestinement, de 1833 à 1930.

L’écrivain naturaliste Joris- Karl Huysmans y voyait « des femelles cabrées, dont les torses craquent et dont les jambes s’entrouvrent, laissant voir un épanouissement de fleurs rouges, dans des fourrés de broussailles ! »

Dominique Baqué en a fait une dystopie radicale où le plaisir sexuel, interdit au profit de la seule procréation, se vit au péril de son existence. Nourrie de son modèle, sans l’âne mais avec un chien, l’obsession de la débauche y règne en maître, sévèrement revue et corrigée par une femme du siècle. Dominique Baqué est écrivaine, philosophe, critique d’art. Deux nuits d’excès est son vingtième ouvrage.

Informations pratiques :

  • ISBN : 979-10-95777-40-3
  • Format : 120 x 190 mm
  • 88 pages
  • Prix : 12 €

Le livre de volupté : un commentaire contemporain piquant greffé au cœur du texte original

livre de volupté Librement revu et corrigé d’après le texte d’Ahmad al-Tîfâchî. Illustrations de l’édition française traduite du turc par Abdul-Haqq Effendi.

Nombreux ont brandi ce livre, somme de courts textes alternant positions sexuelles, récits érotiques et anecdotes traditionnelles, comme un classique du genre. Pourtant, peu d’éditions ont circulé.

Écrit par Ahmad al-Tîfâchî au XIIIe siècle, il a été traduit par Ahmad ibn Souleiman au XVIe siècle pour le sultan Sélim II, puis traduit du turc par Abdul-Haqq Effendi, au XIXe siècle, dans une édition française qui invitait « les Chrétiens des pays situés au soleil couchant à enfin juger honnêtement du caractère de l’esprit des vrais Croyants de l’Orient. »

Dans la plus pure tradition de la philosophie arabe, voici ce texte à nouveau disponible pour surprendre l’excitation, en étant radicalement remanié et commenté par une femme, animée du seul dessein d’accentuer et de mettre en lumière – enfin – un plaisir purement féminin. Alexandra Fisch est éditrice.

Informations pratiques :

  • ISBN : 979-10-95777-42-7
  • Format : 120 x 190 mm
  • 164 pages
  • Prix : 18 €.

Dévergondages : La sexualité sous les auspices de l’être et non de l’avoir

dévergondages Durant les années 1930, l’auteur de Dévergondages imposa la liberté d’un texte cru et audacieux, sous la forme de tableaux érotiques au sein desquels, sous l’œil d’un homme, le plaisir sexuel s’autorisait toutes sortes de formes radicales.

Face aux codes de la performance vendus par l’industrie pornographique, au XXIe siècle, qu’en est-il de ce libertinage libertaire ? Cette adaptation, dévergondée par notre époque, aborde le plaisir comme une chasse où les corps se découvrent pour mieux se célébrer.

L’art de jouir révèle, outre la beauté de l’existence, son impermanence absolue. À la condition d’apprendre à rire de soi et à se laisser surprendre par ce qui se présente, sans savoir à l’avance sur quelle trame l’excitation et le désir se manifestera. Et ce, malgré les apparences, qui peuvent être trompeuses.

Mais faire l’amour et s’abandonner sans savoir est aussi une invitation à devenir, dans une même tension, humble et puissant à la fois.

Joséphine Maacci, réalisatrice et scénariste, vit et travaille à Paris.

Informations pratiques :

  • ISBN : 979-10-95777-43-4
  • Format : 120 x 190 mm
  • 84 pages
  • Prix : 12 €.

Dès le 8 mars : 1 manifeste sur la raison d’être de l’érotisme, chaperonné par 2 vieux briscards de la littérature

Ces trois textes sont publiés à l’occasion de la Journée de la Femme sur le thème de : « Leadership féminin : Pour un futur égalitaire dans le monde de la Covid-19 ».

Ils constituent un manifeste sur la raison d’être de l’érotisme ou comment réussir par l’entremise de la fiction à se libérer, sexuellement et en toutes circonstances, des formatages réducteurs et des idées toutes faites.

Une parole nouvelle (Camille Moreaux) accompagnée de deux vieux briscards de la littérature, l’un (Fleury-Merogis), bientôt évadé, mais encore pudique, sur les traces de l’odor di femina, l’autre (James Joyce), le nez toujours plongé dans la matrice odoriférante du monde.

Manifeste d’érotologie – Comme se libérer du silence

Comment se libérer du silence, des injonctions qui dominent le discours sur la sexualité ? Où trouver sa place parmi les recommandations sociales, familiales, médiatiques, psychanalytiques, parfois même militantes, qui tentent de nous convaincre de ce qui est sain ou malsain, bien ou mal, normal ou anormal, excessif ou raisonnable ?

Plutôt que d’édifier des injonctions supplémentaires, ce manifeste propose de goûter à une émancipation sexuelle par la fiction et l’expérimentation. La liberté dont font preuve les créateurs de littérature érotique ou de cinéma licencieux est une formidable inspiration pour l’affranchissement des diktats, et une étonnante porte vers la connaissance de soi.

Guidée par les conteurs d’histoires, secondée par les penseurs du sexe, et éclairée par son expérience personnelle, l’auteure propose une ode à la joie érotique et à l’individualité. Pour promouvoir la liberté, mais une liberté intime, personnelle, égoïste, décomplexée, orgueilleuse, et romanesque. Car dans l’érotisme, nous sommes tous les héros de notre propre roman.

Selon Camille Moreaux, l’érotisme est une fiction salutaire dont il faut prendre un grand soin, puisque nous en sommes tous les principaux acteurs.

Camille Moreau a étudié à l’université Paris I Panthéon-Sorbonne, elle a consacré sa thèse de doctorat en esthétique à l’expérience de lecture de la littérature érotique.

Informations pratiques :

  • ISBN : 979-10-95777-45-8
  • Format : 120 x 190 mm
  • 92 pages
  • Prix : 12 €

Lady Macbeth au lit – En compagnie de quelques vulves européennes

LADY MACBETH AU LIT Un ouvrage écrit par Fleury Mérogis, un auteur dont le pseudonyme dit le désir d’évasion. Ses textes osent le plaisir des mots en liberté, pour la plus grande joie des sens. Une clé dichotomique des vulves européennes, principalement basée sur des caractères organileptiques, accompagne chaque lecture.

L’ouvrage est illustré par Dominique Paulin, artiste, médecin, anciennement gynécologue, connue pour avoir fait découvrir leurs vulves à ses patientes avec un miroir.

Informations pratiques :

  • ISBN – 979-10-95777-46-5
  • Format : 120 x 190 mm
  • 84 pages
  • Prix : 12 €

Jim-Jimmy versus Joyce – Poèmes et lettres d’amour coprophage

Traduit par Patrick Reumaux (traducteur de William Shakespeare entre autres et d’auteurs irlandais, Flann O’Brien, Sheridan Le Fanu), James Joyce est ici à la fois le poète de Musique de Chambre et le mari salace, celui qui écrivait à Nora – « Ma petite cochonne, En recevant ta lettre hier soir, j’ai essayé de te figurer en train de te branler le con dans les cabinets ». Deux faces de la même littérature.

Informations pratiques :

  • ISBN – 979-10-95777-48-9
  • Format : 120 x 190 mm
  • 92 pages
  • Prix : 12 €

NBE éditions, c’est aussi un autre regard sur la procrastination

Et si remettre au lendemain les tâches du jour était un exercice salutaire pour lutter contre la surexcitation contemporaine ? Pris dans l’étau de la pandémie, il y a une affirmation que plus personne ne peut plus réfuter aujourd’hui : demain, c’est bien aussi !

Le 25 mars, à l’occasion de la journée mondiale de la procrastination, NBE éditions publie deux livres inspirés et inspirants nés de ce sujet passionnant :

Théorie de l’attaché de presse – Essai de surexcitation contemporaine

Théorie de l'attaché de presse

Ronan Chastellier propose un décryptage des enjeux de la surexcitation contemporaine, ceux-ci l’ayant conduit à se faire le porte-parole des vertus de la procrastination avant le collapse définitif de nos sociétés en surchauffe.

Faire sortir la sociologie du cénacle et de la pensée figée, éviter les généralités pontifiantes, rechercher les pépites voire les fulgurances, c’est l’objet de cette Pop sociologie qui ne cherche pas à démontrer laborieusement, mais plutôt donne à voir. La priorité, c’est l’accès et la pertinence pour le plus grand nombre et aussi le délassement intellectuel. Pas de longs et impitoyables raisonnements, mais des intuitions, des visions décalées souvent validées par des sondages pour produire de l’originalité et le saisissement du lecteur.

La pub, la consommation, la littérature, l’art ou le corona virus, sont au service du jaillissement de l’idée. C’est la méthode inédite de cet « Essai de surexcitation » qui convoque aussi bien Lacan que Pamela Anderson, Descartes et Nabilla, Hegel et Beyoncé, Kim Kerdashian et le professeur Didier Raoult, pourvu que ces rapprochements suprêmement discordant, nous réveillent de la somnolente normativité, éclairent le sens et ouvre l’esprit à une disponibilité nouvelle.

Diplômé de l’Institut d’Etudes Politiques de Paris, créateur et rédacteur en chef de magazine “à idées”, supplément de Technikart, Le Fric Sympa, Life &Farms, président de Tendanço, institut de sondages d’opinion spécialisé sur les sujets sociétaux, Ronan Chastellier est un pionnier de la Pop Sociologie avec déjà plusieurs ouvrages de référence, Marketing Jeune (Ed. Village Mondial), Tendançologie (Ed. Eyrolles), Essai sur la frugalité contemporaine (Ed. du Moment). Pour son approche moins conventionnelle, il est régulièrement interviewé dans les médias sur les sujets de société.

Informations pratiques :

  • ISBN : 979-10-95777-47-2
  • Format : 120 x 190 mm
  • 124 pages
  • Prix : 14 €

Procrastination bissextile – Journal 2020

David d’Equainville, initiateur de la journée mondiale de la procrastination, après la publication de son Encyclopédie joyeuse de la procrastination (Ed. Le Contrepoint), présente quelques travaux, poésies, récits et commentaires, en l’état.

Informations pratiques :

  • ISBN : 979-10-95777-44-1
  • Format : 120 x 190 mm
  • 366 pages
  • Prix : 366 € – Parce que toujours en cours de remaniement, le prix de l’ouvrage sera raisonnablement révisé à l’occasion d’une réédition, très prochainement.

A propos de NBE éditions

NBE éditions est à l’origine de la réédition en 2012 d’un numéro du « Journal de Paris », premier quotidien de presse en France, né en 1777 et distribué en kiosque.

NBE éditions a également créé un site sur les « événements sentinelles » (www.journaldeparis.com), accompagnant la publication d’affiches mensuelles placardées durant la précédente campagne présidentielle dans les bistrots parisiens.

L’idée de la collection pornoésies & autres est née du premier confinement, suite à l’arrêt subit de toutes les rencontres non programmées et de la mise en place des attestations de déplacement.

NBE éditions publiera prochainement Lettres d’amour à quelques-unes de l’écrivain et poète Dylan Thomas (illustrations de Karine Rougier), Leçons de savoir perdre et gagner de l’entrepreneur Nicolas Decayeux, ainsi qu’une nouvelle traduction de Gatsby le Magnifique, le roman incontournable de F. Scott Fitzgerald.

Pour en savoir plus

Facebook : https://www.facebook.com/NBEeditions/

YouTube : https://www.youtube.com/channel/UCytQq6WDnnJOoXj7SoNdmzg

Le Bouquine Truck Nombre7 : le “livre truck” de proximité qui démocratise l’accès à la littérature partout en France

Durant le 1er confinement, quand les librairies étaient fermées, les Français ont été nombreux à témoigner de leur attachement à la littérature (source). En effet, quel meilleur support pour s’ouvrir aux autres et au monde, s’évader, rêver, nourrir son imaginaire, apprendre et s’informer, que le livre ?

Nos concitoyens sont ainsi près de 9 sur 10 à se déclarer lecteurs selon une étude réalisée par le Centre National du Livre (source).

Mais alors que près de 200 titres sont publiés chaque jour en France (source), tout l’enjeu est de leur faire découvrir d’autres auteurs que ceux et celles régulièrement mis en avant par les grosses maisons d’édition parisiennes. Il y a tellement d’autres voix, styles et univers qui gagneraient à être connus !

Dans ce contexte, la maison d’édition nîmoise Nombre7 innove en lançant le Bouquine Truck.

Le Bouquine Truck va parcourir les villes de France et organiser la rencontre des auteurs avec les lecteurs. Dans tous les lieux à forte fréquentation, il va ainsi créer un nouveau genre de rendez-vous littéraire qui fait la part belle à la proximité.

Le Bouquine Truck invente un nouvel espace de rencontres et s’inscrit dans la logique d’innovation de l’édition conforme à l’ADN de la maison d’édition.

Bouquine Truck

Un “éveilleur de curiosité” qui met à l’honneur la rencontre auteur-lecteur

Le Bouquine Truck va arpenter tous les lieux visibles et très fréquentés par un public ouvert et disponible : les marchés nocturnes, les places de village, les bords de plage, les zones de villégiatures, les rassemblements…

Sur place, il va déployer un espace chaleureux et accueillant, propice à la rencontre dans une ambiance conviviale : mobilier cosy, tables hautes, quelques fauteuils…

Les auteurs présents pourront ainsi s’installer confortablement pour échanger avec les lecteurs, répondre à leurs questions, dédicacer leur livres, et présenter leurs actualités littéraires.

Nous avons imaginé un véritable salon littéraire sur roues ! Cette approche ouvre le champ des possibles et permet une forte relation de proximité. Auteurs et lecteurs reprennent contact, lors d’une rencontre directe, engagent la conversation et vivent ensemble des moments privilégiés.

Une sélection d’auteurs et de livres qui font écho aux lieux visités

Le Bouquine Truck ne se contente pas d’investir la Cité : il met aussi à l’honneur toute la richesse et la diversité des communes françaises.

Créateur de liens sociaux et passeur de connaissances, il sort des sentiers (re)battus pour apporter un autre regard sur tous les lieux qu’il visite :

  • soit en constituant un plateau de deux ou trois écrivains locaux ;
  • soit en présentant ceux dont le livre représente un intérêt pour le territoire.

De quoi satisfaire les lecteurs locavores !

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Des animations pour fédérer un large public

Le Bouquine Truck, c’est aussi tout  un programme d’animation qui se déclinent selon la nature de l’événement, du lieu et du public : conférence débat, ateliers…

Voici un aperçu des premières dates programmées pour le Bouquine Truck :

- 17 avril à Limoges (87) ;
- du 5 au 11 juillet au Festival de littérature à Anduze (30) ;
- les 13 et 27 juillet et les 10 et 24 août au camping Le Lac des rêves à Lattes (34)

Le Bouquine Truck organise aussi sa tournée des plages ! En effet, quel meilleur endroit que le bord de mer en été pour rencontrer le public sensible à la littérature du sud de la France ?

Il sillonnera ainsi le bord de la Méditerranée pour proposer au public, le temps d’une journée, d’aller à nouveau à la rencontre des auteurs, se faire dédicacer leurs livres ou participer aux ateliers d’écriture.

Un concept qui casse les codes du marché de l’édition

Avec le Bouquine Truck, la maison d’édition Nombre7 veut donner de la visibilité à ses auteurs mais aussi promouvoir une autre approche de la littérature.

Actuellement, un constat s’impose : dans un monde d’édition particulièrement encombré, les “petits” écrivains qui ne relèvent pas d’une maison parisienne de premier rang manquent cruellement de visibilité et d’occasions de défendre leurs textes.

Souvent invisibles, dans l’ombre des locomotives de l’édition, ils sont ignorés des grands médias, et n’ont donc pas d’autre choix pour se faire connaître que de participer à des salons. Ces derniers se sont multipliés ces dernières années mais ils ont tendance à se transformer en grandes braderies commerciales et en chasse à la dédicace de célébrités.

Il est temps d’imaginer un nouveau modèle de promotion ! Le Bouquine Truck a été conçu pleinement dans le contexte d’innovation permanente cette maison d’édition dynamique.

A propos de Nombre7, l’éditeur qui bouge les lignes

 

Nombre7

 

 

Maison d’édition nîmoise, Nombre7 participe au rayonnement des territoires en proposant un système d’édition innovant qui favorise le circuit court, éco-responsable et proche et respectueux de ses auteurs, au centre de la démarche éditoriale.

C’est une maison d’édition généraliste qui réinvente le modèle dit classique, démocratise l’accès à l’édition et assure à ses auteurs un véritable travail de promotion.

Elle accompagne ainsi, depuis 8 ans, près d’un millier d’auteurs dans toute la France.

Pour en savoir plus

Site web : https://www.nombre7.fr/

“Le temps à portée deMain” de Guillaume Muller, un captivant voyage dans le temps qui mêle fiction et réalité

Benjamin a créé une application sur smartphone qui permet de voyager dans le temps. Il décide de tenter l’expérience d’un voyage dans le futur avec Camille, sa meilleure amie. Époustouflés par ce qu’ils sont en train de vivre, ils ont hâte de revenir dans le présent afin de faire partager cette découverte au père de Benjamin, un scientifique de renom. Or, Benjamin va faire une erreur de programmation : au lieu de revenir 100 ans en arrière, il recule de 200 ans et se propulse avec Camille en l’an 1918.

« Fatale » erreur ! Comment revenir dans le présent, sachant que l’application utilise Internet et qu’en 1918, la technologie est encore bien rudimentaire ? Cette erreur de débutant sera forcément cause de beaucoup de trouble mais va aussi donner lieu au plus inattendu…

Pour son premier roman, “Le temps à portée deMain”, Guillaume Muller invite les lecteurs à vivre une aventure palpitante qui tient en haleine jusqu’à la dernière page. Le chanteur auteur et interprète, que le grand public a pu découvrir dans le spectacle musical “Bernadette de Lourdes”, montre ici une nouvelle facette de son talent.

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Un récit court et intense, accessible à tous

“Le temps à portée deMain” est une histoire née en 2018, un jour que Guillaume Muller était perdu dans ses pensées et dans ses rêves. Cette histoire s’est soudainement imposée à lui, jusqu’à l’obséder. Le début et la fin, ainsi que les personnages, étaient déjà là, comme une évidence.

Guillaume souligne :

J’ai été séduit par la possibilité de mélanger fiction et réalité, ce qui est rarement fait dans les histoires de voyages temporels. De plus, j’ai volontairement choisi un format court, pour plonger avec ce livre sans prétention les lecteurs.trices dans le cœur de l’action…

En prenant la plume, Guillaume veut aussi contribuer à nourrir l’imaginaire de chacun.e, notamment en laissant les lecteurs.trices construire leurs propres décors et devenir, en un sens, les “réalisateurs.trices” de l’histoire de l’auteur.

L’auteur veut qu’ils soient libres de développer “leur vision” des scènes du roman. Une volonté qui trouve son origine dans son histoire personnelle : lorsqu’il est né, Guillaume était atteint d’une double cataracte congénitale et un nystagmus qui faisaient alors de lui un aveugle. Il a alors subi très tôt plusieurs opérations qui lui ont  permis d’avoir accès à la vue, à une vue partielle, relativement handicapante.

Mais elle a aussi nourri son envie de se dépasser : qui ne voit pas ou qui voit mal physiquement caresse l’idée de « voir plus loin » !

Extrait

“Aujourd’hui, une circonstance extraordinaire m’a incité à me plonger dans la lecture d’un journal intime, celui de mon grand-père. Je viens tout juste d’achever cette première lecture. Jusqu’ici, je ne m’y étais jamais intéressé. Pourquoi ? Parce qu’à la maison, personne ne parle plus de mon grand-père depuis longtemps. Il est devenu un « sujet tabou » et il a donc été complètement oublié.

Je m’appelle Kyle. Je décide de publier ce livre pour rétablir la vérité, la vérité sur Benjamin Nébourli qui sera passé pour un illuminé aux yeux de tous. Je veux laver son honneur et lui rendre un hommage posthume. J’ai désormais l’intime conviction que son histoire fut authentique et j’ai mal de savoir qu’il lui a fallu endurer les railleries et incompréhensions de toute la famille. Des souvenirs d’enfant me reviennent où l’on parlait de lui en mal sans que je puisse alors comprendre ce qu’on lui reprochait exactement.

Benjamin est né le 17 octobre de l’an 2000. Il a rapidement été fasciné par les sciences et, d’un caractère plutôt lunaire, il avait tendance à s’évader quand il n’était plus question de sa première passion. Elle lui venait de son père, lui-même inventeur, qui avait tenu à témoigner de son enthousiasme pour les sciences en donnant à son fils le prénom de son illustre idole, Benjamin Franklin.

J’ai quelques photos de Benjamin, d’une qualité plutôt médiocre, faites avec ce que l’on appelait à l’époque un iPhone X. Il était plutôt beau garçon et j’avoue sans modestie que la lignée familiale lui doit beaucoup. Un scientifique à la tête d’ange, c’est plutôt rare !

Ce matin, journée pour moi inoubliable, j’ai eu une révélation qui me bouleverse et qui me convainc maintenant de publier le premier carnet du journal intime de mon grand-père. Ce carnet relate une histoire exceptionnelle, l’histoire d’un tout jeune homme qui a fait un voyage dans le temps.”

L’avis des lecteurs.trices

Voici un aperçu des témoignages laissés sur Amazon :

“J’ai passé un très bon moment en compagnie de ce livre, je recommande, en particulier en ce moment où l’on a bien besoin de s’évader…et de rêver un peu à l’impossible.”

“Super histoire de voyage dans le temps, bien écrit, haletant. Très bon premier roman.”

“Un roman pour tout âges, qui se lit facilement et rapidement. Personnages attachants. Je recommande.”

“J’ai adoré ce livre qui est très bien écrit, la lecture est facile, sans lourdeur. L’histoire est très captivante et passionnante. On peut aisément terminer le livre en une journée ce qui est appréciable. Un auteur talentueux qui a une très belle plume, on attend avec impatience le prochain ouvrage.”

A propos de Guillaume Muller

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Guillaume Muller, 28 ans, est né à Libourne en Gironde.

Il se remémore :

Arrivé sur Paris en 2011, j’ai travaillé le théâtre et le chant, notamment avec Armande Altaï (la célèbre professeure de la Star Academy) et Jean Laforet.

Guillaume réalise ensuite une série de concerts en piano-voix avec un pianiste dans une petite salle sur Paris. Il crée alors un groupe qui assure quelques belles dates, telles que le Rocher de Palmer en Gironde ou au festival de la chanson française de Montluçon.

En 2016, il enregistre son premier album, “L’envers du décor”, avec les musiciens de Bénabar. Il donne ensuite quelques concerts avec l’un d’entre eux et son guitariste.

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En  2018,  Guillaume est choisi pour rejoindre la troupe du spectacle musical “Bernadette de Lourdes” composé par le chanteur Grégoire et mis en scène par Serge Denoncourt. Il y tient un double rôle : le greffier et le photographe, qu’il assure encore aujourd’hui. En une saison, plus de 70 000 spectateurs verront le show.

Fin 2019, il termine la rédaction de son livre “Le temps à portée deMain”, qu’il publie aux Editions Maïa en mai 2020. En parallèle, malgré la pandémie de Covid-19, il continue de travailler en studio sur ses morceaux et ses projets personnels.

Guillaume vient notamment de sortir deux nouvelles chansons en piano-voix : “Je perds le nord” et “Nostalgie”.

Informations pratiques

“Le temps à portée deMain” de Guillaume Muller

  • Éditeur : Editions Maïa (11 mai 2020)
  • ISBN-13 : 978-2379163425
  • 90 pages
  • Prix : 15 €

Pour en savoir plus

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Découvrir le livre : https://www.editions-maia.com/livre/le-temps-a-portee-demain/

Site web de l’auteur : https://www.guillaumemuller.com/

Dossier de presse  : https://www.relations-publiques.pro/wp-content/uploads/pros/20210210113052-p3-document-lzsq.pdf

YouTube : https://www.youtube.com/channel/UCGhjJaEjV_Odo1W3E7yj3Rg

Facebook : https://www.facebook.com/guillaumemulleroff/

Instagram : https://www.instagram.com/guillaumemuller_officiel/

Les Éditions Bleu et Jaune lancent une collection qui met à l’honneur la diversité de la littérature européenne contemporaine

En France, un livre sur six est un livre traduit.

Selon les données du Syndicat national de l’édition pour les années 2018 et 2019, l’anglais reste toujours la langue la plus traduite qui représente, à elle seule, 64% des titres traduits. Viennent ensuite le japonais, l’allemand, l’italien et l’espagnol.

Le constat est éloquent : ces cinq langues dominent le marché français de littérature étrangère, avec 89% des titres traduits. Toutes les autres langues – combien y en a-t-il dans le monde ? – constituent une part infime des titres traduits en France : seulement 11%.

Dans ce contexte, peut-on parler de diversité de la littérature étrangère en France ?

Pour représenter ces 11% de langues, et plus particulièrement les langues et littératures qui se trouvent en Europe, les Éditions Bleu et Jaune lancent « Fiction Europe », une collection qui met à l’honneur la richesse et la diversité de la littérature européenne contemporaine. Les premiers titres sortiront dès le mois de mars 2021.

Tatiana Sirotchouk, la fondatrice et présidente, souligne :

Nous avons décidé d’aller voir au-delà des ombres, au-delà des préjugés, au-delà des tabous. Nous croyons en effet que les langues moins répandues produisent de grandes œuvres littéraires qui méritent d’être connues du lecteur français et francophone.

« Fiction Europe » : un autre regard sur la littérature européenne

La littérature européenne ne se résume pas aux œuvres anglaises, espagnoles, italiennes ou allemandes !

Pour comprendre nos voisins européens, s’enrichir d’une vision différente sur le monde qui nous entoure ou bousculer nos certitudes, la collection « Fiction Europe » met en avant des œuvres littéraires européennes de qualité, connues et reconnues dans leurs pays respectifs, récompensées au niveau international et encore inédites en France. L’objectif est de leur donner « une résonance nouvelle, une vie plus longue, un lectorat plus large ».

De jeunes auteurs talentueux vont côtoyer des auteurs déjà établis. Des sujets tabous ou restés longtemps comme tels dans notre société trouveront leur expression. Des thématiques historiques et des particularités nationales apporteront à cette collection une diversité captivante. Les quatre premiers titres, qui inaugurent cette collection, ont obtenu le Prix de littérature de l’Union européenne.

Les cinq ouvrages qui seront publiés de mars à novembre 2021 sont une invitation à voyager de l’Islande à l’Ukraine, en passant par la Serbie, la Finlande et le Danemark. Leur publication en France est soutenue par le programme Europe créative de la Commission européenne.

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Une identité visuelle forte et unique

Selon un auteur et théoricien de l’art très connu, « le jaune apporte toujours une lumière » et « le bleu apporte toujours une ombre ».

Cette approche fondamentale se retrouve au cœur de l’identité visuelle, qui a été pensée pour la collection « Fiction Europe » : avec jeux de couleurs, d’ombres et de lumières, elle confère une nouvelle dimension à toutes ces œuvres venues d’ailleurs et met en avant la littérature haute en couleur.

Réalisé par WIPbrands, avec les illustrations de Mikki Rosa, le concept de couvertures vise à mettre en lumière – au sens à la fois propre et figuré – un personnage, un objet concret ou encore une chose abstraite que le lecteur découvre et comprend au fil des pages. La citation sur la quatrième de couverture donne quelques indices, tandis que le marque-page intégré suggère deux directions de lecture opposées : c’est au lecteur de choisir. Le bandeau, qui signale la récompense internationale, acquiert ainsi une véritable fonction, car il permet au lecteur d’être partie prenante du livre.

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Zoom sur les cinq premiers titres à paraître en 2021

Danemark : Bjørn RASMUSSEN – La peau est la membrane élastique qui enveloppe l’ensemble du corps

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Traduit du danois par Caroline Berg, ce roman raconte une étrange histoire d’amour sadomasochiste entre un adolescent et son moniteur d’équitation. Vibrant et fragile, il casse les codes du récit et de l’écriture, du genre et de la sexualité.

Il a été récompensé par le prestigieux Montanas Litteraturpris, décerné chaque année à un auteur danois qui renouvelle un genre littéraire ou présente la réalité de manière surprenante. En 2016, ce roman obtient le Prix de littérature de l’Union européenne.

Déjà traduit en plusieurs langues, il est le premier livre de Bjørn Rasmussen publié en France.

Sortie : 11 mars 2021

Serbie : Uglješa ŠAJTINAC – De très modestes cadeaux

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Version 2.0 du roman épistolaire, cet ouvrage retrace le dialogue, par courriels, de deux frères aux parcours opposés : le plus jeune est un dramaturge à succès en séjour aux États-Unis, et l’aîné un chauffeur de camionnette resté en Serbie.

Leurs échanges, en apparence ordinaires, mettent en lumière autant le conflit générationnel que la différence d’idéologies et de cultures, le contraste entre l’Est et l’Ouest, que la confrontation entre l’ancien et le nouveau.

Traduit du serbe par Alain Cappon, l’ouvrage permet de découvrir Uglješa Šajtinac, l’un des principaux représentants de la nouvelle génération de la littérature serbe.

Récompensé par le prix Vital du meilleur livre de l’année et le prix Bora-Stanković du meilleur livre de prose publié en serbe, De très modestes cadeaux obtient le Prix de littérature de l’Union européenne en 2014.

Déjà traduit en plusieurs langues, c’est le premier roman d’Uglješa Šajtinac publié en France.

Sortie 8 avril 2021

Et aussi…

Islande : Halldóra THORODDSEN – Double vitrage

Prix de littérature de l’Union européenne  2017. Traduit de l’islandais par Jean-Christophe Salaün. Sortie : 6 mai 2021

Finlande : Selja AHAVA – Choses qui tombent du ciel

Prix de littérature de l’Union européenne  2016. Traduit du finnois par Claire Saint-Germain. Les droits de traduction sont vendus dans vingt-quatre pays. Sortie : 10 juin 2021

 

Ukraine : Artem CHAPEYE – Loin d’ici, près de nulle part

L’auteur a été quatre fois finaliste du prix BBC du livre de l’année en Ukraine, y compris avec ce roman en 2015. Traduit de l’ukrainien par Justine Donche-Horetska. Sortie en novembre 2021.

Les Éditions Bleu et Jaune : aller à la rencontre de l’Autre

Les Éditions Bleu et Jaune, qui ont pour ligne éditoriale la découverte de l’Autre, s’attachent à cultiver l’ouverture sur le monde et à construire des ponts interculturels.

Fondées en 2015 par Tatiana Sirotchouk, Docteure en langues et littérature françaises, elles ont leur siège social sur l’avenue des Champs-Élysées à Paris.

En 2019, la maison d’édition se restructure en société d’édition et met en place des partenariats avec le diffuseur CED-CEDIF et le distributeur POLLEN.

L’année 2020 marque un tournant pour les Éditions Bleu et Jaune. Elles obtiennent les droits de traduction et de publication en France de plusieurs ouvrages ayant obtenu le Prix de littérature de l’Union européenne, dont un livre publié par la plus grande maison d’édition du Danemark cotée en Bourse, et un autre livre dont les droits de traduction sont vendus dans vingt-quatre pays.

La Commission européenne apporte un soutien financier à la publication de ces livres en France, via le programme Europe créative.

Pour accompagner son développement, la maison d’édition se dote d’une nouvelle identité visuelle et d’un nouveau logo : il comprend le nom de la maison d’édition, qui symbolise la rencontre avec l’Autre, et l’esperluette, qui incarne le lien entre pays et cultures.

Valoriser le travail des traducteurs

Dans l’ADN des Éditions Bleu et Jaune, il y a aussi la volonté de valoriser le travail des traducteurs. Tatiana Sirotchouk confirme :

S’il est vrai que « la langue de l’Europe, c’est la traduction », selon Umberto Eco, il est tout aussi vrai qu’elle existe grâce au travail des traducteurs, ces « hérauts muets de la culture », comme les appelle Jean Delisle.

Dans chaque livre de la collection « Fiction Europe », il y a une présentation du traducteur ou de la traductrice et de son parcours. Lors des campagnes de presse et sur les réseaux sociaux, la maison d’édition communique autant sur les auteurs que sur les traducteurs. Parmi ces derniers, il y a des traducteurs chevronnés ainsi que des traducteurs qui démarrent leur carrière dans la traduction littéraire. Tatiana Sirotchouk précise :

Nous collaborons autant avec des traducteurs expérimentés qu’avec de jeunes traducteurs talentueux, car s’il est important pour nous d’assurer la qualité de la traduction, il est tout aussi important de créer des vocations.

 Un engagement en faveur de la planète

Consciente des enjeux environnementaux actuels, la maison d’édition adopte une démarche écoresponsable pour contribuer à stopper le dérèglement climatique. Cet engagement se traduit dans des actions très concrètes :

Imprimer les livres en France

Les livres des Éditions Bleu et Jaune sont imprimés en France et sur du papier issu de forêts gérées durablement. Pour une jeune maison d’édition, ce choix a un coût, mais il est essentiel, car en accord avec les valeurs qui l’animent.

Contribuer au reboisement des forêts

Un partenariat de longue durée a été établi en 2020 avec la société française Naudet, spécialiste du reboisement des forêts en France. En février/mars 2021, cent arbres seront plantés en Alsace ; cette plantation est associée à la mise en place de la collection de littérature européenne. Chaque année, à la même période, de nouveaux arbres seront plantés. Ces plantations permettent de stocker le CO2 grâce à la photosynthèse, de filtrer l’eau, de libérer le dioxygène et de préserver la biodiversité et la faune.

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Des livres qui plantent des arbres

Mais la maison d’édition a la volonté d’aller encore plus loin. Son objectif, à court terme, est que chaque livre vendu participe, à la hauteur de 50 cents/1 euro, à la plantation d’un arbre et, à long terme, que chaque livre vendu contribue à planter un arbre. Les lecteurs peuvent ainsi s’engager au côté de la maison d’édition pour lutter contre le dérèglement climatique tout en lisant des livres de qualité.

À  propos de Tatiana Sirotchouk, fondatrice et présidente des Éditions Bleu et Jaune

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Française d’origines ukrainienne et polonaise, Tatiana Sirotchouk est Docteure en langue et littérature françaises.

Après ses études à l’université de Tchernivtsi en Ukraine, elle travaille en tant que professeure dans la même université. En France, elle obtient le titre de Docteure en langue et littérature françaises en 2009 à l’université de Nancy 2 (actuellement université de Lorraine) et achève son parcours universitaire par une qualification aux fonctions de maître de conférences en études slaves. Cette même année, elle devient enseignante à l’INALCO, à Paris, et membre de l’équipe de recherche PLIDAM.

Avec plus de dix années d’expérience dans l’enseignement supérieur et la recherche, Tatiana Sirotchouk est l’auteure de différents ouvrages, programmes de recherches, contributions à des colloques et journées d’études, articles et conférences, présentés lors de manifestations universitaires et culturelles en France, en Ukraine, en Allemagne, en Pologne et au Canada.

Aujourd’hui, elle se consacre entièrement aux Éditions Bleu et Jaune, qu’elle dirige avec passion et engagement.

Pour en savoir plus

Site web : https://www.editionsbleuetjaune.fr/

Facebook : https://www.facebook.com/editionsbleuetjaune/

Instagram : https://www.instagram.com/editionsbleuetjaune/

Editions Heartless, la maison d’édition “nouvelle génération” qui casse les codes du secteur avec ses box littéraires addictives

Il y a du nouveau dans le monde très fermé de l’édition ! Alors que le marché de la littérature est dominé par les géants du secteur, dans une situation quasi-monopolistique, de nouveaux acteurs sont bien décidés à dépoussiérer cet univers auto-centré.

Leur rôle est d’autant plus précieux que nombre de maisons d’édition, en raison de la crise sanitaire actuelle, rechignent désormais à publier de nouveaux auteurs (source). Elles préfèrent miser sur des valeurs sûres, privant pourtant les lecteurs.trices d’une réelle diversité de styles, d’univers et de talents.

Dans ce contexte, deux passionnées de lecture, Alice et Manon, continuent à développer leur propre maison d’édition, créée il y a deux ans pour faire découvrir les plus belles plumes francophones : Editions Heartless.

Forte d’une vraie communauté de lecteurs.trices fidèles, elle est spécialisée dans les romans Thriller / Policier / Epouvante / Bit-lit / Fantastique / Fantasy / Dystopie.

C’est pour répondre à leur demande que les Editions Heartless augmentent en 2021 leur nombre de parutions et lancent un nouveau concept dans l’air du temps : les box littéraires.

 

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Editions Heartless : une sélection rigoureuse pour toujours plus de qualité

Les Editions Heartless sont nées de belles rencontres et d’échanges avec des auteurs ainsi que des éditeurs.

Au fil du temps, un double constat s’est imposé :

  • de superbes plumes francophones, pourtant éditées, restent inconnues faute de bénéficier de moyens pour se faire connaître ;
  • d’autres ne sont jamais publiées, car nombre de maisons d’éditions redoutent de publier de nouveaux auteurs.

Alice et Manon ont donc imaginé une maison d’édition “nouvelle génération” qui propose une autre approche du métier :

La spécialisation

Les Editions Heartless ne publient que des romans Thriller / Policier / Epouvante / Bit-lit / Fantastique / Fantasy / Dystopie. Experte et passionnée par ce genre, cette maison d’édition est ainsi en phase avec les attentes des lecteurs.trices.

Les tarifs et les formats sont également en phase avec les enjeux actuels : 4,99 € pour les e-books et de 17 à 22 € (selon le nombre de pages) pour les romans brochés.

La proximité avec les auteurs

Les Editions Heartless sont réellement à l’écoute des auteurs qu’elles publient.

Manon confirme :

Nous sommes tous une grande famille ! Chacun.e peut donc partager ses idées ou suggestions, car nous travaillons tous ensemble pour obtenir les meilleurs résultats possibles.

La qualité plutôt que la quantité

Les Editions Heartless publient des auteurs francophones et inconnus, de vrais “coups de coeur” qui sont les grands noms de demain. Tous imaginent des histoires insolites et originales, dans un univers qui leur est propre. Ensuite, la maison d’édition effectue un travail de correction très poussé.

Les box littéraires : découvrir de nouveaux univers littéraires

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Connaissez-vous la box littéraire ?

Le concept est simple : dans une jolie box contenant des marque-pages, il est possible d’ajouter un, deux ou trois romans de son choix.

Idéal pour se faire plaisir ou faire plaisir autour de soi ! (dans ce cas, les romans sont emballés sans un papier cadeau). Le destinataire de la box aura le plaisir de découvrir les univers d’auteurs qu’il ne connait pas encore, des genres littéraires originaux, des styles différents…

Prix : 25 € pour 1 livre, 45 € pour 2 livres et 60 € pour 3 livres. La livraison est gratuite.

Une suggestion de titres à glisser dans la box

Pour une box 1 livre : le roman policier “Revanche” d’Alison Segond

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Augusta, Maine, 2017. Le lieutenant Lexi Nelson a toujours su qu’elle était faite pour poursuivre les criminels et elle excelle dans son domaine. Mais quand un nouveau meurtre a lieu et qu’elle découvre le corps sans vie et mutilé d’une jeune étudiante, elle comprend très vite que cette enquête sera différente. Car le meurtrier, elle le connaît. Et il compte bien la provoquer… et pourquoi pas finir ce qu’il avait commencé.

Avec l’aide de son meilleur ami d’enfance et coéquipier, l’inspecteur Trenton Harris, elle va devoir affronter son passé… Surtout qu’elle a l’intention de se venger.

Pour une box 2 livres : la Saga fantastique “Blackwood” de Vivienne Taylor

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Kaydence Walker, jeune sorcière de seize ans, perd sa mère et se retrouve seule. Après avoir vécu une vie entière de fuite, de survie et de dissimulation, elle rencontre Jonathan Weiss qui lui donne un toit et lui permet de découvrir la magie qui l’habite. Jonathan, loin d’être un sorcier ordinaire, est prêt à tout pour garder son humanité qui commence à lui échapper : tel est le prix à payer pour être devenu immortel.

Mais habituée à fuir, Kaydence part.

Sept ans plus tard, Jonathan trouve une alliée en la personne de Douce-Abélie, une nephilim, afin de mener à bien sa vengeance vieille de plusieurs siècles et qui le lie irrémédiablement à sa ville natale : Blackwood.

Kaydence, quant à elle, vit sur les routes américaines. Alors qu’elle est en quête d’un nouvel endroit où rester quelque temps, elle conduit un mystérieux autostoppeur jusqu’à la ville de Blackwood, une ville qui se trouve être la terre de ses ancêtres. Confrontée au danger qu’elle a tenté de fuir toute sa vie, Kaydence va rapidement se rendre compte que sa lignée, la famille Tate, est liée à la lignée des Weiss par plusieurs malédictions.

A Blackwood, sa perception de la réalité se révèle erronée et sa vie va prendre une tournure aussi dangereuse qu’insoupçonnée.

Pour une box 3 livres : la Saga épouvante “Les Chroniques de Black River” de Yann Templé

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Chaque nuit, Tom Bowman, treize ans, fait le même cauchemar dans lequel il assiste, impuissant au meurtre d’une jeune fille dans une vieille maison. Ce rêve ne serait-il pas lié à Cracker Hall, l’étrange domaine abandonné sur la colline, où nul n’ose s’aventurer depuis des années ?

Tom ressent l’Appel de la maison, comme le chant d’une sirène. Est-ce un piège ou un appel au secours ? Pour en avoir le cœur net, Tom décide de s’y rendre avec trois de ses amis.

Ce qu’ils vont découvrir là-bas dépassera l’entendement. Seront-ils de taille à braver les dangers de Cracker Hall ?

A paraître en 2021

Toujours en quête de nouvelles plumes, les Editions Heartless augmentent en 2021 leur nombre de parutions pour le plus grand plaisir des lecteurs.trices.

Voici un aperçu des titres à venir en 2021 :

  • 05/01/21 : Saga fantastique « Le cycle du prophète » Livre I : Le prophète / De S-P Decroix ;
  • 05/02/21 : Thriller « Obsessions » de Christophe Ponsart ;
  • 15/03/21 : Dark thriller « Serial » de Christophe Sambre ;
  • 05/05/21 : One-shot fantastique « Ne rien laisser à Lazare » de Gilles Madic ;
  • 05/06/21 : Saga fantasy « Les chroniques de Teles » Tome 1 : Le secret de Kellia / De Gayls ;
  • 15/06/21 : One-shot fantasy burlesque « Orc & troll connection » de Sylvain Reverchon

A propos d’Alice et Manon, co-fondatrices d’Heartless Editions

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Au départ, rien ne prédestinait Alice et Manon à lancer leur propre maison d’édition. Mais leur passion pour la lecture a été une source de motivation et d’inspiration qui les a incitées à se lancer.

En 2016, pour passer de l’idée à la concrétisation de ce rêve, elles ont donc commencé à suivre des formations. Elles ont ensuite pris le temps de se documenter et de mûrir leur projet.

En 2018, elles ont donc créé officiellement les Editions Heartless, une maison d’édition à compte d’éditeurs, spécialisée dans les romans à suspens et surnaturels.

Très vite, elle a su se créer une communauté de lecteurs.trices assidu.e.s. Voici un aperçu des commentaires laissés sur les réseaux sociaux :

“Super maison d’édition avec des livres magnifiques.”

“Une maison d’édition au top ! Avec des auteurs gentils et qui sont à l’écoute. Et des romans juste magnifiques et transportants ! Un GROS COUP DE COEUR pour cette maison d’édition.”

“Les livres sont super, couvertures magnifiques ! J’ai lu Revanche et le secret de Cracker Hall j’ai adoré.”

“J’ai lu le Tome 1 de “Les Coeurs pourpres” et j’ai adoré.”

En 2021, les Editions Heartless comptent participer à plusieurs salons littéraires, dès que la situation sanitaire le permettra.

Pour en savoir plus

Catalogue : https://www.relations-publiques.pro/wp-content/uploads/pros/20201209225527-p3-document-hgtz.pdf

Site web : https://editionsheartless.fr/

La boutique en ligne : https://editionsheartless.fr/shop/

Facebook : https://www.facebook.com/EditionsHeartless.fr

Instagram : https://www.instagram.com/editionsheartless/?hl=fr

Thanatos Kollection : réédition des deux romans sombres et torturés de Lénaïc Noirot, authentique écorché-vif

Des textes crus, des mots choisis avec minutie. La réédition exclusive des deux romans de Lénaïc Noirot, “Kill Yourself” et “Minuit Dix” plonge le lecteur au cœur d’un univers tourmenté et déchiré.

Chaque ouvrage véhicule une émotion unique, un mal-être profond, qui fait écho à celui qui tourmente les personnages. Fauste dans “Kill Your Self”, Gabriel dans “Minuit Dix”, deux anti-héros qui vivent une descente aux enfers.

Thanatos Kollection présente également quelques poèmes qui ont été initialement partagés avec la communauté en ligne de l’auteur.

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Kill Yourself

“Fauste, jeune adolescent, décide après une longue période de déspondence, de mettre fin à ses jours. A sa grande surprise, il se réveillera à la morgue et prendra cette dernière chance pour se venger.” Lénaïc Noirot

Dans ce livre, vous pourrez suivre la chance absente d’un adolescent au bord du gouffre, un hurlement noir écrit dans le désespoir d’un hôpital psychiatrique reculé. Cet ouvrage n’est pas recommandé pour les âmes sensibles, mais plutôt celles mourantes qui recherchent un dernier brin d’adrénaline.

Ce livre, sorti en 2014, a été écrit en 2008, quand l’auteur était interné en psychiatrie. “Kill Yourself” est un roman atypique, au style incisif, brut, qui reflète en filigrane le mal-être et les angoisses de Lenaïc.

Extrait

“J’en ai juste marre, marre de ce poids constant. La déspondence s’est abattue sur mes épaules. J’ai mal. J’ai l’impression que je suis mis à terre. J’ai … Un « je » qui est en trop. « Je » ne dois plus être. Je suis abattu et mis à terre, prêt à être sous terre. Cet abattement me plonge dans l’abysse de larmes et de terreur, dans l’innommable ! Je rampe vers ma porte, larmoyant. Je rampe vers ma porte, tel le misérable ver que je suis. Je suis sale ; je suis immonde ; je suis un indicible déchet ; je suis la pourriture envoyée de dieu, flétrissure inqualifiable.”

Minuit Dix

“[...] Me voilà devant une affiche, et je lis, je lis ce que j’ai fait, et relis… encore et encore. L’ai-je vraiment fait ? Je n’en sais rien. Mais, qui me croit, alors ? Qui sait ce que ça fait d’être comme moi ? Et ces cris, ces hurlements en moi. Comment m’y prendre ? Je ne le ferai pas… JE DOIS ! Et cette voix hurlante, je ne peux l’entendre… Aidez-moi… Je ne peux pas… Je ne peux pas… Je ne peux plus…” – Gabriel

Avec Thanatosis : Minuit Dix, Lénaïc Noirot plonge ses lecteurs dans les abîmes les plus profondes de la détresse humaine.

Allez-vous faire face à un jour différent suite à cette lecture ?

Cette histoire est née une nuit, à minuit dix, quand Lénaïc s’est réveillé en proie à de nouvelles hallucinations : des yeux rouges le fixent. S’en suit une longue nuit d’insomnie qui lui inspire le personnage de Gabriel et la descente en enfer de cet adolescent mal dans sa peau…

Extrait

 ” Puis-je croire que j’ai la force de lutter ? Ne suis-je pas pris par cette malédiction, ne l’ai-je pas en moi ? Le feu, les voix, l’agonie. Toujours devoir marcher dans les rues. Et je me suis toujours senti ainsi, depuis qu’il est après moi – Je suis moi-même. Ça me hante. Le silence. Mais je l’entends toujours. Oui, parfois je me sens comme courir après moi-même. Je veux que tous me fuient de cette façon. Mais je ne peux pas… Je ne peux pas fuir de moi-même. Je dois, je dois suivre le même chemin qu’il emprunte pour me pourchasser. Courir, courir… Des routes sans fin. Je veux m’enfuir, m’enfuir, je DOIS m’enfuir! Et avec moi, le fantôme d’une mère. Ils sont toujours là ! Toujours ! Toujours ! Toujours ! Mais moi…”

Lénaïc Noirot, écrire pour défier Thanatos

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« L’être de l’homme, non seulement ne peut être compris sans la folie, mais il ne serait pas l’être de l’homme s’il ne portait en lui la folie comme la limite de sa liberté. »

Jacques Lacan

Écrire pour partager, écrire pour se souvenir des belles choses, écrire pour déposer ses peines, écrire pour crier ses douleurs… Si l’écriture est souvent encouragée en tant qu’activité positive et de développement personnel, elle apparaît également aujourd’hui en tant qu’outil de thérapie.

Permettant de « décentrer la réflexivité du regard sur soi et constituant un premier pas vers l’autre, cet autre si redouté dans la psychose », l’écriture s’inscrit dans la notion de « suppléance », aide au moi dans la psychose (*J. Lacan, « Joyce le symptôme », Le Séminaire, livre XXIII, Le sinthome).

Lénaïc Noirot confie :

A la base, j’écris pour vider mon sac. C’est souvent personnel, bien que toujours implicite. J’ai écrit mon premier recueil de poèmes Eros & Thanatos en 2007 à mes 17 ans. Aujourd’hui, j’ai un bras plein de cicatrices, un cerveau malade, un cœur mort mais je choisis mes mots et j’écris sans détour des textes crus, la seule Katharsis étant l’écriture, et le vomi noir qui en découle.

Informations pratiques

“Thanatos Kollection” de Lénaïc Noirot

  • 182 pages
  • ISBN-13 : 979-8565357257
  • Dimensions : 15.24 x 1.04 x 22.86 cm
  • Prix : 22,99 € broché, 4,99€  au format Kindle

Pour en savoir plus

Commander le livre sur Amazon : https://www.amazon.fr/dp/B08NJR5F8G

Facebook : https://www.facebook.com/Thanatosis666

LinkedIn : https://www.linkedin.com/in/lbnoirot/

Littérature : Le Cygne d’O Editions, une maison d’auteures à taille humaine, résiste à la crise et continue de se développer

Trop souvent oubliées, les petites maisons d’édition représentent en France de 25 à 30% de la production annuelle. Elles participent donc à la diversité du paysage littéraire français, contribuent à révéler des talents, et explorent de multiples horizons créatifs.

Pourtant, nombre d’entre elles ont été lourdement impactées par la crise sanitaire, notamment en raison de l’annulation des salons du livre : la moitié a perdu de 25 à 50% de son chiffre d’affaires, et un quart de 50 à 80 % du CA (source).

Dans ce contexte difficile, certaines tirent toutefois leur épingle du jeu.

C’est notamment le cas du Cygne d’O Editions, une maison d’édition à taille humaine, qui a pu compter sur la fidélité de ses lecteurs.trices pour continuer à se développer.

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2020 : une année tumultueuse mais finalement positive

Le Cygne d’O Editions est une maison d’édition à taille humaine mais qui a su, au fil des années, s’entourer de professionnels du monde éditorial.

Fondée en 1998 par Ode Pactat-Didier, elle était au départ une maison d’autoédition qui s’est vite fait un nom dans le milieu littéraire.

Puis, face au succès rencontré par ses différents ouvrages, cette auteure passionnée a souhaité se consacrer exclusivement à l’écriture et aux conférences. Elle a donc progressivement passé le relais à sa fille Muriel Pactat, qui a transformé, il y a 3 ans, l’association en une entreprise dynamique, réactive et moderne.

Depuis, le Cygne d’O Éditions poursuit sa route, bien décidée à se faire une place auprès des professionnels de plus en plus attachés à promouvoir des œuvres authentiques.

En 2020, cette belle maison d’édition a été confrontée à un challenge de taille : la pandémie de covid-19. L’année avait pourtant bien commencé : en février, Ode a publié son 18ème livre après 38 années d’écriture : “Le Cercle d’Or Atlante”, le troisième opus de la trilogie Flavien Flamant.

Et puis il y a eu le confinement… Le Cygne d’O Editions a alors redouté la traversée de cette épreuve, qui rendait impossible toutes les rencontres prévues avec les lecteurs.

Muriel Pactat souligne :

Nous redoutions beaucoup de subir la crise de plein fouet… Mais c’est le contraire qui s’est produit ! Les lecteurs ont contacté Le Cygne d’O Editions pour commander des livres. Contraints de passer plus de temps chez eux, ils ont retrouvé le goût pour la lecture.

Un positionnement qui fait écho aux interrogations des lecteurs

Le Cygne d’O Editions publie des romans, dont certains portent sur la quête initiatique et identitaire. C’est notamment le cas de la Collection Orlando et de la Collection Flavien Flamant d’Ode Pactat-Didier.

Ce positionnement singulier rencontre un écho très positif auprès des lecteurs. En effet, les multiples interrogations générées par le virus les incitent à s’entourer de livres qui, tout en nourrissant leur curiosité, leur insufflent de l’espérance.

Muriel confirme :

L’avenir incertain, ou tout du moins en grande métamorphose, oblige les habitants de la planète Terre à remettre en cause les anciens paradigmes, ce qui correspond à notre ligne éditoriale.

La collection Orlando

Tome 1 : Le témoin silencieux

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Il s’appelle Orlando. Il est né le 8 Août 1980. Quelques jours après son cinquième anniversaire, un problème familial l’oblige à quitter l’Alsace et à aller vivre en Bretagne chez ses grands-parents maternels. Cet exil aura de profondes répercussions sur sa destinée. Quelles rencontres, quelles épreuves personnelles, quels voyages lointains lui permettront-ils de répondre à l’appel souvent exigeant de sa voix intérieure ?

Prix : 20 €

Tome 2 – Le troisième papillon

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Après leur mariage, Orlando et Esther s’installent au Puy-en-Velay. Aux préoccupations quotidiennes du couple s’ajoutent les soucis qui concernent l’état alarmant de la planète. Quelles sont les perspectives d’avenir ?
Que faut-il penser du réchauffement climatique ?
La Terre, notre précieux “vaisseau spatial”, entrerait-il en résonance avec les turbulences qui affectent le système solaire ?

Prix : 22 €

Tome 3 – Hommage à l’amour

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Le lecteur retrouve trois couples à qui le Destin offre l’opportunité de vivre une belle histoire d’Amour sur le double aspect physique et spirituel.
Colombe et Arnaud, auront-ils le courage de dépasser les tabous liés à leur âge et surtout à leur génération ?
Esther et Orlando prennent conscience que leur rêve d’Harmonie et de Beauté devient possible à l’aube du « Sixième Soleil » que nous ont annoncé les Mayas.
Grâce à son expérience, Pascal Noblat les aide à mieux comprendre les exigences d’une période à la fois exaltantes et difficiles. De graves perturbations secouent l’ensemble du système solaire et, bien entendu, celles-ci se répercutent sur les individus et sur les sociétés en pleine mutation.
Ce livre nous amène à méditer sur la pensée de Schiller ∶ Le changement n’arrivera que lorsque nous explorerons notre mental avec notre cœur.

Prix : 22 €

La Collection Flavien Flamant

Tome 1 – Les Coquelicots bleus

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Cet ouvrage raconte l’expérience de Flavien Flamant et de son évolution personnelle qui l’amènera à accepter une mission insolite.
Rien au départ ne semblait le désigner pour accomplir un tel destin tant les douloureuses expériences de son enfance l’avaient tenu éloigné de toute forme de spiritualité.
De son voyage dans l’Himalaya, il rapportera des graines de coquelicots bleus qui serviront de mystérieux sésames lors de sa rencontre avec Oriane de la Tour d’Auvergne.

Prix : 20 €

Tome 2 – L’appel de la source

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Flavien Flamant accepte de revenir dans la Troisième dimension dans le but de préparer les Âmes à un éveil planétaire devenu urgentissime. À travers ses interventions radiophoniques, il délivrera de beaux messages se rapportant à la Conscience Christique.

Il vient aussi réparer les souffrances qu’il a causées quatorze ans auparavant à sa descendance lors de sa disparition mystérieuse.

Quels bénéfices récolteront Oriane et Alcyon, ses jumeaux, de son enseignement ?

Prix : 20 €

Tome 3 – Le Cercle d’Or Atlante

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L’épreuve qu’ont subi les jumeaux en février 2017 les a meurtris. En Août, ils fêtent leur dix-huitième anniversaire et se lancent dans l’aventure de la vie. Va-t-elle leur offrir des expériences enrichissantes ?
Au cours d’une conversation avec un ami, Oriane entend parler de la mythique Atlantide et du « Cercle d’Or ». Très troublée, elle comprend à quel point nous sommes loin d’avoir percé les secrets les plus intimes de la planète où nous évoluons.
À partir de là, sa quête spirituelle et affective se confond avec l’odyssée du Cercle d’Or. Sa résurgence à Dendérah en Égypte annonce-t-elle le retour des Harmonies Célestes dont l’humanité s’est éloignée depuis trop longtemps ?
2020 nous lance un immense défi, saurons-nous le relever ?

Prix : 21 €

Ode Pactat-Didier, 60 ans d’écriture et de passion

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Ode Pactat-Didier est une ancienne Professeur de langues et de lettres qui écrit depuis l’âge de 9 ans. C’est d’ailleurs son enfance passée au pied de la célèbre abbaye bénédictine de la Chaise-Dieu qui l’a amenée à s’intéresser à l’aspect mystérieux du monde et à explorer les secrets de l’Invisible.

Elle aime pénétrer les mystères de la vie et les merveilles de notre Terre mère qui nous ont été dissimulés pendant trop longtemps.

Auteure et conférencière reconnue, Ode a aussi écrit plusieurs pièces de théâtre. L’une d’entre elles (L’Autre Versant de la Vie) a été jouée à Paris.

Son aventure littéraire débute en 1982, au moment de la parution du “Souffle de l’Aurore”, un roman publié par sa propre maison d’édition, Le Cygne d’O Editions.

Ce premier livre, qui l’a fait immédiatement connaître auprès des lecteurs, contient déjà ce qui sera sa marque de fabrique : la mise en scène de personnages et leurs expériences en prise avec l’actualité, ce qui enrichit et approfondit son argumentation.

Une “patte” qui se retrouve dans son dernier livre paru (“Le Cercle d’Or atlante”) : le lecteur y trouve un parallèle intéressant entre la fin de l’Atlantide et celle de notre civilisation actuelle.

Les livres permettent également de mieux appréhender la complexité de notre personnalité qui favorisent une meilleure connaissance de soi.

Cette approche singulière donne aussi naissance à des rencontres toujours extraordinaires avec son public. En participant à des salons, dédicaces, conférences et séminaires, Ode constate que ses livres sont très attendus, et même souvent relus par les lecteurs.

Dix-huit livres ont déjà été publiés aux éditions Cygne d’O Editions et un nouveau, en cours d’écriture, verra le jour en 2021.

Pour en savoir plus

Site web : http://lecygnedo.fr/

Facebook : https://www.facebook.com​/lecygnedo.fr/

Contact Presse

Muriel Pactat

E-mail : lecygnedo@gmail.com

Tel : 06-07-64-47-61

“La Jeune fille au ruisseau”, le roman captivant de l’écrivaine franco-croate Mirjana Stankić sur fond d’immigration clandestine

Lana Santini est écrivaine publique de profession. Dans le cadre de sa première mission, elle rencontre Ivana Plavac, une artiste-peintre à la notoriété bafouée. Cette dernière vient de purger une peine de prison et lui demande d’écrire une histoire romancée, relatant sa passion pour un immigré clandestin, Sami Hamadi, l’homme qu’elle a éperdument aimé et qui a défié la mort lors de sa périlleuse traversée de la Méditerranée.

Ivana Plavac, a-t-elle vraiment porté atteinte à cet homme ? Que s’est-il passé entre eux ? Peut-on jouer avec les sentiments amoureux de quelqu’un sans éprouver la moindre culpabilité ? La trahison, laisse-t-elle toujours des blessures indélébiles dans nos existences ? L’artiste-peintre, parviendra-t-elle à terminer le tableau sur lequel elle travaille et qui est, en réalité, la consécration de sa vie ?

Dans “La Jeune fille au ruisseau”, premier opus de la série littéraire “Raconte mon histoire”, l’écrivaine franco-croate Mirjana Stankić embarque ses lecteurs dans la vie de Lana Santini. Les embûches et tragédies qu’elle a eu à affronter sont dévoilées au fur et à mesure des témoignages bouleversants des clients qui croisent la route de cette écrivaine publique.

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Une plongée en profondeur dans la vie des “petites gens”

Dans “La Jeune fille au ruisseau”, l’héroïne Lana Santini découvre l’histoire d’amour vécue par sa cliente Ivana Plavac, une artiste-peintre, et Sami Hamadi, un immigré clandestin.

Au-delà des apparences, ces deux protagonistes n’ont pas les mêmes aspirations et ne partagent pas les mêmes sentiments amoureux.

Sous la plume de Mirjana Stankić, plusieurs thèmes s’entremêlent : l’immigration clandestine, la dépendance affective mais aussi l’importance de l’enfance, socle de toute vie réussie.

L’écrivaine franco-croate donne ici le ton de ce qui sera ensuite le fil conducteur de sa série littéraire “Raconte mon histoire”. Comme Zola, Balzac ou Maupassant, la romancière met en scène la vie des petites gens, des personnes que l’on croise tous les jours et dont on ne parle jamais.

Mirjana souligne :

J’aime imaginer la vie des protagonistes de mes romans, raconter leurs déboires, m’identifier à eux, exprimer mes propres ressentis. Je suis aussi très attachée à toutes ces petites choses simples, parfois invisibles ou insignifiantes, qui pourtant nous laissent sans voix.

“La Jeune fille au ruisseau” aurait dû être présenté au Salon du livre à Paris, un événement de renom hélas annulé cette année en raison de la pandémie de Covid-19.

Prix : 18,50 €

 

Affiche professionnelle

 

Une double culture qui vient enrichir les romans

Dans chacun de ses livres, l’écrivaine parle aussi de ses racines, de l’Histoire de son pays et des beautés de sa Croatie natale.

Il y a 25 ans, quand elle est arrivée en France, Mirjana ne parlait pas un mot de français. La littérature sera le pont qui lui permettra de développer un amour inconditionnel pour cette belle langue et sa terre d’adoption.

Aujourd’hui, elle considère tout simplement avoir deux patries.

Elle confirme :

Porter le nom Stankić en France a pu être un handicap dans le passé. Aujourd’hui, ce nom est devenu ma force, car je suis le fruit de deux cultures. Depuis mon intégration au sein de la société française, j’ai toujours voulu, malgré mes origines étrangères, faire partie de ceux qui laissent une trace quelque part, qui inscrivent leur nom dans la ligne du temps.

 Extrait

“Enfant, Ivana vivait dans la dévalorisation et les interdits. Elle repensait souvent à ces scènes lamentables où elle tordait ses petits doigts crispés, cogitant sur la réponse à donner à la simple question : « Quel âge as-tu ? » Comme toutes les autres, cette question aussi était un piège. Elle demeurait interdite devant sa mère qui s’indignait :

— Tu n’es qu’une petite sotte ! En plus de m’avoir imposé une vie de tourments solitaires, Dieu a accru mon malheur en me donnant une gamine stupide et insipide !

En grandissant, la même incertitude la poursuivait. Ivana gardait ses opinions pour elle sans jamais oser s’affirmer. Les endroits isolés semblaient lui convenir, autant qu’un adage qui correspondait à sa personnalité : « La parole est d’argent, le silence est d’or. » Ainsi donc, un véritable exploit venait de se produire en une seule soirée ? Deux amies fidèles, son cavalier nommé Sami et trois verres de mojitos l’avaient désinhibée ! C’était du délire ! Elle s’avouait que sans l’insistance d’Adela et Maëva, elle aurait tout fait pour se rendre invisible. Elle aurait même oublié qu’elle existait ! Mais, elles étaient là ! Et lui aussi, il était là avec cette odeur de campagne qui émanait de sa chemise et ses expressions de blédard.

Alertée par cette séquence de danse de slow qu’Ivana revivait en fermant les yeux, sa petite voix intérieure la mettait en garde : l’amour est un sentiment idéalisé et destructeur, nourri de fantasmes. Ne voulant pas imposer à son esprit de pareilles pensées qui méritaient une réflexion approfondie, la jeune femme s’endormit le sourire figé sur les lèvres, heureuse d’avoir été corrompue par des plaisirs banals de l’existence.”

Mirjana Stankić, c’est aussi la trilogie “Tant que les printemps reviennent”

Récemment rééditée en coffret cadeau, la trilogie “Tant que les printemps reviennent” a été à l’origine publiée sur six années, en 3 volumes, de 2011 à 2016.

Prix : 59,50€.

Tome 1 – L’enfant de Bilogora

Dans les années 1970, le père d’Ana disparaît alors qu’elle n’est qu’un bébé. Abandon de domicile ? Enlèvement ? Homicide ? Nul ne le sait…
Sa mère finit par se remarier. Ana devient l’aînée d’une fratrie de quatre. La famille vit dans la contrée croate de Bilogora où le dur travail des champs est rythmé par les saisons. La petite fille admire la nature, sa source de liberté.
Lasse des violences conjugales, sa mère fuit le domicile avec ses enfants et s’installe dans la capitale croate où elle fait la connaissance d’un homme de la ville. Ana voit en celui-ci le père tant attendu. Avec l’aide de cet inconnu, elle s’ouvre sur le monde et s’adapte rapidement au confort citadin.
Pourtant, une ombre plane sur sa vie : son père, est-il encore vivant ? Et cette Gitane rencontrée par hasard, quel secret détient-elle ?…

Tome 2 – Les tourbillons de l’existence

En Croatie, dans la famille d’Ana règnent l’angoisse et la consternation : où et pourquoi s’est-elle enfuie ? Comment a-t-elle pu faire une chose pareille ?
L’inspecteur Bilić – qui autrefois avait participé à l’enquête sur la disparition de Darko, le père biologique de la jeune fille – est diligenté pour la retrouver.
Rattrapé par son passé, Mirko n’a pas la conscience tranquille. Sa sœur de cœur Vida reçoit un visiteur inattendu. Ce dernier lui formule une bien étrange requête. Va-t-elle l’accepter ?
Tandis que sur Terre les Humains se débattent avec les problèmes du quotidien, dans le Monde de l’Au-Delà la bataille pour la Vie Éternelle s’avère éprouvante… Darko, disposera-t-il des forces nécessaires pour la gagner ?

Tome 3 – Le silence de l’aurore

Émigrée au pays de Cocagne, mariée à un homme plus âgé, Ana comprend qu’elle a trop idéalisé l’Ailleurs. Sa rencontre avec René, un jeune intellectuel, bouleverse sa vie. Elle combat ses propres sentiments afin d’honorer son mari et d’être digne de cette âme slavonne qui coule dans ses veines.
​La rencontre entre l’inspecteur Bilić et la mère d’Ana est imminente. Zora apprend que sa fille aînée est toujours vivante et cette nouvelle la comble de joie et d’espoir. Quand la reverra-t-elle ?
​Pour Vida et Mirko, la fraternité a toujours compté. Mais, la voyante la plus réputée du pays a du mal à trouver des solutions adaptées pour défendre les intérêts de son frère. Quant à la lourde ​tâche qui lui incombe, réussira-t-elle à révéler à sa protégée toute la vérité sur la disparition de son père biologique ?
Mirko a atteint ses objectifs matériels, mais son lourd passé le rattrape. Arrivera-t-il à s’en défaire ? Réussira-t-il à s’en sortir de cette situation qui le dépasse ?
Face à l’imminence de la guerre qui éclate sur le territoire yougoslave, les protagonistes sont pris de court. Que leur réserve le Destin ?
Évoluant dans le monde de l’Au-Delà, Darko s’accroche, franchit les étapes et comprend que gagner la Vie Éternelle n’est pas de tout repos…
​Et cette pierre de cristal qui semble présider au Destin de certains, d’où vient-elle et quels sont ses véritables pouvoirs ?

À propos de Mirjana Stankić, romancière et écrivaine publique

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La carrière de Mirjana a débuté en 1992 en Croatie où elle occupait des postes à caractère administratif.

En 1994, cette maman de deux enfants s’installe en France et travaille dans différents secteurs, notamment le tourisme car elle est polyglotte (anglais, allemand et français) et elle possède le titre professionnel de guide-accompagnateur.

En 2019, la romancière décide de concrétiser son projet d’aide à la rédaction en devenant écrivaine publique indépendante. Son autoentreprise “Des vies et des écrits” est au service des particuliers, des entreprises, des associations et des
collectivités. Elle leur propose de réaliser toutes les démarches administratives à leur place, de prendre en charge les travaux classiques de secrétariat, de gérer leur correspondance, privée et professionnelle ou d’écrire des récits de vie.

En parallèle, elle mène une carrière de romancière.

Pour en savoir plus

Commander le livre : https://mstankic.wixsite.com/desviesetdesecrits/la-jeune-fille-au-ruisseau

Site web : https://mstankic.wixsite.com/desviesetdesecrits

Facebook : https://www.facebook.com/mirjana.stankic

Instagram : https://www.instagram.com/mirjana_stankic/

“Demain, je déploierai mes ailes” de Cindy Triaire, un roman poignant et inspirant qui invite à surmonter les blessures de la vie

Parfois, la vie ne nous fait pas de cadeau. Elle nous heurte, nous contraint, nous pousse dans nos retranchements. Parce que les blessures sont souvent profondes, les guérir relève d’un véritable parcours du combattant. Mais la lumière au bout du tunnel, presque toujours existe.

Dans son second roman, “Demain, je déploierai mes ailes” (publié par Tremplin Carrière), Cindy Triaire offre un second souffle à toutes celles et ceux que la vie a éprouvés. Elle y communique un formidable message d’espoir en montrant que nous avons toutes et tous, au fond de nous, les ressources nécessaires pour rebondir et aller de l’avant. Un livre captivant à mettre entre toutes  les mains !

4ème de couverture

Romane, onze ans, trépigne. Pousser un caddie de supermarché n’a rien d’exaltant. Contrariée, la jeune fille désobéit et s’éloigne du chariot. Profitant de l’insouciance de l’enfant, un homme souriant approche. Il suffit parfois d’une seconde d’inattention, d’une rencontre, bonne ou mauvaise, d’une erreur de jugement pour que tout bascule.

Plongez dans l’histoire trépidante d’une jeune femme abîmée, à qui l’on va offrir de réapprendre à rêver. Et s’il était possible de relever la tête et de déployer nos ailes ?

Un roman inspiré par des parcours de vie atypiques, forts et touchants

Parce qu’elle accompagne au quotidien celles et ceux qui veulent avancer sur le chemin de la reconversion professionnelle et du développement personnel, Cindy Triaire a, au cours de ces sept dernières années, partagé l’histoire de centaines de personnes. Elle a ainsi eu vent de leur parcours, de leurs doutes, de leurs chagrins, de leurs frustrations mais également de leur envie et besoin de tourner la page en vue d’écrire un nouveau chapitre de vie. Aussi, a-t-elle voulu, à sa manière, mettre en lumière toutes celles et ceux dont l’histoire est à la fois belle, unique et poignante.

Cindy confirme :

Leur souffrance, bien souvent palpable, m’a beaucoup touchée. J’ai eu très vite l’envie de la combattre en leur offrant un rayon de soleil, une véritable bulle d’oxygène, qui les encourage à oser se réaliser.

“Demain, je déploierai mes ailes” est une source infinie d’inspiration et de motivation. Chaque lecteur.trice sera emporté par la force de ces jeunes femmes, aux caractères incroyablement combatifs, qui apprennent à faire fi des événements pourtant traumatisants de leur enfance. Quelles que soient les émotions qui les animent, toutes délivrent un magnifique message d’espoir, témoignant de la capacité de résilience dont nous sommes toutes et tous capables.

Une préface signée par Mélanie Rébreget

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Mélanie Rébreget est une jeune femme de 21 ans atteinte de paralysie cérébrale. “J’ai eu la chance de pouvoir préfacer ce livre ! Et quel livre ! Quelle histoire poignante et inspirante ! Ce deuxième roman donne tout comme le premier de l’espoir. Pour moi, il me montre que peu importe ce que l’on a pu vivre dans la vie, on peut toujours s’en sortir et trouver les ressources en soi pour rebondir. Cette histoire m’a beaucoup plu et bouleversée. Merci Cindy de nous faire partager autant d’émotions et d’espoir dans un même ouvrage !”

Extrait

“Elle venait d’avoir quatorze ans. Une journée d’anniversaire qui aurait pu être belle, qui, pour toute jeune fille de son âge, aurait dû l’être. Il avait pourtant mis les formes. Tôt le matin, il avait quitté la maison et s’en était allé acheter un royal au chocolat et avait pris soin de planter en son centre une jolie bougie rose et blanche. Il avait même, à l’heure du dessert, poussé la chansonnette en posant le gâteau au centre de la table. Les yeux de la jeune fille auraient dû briller, ses jolies dents se dévoiler, mais c’est son corps tout entier qui en cet instant s’était figé. Elle connaissait la musique, redoutait la partition. Une fois la dernière note achevée, il lui demanderait de souffler et sans un mot, elle s’exécuterait. La voix grave et rauque de l’homme la fit sursauter :

- Souffle ! Qu’est-ce que tu attends ? Souffle !

Alors, à la hâte, elle souffla. La flamme vacilla, doucement d’abord, puis, fragile, s’éteignit.

- Pourquoi tu souris pas ? Souris, j’ai dit !

Répondant à l’appel de l’instinct, la jeune fille esquissa un sourire crispé. Trop tard pour les faux semblants. La main de l’homme venait de s’écraser sur sa joue la projetant hors de sa chaise, sa tête venant heurter la porte froide du réfrigérateur. ”

A propos de Cindy Triaire, l’auteure

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Issue d’un Master en Sociologie, Cindy Triaire décide de reprendre ses études à l’âge de 27 ans. Elle obtient un Diplôme de Niveau I de Directeur de Centre de Profit, avec pour spécialisation Management et Création d’entreprise.

Dès l’âge de 28 ans, elle crée ainsi Tremplin Carrière, un cabinet conseil en Stratégie de Réussite implanté dans la région toulousaine. Avec une vocation : accompagner, encourager et promouvoir la réussite professionnelle au travers de formations, d’ouvrages, de séminaires, de vidéos et d’accompagnements personnalisés en communication humaine et positionnement stratégique.

Aujourd’hui, cela fait près de sept années que cette cheffe d’entreprise passionnée dirige Tremplin Carrière. Chroniqueuse radio, elle est par ailleurs relayée chaque semaine sur les ondes de DFM930 et partage très régulièrement de petites vidéos conseils à vocation d’accompagner la Réussite professionnelle.

En 2016, elle publie son premier ouvrage « Audace, Enthousiasme et Persévérance : Les Clefs de la Réussite ! » puis rédige en 2018 un second livre intitulé « La Nouvelle Vision du Succès : Comment décider de sa Réussite ? ». Ce dernier a très vite été promu sur le plateau TV de BFM Business et a ainsi participé de légitimer son travail d’auteure.

Passionnée par les mots, Cindy décide alors d’honorer un rêve de petite fille en concrétisant un projet que sa maman espérait la voir un jour réaliser : l’écriture de son premier roman.

Fin 2019, des lecteurs découvrent ainsi une nouvelle facette de sa personnalité avec la présentation de son ouvrage “Et j’ai donné son nom à une étoile : Tout perdre et se reconstruire”, préfacé par le très remarquable Philippe Croizon, Athlète quadri-amputé, Auteur, Conférencier & Chroniqueur pour France 5. Elle a ici repris la plume afin d’offrir à ses lecteurs une seconde histoire, à la fois poignante et trépidante, via ce nouveau roman : “Demain, je déploierai mes ailes”.

L’avis des lecteurs.trices

Betty.G :  “Cette lecture m a procuré un sentiment d’évasion. J’ai littéralement plongé dans l’histoire. Je suis allée à la rencontre de personnages fascinants. J’ai partagé leur tristesse, leurs émotions, leur joie, selon que le livre les a suscités. Je me suis sentie emportée par les mots, frappée par les sentiments de personnages attachants, par l’humour de femmes combatives et hors du commun. Poignant, émouvant, amusant, sombre et lumineux à la fois. Tout un arc en ciel en couleurs. Merci à l’auteure de m’avoir permis de m’évader de mon quotidien”. 

Cédric.S : “Après un premier roman que j’ai dévoré, j’ai espéré un second ouvrage de l’auteure. Inutile de dire que mes attentes étaient élevées et le moins que l’on puisse dire c’est que je n’ai pas été déçu. Nous découvrons l’intense histoire de ces adolescentes à la fois touchantes et attachantes qui, on l’espère tout au long de ce roman, trouveront à nouveau la force de croire en leurs rêves.”

Sandrine.C : “J’ai beaucoup aimé découvrir ces destins incroyables qui se dévoilent au fur et à mesure et s’entrelacent. Des personnages inspirants, très attachants, dont le parcours amène à réfléchir à plusieurs notions … une lecture très plaisante et enrichissante !!”

Harmony.P : “A nouveau, il est impossible de ne pas s’attacher aux nouveaux personnages de Cindy Triaire. Des vies bouleversées à leur commencement, mais une rage de vivre qui leur donne un tout autre tournant. Fidèle à sa doctrine, l’auteure nous apprend à voir le positif qui nous entoure et à rebondir face aux obstacles”.

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Informations pratiques

“Demain, je déploierai mes ailes” de Cindy Triaire

  • Éditeur : Tremplin Carrière
  • 248 pages
  • ISBN : 979-10-96213-03-0
  • Prix : 9,90 € format ebook / 15 € format papier

Pour en savoir plus

20200729151541-p1-document-ppyt Découvrir le livre : https://www.tremplincarriere.com/roman-demain-je-deploierai-mes-ailes/

Site web : https://www.tremplincarriere.com/

YouTube : https://www.youtube.com/channel/UCzwX-N2wGFCy0JMNXKizoTg

Facebook : https://www.facebook.com/tremplincarriereconseil/

Instagram : https://www.instagram.com/tremplincarriere/

LinkedIn : https://www.linkedin.com/in/tremplincarriereconseil/

Sortie du Livre 1 de « Nightmare », un mélange atypique de roman, d’illustrations et de bande dessinée, signé Johanna Zaïre et Thibault Colon de Franciosi

 « Nightmare » est un ouvrage hybride, atypique mélange de roman, d’illustrations et bande dessinée en 2 tomes qui plonge les lecteurs dans un univers mystérieux et frissonnant.

Un nouveau concept qui cartonne auprès des amateurs de romans et de bandes dessinées : la création du Livre 1 intitulé « Le Réveil » a été financée avec succès sur Ulule (302%) grâce au soutien de 278 contributeurs.

Johanna Zaïre (l’auteure) et Thibault Colon de Franciosi (l’illustrateur) ont donné vie à un monde très original, à la fois obscur et angoissant, qui évoque Tim Burton ou Stranger Things tout en ayant une singularité propre.

Les quelques 160 illustrations et les 25 planches de BD, réalisées par Thibault tout en couleurs à l’aquarelle, donnent vie aux personnages et nourrissent l’imaginaire alimenté par la plume captivante de Johanna.

Sortie prévue le 5 septembre.

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Résumé de l’histoire

Ève et Théo ne se connaissent pas. Après s’être réveillés sans aucun souvenir dans un monde où la population semble avoir disparue, ils se mettent en quête de réponses. Que s’est-il passé ?

Très vite, ils se rendent compte que le danger rôde, infâme et cauchemardesque…

De rencontres en péripéties, ils vont devoir survivre dans un monde post-apocalyptique. Des créatures fantastiques et de nombreuses épreuves les attendent sur le chemin d’une vérité terrifiante…

Ne vous fiez pas aux apparences… les monstres ne sont pas toujours ceux que l’on croit…

Une immersion dans un univers post-apocalyptique et fantastique

« Nightmare » est un roman… mais pas seulement !

Les lecteurs passent du texte à une illustration ou à une planche de BD et vice versa. Les genres s’entremêlent avec brio pour mieux embarquer le lecteur dans les aventures de Théo, Ève, Alice & Diego, Max, Glenn…

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Les personnages sont là sous leurs yeux.

Cet ouvrage atypique est aussi une passerelle culturelle, qui incite à aller plus loin : les amateurs de BD vont découvrir toute la puissance du roman, et les amoureux de littérature seront séduits par la force visuelle de la BD et des illustrations en couleurs, réalisées de façon traditionnelle à l’aquarelle.

A mettre entre toutes les mains à partir de 14 ans.

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Extrait

« En sortant de la demeure dans laquelle il était entré, il patienta sous le porche et observa la ville déserte. Son regard se posa alors sur ce qui semblait être une épicerie.

Dernière chance, se dit-il. Il traversa la rue, entra dans la boutique et se stoppa net, n’en croyant pas ses yeux. Les rayons étaient pleins. Ça, c’est le pied ! Il s’avança vers le premier rayon qui regroupait les textiles et objets souvenirs et se choisit un sac à dos. Il alla ensuite récupérer des boissons, optant pour du soda et de l’eau avant de se diriger vers son rayon préféré : gâteaux et apéritifs. Il prit le temps de choisir scrupuleusement les barres chocolatées et paquets de chips qu’il voulait embarquer.

Alors qu’elle continuait de fouiller dans le stock, Ève entendit du bruit venant de la boutique. Elle patienta quelques instants pour écouter puis sortit de la pièce sans faire de bruit. Elle avança lentement, se dirigeant vers les sons qu’elle entendait.

Il y avait un jeune homme vêtu d’un jean large et d’un sweat à capuche qui se servait dans les rayons. Silencieusement, Ève s’approcha de lui et leva sa batte de baseball.
Trop occupé à trier les articles qu’il voulait, Théo se fit surprendre.
— Qui es-tu ? s’écria Ève »

Les événements à ne pas manquer autour de « Nightmare »

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A partir du 17 septembre : L’exposition et le vernissage à la Galerie Art-Maniak (Paris) 

Du 17 septembre au 3 octobre, une exposition « Nightmare » se déroulera à la Galerie Art-Maniak à Paris.

Une vingtaine de planches de BD ainsi qu’une trentaine d’illustrations originales réalisées à l’aquarelle. Entrée gratuite.

Le vernissage aura lieu le jeudi 17 septembre 2020, à partir de 18h30, en présence des artistes qui échangeront avec les invités et dédicaceront  « Nightmare ».

Informations pratiques

  • Galerie Art-Maniak, 10 Rue de la Grange Batelière 75009 Paris (Métro Richelieu-Drouot)
  • Horaires de l’exposition : du lundi au vendredi de 10h à 19h, le samedi de 11h à 19h.
  • Organisateur :  Clément Gombert, le gérant de la galerie
  • Site web de la galerie : http://art-maniak.com/

Les séances de dédicaces dans les festivals en France

  • 05 et 06 Septembre 2020 – Roch’fort en Bulles – Rochefort (17)
  • 17 Septembre 2020 – Lancement de Nightmare – Paris (75)
  • 26 et 27 Septembre 2020 – Les Aventuriales de Ménétrol (63)
  • 03 et 04 Octobre 2020 – Festival BD Luisant (28)
  • 14 et 15 Novembre 2020 – Art to Play – Nantes (44)
  • 05 et 06 Décembre 2020 – Marché de Noël – Soyaux (16)

D’autres dates sont prévues et seront annoncées au fur et à mesure sur la page officielle Nightmare sur Facebook.

Une création originale née de la rencontre de deux artistes

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Le projet « Nightmare » est né de la rencontre de deux artistes talentueux : Johanna Zaïre (l’auteure) et Thibault Colon de Franciosi (l’illustrateur).

Leur première collaboration voit le jour en 2017, lorsqu’ils unissent leurs compétences pour créer un univers pour la jeunesse, à la fois magique et plein de rebondissements.

Ils consacrent près d’un an de travail à « Piti-Crok contre les Miam’s », qui est publié en mars 2018.

Toujours prêts à relever de nouveaux défis, ils décident de renouveler l’expérience avec « Nightmare », un projet ambitieux, mélange de roman, d’illustrations et bande dessinée.

Car tous deux ont un point commun : ils n’aiment pas s’enfermer dans des cases.

Johanna confirme :

Nous préférons laisser libre cours à notre créativité pour réaliser des projets qui nous ressemblent, plutôt que de faire quelque chose de simplement commercial. Ainsi, nous aimerions faire découvrir ce nouveau genre de lecture, où la bande dessinée et l’illustration prennent le relais sur le roman, et vice versa.

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Le projet « Nightmare » est d’ailleurs à l’origine de leur rencontre : une illustration de Thibault avait été offerte à Johanna, qui ne le connaissait pas. C’est grâce à cette petite fille en transe avec son ours en peluche que les deux artistes se sont liés d’amitié. C’est aussi grâce à elle que « Nightmare » a vu le jour, car ils ont décidé de lui donner vie à travers un univers mystérieux…

Ensemble, ils participent à de nombreux festivals et salons en France et en Belgique pour rencontrer leurs communautés respectives (Salon du Livre de Paris, Japan expo, Comic Con, Paris Manga, Trolls et Légendes, Cidre et Dragon, etc.), qu’ils souhaitent désormais réunir autour de « Nightmare » et ainsi faire découvrir cet univers riche à de nombreux lecteurs.

Thibault Colon de Franciosi, l’illustrateur

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Thibault Colon de Franciosi est un artiste autodidacte et polyvalent qui s’est découvert une vraie passion pour l’univers du dessin à l’âge de 17 ans. Graphiste et Illustrateur, Thib maîtrise de nombreuses techniques (traditionnelles et numériques) qui lui permettent de satisfaire toutes les demandes.

Il a travaillé pour des jeux de rôles, couverture de livres, character design, ainsi que pour des artistes comme Miss.Tic. Mais aussi pour diverses créations graphiques. Il recherche perpétuellement à réaliser des créations originales et graphiques.

Johanna Zaïre, l’auteure

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Johanna Zaïre évolue dans plusieurs domaines, en particulier l’écriture, la musique et le cinéma. En 2006, elle signe un contrat chez un éditeur et publie son premier ouvrage, un recueil de poèmes intitulé « Obscur Clarté », puis elle se consacre uniquement à la musique, parcourant des groupes pop rock en tant que parolière et chanteuse. C’est en 2013 qu’elle revient vers l’écriture avec « Sanatorium », un polar qui fait l’unanimité des lecteurs.

Habituée à être indépendante et déçue par différents éditeurs, elle opte finalement pour l’auto-édition.

En parallèle, elle intègre un groupe de comédie musicale et prend des cours de comédie au sein de l’école parisienne Paul Clément.

En 2017, elle remporte le Prix Landsegal pour son roman « World War Web – WWW ». Avec une dizaine d’ouvrages à son actif, elle s’illustre en tant qu’auteure dans différents genres : polar, dystopie, fantastique, jeunesse ou encore autobiographique.

N’abandonnant pas la musique pour autant, elle s’oriente vers une nouvelle carrière musicale en solo et prépare son album avec Nicolas Luciani (Mozart l’Opéra Rock) à la composition. Ce premier album « Rebirth », autobiographie et confession, sortira fin 2020.

Informations pratiques

Livre 1 « Nightmare – Le réveil » de Johanna Zaïre (l’auteure) et Thibault Colon de Franciosi (l’illustrateur)

  • Sortie : le 5 septembre 2020
  • Format d’édition : 17x24cm, couverture cartonnée avec vernis sélectif
  • Genre : Aventure, Action, Fantastique, Post-apocalyptique
  • 392 pages avec environ 160 illustrations + 25 planches de BD
  • Pour tous les lecteurs de romans et de BD à partir de 14 ans
  • Prix : 23 €

Pour en savoir plus

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Nightmare

Facebook : https://www.facebook.com/NightmareUniverse

Pré-commander le livre :

Johanna Zaïre

Site web : https://www.johannazaireofficiel.com

Facebook : https://www.facebook.com/JohannaZaireOfficiel

Instagram : https://www.instagram.com/johannazaireofficiel

LinkedIn : https://www.linkedin.com/in/johanna-zaire  

Thibault Colon de Franciosi

Site web : http://thibault-cdf.com

Facebook : https://www.facebook.com/thibault.colondefranciosi

Instagram : https://www.instagram.com/colondefranciosi

LinkedIn : https://www.linkedin.com/in/colon-de-franciosi-thibault-61500135/

AlterPublishing, la maison d’édition qui dépoussière le milieu du livre, publie les grands auteurs de demain et s’engage dans l’anti-gaspillage

L’édition traditionnelle, telle qu’on la connaît, est-elle en passe de devenir has been ? Force est de constater que, année après année, les maisons d’édition classiques deviennent de plus en plus frileuses quand il s’agit de publier de nouveaux auteurs.

Et le “cru” 2020 n’échappe pas à la règle : à titre d’exemple, pour la Rentrée littéraire, il n’y aura que 65 nouveaux romancier.e.s (contre seulement 85 en 2019) sur 511 romans publiés (source).

Les maisons d’édition préfèrent ainsi miser sur des valeurs sûres pour réaliser un maximum de ventes. Pourtant, cette façon de procéder est très discriminante pour les talents d’aujourd’hui qui sont les futurs grands noms de la littérature de demain.

De fait, un auteur rejeté par une maison d’édition peut avoir un réel talent. Pour s’en convaincre, il suffit de regarder l’histoire de la littérature : à leur époque, de grandes plumes ont vu leur premier roman refusé. C’est le cas notamment d’Anna Gavalda, Stephen King, JK Rowling, Julien Gracq, Céline, James Joyce, Proust, Bernard Werber, …

Il n’en reste pas moins que la politique actuelle des maisons d’édition est problématique : elle prive les lecteurs de livres passionnants et d’auteurs inspirés.

C’est pour permettre aux auteurs émergents d’être publiés, sans passer par le “compte d’auteur”, mais aussi pour rééditer les livres épuisés que la maison d’édition AlterPublishing a été créée.

Depuis 2012, elle représente une formidable alternative au circuit de l’édition traditionnelle. 100% indépendante, elle s’est forgée une jolie notoriété (voir sa page Wikipédia) et organise même son propre prix littéraire : le Prix AlterPublishing Books.

AlterPublishing, c’est aussi une autre vision de l’édition : parce qu’elle ne constitue pas de stocks de livres imprimés à l’avance, elle ne met aucun ouvrage au pilon.

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AlterPublishing, une autre vision de l’édition

L’aventure d’AlterPublishing débute en 2012, lorsque le phénomène des ebooks explose et qu’Amazon devient incontournable.

Dès sa création, cette maison d’édition “nouvelle génération” adopte un positionnement avant-gardiste et égalitaire  :

  1. Editer des livres numériques (ebooks) et papier sans passer par le réseau de distribution des librairies traditionnelles ;
  2. Répartir les droits d’auteurs à égalité entre l’éditeur et l’auteur, sans plancher ni plafond, dès le premier volume vendu (après déduction des frais d’impression).

Les livres édités (ou réédités), en français ou en anglais, couvrent de multiples domaines : littérature et fiction, culture et société, LGBT, scolaire et universitaire, BD et jeunesse, art de vivre, nature et loisirs, savoirs.

Alterpublishing représente désormais une véritable alternative au circuit de l’édition traditionnelle. Et la visibilité des ouvrages est au rendez-vous ! Ils sont distribués via des plateformes qui touchent un grand nombre de lecteurs : Amazon, Fnac, iBook, Amazon Kindle, Kobo Raluten, Nook…

Nous voulons promouvoir une autre façon de publier les auteurs émergents, plus avantageuse pour eux puisqu’il y a une vraie relation gagnant-gagnant : les bénéfices sont partagés à égalité.

Une approche agile et anti-gaspi profitable à tous

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Savez-vous que 20 à 25 % des livres publiés chaque année en France finissent au pilon ? Concrètement, cela signifie que quelques 140 millions d’ouvrages sont détruits faute d’avoir été vendus (source).

A l’heure de l’urgence climatique, cela représente un gigantesque gâchis…

C’est pour en finir avec ces pratiques obsolètes qu’Alterpublishing propose l’impression à la demande de tous les livres papier, notamment par Amazon.

Cette façon de procéder, résolument éco-responsable, permet aussi d’offrir aux auteurs un maximum de souplesse : ce sont eux qui choisissent le nombre d’exemplaires mis en vente et ils peuvent aussi choisir de rééditer un livre sans attendre l’épuisement de la première édition.

Le Prix AlterPublishing Books : un tremplin pour se faire connaître

Chaque année, le Prix AlterPublishing Books récompense un auteur pour l’un de ses ouvrages publié dans l’année par AlterPublishing.

Décerné depuis 2015, il a contribué à mettre en lumière :

  • 2015 : Jacqueline Duvary pour “Amours contraires”
  • 2016 : Yves Le Men pour “La vision dans le monde animal”
  • 2017 : Hervé Gaillet pour “Derrière les lignes”
  • 2018 : Le chouan des villes pour “Les Chroniques de l’homme élégant”
  • 2019 : Sophie Tellier pour “Chère Insaisissable : Liane de Pougy”

Les (grands) petits plus d’AlterPublishing

Une valorisation des auteurs émergents, là où les maisons d’édition traditionnelles n’en sélectionnent qu’un seul sur mille en moyenne.

Un système de rémunération avantageux : avec un contrat d’édition classique, il faut vendre au moins 1000 exemplaires pour percevoir des droits d’auteur. Chez AlterPublishing, les droits d’auteur sont versés dès la première vente et les gains ne sont ni plafonnés ni dégressifs. Les auteurs perçoivent en moyenne 2 euros net pour un ebook (soit en moyenne 30% du prix de vente) et 3 euros net pour un livre papier (soit en moyenne 10 à 20% du prix de vente).

Une diffusion nationale et internationale : en toute transparence, AlterPublishing permet aux auteurs de suivre l’évolution de leurs ventes, et les livres sont accessibles par tous les lecteurs francophones sur les sites des distributeurs, sans contrainte de stock ou de disponibilité. La maison d’édition met d’ailleurs tout en œuvre, au niveau technique et commercial, pour booster au maximum les ventes.

Pour en savoir plus

Site web : https://www.alterpublishing.com/fr/

Facebook : https://www.facebook.com/AlterPublishing/

Wikipédia : https://fr.wikipedia.org/wiki/AlterPublishing

Alors que la quasi-totalité des maisons d’édition sont à l’arrêt, Nombre7 continue de fonctionner à plein régime grâce à son modèle innovant

Depuis le début du confinement en raison de la pandémie de Covid-19, toute la filière du livre est à l’arrêt. Les maisons d’édition ont fermé leurs locaux, reporté les parutions, réduit a minima les relations avec leurs auteurs…

Au-delà de son impact économique, la crise sanitaire met ainsi en lumière la fragilité d’un secteur qui n’a pas su prendre le virage du numérique, manquant d’agilité et de souplesse face aux enjeux actuels. A titre d’exemple, la maison Gallimard a placé ses équipes en activité partielle, fermé tous ses sites… et fait appel à la solidarité de l’Etat (source). Une situation représentative de ce que vit cet ancien monde de l’édition ?

Force est de constater que d’autres modèles existent, avec des acteurs qui ont osé sortir des sentiers battus pour répondre aux besoins des lecteurs, des auteurs et des libraires.

A l’image de Nombre7 éditions, un éditeur qui revendique une approche inédite, tournée vers l’avenir.

Ainsi, malgré la crise économique et sanitaire actuelle, Nombre7 assure 100% des services éditoriaux auprès des auteurs, mais également de promotion, diffusion et distribution auprès des lecteurs, grâce à des procédés innovants.

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Nombre7, une culture de l’innovation qui casse les codes de l’édition

Alors que la quasi-totalité des maisons d’édition traditionnelles et des groupes de diffusion ont peiné à s’adapter aux changements imposés par la pandémie de coronavirus, Nombre7 a très vite réagi pour anticiper la phase de confinement.

Christophe Lahondès, fondateur, confirme :

Nous étions déjà équipé d’outils de pointe pour communiquer à distance. De fait, contrairement à nos confrères qui ont fermé leurs portes, il nous a fallu moins d’une heure pour déployer tout notre personnel en télétravail.  L’activité de notre maison d’édition s’est donc poursuivie normalement pour nos auteurs.

A tel point qu’un nouveau collaborateur va être recruté dès le mois de mai ! Et toute l’équipe éditoriale continue à travailler via les e-mails, le téléphone, la messagerie instantanée et les visio conférences (individuelles pour le briefing du matin en entre associés, collectives pour le point hebdomadaire avec tous les collaborateurs).

De même, alors que de nombreux acteurs du secteur sont menacés de faillite (source), Nombre7 détonne en affichant des résultats insolents :

  • une croissance de 75% ces deux dernières années, et de 40% en 2019 ;
  • la création de 6 emplois en deux ans (assistants d’édition, chargé de communication, chargé d’événementiel,…) et d’un septième à venir ;
  • un développement continu de son activité, avec notamment une recherche d’opportunités de croissance externe pour intégrer de nouvelles maisons d’édition.

Le secret de Nombre7 ? Un système d’impression à la demande qui lui permet de moduler son activité en fonction des besoins. Cette maison d’édition “nouvelle génération” a ainsi pu réaliser en temps réel tous les ouvrages qui ont été commandés sur les librairies en ligne, les market places (y compris sur amazon, car elle se charge de l’expédition) ou sur sa librairie en ligne.

Replacer l’auteur au centre de la démarche d’édition

A contre-courant des pratiques actuelles, Nombre7 a imaginé un modèle alternatif, exclusif et précurseur valorisant pour tous les auteurs, et pas uniquement pour les stars des ventes.

Christophe Lahondès précise :

Nous fonctionnons sans intermédiaires, comme une sorte de “circuit court de l’édition”. Cela nous permet de garantir une rémunération optimale de chaque acteur de la chaîne, et notamment les auteurs, généralement très mal rémunérés par les maisons d’édition traditionnelles.

Dès 2017, avec l’arrivée de son associé Gilles Arnoult, ils ont voulu sortir des sentiers battus en développant une approche de l’édition plus humaine et équitable, mais aussi éco-responsable et sociétale.

Tout le monde y gagne :

Les écrivains

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Une grande réactivité : les manuscrits reçus sont traités dans les 15 jours suivant leur réception.

Un suivi personnalisé : l’auteur est accompagné dans chaque phase depuis le projet jusqu’aux salons du livre.

Une rémunération avantageuse : elle est comprise entre 11 et 40% suivant le support (e-book ou livre imprimé) et le réseau de distribution, alors qu’habituellement la rémunération des auteurs avoisine en moyenne les 8%.

Une totale transparence : les écrivains peuvent contrôler en temps réel les ventes de leurs livres et les droits d’auteurs acquis, alors que traditionnellement la reddition des comptes est effectuée une fois par an.

Le paiement des droits d’auteurs en temps réel : les écrivains sont payés dès qu’ils le souhaitent, sur simple demande.  Dans le milieu de l’édition, la règle est normalement de payer plusieurs semaines voire plusieurs mois après la reddition des comptes.

Une e-réputation exceptionnelle

Nombre7 accompagne l’auteur et apporte aussi de la notoriété à chaque ouvrage en garantissant les meilleures conditions de visibilité et de promotion possibles.

Les libraires

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Un soutien financier : parce que les libraires constituent un lien précieux entre les auteurs et leurs lecteurs, Nombre7 s’engage à leurs côtés en offrant les frais de port pour les commandes et les ventes en librairie. Ils bénéficient aussi d’une marge confortable de 30%.

Une liberté de choix : il n’y a aucune vente d’office de livres NOMBRE7 dans les librairies. Ces dernières ont accès aux nouveautés ou sont informées des nouvelles parutions de la maison d’édition par les réseaux professionnels spécialisés ou par mail. Il faut savoir que parmi les près de 80% d’ouvrages diffusés d’office chez les libraires, il y a malheureusement des titres non désirés… C’est cette pratique tant décriée des “offices”, que Nombre7 a toujours refusé.

La planète

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Qui dit impression à la demande, dit absence de stock.

Concrètement, cela signifie qu’il n’y a pas de livres passés au pilon. L’enjeu est de taille : à l’heure de l’urgence climatique, les éditeurs font actuellement détruire 20 à 25 % des plus de 140 millions d’ouvrages que représente la production imprimée en France (source). Autant dire que le gaspillage est énorme !

C’est pour cela que Nombre7 a fait le choix de privilégier le développement durable et de réduire au maximum son empreinte carbone.

Zoom sur la librairie en ligne, un petit paradis pour les lecteurs

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Selon une étude réalisée par l’Université d’Harvard, publiée le 14 avril dernier dans la revue américaine Sciences, il faut s’attendre à un confinement intermittent au moins jusqu’en 2022 (source).

Mais que les lecteurs.trices en mal de livres se rassurent : la librairie en ligne NOMBRE7 continue de fonctionner même durant les périodes d’isolement.

Les ouvrages de près de 250 auteurs sont ainsi accessibles en quelques clics, dans de multiples catégories :

  • Roman & Roman jeunesse ;
  • Récit – Essai ;
  • Développement personnel ;
  • Érotisme ;
  • Théâtre ;
  • Conte ;
  • Poésie ;
  • Ésotérisme ;
  • Manuels pratiques ;
  • Livres illustrés : BD, récits poétiques, cuisine, livres enfants & jeunesse, récits, cartes prédictives.

La librairie propose aussi une toute nouvelle collection, la Collection Hippocrate, spécialement dédiée à la santé, à la nutrition et au développement personnel.

Agora, le blog dynamique pour les auteurs et les lecteurs

Agora est bien plus qu’un simple blog : c’est une mine d’informations pour tout savoir sur l’actualité de la maison d’éditions NOMBRE7 mais aussi sur le monde de la littérature.

Les auteurs y trouvent notamment des informations actualisées sur le programme des salons 2020, l’agenda des manifestations et des temps forts à venir, ou encore des conseils pour améliorer leur visibilité.

Les lecteurs viennent y découvrir les dernières publications, les séances de dédicaces et l’actualité de leurs auteurs favoris, des coups de cœur à ne surtout pas manquer…

Mais Agora, c’est aussi de l’authenticité et une relation directe avec cette maison d’édition pas comme les autres, qui partage ses états d’âme via la chronique d’humeur de Gilles Voirin (professeur agrégé, hypnothérapeute et auteur). Ces billets pertinents et iconoclastes pointent du doigt des sujets toujours inattendus.

Nombre7 Editions, la maison d’édition qui bouge les lignes

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Nombre7 Editions est une maison d’édition qui accompagne, depuis plus de 10 ans, près de 850 auteurs dans toute la France, mais aussi à l’étranger (USA, Japon, Algérie, Canada, Belgique, etc.).

Elle leur propose des services personnalisés pour créer des livres de qualité : relecture, corrections orthographiques et typographiques, mise en page, infographie, conseils littéraires et réécriture.

Elle assure également l’impression, la diffusion, la promotion et la distribution des ouvrages.

Nombre7 Editions souhaite se positionner comme un tremplin vers un nouveau modèle d’édition plus juste et plus humain.

Très impliquée, elle foisonne de projets pour 2020 :

  • des groupes Facebook animés par des auteurs (Les auteurs NOMBRE7, Les auteurs NOMBRE7 parlent aux lecteurs) ;
  • le lancement d’un nouveau concours d’écriture, à l’image de celui qui a déjà été initié par l’auteure Elisabeth Groelly et qui va donner naissance à un ouvrage collectif ;
  • une chaîne Agora sur YouTube pour présenter les ouvrages (une idée soufflée par Bernard Job, un nouvel auteur publié par Nombre7) ;
  • la création de webinaires ;
  • de nouveaux partenariats ;
  • et bien plus encore !

A propos de Christophe Lahondès, le fondateur de NOMBRE7 Editions

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Après un baccalauréat trilingue en Philosophie, obtenu en 1991, Christophe Lahondès a commencé des études de Philosophie à l’université puis intégré, au bout d’un an, un BTS Communication et Action Publicitaires.

Son diplôme en poche, il passe une troisième année de management commercial en communication, puis rejoint l’armée en 1996 pour faire son service militaire.

Christophe travaille ensuite dans l’imprimerie puis en régie publicitaire jusqu’en 2009.

Il intègre alors une Maison d’édition pour assurer la direction de l’imprimerie (il s’agissait déjà d’édition à la demande !) et les relations avec les auteurs.

C’est cette expérience qui lui fait découvrir la souffrance des auteurs.

Christophe confie :

Il y a urgence à rendre aux auteurs la légitimité et la reconnaissance qu’ils sont en droit d’attendre ! Je n’ai eu de cesse de rechercher pour eux et avec eux le modèle qui leur permette d’espérer le succès, mais avant tout d’être édités avec l’ensemble des services qu’ils méritent pour être lus et reconnus.

En 2012, Christophe décide donc de démissionner pour créer NOMBRE7 éditions.

Pour en savoir plus

Site web : https://www.nombre7.fr/

Librairie en ligne : https://librairie.nombre7.fr/

Blog : http://agora.nombre7.fr/

Fabebook : https://www.facebook.com/Nombre7editions/

Instagram : https://www.instagram.com/nombre7editions/?hl=fr

LinkedIn : https://www.linkedin.com/in/christophe-lahond%C3%A8s-87044027/

IGB Edition, un nouvel éditeur qui s’engage pour l’environnement

Allant au-delà de la réduction de son empreinte carbone, IGB Edition, s’engage à compenser l’impact de ses publications sur l’environnement.

Basé à Paris et en Corrèze, IGB Edition soutient la société Reforest’Action à l’occasion de la sortie de chacun de ses titres. Dès juillet 2020, la commercialisation en librairie de « La Fiancée du 11 septembre » et du tome 1 du « Projet Vanility » permettra de planter 20 arbres supplémentaires.

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IGB Edition, une maison d’édition éco-responsable

A l’heure de l’urgence climatique, cette jeune maison d’édition s’engage ainsi à planter un arbre toute les 16 000 feuilles A5 utilisées pour imprimer les livres qu’elle publie.

Cela représente, en moyenne, 20 arbres plantés pour l’impression de 1000 exemplaires d’un roman de 400 pages.

Claire Izard, la fondatrice, souligne :

Nos auteur(e)s souscrivent pleinement au besoin de protection de notre environnement. Ils sont d’ailleurs très impliqués : tous vont profiter de leurs séances de dédicaces pour sensibiliser les lecteurs.trices à ce sujet.

​Cette opération est réalisée en soutenant la société Reforest’Action, acteur de référence de la reforestation en France et dans le monde.

Reforest’Action développe des solutions climat basées sur la régénération d’écosystèmes forestiers à forte valeur ajoutée socio-environnementale. Elles sont déployées au service d’organisations et entreprises dans le cadre des Objectifs de Développement Durable de l’ONU. Ses actions reposent sur une vision unique de l’arbre en tant que vecteur de développement durable, garant du bien-être humain, et meilleur allié face aux dérèglements climatiques.

​Déjà 20 arbres plantés au Pérou

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En mars 2020, IGB Edition a déjà contribué à la plantation de 20 arbres dans la forêt de Piura au nord du Pérou.

Au cœur de cette région, le projet de reboisement de Reforest’Action vise à planter 500 000 arbres afin de restaurer les sols dégradés et lutter contre la désertification. La plantation de forêts permettra de limiter l’érosion et d’apporter une source de revenus complémentaires aux habitants de la région.

A l’automne, IGB Edition contribuera au reboisement de forêts Françaises.

Un positionnement qui rend le plaisir de lire accessible à tous

Acheter un livre publié par IGB Edition ne permet pas seulement de soutenir une initiative solidaire.

C’est aussi, surtout en cette période compliquée, retrouver le plaisir de lire des livres papier et découvrir de nouveaux auteurs à des prix raisonnables.

Claire confirme :

Nous avons délibérément adopté une politique de prix abordable : des romans de plus de 400 pages sont ainsi proposés à moins de 20 euros.

Zoom sur les collections d’IGB Edition

La collection FRISSONS

 La Fiancée du 11 septembre de Marc Gervais

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J’ai vingt ans. Mon père est l’amour de ma vie. Je m’appelle Rubis. J’ai de vilaines pensées : autour de moi les méchants tombent comme des mouches. Je n’ai aucune excuse, je suis née dans l’un des plus beaux quartiers de Paris. Donc loin de la Vologne et du petit Grégory. Ma vie a basculé en une fraction de seconde. Partie à la recherche de mes origines, j’ai découvert des secrets familiaux sordides. On a blessé papa, on m’a fait du mal : je me suis vengée ! Si vous pensez que je suis possédée et que cela vous effraie, n’ouvrez pas ce livre : j’ai le don pour entraîner tout le monde dans des histoires de dingues !

432 pages – Sortie : été 2020.

Prix : 19,90 € format papier / 12,99 € en e-book

L’Editrice de Marc Gervais

L'éditrice

Un psychopathe assassine des fillettes à fréquence régulière, alors qu’un as de la PJ tente de résoudre des crimes non élucidés. Cherchant les recettes pour être éditée, une jeune provinciale à l’humour dévastateur décroche l’emploi de ses rêves dans une maison parisienne où sévit une directrice dont le management par la terreur ringardise tout diable s’habillant en Prada ! Humiliée par son conjoint, une mère de famille s’engage dans une liaison avec un auteur qu’elle n’a jamais rencontré. En quête d’un récit fort, une primo-romancière transcrit leur romance. Changera-t-elle le cours d’une histoire aussi insensée qu’improbable ? Quels liens relient ces héros anonymes ? Qui manipule qui ? Si entre réalité et fiction, la frontière est ténue, peut-on échapper aux fantômes tapis dans l’ombre de passés inavouables ? Jusqu’où ira-t-on pour publier un best-seller ?

600 pages – Sortie : automne 2020.

Prix : 19,90 € format papier

Collection ANTICIPATION

Le projet Vanility : L’Ombre du passé (Tome 1) de Marion Salvat

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La mise au point du traitement Centurion permet de guérir un grand nombre de maladies incurables, mais il génère des capacités hors du commun. À l’aube de 23e siècle, la méfiance entre « Porteurs du Centurion » et « Naturels » n’a jamais été aussi forte.
En l’an 2220, après avoir grandi loin du monde moderne, Maxine, jeune Porteur de 16 ans, emménage à Paris où elle découvre une société divisée dans laquelle elle cherche sa place et aidée de ses nouveaux amis, elle devra résoudre le mystère qui entoure la mort de son père.

408 pages – Sortie : juillet 2020.

Prix : 19,90 € format papier / 12,99 € en e-book

Le projet Vanility : Le monde divisé (Tome 2) de Marion Salvat

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La suite des aventures de Maxine, Lee et leurs amis dans un futur où Porteurs et Naturels peinent à exister.

​448 pages – Sortie : février 2021.

Prix : 19,90 € format papier

A propos de Claire Izard la fondatrice et présidente d’IGB Edition

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Lectrice addictive, blogueuse littéraire et maman de trois enfants, Claire Izard sait que le temps dévolu à la lecture est compté.

Après avoir mené une carrière dans le privé et le public, elle s’offre un nouveau challenge à 46 ans en créant sa propre maison d’édition.

IGB Edition est né de la vision de l’avenir qu’elle partage avec un ancien éditeur, Marc Gervais. Cet ex-spécialiste des technologies de l’information, qui a fait toute sa carrière en qualité de dirigeant de PME, est l’auteur d’un best-seller. Ensemble, ils nourrissent une même passion pour la lecture et l’écriture.

Bien que toute jeune, IGB Edition s’appuie sur le savoir-faire de la diffusion en librairie de la société CEDIF associé à celui de la distribution assurée par la société POLLEN.

IGB Edition a su convaincre en présentant dès sa création un plan de publication programmé à 2 ans.

Pour en savoir plus

Site web : https://www.igbedition.com

Facebook : https://www.facebook.com/IGBEDITION/

Instagram : https://www.instagram.com/igb_edition/?hl=fr

LinkedIn : https://www.linkedin.com/company/igb-edition/

Lancement de Takotak, la plateforme vidéo pour se cultiver sans perdre de temps

En moyenne, les français passent environ 4 heures par jour à regarder des vidéos, soit 100 000 heures dans notre vie ! Les plateformes de Streaming et de VOD remplacent petit à petit la TV dans les usages.

Parmi les griefs sur les plateformes de streaming : les vidéos de qualité sont noyées dans la quantité, l’absence de ligne éditoriale, l’exposition agressive aux publicités et finalement, l’impression de passer du temps à regarder des choses inutiles.

Alors que la vidéo dispose pourtant de très nombreux atouts, on se laisse distraire par nos applications et on perd du temps à trouver du contenu de qualité pour s’informer, comprendre, progresser…  C’est dans ce contexte que deux ingénieurs, Pierre-Antoine ARVOIS et Aurélien GALY, ont eu l’idée de créer Takotak.

Takotak est la 1ère plateforme de diffusion vidéos et de financement qui permet aux internautes de se cultiver tout en comprenant et en suivant leur impact écologique lié au streaming.

Elle repose en outre sur un modèle 100% vertueux :

  • Pour les spectateurs : cette plateforme vidéo gratuite est idéale pour consommer mieux grâce à une sélection de vidéos culturelles de qualité.  Avec, en filigrane, une sensibilisation aux enjeux environnementaux liés au streaming.
  • Pour les vidéastes : ils sont soutenus dans la poursuite de leur activité dans les meilleures conditions grâce aux dons que les internautes peuvent effectuer pour rémunérer leurs vidéastes favoris. Le spectateur débloque en échange des fonctionnalités pour profiter au maximum de la plateforme.

Après un an de développements et de tests, Takotak annonce officiellement son ouverture, et propose désormais son application sur Android et iOS, à télécharger directement sur takotak.co.

 

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Takotak, la première plateforme culturelle, éthique et éco-responsable

Envie de se cultiver sans perdre de temps ? Il suffit d’avoir le réflexe Takotak.

100% gratuite et intuitive, cette plateforme permet à tous les internautes d’accéder rapidement à une sélection de vidéastes passionnés qui vulgarisent des domaines comme les sciences, les arts, les lettres ou l’information.

Aurélien Galy, co-fondateur, confirme :

Takotak est une invitation à apprendre, à éveiller sa curiosité et à élargir son horizon, tout en passant un très bon moment.

Lancée par une jeune équipe lilloise, cette appli “nouvelle génération” a une dimension pédagogique : elle permet en effet à tous les internautes de comprendre et de suivre leur impact écologique lié au streaming.

Takotak, c’est aussi un projet transversal avec une philosophie :

Ethique

  • données personnelles respectées (pas de tracking /commercialisation),
  • design non-addictif  afin de maximiser la transmission des savoirs plutôt que de “vendre du temps de cerveau disponible”

Eco-responsable

Takotak s’engage de A à Z : gouvernance, choix des partenaires, éco-conception du site, développement d’outils pour comprendre et limiter son impact…

Se cultiver vite fait, bien fait avec un large choix de thématiques

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Takotak offre une vision à 360° des arts, des sciences et des lettres.

Il y a en effet plus de 6000 vidéos de qualité dans de multiples thématiques :

  • Cinéma,
  • Arts visuels,
  • Astronomie,
  • Histoire,
  • Musique,
  • Mathématiques,
  • Physique-Chimie,
  • Psychologie,
  • Littérature,
  • Informatique,
  • Ecologie,
  • Jeunesse,
  • Jeux vidéos,
  • Technologie,
  • Philosophie,
  • Politique,
  • Récit,
  • Biologie,
  • Economie,
  • Politique.

 

Une initiative fédératrice qui soutient aussi les vidéastes

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Aurélien Galy et Pierre-Antoine Arvois ont fait un tour de France des festivals pour présenter le premier prototype de Takotak aux vidéastes du web.

En discutant avec eux, ils ont identifié trois problèmes majeurs : leur manque de visibilité, leur instabilité financière et leur désagréable dépendance vis-à-vis de YouTube.

C’est pour cela qu’ils ont décidé de les aider en leur apportant des solutions concrètes. C’est aujourd’hui plus de 60 chaînes qui sont diffusées sur Takotak.co !

Un système de dons original et mutualisé permet ainsi aux internautes de contribuer au soutien financier de leurs vidéastes favoris et de continuer à apprendre plein de choses. En récompense de leurs dons, les « Mécènes » débloquent de nouvelles fonctionnalités comme des playlists pour profiter au maximum de la plateforme.

Sensibiliser à l’impact écologique du streaming

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Combien de personnes savent que l’impact du streaming sur l’environnement est désormais aussi élevé que celui d’un pays comme l’Espagne ?

Takotak veut contribuer à changer la donne en informant et sensibilisant sur ce sujet. Il s’agit de permettre à tout le monde de comprendre les enjeux et de réduire son impact sur la plateforme.

Aussi, en s’appuyant sur les études de The Shift Project sur l’impact du numérique, Takotak a développé des outils pour que les utilisateurs puissent enfin comprendre et suivre leur impact écologique. Une première mondiale pour une plateforme vidéo !

À propos d’Aurélien Galy et Pierre-Antoine Arvois, les fondateurs de Takotak

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Derrière Takotak, il y Aurélien Galy (Président), un Architecte IT issu de l’Ecole Centrale de Lille, et Pierre-Antoine Arvois (DG), un UX Designer diplômé d’Iteem.

Jeunes ingénieurs, les deux amis se sont rencontrés en dernière année de Master. Comme tous les autres étudiants, ils regardaient alors beaucoup de vidéos sur YouTube.

Avec, toujours, le sentiment de perdre un temps fou à regarder des choses inutiles et à chercher des contenus intéressants.

Aurélien souligne :

Nous avons vite compris les limites des modèles économiques basés sur un design addictif qui visent seulement à nous faire consommer toujours plus de vidéos et de publicités. Ils ne sont pas du tout destinés à nous rendre meilleur(e)s ni plus intelligent(e)s ! Nous avons donc décidé de créer une alternative qui regrouperait les contenus culturels de qualité permettant aux gens de consommer moins, mais mieux.

Le concept Takotak venait de naître !

Aurélien et Pierre-Antoine mettent alors toute leur énergie et leurs compétences au profit de cette belle aventure. Pour aller plus loin, et promouvoir aussi une autre façon de consommer des vidéos sur Internet, ils créent une entreprise de l’Economie Sociale et Solidaire afin de développer une plateforme vidéo d’un nouveau genre.

Très vite, Takotak suscite l’enthousiasme d’une véritable communauté : des centaines de testeurs s’engagent en remontant leurs suggestions sur le site ou durant des ateliers organisés par la plateforme. Grâce à eux, la campagne de crowdfunding lancée en février 2019 rassemble 230 participants et permet de recruter une petite équipe.

Takotak a également intégré l’incubateur Lillois Euratechnologies et le dispositif pour étudiants-entrepreneurs Pépite Lille Nord de France. Avec leur soutien, Takotak a été lauréat Hauts de France du Prix Pépite 2018 et 2019.

Aujourd’hui, la plateforme ambitionne de renforcer son modèle qualitatif en intégrant notamment des outils collaboratifs permettant de lutter contre la propagation des fake news.

En parallèle, la jeune pousse veut créer de nouveaux outils pédagogiques pour sensibiliser le plus grand nombre de personnes à l’impact du numérique (simulateur d’impact, nouvelles fonctionnalités simples et ludiques…). L’objectif est en effet d’accompagner en douceur les utilisateurs dans le changement de leurs habitudes.

Enfin, pour contribuer encore plus activement à la protection de l’environnement, Takotak va poursuivre ses efforts d’éco-conception pour que le site soit le moins énergivore possible et créer des partenariats avec des hébergeurs de contenu plus éthiques et écologiques.

Pour en savoir plus

Site web : https://takotak.co

Facebook : https://www.facebook.com/takotak.co

Instagram : https://www.instagram.com/takotak.co/

LinkedIn : https://www.linkedin.com/company/takhotakh/

Contact Presse

Aurélien GALY

E-mail : aurelien@takhotakh.com

Tel : 06 15 46 34 43

Sortie livre : “Le Cercle d’Or atlante” d’Ode Pactat-Didier

Et si nos problèmes de civilisation contemporains étaient les mêmes depuis la nuit des temps ? Et s’il s’agissait juste d’erreurs reproduites indéfiniment ?

Sumériens, Dogons, Amérindiens, Aborigènes, Egyptiens, continents engloutis… Quelle que soit l’histoire des peuples, elle présente toujours des failles communes.

Ode Pactat-Didier, l’auteure du “Cercle d’Or atlante” (Le Cygne d’O Éditions), est fascinée par l’Atlantide et ses nombreux mystères. Dans ce roman passionnant, qui captive de la première à la dernière page, elle montre en filigrane comment les effondrements actuels font écho à ceux qui ont détruit cette civilisation exceptionnelle. Les mêmes raisons techniques, économiques et spirituelles se retrouvent à 12 000 ans d’intervalle !

Au fil des pages, c’est une autre grille de lecture du monde qui est dévoilée, très documentée. L’humanité est invitée à opérer une prise de conscience collective en reconnaissant sa propre Nature divine incontournable afin d’échapper à une nouvelle Apocalypse.

Avec son écriture fluide et élégante, accessible à tous les publics, Ode Pactat-Didier fait entrer ses lecteurs.trices dans une bulle de douceur et d’espérance, importante en ces temps troublés.

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Synopsis

L’épreuve qu’ont subie les jumeaux en février 2017 les a meurtris. En Août, ils fêtent leur dix-huitième anniversaire et se lancent dans l’aventure de la vie.
Va-t-elle leur offrir des expériences enrichissantes ?

Au cours d’une conversation avec un ami, Oriane entend parler de la mythique Atlantide et du « Cercle d’Or ». Très troublée, elle comprend à quel point nous sommes loin d’avoir percé les secrets les plus intimes de la planète où nous évoluons.

À partir de là, sa quête spirituelle et affective se confond avec l’odyssée du Cercle d’Or. Sa résurgence à Dendérah en Égypte annonce-t-elle le retour des Harmonies Célestes dont l’humanité s’est éloignée depuis trop longtemps ?

2020 nous lance un immense défi, saurons-nous le relever ?

La trilogie commencée avec les « Coquelicots bleus », poursuivie avec “L’Appel de la Source” se termine ici sur une note d’espoir.

Un extrait

Notre-Dame de Paris… Le cœur sacré de la Mère, protectrice de la France, la « Fille aînée de l’Église ». Mais l’était-elle encore, à la suite de tous les scandales dont son aura s’était chargée en son sein même ?

Le feu que des hommes avaient allumé par négligence ou intentionnellement, symbolisait-il le drame actuel de la haine et de l’irrespect des choses sacrées ? Dans l’une des tours restée intacte, par chance, la statue de l’Alchimiste contemplait, impassible, les flammes dévorantes et l’eau qui tentait de les éteindre.

De quelle Alchimie, de quel dérisoire athanor était-il le spectateur impuissant ?

Quelques jours plus tôt, Amaya avait eu une vision fugitive, celle d’une alchimie inversée. Les jours suivants le confirmèrent : les ors du feu se transformèrent en plomb. Des milliards de particules du métal fondu se répandirent dans l’atmosphère, menace indécelable d’une pollution saturnienne.

La barque d’Isis, ancrée sur son île, chancelait mais ne sombrerait pas, ainsi que l’avait prévu la devise aux trois abeilles, même si le doute s’insinuait dans les esprits et ravivait d’obscures terreurs.

Cet incendie, spectaculaire et purificateur, rappelait d’anciennes prophéties et leur conférait un sens actuel, comme un ultime avertissement menaçant, émanant de la Mère, Notre-Dame du Ciel :

Vous devez maintenant choisir entre l’Église de Pierre et le manteau du Christ. Votre impiété et vos peurs vous ont déconnectés des Harmonies Divines. Vous ne vibrez plus à l’unisson de sa parole. En tant que Marie, je vous rappelle que, depuis des années, à Lourdes, à Fatima, à la Salette, en Égypte et en Bosnie, je m’adresse à vous et vous demande de prier et de revenir dans l’Aura de mon Fils dont je retiens le bras depuis trop longtemps.

Sur le parvis de Notre-Dame, des milliers de spectateurs, agenouillés et en pleurs, avaient de nouveau invoqué l’intercession de Marie. N’était-il pas trop tard ?

Les ouvrages précédents de la trilogie Flavien Flamant

Tome 1 : Les Coquelicots bleus

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Cet ouvrage raconte l’expérience de Flavien Flamant et de son évolution personnelle qui l’amènera à accepter une mission insolite.

Rien au départ ne semblait le désigner pour accomplir un tel destin tant les douloureuses expériences de son enfance l’avaient tenu éloigné de toute forme de spiritualité.

De son voyage dans l’Himalaya, il rapportera des graines de coquelicots bleus qui serviront de mystérieux sésames lors de sa rencontre avec Oriane de la Tour d’Auvergne.

Prix : 20 €.

Tome 2 : L’Appel de la Source

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Flavien Flamant accepte de revenir dans la Troisième dimension dans le but de préparer les Âmes à un éveil planétaire devenu urgentissime. À travers ses interventions radiophoniques, il délivrera de beaux messages se rapportant à la Conscience Christique.

Il vient aussi réparer les souffrances qu’il a causées quatorze ans auparavant à sa descendance lors de sa disparition mystérieuse.

Quels bénéfices récolteront Oriane et Alcyon, ses jumeaux, de son enseignement ?

Prix : 20 €

Quelques témoignages de lecteurs

« Ode Pactat-Didier nous transmet, au cours de ses romans, certains mystères tenus secrets… des connaissances cachées, que notre planète recèle, et qui aiguisent la curiosité. À l’heure d’internet, il nous est facile de trouver des compléments. Elle nous propose de nous pencher vers une évolution spirituelle globale, vers un monde nouveau et harmonieux que les enfants de ce siècle vont construire. »

Yvette P. (Nantes – 44)

« Ce livre est magnifique ! Je viens de passer des journées de lecture émerveillée où je me suis sentie immergée dans cette énorme tranche de vie. Quel travail d’orfèvre ! Ce cercle est une ouverture, une note d’espoir, un sas entre l’ancienne et la nouvelle conscience. Merci ! »

Eliane O. (La Chapelle Gonaguet – 24)

« Ce nouveau livre est très riche et je suis heureuse qu’il parle de l’Atlantide qui m’a toujours beaucoup intéressé. J’ai aussi beaucoup aimé le passage sur  la messe et son symbolisme qui me réconcilie avec cette cérémonie, dont je me suis écartée après ma communion solennelle. »

Dany R. (Six-Fours – 83)

« Ce roman initiatique et avant-gardiste nous invite à élever nos pensées et à agir en conscience. De son travail en profondeur puisant dans les archives passées, Ode nous fait prendre conscience de la part du Divin en chacun d’entre nous. »

Célune (Chambord – 41)

À propos de l’auteure Ode Pactat-Didier

Depuis son enfance passée au pied de la célèbre abbaye bénédictine de la Chaise-Dieu, Ode Pactat-Didier s’intéresse à l’aspect mystérieux du monde, ce qui l’a amenée à son tour à explorer les secrets de l’Invisible.

Auteure de 18 ouvrages, l’auteure est aussi une conférencière reconnue. Elle a écrit plusieurs pièces de théâtre. L’une d’entre elles (L’Autre Versant de la Vie) a été jouée à Paris.

À travers ses ouvrages, elle propose des thèmes très variés à son lectorat qui lui reste fidèle depuis la parution du Souffle de l’Aurore en 1982.

À la suite de nombreuses lectures, rencontres et expériences insolites, Ode a entrepris l’écriture de son dix-huitième ouvrage. Son intérêt repose sur l’évolution des civilisations à travers les siècles, et plus particulièrement elle s’intéresse à celles disparues, comme l’Atlantide et l’Égypte, en opérant un parallèle entre elles et la nôtre qui subit des transformations similaires.

Informations pratiques

Le Cercle d’Or atlante d’Ode Pactat-Didier

  • Le Cygne d’O Éditions
  • ISBN : 978-2-912731-42-5
  • 343 pages
  • Prix : 21 € (ou 9 € en format ebook)

Pour en savoir plus

Commander le livre : http://lecygnedo.fr/collection-flavien-flamant-tome-3-lecercledoratlante.html

Site web : http://lecygnedo.fr/

Facebook : https://www.facebook.com/lecygnedo.fr/

Vice et vertus réunis… Les Éditions The Menthol House présentent la collection Orties, des textes de femmes qui résistent

Des femmes qui écrivent sur les femmes. Femmes brisées, corps et âmes blessés par un passé toujours présent en filigrane. Mais avant tout femmes exigeantes.

La collection Orties, publiée aux Éditions The Menthol House, est dédiée aux femmes qui résistent. Urticantes, résistantes, et vitalisantes, telle l’ortie, les personnages de la collection regorgent de puissance pour repousser la fatalité, guérir, renaître et piquer.

Fragilité et force s’entrecroisent, se dédoublent, au travers de personnages vulnérables et pugnaces emportant avec eux le lecteur dans leurs fuites en avant.

Orties offre à ses lecteurs des récits impliquant les capacités du corps féminin à entrer en résistance, à combattre et à renaître, quelles que soient les attaques. Le jeu avec les limites, imposé malgré elles, reste violent et brutal. Enlisées dans la haine de soi, la honte, la solitude, la dépendance, la différence, la violence de l’autre, elles frôlent avec le point de non-retour, toujours en cherchant la force de cicatriser dans leur chair hurlante et brûlante d’un désir de liberté.

Prostitution, boulimie, viol, alcoolisme, homosexualité, harcèlement, précarité : trouvent leur place dans la collection Orties. Rendre visible l’invisible, défendre la liberté des femmes, les libérer du regard et du jugement accusateur, basé sur la norme, tels sont les ancrages de la collection d’Orties.

Née en 2019, cette collection innovante est en concordance avec son temps. A l’heure de Metoo et de balancetonporc, il était temps d’ouvrir une nouvelle voie à la voix des femmes. Orties l’a fait.

En 2020, la collection propose quatre nouveaux ouvrages et reprend plusieurs livres d’Anne Calife, dont “Meurs la faim”, “Paul et le chat”, et “Le mail s’envole comme un oiseau”.

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Des femmes qui résistent, des femmes qui soignent

Elles piquent, grattent, démangent, déchirent la chair, jusqu’au sang. On n’est pas là pour faire semblant.

Plantes urticantes, qui se défendent, s’acharnent, s’accrochent et résistent à tout, même au pire. Surtout au pire. Mais, elles cachent en leur antre, une invincible lueur de vie. Ces femmes ne meurent pas, elles se transforment.

La collection Orties, c’est le vice et la vertu réunis. Des histoires de femmes à taille humaine. Ni sublimées, ni dominées, elles sont authentiques. Dans leur joie et dans leur peine, elles restent elles-mêmes. Libres et dignes jusque dans leur déchéance.

Se foutant du jugement des autres, elles vont jusqu’au bout d’elles-mêmes. Et plus loin encore. Elles vont jusqu’à l’extrême. Et l’extrême féminin c’est quoi ? « C’est ce qu’il y a juste avant la mort. »

Voilà la définition d’une justesse implacable, donnée par Anne Calife, la directrice de cette collection hors norme, qu’elle porte et incarne, jusque dans sa plume.

La collection Orties c’est l’hommage rendu aux femmes qui chutent, se traînent et se relèvent. Plus que des survivantes, elles sont vivantes. Elles existent.

Pour les rencontrer, il faut simplement les lire.

Zoom sur les quatre nouveaux ouvrages de la collection Orties

“Une dernière fois, encore” d’Anne-Claude Brumont

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Marie, la trentaine. Marie aime trop les femmes, Marie boit trop, Marie est trop vivante. Oublier hier, demain, vider les bouteilles, juste exister. Marie en crève. Alors commence son lent sevrage alcoolique. Avec beaucoup de justesse, de sensibilité, Anne-Claude Brumont ose livrer le combat, presque perdu d’avance, pour apprendre à s’aimer.

Passionnée d’écriture et de photographie, Anne-Claude Brumont s’intéresse à cette capacité propre qu’a l’individu agressé par la vie, brisé par le malheur, cabossé par les chocs de se réparer. Les armes du résilient pour transformer les cicatrices en lignes de force ? Le rêve, la rage, l’autodérision, l’art. Avec “Une dernière fois, encore”, elle publie son premier roman.

Extraits
“À peine rentrée, je me précipite. Il faut voir comme je mets du cœur à l’ouvrage. Dix, quinze, allers et retours entre la cave et la table du salon. Peut-être plus. Elles sont nombreuses les bougresses. Suées. Je peux aider, propose Gabrielle. Non merci, c’est mon affaire. Les unes après les autres, je les attrape par le cou, les pose sur la table du salon. Une fois terminé, je m’assois, les regarde réunies. Une fortune. Les pressions blondes, les rouges poussiéreuses, la moelleuse glacée, les pétillantes festives, les exotiques frappées. Voilà qu’elles me font les yeux doux. Surtout les blondes. Ne plus attendre. Des larmes dans les yeux, je les remercie pour tout le bien qu’elles m’ont fait. Pour ne pas reculer, je pense au mal aussi. Surtout au mal. Puis les vide. Une par une, durant une heure, dans la cuvette où je les vomissais. Pour enlever la couleur, l’odeur et les résidus, je tire la chasse, une fois, deux fois, trois fois puis déodorise et frotte. Tout en frottant, je me demande ce qu’on servira à boire ce soir. Et cette pensée-là ouvre un vide abyssal en moi.”

“Je ne les compte plus mes dernières fois. Elles commencent toujours de la même façon : par la certitude que cette fois-ci est la bonne, j’en fais le serment, le jure sur la tête d’un enfant, y crois dur comme fer, crache par terre. Du coup, il faut des quantités suffisantes et les alcools, mes préférés, pour tatouer leur goût comme Proust avec sa madeleine. Un grand vin, des bières, du rhum, du champagne. Puisque c’est la dernière, je n’ai aucun scrupule.”

“Elle est revenue. L’envie de boire à en crever.”

Informations pratiques

  • Roman
  • 192 pages
  • Prix 18 €
  • Broché 140 x 210 mm
  • ISBN 978-2919780044

“C’est combien ?” de Anne Calife

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“C’est combien ?”, première phrase adressée à une pute. Avec “C’est combien ?”, découvrez jusqu’où l’homme peut aller. Tout est passé en revue : comportements des clients, prestations les plus insolites, force de la destruction, argent qui brûle, abandon de soi, mais aussi, le sacrifice, la sagesse et l’exaltation de la vie. Avec une poésie déconcertante, “C’est combien ?” montre des situations extrêmes où la femme se trouve écartelée entre ces deux divinités : l’argent et le sexe.

Anne Calife, de son premier nom d’auteur Anne Colmerauer, partage sa vie entre Paris et Metz. Influencée par ses études de médecine, son écriture s’inspire du vivant. Elle a publié aux éditions Mercure de France, Galimard, Albin Michel, Éditions Héloïse D’Ormesson, Balland. Dans ses livres, repris par la collection Orties, elle explore les vibrations d’aujourd’hui en pointant du doigt, les dérives, marges (solitude, exclusion, folie, dépendances) mais aussi les bonheurs de la vie, fugaces et fragiles.

Extraits

“Avec mes clients, je prenais une feuille avec une belle marge, que je divisais en trois colonnes au crayon de papier. Première colonne : l’heure à laquelle je prenais le client, seconde colonne, le type de client, là, c’était le plus amusant, puisque je les comparais à des crustacés et fruits de mer avec les crevettes, les huîtres, les homards, les crabes, les éponges et les étoiles de mer. La troisième colonne correspondait à la somme encaissée, enfin la quatrième, ce que j’en ferai, le loyer, l’eau, tout indispensable, tout le futile, tout le plaisir, coiffure, manucure, massage gommage, cette paire de chaussures vernies chez Dior. [...] Les clients, les plus nombreux : les crevettes. Les crevettes sont les plus tranquilles, presque toujours des hommes mariés, ils ont des sièges bébé, des problèmes de couple, et viennent chercher de la détente. [...] Les crevettes ne savent pas comment se changer les idées, comment rêver, petits cerveaux, petites carapaces, et besoin d’une pute pour se sentir exister. C’est que ça parle beaucoup, les crevettes, et il faut les écouter, les laisser parler, parler. Pas de filles à séduire, suffit de payer, pas d’efforts à faire, et hop, ça leur plaît aux crevettes. Fellation-sodo-éjaculation faciale, grand classique, que recherchent toutes les crevettes.”

“La destruction, c’est surtout une façon de se protéger du présent.”

“Se prostituer, c’est avant tout une philosophie, un art de vivre, une ouverture vers les autres, vers le plaisir. Une pute, c’est l’abondance. De matières, de sensations, de sentiments. Du cuir, de la fourrure. Une pute, c’est des cris de plaisir, des chéris, c’est bon ; des encore encore, encore, toujours.”

Informations pratiques

  • Roman
  • 112 pages
  • Prix 17 €
  • Broché 140 x 210 mm
  • ISBN 978-2919780037

“Un si charmant manipulateur” d’Isabelle Minière

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Comment détruire son conjoint, en toute impunité ? Jusqu’où peut-on aller dans le mensonge, la manipulation et la perversité ? On assiste au pouvoir malfaisant d’Achille, comédien reconnu, apprécié, et au désarroi de la douce Ella, victime de ses abus répétés. Hanté par ses cauchemars, Achille décide de consulter Félix, hypnothérapeute. Un roman sur la perversion narcissique, le manipulateur et sa victime, la violence psychique. Un si charmant manipulateur montre aussi la force d’une femme en apparence fragile, soumise, mais en lutte, vivante.

Psychologue et hypnothérapeute, Isabelle Minière vit et travaille à Paris. Elle aime regarder les gens, les écouter, imaginer leur vie. Depuis vingt ans, elle écrit pour les adultes (Lattès, Dilettante, Serge Safran) et pour les enfants (Jasmin, Éditions du Rouergue). Au cours de ses romans, elle approfondit la texture et les blessures de ses personnages. Les sentiments, les émotions, les blessures, l’humour, l’autodérision… Ça peut gratter parfois, comme les orties.

Extraits
“— Maman, est-ce qu’il t’a déjà battue ? Elle a regardé l’évier, comme s’il avait la réponse, et elle est restée en suspens ; les éviers sont assez nuls pour fournir l’inspiration. Puis elle a tourné la tête vers la fenêtre. Elle a regardé l’arbre. L’arbre qu’elle aime tant, son arbre ; peut-être la seule chose qu’elle aime dans ce jardin. Un jour, elle m’a expliqué : avec l’encadrement de la fenêtre, l’arbre fait comme un tableau, il est dedans et dehors à la fois. Un arbre réel et le tableau d’un arbre. Un arbre plus réel que d’ordinaire, magnifié par le tableau que le cadre de la fenêtre lui dessine. J’étais encore adolescent et cela m’a marqué, je n’ai plus jamais regardé cet arbre de la même façon. Il y a des fois où les arbres sont des tableaux…”

” — C’est ma femme, elle est à moi. Elle se défend et je la préviens : si elle ne me laisse pas faire, je me suicide, et elle aura ma mort sur la conscience. Elle proteste, elle pleure, personne ne peut l’entendre, la chambre est isolée, sauf à hurler au secours, ses jérémiades ne servent à rien ! Et si elle crie, si elle appelle, je la brise ! Elle est à moi ! Elle pleure, non, non Achille, s’il te plaît, je la connais ta chanson ma belle, chanteuse à la noix va ! Pas un gramme de talent, si je ne t’avais pas trouvée dans ton ruisseau, tu serais à la rue ! ”

Informations pratiques

  • Roman
  • 234 pages
  • Prix 19 €
  • Broché 140 x 210 mm
  • ISBN 978-2919780051

“Jamais le droit de crier” de Françoise Henry

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Une femme achète des fleurs au marché, et les fleurs voient tout ce qui se passe chez elle, dans sa vie intime. Une curieuse explore les sacs d’une clocharde céleste, une passante écoute un homme rompre avec son amie sur son téléphone portable… Pourquoi va-t-on toujours regarder ce qu’on ne devrait pas, et fouiller dans ce qui ne nous appartient pas ? Trahisons, mensonges, secrets… On cherche ce qui se cache derrière les apparences, on va très loin, on ose. À ses risques et périls.

Après la publication d’un recueil de poésies, Françoise Henry s’oriente vers le théâtre – elle joue avec Olivier Py – tout en continuant d’écrire. Elle a publié dix romans dont “Le rêve de Martin” (Grasset – finaliste du Fémina – Prix Marguerite Audoux) et “Plusieurs mois d’avril”(Gallimard). Elle est également comédienne pour France Culture et France Inter. Avec “Jamais le droit de crier”, elle publie ici son premier recueil de nouvelles. Des nouvelles ? Des nouvelles de qui ? Des nouvelles des autres, bien sûr. De tout ce qui se passe dans la vie des femmes : choses visibles ou invisibles, dites ou non dites, tapies mais violentes, dans la rue, chez soi, petits drames silencieux puisqu’on n’ose jamais crier…

Extraits

“Les mêmes fleurs ont assisté, impuissantes, aux cris, aux mots de destruction. Elles se taisaient. Elles ne se sentaient plus à leur place, exposées, au centre. Elles se serraient les unes contre les autres, tant et si bien que certains pétales, coincés, ont séché, se sont recroquevillés. Un regard de la femme a dû les effleurer, un regard perdu, la femme se raccrochait à elles, se disait peut-être que tant que les fleurs seraient là, entre eux deux, la dispute ne serait pas trop grave.”

“Je l’ai à peine regardée, mais j’ai noté, d’un coup d’oeil, son fichu sur la tête, son vieux et lourd manteau de tweed qui pendait sur l’ourlet irrégulier d’une jupe incolore, ses chaussures d’homme surmontées de socquettes. Signes qui ne trompent pas. Comme celui de pousser, de tout son corps, de toute sa fatigue, un caddie.”

“— Je suis au fond du gouffre ! confiait-elle d’une voix sourde. Si tôt ? Si tôt, le matin, au fond du gouffre ? J’aurais voulu la suivre, mais elle allait dans le sens opposé à moi, puisque je l’avais croisée ! De quel gouffre parlait-elle ? Mille possibilités s’offraient, hélas, dans la catégorie des gouffres ! J’ai continué mon chemin, mais dans ma tête ne cessaient de résonner ces mots : — Je suis au fond du gouffre ! Confiés avec une telle maîtrise, sans plainte, sans larmoiement : juste un constat. Adressés à qui ? Jamais je n’en saurais plus sur cette femme ni sur le gouffre dont elle parlait. Jamais ! Tant pis pour toi, curieuse ! ”

Informations pratiques

  • Recueil de nouvelles
  • 84 pages
  • Prix 16 €
  • Broché 140 x 210 mm
  • ISBN 978-2919780068

A propos de The Menthol House

Maison d’édition parisienne créée en 2008, The Menthol House met en avant des artistes et valorise des livres objets référencés à la Réunion des Musées Nationaux.

Elle s’est fixée une mission : redonner l’envie d’écrire et ouvrir l’imagination.

Fondée par l’écrivain Anne Calife (publication Gallimard, Mercure de France, Albin Michel), The Menthol House place toute son énergie et son dynamisme à publier de beaux livres objets très originaux fabriqués en France et à mettre en valeur de jeunes artistes.

The Menthol House propose des livres lumineux capables de nous guérir des mensonges empoisonnés, avec des auteurs affranchis des conventions. Des inconsolés qui consolent, des brûlés qui rafraîchissent.

Elle a notamment publié la collection Carnets d’Artistes, composée d’illustrateurs sélectionnés pour leur talent unique, et la collection Une Histoire Avec, qui présente de façon originale une autre vision de belles villes de France (Paris, Marseille, Metz, Strasbourg, Cassis).

Avec la collection Orties, elle propose des textes précis, piquants pour résister, pour ceux qui sont sur le point d’abandonner la partie. La collection Orties, pour se défendre.

Si c’était une poésie, ce serait Sylvia Plath,

Si c’était une voix, ce serait celle de Janis Joplin,

Si c’était un instrument de musique, ce serait la guitare d’Elizabeth Cotten,

Si c’était un peintre, ce serait Frida Kahlo,

Si c’était un animal, ce serait un éléphant dans un magasin de porcelaine,

Si c’était une plante, ce serait l’ortie,

Si c’était un humain, ce serait une clocharde céleste,

Si c’était une fleur, ce serait la ronce,

Si c’était une matière, ce serait de la vase,

Si c’était une boisson, ce serait de l’alcool à volonté,

Si c’était un mot, ce serait résister,

Si c’était un bâtiment, ce serait l’hôpital psychiatrique ou la prison,

Si c’était un moment, ce serait la nuit juste avant l’aube.

Pour en savoir plus

La collection Orties : Fiche journalistes orties

Site web : https://www.the-menthol-house.com/

Livre : Le côté sombre de la loge, quand l’opportunisme mène au thriller

L’être humain, débarrassé de ses inhibitions et de ses interdits, devient parfois cruel avec ses semblables… Surtout lorsqu’il accède opportunément et rapidement – trop rapidement – à un statut social, et à une certaine opulence financière. La nature humaine est ainsi faite : on en veut toujours plus.

Henri Weigel nous plonge dans un thriller qui nous fait réfléchir sur la condition humaine, les vices, les travers de notre civilisation, nos propres défauts. Les symboliques du livre rencontrent un écho particulier en ces moments tourmentés, pendant lesquels on se rend compte que finalement, les critères de “bonnes moeurs”, de “bienséance” et de “moralité” varient très fortement d’un individu à l’autre… et ce, même dans les plus hautes sphères sociales, économiques et étatiques.

Les pages se tournant, le suspense et la tension toujours présentes vient une question : et si cette histoire avait vraiment eu lieu… ou pouvait avoir lieu ?

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Comment Juliette et Louis, descendus de leur montagne Auvergnate, ont-ils pu s’installer à Paris, devenir riches et développer ensuite leur fortune colossale ?

Le côté sombre de la loge, 3ème livre de Henri Weigel, explore au long des 320 pages de son polar toutes les facettes de l’âme humaine, à l’ombre de l’avidité d’argent et de l’exploitation de toutes les opportunités qui se présentent dans la vie.

L’auteur parvient à créer une tension, et à embarquer ses lecteurs le long d’une histoire dont le suspense ne se finit qu’en toutes fins de pages.

Une hasardeuse installation d’un couple venu d’Auvergne à Paris, Juliette (l’intellectuelle) et Louis (la force), va en effet lancer une aventure menant les lecteurs au plus profond de la noirceur humaine. L’histoire de ce couple est suivie durant plusieurs années. Cette sombre loge va en effet les propulser, à force de malveillance, d’opportunisme et de convoitise, jusqu’au sommet de l’État.

L’histoire résumée par l’auteur

Juliette et Louis se rencontrent dans un bal de village. A la première seconde, naît une relation fusionnelle.

L’osmose est totale, lui est la force, elle l’esprit. Ils sont pourtant de deux milieux sociaux que tout oppose.

Elle, agrégée d’histoire, est la fille de pharmaciens, protestants cultivés et rigides. Lui, est né et vit dans une famille de paysans montagnards. C’est la cause de la violente déchirure de Juliette avec sa famille. Quelques semaines après leur mariage et le décès du père de Louis, ils doivent quitter la ferme familiale en raison du droit d’ainesse du frère. Ils n’ont pas d’autre issue que le départ vers Paris, où Louis devient concierge d’un immeuble du 16e.

Leur vie va être dure, mais des circonstances, des hasards vont leur offrir des opportunités. Va commencer pour le couple une extraordinaire destinée où avec la plus grande froideur, ils ne laisseront plus grand-chose leur échapper. Les moyens seront utilisés tels qu’ils se présenteront. Des rebondissements vont se succéder, les emportant du côté éclairé au côté sombre de la loge, comme dans leur vie.

Et en fin de compte, on s’aperçoit que ce genre de choses pourrait se produire… ou est déjà arrivé…

Des lecteurs enthousiastes

Ce qu’en pensent les lecteurs :

Eliane M.

J’ai beaucoup aimé ce livre. C’est un polar qui sort des sentiers battus, délicieusement immoral! Amour, audace, culot, abus de confiance, politique, chance insolente: tels sont les ingrédients de ce roman. A conseiller à tous les amateurs du genre.

Christophe K.

Beaucoup de plaisir à la lecture de ce livre. J’ai été tenu en haleine du début à la fin. On ne s’ennuie jamais. On sent un événement arriver mais on est contrarié par son dénouement inattendu. Une succession de circonstances incroyables mais plausibles. Les deux protagonistes de l’histoire sont monstrueusement charismatiques, on finit par s’attacher à eux. Un très bon polar qui se lit d’une traite et que l’on n’oublie pas une fois terminé.

Jean D.

Louis et Juliette ont accepté d’être concierges dans une loge d’un immeuble cossu à Paris. Une dame âgée et riche les prend en affection et à sa mort, tout s’enchaîne : escroquerie au compte en banque, faux testament, assassinat d’individus trop curieux, transport et dissimulations des corps. Le couple diabolique échappe aux investigations de la police et des journalistes et comme nos deux héros de l’histoire ont le sens des affaires, ils font fructifier le fruit de leur rapines et deviennent riches, très riches, jusqu’à ce que s’achève l’aventure. Vraiment, un bon thriller.

Sandrine M.

Comment un couple de gardiens d’immeuble peut-il se retrouver à la tête d’une fortune colossale et devenir maître dans les affaires ? Ce livre montre tous les rouages du monde des affaires, la construction psychologique d’une femme d’affaires sans scrupule, peu ordinaire. C’est parfois un peu gros mais tellement possible en même temps… J’ai beaucoup aimé cette construction du livre, ce côté noir de la nature humaine. Les personnages sont sans scrupule. Il nous est révélé le côté vraiment noir des humains. J’ai beaucoup apprécié ce thème, et ce jusqu’à la fin qui n’est pas celle à laquelle on peut s’attendre. J’aime beaucoup Karine Giebel et Maxime Chatam pour leur manière de dépeindre l’être humain. Pour moi, vous êtes au même registre. Merci pour ce livre.

Agnès P.

Le destin étonnant de deux auvergnats, Juliette et Louis, qui se rencontrent lors d’un bal, s’aiment et ne se quittent plus. Leur parcours d’Auvergne à Paris où ils vont devenir concierges de l’immeuble de la richissime Jeanne Binet-Morency, puis comment ils vont s’approprier sa fortune, la faire fructifier et réussir quoiqu’il advienne à protéger leurs acquis et secrets inavouables jusqu’à atteindre les plus hauts sommets de l’état. Histoire très originale! Intrigue bien construite, bien menée, bien documentée; C’est étonnant comme on se sent partagé, en tant que lecteur, entre la fascination pour le destin de ces deux crapules finalement, le talent et le flair incroyables de Juliette surtout, son opportunisme et le côté totalement immoral de leur réussite. L’écriture est fluide, les faits et lieux bien décrits; on se laisse entraîner sans problème dans l’épopée des Berger, souhaitant simultanément leur réussite et qu’ils soient arrêtés pour leurs méfaits. Description méticuleuse du fonctionnement du vignoble bordelais, des rouages de la récolte à la vente, très intéressante. Très belle épopée totalement immorale mais que l’on ne quitte pas! Bien écrit, récit clair, bien mené et maîtrisé… L’auteur présente chacun des protagonistes de cette histoire, aux rôles plus ou moins importants avec beaucoup de détails, de profondeur. On s’attache presque malgré nous à Juliette et Louis malgré leurs actes malveillants et odieux. Thème original : La narration traverse les décennies et décrit de nombreux milieux très divers avec précision. Les deux personnages principaux sont des simples gens au départ, en quelque sorte des antis héros qui deviennent des notables. J’aime être surprise par une histoire, qu’elle sorte des sentiers battus et ce fût sans conteste le cas avec ce manuscrit. Ce livre ferait un très bon téléfilm c’est certain !

Yacine K.

Juliette, 27ans, agrégé d’histoire, a connu Louis Berger, fermier, lors d’un bal à Vic, près d’Aurillac. Ils se marient et vont vivre à Paris, comme concierges dans un immeuble du 16e arrondissement, immeuble détenu par Jeanne Binet-Morency, une vieille et riche propriétaire. Au décès de cette dernière, ils s’arrangent par une savante combinaison macabre, pour devenir les héritiers de cette dernière. Leur ascension dans l’échelle sociale est alors fulgurante. On reste admiratifs devant ce couple de provinciaux, parti de presque rien, et qui réussit par d’habiles démarches peu scrupuleuses, et en laissant derrière lui quelques cadavres, à acquérir une fortune considérable. Juliette deviendra même ministre. Cela se résume au passage suivant : Comment de vulgaires provinciaux (Louis et Juliette), descendus de leur montagne, ont-ils pu devenir riches en empochant l’héritage de la vieille dame du premier de l’immeuble situé dans le 16e arrondissement de Paris ? Et de développer ensuite leur fortune colossale, grâce au “génie” de Juliette et à son opportunisme. Les personnages sont multiples et participent de façon décisive à rendre l’atmosphère du roman pleine d’interrogations, d’aléas et de renversements inattendus. Chaque fois, le couple est sur le point d’être démasqué, mais l’intervention d’imprévus lui permet de rester indemne. Et de s’en sortir, malgré les efforts de journalistes pour découvrir “le pot aux roses”.

Anne H.

Dans les années 50, un couple se forme lors d’une fête au village; rejeté par la famille, il s’installe à Paris dans une loge de concierge; elle, continue d’exercer son métier de prof agrégé d’histoire et dans son temps libre, aide une vieille femme, riche propriétaire majoritaire des logements de la résidence, à gérer ses biens, ses comptes…et commence à détourner de l’argent; la vieille dame décède et le couple ne pouvant plus se passer de ces revenus complémentaires, part dans une histoire infernale; je n’en dis pas plus… J’ai lu l’histoire jusqu’au bout, je voulais savoir comment tout cela allait finir; donc il y a tout de même pas mal de suspense; L’histoire est bien documentée sur les manipulations de capitaux d’entreprises. Le livre se laisse lire pour l’engrenage dans lequel on se laisse mener quand même facilement; l’histoire est bien trouvée et intéressante. Les personnages sont intéressants dans toute leur noirceur; en fin de compte on se dit que ce genre de choses pourrait se produire…ou est déjà arrivé…

Caractéristiques du livre

Type : roman thriller

Date de parution : 24-10-2013

Auteur : Henri Weigel

ISBN: 978-2-312-01413-5

Format : 150×230 mm

Nombre de pages : 320 pages

Série / Collection : Les Editions du Net

Le livre est en vente sur les sites : fnac.fr, amazon.fr, laprocure.com, chapitre.com, decitre.fr, cultura.com, alivreouvert.be, furet.com, myboox.fr. ainsi que sur le site des Editions du Net et dans toute bonne librairie.

La page du livre aux Éditions du Net.

A propos de l’auteur

Henri Weigel  est installé à Besançon (25). Il a 20 ans lorsqu’il écrit son premier roman, jamais publié par manque de temps. Chef d’entreprises, sa carrière l’a absorbée. Il n’a cependant jamais perdu le goût de l’échenri-weigelriture et souvent, ses collègues et interlocuteurs faisaient ressortir la qualité de ses écrits.

A la retraite, Henri Weigel profite de son temps libre pour reprendre cette passion.

Il a commencé à écrire de petits recueils d’énigmes. Puis il est devenu un auteur de romans comme Le côté sombre de la loge, une trilogie policière : Les vérités soustraites, et un thriller : L’ombre de mon ennemi.

Le temps passant, les critiques s’intéressent de plus en plus aux publications d’Henri Weigel. Citons notamment des chroniques sur France Bleu, Radio Massabielle, Tribu Move Magazine, Besançon Votre Ville, IDFM, Eve Mag, …

Le site d’Henri Weigel : 100 énigmes.

Contact presse

Contactez Henri Weigel, l’auteur du livre.

Téléphone : 0681243060

Email : henri.weigel@orange.fr

Amazon : Déjà coupable de censure, à présent accusé de mettre nos enfants en danger

Après parution dans la presse, Amazon a finalement admis être fautif d’avoir censuré l’auteur américain Roman Payne pour son nouveau roman, « The Wanderess ». La version numérique Kindle de son roman a été bannie puis retirée du moteur de recherche général d’Amazon en mars en raison d’une couverture contenant une apparente nudité. Le plus surprenant, c’est que la version brochée de ce même livre se trouve actuellement aujourd’hui N°1 des ventes dans une catégorie « Fictions pour Enfants » sur la plateforme française du géant américain, Amazon.fr.

Roman Payne, résidant en France depuis 1999, est non seulement outragé par la gravité de l’inadéquation de classification de son roman, mais se sent aussi particulièrement concerné par les dommages qui pourraient être causés par cette société américaine sur le peuple français, ses compatriotes de cœur. En conséquence, il attaque et introduit à présent une procédure juridique à l’encontre d’Amazon pour « Mise en danger de l’enfance », car son livre, revendique-t-il, n’est pas adapté à un public d’enfants et de jeunes adolescents. Ce dernier dépeint en effet de multiples scènes où se mêlent drogues et alcool, relate brièvement, mais très picturalement, des passages d’ordre sexuel tel un inceste et une tentative de viol sur mineur, ce qui au sens de Roman Payne « pourrait être un dommage considérable au développement sexuel d’un enfant ».

Que s’est-il passé ? Pourquoi Amazon a d’abord censuré l’œuvre de Roman Payne en le mettant dans la catégorie “Erotique” pour finalement la classer dans la catégorie “Enfant”…? La plus grande librairie du monde est-elle finalement apte à classifier par elle-même les livres commercialisés sur ses sites ? C’est pour cette raison que Roman Payne engage une « Class Action » afin de les priver de ce droit et le rendre à ses véritables propriétaires, les auteurs.

The Wanderess : les origines de la censure

Novembre 2013 : Pour la publication de ce qu’il qualifie de son “premier chef d’œuvre”, Roman Payne et son éditeur, Aesthete Press, décident de proposer “The Wanderess” sur Amazon dans la catégorie “Fiction littéraire”. Mais ce ne fut que de courte durée. En effet, Amazon transfère très rapidement le livre dans la catégorie “Erotique” ; selon la librairie à cause de la “maturité” de la couverture du roman.

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L’auteur et son éditeur n’en reviennent pas, Roman déclare :

En France, la nudité est montrée au quotidien, des seins dévoilés, des fesses sont affichées dans les vitrines des pharmacies et des parfumeries. Et ce sont des images bien réelles ! En ce qui me concerne, pour créer la couverture de mon livre, j’ai utilisé comme modèle une statue de marbre de femme nue, pour la transformer ensuite avec Photoshop en une couverture extrêmement convaincante. Celle-ci ne montre aucune nudité agressive, explicite ou frontale.

De plus, en dehors de la couverture, l’œuvre en elle-même ne contient aucun contenu érotique. En effet, c’est une œuvre littéraire et poétique relatant l’histoire d’amour de « deux âmes perdues » qui vagabondent à travers l’Europe à la recherche entre autres d’une « mystérieuse fortune ».

Roman continue :

La décision d’Amazon, non seulement m’a surpris, mais m’a complètement sidéré !

L’auteur répond donc à Amazon, expliquant son incompréhension en présentant ses arguments. Mais la librairie en ligne ne veut entendre mot, celle-ci répond dès le lendemain :

L’image de couverture de votre livre contient un contenu “mature”, et ne pourra donc pas apparaître dans notre moteur de recherche ” général. ”

Amazon décide finalement de bannir The Wanderess de son site de vente en ligne, de toutes catégories.

Alors on se demande si Amazon s’intéresse vraiment aux livres qu’il reçoit et aux auteurs concernés ?…

De l’érotisme à l’enfance…

Roman Payne parle de sa mésaventure aux médias et crée un buzz.

En conséquence, Amazon revoit sa décision, présente ses excuses à l’auteur et lui offre même “en compensation” cinq jours de promotion gratuite sur leur site s’il décidait de rééditer la version Kindle (livre numérique) du roman dans la catégorie “Fiction Littéraire”. Une offre perçue comme de la corruption de la part de l’auteur.

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La plus grande librairie du monde avoue :

Nous reconnaissons avoir injustement censuré un livre qui ne contenait aucun contenu adulte excessif.

Mais quelques jours plus tard, Roman Payne découvre que son oeuvre est numéro 1 des ventes sur Amazon dans la catégorie…”Enfants” !

Roman s’interroge :

Comment Amazon peut proposer un livre à des enfants alors que celui-ci se trouvait quelques jours plus tôt dans la catégorie “Erotique” ?

Même si The Wanderess n’est pas un livre à caractère érotique, il ne s’adresse pas à un lectorat jeune. En effet, dans son livre, Roman Payne raconte de nombreuses scènes d’alcoolisation ainsi que l’usage de stupéfiants. Il retrace aussi brièvement mais de manière très picturale des scènes de crimes comme un inceste, un infanticide et la tentative de viol d’une mineure.

Il confie :

Mon livre serait nuisible à l’équilibre d’enfants et de jeunes adolescents, et je pense que les parents en sont conscients. Il pourrait inciter leurs enfants à consommer des drogues, et par-dessus tout, pourrait avoir une influence néfaste sur leur développement sexuel.

Roman Payne, un auteur engagé

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Né à Seattle, Roman Payne arrive en France en 1999 et s’installe à Paris. Avant de trouver le succès en tant que romancier, il a d’abord travaillé en tant que graphiste.

Roman Payne publie aujourd’hui The Wanderess, son cinquième livre ou son “premier chef d’oeuvre”  comme il aime le dire. En lutte contre Amazon, la plus grande librairie du monde, l’auteur ne se bat pas pour lui, mais pour la culture et tous ses acteurs (actifs et passifs) : auteurs, maisons d’édition, lecteurs etc. Il débute une procédure visant à retirer à Amazon son droit de classifier en interne les livres commercialisés sur leurs sites.

Ainsi, Roman Payne affirme :

« Les auteurs retrouveront leur liberté artistique, et la société bénéficiera d’un regard sur ce qui serait susceptible ou non de corrompre sa jeunesse. Aujourd’hui Amazon pervertit l’Art, la Culture et la Société. »

En savoir plus

Forum de discussion : http://culturalbook.com/forum/topics/amazon

Contact presse

Roman Payne

Email : roman@romanpayne.com

Téléphone : 06 51 10 72 02

 

“Le jeu de Marienbad”, miroir littéraire du film d’Alain Resnais

Passionné de littérature, et vouant un intérêt particulier aux scénarii d’Alain Resnais, Pascal-Henri Poiget publie “Le jeu de Marienbad”. Egalement inspiré par le style d’écriture déstructuré du “nouveau roman” d’Alain Robbe-Grillet, l’auteur revisite l’oeuvre cinématographique d’Alain Resnais en la métamorphosant en oeuvre littéraire.

2 hommes, 1 style

Pascal-Henri Poiget choisit de revisiter le film d’Alain Resnais, “L’année dernière à Marienbad” réalisé en 1961, et d’y glisser sa plume d’écrivain. Pour n’exclure aucun lectorat et aider les personnes qui n’auraient pas vu le film, des extraits de ce dernier sont présents tout au long de son roman-nouvelles, écrits en bleu. L’auteur apporte ainsi des images en “patchwork” à son livre.

“L’année dernière à Marienbad” est un film composé d’énigmes. C’est aussi ce qui caractérise l’oeuvre de Pascal-Henri Poiget. D’abord incompréhensibles, puis qui se dénouent petit à petit, les deux œuvres proposent autre chose que du “déjà vu”. Ce qui explique cet aspect déroutant est l’omniprésence du jeu.

La vie est un long jeu tranquille

Le jeu de Marienbad (à l’origine le jeu de Nim) est un jeu de stratégie, un peu comme le jeu d’échecs ou le jeu de dames. L’objectif est de trouver la bonne stratégie et de faire perdre l’adversaire. Si on connaît l’astuce du jeu, on gagne à tous les coups. Dans son film, Alain Resnais utilise ce jeu comme fil conducteur, pour faire vivre ses personnages, pour construire ses énigmes, pour mener ses actions etc…

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Pascal-Henri Poiget reprend cette idée de structuration/déstructuration mais dans le style littéraire. En effet, au fil des pages, il offre au lecteur des clefs, qui l’aident à s’orienter, à comprendre, à imaginer et à se repérer dans cet univers spatio-temporel. Il est important que l’imagination du lecteur ne soit pas bridée.

L’auteur confie :

L’idée est de reprendre le principe du “jeu” qu’Alain Resnais développe dans son film tout en amenant ma plume de littéraire.

L’amour… est-ce un jeu ?

Le jeu de Marienbad illustre surtout l’histoire d’amour présente, à la fois dans l’oeuvre cinématographique d’Alain Resnais, et dans le roman-nouvelles de Pascal-Henri Poiget. Effectivement, deux personnes se rencontrent et semblent avoir vécu une aventure l’année précédente. C’est, en tout cas, ce que l’homme va tenter d’expliquer à la femme…

Alors : vérité ? Mensonge ? Ou simple jeu ?

C’est ce que Pascal-Henri Poiget raconte, avec beaucoup de rebondissements et de moments inattendus, dans son oeuvre littéraire. La fin du roman-nouvelles ne nous donne pas clairement la réponse, l’auteur a préféré laisser la liberté au lecteur de décider s’il souhaite une “happy end” ou non.

Un auteur atypique, une oeuvre atypique

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Après un double diplôme de Lettres Classiques et d’Etudes appliquées de Civilisations, Pascal-Henri Poiget poursuit ses études en troisième cycle par des recherches en littérature et civilisation française. Il s’est pourtant ensuite réorienté vers une carrière exclusivement axée sur les chiffres et les Ressources Humaines.

Épris de musique et de littérature, en parallèle de sa vie professionnelle, Pascal-Henri Poiget se remet à l’écriture et rédige trois ouvrages de management. “Le jeu de Marienbad” est son premier roman, publié avec l’accord des Editions de Minuit.

Un roman-nouvelles

Pour sa première oeuvre littéraire, l’auteur a choisi le format roman-nouvelles. En effet, il peut se lire de 2 manières différentes :

- Par nouvelles, séparément

- Sous forme de roman, dans sa globalité

Que ce soit l’un ou l’autre, la facilité de lecture ne diffère pas.

Entre revisite et modernité

Alain Resnais avait cette volonté de toujours écrire des films en leur apportant une aura hors du commun, qui sortent les spectateurs des sentiers battus. Pour son oeuvre littéraire, Pascal-Henri Poiget a également vu différemment : il l’a publiée en ebook.

Que les lecteurs férus de papier se rassurent, cela ne change en rien la lecture de ce roman-nouvelles, qui se dévore littéralement !

Vous trouverez donc “Le jeu de Marienbad” en disponibilité sur la plateforme Alterpublishing.

En savoir plus

Ebook disponible sur la plateforme Alterpublishing

Publié avec l’accord des Editions de Minuit

Sites web : www.lejeudemarienbad.com / www.lejeudemarienbad.fr

Contact presse

Pascal-Henri Poiget

Email : pascal.poiget@alterpublishing.com

Téléphone : 0670019079

 

 

 

Les Costello, une série mordante signée Laurent Bettoni

Des vampires affreux, sales et méchants !

Le 15 avril 2013, les éditions La Bourdonnaye publient le 1er épisode de la saison 1 d’une série littéraire novatrice : Les Costello, une série mordanteLa saga est conçue comme une série TV, avec des épisodes calibrés pour un temps de lecture de 20 minutes chacun.

Dans ce cocktail explosif de Tarantino, Audiard et San-Antonio, Laurent Bettoni joue avec les codes des grandioses Soprano, Shameless et True Blood. Pour donner un maximum de dynamisme et de tension à la série, il écrit en temps réel et livre un nouvel épisode le 15 de chaque mois. Un véritable rendez-vous avec les lecteurs, une date incontournable que tous attendront avec impatience !

Dans le genre sang pour sang décalé, le cinéma a Le Bal des vampires, la littérature a Les Costello.

Les Costello : une famille très… spéciale !

Vaguement crapuleux, vaguement miteux….vaguement vampires, les Costello n’appartiennent plus depuis des lustres à la caste supérieure de leur espèce. Ni élégants ni raffinés, vivant d’arnaques minables et de bricole, ces voleurs de poules se battent pour récupérer leur grandeur et leur fortune, perdues au cours des siècles. Mais leurs tentatives, toujours approximatives, prêtent à rire, à pleurer et souvent à réfléchir sur la condition (in)humaine.

« Ce garçon est impulsif, soupira Dante.

— Il est con comme une valise, rectifia Augusta.

— Vous parlez de mon frère ! s’emporta Anna.

— Oui, c’est le mot “con” qui t’as mise sur la voie ? »

Une série littéraire conçue comme une série TV

Les Costello, une série mordante, c’est comme une série télé : il y a plusieurs saisons d’une douzaine d’épisodes chacune,  et le format de chaque épisode est calibré pour un temps moyen de lecture de 20 minutes

Tous les 15 du mois, un nouvel épisode est proposé aux lecteurs.

Un rythme de publication soutenu et addictif, qui n’est pas sans évoquer celui des feuilletonistes des XIXe et XXe siècles tels que Balzac, Eugène Sue, Alexandre Dumas….

Le premier épisode de chaque saison est gratuit au téléchargement, et les suivants sont disponibles au prix de 0,99€.

A la fin de chaque saison, l’intégrale sera disponible aux formats numérique et papier.

Laurent Bettoni, l’auteur des Costello

Souvent empreints de références de la pop culture, les récits de Laurent Bettoni évoquent la fragilité des êtres et explorent l’âme humaine jusque dans ses recoins les plus sombres, où il aime à penser qu’une part de lumière, aussi faible soit-­elle, scintille encore. Son regard n’exclut donc pas pour autant l’humour ni la bienveillance.

Laurent Bettoni est également auteur sociétaire de la Sacem, ainsi que chroniqueur pour Service littéraire et La Cause littéraire. Parmi ses ouvrages déjà parus, Ma place au paradis (roman) a été publié aux éditions Robert Laffont (version brochée). Certains de ses textes ont également été mis en musique et diffusés sur France Musique (Le Bois mortLéo et l’araignéeLéo et le monstre sans visage).

À paraître : Arthus Bayard et les Maîtres du temps, roman, Don Quichotte éditions, 2013

Les éditions La Bourdonnaye

Spécialisées dans les livres numériques à prix attractifs, les éditions La Bourdonnaye disposent d’un catalogue de plus de 50 ouvrages dans des domaines très variés : intelligence économique, philosophie, érotisme, romans….

Contact presse

M. Benoit de la Bourdonnaye

Tel : 06 21 91 13 53

E-mail : contact@labourdonnaye.com

Web : http://www.labourdonnaye.com

Bit-lit : Découvrez “Les liaisons dangereuses”, la nouvelle collection de Frédérique de Keyser

Passions, surnaturel, érotisme, vampires….

Les avis des lecteurs  qui ont découvert la nouvelle collection “Les liaisons dangereuses” de la talentueuse Frédérique de Keyser sont dithyrambiques :

“C’est le 3° livre que j’enchaine (après les 2 Luxuria) tant la plume de l’auteure me captive,  je suis totalement conquise par son style et ses intrigues” 

“L’écriture n’est magnifique, elle est magique, les personnages sont vrais, attachants”

“J’ai découvert l’auteur Frédérique de Keyser vraiment par hasard, et j’ai eu un vrai coup de cœur pour ce livre que j’ai trouvé excellent,  j’ai adoré l’histoire, l’intrigue et les situations dramatiques”

 

Liaisons Dangereuses : un catalogue de 7 titres au format numérique et papier

Cliquez-ici pour découvrir le dossier de presse : https://www.relations-publiques.pro/wp-content/uploads/pros/dossierdepresse-234.pdf

Inaugurée le 21 mars 2013, la collection “Liaisons Dangereuses”, disponible aux Editions La Bourdonnaye, est dirigée par Frédérique de Keyser.

Cet univers où les passions amoureuses tourmentées côtoient le surnaturel (les vampires, les loup-garous…) l’ésotérisme et l’érotisme, enveloppe le lecteur pour mieux le bousculer et le surprendre.

7 titres sont déjà disponibles (format numérique et format papier) :

  • La saga Siana, vampire alchimique  : Feu secret (Tome 1),  Entre deux feux (Tome 2), Feux croisés (Tome 3), Feu sacré (Tome 4)
  • La saga Luxuria :  Luxuria (Tome 1), Khaos (Tome 2)
  • Rayon de Lune

Frédérique de Keyser : une auteure à la plume enchanteresse

Frédérique de Keyser est née à Paris en 1968.  Le déclic vers l’écriture se produit lorsque les évènements de la vie (un signe du destin ?) lui font traverser une période d’inactivité.

Passionnée d’ésotérisme et de spiritualité, elle donne vie à des créatures fantasmagoriques qui s’éloignent des sentiers battus et de l’imaginaire habituellement associés au monde de la fantasy urbaine.

Son écriture fluide, nourrie de l’amour de l’auteure pour la langue française, donne à ses romans un style inimitable.

Autant de qualités qui ont décidé les éditions La Bourdonnaye à lui confier la collection “Liaisons Dangereuses”.  Spécialisé dans la publication de livres numériques à des tarifs très attractifs (les romans de Frédérique de Keyser sont disponibles à 4,99 € en format Kindle), cet éditeur propose un catalogue riche d’une cinquantaine d’ouvrages dans des domaines variés (actualité, philosophie, nouvelles…).

Contact Presse

Benoit de la Bourdonnaye

Tel : 06 21 91 13 53

E-mail : direction@labourdonnaye.com