Sortie livre : “Les mésaventures de SuperCoquillette ” de Sandrine Corre

Avec le contexte actuel, un peu de légèreté, d’humour et de confiance en soi sont les bienvenus!

Mais qui est SuperCoquillette ? Une coquillette est une sorte de nouille… Donc SuperCoquillette est une Super Nouille !

Tous ceux/celles qui se sont déjà senties gauches, gaffeurs.ses, ou qui ont eu le sentiment d’un acharnement du sort, se reconnaîtront dans les mésaventures de SuperCoquillette.

Car les bourdes, c’est son quotidien !

“Les mésaventures de SuperCoquillette”, publié aux Editions Présence, est un livre décomplexant par excellence. Sandrine Corre, l’auteure, partage avec beaucoup d’humour et de sincérité tous ces moments qui sont d’habitude de grands moments de solitude.

Elle l’affirme d’ailleurs haut et fort : “Nous avons tous un paquet de nouilles au fond du placard.”

Couv SuperCoquillette

La vie de tous les jours peut être follement drôle !

Et si on dédramatisait l’existence, nos maladresses et tous les petits aléas de la vie ?

“Les mésaventures de SuperCoquillette” est un recueil de petites nouvelles qui invite à prendre un peu de recul, à sourire, et à réaliser que nous sommes tous des gaffeurs en puissance.

En riant de nos propres travers, nous apprenons aussi à avoir confiance en nous, quoi qu’il arrive.

L’idée de ce livre est née il y a quelques années, quand Sandrine travaillait dans une usine. Une collègue de Sandrine était surnommée “Coquillette” par un de ses amis. L’explication de ce surnom ? Elle explique à Sandrine qu’une coquillette est une sorte de nouille… et qu’elle-même faisait pas mal de gaffes !

Sandrine confie :

Un jour, cette amie a vu “mes” gaffes et elle s’est exclamée : “Toi t’es pas une coquillette, tu es SuperCoquillette !!!” Comme cela faisait bien rire, je me suis dit : “si tout cela arrive, autant que ce soit utile !”

Elle envisage d’en faire une BD, trouve une illustratrice, et commence à écrire les histoires.

Puis, comme entre temps Sandrine est devenue écrivaine, la BD a été mise en pause. En 2019, Sandrine a décidé de reprendre ce projet pour en faire un recueil savoureux.

Avec un petit plus : un espacement des lettres spécialement conçu pour simplifier la lecture.

Sommaire

  • Introduction
  • SuperCoquillette et le niveau d’huile
  • SuperCoquillette aux toilettes
  • Comment rater sa crème chantilly (par SuperCoquillette)
  • Maman SuperCoquillette
  • SuperCoquillette et la pergola
  • SuperCoquillette et le démaquillant
  • SuperCoquillette cuisine Version 1.0
  • SuperCoquillette boit du thé
  • SuperCoquillette et le récupérateur d’eau
  • SuperCoquillette et la serviette périodique
  • SuperCoquillette et la théière
  • SuperCoquillette cuisine Version 2.0
  • SuperCoquillette à l’usine
  • SuperCoquillette et les clés de voiture
  • SuperCoquillette fait du footing

Un extrait du livre

” J’ai trouvé une super technique pour ne pas mettre trop d’huile dans la poêle avant de faire cuire des aliments. Avant, soit j’en mettais trop, soit je passais une heure à bien la faire couler : en penchant la poêle d’un côté, puis de l’autre puis encore de l’autre… Mais il y avait toujours des « trous » sans huile !

Maintenant, je prends mon pinceau pour la cuisine, et je badigeonne le fond de ma poêle ! Magique, en un instant c’est tout bien étalé partout, et sans excès ! (Oui, je pourrais aussi acheter une poêle à revêtement anti-adhésif, sans ajout de matière grasse…).

J’utilise cette technique depuis quelque temps déjà. Mais un jour, mon pinceau s’est mis à avoir un comportement bizarre. C’est comme si ses poils s’étaient mis à danser ! (Les poils dansaient dans la poêle…) Plus je passais le pinceau, plus les poils se tortillaient… Le temps que je comprenne ce qui se passait, mon pauvre pinceau avait bien souffert !
En fait, j’avais commencé à faire chauffer la poêle. Mon cher pinceau avait des poils en plastique…

Eh oui, c’est vrai… le plastique ça fond ! (Je dirais même que ça se rétracte !)

(Il faut que j’arrête de faire des expériences avec le plastique…)”

Sandrine Corre, c’est aussi de la littérature jeunesse

Couverture

L’histoire émouvante d’un chat qui a perdu la mémoire et qui se retrouve seul face à son destin et son rêve : devenir un lion. Sur le chemin du respect, sa quête le conduira à être plus à l’écoute des autres et à croire en ses rêves.

Ce livre est destiné aux 3 ans et +. Il est adapté aux enfants dyslexiques.

À propos de Sandrine Corre, l’auteure

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Sandrine Corre est titulaire d’un diplôme dans la restauration et dans la photographie.

Longtemps, elle ne trouve pas sa place et cherche sa voie en exerçant des métiers différents.

Elle qui aime écrire depuis l’enfance a le déclic lorsque, maman de deux enfants, la vie la force à arrêter de travailler. Elle reprend la plume, et réalise qu’elle peut devenir écrivaine.

Sandrine confie :

Cette vocation s’est imposée à moi comme une évidence ! J’ai eu envie d’aider de nombreuses personnes en délivrant des messages inspirants à travers mes livres.

Elle publie alors un premier livre jeunesse, une histoire à l’origine écrite pour les enfants, mais également adapté aux dyslexiques : “Le chat qui voulait devenir lion”. Puis, parce qu’elle veut continuer sur sa lancée et vivre de ce métier, elle fonde sa propre maison d’édition : les Editions Présence.

Avec un objectif ambitieux à moyen terme : être au service des auteurs et non l’inverse, comme on peut le voir trop souvent dans ce métier.

Elle écrit et publie ensuite “Les Mésaventures de SuperCoquillette”. Le Tome 2 de ces savoureuses histoires vécues est en préparation.

Informations pratiques

“Les Mésaventures de SuperCoquillette” de Sandrine Corre

  • Editions Présence
  • 64 pages
  • 12 €

Pour en savoir plus

Site web : https://sandrinecorre.com/

Facebook : https://fr-fr.facebook.com/sandrinecorreauteur/

Sortie livre : “Un autre regard, les mémoires d’une medium” de Dorothée Lancelot, une autobiographie sincère et sans langue de bois qui dévoile l’univers de la mediumnité

Dorothée Lancelot fait partie des 10 meilleurs médiums de France depuis plus de 15 ans. Elle est consultée par de nombreux artistes, personnalités du milieu politique, people, animateurs TV, acteurs… qui, au-delà des prédictions, cherchent aussi à se retrouver face à eux-mêmes.

Auteure à succès, elle livre pour la première fois le voile sur son vécu, sur la réalité de la vie de medium loin des clichés et des idées reçues .

“Un autre regard, les mémoires d’une medium” est un livre poignant, sincère et sans artifices, dans lequel Dorothée ose aussi évoquer les difficultés qu’elle a eu à surmonter : des parents alcooliques, un enfant handicapé, un ex-mari drogué au shit….

La médiumnité s’est alors imposée comme un art salvateur et un “chemin d’épines” qui lui a permis de voir la lumière dans le plus noir des tunnels.

Ce livre, très attendu par le public, rencontre déjà un vif succès : plus d’une centaine d’exemplaires ont été achetés moins de 2 heures après son lancement.

Il est préfacé par le medium et clairvoyant français Ethan Maure.

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La vie d’une médium, vue de l’intérieur

“Vous allez découvrir qui je suis réellement, comment je fonctionne, pourquoi j’en suis là et pourquoi j’ai voulu quitter le confort d’un boulot dit « normal » pour une voie dite spirituelle…

Étant éprise de liberté, ayant ma foi et mes convictions, j’explique lors de diverses conférences aux quatre coins de la France ce qu’est une délivrance quand on a compris et acquis la résilience.

La médiumnité a toujours été en moi, même si évidemment, jeune enfant, je ne savais pas ce que cela voulait dire, mais mon comportement, mon vocabulaire « adulte », mes ressentis et mes visions sur le passé et l’avenir, puis le fait de voir « les autres » de l’autre côté, avec cette facilité.

Les souvenirs, anecdotes et secrets, car je voulais vous montrer ce que c’est vraiment d’être comme moi, amour, bienveillante et empathique.

Et vous montrer qu’on n’a pas toujours des situations faciles à gérer, mais on le fait car rien n’est hasard.

Ce livre, je l’ai voulu vrai et sincère tant dans les explications, les mots et les émotions diverses.

Ce livre est vrai, dans la vérité, sans filtre aucun.

Il y a une chose que j’ai comprise : peu importe qui tu as été, ce qui compte, c’est qui tu cherches à être.”

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Sommaire

  • Les maux dans la peau !
  • Douleur et souffrance, le binôme nécessaire pour ma survie
  • L’enfant que j’étais
  • Mon enfance
  • Témoignages de personnes qui m’ont connu jeune enfant, adolescente, jeune adulte
  • La jeune adulte (ma vie d’avant)
  • Transition/Transformation
  • Ma nouvelle vie
  • Mes débuts de médium
  • Ma vie de médium
  • Médiumnité, cadeau ou fardeau ?
  • Flash-back d’une vie déjà bien remplie
  • Impact
  • Deuil ! Mon aide vous apporte un autre regard sur votre souffrance
  • Quand une étape de ta vie se termine
  • Ma vision de la vie, la place de l’humain dans tout ça
  • J’ai peur de vieillir
  • Pose-toi et dit toi que ce combat tu l’auras, il ne te mettra pas à terre
  • Le mot de la fin

Extrait

“La douleur est un mélange savant d’ego et d’orgueil, on en a tous besoin pour exister et/ou faire exister l’autre, mais quand l’autre part de son plein gré ou par la fatalité de la vie, il faut l’accepter.

La souffrance disparaîtra, la douleur s’estompera, il restera toujours une trace, comme une veine noire créée dans mon cœur, mais n’oublie pas que celui-ci est aussi cerné par de nombreuses veines rouges d’amour.

La douleur et la souffrance, ce binôme détonnant et inséparable ne doit pas être aigreur et amertume, ce sont aussi des moteurs d’avancement, d’acceptation, de lâcher-prise, de création d’un nouveau soi pour s’offrir l’opportunité de nouveaux chemins.

Comment faire la différence entre le bien et le mal sans avoir connu la souffrance ? Comment se créer un quotient émotionnel si on ne traverse une guerre de douleurs ? Comment connaître l’empathie ? Être l’égal de tout être vivant ? Sans avoir connu l’explosion en soi ou dans sa vie !

Même si chaque être est unique, la douleur et la souffrance sont universelles tout comme l’amour.
Donc, partagez mes peines, mes douleurs et souffrances, cela m’aidera à grandir, à me guérir, aider, m’ouvrir ou m’offrir à une personne qui traverse la même chose que moi.
La douleur et la souffrance se mettront en sommeil mais sauront se réveiller quand elles sentiront une potentielle chose/personne néfaste, toxique, arriver ; comme une alerte pour ne pas revivre l’inacceptable, l’invivable.

J’ai et je garde foi en la vie, je l’écoute surtout !”

A propos de Dorothée Lancelot

Dorothée Lancelot vous parle d’elle, de ce qu’elle est, de ce qu’elle fait, de ses capacités de voir, d’entendre et de parler avec les défunts.

Mais pour mieux la comprendre, vous devez découvrir ce qu’il y a de l’autre côté…

Elle vous ouvre son château mental, ce monde, cet endroit qu’elle a dû se créer pour au départ se protéger de parents défaillants puis pour enfin accueillir ces personnes décédées qui lui rendaient visite.

La vie ne l’a pas épargné, des parents alcooliques, un ex mari drogué , un enfant handicapé…

Quand elle a compris que les mémoires des défunts que ces âmes lui tendaient la main, qu’ils étaient là pour l’aider, tout c’est aligné… tout à changé, une nouvelle naissance, une nouvelle vie.

Pour commencer il faudrait déjà comprendre le début de sa vie , une autobiographie vraie, sans filtre, sincère, touchante, impactante, bousculant, émouvant, renversant.

La médiumnité c’est plus que de parler aux morts, c’est une façon d’être dans la vie, ce qu’on donne aux autres.

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Dorothée Lancelot est medium et hypnothérapeute. A 40 ans, elle a déjà plus de 15 ans de métier et est bardée de diplômes.

Ses compétences à voir et à communiquer avec les défunts sont largement relayées dans les médias (articles de presse, émissions de radio). Les particuliers la suivent aussi avec une grande fidélité : les conférences qu’elle anime ou auxquelles elle participe font salle comble.

La justesse de ses analyses et de ses prédictions est d’ailleurs très appréciée par les  “people” au sens large : artistes, personnalités politiques, animateurs TV, acteurs…

“Un autre regard, les mémoires d’une medium” est son quatrième livre. Auparavant, elle a publié avec succès : “Love & SeXe – Amour, bordel de vie”, “Chroniques d’une médium pas comme les autres” et “Poévie, Recueil de Poésie parlant, aimant la vie”.

Informations pratiques

“Un autre regard, les mémoires d’une medium”  de Dorothée Lancelot

  • Nombre de pages : 156
  • Format : 13 x 18 cm
  • Date de publication : 06/11/2020
  • ISBN : 979-10-359-3285-5
  • Prix : 12 €

Pour en savoir plus

Lire un extrait et commander le livre : https://www.bookelis.com/esoterisme/43886-Un-autre-regard-les-memoires-d-une-medium.html

Facebook : https://www.facebook.com/DorotheeMedium.fr/

Instagram : https://www.instagram.com/dorotheelancelot/

Sortie livre jeunesse : “Je ne parlerai plus” de l’auteur camerounais Kouam Tawa et de l’illustrateur castelroussin Philippe Reich

“« Je ne parlerai plus ! » a été la dernière parole de ma sœur. J’ai cru qu’elle blaguait et je l’ai chatouillée. Elle n’a pas ri. Et je l’ai griffée. Elle n’a pas pleuré. J’ai même fait semblant de renverser son pot de fleurs. Elle n’a pas crié « A-aa-aaa-hhh !!! » comme d’habitude…”

Alors que l’année 2020 a été décrétée par le président de la République Emmanuel Macron, “année de l’Afrique en France”, à travers notamment le programme Africa 2020 (source), Je ne parlerai plus va être publié simultanément en France et au Cameroun.

Ce livre jeunesse (à partir de 5 ans) est en effet le fruit de la collaboration entre l’auteur camerounais Kouam Tawa et l’illustrateur castelroussin Philippe Reich. À paraître chez Mazeto Square le 21 septembre prochain, il raconte l’histoire d’une petite fille qui a décidé un beau jour de ne plus parler. Le narrateur, qui est le frère, se voit alors questionné par tout l’entourage, afin qu’il révèle “quelle misère” a-t-il pu bien faire à sa sœur pour qu’elle prenne cette incroyable résolution…

Si sa décision peut paraître au départ insignifiante, son maintien dans le silence fait monter une tension dramatique qui donne d’autant plus de force à l’enjeu réel qui oppose puis unit le frère et la sœur… Car ce livre, tout en délicatesse et en poésie, sensibilise les enfants à un sujet fondamental : la nécessaire égalité entre les hommes et les femmes.

Une histoire née au cœur de l’Afrique

D’où est venue l’idée de ce récit ? Pour l’auteur Kouam Tawa, la genèse de ce projet a de multiples racines. Ainsi, à Ouagadougou, il apprend que l’aîné des jumeaux est celui qui arrive en second, contrairement à Bafoussam où c’est celui qui arrive en premier…

Puis, avec l’écriture de sa pièce “Revanche(s)”, alors qu’il cherchait à comprendre la tragédie rwandaise de 1994, il a réalisé que les causes extérieures ne pouvaient suffire à expliquer une telle calamité. Kouam Tawa a alors lorgné du côté de la cellule familiale pour voir si elle était pour quelque chose dans la naissance des grands conflits…

Après ce spectacle pour adultes, il a eu envie d’aborder cette question avec les enfants. Mais pas seulement ! Kouam Tawa confirme :

Je n’ai pas oublié en écrivant cette petite histoire que la condition des femmes dans la plupart des pays où j’ai séjourné reste préoccupante.

Un univers singulier enrichi de 34 superbes illustrations

Je ne parlerai plus est la troisième collaboration de Mazeto Square avec Kouam Tawa, après “L’homme à l’oiseau” en 2018 (illustrations de Marine Aubrière) et “Donne-moi quelque chose” en 2019 (illustrations de Guillaume Leyssenot). À chaque fois, les textes de Kouam Tawa sont proposés à des illustrateurs dont l’approche artistique est très différente. Pour “L’Homme à l’oiseau”, Marine Aubrière a travaillé au crayon gras ; pour “Donne-moi quelque chose”, Guillaume Leyssenot a opté pour un dessin minimaliste en noir et blanc. Pour ce nouvel opus, Philippe Reich, illustrateur castelroussin issu du graphisme, a mis en image l’histoire de Kouam Tawa en prenant un véritable parti-pris, fort et essentiel. Philippe Reich souligne :

L’enfance est le monde de l’imagination où tout est possible : une flaque d’eau devient une rivière, une cabane un château fort…

Pour donner naissance aux personnages, il a puisé son inspiration dans un film de Claire Simon (“Récréations”, 1992). Dans ce documentaire, la réalisatrice nous montre tous les “petits drames” qui se jouent dans une cour de récréation, “petits drames” qui peuvent paraître très anodins vus du monde des adultes, alors que pour les enfants, c’est très sérieux, et cela peut prendre des proportions dramatiques pour eux.

C’est en ayant cela en tête que Philippe Reich a fait le choix d’exprimer le mal-être ressenti par la sœur, à travers les traits qu’il a donnés aux personnages ; on saisit ainsi le puissant enjeu qui oppose le frère et la sœur, et qui pèse terriblement sur la petite fille. Avec l’audace de représenter ce mal-être avec des illustrations très colorées.

Pour mener à bien ce travail artistique, Philippe Reich a commencé en s’attachant à certains mots ou certaines phrases du texte de Kouam Tawa, pour y faire naître des associations d’idées à des images, à des couleurs, à des objets. Ainsi sont nés ses premiers croquis. Ensuite, il a utilisé de l’acrylique en noir et blanc et des crayons de couleurs ; mais aussi des pochoirs découpés d’après ses croquis pour donner certains effets.

Enfin, le rendu des couleurs et l’étalonnage a été effectué via des logiciels graphiques. Au total, Philippe Reich aura réalisé 34 illustrations originales pour ce livre.

À propos des créateurs

Kouam TAWA (Auteur)

Auteur dramatique, poète et metteur en scène, Kouam Tawa est né le 31 mai 1974 à l’Ouest du Cameroun. Il réside dans sa ville natale et se consacre à la littérature, au théâtre et à l’animation des ateliers d’écriture. Il a obtenu le premier prix ACCT de littérature africaine pour la jeunesse, le prix poésie des lecteurs Lire et faire lire, et a été lauréat des bourses d’écriture de l’Association Beaumarchais, du Centre National du Livre, du programme « En quête d’auteurs » AFAA-Beaumarchais, de la Direction de la Musique, de la Danse, du Théâtre et des Spectacles, du programme « Visa pour la création » de CulturesFrance et d’ARTCENA. Il a été en résidence d’écriture au Festival International des Théâtres Francophones de Limoges, au Triangle – cité de la danse de Rennes, à la Résidence d’auteurs dramatiques francophones en Valais, à la Résidence 10 sur 10 de Brunow, au 104 (Cent Quatre), aux Récollets et à la Cité Internationale des Arts de Paris. Il est actuellement en résidence à la Villa Bloch de Poitiers. Il a publié une quinzaine de livres dont une douzaine pour la jeunesse :

  • “Niko dort” aux éditions du Chat-Minou,
  • “Une reine pas comme les autres” et “La voix des petites gens” aux éditions Les classiques Ivoiriens,
  • “Matin de fête” aux éditions Donner à voir,
  • “Le bruit des fleuves” et “Les mots sont des tam-tams” aux éditions Tertium,
  • “Pourquoi m’appelle-t-on parapluie ?” et “Mon pays” aux éditions Lirabelle,
  • “Danse, Petite Lune !” aux éditions Rue du monde,
  • “Planez, oiseaux !” aux éditions Les petites allées,
  • “L’homme à l’oiseau” et “Donne-moi quelque chose” aux éditions Mazeto Square.

Philippe REICH (Illustrateur)

Originaire de Châteauroux, Philippe Reich n’a jamais lâché son crayon, même s’il a exercé différents métiers dans une autre vie. Et c’est après avoir suivi une formation d’art graphique à Blois complétée par une formation d’infographie metteur en page, qu’il décide de se consacrer exclusivement à l’illustration et au graphisme.

Un carnet à croquis dans la poche, Philippe Reich trouve son inspiration dans l’observation de la nature, à la campagne par des chemins non tracés inspirés par la peinture, la photographie et l’histoire de l’art. L’originalité de ses dessins et de ses illustrations associent des idées, des formes et de la couleur pour traduire des émotions.

Depuis peu, il participe à un collectif d’auteurs et illustrateurs castelroussins qui édite une revue consacrée à la nouvelle génération : “L’Uzine”.

En 2018, une première exposition, “Pêle-Mêle”, lui est consacrée à la Chambre des métiers de l’Indre. “Je ne parlerai plus” sera sa première publication en littérature jeunesse.

Mazeto Square, une maison d’édition atypique

20200730131655-p1-document-wgrv Depuis plus 10 ans, Mazeto Square est une maison d’édition indépendante qui se consacre à l’émergence d’œuvres qui lui semblent nécessaires : des albums pour la jeunesse, des contes musicaux de musiciens hors normes, des rééditions d’œuvres anciennes parfois oubliées, mais aussi des essais politiques, des livres d’artistes… Engagée dans une démarche éco-responsable, notamment en limitant le nombre de tirages lors de l’impression (pour éviter la mise au pilon), Mazeto Square a décidé d’aller encore plus loin en devenant membre du réseau 1% for the Planet en octobre 2018. Cette action lui permet de soutenir davantage la prise de conscience collective puisque 1% de son chiffre d’affaires est reversé à des associations de protection de l’environnement.

La collection jeunesse Mauvaises graines

Des albums colorés pour les tout-petits, des premières histoires qui font rêver par leur malice, des contes musicaux enjoués pour chanter et danser, des romans illustrés pour parler de certaines choses, de la poésie car ce n’est pas que pour les grands… La collection Mauvaises graines sème dans la tête de nos chérubins les grandes idées et les belles choses. Mais telles des herbes folles, les enfants en feront ce qu’ils veulent, et ils ont bien raison. Bille en tête ou tête en l’air, qu’ils n’arrêtent jamais d’avancer sur ce chemin extraordinaire qu’on appelle la vie. Qu’ils restent beaux et insouciants, sachant par avance, et par chance, que mauvaise herbe croît toujours… De 2 à 8 ans.

Informations pratiques

“Je ne parlerai plus” de Kouam Tawa (auteur) et de Philippe Reich (illustrateur)

  • Editeur : Mazeto Square
  • Date de parution : 21 septembre 2020
  • Format : 21 x 21 cm
  • 34 pages
  • Prix de vente : 14€ TTC

Pour en savoir plus

Sites web : https://www.mazeto-square.com et https://www.mazeto-square.com/product-page/je-ne-parlerai-plus

Facebook : https://www.facebook.com/MazetoSquare/

Sortie du Livre 1 de « Nightmare », un mélange atypique de roman, d’illustrations et de bande dessinée, signé Johanna Zaïre et Thibault Colon de Franciosi

 « Nightmare » est un ouvrage hybride, atypique mélange de roman, d’illustrations et bande dessinée en 2 tomes qui plonge les lecteurs dans un univers mystérieux et frissonnant.

Un nouveau concept qui cartonne auprès des amateurs de romans et de bandes dessinées : la création du Livre 1 intitulé « Le Réveil » a été financée avec succès sur Ulule (302%) grâce au soutien de 278 contributeurs.

Johanna Zaïre (l’auteure) et Thibault Colon de Franciosi (l’illustrateur) ont donné vie à un monde très original, à la fois obscur et angoissant, qui évoque Tim Burton ou Stranger Things tout en ayant une singularité propre.

Les quelques 160 illustrations et les 25 planches de BD, réalisées par Thibault tout en couleurs à l’aquarelle, donnent vie aux personnages et nourrissent l’imaginaire alimenté par la plume captivante de Johanna.

Sortie prévue le 5 septembre.

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Résumé de l’histoire

Ève et Théo ne se connaissent pas. Après s’être réveillés sans aucun souvenir dans un monde où la population semble avoir disparue, ils se mettent en quête de réponses. Que s’est-il passé ?

Très vite, ils se rendent compte que le danger rôde, infâme et cauchemardesque…

De rencontres en péripéties, ils vont devoir survivre dans un monde post-apocalyptique. Des créatures fantastiques et de nombreuses épreuves les attendent sur le chemin d’une vérité terrifiante…

Ne vous fiez pas aux apparences… les monstres ne sont pas toujours ceux que l’on croit…

Une immersion dans un univers post-apocalyptique et fantastique

« Nightmare » est un roman… mais pas seulement !

Les lecteurs passent du texte à une illustration ou à une planche de BD et vice versa. Les genres s’entremêlent avec brio pour mieux embarquer le lecteur dans les aventures de Théo, Ève, Alice & Diego, Max, Glenn…

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Les personnages sont là sous leurs yeux.

Cet ouvrage atypique est aussi une passerelle culturelle, qui incite à aller plus loin : les amateurs de BD vont découvrir toute la puissance du roman, et les amoureux de littérature seront séduits par la force visuelle de la BD et des illustrations en couleurs, réalisées de façon traditionnelle à l’aquarelle.

A mettre entre toutes les mains à partir de 14 ans.

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Extrait

« En sortant de la demeure dans laquelle il était entré, il patienta sous le porche et observa la ville déserte. Son regard se posa alors sur ce qui semblait être une épicerie.

Dernière chance, se dit-il. Il traversa la rue, entra dans la boutique et se stoppa net, n’en croyant pas ses yeux. Les rayons étaient pleins. Ça, c’est le pied ! Il s’avança vers le premier rayon qui regroupait les textiles et objets souvenirs et se choisit un sac à dos. Il alla ensuite récupérer des boissons, optant pour du soda et de l’eau avant de se diriger vers son rayon préféré : gâteaux et apéritifs. Il prit le temps de choisir scrupuleusement les barres chocolatées et paquets de chips qu’il voulait embarquer.

Alors qu’elle continuait de fouiller dans le stock, Ève entendit du bruit venant de la boutique. Elle patienta quelques instants pour écouter puis sortit de la pièce sans faire de bruit. Elle avança lentement, se dirigeant vers les sons qu’elle entendait.

Il y avait un jeune homme vêtu d’un jean large et d’un sweat à capuche qui se servait dans les rayons. Silencieusement, Ève s’approcha de lui et leva sa batte de baseball.
Trop occupé à trier les articles qu’il voulait, Théo se fit surprendre.
— Qui es-tu ? s’écria Ève »

Les événements à ne pas manquer autour de « Nightmare »

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A partir du 17 septembre : L’exposition et le vernissage à la Galerie Art-Maniak (Paris) 

Du 17 septembre au 3 octobre, une exposition « Nightmare » se déroulera à la Galerie Art-Maniak à Paris.

Une vingtaine de planches de BD ainsi qu’une trentaine d’illustrations originales réalisées à l’aquarelle. Entrée gratuite.

Le vernissage aura lieu le jeudi 17 septembre 2020, à partir de 18h30, en présence des artistes qui échangeront avec les invités et dédicaceront  « Nightmare ».

Informations pratiques

  • Galerie Art-Maniak, 10 Rue de la Grange Batelière 75009 Paris (Métro Richelieu-Drouot)
  • Horaires de l’exposition : du lundi au vendredi de 10h à 19h, le samedi de 11h à 19h.
  • Organisateur :  Clément Gombert, le gérant de la galerie
  • Site web de la galerie : http://art-maniak.com/

Les séances de dédicaces dans les festivals en France

  • 05 et 06 Septembre 2020 – Roch’fort en Bulles – Rochefort (17)
  • 17 Septembre 2020 – Lancement de Nightmare – Paris (75)
  • 26 et 27 Septembre 2020 – Les Aventuriales de Ménétrol (63)
  • 03 et 04 Octobre 2020 – Festival BD Luisant (28)
  • 14 et 15 Novembre 2020 – Art to Play – Nantes (44)
  • 05 et 06 Décembre 2020 – Marché de Noël – Soyaux (16)

D’autres dates sont prévues et seront annoncées au fur et à mesure sur la page officielle Nightmare sur Facebook.

Une création originale née de la rencontre de deux artistes

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Le projet « Nightmare » est né de la rencontre de deux artistes talentueux : Johanna Zaïre (l’auteure) et Thibault Colon de Franciosi (l’illustrateur).

Leur première collaboration voit le jour en 2017, lorsqu’ils unissent leurs compétences pour créer un univers pour la jeunesse, à la fois magique et plein de rebondissements.

Ils consacrent près d’un an de travail à « Piti-Crok contre les Miam’s », qui est publié en mars 2018.

Toujours prêts à relever de nouveaux défis, ils décident de renouveler l’expérience avec « Nightmare », un projet ambitieux, mélange de roman, d’illustrations et bande dessinée.

Car tous deux ont un point commun : ils n’aiment pas s’enfermer dans des cases.

Johanna confirme :

Nous préférons laisser libre cours à notre créativité pour réaliser des projets qui nous ressemblent, plutôt que de faire quelque chose de simplement commercial. Ainsi, nous aimerions faire découvrir ce nouveau genre de lecture, où la bande dessinée et l’illustration prennent le relais sur le roman, et vice versa.

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Le projet « Nightmare » est d’ailleurs à l’origine de leur rencontre : une illustration de Thibault avait été offerte à Johanna, qui ne le connaissait pas. C’est grâce à cette petite fille en transe avec son ours en peluche que les deux artistes se sont liés d’amitié. C’est aussi grâce à elle que « Nightmare » a vu le jour, car ils ont décidé de lui donner vie à travers un univers mystérieux…

Ensemble, ils participent à de nombreux festivals et salons en France et en Belgique pour rencontrer leurs communautés respectives (Salon du Livre de Paris, Japan expo, Comic Con, Paris Manga, Trolls et Légendes, Cidre et Dragon, etc.), qu’ils souhaitent désormais réunir autour de « Nightmare » et ainsi faire découvrir cet univers riche à de nombreux lecteurs.

Thibault Colon de Franciosi, l’illustrateur

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Thibault Colon de Franciosi est un artiste autodidacte et polyvalent qui s’est découvert une vraie passion pour l’univers du dessin à l’âge de 17 ans. Graphiste et Illustrateur, Thib maîtrise de nombreuses techniques (traditionnelles et numériques) qui lui permettent de satisfaire toutes les demandes.

Il a travaillé pour des jeux de rôles, couverture de livres, character design, ainsi que pour des artistes comme Miss.Tic. Mais aussi pour diverses créations graphiques. Il recherche perpétuellement à réaliser des créations originales et graphiques.

Johanna Zaïre, l’auteure

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Johanna Zaïre évolue dans plusieurs domaines, en particulier l’écriture, la musique et le cinéma. En 2006, elle signe un contrat chez un éditeur et publie son premier ouvrage, un recueil de poèmes intitulé « Obscur Clarté », puis elle se consacre uniquement à la musique, parcourant des groupes pop rock en tant que parolière et chanteuse. C’est en 2013 qu’elle revient vers l’écriture avec « Sanatorium », un polar qui fait l’unanimité des lecteurs.

Habituée à être indépendante et déçue par différents éditeurs, elle opte finalement pour l’auto-édition.

En parallèle, elle intègre un groupe de comédie musicale et prend des cours de comédie au sein de l’école parisienne Paul Clément.

En 2017, elle remporte le Prix Landsegal pour son roman « World War Web – WWW ». Avec une dizaine d’ouvrages à son actif, elle s’illustre en tant qu’auteure dans différents genres : polar, dystopie, fantastique, jeunesse ou encore autobiographique.

N’abandonnant pas la musique pour autant, elle s’oriente vers une nouvelle carrière musicale en solo et prépare son album avec Nicolas Luciani (Mozart l’Opéra Rock) à la composition. Ce premier album « Rebirth », autobiographie et confession, sortira fin 2020.

Informations pratiques

Livre 1 « Nightmare – Le réveil » de Johanna Zaïre (l’auteure) et Thibault Colon de Franciosi (l’illustrateur)

  • Sortie : le 5 septembre 2020
  • Format d’édition : 17x24cm, couverture cartonnée avec vernis sélectif
  • Genre : Aventure, Action, Fantastique, Post-apocalyptique
  • 392 pages avec environ 160 illustrations + 25 planches de BD
  • Pour tous les lecteurs de romans et de BD à partir de 14 ans
  • Prix : 23 €

Pour en savoir plus

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Nightmare

Facebook : https://www.facebook.com/NightmareUniverse

Pré-commander le livre :

Johanna Zaïre

Site web : https://www.johannazaireofficiel.com

Facebook : https://www.facebook.com/JohannaZaireOfficiel

Instagram : https://www.instagram.com/johannazaireofficiel

LinkedIn : https://www.linkedin.com/in/johanna-zaire  

Thibault Colon de Franciosi

Site web : http://thibault-cdf.com

Facebook : https://www.facebook.com/thibault.colondefranciosi

Instagram : https://www.instagram.com/colondefranciosi

LinkedIn : https://www.linkedin.com/in/colon-de-franciosi-thibault-61500135/

Sorties livres : Didier Voyenne publie un thriller et deux pièces de théâtre

Un thriller qui se focalise sur le personnage principal (Le Palindrome), une pièce de théâtre absurde à la Beckett ou à la Ionesco (Têtes en l’hair), une pièce psychologique analysant les ressorts de l’anachorète, son personnage central (L’Anachorète parisien)…

Découvrir l’univers de Didier Voyenne, c’est aller à la rencontre de personnages attachants, de lieux marquants et de contextes forts en émotions.

Sous la plume de cet auteur atypique, déjà connu pour ses nombreux livres financiers, naissent des œuvres singulières, captivantes, dans lesquelles se glisse toujours une pointe d’humour.

Au fil des pages, les lecteurs.trices peuvent aussi y puiser des réflexions courtes et inspirantes sur le monde qui nous entoure.

Le Palindrome, thriller

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Histoire d’une chute et d’une résilience, mené comme un thriller, Le Palindrome a pour thème la vengeance dont l’auteur s’interroge sur la pertinence. Une fois encore, pour son troisième roman, il y met en scène des personnages attachants ou intrigants au service d’un récit, conté par le héros.

Extrait

Il y a du monde sur la belle avenue – d’aucuns disent : la plus belle ! Quelle prétention ! Faut-il ne pas avoir voyagé ou être un patriote trop imbu pour être honnête ! – et moi j’ai l’air d’un con avec ma petite valise défraichie et peu d’argent en poche. Ils sont tous pressés, emmitouflés, le regard vague, ne s’intéressant à personne.

Ai-je bien eu raison de sortir de ma taule ?

J’ai quarante ans et plus de douze ans d’expérience de prison sur mon CV. Je ne sais pas où aller. Suis-je aigri ? Non, pas vraiment. Pour tenir, je me balançais des pensées idoines : « On ajoute à l’esprit ce qu’à la chair on ôte » ou « Ce qui ne tue pas rend plus fort ». C’est bête, toutefois ça marche, cette sorte de mantra ou de prière qui occupe l’esprit et qui donne une certitude : « Je m’en sortirai ! ». Je suis sorti, effectivement, mais de là à dire que je m’en suis sorti, il y a un grand pas. Mon corps est hors de la prison, cependant mon esprit est encore incarcéré, non pas par la prison des hommes mais par les murailles fantasmatiques que j’ai érigées pour me protéger et qui sont loin d’être tombées ce matin parce que j’ai franchi un seuil à cinq heures cinquante.

Allons ! Du courage ! Il faut faire quelque chose de symbolique quoique concret. Je compte mon argent, symbole comme un autre. J’ai de quoi me payer le coiffeur et changer de garde-robe. Attention, pas de quoi faire des folies ! Ici, c’est trop cher, je vais aller au quartier Saint-Antoine.

Informations pratiques

Le Palindrome, de Didier Voyenne

Découvrir ce thriller : https://www.alterpublishing.com/fr/auteurs/voyenne-didier/le-palindrome.html

  • Editions AlterPublishing
  • ISBN: 979-86-230-7366-2
  • 312 pages
  • Prix : 18,25 € version papier / 5,99€ version e-book

Têtes en l’air, pièce de théâtre

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C’est pour Didier Voyenne un jeu de défouloir, dés cubiques que l’on prend pour des billes débiles, gratuit pour lui, payant pour les spectateurs, ou l’inverse d’ailleurs, ou encore les deux, c’est-à-dire payant car rien n’est gratuit sur cette terre ou sur cet air ou sur cette erre ou sursitaire ou…

Sur un rythme haletant, il s’agit d’une course, pied au plancher, de mots hauts bas de plafond ou de quand dit ratons laveurs du sol au plafond, puisque le plancher est le plafond ou vice versa. Non, en fait il s’agit d’une course échevelée, ce qui est curieux quand on comprend que c’est tiré par les cheveux, et seuls les chauves apprécieront puisqu’ils sont au bout du processus ; les chevelus auront d’abord mal, surtout les dames ; les mécheux éméchés n’y verront rien car saouls dessus. Cela convient donc à tous. Quand on arrive au bout, on dit ouf face aux ouf, ce qui est bien le thème de l’histoire.

Extrait

Le narrateur

Ah ! J’allais oublier. Les personnages ! Que vous dire ? Je ne les connais pas et ils me le rendent bien, c’est-à-dire qu’ils ne me connaissent pas non plus, étrange non ? Là, je suis comme vous, je vais les découvrir. Ne vous en faites pas, je ferai mon métier de narrateur, j’improviserai mon texte appris par cœur auquel l’auteur ne veut pas que l’on change un iota malgré toutes les circonstances possibles, y compris quand on l’oublie. Comme j’ai lu le programme… pas vous ? Vous pouvez encore l’acheter… vous voulez ? (un comédien se présente au bord de la scène avec des programmes)… Vous voulez pas ? (le comédien se recule) Trop cher peut-être ? (le comédien jette les programmes dans la coulisse)

Le narrateur (au comédien)

Pas de fromage au dîner ce soir. Ce sont des rats (il désigne le public, en faisant le dégouté), ils l’ont bouffé avant et plus un rond pour les programmes. D’accord, à la fin ils devront payer un droit de sortie… (il s’adresse au public en souriant largement) Ah, bon ? Vous ne le saviez pas ? Le droit d’entrée ne suffisant plus à nous nourrir, nous avons trouvé qu’un droit de sortie s’imposait ; comptez vos sous, c’est le double du droit d’entrée… (s’adressant de nouveau au comédien), mais quand même, ils pourraient faire un effort ! Heureusement que je pense au chiffre d’affaires, moi ! (le comédien acquiesce) ; tu sais, pendant que je parle, c’est pour ça que ça dure, je les compte, tu veux que je te dise combien on a fait de recette ce soir ? (le comédien hoche la tête positivement avec de gros yeux hilares). Alors, mmmun multiplié par mmmun, ça fait… (il s’aperçoit que le public est là et attend le chiffre ; il prend un air idiot puis se reprend)… pas lerche ! (le comédien baisse les épaules et devient triste, déçu)

Informations pratiques

Têtes en l’hair, de Didier Voyenne

Découvrir cette pièce de théâtre : https://www.alterpublishing.com/fr/auteurs/voyenne-didier/tetes-en-l-hair.html

  • Editions AlterPublishing
  • ISBN: 979-86-230-9236-6
  • 205 pages
  • Prix : 16 € version papier / 5,99€ version e-book

L’Anachorète parisien, pièce de théâtre

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Depuis son divorce, Antoine vit seul avec son chat Moïse, son confident. La seule femme dans sa vie est désormais Madeleine, la concierge de l’immeuble dans lequel il vit. Pleine de bon sens, indiscrète et envahissante, elle n’a pas sa langue dans sa poche et sa chatte Noé, à bien des égards, lui ressemble, tout comme Moïse est le reflet d’Antoine.

Un jour, Antoine reçoit une lettre inquiétante et menaçante. Qui vient troubler sa quiétude ? Que veut-on de lui ?

Il s’en ouvre à son ami Philippe qui va mettre sur l’affaire Étienne, un inspecteur qu’il connait très bien aussi. D’autres lettres de la même eau que la première arrivent. L’enquête est lancée…

Mais quels sont les vrais rôles de Moïse et Noé ?

Extrait

Antoine est occupé à débarrasser sa table où il vient de déjeuner ; il range quelques denrées dans le réfrigérateur ; il s’apprête à faire sa vaisselle ; il prend une petite assiette dans laquelle, après un tri soigneux, il dispose des reliefs de viande de son repas.

Moïse avec sa patte ouvre grand la fenêtre déjà entrouverte de la pièce adjacente et saute dans la cour.

Antoine

Moïse, Moïse, (en élevant la voix) Moïse ! Où es-tu passée, sale bête ? Pourquoi je dis sale ? Il n’y a pas plus propre que lui ! Bête ? Non ! Animal, oui ! Intelligent même… (rêveur) Toi, tu sais ouvrir les portes en pesant de tout ton poids sur les poignées ou en les poussant avec ta tête si elles sont entrouvertes, tu frappes au carreau avec ta patte sans te lasser jusqu’à ce que l’on t’ouvre. Si tu n’as pas à manger ici, tu vas trouver ailleurs. Toi, tu sais être seul quand tu le souhaites et trouver de la compagnie quand tu en as besoin. Quand tu pars en goguette plusieurs jours, tu ne te poses pas de question, tu sais que je serai là à ton retour, que je m’inquiéterai, que je ferai le tour du quartier, que je mettrai Madeleine sur le coup. Tu ne te poses pas la question de savoir s’il fait chaud ou froid, ce que l’on mange à midi, quel est le cours du pétrole ou le taux de l’épargne. Tout ce que tu possèdes, tu l’as sur toi avec, toi ; ce que tu possèdes c’est toi et tu ballades ton «toi» partout où tu veux et tu n’as besoin de toit puisque tu as un toi ; tu me suis ?

Réapparaît la tête de Moïse à la fenêtre de la pièce adjacente qui acquiesce de la tête, puis qui brusquement disparaît.

Antoine

Mais non ! Tu ne peux pas comprendre. Comment peux-tu savoir que tu as un «toi» ? D’ailleurs, le savoir ou pas n’a aucune importance, tu l’as et cela te suffit ; et puis tu es bien là où tu es et si ça ne va pas, tu changes d’endroit ; en somme tu es heureux, toi. (revenant à la réalité) Alors, tu viens ? Jamais là quand on a besoin de lui. Besoin ? Antoine, t’es ridicule, tu n’as pas besoin de lui, là, tout de suite ; tu veux simplement te débarrasser de cette foutue assiette. Bon d’accord, Moïse, je t’ai viré de la table tout à l’heure, mais je ne pouvais quand même pas manger alors que tu me regardais droit dans les yeux, c’est gênant, non ? Bon, d’accord, j’aurai dû te servir avant, mais pour te réserver ces restes de viande, (il désigne l’assiette) il fallait bien que j’en mange un peu, non ?

Informations pratiques

L’Anachorète parisien, de Didier Voyenne

Découvrir cette pièce psychologique : https://www.alterpublishing.com/fr/auteurs/voyenne-didier/l-anachorete-parisien.html

  • Editions AlterPublishing
  • ISBN: 979-86-211-4056-4
  • 139 pages
  • Prix : 14,60 € version papier / 5,99€ version e-book

A propos de Didier Voyenne, l’auteur

image1_1Didier Voyenne est né en 1956 à Compiègne au sein d’une famille de quatre enfants dont il est le dernier. Il habite aujourd’hui la Région Parisienne mais le midi de la France, où il a passé son enfance et son adolescence, et l’île de La Réunion, patrie de son épouse, sont aussi des lieux qu’il aime à fréquenter. Il est marié, père de trois fils et beau-père de deux filles, mais aussi grand-père trois fois.

Après trois ans passés au Lycée Militaire d’Aix-enProvence où il obtient son bac, il suit une année de classe préparatoire à HEC au Lycée Louis-Le-Grand à Paris puis intègre l’ESSEC à Cergy-Pontoise. Il suivra plus tard des études au Conservatoire National des Arts et Métiers où il obtiendra un Master 2 en Stratégie et Expertise Financières.

Pendant plus de vingt ans, il a pratiqué les échecs en compétition. Il aime la marche, le ski alpin et la randonnée en forêt ou en montagne ainsi que les sorties ou voyages itinérants en VTT.

Il mène une vie professionnelle intense exercée dans diverses entreprises industrielles ou de services dans les domaines comptables et financiers. La finance d’entreprise, dont il connaît toutes les techniques et toutes les facettes, est le métier de Didier Voyenne. Il l’a enseigné pendant de nombreuses années à l’ESSEC et intervient aujourd’hui au Conservatoire National des Arts et Métiers. Il a également co-écrit sur cette matière des ouvrages techniques tels que La Nouvelle Trésorerie d’Entreprise (Dunod), Le Credit Management en pratique (Les Éditions d’Organisation), Le Besoin en Fonds de Roulement, Le Crédit Inter-entreprises et La Finance Participative au service des entreprises (Economica/Collection AFTE) ou participé à un ouvrage collectif Finance et Contrôle au quotidien (Dunod).

Cependant, le théâtre, le cinéma et la littérature sont ses centres d’intérêt personnels, et l’écriture son envie profonde. Il a écrit trois romans, dont deux publiés aux Editions Thélès (Paris) : Le Talent de Vincent et Le Gonmina ; et l’un chez AlterPublishing : Le Palindrome. Il a aussi écrit Têtes en l’hair et L’anachorète parisien, deux pièces de théâtre publiées chez AlterPublishing.

Au-delà de son amour des mots et des arts, que ce soit la peinture et la littérature, il y exprime un romantisme moderne et un goût prononcé pour ses personnages qu’il fait évoluer dans des contextes forts en émotions et dans des lieux marquants.

Pour en savoir plus

Site web : https://www.alterpublishing.com/fr/auteurs/voyenne-didier.html

Facebook : https://www.facebook.com/AlterPublishing/

Sortie livre : “Lili, la première femme de Vitruve” d’Isabel Lavarec, un roman fantastique captivant qui aide aussi à se découvrir

“Lili, La première femme de Vitruve” est un récit fantastique sorti en juin 2020, où mystère, humour, poésie et philosophie se choquent et s’entrechoquent.

Isabel Lavarec a imaginé une histoire d’ombres qui partent, se réincarnent pour mener le lecteur à l’évasion et au questionnement.

Ce roman fantastique captivant mêle les évocations de la nature, paysages, et animaux, qui prennent forme dans l’imaginaire du lecteur… Ces allusions présentent des connotations familières (mer, étangs, dunes, parc à huîtres, cabane, bateau, ville touristique) mais toujours avec des indices d’étrangeté : des lieux où on peut se perdre, aux noms inconnus (Abalame).

“Lili, La première femme de Vitruve” tient le lecteur en haleine de la première à la dernière page. Et au fil du récit, des questions très actuelles sont posées : la conscience est-elle une production du cerveau ou est-elle extra-corporelle ? Le libre arbitre est-il une réalité ou une utopie ? Le paranormal est-ce un leurre ? Le monde n’est-il que ce que l’on voit ? La science peut-elle tout expliquer ?

Couverture

Une aventure hors du temps…

Courir après son ombre est une expression qui veut dire entretenir des espérances utopiques. Mais, si subitement l’ombre devenait indépendante et concurrente de son ancien corps, courir après son ombre se transformerait en réelle gageure.

C’est ce qui arrive à Lili, qui voit son double la quitter au milieu d’une réserve ornithologique semi-désertique. Malgré la panique, la femme devenue légère et en aplats décide de s’installer, telle une Femme de Vitruve, dans le cercle de sa vie.

Son mari, Jason, ne la voyant pas revenir part à sa recherche sur leur voilier. Il sera entrepris par l’Ombre réincarnée en séductrice perverse. De son côté, Lili rencontrera Blirage le sage pêcheur. Mais qui est-il vraiment ?

Voilà un couple séparé fortuitement. Chacun d’eux se voit propulsé sur un chemin difficile : la recherche du sens de sa vie. Chacun des héros devra traiter du problème de l’emprise et de la libération.

Voilà aussi, une histoire fantastique, difficile à croire pour ce groupe de scientifiques, amis d’enfance, invités par Noé en mémoire de son jumeau Jason, disparu en mer depuis un an.

4ème de couverture

Jason est mort il y a un an. C’est l’occasion, pour son épouse Lili, sa famille et ses amis d’enfance, de se retrouver afin de se soutenir lors de ce triste anniversaire.

Mais tandis que les soupçons d’une amie inconnue pleuvent sur la veuve, Lili égrène ses souvenirs qui pourraient bien faire la lumière sur les derniers moments de vie de Jason.

Quelque temps auparavant, Lili avait été soudainement séparée de son ombre. C’est cet événement, hors du commun, qui allait précipiter le destin.

Lili, La première femme de Vitruve est un récit fantastique où les ombres s’incarnent et entrent en concurrence avec leur ancien corps. Mystère, humour, poésie et philosophie s’y choquent et s’entrechoquent.

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Un roman primé par les Arts&Lettres de France

Avant même d’être publié, le manuscrit de “Lili la première femme de Vitruve” a été primé par les Arts & Lettres de France en 2019.

Voici le premier commentaire que cet ouvrage a reçu :

“Est-ce seulement un roman fantastique, palpitant à lire comme un policier, nage t’on dans l’irréel, l’onirique, avec des histoires d’ombres et de méduses, des histoires dans l’histoire où chaque narrateur contribue à la construction d’une vision globale de l’univers qu’Isabel ne formalise qu’à la toute fin ?”

Lili, à qui son père dira : “trace le cercle de la vie et place toi bien en son centre” rappelle immédiatement Vitruve, architecte romain et son célèbre dessin annoté par Léonard de Vinci qui lui permettra de déterminer le nombre d’or…

Lili, qui concentre toutes les passions de l’auteure : le bateau, la voile, la navigation, son vieux loup de mer de mari Jean Pierre, sa connaissance des sciences de la nature, des plantes et des parfums, de leur couleur et de leur taux vibratoire, un tableau de Jacques Eitelwein qui construisit des œuvres en s’appuyant sur le nombre d’or…

Lili finira par délivrer son ultime message, une vision quantique du monde à laquelle chaque narrateur apporte sa pierre. Et qu’elle ne dévoile qu’à la fin de ces pages à lire comme une histoire fantastique pas si fantastique que cela…

” Le cosmos pourrait être une structure infinie d’ondes où tout est lié à tout “ (ondes lumineuses, olfactives, énergétiques)

” Les ondes font que la vie est un changement de domaines vibratoires et que la mort n’est pas un anéantissement “

Nicole Laratte

De la même auteure : la série des aventures d’Halinéa (Polars jeunesse)

“Il est plus facile de désintégrer un atome qu’un préjugé”

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Il est plus facile de désintégrer un atome qu’un préjugé est une romance policière, une histoire linéaire, chronologique, où un vol mène par effet domino à une mort.

Les gens de voyage sont des vagabonds voleurs et incultes ?

Les gadje, des sédentaires racistes et sans âme ?

Kiero, 15 ans, futur chef de clan, ne veut plus ressasser ces stéréotypes nourris par la peur, il est assidu en classe et a des amis gadjé.

Seulement, lorsqu’une broche en or disparaît dans la copropriété où il jouait avec eux, c’est Kiero qu’on accuse.

Le jeune Gitan a contre lui le propriétaire de la broche et un policier vindicatif : mais à ses côtés, il a Halinea, son amie, aidée de sa grand-mère détective, et surtout dotée d’une arme qui a fait ses preuves : la méthode scientifique !

“L’Affaire Stéphanie : Carnets d’enquêtes d’Halinea”

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Avec “L’Affaire Stéphanie : Carnet d’enquêtes d’Halinea”, Isabel LAVAREC embarque ses lecteurs dans une passionnante investigation menée tambour battant par l’héroïne. Ce roman policier palpitant est aussi l’occasion de s’intéresser et d’ouvrir le débat sur un thème qui touche de près les adolescents : la phobie scolaire.

Stéphanie, une étudiante a disparu. Un corps est trouvé dans la forêt urbaine avoisinante. Une instruction est ordonnée.

En stage scolaire au commissariat, Halinea, détective en herbe, décide de mener l’enquête en catimini. La considérant un peu trop investigatrice, le brigadier-chef Jacques la déplace dans un laboratoire scientifique et lui lance un défi. Elle le relève.

Aidée par ses tuteurs João et Séverine, pour les connaissances, et, de ses amis Xavier et Caro pour les recherches, elle réussit l’épreuve avec brio… ce qui n’est pas du goût de certains qui réagissent parfois violemment.

Malgré les interdictions et les dangers encourus, la protagoniste réussira-t-elle à confondre le ou la coupable ?

Un cadavre à la consigne (Polar historique pour adultes)

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Il s’agit d’une enquête qui se déroule juste après l’hécatombe de la guerre qui a entraîné perte de repères et banalisation de la mort. Dans un style imagé non dépourvu d’humour, cette fiction inspirée d’un fait réel, fait prendre conscience de l’importance de l’être humain et de la nécessité de donner un sens à sa vie.

Une disparition, un cadavre dans une malle. Dans un contexte patriarcal d’après-guerre, l’épouse d’un riche négociant, féministe engagée, est la coupable idéale. Mais est-ce aussi simple ?

À propos d’Isabel Lavarec, l’auteure

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Isabel Lavarec est une auteure féministe engagée, adhérente à la SGDL (société des gens de lettres), la SOFIA, Charte auteurs jeunesse, LR2 (Occitanie), et ADA.

Elle a été lauréate au concours international littéraire organisé par les arts et lettres de France en 2019 et 2020 sections contes, nouvelles et romans.

Professeure agrégée des Sciences de la Vie et de la Terre, Isabel Lavarec a enseigné en formation initiale et continue pour adultes, en différents lieux (lycée, école normale, IUFM et université) et dans différents pays, départements et Territoires d’outre-mer (France, Algérie, Martinique, Tahiti). Elle a été directrice de département Sciences à l’IUFM de Nice et responsable départementale de l’action “main à la pâte “. En retraite, elle transmet son expérience de vie au travers de romans policiers, fantastiques, contes et nouvelles.

Parallèlement, comédienne dans une troupe de théâtre d’amateurs, elle s’est initiée à l’art de conter au Centre Méditerranéen Langue Orale (Cmlo) et à la pratique des entretiens en ethnologie avec l’ethnologue Catherine Barrière.

Son parcours en quelques dates clés

1980-1997

Publication de nombreux articles spécifiques, pédagogiques et didactiques des sciences dans plusieurs revues spécialisées.

1997

Manuel Scolaire école primaire : “La découverte du monde vivant en milieu tropical”, aux éditions NATHAN.

2005 et 2006

Manuel Scolaire école primaire : “Découvrir le monde vivant (biologie et français transversal) cycles 2 et 3″ – Direction des auteurs et auteur. Publié aux éditions SED.

2016

Publication du premier roman policier pour ados d’Isabel : “Il est plus facile de désintégrer un atome qu’un préjugé” aux éditions Oskar.

2017

Manuel scolaire école primaire: “Questionner le monde vivant, des objets et de la matière en cycle 2″ – Direction des auteurs et auteur. Publié aux éditions SED.

2018

Manuel scolaire école primaire: “Conception du modèle pédagogique adopté pour la création de « Sciences et Technologie » cycle 3″, publié aux éditions SED.

2019

  • Publication d’un roman policier historique pour adultes : “Un cadavre à la consigne”, éditions Ex-Aequo
  • Isabel est Lauréate des Arts et Lettres de France pour les sections : Conte (“La symphonie du bonheur”), Nouvelle (“Prendre sa place rien que sa place”) et Roman (“Lili la femme de Vitruve ou ombres croisées”)

2020

  • Publication roman jeunesse : “L’affaire Stéphanie carnet d’enquêtes d’Halinea”
  • Isabel est Lauréate des Arts et Lettres de France pour la section nouvelle avec “Éclats de vie d’Olympia, la Sicilienne”

Informations pratiques

“Lili la première femme de Vitruve” d’Isabel Lavarec

  • Editions Encre Rouge
  • 202 pages
  • Prix de vente : 20 €
  • EAN 13 : 9782377893508

Pour en savoir plus

Découvrir le livre : https://www.mollisa.fr/roman

Site web : https://www.mollisa.fr

Arts&Lettres de France : https://www.artsetlettresdefrance.fr/isabel-lavarec/

Twitter : https://twitter.com/ILavarec

Facebook : https://www.facebook.com/isabellavarec44

Instagram : https://www.instagram.com/isabel.lavarec/channel/

LinkedIn : https://fr.linkedin.com/in/isabel-lavarec-a4822647

“Ce que tu vois de moi”, un livre qui aide à se construire, de Blandine STINTZY

Alors que le bouleversement actuel est particulièrement déstabilisant, avec un quotidien rythmé par des actualités économiques et sanitaires stressantes, il est des livres qui apportent une bouffée d’air frais, une précieuse respiration qui nourrit l’énergie de vie et aide à se connecter à ses ressources profondes.

“Ce que tu vois de moi” de Blandine Stintzy fait partie de ce genre d’ouvrage. Dès les premiers mots de ce recueil de nouvelles, l’auteure embarque ses lecteurs dans un tourbillon d’émotion et de remise en cause d’eux-mêmes.

Le reflet de cette société contemporaine leur est renvoyé au travers du prisme des personnages qui, tels des fantômes, les entourent sans qu’ils prennent le temps de s’arrêter pour les écouter. Tout simplement parce que chacun est perdu dans le speed du quotidien… et sans doute aussi en raison d’une grande part d’égoïsme propre à l’être humain.

Dans un style poignant doté d’une plume délicate et sensible, l’auteur stigmatise nos travers en nous obligeant à regarder autour de nous dans notre voisinage proche : “Et si tous ces personnages étaient nos voisins ? Tiens d’ailleurs j’y pense…”

J’aime les histoires, et je crois que les récits peuvent aider chacun à se construire, et nous rassembler.

Blandine Stintzy

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Des aventures initiatiques à mettre entre toutes les mains

Beaucoup d’amour d’autrui dans ces nouvelles, beaucoup de tristesse aussi, et la magie opère. À tel point qu’une fois terminé ce chemin initiatique, bouleversé, voire ému, le lecteur se plait à se demander s’il a vraiment lu des nouvelles car tous ces personnages, liés par le même sentiment d’abandon, d’oubli et de manque d’amour, nous font penser avoir lu un roman dont le point de vue est un cri d’alerte face à un danger imminent : notre solitude à venir dont nous sommes les seuls instigateurs.

Un constat amer et plein d’espoir, car nul doute au fil de ces lignes, que l’auteur aime ses personnages et espère sans doute nous inciter à éveiller nos consciences sur les êtres humains qui nous entourent et que nous ne voyons plus. Un brin naïf mais juste ce qu’il faut pour nous laisser rêver à un monde meilleur en nous implantant dans le cerveau une petite musique qui nous suit une fois le livre fini et nous met du baume au cœur pour affronter avec une force nouvelle notre quotidien.

À lire et à offrir sans modération pour faire du bien à l’échelle du microcosme de nos connaissances afin de seriner le message délicatement, dans l’espoir d’un monde meilleur. Des nouvelles comme premières pierres d’un édifice en quête d’humanité, un cri d’amour qui mériterait d’être entendu comme en son temps la Tour de Babel.

De brefs fragments d’humanité qui nourrissent et aident à avancer

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“Ce que tu vois de moi” est bien plus qu’un simple recueil de nouvelles. Il s’agit d’un livre qui fait du bien, un compagnon qui dévoile ces moments fugaces dans lesquels chacun s’est un jour vu pleinement, dans ce qu’il a de plus essentiel.

Il raconte ces rencontres qui peuvent s’évanouir ou changer la vie de deux personnes : celle de la personne qui voit, celle de la personne qui est vue.

Pour écrire cet ouvrage, Blandine s’est appuyée sur ses propres peurs et émotions, ainsi que sur tous les échanges qu’elle a pu avoir avec les gens dans le cadre de sa pratique (Méthode Feldenkrais et Hypnose Générative) ou encore dans le cadre de son travail de scénariste.

Blandine a, en effet, été amenée à rencontrer toutes sortes de gens :

  • des personnes confrontées à des maladies graves ou à des problèmes familiaux très lourds,
  • des personnes qui veulent simplement changer quelque chose dans leur vie,
  • ceux/celles qui désirent ne plus avoir mal au dos,
  • des artistes qui veulent nourrir leur créativité,
  • des sportifs de haut niveau qui veulent améliorer leurs performances,
  • des gens curieux d’aller à la rencontre de nouvelles facettes d’eux-mêmes…

Pour autant, chaque nouvelle est une pure fiction et non une “étude de cas”. L’auteure a voulu laisser la part belle à l’imaginaire, à cette belle fonction du cerveau qui recompose les réalités dans des histoires inventées, afin de mettre du rêve et du sens dans nos vies.

Extrait

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D’ailleurs depuis combien de temps est-elle là ? Elle réalise qu’elle ne sait même plus très bien où elle est. Encore en train de se fréquenter elle-même, alors qu’elle ne se supporte plus. Perdue dans les affres de ses pensées abyssales. Ou ailleurs… Absente de son propre corps. Lourde et évanescente à la fois. Elle s’aperçoit tout à coup que sa main est en train de griffonner machinalement des courbes, à l’aide d’un stylo qu’elle ne se souvient pas d’avoir saisi. C’est un feutre noir, qui trace de beaux traits épais sans qu’elle ait besoin d’appuyer. Il glisse si aisément, et elle perçoit maintenant le léger crissement qu’il produit sur une fiche bristol format A5. Elle s’étonne en découvrant que ce ne sont pas des gribouillis, mais bien des mots. Qui s’enchaînent pour former une phrase.

— Pourriez-vous me dire quelque chose d’intime à propos de vous-même ?

La phrase est joliment positionnée au milieu de la fiche. Comme un cri muet qu’elle aurait poussé. Plus étonnant encore, il y a d’autres fiches empilées sous la première. Sur lesquelles se trouvent autant de phrases. Des phrases dont elle reconnaît qu’elle les portait en elle depuis longtemps, même si elle n’osera jamais, au grand jamais, les dire à haute voix.

À propos de l’auteure, Blandine STINTZY

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Depuis toujours, Blandine aime les histoires, celles qui accompagnent les individus, celles qui apportent du sens à notre vie et qui nous éclairent sur notre monde. Celles qui transforment l’impossible en possible.

Après sa formation d’ingénieur à Polytechnique (X  79), Blandine exerce divers métiers dans le secteur culturel puis elle devient productrice audiovisuelle et se spécialise dans le domaine de la fiction.

Par la suite, elle veut raconter ses propres histoires et elle devient auteure & scénariste pour la télévision, le cinéma et le théâtre. Ses projets favoris ? Tous ceux qui intègrent un “Voyage de Héros”, c’est-à-dire ceux dans lesquels le personnage va affronter une série d’épreuves qui font de lui un héros, et l’aider à ramener à sa communauté un trésor qui va améliorer la vie des siens.

Confrontée à un grave problème de dos, elle découvre la Méthode Feldenkrais, à laquelle elle se forme. Elle décide alors de l’enseigner dès 2002 parce que ce travail révèle et aide à transformer l’histoire des personnes. En effet, les traumatismes et blessures s’inscrivent dans nos corps, et conditionnent notre manière de bouger. Mais il est possible de déployer son potentiel et sa créativité, pour retrouver une liberté et une nouvelle richesse, en travaillant sur soi par le mouvement.

Pour aller plus loin dans cette exploration, elle se forme ensuite à l’Hypnose Générative, afin d’avoir un outil plus directement en prise avec les projets de changement et la créativité.

C’est à l’occasion de cette formation que Blandine fait le vœu d’écrire, d’écrire des histoires décrivant ce niveau de rencontre qu’elle peut connaître avec les gens avec qui elle travaille en Méthode Feldenkrais et/ou en Hypnose.

En tissant son expérience d’auteure, de Praticienne certifiée en Méthode Feldenkrais et en Hypnose, Blandine développe sa propre approche de Disponibilité Créative : elle accompagne les personnes et les groupes qui veulent enrichir leur histoire, libérer leurs mouvements, et développer leur créativité. Elle propose notamment des ateliers individuels à distance et en présentiel, des séances d’accompagnement en créativité, et des pratiques en Valeur Humaine Ajoutée.

Au sein des entreprises, elle propose des ateliers qui peuvent entrer dans des politiques RSE (Responsabilité Sociétale et Environnementale) ou QVT (Qualité de Vie au Travail).

Blandine souligne :

On peut pratiquer la créativité comme une « discipline », et c’est alors une aventure humaine passionnante qui nous met en contact avec notre énergie de vie.

Aujourd’hui, avec la publication de “Ce que tu vois de moi”, elle souhaite aider les gens à interroger leur regard sur les personnes autour d’eux et aussi sur eux-mêmes. Qu’ils puissent dépasser les apparences, et s’ouvrir, et développer leur sensibilité à ce qu’il peut y avoir d’essentiel et de beau dans l’âme humaine.

Blandine travaille actuellement à des projets de pièces de théâtre, où le thème de la rencontre est encore très présent. Ainsi, dans la pièce “DERRIÈRE TA PORTE”, un grand-père et un petit-fils vont se découvrir par-delà les différences des univers où ils évoluent chacun. En parallèle, elle a aussi d’autres projets de formes brèves, entre témoignage et poésie ou contes avec lesquels elle alimente au gré de ses ressentis son blog et dont elle se nourrit pour un prochain roman en gestation.

Informations pratiques

“Ce que tu vois de moi” de Blandine Stintzy

  • Broché
  • 173 pages
  • ISBN-10 : 2957297205 et ISBN-13 : 978-2957297207
  • Dimensions  : 12,7 x 1 x 20,3 cm
  • Prix : 12,99 € (2,99 € en format Kindle)

Pour en savoir plus

Commander le livre : https://valeurhumaineajoutee.fr/bibliographie/

Site web : https://www.disponibilite-creative.fr/

Dossier de presse : https://www.relations-publiques.pro/wp-content/uploads/dp/DP-DISPONIBILITE-CREATIVE.pdf

Facebook : https://www.facebook.com/blandine.stintzy

LinkedIn : https://www.linkedin.com/in/blandine-stintzy-feldenkrais/

“Ça m’agace” de Marion Du B’, un roman feel good qui invite à revenir à l’essentiel

À l’heure du déconfinement et des vacances, il est enfin possible de ressortir dans les rues à visage découvert, d’apprécier le chant des oiseaux, de se promener dans des parcs à nouveau remplis d’enfants…

La pluie joue à cache-cache avec le soleil, la végétation luxuriante se laisse admirer sans qu’il soit nécessaire de courir après le temps.

Alors maintenant que la vie reprend ses droits, pourquoi ne pas ouvrir ses rideaux pour laisser (r)entrer la lumière dans notre existence ?

Nous sortons tous d’une période complexe et sans précédent. Mais elle a aussi eu des vertus positives : enfermés durant des semaines, les gens ont pu prendre conscience que la société de consommation et les réseaux sociaux avaient leurs limites.

C’est en tout cas ce que nous invite à faire Marion Du B’ avec son roman “Ça m’agace” (éditions Chafouine) ! Il commence par un gros coup de gueule mais, très vite, l’humour et l’autodérision prennent le dessus.

En suivant les aventures de Noah, une jeune fille partie en Inde avec une amie, ce livre décapant nous pousse à poser un regard différent sur les choses, celui qui nous rendra heureux.

“Ton bonheur dépend du regard que tu poses sur les choses”

couverture livre

Et si le bonheur était déjà là ?

Avec “Ça m’agace”, Marion Du B’ invite chacun d’entre nous à mettre sa vie sur pause, à éteindre la télévision, à sortir des réseaux sociaux… pour prendre (enfin !) le temps de regarder autour de soi.

Plutôt que de courir après tout ce qui manque, elle propose de changer de perspective et de savourer tout ce qui est déjà là.

Car comment être heureux lorsqu’on regarde en permanence ce qui nous manque et que nous ne possédons pas (encore) ?

La société nourrit en permanence l’illusion que notre bonheur sera dans la prochaine acquisition que nous ferons. Mais force est de constater que nous ne sommes JAMAIS rassasiés ! Et pour cause : après chaque nouvel achat, nous en voulons toujours plus, passant à côté du constat que nous possédons déjà TOUT ce dont nous avons besoin.

Notre société moderne entretient ainsi en chacun de nous une frustration qui grandit jusqu’à finir par installer entre les individus le fossé de l’agressivité. Nous sommes devenus des consommateurs effrénés, des êtres aigris et envieux des autres.

Marion Du B’ souligne :

Dans ce nouveau monde où l’intensité de notre expérience dépend du nombre de « like » qu’obtiendra la photo immortalisant l’événement et de ce à quoi on la compare, l’autre est devenu le seul juge de la valeur de nos actes, de notre humeur, de notre beauté, de notre bonheur…

Un hommage à la gratitude, à l’instant présent et aux petits bonheurs simples

“Ça m’agace” est une invitation à revenir à l’essentiel et à comprendre que le bonheur ne dépend que de soi.

Marion Du B’ nous invite à changer notre regard sur les choses, suggestivement, avec humour et autodérision, au travers d’un voyage de l’autre côté du globe, dans l’un des pays les plus pauvre de notre planète : l’Inde.

Dans ce roman aux allures de journal intime, les lecteurs.trices suivent les aventures de Noah, une jeune fille bien décidée à reprendre sa vie en main et à contrôler sa destinée.

Doit-elle rechercher un travail pour une vie stable ou repartir pour un ailleurs meilleur ? Afin de trouver la réponse, elle entreprend avec sa meilleure amie, un voyage spirituel en Inde. Et ceci, peut être, avant de tout quitter définitivement…

La plume de l’auteure, hilarante avec son style provocateur, donne naissance à un livre percutant, pittoresque et bouleversant de sincérité. Comme un plat indien aux milles saveurs, les surprises sont au rendez-vous. Au fil des pages, les lecteurs.trices sont emmenés au sommet d’eux-mêmes…

Au programme : de la drôlerie, des plans foireux, des intoxications alimentaires humiliantes… et autant de situations cocasses qui font jaillir un cocktail d’émotions explosif.

“Ça m’agace” est le troisième roman mettant en scène Noah, après “Je suis tombée amoureuse de lui le jour où je l’ai quitté” et “La bombe humaine c’est moi”.

La genèse du roman

Ce projet est né d’un voyage en Inde que Marion Du B’ a réalisé avec sa meilleure amie il y a quelques années. Elles voulaient se confronter à la misère du monde… et elles ont rencontré dans ce pays le bonheur à l’état brut.

Marion Du B’ confie :

Ces gens qui ne possèdent rien ont pourtant une lumière pure dans les yeux, la lumière de l’alignement de l’âme, de ceux qui se contentent de ce qu’ils ont. Je n’ai rien vu de tel dans les yeux des gens de mon entourage et en vingt-cinq ans de vie sur terre, je ne crois pas avoir déjà croisé ce regard dans le miroir.

Bien plus tard, lors d’une tournée de dédicaces dans les tabacs-presse du Sud-Ouest, Marion Du B’ est choquée et profondément attristée de découvrir que plus de neuf clients sur dix venus faire des achats repartaient avec des tickets de loto.

Elle comprend qu’ils jouent dans l’espoir d’une vie meilleure, qu’ils sont malheureux de leurs conditions actuelles. Tous attendent de gagner au loto pour commencer à vivre la vie de leur rêve. Et s’ils avaient déjà tout ce qu’il leur fallait entre les mains pour être heureux mais qu’ils ne regardaient pas au bon endroit ? Et s’ils ne gagnaient jamais ?!!!

Marion confirme :

Nous passons notre vie à chercher ailleurs ce qui se trouve déjà en chacun de nous. L’autre apparaît toujours comme LA solution miracle. Et si ce n’était pas celui-ci, ce sera peut-être celui-là ?

Extrait

“ Nous voilà alors en train de descendre de la jeep conduite par Abdellah.
Abdellah est un Indien très charmant, mais ne l’incitez pas à sourire, question chico c’est le joyeux bordel.
« Halloween » avant l’heure, Freddy les dents de la nuit ?
Bref, c’est flippant.

Dans le désert, mon chameau marche en tête, tiré par Freddy, celui d’Anaëlle est accroché au mien et celui de Patrick (l’Anglais) est loin derrière et donne du fil à retordre au jeune Indien qui nous a rejoints.
Après une heure et demie de marche dans les dunes, j’aperçois un amas de paille et me demande « tiens, qui a bien pu foutre ça là, en plein milieu de nulle part ? »
Nous nous arrêtons et je dis à Anaëlle : « Ah, ça y est, on doit faire une pause. »
L’amas de paille est en fait une cabane d’où Freddy sort deux sortes de paillasses troués, puis trois matelas miteux et nous invite à nous y reposer.
Je lui demande dans combien de temps nous allons repartir.
Sa réponse : « Demain matin. »

Le Freddy est un individu très farceur.

Je rigole.
Lui, n’a aucune réaction.

Un ange passe.

Toujours rien…

Il joue bien son rôle, le con.
Il ne lâche rien.
On attend le moment où il va dire qu’il plaisante. Mais ce moment n’arrive pas.
J’avalerais bien ma salive de travers si je n’étais pas totalement déshydratée.

Tout ceci est une énorme blague.
Il n’est même pas 18 heures, qu’est-ce qu’on va bien pouvoir foutre jusqu’à demain ?
Tout comme la piscine sans eau, nous nous sommes fait avoir comme des bleues.

Samantha de Sex and the City me murmure à l’oreille sa sarcastique rengaine : « Prends-moi pour une conne une fois, honte à toi, prends-moi pour une conne deux fois… honte à moi ! »

Nous avons passé la nuit à la belle étoile, certes, mais sur une paillasse toute pourrie, du sable plein la face au moindre coup de vent.
Vivement la prochaine étape du voyage. ”

À propos de Marion Du B’

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Marion Du B’, 34 ans, est née dans le Sud-Ouest de la France. Elle est auteure depuis plus de dix ans.

Marion a notamment écrit une saga Rock’N’Roll et percutante, en trois romans, dans le style du journal de Bridget Jones.

Formée depuis 2017 à la PNL, à la communication non violente, à diverses techniques de développement personnel et de postures bienveillantes envers son prochain, elle écrit des romans thérapeutiques, au style complètement déjanté qui font tout simplement du bien aux lecteurs. Ils les conduisent en effet, sans qu’ils en soient forcément conscients au départ, vers un mieux-être intérieur.

Tel un stand-up littéraire, ses livres sont le reflet de la vie qu’elle vit, tout en couleurs, haute en émotions ; celle d’une génération blessée mais pleine d’optimisme.

Début 2020, l’auteure monte sa propre maison d’édition, Chafouine éditions, avec un objectif : publier un roman hors-série, totalement atypique, dont elle sera elle-même l’héroïne et qui constituera un témoignage sur le décès de sa maman survenu en 2016.

Depuis le 1er avril, ses livres sont diffusés par les éditions CAIRN. Cet été, ils sortiront également en format audio, lus par l’auteure. Une approche totalement inédite au vu du sujet traité !

Pour en savoir plus

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Facebook : https://www.facebook.com/mariondubauteure/?modal=admin_todo_tour

Instagram : https://www.instagram.com/mariondubauteure/

Une anthropologue partage une approche inédite pour mieux communiquer et s’adapter en toutes circonstances

Un Guide pratique des 6 Territoires Culturels

Et s’il était possible de réactiver nos capacités d’adaptation pour jongler avec les diversités, l’adversité, les courants, tendances et nouveaux modèles de notre époque qui pointent, chahutent et parfois s’installent ?

Élevés à l’aire de l’uniformisation et de la monoculture, nous rencontrons tous, à un moment donné, des difficultés à comprendre et à nous faire comprendre aisément, notamment face à un interlocuteur aux logiques personnelles et modes de communication différentes des nôtres.

Pourtant, jour après jour, nous avons intérêt à relever ce défi incessant : maintenir coûte que coûte notre stabilité personnelle contre vents et marées de notre environnement et de nos interlocuteurs.

Dans ce contexte, le livre “Tel un roseau, souple et ancré dans un monde qui chahute” nous offre une proposition inédite : raviver notre aptitude naturelle d’ancrage et de souplesse.

Audrey Chapot, anthropologue, propose en effet une grille de lecture synthétique et puissante pour comprendre son environnement et améliorer sa communication en toutes circonstances, même à l’étranger. Il s’agit aussi d’une approche inédite de meilleure connaissance de soi, grâce à un protocole d’auto-apprentissage et d’autorégulation pour son usage personnel et professionnel.

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 Les 6 Territoires Culturels : des repères anthropologiques fiables et robustes

Quels que soient les lieux et les époques considérées, les 6 Territoires Culturels (marque déposée à l’INPI par Audrey Chapot) permettent de favoriser des relations fluides et une capacité d’adaptation optimale pour tous… à condition de maintenir leur équilibre !

Or de nos jours, deux de ces Territoires Culturels sont ignorés ; il est donc fondamental de les réhabiliter.

Audrey Chapot précise :

“Tel un roseau” est le fruit d’un long processus de recherche et de maturation sur plus de 12 ans. Les Territoires Culturels se sont dessinés peu à peu, alors que je m’intéressais à la communication interculturelle en contexte professionnel international, à mon sens insatisfaisante aujourd’hui.

A défaut d’être convaincue par les modèles existants d’analyse et d’accompagnement interculturel, Audrey s’est en effet lancée dans la création d’une approche radicalement différente de celles utilisées en milieu professionnel.

En partant des manques constatés, elle développe un modèle inédit qui est à la fois :

  • souple et adaptable à l’envie ;
  • indépendant de toute catégorisation (qui enferment dans une étiquette ou un cliché réducteur) ;
  • opérationnel quelles que soient les origines culturelles ou choix stratégiques (des entreprises, des individus) ;
  • “clé en mains” pour que chaque personne puisse s’approprier rapidement et de façon autonome cet outil permettant de développer son adaptabilité et son aisance culturelle ;
  • adaptable à toute évolution de l’environnement extérieur (culturelle, politique, sociale…) grâce à un protocole partant des situations observées et vécues.

Répondre aux nouvelles équations du monde actuel

Au fur et à mesure des utilisations et améliorations des six Territoires Culturels, Audrey a développé une approche qui s’adresse à tous (particuliers & entreprises). Chacun.e peut ainsi disposer d’un outil de communication et de compréhension de notre monde en perpétuelle mutation.

“Tel un roseau” permet ainsi de répondre à deux problématiques majeures :

  • “Comment comprendre et se faire comprendre en environnement mouvant ?”
  • “Comment s’adapter et être à l’aise dans un monde qui chahute ? “

Ce modèle simple et efficace peut être utilisé n’importe où et n’importe quand, en France et à l’étranger. Il encourage également l’auto-apprentissage et l’autorégulation du lecteur, qui devient parfaitement autonome.

Audrey Chapot confirme :

Ce guide pratique, qui a été éprouvé auprès de mes clients, est “multicasquettes” puisqu’il est efficace sur 3 piliers : la connaissance de soi, la compréhension des environnements, les transitions de vie & changements sociétaux.

Sommaire

1) Savoir lire son environnement

  • Cultures
  • Conditionnement
  • Un monde mouvant
  • Aisance Culturelle

2) Le diapason des 6 Territoires Culturels

  • Les Territoires Culturels
  • Pourquoi un diapason
  • Repères interpersonnels : autrui et le contexte
  • Repères “Espace-Temps” : l’espace et le temps
  • Repères ontologiques : l’incertitude et le sacré

3) Apprendre du roseau

  • Trouver son “la”
  • S’accorder et jouer les arpèges
  • S’intégrer à l’inconnu

Genèse

  • L’ébauche
  • Le prototype
  • L’urgence de diffuser

Extrait

” Qui prête réellement attention à son environnement de nos jours ? Qui sait le lire, décoder les messages, traduire les observations relevées ?

Ce qui était pour nos ancêtres la condition de survie paraît aujourd’hui accessoire.
Rares sont ceux qui savent encore s’orienter en observant le ciel, ou ceux qui savent détecter le passage d’animaux ayant précédé leurs pas lorsqu’ils se promènent. Nous avons aujourd’hui d’autres moyens d’organiser nos va-et-vient quotidiens.
Là où nos ancêtres transmettaient des savoirs précieux d’observation et de connaissance générations après générations, nous avons choisi d’oublier peu à peu la richesse et l’utilité de ces savoirs.

De nos jours, la moindre information est disponible sur écran. Il est désormais plus commun de regarder son téléphone, son ordinateur ou la télévision, que d’observer le ciel, le paysage, la faune ou la flore pour trouver son chemin ou connaître la météo du lendemain. Nous avons fini par vivre dans un environnement dont nous faisons pourtant abstraction.

En tant qu’anthropologue, je m’intéresse à la manière dont l’individu ou le groupe vit dans son milieu, et ce qui fait sens pour eux. Ce qui est désormais déplorable, c’est que nous ne savons plus lire notre environnement. La perte de ces connaissances est lourde de conséquences : nous ne comprenons plus le monde dans lequel nous vivons, nous nous sentons peut-être en décalage par rapport à lui, nous ne savons plus reconnaître les repères fiables pour vivre sereinement.”

A lire aussi : “L’Esprit des mots”, un ouvrage sur les abus de langage et leurs influences

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En quoi l’utilisation des mots anodins et galvaudés nous impose-t-elle une pensée uniformisée et manipulatoire ?
Pourquoi est-il indispensable de mettre à jour notre lecture du monde ?
Comment s’allier aux mots pour retrouver du sens et changer la donne au quotidien ?

Mêlant anecdotes personnelles et réflexions anthropologiques, Audrey Chapot décrypte, interpelle et met en perspective ce que les mots montrent de notre civilisation et de notre époque, à notre insu.

Au-delà du constat, son approche singulière et multifocale invite chacun à dépasser les dérives et fausses promesses ambiantes pour agir en conscience : elle propose de réinvestir les mots pour se réinvestir soi-même.

L’Esprit des mots s’adresse à un lectorat curieux de comprendre les abus de langage et leurs influences. Plus précisément, il s’adresse à ceux qui souhaitent une lecture inédite du monde contemporain, ceux qui se questionnent sur les images mentales avec lesquelles nous voyons le monde de manière inconsciente et qui souhaitent s’ajuster et reprendre la main.

Prix : 22 € version papier et 9,90 € version e-book

A propos d’Audrey Chapot, anthropologue hybride

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Audrey Chapot est anthropologue, chercheur indépendante, conférencière et consultante.

Diplômée en ethnologie, civilisation indienne et conseil en organisation, Audrey Chapot s’adresse aux particuliers et aux professionnels prêts à bousculer le prêt-à-penser, questionner les conditionnements et revoir leur rapport au monde face aux enjeux d’aujourd’hui.

Elle décrypte les idées, les mentalités, les influences culturelles et ancestrales pour identifier comment ces facteurs invisibles portent ou limitent nos comportements et nos décisions, individuellement et à l’échelle sociétale.

Praticienne éclectique, elle a créé une activité d’aide à la réflexion et de guidance en 2012. Elle y mêle approches contemporaines et ancestrales afin de clarifier les situations, de pointer les dissonances et de lever les perturbations récurrentes. Ses consultations individuelles s’adressent aux individus prêts à se prendre en main en situation de profondes transitions de vie (par exemple changement de posture, reconversion professionnelle, expatriation, retour au pays, deuil…).

Audrey souligne :

Ma pratique vise à assainir notre rapport au vivant : à nous-mêmes, au monde et à nos modes de vie et modalités de travail.

Suite à son premier livre L’Esprit des mots, publié en 2019 chez BoD, elle est auteur et désormais éditrice d’un second ouvrage Tel un roseau.

Un troisième ouvrage est en cours.

Informations pratiques

“Tel un roseau” d’Audrey Chapot

  • Formats : 12 x 18 cm
  • Pages : 120
  • Impression : Noir et blanc
  • N° ISBN : 9782957281107
  • Prix : 17 €

Pour en savoir plus

Lire un extrait : https://www.relations-publiques.pro/wp-content/uploads/pros/20200616081216-p3-document-cwye.pdf

Commander le livre : https://www.audreychapot.com/tel-un-roseau

Site web : https://www.audreychapot.com/

Facebook : https://www.facebook.com/audreychapot.pro/

LinkedIn : https://www.linkedin.com/in/audreychapot/

Sortie livre : “Khôl” de Muriel Pactat, une plongée au sein du monde de la gendarmerie

Alors que le monde de la police et de la gendarmerie fait la une de l’actualité, son fonctionnement et son quotidien “sur le terrain” restent relativement inconnus des Français.

C’est justement ce qui fait l’originalité de Khôl, un roman policier en deux tomes saisissant de véracité et de réalisme. Et pour cause ! L’auteure Muriel Pactat est devenue Réserviste Citoyenne Gendarme dans la Drôme, ce qui lui permet de construire des enquêtes plausibles.

Elle n’hésite pas non plus à aborder des thèmes importants, tels que la souffrance au travail (et plus particulièrement celle du monde policier et médical), la cybercriminalité et les réseaux sociaux.

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Un bel hommage à toutes ces professions au cœur de nos actualités

Fascinée par les séries policières, Muriel Pactat écrit des romans policiers depuis 2012. Avec, toujours, une approche solidement documentée.

Elle confie :

J’ai été conseillée pendant 7 ans par les services de communication de la gendarmerie nationale. J’ai ainsi pu recevoir de précieux renseignements, notamment concernant la cybercriminalité.

L’impression de justesse véhiculée par ses livres vient aussi du fait qu’ils se déroulent toujours dans le contexte social et économique actuel, tout en mêlant étroitement la réalité et la fiction. Certains personnages travaillent réellement au sein d’entreprises drômoises, ce qui rend d’autant plus crédibles ces histoires.

Avec sa plume pertinente, fluide et précise, l’auteure Muriel Pactat aborde tous les sujets, même les plus délicats, mais en finissant toujours sur une note d’espoir.

Les deux tomes de Khôl, qui mettent à l’honneur l’univers de la gendarmerie mais aussi de la santé, ouvrent la porte à une meilleure compréhension de la réalité de ces professions complexes mais aussi à des questionnements plus personnels. Les lecteurs sont en effet amenés à s’interroger sur leur propre vie, en étant empathiques vis à vis des personnages et des épreuves qu’ils traversent.

Ce roman aborde des thématiques auquel chacun.e est confronté.e, à des degrés divers : l’influence des réseaux sociaux, l’évolution des techniques informatiques et l’engouement pour le monde virtuel. Khôl est ainsi à mettre entre toutes les mains pour sensibiliser aux dangers liés à l’utilisation du Net !

Synospsis du Tome 1

Une découverte funeste attend le capitaine de Gendarmerie réserviste Joey Savarin et son fils Sébastien à l’issue d’un souper : une jeune femme à moitié dénudée et sans papiers d’identité a été battue à mort, puis abandonnée sur un parking de la Nationale 7, près de la péniche de Joey à quai.

L’enquête va vite révéler qu’un enterrement de vie de garçon bien arrosé avait eu lieu cette nuit-là sur le site des « Roches qui dansent » à Ponsas.

Le futur marié et ses invités sont des internes respectés de la région.

Quel lien peuvent établir les enquêteurs entre cette agression sauvage et ces jeunes fêtards en liesse ?

Leurs investigations les mèneront à pénétrer le milieu médical en souffrance, tout en étant orientées vers l’espionnage industriel, que l’équipe de la cybercriminalité devra démanteler.

Synopsis du Tome 2

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Coralie Maginot se remet progressivement des suites de son agression.

En parallèle, les investigations se poursuivent et révèlent de nouveaux aspects de la personnalité de Pierre Lebrun. Celles-ci vont conduire les enquêteurs au cœur des relations intimes des protagonistes.

Le capitaine Joey Savarin et son équipe s’attachent à œuvrer afin que justice soit rendue à la jeune femme.

Ainsi ses blessures psychologiques pourront-elles se refermer avec le temps…

A propos de l’auteure Muriel Pactat

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Muriel Pactat a grandi dans un milieu familial valorisant la curiosité à travers la lecture et les rencontres.

Attirée par les sciences humaines et la psychologie, elle suit des études puis des formations qui l’amèneront à co-créer un organisme de formation en Ressources humaines pendant vingt-cinq ans. Manager et formatrice (formation de formateurs, management, communication, gestion du stress et violence urbaine), elle a piloté des projets et créé de la documentation et des études de cas en lien avec les milieux professionnels formés sur l’ensemble du territoire français.

En parallèle, l’écriture est une passion qu’elle cultive depuis son plus jeune âge. Son premier roman fut écrit dès l’âge de neuf ans. Ce sera le début d’une production régulière.

Elle décrit ses romans comme pédagogiques. Ils permettent à ses lecteurs d’appréhender la finesse de la psychogénéalogie à travers des ouvrages documentés et variés. Son parcours professionnel, enrichi de multiples rencontres, lui donne matière à ciseler l’âme humaine et les ressorts de l’inconscient.

En 2017, elle a repris le flambeau maternel en devenant responsable d’une petite maison d’édition. Ce challenge lui donne l’opportunité de travailler avec des professionnels de l’édition dans l’espoir d’offrir des ouvrages de qualité aux lecteurs.

Aujourd’hui, elle aimerait que Khôl devienne une fiction télévisée. Les deux tomes possèdent en effet tous les atouts requis : du suspens, des personnages bien campés, la description d’une région et de certaines de ses spécialités et une enquête à rebondissements.

Informations Pratiques

Khôl de Muriel Pactat

  • Le Cygne d’O Éditions
  • Prix de chaque tome: 18 € version papier et 9 € version e-book
  • Tome 1 : 292 pages – ISBN 978-2-912731-38-8
  • Tome 2 : 271 pages – ISBN 978-2-912731-39-5

Pour en savoir plus

Commander le Tome 1 : https://lecygnedo.fr/khol-t1.html

Commander le Tome 2 : https://lecygnedo.fr/hors-collection-khol-tome-2.html

Site web : http://lecygnedo.fr/

Facebook : https://www.facebook.com/lecygnedo.fr/

Sortie livre : “La Déviance des Leaders” de Philippe Villemus

Comment un ministre du Budget, accusé de cacher son argent en Suisse, ment-il haut et fort devant les représentants de la Nation ? Comment un candidat à l’élection présidentielle aurait-il pu accepter des costumes en cadeau ? Pourquoi des dirigeants de très grandes entreprises, parmi les mieux payés au monde, auraient-ils pu frauder ou utiliser des fonds de leur société à des fins privées ?

Dans “La Déviance des Leaders“, publié aux Editions EMS, Philippe Villemus s’attaque, dans un style alerte et clair, aux déviances des leaders de grandes organisations économiques, politiques, sportives ou associatives.

Il tente d’expliquer les rapports parfois ambigus et malsains que les puissants entretiennent avec l’éthique ou les lois. La force gravitationnelle du pouvoir, tel un soleil massif et brûlant, désoriente les chefs. Le pouvoir peut rendre fou ou développer un coriace sentiment d’impunité et d’invincibilité, nuisible aux autres, à la société ou à l’environnement naturel.

Après avoir clarifié les notions d’éthique, de leadership et de déviance, Philippe Villemus explore avec talent les syndromes et les causes de la déviance des leaders : l’hubris, la pensée de groupe, la vision brouillée, le mythe du complot, la tour d’ivoire, le « pas vu, pas pris », etc. Il propose aussi des actions pour éradiquer ou réduire les déviances et les choix non éthiques des leaders, chefs, dirigeants et autres gouvernants, qui parfois, hélas, se croient tout permis.

A l’heure de la crise sanitaire, où des comportements déviants de dirigeants ont pu être observés, “La Déviance des Leaders” est un ouvrage à mettre entre toutes les mains.

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Un livre ultra-documenté et accessible à tous

Affaires Fillon, Cahuzac, Ghosn, Dominique Strauss Kahn, Lance Armstrong, Michel Platini, Patrick Balkany… la liste des “leaders” qui ont fait la une des médias pour des affaires tumultueuses et opaques pourrait être interminable.

Tous ces exemples, présents dans le livre, illustrent parfaitement un phénomène social largement observé par les populations : la déviance des leaders. Avec, toujours, une question qui revient : “Mais pourquoi font-ils ça ?”

Dans ce livre ultra-documenté, Philippe Villemus expose les faits puis les explique afin, à chaque fois, d’aider à les comprendre pour mieux les corriger.

Spécialiste du fonctionnement des organisations, avec une solide expérience (L’Oréal, la Coupe du monde de football 1998, le groupe agroalimentaire Mars et le groupe Colgate Palmolive), l’auteur présente des analyses approfondies et sérieuses qui donnent à voir autrement tous ces faits de société.

Avec, un vrai plus : un style clair et accessible à tous, et une grande pédagogie. Ce livre intéressera les dirigeants, les managers, les consultants-formateurs dans le domaine Management RH mais aussi tous ceux/celles qui s’intéressent à l’actualité et veulent décrypter ce qui se joue sous leurs yeux.

Sommaire

1) Éthique, leadership et déviance

  • Qu’est-ce que l’éthique ?
  • Qu’est-ce que le leadership ?
  • Qu’est-ce que la déviance ?
  • Qu’est-ce que la dimension éthique du leadership ?

2) Les syndromes de la déviance

  • Le syndrome du désir de puissance
  • Le syndrome de la vision brouillée
  • Le syndrome de la tour d’ivoire
  • Le syndrome du complot
  • Le syndrome de la normalité
  • Le syndrome du « pas vu, pas pris »
  • Le syndrome du parapluie
  • Le syndrome de la philanthropie factice
  • Le syndrome de la pression pour réussir
  • Le syndrome du stress
  • Le syndrome de l’« égoïsme altruiste »
  • Le syndrome de la contamination
  • Le syndrome de la soumission ordinaire
  • Le syndrome de la pensée de groupe
  • Le syndrome de « Bethsabée »
  • Le syndrome de l’hubris : le leader se croit invincible

3) Comment éliminer les déviances ?

  • Créer des contre-leaderships
  • Comment renforcer la solidité morale des leaders ?
  • Comment sortir du dilemme éthique ?
  • Comment maintenir des standards éthiques élevés, mais pas trop ?
  • Comment évaluer l’éthique du leader ?
  • Comment former à l’éthique ?
  • Comment bâtir une organisation non déviante ?
  • Comment éviter la pensée de groupe ?
  • Comment descendre les leaders de leur piédestal ?
  • Comment échapper au syndrome de Bethsabée ?
  • Comment réduire l’hubris ?
  • Comment cultiver les antidotes au poison du pouvoir ?
  • Comment respecter l’éthique à l’international ?
  • Comment cultiver et encourager le leadership de la diversité et de la porosité ?
  • Comment devenir un bon suiveur ?

Extraits

Extrait 1

C’est en tolérant les déviances des leaders qu’on fait le lit de ce que d’aucuns nomment les « extrêmes », c’est-à-dire les dictatures et les totalitarismes de tous bords. La déviance des leaders fait dévier les régimes politiques et économiques vers des idéologies et des actes qui finissent par mettre à mal la démocratie, la liberté d’expression, la liberté tout court, la motivation au travail, l’engagement professionnel et social, le respect de soi, des autres, des règles et du patrimoine naturel. En un mot vers la tyrannie. Ce que justement nous appelons déviance. Car la déviance n’est pas réservée, hélas, aux marginaux ou aux criminels. Quand elle s’applique aux leaders, elle peut se révéler dévastatrice pour les liens sociaux, la vie en société ou au travail, et l’humanité.

Extrait 2

Il est surprenant, alors que le XXème siècle a fait plus de cent millions de morts à cause de certains chefs politiques lunatiques, que les gens cherchent désespérément un leader dans presque tous les domaines : religion, politique, armée, sports, loisirs, art, associations et entreprises. Oui, pourquoi sommes-nous si fascinés ou obsédés par le leadership alors que l’Histoire est pleine de ses méfaits : propagande de masse, corruption à grande échelle, fieffée stupidité et crimes de masse ? Le leadership serait-il une incantation néfaste pour l’ensorcellement des suiveurs ?

Extrait 3

Nombre de grands patrons et surtout de leaders politiques connaissent eux aussi cet isolement. Ils sont isolés de la réalité car ils ne peuvent plus se déplacer seuls sur le terrain. Ils ne peuvent plus interagir avec les citoyens moyens, sauf dans des émissions de télévision formatées ou bidons. Ils s’isolent dans des tours d’ivoire qui s’appellent Kremlin, Maison Blanche, Élysée, Nouvelle Cité interdite.

D’où l’expression « le Château » pour désigner le palais de l’Élysée. Mitterrand et Chirac sont sans doute les deux Présidents à s’être peu à peu enfermés dans leur « château », devenu prison. Parce qu’ils ont accompli de trop longs mandats de quatorze ans et douze ans, ils se sont laissé piéger, surtout à la fin de leur deuxième mandature par la « solitude du pouvoir ». L’isolement est une plaie du leadership. Les deux Présidents ont fini entourés de béni-oui-oui, de courtisans, de vils flatteurs ou de sacrés quémandeurs. Les dirigeants politiques français vivent, tels des aristocrates de l’Ancien régime, presque tous dans des ministères somptueux, lustrés, sortis d’un autre temps, dans des bâtisses classées aux monuments historiques, chères à Stéphane Bern. Ils en oublient les vicissitudes du quotidien. Ils ont à leur service une armée de chauffeurs, majordomes et serviteurs, qui les coupent encore plus de la plèbe… Cet éloignement de la vie des Français est d’autant plus préoccupant quand on sait que la plupart de ces dirigeants, fidèles à la reproduction des élites décrite par Bourdieu dès le début des années 1960, sont presque tous issus de milieux sociaux très privilégiés. Ils sortent très majoritairement des Grandes Écoles et des grands corps d’État, où la mixité sociale est faible et le taux de boursiers largement inférieur à celui des autres établissements scolaires.

Il en est de même, bien sûr, pour les grands patrons, dont bien peu ont à se préoccuper non seulement de leur épargne, mais aussi de réserver un billet d’avion ou faire la queue à la cantine.

Extrait 4

Mais, ultimement, la vraie question est qu’est-ce que le bon leadership ? En clair, qu’est-ce qu’un bon leader ? La réponse est un étrange mélange d’éthique, de compétence et de performance.

Nous vivons dans un monde où les leaders sont hélas souvent décevants. Aujourd’hui, il est difficile d’être un héros quand tous vos mots et gestes sont scrutés quotidiennement et exposés sur la place publique virtuelle des réseaux sociaux et de la toile. Chaque verrue ou ride est grossie sur Internet. Ironiquement, le trop-plein d’informations sur les leaders a accru la confusion et les doutes sur l’éthique des leaders. Le mystère entourant les leaders était paradoxalement une protection pour eux. Plus on voit d’actes défaillants ou déviants, plus on a envie d’avoir des leaders éthiques. Et de changer ceux qui ne le sont pas ; d’où les alternances politique en Italie, France, Brésil, Espagne, Royaume-Uni.

En fait, dans les théories, on idéalise trop le leadership. On le mythifie. On insiste sur l’impératif d’intégrité et les vertus nécessaires au leadership. Quant au charisme, il ouvre de vastes questions sur l’éthique du leader. Les leaders charismatiques peuvent avoir le meilleur ou le pire du leadership, selon que l’on observe Gandhi ou Milosevic, l’Abbé Pierre ou Bernard Madoff, Pierre Mendès-France ou Jérôme Cahuzac. D’où la question, le charisme est-il vraiment nécessaire au leadership ? Le charisme est une qualité personnelle attribuée aux leaders qui éveille la dévotion populaire et l’enthousiasme. Il s’assimile, dans l’inconscient collectif, à une forme de mystère ou charme personnels. La dimension théologique du mot (qui signifie « grâce tombée du ciel ») doit être notée, spécialement dans l’utilisation classique qu’en fait Max Weber. Il est une idée répandue : le charisme serait par nature rare. En réalité, le charisme nous égare. Il est une arme de déviance quand le leader lui-même déviant.

Extrait 5

Le leadership serait-il une fable sociale infantilisante ? Le leader puissant dépossède les autres de leur pouvoir d’influence, de leur sens de l’initiative, de leur créativité, de leur personnalité, voire de leur identité. Le leadership, motivé par l’ambition personnelle et le lucre peuvent conduire à des désastres. On cherche le « Messie », le « leader charismatique » », le mage tout puissant. Et quand il échoue, on s’en cherche frénétiquement un autre. Le « leadership mythique » infantilise, aliène, rend passif.

Le leader charismatique peut perdre le contact avec la réalité. En effet, le déni de réalité augmente avec le pouvoir. L’inclination à refuser de reconnaître les faits déconcertants augmente à mesure que l’on s’élève dans la hiérarchie. Car avoir une vision empêche le leader de repérer les changements et d’identifier les ressources nécessaires pour atteindre la vision. Il devient « borgne » et « autiste » : il ne voit que les faits et n’écoute que les informations qui confirment sa vision ; et ignore celles qui la contredisent. A cause de sa communication axée vers la séduction ou la persuasion, il a tendance à exagérer ses messages. La tendance au narcissisme finit par lui faire écraser ou dévaloriser les autres. Par la promotion outrancière du leader, nous rabaissons les autres. Nous créons des moutons poussés à obéir, plutôt que de développer la tendance naturelle des personnes à coopérer au sein d’une communauté.

Extrait 6 

Les leaders ne sont pas des héros. Il faut arrêter de croire que dans un monde complexe un seul homme, ou une seule équipe restreinte de directeurs ou ministres, éloignés de la zone de changement (les supermarchés, les usines, les centres de recherche, les ronds-points, les quartiers dits difficiles, les écoles, les TPE) peuvent à eux seuls concevoir la stratégie et « changer le monde ». Les leaders ne « marchent pas sur l’eau » et ne sont pas infaillibles.

Le storytelling bat son plein dans la trajectoire des dirigeants. Les hagiographes et les services de communication en font des héros prométhéens ayant « bâti des empires » qui « influent sur le cours du temps ». La mystique du leader est un défaut malheureusement trop répandu. La glorification du « surhomme » est trompeuse. Les leaders eux-mêmes souscrivent à une vision épique du management et ils surestiment leur influence, leur importance et leur responsabilité. Ils aiment à se sentir indispensables et déterminants. Or une organisation réussit souvent à cause de règles et méthodes prosaïques, très loin des conceptions héroïques du leadership.

En outre, en France, ces sagas sont en décalage avec le mode de fabrication des élites économiques ou politiques. Elles omettent ou minorent les « chasses gardées » (les Grandes Écoles), le capitalisme incestueux, le parachutage ou les pantouflages (les directeurs de cabinet ministériels nommés à la tête des entreprises), le copinage (les camarades de promotion), la force des réseaux (politiques en particulier et les « clubs » ou « cercles »), le communautarisme (la vie dans quelques quartiers neuilléens ou parisiens), les usages (les corps constitués), le mariage avec la fille du patron, l’héritage.

Nous ne croyons pas un seul instant en « l’homme providentiel » que ce soit en politique, en sport ou dans les entreprises. L’Histoire a montré que les hommes dits « providentiels », ou souvent autoproclamés « sauveurs », ont viré aux dictateurs ou aux tyrans. Car le pouvoir rend fou. Et le pouvoir absolu rend absolument fou. Voilà pourquoi il faut de puissants contrepouvoirs pour l’encadrer, le réguler, lui demander des comptes, le sanctionner quand il dévie, l’écarter quand il nuit.

Car qu’est-ce qui lie les gens dans un pays ou une entreprise ? L’identification à un leader ou le partage de valeurs et normes communes ? Il n’y a pas de leader parfait. Les organisations ou les peuples choisissent leurs dirigeants avec les imperfections qui leur semblent les plus acceptables.

Portrait de Philippe Villemus

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Diplômé de l’ESCP et Docteur en sciences de gestion, Philippe Villemus est professeur-chercheur à Montpellier Business School. Il est aussi conférencier, intervenant en entreprise, chroniqueur dans plusieurs médias et auteur de plus d’une vingtaine d’ouvrages.

Auparavant il a exercé des responsabilités de dirigeant, en France et à l’étranger, dans le groupe L’Oréal, la Coupe du monde de football 1998, le groupe agroalimentaire Mars et le groupe Colgate Palmolive.

Philippe Villemus est un observateur attentif des organisations et décrypte les raisons de leurs réussites comme de leurs échecs. Or ceux-ci sont souvent le résultat de pratiques, sinon douteuses, au moins anormales. Il les qualifie de “déviantes”.

A propos des Editions EMS

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EMS, Editions Management et Société, publie des ouvrages en management-gestion depuis plus de 20 ans.

La maison d’édition, réputée pour la qualité de ses publications de recherche universitaires, explore de nouveaux domaines avec des auteurs dynamiques et innovants.

Elle publie plus de 40 nouveautés par an.

Informations Pratiques

“La Déviance des Leaders” de Philippe Villemus

  • Editions EMS - Collection : Questions de société
  • ISBN : 978-2-37687-359-4
  • Format : 155 x 240
  • 180 pages
  • Prix : 22 € version papier et 16,99 € en version e-book

Pour en savoir plus

Consulter un extrait : https://www.editions-ems.fr/images/emscatalogue/ouvrages/extrait_e_Deviance-leaders.pdf

Commander le livre : https://www.editions-ems.fr/livres/collections/questions-de-societe/ouvrage/576-la-d%C3%A9viances-de-leaders.html

Site web : https://www.editions-ems.fr/

Facebook : https://www.facebook.com/EditionsEMS/

LinkedIn : https://www.linkedin.com/company/editionsems/

Sortie livre : “Souviens-toi… Sydney”, le roman poignant et réel d’Eeneh Quarter sur les abus sexuels sur mineurs dans une communauté religieuse

Alors que l’église catholique est souvent pointée du doigt concernant sa gestion des abus sexuels sur mineurs, le problème de la pédocriminalité est aussi une réalité dans les autres communautés religieuses.

En 2015, en Australie, un énorme scandale a mis en lumière les dysfonctionnements des Témoins de Jéhovah.

Plus d’un millier de cas de pédophilie ont été cachés aux yeux des autorités et les victimes stigmatisées pour qu’elles gardent le silence. La publicité donnée aux conclusions de la Commission royale australienne sur les réponses institutionnelles aux abus sexuels envers les enfants (ARC) a permis de délier des langues et de nombreuses autres affaires sont montées à la surface.

Ecrit au lendemain des conclusions de l’ARC, “Souviens-toi…Sydney” (publié chez Harpitanja Editions) est à la fois un témoignage poignant et un récit d’espoir.

L’autrice, Eneeh Quarter connait bien les témoins de Jéhovah, pour avoir grandi dans ce milieu et s’être intensément investie dans ce mouvement, avant de prendre du recul suite aux nombreuses dérives de l’organisation.

Dans ce roman captivant et très documenté, elle invite les lecteurs/lectrices à plonger dans l’univers fermé de cette communauté religieuse renommée au fonctionnement par trop souvent nébuleux. Le paradis promis se révèle alors être l’enfer…

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440 pages criantes de vérité pour qu’on ne fasse plus jamais taire les victimes

Il a fallu à Eeneh Quarter deux années d’écriture et d’investigations, de nuits blanches et de crampes aux poignets, pour rédiger “Souviens-toi…Sydney”, un titre qui évoque la commission australienne qui a mis sur le devant de la scène l’organisation des témoins de Jéhovah.

Bien que, par bonheur, elle n’ait pas connu d’expérience similaire, Eneeh a engagé des recherches approfondies et collecté des dizaines de témoignages sur internet dénonçant la politique de la Watchtower (l’entité éditoriale qui gère les activités des témoins de Jéhovah depuis Warwick, aux États-Unis) en matière de gestion des cas d’abus sexuels sur mineurs.

Plutôt que de faire un recueil d’histoires vécues, qui sont d’ores et déjà présentes en quantité sur la toile, elle a imaginé un récit captivant dans lequel chaque personne ayant vécu des expériences similaires peut se retrouver.

Ecrit à six mains avec les enfants d’Eeneh (son fils Josef, 22 ans, et sa fille Enge, 17 ans), “Souviens-toi…Sydney” n’est d’ailleurs pas destiné à condamner un mouvement en particulier, les faits rapportés étant communs à de nombreuses autres associations, cultuelles ou non (parascolaires, entre autres). Il a été écrit dans un esprit de critique saine et constructive et non sous le signe de la rancœur, de la colère, de la frustration ou de la haine, comme on le voit souvent.

L’autrice ne renie pas son passé et ne cultive pas d’animosité envers ses ex-coreligionnaires. De ce fait, il s’agit d’un ouvrage objectif, composé la tête froide et avec les idées claires, qui met en avant les dérives dues aux directives du corps dirigeant qui gèrent chaque instant de la vie des membres.

Eeneh souligne :

“Malgré les dénégations de ses responsables, il existe un vrai problème au sein de cette organisation. Les répercussions pourraient être bien plus graves que celles ayant atteint l’Église catholique, principalement dû au fait que les membres se refusent de voir la réalité en face. Ils ont en effet consigne de ne pas porter crédit aux accusations portées par les victimes.

Mais à travers le web, les voix des opprimés se font de plus en plus fortes et il sera de plus en plus difficile de les réduire au silence. Le réveil pourrait bien être brutal pour des millions de fidèles.”

Résumé

Claire, 21 ans, jeune mariée, a grandi à Lausanne dans une famille de témoins de Jéhovah. Elle pourrait être heureuse, mais des événements insolites viennent gâcher sa vie de couple. Jérémie, son mari, cherche à l’aider mais se trouve démuni face aux problèmes de sa femme.

La jeune épouse aurait bien aimé trouver un appui auprès de sa mère, mais sa foi aveugle dans le crédo de sa religion l’empêche d’aider sa fille comme il conviendrait. Elle a été remariée à Raymond, un témoin de Jéhovah belge, suite au départ du père de Claire, alors qu’elle avait sept ans. Les activités de son beau-père sont mystérieuses, mais a-t-il vraiment quelque chose à cacher ?

Elle trouve tout de même un soutien auprès de deux personnes: Isabelle, son amie d’enfance, avec qui elle a échafaudé un projet de voyage, et Éloïse, sa collègue de travail, qui la fait raisonner sur ses croyances et l’incite à ne pas mettre une confiance aveugle dans des hommes.

Deux événements tragiques vont de nouveau faire basculer sa vie et la séparer de ceux qui lui sont le plus cher. Elle connaîtra ainsi la douleur du rejet.

Éléonore, une psychothérapeute, et Anna, qui pratique l’hypnose douce, iront à la recherche des événements de son passé que la jeune femme a oubliés et qui expliquent certainement l’enfer de sa vie présente.

Extrait

“Affrontant l’orage, il entreprit de déplacer le tas de rondins qui attendaient l’hiver pour être brûlés dans le poêle en fonte qui trônait dans le salon. Une fois le déménagement effectué, il s’attela à la tâche la plus harassante, mais aussi la plus importante. À coups de pioche et de pelle, il creusa une fosse profonde, plus ou moins de la taille d’un gros chien. Malgré la pluie qui avait redoublé d’intensité, il était en sueur. Remuer cette terre devenue lourde n’était pas une besogne aisée. Il n’avait pas l’habitude des travaux physiques, mais il n’avait pas le choix. Vivienne finissait sa journée de travail à sept heures et demie et il ne lui faudrait pas plus de vingt minutes pour arriver à la maison. En cette période de vacances, il était même possible qu’elle rentrât un peu plus tôt, n’ayant pas à affronter l’intense circulation habituelle des autres mois de l’année. Il fallait absolument que tout fût fini au retour de sa femme.

L’opération dura près d’une heure. Pendant ce temps, il ne cessa d’émettre des imprécations, se maudissant pour son imprudence et la manière dont s’étaient déroulés les événements. Mais aussi était-ce de sa faute si la petite, d’ordinaire si docile, avait aujourd’hui montré autant de mauvaise volonté? Si elle l’avait laissé faire, comme cela avait été le cas jusqu’à présent, il ne serait pas dans cette situation. C’est ce qu’il y a de terrible, avec les enfants. On ne peut jamais prévoir leurs réactions. Le fait qu’elle sortît d’une varicelle qui l’avait contrainte au lit ces dernières semaines ne pouvait en aucun cas excuser son manque d’entrain dans les activités qu’ils avaient toujours partagées et auxquelles elle semblait prendre plaisir.

Au lieu de ça, elle avait préféré jouer avec le mobile au-dessus de son lit, un Pierrot assis sur une lune qu’elle affectionnait depuis toute petite et qui l’avait accompagnée durant sa maladie. Devant sa réticence, il s’était énervé et avait cassé le jouet, causant les pleurs hystériques de la fillette, crise qui avait abouti à son accès de colère et engendré la volée de gifles fatales. Ces semaines de privation l’avaient mis à cran. Pourtant, il n’était pas dans ses intentions de lui faire du mal. Mais comment aurait-il pu s’attendre à ce que sa tête allât frapper le rebord du lit et la faire sombrer dans l’inconscience ?”

Un livre solidaire

L’autrice et sa famille soutiennent l’action de l’association SCAARS pour que les clergés (toutes religions confondues) ne puissent plus se retrancher derrière le secret de la confession et aient l’obligation de dénoncer aux autorités les crimes dont ils viennent à connaissance, quelle qu’en soit la nature, mais plus particulièrement ceux touchant à l’intégrité des enfants.

De plus, en cette période de pandémie de Covid-19, 2 euros sont reversés pour chaque commande à une cagnotte au choix en faveur du personnel hospitalier.

Ce qu’en pensent les lecteurs/lectrices

Victor Bouadjio (du magazine Écrire Aujourd’hui) :

“Je vous écris au sujet du fameux roman d’Eneeh Quarter qu’en lisant sous cette forme finie et éditée, j’en redécouvre qualité et portée. Il est véritablement réussi et il faut absolument qu’il rencontre le succès qu’il mérite.
De plus, le travail de l’éditeur a donné un bel objet, attirant, agréable et donne envie de l’ouvrir. Tout y est, sans compter le prologue et le début qui ne laisse plus d’ambiguïté comme je l’aurais craint.
Eneeh peut être fière de son livre.”

Christophe B. (du groupe de soutien à Élise Lucet)

“En complément aux diverses enquêtes d’Elise Lucet et de son équipe sur la pédocriminalité, plaie sociale qui sévit dans bien des milieux (Eglise catholique, sport, leçons privées de musique, certains lieux touristiques…), je signale le livre récent d’Eneeh Quarter, “SOUVIENS-TOI… SYDNEY”. Tout est vrai dans ce livre-témoignage bien écrit, et qui serait un excellent scénario de film…”

Manon B. (lectrice du Canada) :

“Eneeh Quarter, tu as de quoi être fière. Un roman extraordinaire que j’ai eu plaisir à lire, un incontournable.”

Éric G. (lecteur de France) :

“Je suis très heureux pour le courage et la pugnacité que tu as déployé afin de voir aboutir tes efforts et ta lutte pour ces choses détestables commises à l’encontre de nombreuses victimes. Bravo pour ton ouvrage.”

Morganne D. :

“Ce livre est tout simplement d’utilité publique.”

Dominique Reynaud (youtubeuse) :

” Un premier roman qui est un chef d’oeuvre.”

À propos d’Eeneh Quarter, l’autrice

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Née en 1964, Eneeh a grandi dans une famille de témoins de Jéhovah.

Elle est la deuxième enfant d’une famille de quatre. Alors qu’elle avait atteint sa troisième année, ses parents, qui vivaient alors dans une petite commune de montagne, reçurent la visite d’un couple de témoins de Jéhovah et, séduits par le message promettant un proche avenir meilleur, se convertirent au mouvement. Elle a donc passé la majeure partie de sa vie à l’intérieur du groupe et en connaît pleinement les rouages.

Bien qu’ayant pris de la distance avec les témoins de Jéhovah, il y a plusieurs années, elle ne renie néanmoins pas son parcours. La dureté de l’éducation reçue, particulièrement de la part de son père, l’a rendue forte et désireuse d’affronter les aléas de la vie, qu’elle prend avec philosophie. Paradoxalement, cela a aussi induit une difficulté à s’estimer, ayant toujours la crainte de faire le mauvais choix ou d’échouer, hésitant à se mettre en avant.

Grande amatrice de livres – la bibliothèque familiale était abondamment fourni en auteurs classiques et il ne lui manquait pas la littérature enfantine que son père, représentant en édition, lui fournissait régulièrement – elle prit très tôt le goût de la lecture ainsi que de l’écriture. Elle écrivit son premier poème à l’âge de neuf ans et il fut mis en évidence dans la classe qu’elle fréquentait à l’époque.

Son rêve était d’écrire un livre, mais, devant s’investir très tôt dans les activités professionnelles et familiales – et religieuses, dans lesquelles elle s’impliqua intensément – ce désir se retrouva relégué au fond de ses préoccupations.

Atteint la cinquantaine, mariée et mère de deux enfants (un garçon et une fille), déçus par la direction que prenait l’organisation à laquelle ils avaient consacré leur vie, son mari et elle entreprirent un examen du mouvement des témoins de Jéhovah, groupement dans lequel ils se reconnaissaient de moins en moins. Des doutes commencèrent à germer, surtout quand ils mettaient en rapport les enseignements qui leur étaient donnés et l’étude personnelle de la Bible à laquelle ils s’adonnèrent.

C’est à cette même période que débutèrent, en Australie, les sessions de l’ARC, la Commission royale sur les réponses institutionnelles aux abus sexuels sur enfants, mise en place par le gouvernement.

Elle faisait suite à des dénonciations de déplacements d’auteurs d’abus sur mineurs pendant de nombreuses années, dans plusieurs groupements, comme l’Église Catholique, les Scouts, des écoles, etc. sans que rien ne fût entrepris pour stopper le phénomène, cherchant, au contraire, à l’enterrer. Les représentants locaux des témoins de Jéhovah furent entendus, ainsi qu’un des haut-responsables du siège américain.

C’est cet épisode dramatique qui lui a donné envie d’écrire “Souviens-toi… Sydney”.

Eeneh précise :

Je suis agréablement surprise de l’accueil fait à ce livre. La première édition, lancée en mars dernier au plus fort de la crise du covid-19, s’est écoulée en un mois à peine et a reçu d’excellentes critiques de la part du public. Aujourd’hui, nous avons donc décidé d’augmenter sa diffusion pour qu’un maximum de personnes, témoins de Jéhovah ou non, puissent comprendre le fonctionnement de cette organisation et sa main-mise sur ses membres.

Informations Pratiques

“Souviens-toi… Sydney” d’Eeneh Quarter

  • Editions Harpitanja
  • 440 pages
  • Prix : 18 €

Pour en savoir plus

Commander le livre : https://harpitanja.eu/souviens-toi/reservation.php

Site web : https://harpitanja.eu/souviens-toi/

YouTube : https://www.youtube.com/channel/UChgHoHNuNdoiFmRqywCQIBg

Facebook : https://www.facebook.com/Souviens-toi-Sydney-110352800502339

Sortie livre : “Amaïké” de François Lequiller, un roman qui emmène le lecteur de l’Argentine jusqu’au cœur de la Normandie

Nous sommes en 1872. Deux mondes séparés par l’immense océan Atlantique vont se dessiner peu à peu.

D’un côté, le monde étonnant, animiste, brutal et tragique des Indiens « mapuches » de la pampa argentine, au pied de la Cordillère des Andes. De l’autre, le monde aux traditions séculaires des paysans et des hobereaux de la Manche qui se transforme sous l’influence de la IIIe République et de la révolution industrielle.

Dans “Amaïké”, son septième roman publié aux Editions Eurocibles qui est un éditeur normand, François Lequiller fait frémir ses lecteurs.trices avec le sort d’une très jeune héroïne indienne plongée dans les guerres d’une violence inouïe au sein de l’Argentine conquérante et sans pitié des années 1870. En parallèle, ils vivent la lente évolution de la personnalité d’un jeune aristocrate du pays de Coutances qui veut se défaire des préjugés de sa caste et du destin tout tracé qu’on lui prépare. Cette histoire reflète la solidité de l’arrière-plan historique.

Par quel miracle, deux histoires parallèles qui, comme des droites en géométrie, ne devraient jamais se croiser, vont finir par le faire ? Qui va être le trait d’union entre elles ?

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La couverture de ce livre représente un tambour cérémoniel mapuche, appelé “kultrun”, sur fond de pampa et de profil du Cotentin.

Un récit palpitant qui relie la douce contrée du Cotentin et la sauvage pampa argentine

Amaïké est un roman d’amour historique qui fait le pont entre l’Argentine et la Normandie, entre des terres arides de l’autre bout du monde et la nature foisonnante du Cotentin.

Avec le style fluide qui le caractérise, François Lequiller donne à voir autrement la région qu’il aime tant, au travers d’une histoire qui se déroule de 1872 à 1891. Les lecteurs.trices de Normandie auront plaisir à retrouver des villes et des rues qu’ils connaissent bien, auréolées d’un parfum du passé qui transforme le présent.

Les aventures d’Amaïké, qui se lisent comme un conte de fées pour adultes, sont aussi un roman ethnographique qui invite à la découverte d’un peuple trop méconnu, le peuple “mapuche”.

La documentation d’Amaïké est très travaillée, notamment pour le peuple mapuche, puisé dans les documents du musée du Quai Branly, à Paris, musée des arts primaires ; puis concernant la vie paysanne dans le bocage normand à la fin du XIXème siècle.

François Lequiller :

Mes romans sont volontairement accessibles à tous, mais ils sont toujours très documentés. Je veux que chacun.e puisse apprendre tout en se faisant plaisir.

Un roman inspiré de faits réels

Ce roman est inspiré de manière lointaine par l’histoire véridique de « Lokoma », une Amérindienne d’une tribu mapuche probablement originaire de ce qui est aujourd’hui la province de Neuquén, au pied de la Cordillère des Andes, en Argentine.

François Lequiller a découvert le récit d’un voyageur français, Émile Daireaux, originaire de Courcy (Manche) et dont le père a fondé une ville argentine qui porte son nom. La ville de Daireaux est jumelée avec Coutances, cela fait donc un écho moderne à cette histoire ancienne.

Il raconte une partie de la vie d’une Indienne, adoptée toute jeune par l’ambassadeur de France à Buenos Aires.

Pour donner naissance à “Amaïké”, l’auteur a trempé sa plume dans la vie de “Lokoma” pour s’inspirer de son parcours extraordinaire, mais en lui insufflant une touche de romanesque et en laissant libre cours à son imagination.

Un extrait du livre

“Cela faisait trois jours que Constantin se postait à six heures du matin sur la dune la plus haute de la plage de Ferville espérant rencontrer de nouveau la jeune Indienne dont il avait appris qu’elle séjournait de nouveau chez Capelle. Cela avait été en vain car la belle sauvageonne n’était pas apparue. Ce quatrième matin était sa dernière chance. Le lendemain, il devait partir pour Deauville avec Léon pour une bonne semaine. Viendrait-elle aujourd’hui ?

Ce serait idéal car le temps s’annonçait magnifique. Comme à chaque fois qu’il venait là, il s’émerveillait, les yeux dans le lointain, de ce fabuleux paysage, si doux à cette heure de la journée où la mer est d’huile et, en même temps, si indompté avec ces kilomètres d’estran à l’état de nature. La veille, il s’était replongé dans Les Enfants du Capitaine Grant et en avait relu les pages qui se déroulaient en Argentine. Il n’arrivait pas à visualiser ce « pays à l’horizontalité parfaite », comme l’écrivait Jules Verne. Était-ce comme la Manche qui s’étalait devant lui ?”

Il écrit, elle peint… le livre unit leur passion !

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François Lequiller, après avoir fait une carrière dans l’administration économique française, a été en poste dans plusieurs organisations internationales et, à ce titre, a roulé sa bosse en Afrique, en Europe et aux États-Unis. Il est marié avec Elisabeth, son illustratrice, et a deux enfants.

Il y a vingt ans, le destin l’a conduit à acheter une maison dans un hameau du Cotentin, entre Coutances et Granville. Depuis, cette région est devenue son pays d’adoption. Il a raconté dans sa première trilogie, « Le Pont de la Roque », les aventures d’Isabelle Colas, son héroïne inspectrice de police. Dans sa deuxième trilogie, « Les Dunes du Cotentin », il a relaté l’extraordinaire saga de la famille Marie, avec laquelle il nous a fait traverser le XXe siècle.

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Il a déjà vendu plus de 3 000 exemplaires de ces précédents romans.

Avec « Amaïké », il nous plonge, en plein XIXe siècle, dans un récit qui relie étonnamment la douce contrée du Cotentin et la sauvage pampa argentine. Ce beau roman est, à nouveau, une oeuvre de couple : Elisabeth a illustré la couverture, ainsi que chaque chapitre, avec ses superbes aquarelles disponibles sur le site internet.

Informations Pratiques

“Amaïké” de François Lequiller, disponible dans toutes les librairies de Normandie et de la région de Versailles.

  • Editions Eurocibles
  • ISBN : 9782354580858
  • Prix : 25 €

Pour en savoir plus

Interview sur France 3 Normandie : https://www.youtube.com/watch?v=eROVh3TQhlo

Site web : https://www.francoiselisabeth.fr/

Facebook : https://www.facebook.com/francoislequillerromancier

“La Souciance” d’Eric-Louis Henri, un roman en forme de balade philosophique qui invite à aller à la rencontre de soi

Un couple de voyageurs fait halte dans un village suspendu entre mer et montagne. Une étape de plus, somme toute ordinaire, lors d’un périple estival sans but précis.

Mais ce qui aurait pu n’être qu’un simple instant de découverte heureuse révèle d’emblée une autre dimension, singulière, insolite. L’évidence du lieu, fragile, immédiate et surprenante, dessine alors pour le couple un futur inattendu.

Dans ce premier roman, publié aux Editions du Panthéon, Eric-Louis Henri nous propose un moment hors du temps, une réflexion profonde, intime et poétique, induite par un pays propice à l’introspection et à la découverte de la « souciance ».

La Souciance - Éric-Louis Henri

Une balade philosophique pour cheminer vers l’intime

Le fil de l’histoire se déroule dans le sud méditerranéen : cela pourrait être l’Italie ou la France, la Grèce ou l’Espagne, la Crête ou la Carthagène tunisienne… Il est de tous ces lieux et d’aucun à la fois. Apatride et universel, berceau et tremplin. Il est de tous les temps aussi, quoique résolument contemporain.

L’histoire débute par une halte dans un village suspendu entre mer et montagne ; ce n’aurait pu être qu’une simple étape d’un périple estival. L’instant de découverte passé, se révèle une autre dimension, singulière, insolite pour un couple de voyageurs. L’évidence d’un lieu dessine alors pour celui-ci un futur inattendu, propice à la “souciance”.

Mais quelle est donc cette “souciance” ? Ce terme, issu de la phénoménologie, évoque à la fois l’infime singularité de toute existence et les incertitudes essentielles de la vie humaine.

“La Souciance” d’Eric-Louis Henri est tout à la fois :

  • Le journal d’un apprenti en pensée.
  • L’itinéraire d’un homme qui, à l’épreuve du réel, est en quête de ce qui fait sens en lui et pour lui. Qui tente de ne pas manquer ce rendez-vous en s’ouvrant à l’imprévisible, à l’inattendu, … à cette part de “réalité singulière qui constitue son universalité”.
  • Une mise en abîme des présupposés contemporains gouvernant notre existence.

Un livre à mettre entre toutes les mains

“La Souciance” n’est pas un livre réservé à quelques “happy few” férus de philosophie. L’auteur a adopté une écriture simple, accessible, et vivante.

Chacun.e peut aussi se projeter, en filigrane, dans cette histoire : même si sont évoqués quelques lieux et moments qu’Eric-Louis Henri a croisés, visités ou “entre-vécus”, même si elle s’en est nourrie, La Souciance n’est pas une autobiographie.

Voici ce que la journaliste-correspondante en Europe, éditrice et critique littéraire équatorienne Sofia Cardoen (Diario El Universo – Perla del pacifico Ediciones) écrit à propos de ce roman captivant :

“Ne cherchez pas une histoire, ne cherchez pas une action, ne cherchez pas des personnages haut en couleurs. En ouvrant ce livre, c’est vous-même que vous allez rencontrer. D’une façon détournée, imprévue, l’auteur vous emporte dans son monde intérieur et de cette intériorité s’ouvre un passage à votre propre être par le rythme et la réflexion que l’auteur a suscitée. Observer, méditer, ralentir pour se retrouver au milieu d’un nulle part qui ne prend sens que parce que vous vous y trouvez. La souciance est ce temps qu’on devrait accorder à soi-même et qu’on passe toute une vie à remettre pour plus tard.”

Extrait

“Et si l’éternité n’existait pas ?
Et si l’éternité, ce n’était que le passé.
Derrière nous…Résolument clos.

Devant, il n’y aurait que l’infini. Sans cesse naissant, indéfiniment mouvant. Indéterminé, voire improbable…

En arrivant au village, j’ai aussitôt ressenti que quelque chose se jouait du temps. Un “je-ne-sais-quoi” qui frissonnait à la surface du présent. Comme un air de commencement.

D’ordinaire, lorsqu’on se rend quelque part, la destination est connue. On sait où le chemin nous mènera. On sait où l’on va et, normalement, par où aller. Sans que l’ordre du monde, de son monde, n’en soit bouleversé.

Ce fut différent, cette fois.
Hasard ou coïncidence ?
Prédestination ou providence ?”

La genèse de ce roman hors du temps

L’écriture de “La Souciance” est née dans un avion, alors qu’Eric-Louis Henri partait vers le Sud de l’Italie avec son épouse.

Alors qu’il sort d’une rupture professionnelle tendue et tumultueuse suivie de 6 ans de procédures, procès et actions en justice, il reprend son cahier de notes. Sur ce Moleskine petit format non ligné, celui qui l’accompagne toujours où qu’il soit, il jette sur la page blanche ouverte : “Et si l’éternité n’existait pas?”

Cette même phrase, cette même interrogation qui ouvre “La Souciance”. Et le reste a suivi, spontanément, en un flot continu, comme si cela allait de soi et était normal. Eric-Louis ne relèvera la tête qu’à l’atterrissage, trois heures plus tard.

Il écrit alors le livre en 3 mois. Puis il passe autant de temps à le relire, le réviser, le corriger, le compléter… Lui qui écrit à la main, au crayon, dactylographie ensuite le manuscrit et l’envoie à des éditeurs figurant sur une liste fournie par un ami bibliothécaire.

Il accepte la proposition de la première maison d’édition qui lui répond, sans réfléchir. Comme une page que l’on tourne car l’essentiel était que cela se passe, s’accomplisse et se frotte à sa réalité…

Eric-Louis raconte :

Les miens se sont demandés six ou sept mois durant quel était ce dossier qui m’accaparait une fois de plus à ce point. Je ne leur en ai donné la raison qu’une fois le manuscrit totalement retranscrit. C’est à ce moment-là qu’ils ont découvert le roman.

Aujourd’hui, la publication de La Souciance a été bien accueillie, tant dans son entourage privé que professionnel. La critique en Belgique francophone a été positive de même que les commentaires sur ses réseaux sociaux.

A propos d’Eric-Louis Henri, l’auteur

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Eric-Louis Henri est philosophe de formation. Il parcourt désormais le monde au service de projets d’entreprise.

Né dans une famille bourgeoise au passé colonial et entrepreneurial pesant et guindé, il marque une première rupture en pratiquant la danse classique durant 12 ans. Cette discipline, à la fois sportive et artistique, représente pour lui à la fois un éveil et une révélation.

Dès que l’âge civil l’y autorise, il prend alors son envol…

Après deux ans de mathématiques appliquées, il est initié à l’école de la phénoménologie (Husserl & Heidegger) et du postmodernisme (Jean-François Lyotard). Il suit ensuite un MBA international puis se forme au management, et notamment à ses modèles contraignants et “castrateurs”.

Auteur d’une méthodologie de Stratégie et Communication Corporate, il accompagne aujourd’hui des projets de développement d’entreprises start-ups et PME dans le monde.

Véritable électron libre, il est toujours à l’écoute des nouveaux modèles de pensée. C’est d’ailleurs ce qui le conduit à poursuivre sa réflexion aujourd’hui sous un mode narratif.

Eric-Louis souligne :

L’écriture est pour moi un chemin qui laisse advenir le sens, et me permet de prendre le temps d’être à l’écoute de ce qui se passe aujourd’hui dans le monde, de comprendre davantage les disruptions, les failles d’une civilisation en proie à “l’algorithmisation” de l’existence.

L’auteur est notamment fasciné par les premières rencontres, celles d’un lieu, d’un temps, d’une existence. Pour lui, elles sont toujours porteuses de sens et d’infini, spontanément, et préfigurent déjà un futur à naître…

Eric-Louis travaille actuellement à la rédaction d’un autre roman, qui emmènera le lecteur vers les pays de l’Est. Sans être une suite de La Souciance, son “ici et maintenant” en prolongera la réflexion.

Informations pratiques

  • “La Souciance”
  • Editions du Panthéon
  • 120 pages
  • ISBN :978-2-7547-4668-7
  • Prix public : 12,90€ (format broché) ; 9,90€ (format numérique)

Pour en savoir plus

Site web : https://elhenri.com/

Facebook : https://www.facebook.com/LaSouciance/

Instagram : https://www.instagram.com/ericlouishenri

LinkedIn : https://www.linkedin.com/in/eric-louis-henri-3a244b1a8/

Un ex-flic des stups raconte le rêve brisé du narcocalero MORALES dans un livre : “el narco-amauta” ou comment la Bolivie est (re)devenue un narco-État

Lorsqu’en juillet 2010, Valentin MEJILLONES, le grand prêtre Aymara ayant “couronné” le Président Evo MORALES, sur le site précolombien de Tiwanaku, tombe avec 240 kgs de cocaïne à son domicile, cela sonne comme un coup de tonnerre au sein de la société bolivienne.

Mais une fois le “narco-amauta” rapidement libéré, le ménage va être fait au plus haut niveau de la FELCN, la Brigade des stupéfiants !

Cette anecdote judiciaire symbolise à elle seule, la nouvelle Bolivie de l’ère MORALES, qui durant 14 années est (re)devenue un narco-État aux mains d’une partie des producteurs de la petite “feuille sacrée”, ceux qui alimentent la fabrication et le trafic de cocaïne : les “narcocaleros” du Chapare.

Dans son livre “El Narco-Amauta”, l’ex-flic des stups Jean-François Barbieri partage le fruit de son expérience du terrain pour expliquer comment la Bolivie est redevenue un narco-État.

Cet essai géopolitique passionnant et très documenté se lit “comme un roman”. Il est préfacé par Felix Molina Oblitas, Colonel et Ex-Directeur Général de la FELCN (Fuerza Especial de Lucha Contra el Narcotráfico, l’organisme en charge de la lutte contre le trafic de drogue en Bolivie).

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Durant les 14 années de gouvernement Morales, la lutte contre le trafic de drogue en Bolivie s’est faite uniquement pour calmer les organisations internationales et sans déranger les cocaleros du Chapare.

 Jean-François Barbieri

Mais comment en est-on arrivé là ?

Selon Jean-François Barbieri, le point de départ de ce revirement de situation trouve sa source dans la guerre menée au début des années 2000 par les Américains et la DEA (l’agence fédérale américaine qui lutte contre le trafic et la distribution de drogues aux Etats-Unis).

Evo Morales, le premier président amérindien qui a pris la tête du gouvernement de Bolivie en janvier 2006 a en effet été contraint, sous la pression populaire, à démissionner et à fuir en novembre 2019.

Depuis, il vit en exil en Argentine d’où il organise son retour en politique.

Dans son livre, Jean-François Barbieri présente le sombre tableau d’un Pouvoir corrompu et devenu autoritaire au fil des ans, lié au narcotrafic qu’il favorisait plus ou moins directement, avec toutes les manipulations, tous les règlements de compte et décisions sectaires prises par un petit comité que l’on pourrait qualifier de mafieux.

Extrait

“Selon la doctrine officielle, le gouvernement d’Evo MORALES recourt alors seulement à l’éradication obligatoire dans des secteurs de croissance excessive et dans les Parcs Nationaux. Ainsi l’ex-viceministre CACERES s’est réjoui du fait qu’il n’y ait pas eu de morts durant les quatorze années de sa gestion. Selon ses dires, l’éradication s’est faite dans le respect des Droits de l’Homme, aucune victime n’étant à déplorer dans le Chapare, au cours des quelques affrontements survenus entre cocaleros et Forces Armées de la FTC en charge de l’éradication. Il faut dire que les policiers et l’Armée cédaient systématiquement aux cocaleros et aux narcos dans cette région dès qu’un problème se posait. Les instructions gouvernementales étaient claires sans être officielles : pas d’affrontements avec les cocaleros du Chapare. Même le Directeur de la FELCN, en poste en 2010, le Colonel Félix MOLINA, un officier formé dans sa jeunesse aux Etats-Unis comme tous les officiers de sa génération, en a fait les frais. Il avait eu l’audace entre autres de déclarer que face à la violence des cocaleros et des narcos, la Police avait aussi des armes et était prête à en faire usage. Jugé trop agressif face aux cocaleros et trafiquants, mais surtout pas assez docile vis à vis du Pouvoir comme nous le verrons, il n’est pas resté en poste très longtemps”. “

A propos de Jean-François Barbieri, l’auteur

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Jean-François BARBIERI est un ex-policier antidrogue à Marseille, un temps attaché de Sécurité Intérieure en poste à l’Ambassade de France de La Paz, et désormais passionné par ce pays.

Il a été le témoin privilégié de la dérive d’un pouvoir toujours plus corrompu, qui sous couvert d’une idéologie indianiste et un pachamamisme d’État, a bafoué tous les principes de la démocratie, avant de sombrer en fin d’année 2019.

Dans “El Narco-Amauta”, il décortique le processus politico-sécuritaire lié à problématique de la feuille de coca, et de son dérivé diabolique : la cocaïne.

Les éditions Nombre7, plus qu’un éditeur, un porteur de projets

Nombre7 Editions est une maison d’édition qui accompagne, depuis plus de 10 ans, plus de 550 auteurs dans toute la France.

Elle leur propose des services personnalisés pour créer des livres de qualité : relecture, corrections orthographiques et typographiques, mise en page, infographie, conseils littéraires et réécriture.

Elle assure également l’impression, la diffusion, la promotion et la distribution des ouvrages.

Nombre7 Editions souhaite se positionner comme un tremplin vers un nouveau modèle d’édition plus juste et plus humain.

Informations pratiques

“El Narco-Armauta” de Jean-François Barbieri

  • 148 x 210
  • 290 pages
  • Prix : 17,50 € (format papier) – 8,99 € (format e-book)

Pour en savoir plus

Découvrir le livre : https://librairie.nombre7.fr/essai/1317-el-narco-amauta-9782368329238.html

Site web éditeur : https://librairie.nombre7.fr/

Facebook : https://www.facebook.com/Nombre7editions/

Instagram : https://www.instagram.com/nombre7editions/

Sortie livre : “L’intégrale de Dieu” de Jean-Luc Cadranel

Une île perdue en Méditerranée est rattrapée par la 2ème Guerre Mondiale. Dans ce lieu confiné, un réseau de Résistance se constitue autour d’individualités diverses par leurs origines.

Dans “L”intégrale de Dieu” (éditions LTP), l’auteur Jean-Luc Cadranel invite les lecteurs(trices) à partager l’action des membres du réseau mais aussi, tout au long du conflit, leurs analyses profondes des événements, ainsi que des implications que laisse présager cette déflagration gigantesque pour l’avenir de l’humanité.

Sur cette île, on se bat, en fin de compte, pour sauver le monde… ou plutôt notre planète errante. On y croise le Diable, qui se glisse dans la vie de tous les jours. Mais on y découvre aussi, sur une plage isolée dans la nuit étoilée, l’évidence de Dieu exprimée sous forme d’un théorème qui relève le défi de Kant.

L’histoire commencée en 1938, rebondit en 1973, à partir d’une apparition effrayante qui nous interroge sur la persistance des périls menaçants notre planète.

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S’éveiller à la précarité de notre civilisation au sein d’un immense univers

“L’intégrale de Dieu” évoque le nazisme, la guerre, la résistance et la déportation, jusqu’à l’après-guerre. Il révèle la signification profonde de ces événements pour l’Humanité.

Le procédé habile de la double fin, très utilisé au cinéma, permet aussi à l’auteur de faire un saut en 1973 pour nourrir notre réflexion.

Jean-Luc Cadranel précise :

Dans cet ouvrage, c’est la survie de l’Humanité qui est en cause, symbolisée sur la couverture par une explosion nucléaire. L’idée sous-jacente est que nous pouvons construire ensemble ou tout détruire ensemble. L’Humanité est en sursis…

Le livre met en lumière des personnalités diaboliques notoires, comme Hitler ou Mussolini, mais aussi, dans l’ombre de l’après-guerre, certains chefs d’Etat et dirigeants d’organisations internationales.

Car le diable a face humaine ! Pourtant Dieu existe. Il suffit pour s’en convaincre d’observer, sur une plage au sud de la Méditerranée, la nuit étoilée…

Un livre captivant

Une histoire d’amour poignante dans une époque tragique, des styles qui s’entremêlent, la véracité de l’histoire contemporaine, des dialogues vivants, un soupçon d’art romanesque… “L’intégrale de Dieu” est le genre de roman qui se lit d’une traite, de la première à la dernière page, tant il tient en haleine.

Les amateurs d’Histoire apprécieront aussi les développements complets autour de la guerre telle qu’elle a été vécue dans le sud de la Méditerranée.

Ce récit total, à plusieurs niveaux de lectures, est donc particulièrement passionnant.

Extrait

” Je comprends, répondit Alberto,… l’humanité approche d’un seuil critique de puissance donc de nuisance. Soit elle sera capable d’un sursaut de lucidité et de responsabilité, soit elle disparaîtra à brève échéance. Et il faudra des millions d’années, avant que ne refleurisse sur terre la moindre civilisation !

Et il ajouta ensuite : La nature, après tout, progresse par tâtonnements, par essais et erreurs. L’ Homo sapiens n’existe que depuis deux cent mille ans, tandis que la Terre existe depuis plusieurs milliards d’années. Peut-être que finalement, ce sera le destin de l’humanité de servir de garde-fou, par la splendeur des vestiges qu’elle laissera enfouis dans le sol, aux civilisations terrestres à venir.

Nous sommes libres. Libres donc responsables de nos actes et de nos choix. Nous pouvons construire ensemble ou nous détruire ensemble. Nous approchons de l’heure de vérité, du jugement dernier. Du jugement de Dieu ! “

Témoignages de lecteurs

“Un roman qui va rejoindre ma bibliothèque et que j’ai été contente de découvrir. Je vous conseille de suivre de près cet auteur et de vous plonger sans aucune réticence dans cet écrit.”

“C’est un roman ambitieux que vous avez écrit. Avec ce qu’il faut d’intrigue et de progression dans le non-dit pour donner envie d’en découvrir plus.”

“Il utilise une magnifique langue, sait construire un récit et rendre compréhensible des concepts hautement complexes, ce qui est loin d’être évident. “

A propos de Jean-Luc Cadranel, l’auteur

auteur

Jean-Luc Cadranel est né au Sahara dans l’après-guerre, dans une région qui bruissait encore des souvenirs des Français Libres et de la guerre du désert.

Là-bas, il découvre l’immensité du ciel dans les nuits étoilées, une beauté qui laisse sans voix. Il apprend aussi à réagir vite en vivant sur une poudrière nucléaire, à la merci des dictateurs. Il sait qu’il ne faut jamais se laisser endormir par l’illusion des routines du quotidien.

Jean-Luc, qui est avant tout un esprit rationnel, a été interpellé par le mystère de la vie, ce qui l’a conduit à s’intéresser aux religions.

Il souligne :

De réflexions en réflexions, j’ai fini par conclure que le sentiment religieux est une intuition rationnelle qui peut se partager et même être formalisée. D’où l’idée du titre de ce roman : “L’intégrale de Dieu”.

En parallèle, Jean-Luc se positionne comme un lanceur d’alerte, refusant de laisser le champ libre à des dirigeants sans foi ni loi, quelle que soit l’idéologie dont officiellement ils se prévalent.

Il confie :

Dans mes livres, je veux avant tout faire passer des messages pour que les gens prennent conscience de la précarité de l’Humanité. Tous à notre échelle, nous pouvons nous mobiliser et être des citoyens actifs du monde !

Pour en savoir plus

Site web : https://www.amazon.fr/dp/2956236407

Facebook : https://fr-fr.facebook.com/jeanluc.cadranel.1

Nostradamus : Les Prophéties, revenir à la source

Pour éviter de se laisser embarquer dans des “fake news” angoissantes et pour bien comprendre les prédictions de l’écrivain français du 16ème siècle, il y a urgence à revenir à l’essentiel : le fac-similé de l’édition de 1557, la seule réellement publiée du vivant de Nostradamus.

Il faut en effet savoir que Les Prophéties nous sont parvenues grâce à des centaines d’éditions. La complexité de la langue de Nostradamus (mélange de français, de latin et d’occitan) a ainsi conduit à toutes sortes de traductions, sans compter les interprétations plus ou moins hasardeuses qui en sont tirées.

Pourtant, aucun essai ni aucune interprétation n’en remplacent la lecture, confrontation obligée avec le texte authentique. Dans le contexte actuel, la transcription du fac-similé et la transcription modernisée de cette édition, sont plus que jamais à mettre entre toutes les mains.

“Les Prophéties de Nostradamus” viennent également d’être éditées en anglais. cover-cs5_5x8_5_v4_planet-2967684

Revenir à l’essentiel : le texte tel qu’il a été écrit par Nostradamus

Seule l’édition datée de septembre 1557 est généralement admise comme ayant été réellement publiée du vivant de Nostradamus.

Les autres ont été notoirement piratées ou antidatées. Quant aux éditions suivantes du texte, elles ont tendance à amplifier les erreurs typographiques et les autres coquilles, tout comme les ajouts et les textes apocryphes.

L’auteur souligne :

Au-delà des (nombreuses !) interprétations farfelues du texte de Nostradamus, il y a aussi des versions des Prophéties qui sont passées complètement à côté du texte originel, soit parce qu’elles ont pris un texte récent, soit parce qu’elles ont fait une véritable traduction, et donc une interprétation subjective.

Or le texte originel mêle du vieux français, du latin et de l’occitan, rédigés dans une forme poétique, ce qui multiplie le risque d’erreur. Pour pouvoir lire le texte correctement, ce recueil présente pour la première fois sous format numérique et papier, trois textes complémentaires :

  • le fac-similé de l’édition de 1557, sous forme de clichés des pages ;
  • la transcription de ce fac-similé,  en typographie actuelle et contemporaine, mais sans la moindre retouche ;
  • et une transcription modernisée de cette édition, pour faciliter la lecture et la compréhension.

Afin de préserver la qualité du texte, cette version modernisée ne se veut en aucun cas une traduction (et encore moins une interprétation !), mais une version lisible et respectueuse de la version originale. Outre la correction d’erreurs typographiques, le texte n’a été retouché que pour intégrer les règles d’orthographe modernes nécessaires à une lecture fluide et respecter le style poétique, tout en restant le plus fidèle possible au texte originel.

Cette version tripartite permettra au lecteur de confronter cette version originale aux nombreuses traductions et interprétations du marché, et de se faire sa propre idée sur le bien-fondé de ces ouvrages, comme outil de recherche pour une approche de l’univers poétique de Nostradamus.

L’auteur précise :

Cet ouvrage est d’ailleurs fidèle à la démarche recommandée par Nostradamus lui-même : en son temps, il a interdit la lecture de ses Prophéties aux charlatans de toutes sortes ainsi qu’aux illettrés, réservant expressément ses ouvrages à une élite de lettrés !

Une nouvelle version en anglais inédite

cover-cs5_5x8_5_v0_-_kindle Dans la version des Prophéties  en anglais, le recueil se compose :

  • du fac-similé de l’édition de 1557;
  • de la transcription modernisée de cette édition, traduite en anglais sans s’éloigner du texte et donc sans interprétation.

L’idée de ces Prophéties présentées dans la langue de Shakespeare est venue d’un constat de l’auteur et du traducteur :

Un jour, je suis tombé sur une traduction en anglais, disponible à la vente, qui n’avait rien de commun avec le texte original. Les erreurs étaient nombreuses et grossières : “Poète” devenait “Prostitué”, “Boulogne” était traduit par “Bologne”…

Cette version et traduction en anglais est nouvelle et inédite.

Un extrait des Prophéties

En Français

I

Étant assis de nuit secret étude,
Seul reposé sur la selle d’airain :
Flambe exiguë sortant de solitude,
Fait prospérer qui n’est à croire vain.

II
La verge en mains mise au milieu de BRANCHES,
De l’onde il moule et le limbe et le pied :
Une peur et voix frémissent par les manches,
Splendeur divine. Le divin près s’assied.

III
Quand la litière du tourbillon versée,
Et seront faces de leurs manteaux couverts :
La république par gens nouveaux vexée,
Lors blancs et rouges jugeront à l’envers.

IIII
Par l’univers sera fait un monarque,
Qu’en paix et vie ne sera longuement :
Lors se perdra la piscature barque,
Sera régie en plus grand détriment.

En Anglais

I
Sitting at night in secret study,
Alone rested on the brazen stool:
Tiny flame coming out of loneliness,
Makes prosper what is not vain to believe.

II
The wand in the hands placed in the middle of BRANCHES,
With the wave he moistens both the hem and the foot:
A fear and a voice tremble from the sleeves:
Divine splendor. The divine sits nearby.

III
When the litter of the whirlwind is poured,
And faces are covered by their coats:
The republic by new people will be abused,
Then whites and reds will swear wrongly.

IIII
By the universe will be made a monarch,
Who in peace and life will not be long alive:
Then the fishing boat will be lost,
Will be governed to its greatest detriment

Qui était Nostradamus ?

Michel de Nostredame, appelé Nostradamus, né le 14 Décembre 1503 à Saint-Rémy-de-Provence est mort le 2 Juillet 1566 à Salon-de-Provence. Apothicaire français, adepte de l’astrologie comme, à l’époque de la Renaissance, tous ses collègues, il publie de célèbres prédictions, les Prophéties. Elles contribuent à sa renommée au point que la reine Catherine de Médicis l’appelle à la cour et le nomme médecin et conseiller du roi.

Les avis des lecteurs

“Un ouvrage passionnant, parfaitement documenté. Un outil de qualité pour se plonger avec rigueur, et aisance, dans les prophéties de Nostradamus.”

“Voilà une lecture qui remet à sa place toutes les élucubrations qui ont été commises depuis des lustres. À chacun de se faire son interprétation… Presque un jeu ludique (pour une fois que c’est dans sa propre boîte à outils – son cerveau – et non plus sur un écran (tactile). J’ai aimé la poésie qui se dégage des “centuries”. On y trouve matière à bien des rêveries, ce qui est un plus, de nos jours… Je recommande.”

“Une édition qui répond à mes attentes : avoir accès à l’original et ce de manière lisible pour une néophyte. Ce qui m’a ensuite permis d’appréhender au mieux certaines interprétations plus ou moins hasardeuses. Mais c’est un autre sujet !”

“Personne n’est obligé de croire en la portée des centuries de Nostradamus. Un retour au texte de base permet d’en mesurer l’aspect poétique et difficilement analysable. Cette édition a le mérite de remettre l’édition originelle à la portée de tous les lecteurs et curieux en tous genres. Ce n’est pas un roman, mais une source indiscutable pour qui veut se lancer dans son interprétation.”

Informations Pratiques

Les Prophéties de Nostradamus

  • Editeur : Alter Publishing
  • 520 pages
  • Prix : 24,89 € en Français / 24,99 € en Anglais

Pour en savoir plus

Le livre en Français : https://www.alterpublishing.com/fr/auteurs/nostradamus/les-propheties.html

Le livre en Anglais : https://www.amazon.com/dp/B0863TFJFB

 

La mort dans la tête d’une hypersensible : le témoignage bouleversant de Marion Du B’, l’auteure de “Les banalités extraordinaires”

Nous avons tous été confrontés au deuil ou y seront confrontés un jour. Plus de 600 000 personnes décèdent chaque année en France (source : Insee, chiffres 2019) et laissent derrière elles des proches dévastés par la peine. Tous devront faire face aux obsèques, aux tracasseries administratives sans nom et surtout à un vide immense qu’il leur faudra apprivoiser.

Comment surmonter cette épreuve et la foule de sentiments, parfois contradictoires, qui nous envahissent ? Que faire pour avancer vers la résilience ?

“Les banalités extraordinaires” de Marion Du B’ fait voler en éclats les tabous et les silences pudiques qui entourent habituellement le sujet du deuil. L’auteure est l’héroïne de ce roman, elle ose parler à la première personne et raconter TOUT ce qui s’est passé à la mort de sa maman, mais aussi avant et les mois après. Sans filtre.

L’écriture est percutante, bouleversante de sincérité. Ce témoignage à cœur ouvert est aussi une formidable thérapie par le rire, fédératrice et positive, qui aide à se reconstruire.

Jamais personne ne vous aura parlé de la mort de cette façon !

les banalités extraordinaires

Derrière chaque épreuve que la vie met sur notre route se cache l’enseignement qui nous fera grandir

Dans son style inimitable à la fois Rock’n’Roll et acidulé, Marion Du B’ emmène les lecteurs dans une plongée au cœur de l’intime et de ce qui est trop souvent indicible.

L’auteure sort des sentiers battus et se livre à l’autopsie libératrice de tout ce qu’implique la perte d’un être cher : l’annonce du décès, l’organisation des funérailles, les documents administratifs, les banques… et puis il y a aussi cet après, si douloureux, avec un immense sentiment de solitude face aux proches.

Marion Du B’ souligne :

Ce roman est aussi, en filigrane, un ouvrage de développement personnel. J’ai voulu donner des clefs au lecteur pour faire de cette tragédie quelque chose qui le fera avancer, grandir. C’est un message d’amour et d’espoir. La résilience étant le fil rouge.

Synopsis

Un jour, la mort est entrée dans ma vie, par la grande porte, violemment et a tout arraché sur son passage. Viens, je vais te raconter comment ma vie a changé le jour où tout a basculé, le jour où ma mère a simplement – oui aussi connement que cela – trébuché sur un caillou.

Parce que la vie, tient finalement à peu de choses…

#JE SUIS

Il est vrai que 2015 fut une année horrible pour la France, terrible pour l’humanité… Elle laisse derrière nous des roses sur du marbre et des larmes dans des milliers de mouchoirs.

Mais elle nous donne aussi, l’envie de nous battre pour un monde meilleur, l’envie de vivre chaque seconde comme une chance, l’envie de mieux, ou plus, profiter des gens qu’on aime, ou simplement d’aller à l’essentiel en laissant de côté le superflu et l’inutile… Et enfin, l’envie de n’avoir qu’un seul but à atteindre : CELUI DU BONHEUR.

Car finalement, si on veut donner un sens à sa mort, il faut commencer par donner le bon sens à sa vie, et elle n’a de raison d’être que le jour où la trajectoire qu’elle prend est celle du bonheur, et ce, quel qu’en soit le moyen, le chemin et les outils pour y parvenir, si bien que même le trajet en devient merveilleux.

Alors pour tous ces morts que nous laissons dernière nous en 2015, 2016, 2017 et même 2018, pour toutes ces familles de victimes intolérables, nous allons désormais donner un sens à notre vie. Parce que justement, leur disparition n’en n’avait aucun.

VIVEZ – VIBREZ – AIMEZ

Note de l’auteure

“Il y a la vie, et il y a ce point où tout bascule et notre vie passe dans l’après.

Dans le sans.

Dans l’absence omniprésente de cet être cher qui nous manque tant. Tant de moments qui nous rappellent à cette douleur. Et pourtant, cela nous apprend aussi que la vie est un si beau et si fragile cadeau. Que chaque instant est précieux. Que chaque instant est unique et à apprécier, comme s’il pouvait être le dernier.

Et il peut être le dernier.

J’apprends chaque jour de la disparition de ma mère. Ça me fait grandir, ça m’enrichit… Parfois ça me couche à terre. Mais pourtant, la mort reste finalement une banalité car elle fait partie de la vie, et, dans certaines cultures c’est même une fête que l’on célèbre dans la joie. Mais mon dieu que ça fait mal, mon dieu que c’est dur !

Puis il y a ce fossé qui nous sépare aussi des autres, ceux qui ont des mots qui rendent la douleur plus vive, ceux qui ont des reproches, des réflexions qui font mal… même sans le vouloir.

“Pardonne aux ignorants, tu allégeras ton cœur…”

Je me répète ces mots dans ma tête comme un mantra. Je pardonne, car personne ne sait ce que c’est, sans l’avoir vécu.

Parce que même en l’ayant vécu, personne ne traversera une épreuve comme un autre le ferait.

“Pardonne aux ignorants. Ils ignorent, tout simplement.”

Souvent, ils n’ont pas les mots pour tenter d’apaiser une peine qu’ils ne connaissent pas…

Aujourd’hui, je prends ma plus belle plume, après être allée chercher au plus profond de mon âme, des larmes encore fraîches dans les yeux pendant que mes mains jouent sur le clavier, afin de partager avec vous, ce drame, qui un jour changea le cours de mon existence. Puisse t-il aider ceux d’entre vous, restés coincés dans une souffrance sans fin, dans une colère destructrice.

En toute humilité et avec tout mon amour. Marion.”

Du même auteur

Je suis tombée amoureuse de lui le jour où je l’ai quitté

je suis tombée

C’est l’histoire d’une jeune fille, comme vous, comme moi, Noah. Au travers de ce roman aux allures de journal intime, elle vous embarque dans son monde. Elle vous raconte sa vie au travers d’une plume hilarante au style provocateur, percutant, pittoresque et bouleversant de sincérité. Vous respirez son air, vous voyez avec ses yeux. Ce n’est pas votre cœur qui bat dans votre poitrine mais le sien qui pousse votre sang à ne faire qu’un tour. Vous voyagez dans son univers, du Sud-Ouest de la France aux Etats-Unis… Mais commençons par le commencement, son histoire débute le jour où elle est tombée amoureuse de lui, le jour où elle l’a quitté.

La bombe humaine c’est moi

la bombe humaine

C’est l’histoire d’une jeune fille, comme vous, comme moi, Noah. Après avoir tenté d’oublier H. dans Je suis tombée amoureuse de lui le jour où je l’ai quitté, Noah s’évertue dans cet opus à détacher les chaînes d’un passé qui l’empêchent d’avancer. Peu importe le résultat, tant qu’elle garde le contrôle. Enfin presque… Alcool, déshérence, expériences, famille, amitié, tout passe au scalpel de son questionnement de femme.

Ça m’agace

ça m'agace

C’est l’histoire d’une jeune fille, comme vous, comme moi, Noah. Après Je suis tombée amoureuse de lui le jour où je l’ai quitté et La bombe humaine c’est moi, Noah est bien décidée à reprendre sa vie en main, et à contrôler sa destinée. Doit- elle rechercher un travail pour une vie stable ou repartir pour un ailleurs meilleur ? Elle entreprend, avec sa meilleure amie, un voyage spirituel en Inde. Et ceci, peut- être, avant de tout quitter définitivement…

À propos de Marion Du B’

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Marion Du B’, 34 ans, est née dans le Sud-Ouest de la France. Elle est auteure depuis plus de dix ans.

Marion a notamment écrit une saga Rock’N’Roll et percutante, en trois romans, dans le style du journal de Bridget Jones.

Formée à la PNL, à la communication non violente, à diverses techniques de développement personnel et de postures bienveillantes envers son prochain, elle écrit des romans thérapeutiques, au style complètement déjanté qui font tout simplement du bien aux lecteurs. Ils les conduisent en effet, sans qu’ils en soient forcément conscients au départ, vers un mieux-être intérieur.

Marion Du B’ confie :

Tel un stand-up littéraire, mes livres sont le reflet de la vie que je mène, toute en couleurs, haute en émotions ; celle d’une génération blessée mais pleine d’optimisme.

Début 2020, l’auteure monte sa propre maison d’édition, Chafouine éditions, avec un objectif : publier un roman hors-série, totalement atypique, dont elle sera elle-même l’héroïne et qui constituera un témoignage sur le décès de sa maman survenu en 2016.

À partir du 1er avril, ses livres seront diffusés par les éditions CAIRN. Cet été, ils sortiront également en format audio, lus par l’auteure. Une approche totalement inédite au vu du sujet traité !

Pour en savoir plus

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Facebook : https://www.facebook.com/mariondubauteure/

Instagram : https://www.instagram.com/mariondubauteure/

Sortie livre : “Permission de Naître”, le deuxième roman de Thalia Remmil, à paraître le 29 mars 2020

« Tant désiré et maintenant rejeté, j’ai décidé de m’accrocher pour voir la tête que fera ma mère ! »

Après “Tendresse Aveugle”, Thalia Remmil publie un nouveau roman psychologique passionnant autour de la difficulté d’aimer quand la routine du couple s’installe. Abandonner son statut de jeune femme pour celui de jeune maman est loin d’être une évidence !

Mais dans “Permission de Naître”, ce n’est pas Pauline, la mère qui parle.

Le narrateur n’a pas de nom. Pour l’instant, du moins. Et pour cause, il n’est qu’une âme. Après moultes réincarnations, elle recommence le processus à zéro. Lasse des vicissitudes humaines, elle se demande si cette nouvelle vie va l’amener à un constat plus réjouissant sur l’humanité.

Timothée, depuis le ventre de sa mère, invite les lecteurs(trices) à plonger dans une aventure qui tient en haleine de la première à la dernière page. Car au-delà de l’histoire d’amour de ses parents, des problèmes de maternité et de paternité, il y a le questionnement de la naissance, celle que l’on se donne le droit d’avoir, sa liberté d’être et de vivre.

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Faut-il se pardonner ses fautes pour naître à la vie ?

Timothée n’est pas encore né mais c’est pourtant lui qui parle, lui qui a envie de naître malgré tout, et qui déroule le fil de son histoire mais aussi de celle de Pauline et Adem, ses parents.

Il nous conte les mille et une nuits zébrées de leur rencontre : Pauline en vacances avec son pote homo à Istanbul qui tombe amoureuse d’un guide turc aussi macho qu’irrésistible. C’est le véritable coup de foudre. Sans davantage réfléchir, ils décident de se marier, Adem quitte son pays natal pour aller vivre en France ; les voilà partis dans une vie conjugale loin des étoiles de la cité magique. Quand enfin, elle tombe enceinte après d’interminables espoirs, Pauline se braque : elle ne veut pas de ce bébé. Certaines haines cachent parfois des erreurs commises que nous n’arrivons pas à nous pardonner…

Dans “Permission de Naître”, Thalia Remmil parle de la difficulté d’aimer… mais pas seulement ! Ce roman captivant offre plusieurs niveaux et angles de lectures, autour de multiples thèmes :

  • la réincarnation et la rédemption avec la capacité de chacun de nous de devenir une meilleure version de soi-même ;
  • le poids du secret de famille ;
  • la paternité biologique ;
  • la place du papa ;
  • la réincarnation ;
  • la grossesse gémellaire ;
  • la  première grossesse ;
  • le « enceinte blues » ;
  •  le pardon.

Le tabou des grossesses mal vécues

“Permission de Naître” ose aussi aborder un sujet dont on ne parle pas : les grossesses mal vécues et tous les questionnements autour du fait de perdre son statut de femme, de fille, pour devenir une mère.

Un sujet qui fait écho à la vie de l’auteure.

Thalia Remmil confie :

Mal vivre sa grossesse est encore tabou dans notre société ! J’ai vécu mes 2 grossesses comme un don du ciel mais j’ai aussi connu les affres des fausses couches et du difficile face à face lorsque le choix de l’avortement s’impose à nous.

C’est cette réalité qui a donné naissance à “Permission de naître” : Timothée, le futur bébé à venir, est le guide qui conduit les lecteurs(trices) au cœur de cette intrigue, jalonnée de secrets et de mensonges, mais aussi d’une vérité.

Une auteure atypique

Thalia Remmil se livre en filigrane dans chacun des personnages de ses romans. On peut la retrouver chez Nahéma, Pauline, et Mèl son 3ème roman en préparation, ses 3 héroïnes, mais aussi un peu chez Dorothée, la mère de Pauline.

Depuis l’enfance, son chemin de vie a été toxique, malsain, malmené, manipulé et clivé. Comme tant d’autres personnes, elle a connu des heures de souffrance et de nombreux obstacles à surmonter.

Mais c’est aussi ce qui donne de la puissance à son écriture. À l’heure des mouvements #BalanceTonPorc et #MeToo, qui ont contribué à libérer la parole des femmes, l’auteure montre qu’il est important d’oser dire et de dénoncer la loi du silence. Et surtout, elle montre qu’une résilience est possible pour se construire une vie plus belle et plus lumineuse.

De nombreuses lectrices se reconnaîtront dans son parcours, elles pourront mettre leurs pas dans les siens mais aussi trouver des pistes pour se relever et continuer à avancer.

Un extrait du livre

 Annoncer l’heureuse nouvelle à son mari. Mon Dieu il va sauter de joie ! Dans les yeux de Pauline brille la douleur, et ce NON qui résonne en elle. NON elle ne veut pas, elle n’en veut pas ! 

« En », cet enfant, elle le tue dans son ventre, il ne peut pas exister ! Elle se dégoûte de ces pensées, elle si douce, si fragile, devenue répugnante ! Elle qui a tellement désiré être enceinte, devenir mère. Elle qui malgré ses multiples tentatives infructueuses, gardait espoir qu’un petit être viendrait se nicher dans son ventre. Comment a-t-elle pu se laisser aller si facilement à cette erreur de parcours ?

Pourquoi Adem l’a-t-il délaissée au point que cette solitude en devienne fatale ? Pourquoi n’a-t-elle pas trouvé la force de résister ? La culpabilité, ce monstre maléfique, lui broie les intestins.

Cette chose l’a transformée. 

Informations pratiques

  • “Permission de Naître” de Thalia Remmil
  • Date de parution : dimanche 29 mars 2020
  • Pré-commande à partir du 21 mars sur Amazon KDP
  • Nombre de page : 367
  • Récompenses : Sélection “Concours Pitch 2019″ sur Librinova

À propos de l’écrivaine Thalia Remmil

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Thalia Remmil est écrivaine, entrepreneure, mère de 2 grands enfants et mamie d’un bout de chou de 20 mois.

Son parcours de vie chaotique lui a fait découvrir ce que signifient les mots « traumatisme d’enfance ». Femme construite et accomplie, elle vit dans le Vexin, région du Nord-Ouest de la France, avec sa famille, ses deux chiens et ses neuf chats.

Elle qui a toujours écrit décide en 2019 de se lancer dans la rédaction et la publication de son premier roman, “Tendresse aveugle”.

Elle dévoile :

Ma vie intense est un roman dont j’ai appris à tourner les pages avec l’écriture. Finalement, la naissance de mes enfants et la pratique d’une multitude de thérapies permettent ma résilience.

Son univers, empli d’une grande sensibilité pose inlassablement la question : C’est quoi l’Amour ? Au travers de fictions aux personnages attachants, l’écriture lui permet d’exorciser ses souffrances tout en faisant voyager ses lecteurs dans des univers mystiques, palpitants et envoûtants.

Thalia Remmil écrit pour le moment des livres qu’elle nomme « romans psychologiques », mais aussi des autofictions. L’artiste engagée aimerait apporter sa voix sur des causes qui lui tiennent à cœur, telle que l’enfance maltraitée, les relations toxiques, les femmes et leurs droits ou encore la résilience.

Elle souligne :

Si je peux mettre quelques pierres à l’édifice de la protection de l’enfance et la femme en danger, j’aurais fait ce pourquoi, je pense, je suis venue au monde.

Avec son deuxième roman, l’auteure souhaite développer et fidéliser sa communauté de lecteurs. En parallèle, son troisième livre est déjà en cours d’écriture : comme les deux premiers, il s’agira une fiction inspirée de sa vie.

Pour en savoir plus

Découvrir le livre : http://thaliaremmil.com/roman-resilience-permission-de-naitre-evenement/

Site web : https://thaliaremmil.com

Facebook : https://www.facebook.com/ThaliaRemmil/

Instagram : https://www.instagram.com/thaliaremmilauteure/

Sortie livre : “Nouvelles Vibrations”, s’inspirer des stars du rock, de la pop et du hip-hop pour innover

Elvis Presley, Serge Gainsbourg, Led Zeppelin, Kate Bush, Beyoncé, Daft Punk, Kendrick Lamar, Rihanna : ces artistes n’ont pas seulement marqué l’histoire de la musique, ils ont aussi façonné et transformé une industrie, n’hésitant pas à bousculer les pratiques en vigueur pour mieux s’imposer. Ces grands noms du rock, de la pop, ou du hip-hop sont aussi des innovateurs qui peuvent inspirer tous ceux qui veulent développer des idées nouvelles.

Dans Nouvelles vibrations (éditions EMS), Albéric Tellier mobilise, de manière très accessible, les résultats les plus importants de la recherche sur la créativité et l’innovation. Il montre comment les œuvres musicales naissent, prennent forme et se diffusent.

Le lecteur pourra ainsi découvrir l’histoire souvent mouvementée de groupes sur la route du succès, les déceptions de créateurs de nouveaux instruments convaincus de leur réussite, et l’ambiance qui règne au sein des camps d’écriture où des équipes travaillent sans relâche à la création des hits de demain.

Passionné de musique, d’histoire de la musique et Professeur de management de l’innovation à l’université Paris-Dauphine, Albéric Tellier décrypte les pratiques de groupes et artistes pour en tirer des enseignements applicables à d’autres domaines et notamment à l’entreprise.

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Quand l’innovation musicale fait écho à l’innovation en entreprise

Dans le monde de la musique enregistrée, il est nécessaire d’innover sous peine de disparaître.

Et les leçons que l’on peut tirer en étudiant les musiciens qui produisent des œuvres, ou leurs labels qui imaginent de nouvelles techniques pour les soutenir, sont utilisables dans bien d’autres domaines.

Ce livre s’adresse aux passionnés de musique, aux professionnels en charge des projets d’innovation, et à tous ceux qui veulent mieux comprendre le processus par lequel une idée créative devient un produit ou service à succès.

Enseignants, étudiants, dirigeants ou managers, tous ont à apprendre du processus créatif qui a guidé des artistes et des groupes renommés de différentes générations (Rihanna, AC/DC, Beyoncé, Kendrick Lamar, The Police, etc.).

Un extrait du livre

“Comme nous allons le voir tout au long des vingt chapitres qui suivent, dans la musique, comme dans toutes les industries culturelles, la créativité des artistes s’exprime dans des processus et des contextes organisationnels qui peuvent la contraindre, l’influer ou la stimuler.
Du côté des dirigeants qui doivent gérer ces processus et ces contextes, il est important de garder à l’esprit qu’une entreprise ne peut espérer innover que si elle parvient à surmonter des points de blocage qui peuvent survenir à quatre niveaux principaux : les acteurs, les projets, l’organisation et la stratégie. Sans incitation, sans dispositif dédié, les acteurs d’une organisation peuvent se comporter comme des courroies de transmission et non des forces de proposition.

Les chercheurs Greg Stevens et James Burley (1997) ont montré que dans seulement un cas sur dix une personne qui a une idée nouvelle dans le cadre de ses activités professionnelles trouve le temps, l’énergie et l’envie de la formaliser pour la défendre auprès de sa hiérarchie ! Si l’idée est acceptée, elle devient projet et le parcours d’obstacles est loin d’être terminé ! Le temps du projet est celui des contraintes, des objectifs à atteindre, des négociations à mener au sein de l’équipe, du timing à respecter…

Ces projets d’innovation ne sont pas toujours bien vus au sein de l’organisation car ils consomment des ressources que d’autres voudraient utiliser et bousculent les habitudes, les compétences acquises. Parfois, c’est même la stratégie de l’entreprise qui est remise en cause. Difficile défi à relever pour une équipe dirigeante : accepter de laisser des projets d’innovation se développer au sein de l’organisation alors que ces derniers sont susceptibles de contester les buts, priorités et objectifs précédemment définis par la direction elle-même !”

Sommaire

1re Partie - CONVAINCRE DES CLIENTS

  • Kate Bush, Never for Ever – De l’utilisation à l’usage : l’appropriation de l’innovation
  • AC/DC, Back in Black – Enrichir l’expérience client
  •  The Flaming Lips, Zaireeka – La création de valeur
  • Beyoncé, BEYONCÉ – Le lancement de l’innovation : effet d’annonce ou effet de surprise ?

2e Partie - INTÉGRER DES COMMUNAUTÉS

  • Grateful Dead, American Beauty – Créer et mobiliser une communauté de fans
  • Bob Dylan, Highway 61 Revisited – Accepter le conflit avec la communauté des fans
  • Kendrick Lamar, Damn – Faire appel aux communautés pour innover
  • Rihanna, Rated R – Les espaces collaboratifs d’innovation

3e Partie - GÉRER LES CONFLITS

  • The Police, Synchronicity – Quand les tensions internes nourrissent les projets d’innovation
  • Frank Sinatra, In the Wee Small Hours vs. Elvis Presley, Heartbreak Hotel – Les guerres de standards
  • Blur, The Great Escape vs. Oasis, (What’s the Story) Morning Glory ? – Quand la concurrence profite à tous les protagonistes
  • The Notorious B.I.G., Ready to Die vs. Tupac, All Eyez on Me – Quand la concurrence nuit à tous les protagonistes : l’effet Reine Rouge

4e Partie - SURMONTER LES ÉCHECS

  • Prefab Sprout, Jordan : The Comeback – L’incapacité à suivre le rythme
  • Serge Gainsbourg, Histoire de Melody Nelson & Françoise Hardy, La question – La bonne idée au mauvais moment
  • The Who, Who’s Next – La mauvaise idée au bon moment
  • Metallica, St. Anger – Apprendre de ses échecs et rebondir Feat. Émilie Ruiz

5e Partie – COMPRENDRE LES SUCCÈS

  • Katy Perry, Teenage Dream & Taylor Swift, 1989 – L’art de pivoter
  • Stephen Duffy, Music in Colors & Robbie Williams, Intensive Care – Quand le succès dépend du succès : l’effet Matthieu
  • Daft Punk, Random Access Memories – Puiser dans le passé pour concevoir le futur
  • Led Zeppelin, Led Zeppelin IV- Oublier les recettes du succès… pour réussir à nouveau Feat. Franck Aggeri

Portrait d’Albéric TELLIER, l’auteur

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Docteur en sciences de gestion, agrégé des Universités, Albéric Tellier est Professeur à l’Université Paris-Dauphine, Université PSL. Il enseigne principalement le management stratégique et le management de l’innovation.

Au sein de l’équipe M-Lab du centre de recherche DRM (UMR CNRS 7088), il développe des travaux sur les stratégies en situation de compétition technologique, les stratégies collectives et les réseaux d’innovation. Ses recherches ont été publiées dans plusieurs revues académiques françaises et internationales. Il est notamment le coauteur de l’ouvrage : Gestion de l’innovation, Comprendre le processus d’innovation pour le piloter (EMS, 2013).

Il a également publié Bonnes vibrations en 2017, récompensé par le Prix “Coup de Coeur” Consultin’France 2018. Dans cet ouvrage, il étudie comment les disques mythiques peuvent nous éclairer sur les défis de l’innovation.

Nouvelles vibrations est le prolongement de ce travail de recherche qui lie musique et innovation. Ont participé à cet ouvrage : Franck Aggeri (Mines ParisTech, Université PSL) et Émilie Ruiz (Université de Strasbourg).

A propos des Editions EMS

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EMS, Editions Management et Société, publie des ouvrages en management-gestion depuis plus de 20 ans. La maison d’édition, réputée pour la qualité de ses publications de recherche universitaires, explore de nouveaux domaines avec des auteurs dynamiques et innovants.

Elle publie plus de 40 nouveautés par an.

Informations pratiques

Nouvelles vibrations d’Albéric TELLIER

  • Éditeur : EMS
  • Sortie : 12 mars 2020
  • 288 pages
  • Prix : 22 €
  • ISBN : 978-2-37687-345-7
  • Format : 155 x 240
  • Livre diffusé en librairies et tous points de vente, en format imprimé et électronique

En savoir plus

Consulter un extrait : https://www.editions-ems.fr/images/emscatalogue/ouvrages/extrait_ext_nvelles-vibs.pdf

Commander le livre : https://www.editions-ems.fr/livres/collections/hors-collection/ouvrage/570-nouvelles-vibrations.html

Site web : https://www.editions-ems.fr/

Facebook : https://www.facebook.com/EditionsEMS/

Twitter : https://twitter.com/editionsEMS

LinkedIn : https://www.linkedin.com/company/editions-ems/

La face cachée de la douance révélée dans “La surprise du surdoué”, roman-témoignage de Pascal-Henri Poiget

Un surdoué, qu’est-ce c’est ? Tout le monde a en tête le cliché d’un “petit génie” qui résoudrait une mystérieuse équation mathématique d’un claquement de doigt.

Pourtant, la réalité est toute autre. 2,5% de la population ont un QI (quotient intellectuel) supérieur à 130, alors qu’il est compris entre 85 et 115 pour la plupart des gens.

Pascal-Henri Poiget, l’auteur de La surprise du surdoué (Éditions AlterPublishing), l’aborde dans son roman : “Être surdoué, ce n’est pas être différent au niveau intelligence ou cérébral, c’est être différent en tout : physique, émotivité, cérébralité.”

Le surdoué, n’est donc pas seulement rapide… C’est aussi celui qui peut être dans la lune, souvent solitaire, toujours multi-tâches, très empathique et donc parfois manipulé, hypersensible, créatif, tellement perfectionniste et curieux qu’il donne aussi l’impression de ne pas pouvoir “se fixer” et “trouver sa place”.

D’ailleurs 30% des enfants “à haut potentiel” échouent dans leur cursus scolaire et un sur deux vivra un épisode de dépression plus ou moins intense au cours de ses études (source).

Dans son roman, librement inspiré d’une histoire réelle et étayée par de nombreuses recherches sur le sujet, Pascal-Henri Poiget écrit :

Pour donner une image de mon cerveau, c’est un moteur qui s’emballe, en permanence, au bord de l’explosion, dans une descente en roue libre, où tous les moindres freins sont hors d’usage ou impuissants. La seule différence, c’est qu’il n’y a jamais de fin, jamais de chute. Que l’on cherche en permanence en soi un quelconque frein à main, ou, à défaut, des freins à disque. Qu’on ne trouve pas.

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La douance, une vie en décalage permanent avec les autres

“J’ai compris assez tôt que j’étais différent, donc. Atypique, comme on dit. Oh, ça ne veut pas dire plus intelligent, meilleur que d’autres. Non. Au contraire. On a l’impression d’être un animal à part, un zèbre, comme on le qualifie souvent. Le zèbre a des rayures blanches et noires. Ce n’est pas un cheval. Ce n’est pas un âne. C’est un zèbre. Est-ce mieux ? Est-ce moins bien ? C’est différent, tout simplement. Singulier, au mieux.”

Le surdoué est tellement singulier qu’il peut vivre son haut potentiel comme une souffrance. Car le décalage avec les autres est marqué à de multiples niveaux :

Sur le plan intellectuel : il a une pensée transversale ou matricielle, quand les autres ont une pensée verticale. Il est donc souvent capable d’avoir des solutions quand les autres en sont aux questions… mais il ne saura pas expliquer comment il a eu les réponses. Le raisonnement même lui échappe : “Vous avez la solution, sans savoir comment vous l’avez eue, sans pouvoir justifier le cheminement de votre pensée, sans pouvoir donner le moindre indice aux autres et à vous-mêmes du comment vous avez trouvé le juste résultat.”

Sur le plan comportemental : il a l’air de ne pas écouter alors qu’il a parfaitement entendu, a l’air absent même s’il écoute attentivement, donne l’impression d’être en-dehors alors qu’il est à fond, gère en permanence plusieurs sujets à la fois ce qui peut le disperser (ou lui donner l’air dispersé).

Sur le plan physique : en ébullition permanence, son corps est presque bipolaire, avec des pics d’énergie et des pics de fatigue.

Le résultat est une vie cocasse et singulière, en marge, avec laquelle il va falloir apprendre à composer. Le zèbre est pris au mieux pour un illuminé sympathique, au pire pour un fou. Dans la sphère professionnelle comme personnelle, s’aventurer en dehors des sentiers battus est en effet valorisé… mais seulement à condition de ne pas aller trop loin !

Pascal-Henri souligne :

Un “zèbre” n’est ni blanc ni noir. Alors, comme le vilain petit canard du conte d’Andersen, il doit apprendre à vivre ses différences. Il n’a pas le choix. Encore une fois, question de survie.

Un mode de fonctionnement à 200%

« Être surdoué, c’est vivre excessivement au lieu de normalement, transversalement et non verticalement, passionnément plutôt que raisonnablement. Ce n’est pas être mieux, c’est être trop en tout, autrement et involontairement. »

Le surdoué vit rarement dans l’ici et le maintenant. Son esprit est toujours ailleurs, il suit avec passion mille et une idée qu’il veut explorer dans les moindres détails, donnant souvent une fausse impression de distraction.

Il n’y a pas que son cerveau qui turbine à 300 à l’heure, son hypersensibilité aussi. Un surdoué a constamment l’émotion au bord des lèvres, une hyperréactivité qui fait éclater en sanglot et qui anéantit au quart de tour. Il suffit d’une demi-seconde pour que tout bascule !

“Trop forte, trop vive, trop envahissante”, cette émotion va aussi avoir un impact sur le corps.

« (…) les dernières études et expériences prouvent la chose suivante : avec ce bouillonnement cérébral, ce déchaînement du cœur, le corps n’est pas en reste et n’a rien à leur envier : il est lui aussi plus réactif. Là où les autres sont bien portants, vous êtes allergique. À tout. Vous avez mal. Pour un rien. De telle sorte qu’on vous explique que vous vous écoutez. Certains ont même remarqué que la température de leur corps était un peu plus élevée. Foutaises ? Illusions ? Pas si sûr. Comme si cette cocotte-minute cervelée et cardiaque se répercutait sur le reste du corps. Et comme si ça ne suffisait pas… Non seulement ça va vite, mais il y a des hauts et des bas : des phases de surexcitation et des phases d’abattement… En permanence. »

Cacher sa différence pour mieux s’intégrer

Comment bien vivre en société quand on n’est pas comme tout le monde ? Parce que la plupart des “surdoués” ne sont pas identifiés comme tels, ils vont se percevoir comme fous, atypiques et anormaux. Cette souffrance est d’autant plus vive qu’elle est exacerbée par leur hypersensibilité.

Le surdoué vit alors sa différence dans la solitude et l’incompréhension, allant parfois jusqu’à sombrer dans la dépression.

Il est d’autant plus complexe de s’ouvrir aux autres que le sujet de la douance est relativement méconnu et sujet à beaucoup d’idées reçues. Oser dire “je suis surdoué(e)”, revient souvent à s’exposer au mépris ou au rejet.

Pourtant, il est indispensable de s’avouer cette réalité à soi-même, pour la comprendre et l’assimiler, afin de composer avec le mieux possible.

« De ce fait, on vit au jour le jour. En essayant de vivre au milieu des autres, sans rien leur expliquer, sans rien leur dire, sans rien leur imposer. Question de survie. En se forçant à ne rien montrer. C’est relativement facile, en fait : tout se passe à l’intérieur. »

Même si au quotidien, le zèbre peut être amené à vivre des situations étonnantes !

L’un des protagonistes surdoués de cette histoire vraie romancée, lui, a un instinct très puissant, qui l’amène à remarquer ce que les autres ne voit pas. Il détecte par exemple facilement les femmes qui sont enceintes, les couples légitimes ou pas, et les personnes qui se droguent.

C’est l’ensemble de la vie qui est cocasse et décalée. En permanence, sur tous les sujets :

« La personne qui m’a parlé des atypiques, ou plutôt des surdoués, me dirait : « Ce n’est pas l’instinct. Ton esprit met bout à bout des informations qui sont inaccessibles pour les autres, et, logiquement, en arrive à une conclusion. Ce que tu prends pour de l’intuition est simplement le fruit d’un assemblage de données issues de ton cerveau. »

« Pour les couples ok, pour la dope, d’accord, mais pour les femmes enceintes, sérieusement, je ne comprends pas ! Car il m’est souvent arrivé de savoir, avant elles, qu’elles attendaient un enfant. Peut-être avais-je repéré un teint brouillé, un détail physique qui ne me trompait pas ? Je suis très, mais très observateur. Sans le montrer. On croit d’ailleurs souvent que je ne regarde pas, que je n’écoute pas : j’ai le regard lointain, les yeux perdus ailleurs, fixés sur un point vague. Au contraire, je vois et j’entends. À ma manière. Sans le montrer. Mais j’écoute avec beaucoup d’attention. Que d’autres n’ont pas. »

La surprise du surdoué, le nouveau roman de Pascal-Henri Poiget aux éditions AlterPublishing

La surprise du surdoué est le nouvel ouvrage de Pascal-Henri Poiget, publié à la fois au format numérique et papier aux éditions AlterPublishing.

Une histoire fondée sur une intrigue véritable, à la fois incroyable, impensable et impossible parce que la réalité dépasse toujours la fiction.

« Le zèbre, cet animal différent, cet équidé qui est le seul que l’homme ne peut apprivoiser, qui se distingue nettement des autres dans la savane tout en utilisant ses rayures pour se dissimuler, qui a besoin des autres pour vivre et prend un soin très important de ses petits, qui est tellement différent tout en étant pareil. Et puis, comme nos empreintes digitales, les rayures des zèbres sont uniques et leur permettent de se reconnaître entre eux. Chaque zèbre est différent. », selon Jeanne-Siaud Facchin, qui évoque ces « drôles de zèbres ».

Mais est-il vraiment si simple pour les surdoués de s’identifier entre eux pour se sentir enfin compris et en sécurité ? C’est justement l’objet de ce roman passionnant.

Le synopsis du livre

« Être surdoué, c’est l’émotion au bord des lèvres, toujours, et la pensée au bord de l’infini, tout le temps. » Quand un surdoué rencontre ce qu’il imagine être une surdouée, les standards et les références explosent de part et d’autre.

Rythmée par des airs de chanson, la douance, l’amour, l’humour et la musique sont les ingrédients inédits d’une rencontre imprévue, improbable et impitoyable, qui va faire valser les derniers repères.

Être surdoué n’est pas un avantage, pas une supériorité, c’est un décalage, voire une souffrance, un voyage permanent entre passion et raison. Car comme l’écrit Erasme, « Toute la différence entre un fou et un sage, c’est que le premier obéit à ses passions et le second à la raison. »

À propos de Pascal-Henri Poiget

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Après une double licence de lettres classiques et d’études appliquées de civilisation, complétée par des recherches en troisième cycle en littérature et civilisation française, Pascal-Henri Poiget s’est réorienté vers une carrière centrée sur les chiffres et les ressources humaines après l’obtention de son diplôme de l’ESSEC.

Passionné de musique, de littérature et de cinéma, il se consacre à l’écriture en marge de sa vie professionnelle, où il a coécrit trois ouvrages de management. Aux Éditions AlterPublishing, il a publié Le jeu de Marienbad (2012), Debussy musicien des poètes (2013), Chateaubriand fervent des femmes (2013), Un amour de manipulateur (2016), Le choix d’attendre (2018), La surprise du surdoué (2019) et une version modernisée des Prophéties de Nostradamus (2015).

Aujourd’hui, avec La surprise du surdoué, son nouvel ouvrage disponible en e-book et sous format papier aux Éditions AlterPublishing, Pascal-Henri Poiget élargit son champ d’action et aborde une thématique forte.

Pour en savoir plus

Site internet de l’auteur : https://www.pascalhenripoiget.com

Éditions AlterPublishing : https://www.alterpublishing.com/fr/la-surprise-du-surdoue.html

Instagram Pascal-Henri POIGET : https://www.instagram.com/phpoiget/

Twitter Pascal-Henri POIGET : https://twitter.com/PHPoiget

Sortie livre : “Quand bruissent les ailes des libellules”, Une grande aventure romanesque et historique, une histoire d’amour, d’indépendance et de liberté !

Synopsis du livre

Élisa a décidé de quitter son compagnon. Émue, la jeune femme se rend à la Ferme des Marais, la maison de son enfance, où souvenirs heureux et nostalgie s’entremêlent. Dans une vieille boîte, une lettre. Celle que sa grand-mère Jeanne lui a laissé avant de disparaître, une lettre à n’ouvrir qu’après sa mort, une lettre emplie de mystère et de secrets…

En 1925, Jeanne a dix-huit ans, elle rêve de Paris, de devenir infirmière et bien sûr d’amour.
Mais son monde se réduit à son petit village de paysans et à ses coutumes rigides. Jusqu’au jour où elle rencontre Eugénie Morel et son frère Marius. Tout semble alors sourire à Jeanne, mais dans la petite bourgade, le drame couve…

Jeanne parviendra-t-elle à trouver la liberté et le bonheur qu’elle appelle de tous ses vœux ? Sa lettre changera-t-elle le cours de la vie d’Élisa ?

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Un destin de femme exceptionnel

Dans son nouveau livre, Rosalie Lowie évoque la vie des femmes en 1925.

Cette grande aventure romanesque et historique, qui met en scène un secret de famille, a été inspirée par la grand-mère de l’auteure.

Rosalie Lowie confie :

Ma grand-mère ne nous a jamais parlé de sa vie. C’est à la fois terriblement frustrant et triste… alors j’ai eu envie de lui inventer une vie. Puis l’imagination a pris le dessus et j’ai voulu parler des femmes au cœur de la France de 1925.

Extrait

Que sait-on finalement de la vie de sa grand-mère ?
Pas grand-chose.
C’est en substance ce qu’Élisa Beaulieu se dit, en détachant ses yeux de la lettre. Et cette pensée la bouleverse terriblement. Quel est donc le secret de Jeanne ?
La tombe est fleurie de roses blanches, ses préférées. Baignée d’un étrange halo luminescent, l’atmosphère du petit matin s’embrase d’une brume d’étoiles crépitantes, comme des allumettes enflammées par le frottement sec.
Il va faire beau.
Élisa retient cet instant du bout des yeux.
Les âmes perdues des morts chatouillent les pieds, dans un dédale de stèles de guingois, tapissées d’herbe drue dans le plus pur style anglais. Parfois, un souffle mélodieux, issu d’une harpe invisible, retentit au travers des buissons d’aubépine qui ceinturent l’endroit.
Accroupie, Élisa caresse du bout des doigts les pétales humides de rosée matinale. L’envie de réciter une prière l’étreint, un « Je vous salue Marie », pour assurer que l’amour est plus fort que l’oubli. Pourtant, le visage de Jeanne s’évapore dans le relief de ses souvenirs depuis quatre mois, gommés grossièrement. Bientôt, seules des traces noirâtres et éparses subsisteront sur la toile du passé.
Il est encore tôt.
Une fraîcheur incisive picote les chairs et s’insinue dans les veines. Élisa a toujours bien aimé venir le matin (très tôt parfois) se recueillir sur la sépulture de sa grand-mère. Quand il n’y a pas âme qui vive… L’ombre des fantômes joue à cache-cache avec l’austère gardien fossoyeur des lieux, un vieux bougre, taiseux, au dos brisé, au visage si anguleux qu’il en laboure le sol de larges sillons. Il boitille, appuyé sur son balai, crache sa chique en boule visqueuse et noirâtre, tous les dix pas. Mais il n’y a pas plus protecteur que lui pour le cimetière. C’est une vraie terreur et dès que son regard de rapace se pose sur vous, les frissons d’angoisse ne sont pas loin. Les gamins ne jouent plus entre les tombes. Les chats ne grattent plus le sol. Même les oiseaux font grise mine et hésitent à se poser sur les stèles. Le gardien aime ses morts et ils le lui rendent bien.
Un homme âgé se tient à l’écart. Cheveux grisonnants, une tristesse élégante dans le teint flétri, plus blanc qu’un linge trop savonné. Un homme âgé encore beau, au profil grec, qui exhale la puissance passée et la douce sagesse du grand âge. Malgré la démarche légèrement claudicante d’un corps rongé d’arthrose, il accroche le regard.
Il n’approche pas, préférant garder ses distances. Stoïque, il semble méditer en silence. Ou bien il hésite sur la direction à prendre pour rejoindre la tombe visitée. Peut-être a-t-il oublié.
Les bras chargés de fleurs et un sourire fané sur les lèvres.
Finalement, il se dirige vers une tombe en marbre, sur la droite.
Élisa rassemble ses esprits en vadrouille, replie la lettre du bout des doigts.
Il est temps de rentrer chez Mamie Jeanne et d’affronter le passé.

Une auteure déjà récompensée par le “Grand Prix Femme Actuelle 2017″

Le policier de province, Marcus Kubiak rêve de ses vacances dans les îles. Un cadavre sur la falaise compromet ses plans. Dans la petite station balnéaire de Wimereux, aux portes de l’Angleterre et de la Mer du nord, dans des paysages sauvages à couper le souffle, c’est le choc. Surtout à l’approche de la saison touristique…Marcus Kubiak se voit confier l’enquête et croise sur son chemin l’intrépide journaliste, Zoé Rousseau et son flair redoutable. Mais le printemps vire au cauchemar quand un second cadavre remonte à la surface…

Le premier roman de Rosalie Lowie, le polar “Un bien bel endroit pour mourir” a reçu le “Grand Prix Femme Actuelle 2017″.

Publié d’abord en grand format le 25 mai 2017, il a ensuite été réédité en format France Loisirs sur les catalogues du 1er semestre 2019. Il connait actuellement une nouvelle vie puisqu’il est sorti le 4 juillet 2019 en format poche aux éditions Pocket.

 Témoignages de lectrices

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“Merveilleuse Jeanne !
Une belle et poétique histoire de femmes libres, alors que les années folles sont aux portes de Paris, bien loin de la campagne et de la ferme des marais.
L’écriture est musicale, poétique. L’émancipation de ces femmes où la vie est rude, les sillons tracés, le cœur et la passion camouflés. Bravo !”

“En un mot ce roman est tout simplement magnifique ! Entre les pages se déroulent des destins de femmes au cœur d’une époque où leur liberté ne dépassait pas le cercle familial. On se trouve plongé dans la France rurale, au bord de la Canche et on chemine auprès de Jeanne, une héroïne dont la seule force est celle d’aimer. Un témoignage prenant sur les années 1925 où celles que l’on voulait soumises se sont révoltées imperceptiblement. Longtemps encore après la lecture, les Libellules continuent d’agiter leurs ailes au-dessus de mes pensées…”

“J’ai suivi avec émotion l’histoire de Jeanne racontée à sa petite fille. La plume de Rosalie a pris les couleurs d’une poésie fantastique dans ce roman, aussi irisées que les ailes d’une libellule miroitant au soleil.
Jeanne est une femme superbe. Surprenante, admirable, attachante. Rosalie nous offre un tableau saisissant des années folles. Les “vraies”. Car finalement, en-dehors des paillettes parisiennes de Joséphine Baker et de cette vie trépidante que l’on explore habituellement, j’ai découvert ce qu’il se passait “autour”. Et la rencontre fracassante d’un monde terrien ancré dans ses traditions et l’arrivée de cette nouvelle façon de vivre sont peut-être encore plus intéressantes. Je me suis régalée de cette histoire pleine d’humanité. La fin est une très belle surprise autant qu’une leçon de force intérieure.
La façon très originale et subtile de percevoir le monde à la façon de Jeanne me trottera longtemps dans la tête.”

À propos de Rosalie Lowie

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Originaire de région parisienne, mariée, maman de deux enfants et entourée de ses chats, Rosalie Lowie vit sur la Côte d’Opale depuis une vingtaine d’années.

Cette Responsable Ressources Humaines a toujours aimé les livres et l’écriture.

Il lui a toutefois fallu du temps pour prendre confiance et oser écrire un roman ! Pour se lancer, elle a puisé son inspiration dans le bord de mer et la côte sauvage du Littoral. Curieuse de tout, elle s’essaie à des genres différents : polar, roman contemporain, nouvelle, pièce de théâtre, guidée avant tout par le plaisir d’écrire des histoires.

Elle a déjà publié :

  • un roman policier (“Un bien bel endroit pour mourir” ), qui a reçu le Prix Femme Actuelle 2017,
  • et un recueil de nouvelles (“Quelques mots à vous dire…”), écrit avec 3 autres auteurs primés Femme Actuelle, Dominique Van Cotthem, Émilie Riger et Frank Leduc. et publié en avril 2019

Rosalie Lowie a désormais de nombreux projets. Elle envisage notamment d’écrire une suite à son polar, mais aussi un autre recueil de nouvelles et un roman contemporain.

Elle confie :

 J’aime avoir une écriture variée ! J’ai la curiosité d’aller vers des histoires ou des genres littéraires différents : polar, nouvelles, roman contemporain mais aussi historique ou d’aventures.

Informations pratiques

“Quand bruissent les ailes des libellules” de Rosalie Lowie

  • Éditions Prisma, collection « Nouveaux auteurs »
  • 374 pages
  • Prix : 18,95€

Pour en savoir plus

Feuilleter un extrait : https://www.amazon.fr/dp/B083F93JWF?

Facebook : https://www.facebook.com/Rosalie-Lowie-163797750865800/

Instagram : https://www.instagram.com/rosalielowie

Sortie livre : “Le Cercle d’Or atlante” d’Ode Pactat-Didier

Et si nos problèmes de civilisation contemporains étaient les mêmes depuis la nuit des temps ? Et s’il s’agissait juste d’erreurs reproduites indéfiniment ?

Sumériens, Dogons, Amérindiens, Aborigènes, Egyptiens, continents engloutis… Quelle que soit l’histoire des peuples, elle présente toujours des failles communes.

Ode Pactat-Didier, l’auteure du “Cercle d’Or atlante” (Le Cygne d’O Éditions), est fascinée par l’Atlantide et ses nombreux mystères. Dans ce roman passionnant, qui captive de la première à la dernière page, elle montre en filigrane comment les effondrements actuels font écho à ceux qui ont détruit cette civilisation exceptionnelle. Les mêmes raisons techniques, économiques et spirituelles se retrouvent à 12 000 ans d’intervalle !

Au fil des pages, c’est une autre grille de lecture du monde qui est dévoilée, très documentée. L’humanité est invitée à opérer une prise de conscience collective en reconnaissant sa propre Nature divine incontournable afin d’échapper à une nouvelle Apocalypse.

Avec son écriture fluide et élégante, accessible à tous les publics, Ode Pactat-Didier fait entrer ses lecteurs.trices dans une bulle de douceur et d’espérance, importante en ces temps troublés.

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Synopsis

L’épreuve qu’ont subie les jumeaux en février 2017 les a meurtris. En Août, ils fêtent leur dix-huitième anniversaire et se lancent dans l’aventure de la vie.
Va-t-elle leur offrir des expériences enrichissantes ?

Au cours d’une conversation avec un ami, Oriane entend parler de la mythique Atlantide et du « Cercle d’Or ». Très troublée, elle comprend à quel point nous sommes loin d’avoir percé les secrets les plus intimes de la planète où nous évoluons.

À partir de là, sa quête spirituelle et affective se confond avec l’odyssée du Cercle d’Or. Sa résurgence à Dendérah en Égypte annonce-t-elle le retour des Harmonies Célestes dont l’humanité s’est éloignée depuis trop longtemps ?

2020 nous lance un immense défi, saurons-nous le relever ?

La trilogie commencée avec les « Coquelicots bleus », poursuivie avec “L’Appel de la Source” se termine ici sur une note d’espoir.

Un extrait

Notre-Dame de Paris… Le cœur sacré de la Mère, protectrice de la France, la « Fille aînée de l’Église ». Mais l’était-elle encore, à la suite de tous les scandales dont son aura s’était chargée en son sein même ?

Le feu que des hommes avaient allumé par négligence ou intentionnellement, symbolisait-il le drame actuel de la haine et de l’irrespect des choses sacrées ? Dans l’une des tours restée intacte, par chance, la statue de l’Alchimiste contemplait, impassible, les flammes dévorantes et l’eau qui tentait de les éteindre.

De quelle Alchimie, de quel dérisoire athanor était-il le spectateur impuissant ?

Quelques jours plus tôt, Amaya avait eu une vision fugitive, celle d’une alchimie inversée. Les jours suivants le confirmèrent : les ors du feu se transformèrent en plomb. Des milliards de particules du métal fondu se répandirent dans l’atmosphère, menace indécelable d’une pollution saturnienne.

La barque d’Isis, ancrée sur son île, chancelait mais ne sombrerait pas, ainsi que l’avait prévu la devise aux trois abeilles, même si le doute s’insinuait dans les esprits et ravivait d’obscures terreurs.

Cet incendie, spectaculaire et purificateur, rappelait d’anciennes prophéties et leur conférait un sens actuel, comme un ultime avertissement menaçant, émanant de la Mère, Notre-Dame du Ciel :

Vous devez maintenant choisir entre l’Église de Pierre et le manteau du Christ. Votre impiété et vos peurs vous ont déconnectés des Harmonies Divines. Vous ne vibrez plus à l’unisson de sa parole. En tant que Marie, je vous rappelle que, depuis des années, à Lourdes, à Fatima, à la Salette, en Égypte et en Bosnie, je m’adresse à vous et vous demande de prier et de revenir dans l’Aura de mon Fils dont je retiens le bras depuis trop longtemps.

Sur le parvis de Notre-Dame, des milliers de spectateurs, agenouillés et en pleurs, avaient de nouveau invoqué l’intercession de Marie. N’était-il pas trop tard ?

Les ouvrages précédents de la trilogie Flavien Flamant

Tome 1 : Les Coquelicots bleus

les coquelicots bleus

Cet ouvrage raconte l’expérience de Flavien Flamant et de son évolution personnelle qui l’amènera à accepter une mission insolite.

Rien au départ ne semblait le désigner pour accomplir un tel destin tant les douloureuses expériences de son enfance l’avaient tenu éloigné de toute forme de spiritualité.

De son voyage dans l’Himalaya, il rapportera des graines de coquelicots bleus qui serviront de mystérieux sésames lors de sa rencontre avec Oriane de la Tour d’Auvergne.

Prix : 20 €.

Tome 2 : L’Appel de la Source

L'appel de la source

Flavien Flamant accepte de revenir dans la Troisième dimension dans le but de préparer les Âmes à un éveil planétaire devenu urgentissime. À travers ses interventions radiophoniques, il délivrera de beaux messages se rapportant à la Conscience Christique.

Il vient aussi réparer les souffrances qu’il a causées quatorze ans auparavant à sa descendance lors de sa disparition mystérieuse.

Quels bénéfices récolteront Oriane et Alcyon, ses jumeaux, de son enseignement ?

Prix : 20 €

Quelques témoignages de lecteurs

« Ode Pactat-Didier nous transmet, au cours de ses romans, certains mystères tenus secrets… des connaissances cachées, que notre planète recèle, et qui aiguisent la curiosité. À l’heure d’internet, il nous est facile de trouver des compléments. Elle nous propose de nous pencher vers une évolution spirituelle globale, vers un monde nouveau et harmonieux que les enfants de ce siècle vont construire. »

Yvette P. (Nantes – 44)

« Ce livre est magnifique ! Je viens de passer des journées de lecture émerveillée où je me suis sentie immergée dans cette énorme tranche de vie. Quel travail d’orfèvre ! Ce cercle est une ouverture, une note d’espoir, un sas entre l’ancienne et la nouvelle conscience. Merci ! »

Eliane O. (La Chapelle Gonaguet – 24)

« Ce nouveau livre est très riche et je suis heureuse qu’il parle de l’Atlantide qui m’a toujours beaucoup intéressé. J’ai aussi beaucoup aimé le passage sur  la messe et son symbolisme qui me réconcilie avec cette cérémonie, dont je me suis écartée après ma communion solennelle. »

Dany R. (Six-Fours – 83)

« Ce roman initiatique et avant-gardiste nous invite à élever nos pensées et à agir en conscience. De son travail en profondeur puisant dans les archives passées, Ode nous fait prendre conscience de la part du Divin en chacun d’entre nous. »

Célune (Chambord – 41)

À propos de l’auteure Ode Pactat-Didier

Depuis son enfance passée au pied de la célèbre abbaye bénédictine de la Chaise-Dieu, Ode Pactat-Didier s’intéresse à l’aspect mystérieux du monde, ce qui l’a amenée à son tour à explorer les secrets de l’Invisible.

Auteure de 18 ouvrages, l’auteure est aussi une conférencière reconnue. Elle a écrit plusieurs pièces de théâtre. L’une d’entre elles (L’Autre Versant de la Vie) a été jouée à Paris.

À travers ses ouvrages, elle propose des thèmes très variés à son lectorat qui lui reste fidèle depuis la parution du Souffle de l’Aurore en 1982.

À la suite de nombreuses lectures, rencontres et expériences insolites, Ode a entrepris l’écriture de son dix-huitième ouvrage. Son intérêt repose sur l’évolution des civilisations à travers les siècles, et plus particulièrement elle s’intéresse à celles disparues, comme l’Atlantide et l’Égypte, en opérant un parallèle entre elles et la nôtre qui subit des transformations similaires.

Informations pratiques

Le Cercle d’Or atlante d’Ode Pactat-Didier

  • Le Cygne d’O Éditions
  • ISBN : 978-2-912731-42-5
  • 343 pages
  • Prix : 21 € (ou 9 € en format ebook)

Pour en savoir plus

Commander le livre : http://lecygnedo.fr/collection-flavien-flamant-tome-3-lecercledoratlante.html

Site web : http://lecygnedo.fr/

Facebook : https://www.facebook.com/lecygnedo.fr/

Sortie livre : “Prairie a perdu ses MOTS” de Clémence BAJEUX

Selon le Ministère de l’Education, 4 à 5% des enfants en France sont concernés par des troubles de l’évolution du langage. Pour un quart d’entre eux, ces troubles peuvent être sévères. De plus, près de 40% des enfants souffrant de troubles “dys” (dyslexie, dysphasie…) sont aussi atteints d’autres troubles.

Pour les enfants et leurs parents, cette situation peut être particulièrement difficile à vivre. Le langage est un élément fondamental qui va structurer la personnalité de l’enfant et permettre son intégration sociale, sa réussite scolaire et, plus tard, son insertion professionnelle.

De plus, comment réussir à communiquer et à s’épanouir quand c’est la parole qui est atteinte ? Il n’est pas toujours facile de rassurer l’enfant, de dédramatiser la situation et de l’aider à mieux vivre avec ce handicap.

Parce qu’elle est aussi la maman d’une petite fille de 7 ans en situation de handicap depuis la naissance, Clémence Bajeux, Photographe & Vidéaste, a écrit “Prairie a perdu ses MOTS“, un formidable livre jeunesse qui aborde ce sujet avec une grande sensibilité.

Pas si facile de parler sans les mots,
Prairie le sait bien,
Elle les cherche depuis toujours.
Va t-elle les trouver ?

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Un livre pour tous les enfants qui cherchent leurs mots

Richement illustré, “Prairie a perdu ses MOTS” aborde avec poésie le sujet trop souvent ignoré des troubles du langage oral.

Ne pas pouvoir parler, c’est devoir inventer une autre façon de dialoguer, de témoigner de ses émotions, d’exprimer ses besoins. C’est aussi devoir faire face au regard des autres et parfois à leur incompréhension.

Quand Clémence Bajeux a écrit “Prairie a perdu ses MOTS”, elle a avant tout pensé à sa fille de 7 ans.

Elle souligne :

Ma fille souffre depuis sa naissance d’un trouble mixte du langage oral avec d’autres troubles associés. Ce livre, c’est un cadeau pour elle mais aussi pour moi, sa maman, car écrire m’a aidé à mettre de la distance et à reprendre espoir alors que nous sommes en pleine errance diagnostique.

La plus belle récompense de Clémence a été le regard que sa fille a porté sur “Prairie a perdu ses MOTS” : elle s’est immédiatement identifiée au personnage et le livre est vite devenu son livre de chevet !

Clémence a alors décidé de publier ces belles aventures de Prairie pour que d’autres enfants, dans une situation similaire, puissent aussi vivre des moments d’évasion et de rêve à travers la lecture.

Un regard poétique qui éveille l’imaginaire des enfants

Richement illustré, ce livre met en scène la petite Prairie qui part à la recherche des mots qui lui échappent. Où sont-ils cachés ? Rêveuse, elle laisse voguer son imagination.

Avec elle, l’enfant porte un autre regard sur lui, sur ces mots qui s’envolent, disparaissent, et refusent de sortir de sa bouche.

Les textes sont volontairement concis pour être faciles à lire et pour laisser l’enfant interpréter librement l’histoire.

Et surtout, le livre se termine sur une note positive, encourageante et bienveillante. Comme un joli conte de fée….

À propos de Clémence BAJEUX, l’auteure

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Née en 1986 à Pau, Clémence BAJEUX se lance en 2007 dans le domaine artistique avec une première exposition de créations numériques à Bordeaux.

Parallèlement à ses études (Droit, Arts Plastiques & Cinéma), elle débute en 2010, un travail filmique auprès de personnes en difficultés psychiques. Dépasser les différences via la création artistique devient presque un leitmotiv.

Actuellement, elle développe ses démarches artistiques, en explorant la photographie de plateau, en écrivant & illustrant des albums de jeunesse et en poursuivant ses travaux avec différents publics.

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Elle vient notamment de terminer un livre jeunesse dans le genre fantastique pour son fils qui sera prochainement publié. Il est destiné aux enfants de 8ans et +.

“Prairie a perdu ses MOTS” pourrait également être traduit en allemand et en anglais. À plus long terme, il pourrait aussi avoir une suite.

Informations Pratiques

“Prairie a perdu ses mots” de Clémence Bajeux

  • Couverture dure
  • 28 pages
  • ISBN : 9782322191017
  • Prix :  Livre : 16 € / E-book :  5,99 €

Pour en savoir plus

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Lire un extrait : https://www.cbajeux-art.com/prairie-a-perdu-ses-mots

Site web : https://www.cbajeux-art.com/

Facebook : https://www.facebook.com/CB.Audiovisuel/

LinkedIn : https://www.linkedin.com/in/clémence-bajeux-66b03874

Sortie livre jeunesse : “Les Bonbons Empoisonnés” de François Santini

Nos parents nous l’ont suffisamment répété : si un inconnu te propose des bonbons, ne les accepte pas. Si, devant le collège, une personne distribue ces bonbons, refuse-les à tout prix.

Malheureusement, il n’est pas toujours évident de refuser une si tentante proposition, surtout lorsque de nombreux amis l’acceptent. Mais s’agit-il de bonbons innocents ? Qui sont ces inconnus qui les proposent ? Où disparaissent certains enfants après les avoir mangés ? Quelle est la raison de l’accident du jeune Roméo et où se trouve-t-il à présent ?

Dès le début des “Bonbons Empoisonnés”, un roman policier pour jeunes adolescents (Editions Baudelaire), François Santini dresse une intrigue oppressante. Au sein de la famille de Roméo, rien n’est plus pareil, et son père est bien décidé à mener l’enquête qui le mènera jusqu’à son fils.

Les choses se corsent quand il découvre un homme presque mort dans la forêt voisine de chez lui. L’enquête prend alors une ampleur qui le dépasse.

Sera-t-il en mesure de la résoudre, et de rétablir un équilibre au sein de sa famille ?

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Un roman à dévorer à partir de 11 ans qui aborde le problème de la drogue

Alors que la consommation de drogues est particulièrement élevée en France par rapport aux autres européens, notamment chez les jeunes adultes dès 15 ans (source : Rapport Européen sur les drogues 2019), la prévention reste un excellent moyen de protéger l’avenir et la santé des enfants.

Mais comment parler du sujet en famille ? Le roman policier “Les Bonbons Empoisonnés” de François Santini permet de commencer à sensibiliser les pré-adolescents (à partir de 11 ans). Ils sont d’autant plus réceptifs que ce livre passionnant les tient en haleine de la première à la dernière page !

Avec l’aventure de Roméo, un personnage attachant de 12 ans, ils vont découvrir ce que sont “les bonbons empoisonnés” distribués à la sortie du collège par un inconnu : de la drogue.

Comment Roméo va-t-il faire pour empêcher que ses copains, surtout son meilleur ami, les acceptent ? Va-t-il survivre au terrible accident que ces voyous ont provoqué pour le faire taire ? Surtout, va-t-il avouer à ses parents, tout ce qu’il a découvert, malgré le risque énorme de voir sa famille se disloquer ?

Un extrait

Depuis la disparition de Roméo, chaque fois que j’en discute avec Pénélope, elle pleure. Pour éviter de la voir constamment le nez dans son mouchoir, je m’oblige tous les jours, de préférence après avoir déjeuné et dîné, d’aller sur les lieux du drame avec notre petit teckel nain à poil dur. Ça me change de l’ambiance mortelle de la maison. J’imagine le miracle : que cette petite chienne qui était toujours dans les pas de Roméo, pourrait peut-être le retrouver. Je vois bien que son petit-maître lui manque, elle n’est plus joueuse, elle aussi est triste et le cherche partout. Plusieurs fois par jour elle monte dans sa chambre.

Dès qu’elle me voit prendre mon vélo, ce petit chien, pas plus gros qu’une pelote de laine, ne résiste pas : il comprend que nous allons faire une excursion en forêt.

C’est à chaque fois le même scénario, ce teckel nain à poil dur commence par tourner à toute vitesse autour de moi, puis passe devant et attend que je démarre. Au premier coup de pédale, connaissant l’itinéraire par cœur, elle fonce, sans oublier de se retourner de temps en temps pour être certain que je la suis. La première fois j’ai rêvé, croyant qu’elle allait me mener près de Roméo, mais non, elle ne fait que suivre le chemin qu’elle empruntait avec son petit-maître.

Voilà deux semaines que notre cauchemar perdure. C’est atroce de compter les jours : quatorze jours exactement que nous sommes sans nouvelles de notre petit gars.

Cela n’empêche pas la Terre de tourner, et ce matin il fait très beau. J’ai le sentiment que la rosée dégage des senteurs encore plus agréables qui démontrent que l’été approche. Tout est calme et magnifique. Les rayons du soleil rasant illuminent le sous-bois, j’ai devant moi des quantités impressionnantes de digitales violettes.

En songeant à mon fiston, je tarde à repartir : comme à chaque fois, depuis une quinzaine de jours, j’ai l’impression que Roméo se trouve à mes côtés : mais non ! Mais où es-tu mon fils ?

Du même auteur

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François Santini est l’auteur de nombreux romans, notamment fantastiques, tous destinés à de jeunes lecteurs.

Il a notamment publié :

Les aventures de Garigue : Le Secret du Diamant Bleu

Le livre audio est offert avec le roman.

Par deux fois Garigue, treize ans, découvre au bord de son étang à la tombée de la nuit une femme légèrement vêtue qui s’enfuit à son approche. Pire encore, en plein bois et par mauvais temps, il voit un jeune de son âge encore plus dénudé disparaître mystérieusement.
Il lui faudra des mois et beaucoup d’astuces pour avoir la certitude qu’un jeune garçon fréquente ces bois été comme hiver.
Va-t-il réussir à entrer en contact avec lui ?
Va-t-il découvrir où il disparaît mystérieusement ?
À travers ses péripéties, arrivera-t-il à trouver ce fameux diamant bleu dont il a eu écho ?
Cette histoire est avant tout une leçon d’amitié et de bonheur !

La Gardienne du Temps

L’ E-book est offert avec le livre.

Après la perte de son frère jumeau, Morgane, treize ans, par l’intermédiaire d’une poupée en carton mâché va obtenir des signaux significatifs, lui indiquant que son frère Maloric se trouverait non loin d’elle.
Plus curieux encore, un petit cadre également en papier mâché ressemblant à Maloric va voir son crochet mural, pourtant métallique, s’ouvrir à chaque fois qu’elle le fixe.
Malgré sa peur, Morgane pourra-t-elle aller jusqu’au bout de ses investigations ?
Sa recherche prendra l’allure d’une terrible enquête, heureusement aidée tardivement par les gendarmes.

Le secret de Swan

L’E-book est offert avec le livre.

Swan treize ans, découvre chez lui, étendu sur l’herbe, un jeune inconnu sensiblement de son âge, dévêtu, dans un état de propreté épouvantable qui, d’après son père semble mort. Mais, lorsqu’ils retournent sur place avec les gendarmes, ce jeune a disparu. Qui est-il ? D’où vient-il ? Qui a pu l’enlever ?
Pire encore, il découvre autre un jeune, bien vivant cette fois, qui lui aussi traîne dans les bois pourtant clôturés. Ce jeune Stanislas au comportement étrange va lui révéler des choses insensées : il se dit avoir des pouvoirs extraordinaires. Va-t-il réussir à tenir ses promesses ?
Mais ce jeune inconnu va se noyer sous ses yeux dans le marais, cela va lui créer bien des problèmes : Swan ne pourra pas révéler au commissaire qui est ce jeune garçon et d’où il vient ! Comment va-t-il s’en sortir ?
Swan va-t-il réussir à quitter de l’irrationnel où il est entré malgré lui, sans avouer son secret ?

Le secret de la pierre philosophale

L’ E-book est offert avec le livre.

Suite au décès de ses parents, Gaëtan quinze ans, vient d’emménager chez sa tante.
Il découvre dans cette famille une jeune fille de huit ans adorable, mais un cousin de quinze ans exécrable et méchant. Pire encore, l’oncle qui pille sa maison est plus détestable que sa tante. Il rabaisse constamment Gaëtan, afin de faire plaisir à son fils qui se dit l’aîné.
Ne supportant plus les brimades, Gaëtan finit par se sauver avec une camarade de classe : va-t-il réussir à retrouver la part de bonheur qui lui a été dérobée.
Mais la chance ne sera pas au rendez-vous, il se retrouve « embrigadé » dans une secte abominable.
Après bien des oppressions, c’est au sein de cette secte que la chance va finir par lui sourire : il va découvrir « la pierre philosophale » qui va lui donner des pouvoirs. Ces facultés vont faire changer son destin.
Va-t-il retrouver la liberté et surtout, une famille ?

A propos de François Santini

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François Santini était un industriel dans le domaine horticole. Il est notamment le créateur des deux plus grandes marques d’engrais que sont Algoflash et Or-Brun.

Durant sa carrière, il s’est démarqué de ses concurrents en appliquant son slogan “Mesurez la différence”. Dans l’une de ses sociétés, il a notamment pu assouvir sa passion pour les plantes en obtenant treize records du monde (Les records de François Santini.com). L’un des plus spectaculaires, pour une plante annuelle qu’est le chrysanthème, avait des dimensions phénoménales : hauteur deux mètres cinquante, circonférence seize mètres, plus de 2 500 grosses fleurs, âge 11 mois.

Une fois retiré des affaires, il a réalisé un vieux rêve : écrire autant d’histoires qu’il a de petits-enfants.

François confie :

J’ai toujours eu envie de raconter des aventures avec une pointe de science-fiction. Alors, une fois retraité, j’ai commencé par écrire une histoire pour chacun de mes 10 petits-enfants. Je me suis inspiré de leur personnalité pour parfaire mes héros, et j’ai intégré un fait marquant de leur vécu, que j’ai romancé. L’imagination a fait le reste… Ils ont tellement apprécié qu’avec grand plaisir, j’ai écrit deux puis trois livres pour chacun. C’est ainsi que j’ai été contaminé par le virus de l’écriture !

Aujourd’hui, François vient de terminer son trente-cinquième roman. Au fil du temps, il a su développer une vraie communauté de lecteurs : sa page officielle Facebook compte plus de 20 000 abonnés.

Informations Pratiques

  • “Les Bonbons Empoisonnés” de François Santini
  • Editions Baudelaire
  • Code ISBN 979-10-203-1868-8
  • Format : 15 x 21 cm
  • 190 pages
  • Prix de vente public : 17,00 €

Pour en savoir plus

Site web : https://www.romansantini.com

Facebook : https://www.facebook.com/LesAventuresdeGarigue/

LinkedIn : https://fr.linkedin.com/in/fran%C3%A7ois-santini

Pour éduquer les chiens, il faut commencer… par éduquer leurs maîtres ! “Parlons Chien” de Lévi Zohar, un guide pratique pour faire des chiens heureux

On rêvait d’une belle amitié digne de Belle et Sébastien, de Lassie chien fidèle, de Rintintin… et nous voilà avec un Gremlins qui transforme notre quotidien en cauchemar. Notre adorable boule de poils “tellement mignonne”…

Fait pipi partout,

Saute sur tout le monde,

Saccage la maison,

Grogne quand on s’approche de sa gamelle,

Mange ses crottes,

Fugue…

A qui la faute ? Quand Médor joue les furies, la cause n’est pas à chercher bien loin : dans 95% des cas, c’est le maître qui fait n’importe quoi.

Après plus de 30 années d’expérience dans la protection de personnalités et l’éducation des chiens dits de « travail » (cinéma, gendarmerie, etc.) Lévi Zohar, véritable cynophile et éducateur comportementaliste, est formel : l’éducation du chien suppose nécessairement celle du maître.

Heureusement, il n’est jamais trop tard pour bien faire ! Il est toujours possible de repartir sur de solides bases éducationnelles afin d’établir, ou de rétablir, une relation harmonieuse avec son chien.

Avec son livre “Parlons Chien”, il offre à tous un véritable guide pratique pour aider tous les maîtres à vivre en harmonie avec leur chien. Capture9

 “Parler chien”, cela s’apprend !

Les bonnes intentions donnent parfois de très mauvaises habitudes. Or un chien, ce n’est pas que de l’instinct. L’éducation joue un rôle fondamental dans son épanouissement. Quand son maître ne décrypte pas les signaux envoyés, quand il a des attitudes contradictoires, quand il punit ou caresse à tort et à travers… alors le chien est déstabilisé et perturbé, parfois profondément. Lévi Zohar souligne :

Le maître doit comprendre le fonctionnement de son chien pour communiquer efficacement avec lui. L’éducation canine est réussie quand le chien comprend clairement ce que son maître attend de lui. C’est alors que le maître « parle chien ».

“Parlons Chien” donne ainsi des conseils pratiques, des exemples explicites et des techniques imparables pour permettre à tous les maîtres et futurs maîtres de vivre une relation magique avec leur merveilleux compagnon à quatre pattes.

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Un guide superbement illustré

“Parlons Chien” est richement illustré avec de superbes clichés en couleurs réalisés par Agnieszka, une talentueuse photographe professionnelle.

Elle a accompagné Géraldine & Lexie, Ivan & Pixel, Jocelyne & Smoking, Benoit & Iako, … et de nombreux maîtres et leurs chiens qui ont accepté de partager avec les lecteurs leurs formidables instants de complicité.

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Sommaire

Choisir son chien

  • Analyser ses propres motivations et son mode de vie
  • Connaître les races et les lignées
  • Choisir un chiot ou un chien mature
  • Trouver le bon endroit : Les refuges, La SPA, Les petites annonces, Les éleveurs enregistrés, Les animaleries

Parler chien

  • Les quatre essentiels : Les odeurs, Le langage corporel, Les mimiques faciales, Le regard
  • Le système relationnel canin et les statuts hiérarchiques : La mise en place relationnelle, La notion de statuts
  • La relation perverse anthropomorphique : Qu’entend-on par anthropomorphisme ? En quoi est-ce pervers ?

Capture8 Prendre soin de son chien

  • Nourrir son chien : Gérer le temps du repas, Choisir le type d’alimentation,  Gérer la transition alimentaire
  • Prendre soin des coussinets : Prévenir les blessures des coussinets, Entretenir les coussinets, Soigner les coussinets en cas de blessure
  • Respecter les besoins de dépenses de votre chien : La dépense quotidienne, La dépense physique, La dépense sociale, La dépense intellectuelle
  • Lutter contre les tiques et les puces
  • Organiser les vacances : Partir avec son chien, Partir sans son chien

Éduquer son chien

  • Le développement comportemental du chien
  • Le détachement et la gestion de l’absence : Qu’est-ce que le détachement ?, Travailler le détachement,  Lui apprendre à gérer l’absence
  • La gestion des ressources : La gestion de la nourriture, La gestion de l’espace, La gestion des interactions
  • L’accessoire d’éducation adapté : Le harnais, Le collier,  La laisse
  • Le rappel : Pourquoi le rappel est-il essentiel ?, Travailler le rappel
  • La cohabitation chien/chat
  • Au secours Lévi, j’ai un problème ! :
    • Il fait pipi partout : Quelles en sont les causes ?, Que faire pour qu’il cesse ?
    • Il saute sur tout le monde : Mais pourquoi saute-t-il comme ça ?, Comment faire pour qu’il arrête de me sauter dessus ?, Que faire pour qu’il arrête de sauter sur les invités ? , Et s’il saute sur les gens dans la rue ?
    • Il détruit tout : Si c’est un chiot, Dans le cas d’un chien anxieux, S’il détruit par ennui
    • Il mange des crottes : Quels sont les risques liés à la coprophagie ?, La coprophagie d’origine médicale, La coprophagie d’origine comportementale, Comment y remédier ?
    • Il grogne à la gamelle : Une idée reçue à bannir, Que faire pour qu’il ne soit plus réactif à la gamelle ?, Comment gérer les gamelles au moment du repas ?, Ne ritualisez pas le moment du repas pour votre chien !
    • Il a peur de l’orage : Comment se manifeste cette peur ? , D’où vient cette peur ?,  Que faire pour l’aider à surmonter sa peur ?
    • Il fugue : Quelles sont les différentes causes possibles ? , Quelle réaction adopter en cas de fugue ?, Que faire pour éviter les fugues ?

Extrait

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“Par ailleurs, le chien doit absolument trouver sa place au sein de son groupe social d’appartenance. Ceci n’est possible que si le fonctionnement hiérarchique est sain (attention, on ne parle pas de dominance mais d’un mode structurel).

Dans le cas où le maître passe tous les « caprices » à son chien, ce dernier peut générer des comportements déviants. Suivant les cas, il pourra se montrer réactif ou anxieux dès lors que son maître sortira de la maison ou encore développer des phobies (motos, poussettes…).

En terme de communication, il est essentiel de parler au chien en tant que tel. Lorsqu’on lui donne un ordre, il faut avoir une posture assez droite, avec des messages courts. S’il n’obéit pas, il est inutile de se baisser ou de se mettre à genoux pour répéter l’ordre.

Enfin, il faut respecter la nature canine de votre animal. En effet, il n’est pas rare de voir des maîtres traiter leur compagnon à poils comme un bébé, en lui donnant une tétine, en lui mettant des habits. Son humanisation pousse même certaines personnes à lui faire fêter Noël ou encore à le mettre à table pour son anniversaire avec le gâteau et les bougies.

Ces comportements, d’apparence inoffensive, génèrent beaucoup de complications. En effet, le chien, qui ne va pas comprendre les intentions, va analyser ces situations avec ses propres codes canins et aura des comportements contraires à ceux attendus.

Le chien, dépouillé de sa nature, se perdra et ne saura plus comment se comporter. En clair, il n’aura plus sa place de chien.”

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Ce qu’en pensent les lecteurs

Frédérique :

“Livre lu, apprécié, bien écrit et que je recommande avec ferveur. Il nous en apprend sur notre ami et nous discernons plus les choses.”

Franck :

“Oui j’ai aimé le livre ! Il résume parfaitement tous les conseils et toutes les réponses aux questions des émissions. Bien écrit, explicite, très “aéré “, superbes photos ! J’attends avec impatience le prochain livre ! Merci.”

Cécile :

“Je viens de finir votre livre, lu en une soirée, dans 10 jours nous avons notre chienne de 10 mois qui arrive d’une association et le livre m’a beaucoup aidée et rassurée. Quand je lis qu’il faut 3 mois à 1 an pour la cohabitation chat-chien, je me dis que je ne pourrais rien faire a part les laisser se connaître tranquillement, bien entendu, avec bienveillance de notre côté. Merci pour ce livre, qui bien sûr, est partagé avec ma famille afin que tout le monde fasse la même chose avec notre louloute.”

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Christophe :

C’est un super livre qui explique autant le comportement de nos toutous que notre comportement vis-à-vis d’eux. Nous avons ouvert les yeux et parlons un peu plus chien maintenant. Bravo pour cet ouvrage.”

Martine :

“Moi je n’ai pas de chien, mais j’ai trouvé ton livre intéressant et j’ai donné des conseils à mon fils pour son chien, et bien sûr, je le recommande. Plein de belles choses à savoir ou à apprendre quand on a un chien.”

A propos de Lévi Zohar, comportementaliste canin

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Lévi Zohar est un éducateur comportementaliste canin qui intervient pour éduquer des chiens de toutes races, tailles, histoires et comportements.

Durant 28 ans, il a vécu de riches expériences nécessitant une extrême maîtrise, de soi et de l’animal. Il a ainsi travaillé à la fois pour la protection de personnalités – des milieux de la politique, du show-business, du sport de haut niveau, de l’industrie… – et pour l’éducation de chiens dit de travail.

Lévi Zohar est animateur de “Parlons Chien, l’émission radio”, une radio interactive et totalement gratuite. Il répond aux diverses questions des personnes qui rencontrent des problèmes d’éducation ou de comportement avec leur chien, en direct : https://www.facebook.com/parlonschienemissionradio/

Il est chroniqueur télé sur la chaîne régionale ” Wéo” où il apparaît 2 fois par mois et il est également chroniqueur pour deux magazines spécialisés en kiosque “TOUT CHIEN” et “ANIMAUX BONHEUR”. Il est contacté de Suisse, Belgique, Canada et de toute les France pour ses conseils gratuits.

Sa marque de fabrique : une approche tout en douceur et en bienveillance, autant pour les maîtres que pour les chiens.

Lévi Zohar est aujourd’hui reconnu en qualité d’expert comportemental auprès des tribunaux de Grande Instance dans le cadre de la rééducation canine et formateur habilité à délivrer l’attestation d’aptitude pour les propriétaires de chiens catégorisés.

De plus, parce qu’il est passionné et déterminé à lutter contre l’abandon des chiens, qui survient le plus souvent lorsque le maître et le chien n’arrivent pas à vivre en harmonie, Lévi Zohar a décidé de mettre son savoir-faire au service des particuliers, maîtres et chiens dits « de confort ».

C’est aussi ce qui l’a poussé à écrire “Parlons Chien”, afin de démocratiser l’accès à des connaissances indispensables pour bien vivre avec un chien.

Informations pratiques

  • “Parlons Chien” de Lévi Zohar
  • 120 pages
  • Prix : 22 €
  • ISBN : 978-2-9570134-0-1

Pour en savoir plus

Site web : http://www.linne-et-lacquis.fr

Facebook : https://www.facebook.com/Educateurcomportementalistecaninlevizohar/

Facebook : https://www.facebook.com/linne.etlacquis

Sortie livre : “L’Affaire Stéphanie : Carnets d’enquêtes d’Halinea” d’Isabel LAVAREC

Stéphanie, une étudiante a disparu. Un corps est trouvé dans la forêt urbaine avoisinante. Une instruction est ordonnée.

En stage scolaire au commissariat, Halinea, détective en herbe, décide de mener l’enquête en catimini. La considérant un peu trop investigatrice, le brigadier-chef Jacques la déplace dans un laboratoire scientifique et lui lance un défi. Elle le relève.

Aidée par ses tuteurs João et Séverine, pour les connaissances, et, de ses amis Xavier et Caro pour les recherches, elle réussit l’épreuve avec brio… ce qui n’est pas du goût de certains qui réagissent parfois violemment.

Malgré les interdictions et les dangers encourus, la protagoniste réussira-t-elle à confondre le ou la coupable ?

Avec “L’Affaire Stéphanie : Carnet d’enquêtes d’Halinea”, Isabel LAVAREC embarque ses lecteurs dans une passionnante investigation menée tambour battant par l’héroïne. Ce roman policier palpitant est aussi l’occasion de s’intéresser et d’ouvrir le débat sur un thème qui touche de près les adolescents : la phobie scolaire.

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Un livre plein d’humour que les ados adoreront dévorer

Ce roman policier situe l’action dans un contexte contemporain. L’héroïne, en classe de seconde, fait son stage dans un commissariat et un laboratoire de formation de police scientifique. Dans son carnet d’enquêtes, elle note ses ressentis pendant le déroulement de l’enquête qu’elle mène en catimini.

Une intrigue prenante, de belles saillies humoristiques et une héroïne de leur âge : voilà le cocktail détonant qui va tenir les ados en haleine de la première à la dernière page.

Mais “L’Affaire Stéphanie”, c’est bien plus que cela.

Isabel LAVAREC confirme :

En plus des thèmes récurrents dans les livres pour adolescents (la drogue, les copains d’abord, les relations avec la famille et les profs, les petits copains…), il y aussi, en toile de fond, un sujet d’actualité sur lequel il est important de communiquer afin de sensibiliser et de libérer la parole des jeunes : la phobie scolaire, une pathologie qui touche de 1 à 3% des adolescents en France (source).

De plus, Isabel LAVAREC s’appuie sur ses connaissances de Professeure agrégée des Sciences de la vie et de la terre pour apporter un éclairage scientifique à l’enquête et distiller de précieuses informations.

Un angle très original

Contrairement aux autres romans policiers, “L’Affaire Stéphanie” plonge les jeunes lecteurs(trices) directement au coeur de l’enquête.

Isabel LAVAREC souligne :

Les adolescents suivent les carnets qu’Halinea rédige, jour après jour, tout au long de ses investigations.  Ils partagent ses découvertes, ses doutes, et chacune de ses péripéties, exactement comme s’ils les vivaient.

Et du lundi 16 novembre, date de début de l’enquête, jusqu’à sa résolution 28 avril, il y a une multitude de rebondissements et de découvertes !

Un extrait du livre

“Des éclats de voix me réveillent.
— Qu’est-ce que je fais là ?
Le soleil est déjà bas. Seize heures ! Un message de João sur mon portable. Il l’a envoyé à quatorze heures : « Dors bien. Au plaisir de te revoir… A+. »
Je suis navrée. Je dois aller m’excuser avant qu’il ne signale l’incident à Jacques.
Je cours le rejoindre dans son bureau. Dans le long couloir, les différentes portes sont ouvertes. Seule, celle de João est fermée. Ce n’est pas de veine ! J’aurais pu entrer sans me faire remarquer. J’ouvre tout doucement et me faufile à l’intérieur.
Il est là. Dos tourné fouillant dans son placard. J’entre à pas de loup. Il semble très concentré. Arrivée près de la table qui me sert de bureau, je tousse pour attirer son attention. Surpris, il fait tomber le paquet qu’il essayait de mettre dans un sac poubelle : documents, photos, et une chemise rose. Je me précipite pour l’aider à ramasser. Il me repousse.
— Non. Va-t’en ! Je n’ai pas besoin de toi. Je veux être seul !
Surprise par tant de violence, je me fige. Une lettre qui a été déchirée et reconstituée avec du papier adhésif a glissé jusqu’à mes pieds. Elle est signée d’un cœur fait de hiéroglyphes dessinés à l’encre rouge. Je photographie mentalement la figure. Il s’en aperçoit et se précipite pour la récupérer et l’enfouir dans sa poche. Faisant semblant de n’avoir rien vu, je me retourne pour prendre mon sac. J’aperçois alors une photo sous ma chaise. Je m’en approche naturellement et d’un léger coup de pied, l’envoie sous l’armoire. Demain, j’arriverai plus tôt que lui et la rangerai dans mon cartable. En le regardant, je balbutie timidement :
— Je venais simplement m’excuser. Il n’est pas dans mon habitude de faire la sieste. Mais, hier soir, j’ai été malade et n’ai pas dormi. Je suis navrée de vous avoir dérangé dans votre nettoyage. Sincèrement, je croyais bien faire en venant ici.
João se reprend rapidement.
— Excuse-moi, j’ai gardé les réflexes de mon pays où un mauvais coup arrive toujours par-derrière. Merci d’être venue. Je pardonne ton écart, ajoute-t-il en me raccompagnant jusqu’à la porte.
Il espère me revoir le lendemain après le cours du prof
— Tu verras, c’est très intéressant.”

Retrouver Halinea dans d’autres aventures

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Les Carnets d’Halinea forment une série avec les mêmes personnes qui enquêtent et un fil rouge qui les relient : l’amour tumultueux de l’héroïne avec un gitan Kiero.

Un premier opus a déjà été publié en 2016 aux éditions Oskar : “Il est plus facile de désintégrer un atome qu’un préjugé”, autour de la discrimination.

Les ados apprécient de voir l’évolution du personnage, qui grandit en même temps qu’eux : dans le premier opus, Halinea est en 3ème, dans “L’Affaire Stéphanie” elle est en seconde, etc.

Les carnets 3 et 4, qui conduiront Halinea jusqu’en 1ère, sont déjà en cours d’écriture !

Isabel LAVAREC, c’est aussi des policiers pour adultes !

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Isabel LAVAREC a également publié un policier historique, toujours aux éditions EX-Aequo : “Un cadavre à la consigne”.

Il s’agit d’une enquête qui se déroule juste après l’hécatombe de la guerre qui a entraîné perte de repères et banalisation de la mort. Dans un style imagé non dépourvu d’humour, cette fiction inspirée d’un fait réel, fait prendre conscience de l’importance de l’être humain et de la nécessité de donner un sens à sa vie.

Une disparition, un cadavre dans une malle. Dans un contexte patriarcal d’après-guerre, l’épouse d’un riche négociant, féministe engagée, est la coupable idéale. Mais est-ce aussi simple ?

A propos de l’auteure Isabel LAVAREC

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Isabel LAVAREC est une ancienne Professeur agrégée en Sciences de la Vie et de la Terre. Elle a enseigné en formation initiale et continue, à différents niveaux (lycée, école normale, centre PEGC, IUFM, université) et dans différents pays, départements et territoires d’outre-mer (France, Algérie, Comores, Martinique, Tahiti).

Parallèlement, elle a fait partie de troupes de comédiens amateurs à Nice, puis à Montpellier. Elle s’est également initiée à l’art de conter et de pratiquer des entretiens en ethnologie.

Ses premières publications étaient consacrées aux thématiques liées à sa profession (articles scientifiques et pédagogiques dans plusieurs revues spécialisées et plusieurs séries de manuels scolaires).

Isabel a ensuite décidé de transmettre son expérience de vie au travers de romans policiers, romans fantastiques, contes et nouvelles.

En 2019, son travail a été récompensé par trois prix délivrés par les Arts & Lettres de France (prix littéraires internationaux) : 2ème prix (section conte) pour “La Symphonie du Bonheur”, 3ème prix (section nouvelle) pour “Prendre sa place rien que sa place” et 1er accessit (section roman) pour “Lili femme de Vitruve ou ombres croisées).

Informations pratiques

“L’Affaire Stéphanie” d’Isabel LAVAREC

  • Editions EX-Aequo
  • 144 pages
  • Prix de vente : 13 €
  • ISBN : 978-2-37873-809-9

Pour en savoir plus

Commander le livre : https://editions-exaequo.com/laffaire-stephanie-isabel-lavarec

Site web : https://www.mollisa.fr

Facebook : https://www.facebook.com/isabellavarec25

LinkedIn : https://fr.linkedin.com/in/isabel-lavarec-a4822647 

Vice et vertus réunis… Les Éditions The Menthol House présentent la collection Orties, des textes de femmes qui résistent

Des femmes qui écrivent sur les femmes. Femmes brisées, corps et âmes blessés par un passé toujours présent en filigrane. Mais avant tout femmes exigeantes.

La collection Orties, publiée aux Éditions The Menthol House, est dédiée aux femmes qui résistent. Urticantes, résistantes, et vitalisantes, telle l’ortie, les personnages de la collection regorgent de puissance pour repousser la fatalité, guérir, renaître et piquer.

Fragilité et force s’entrecroisent, se dédoublent, au travers de personnages vulnérables et pugnaces emportant avec eux le lecteur dans leurs fuites en avant.

Orties offre à ses lecteurs des récits impliquant les capacités du corps féminin à entrer en résistance, à combattre et à renaître, quelles que soient les attaques. Le jeu avec les limites, imposé malgré elles, reste violent et brutal. Enlisées dans la haine de soi, la honte, la solitude, la dépendance, la différence, la violence de l’autre, elles frôlent avec le point de non-retour, toujours en cherchant la force de cicatriser dans leur chair hurlante et brûlante d’un désir de liberté.

Prostitution, boulimie, viol, alcoolisme, homosexualité, harcèlement, précarité : trouvent leur place dans la collection Orties. Rendre visible l’invisible, défendre la liberté des femmes, les libérer du regard et du jugement accusateur, basé sur la norme, tels sont les ancrages de la collection d’Orties.

Née en 2019, cette collection innovante est en concordance avec son temps. A l’heure de Metoo et de balancetonporc, il était temps d’ouvrir une nouvelle voie à la voix des femmes. Orties l’a fait.

En 2020, la collection propose quatre nouveaux ouvrages et reprend plusieurs livres d’Anne Calife, dont “Meurs la faim”, “Paul et le chat”, et “Le mail s’envole comme un oiseau”.

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Des femmes qui résistent, des femmes qui soignent

Elles piquent, grattent, démangent, déchirent la chair, jusqu’au sang. On n’est pas là pour faire semblant.

Plantes urticantes, qui se défendent, s’acharnent, s’accrochent et résistent à tout, même au pire. Surtout au pire. Mais, elles cachent en leur antre, une invincible lueur de vie. Ces femmes ne meurent pas, elles se transforment.

La collection Orties, c’est le vice et la vertu réunis. Des histoires de femmes à taille humaine. Ni sublimées, ni dominées, elles sont authentiques. Dans leur joie et dans leur peine, elles restent elles-mêmes. Libres et dignes jusque dans leur déchéance.

Se foutant du jugement des autres, elles vont jusqu’au bout d’elles-mêmes. Et plus loin encore. Elles vont jusqu’à l’extrême. Et l’extrême féminin c’est quoi ? « C’est ce qu’il y a juste avant la mort. »

Voilà la définition d’une justesse implacable, donnée par Anne Calife, la directrice de cette collection hors norme, qu’elle porte et incarne, jusque dans sa plume.

La collection Orties c’est l’hommage rendu aux femmes qui chutent, se traînent et se relèvent. Plus que des survivantes, elles sont vivantes. Elles existent.

Pour les rencontrer, il faut simplement les lire.

Zoom sur les quatre nouveaux ouvrages de la collection Orties

“Une dernière fois, encore” d’Anne-Claude Brumont

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Marie, la trentaine. Marie aime trop les femmes, Marie boit trop, Marie est trop vivante. Oublier hier, demain, vider les bouteilles, juste exister. Marie en crève. Alors commence son lent sevrage alcoolique. Avec beaucoup de justesse, de sensibilité, Anne-Claude Brumont ose livrer le combat, presque perdu d’avance, pour apprendre à s’aimer.

Passionnée d’écriture et de photographie, Anne-Claude Brumont s’intéresse à cette capacité propre qu’a l’individu agressé par la vie, brisé par le malheur, cabossé par les chocs de se réparer. Les armes du résilient pour transformer les cicatrices en lignes de force ? Le rêve, la rage, l’autodérision, l’art. Avec “Une dernière fois, encore”, elle publie son premier roman.

Extraits
“À peine rentrée, je me précipite. Il faut voir comme je mets du cœur à l’ouvrage. Dix, quinze, allers et retours entre la cave et la table du salon. Peut-être plus. Elles sont nombreuses les bougresses. Suées. Je peux aider, propose Gabrielle. Non merci, c’est mon affaire. Les unes après les autres, je les attrape par le cou, les pose sur la table du salon. Une fois terminé, je m’assois, les regarde réunies. Une fortune. Les pressions blondes, les rouges poussiéreuses, la moelleuse glacée, les pétillantes festives, les exotiques frappées. Voilà qu’elles me font les yeux doux. Surtout les blondes. Ne plus attendre. Des larmes dans les yeux, je les remercie pour tout le bien qu’elles m’ont fait. Pour ne pas reculer, je pense au mal aussi. Surtout au mal. Puis les vide. Une par une, durant une heure, dans la cuvette où je les vomissais. Pour enlever la couleur, l’odeur et les résidus, je tire la chasse, une fois, deux fois, trois fois puis déodorise et frotte. Tout en frottant, je me demande ce qu’on servira à boire ce soir. Et cette pensée-là ouvre un vide abyssal en moi.”

“Je ne les compte plus mes dernières fois. Elles commencent toujours de la même façon : par la certitude que cette fois-ci est la bonne, j’en fais le serment, le jure sur la tête d’un enfant, y crois dur comme fer, crache par terre. Du coup, il faut des quantités suffisantes et les alcools, mes préférés, pour tatouer leur goût comme Proust avec sa madeleine. Un grand vin, des bières, du rhum, du champagne. Puisque c’est la dernière, je n’ai aucun scrupule.”

“Elle est revenue. L’envie de boire à en crever.”

Informations pratiques

  • Roman
  • 192 pages
  • Prix 18 €
  • Broché 140 x 210 mm
  • ISBN 978-2919780044

“C’est combien ?” de Anne Calife

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“C’est combien ?”, première phrase adressée à une pute. Avec “C’est combien ?”, découvrez jusqu’où l’homme peut aller. Tout est passé en revue : comportements des clients, prestations les plus insolites, force de la destruction, argent qui brûle, abandon de soi, mais aussi, le sacrifice, la sagesse et l’exaltation de la vie. Avec une poésie déconcertante, “C’est combien ?” montre des situations extrêmes où la femme se trouve écartelée entre ces deux divinités : l’argent et le sexe.

Anne Calife, de son premier nom d’auteur Anne Colmerauer, partage sa vie entre Paris et Metz. Influencée par ses études de médecine, son écriture s’inspire du vivant. Elle a publié aux éditions Mercure de France, Galimard, Albin Michel, Éditions Héloïse D’Ormesson, Balland. Dans ses livres, repris par la collection Orties, elle explore les vibrations d’aujourd’hui en pointant du doigt, les dérives, marges (solitude, exclusion, folie, dépendances) mais aussi les bonheurs de la vie, fugaces et fragiles.

Extraits

“Avec mes clients, je prenais une feuille avec une belle marge, que je divisais en trois colonnes au crayon de papier. Première colonne : l’heure à laquelle je prenais le client, seconde colonne, le type de client, là, c’était le plus amusant, puisque je les comparais à des crustacés et fruits de mer avec les crevettes, les huîtres, les homards, les crabes, les éponges et les étoiles de mer. La troisième colonne correspondait à la somme encaissée, enfin la quatrième, ce que j’en ferai, le loyer, l’eau, tout indispensable, tout le futile, tout le plaisir, coiffure, manucure, massage gommage, cette paire de chaussures vernies chez Dior. [...] Les clients, les plus nombreux : les crevettes. Les crevettes sont les plus tranquilles, presque toujours des hommes mariés, ils ont des sièges bébé, des problèmes de couple, et viennent chercher de la détente. [...] Les crevettes ne savent pas comment se changer les idées, comment rêver, petits cerveaux, petites carapaces, et besoin d’une pute pour se sentir exister. C’est que ça parle beaucoup, les crevettes, et il faut les écouter, les laisser parler, parler. Pas de filles à séduire, suffit de payer, pas d’efforts à faire, et hop, ça leur plaît aux crevettes. Fellation-sodo-éjaculation faciale, grand classique, que recherchent toutes les crevettes.”

“La destruction, c’est surtout une façon de se protéger du présent.”

“Se prostituer, c’est avant tout une philosophie, un art de vivre, une ouverture vers les autres, vers le plaisir. Une pute, c’est l’abondance. De matières, de sensations, de sentiments. Du cuir, de la fourrure. Une pute, c’est des cris de plaisir, des chéris, c’est bon ; des encore encore, encore, toujours.”

Informations pratiques

  • Roman
  • 112 pages
  • Prix 17 €
  • Broché 140 x 210 mm
  • ISBN 978-2919780037

“Un si charmant manipulateur” d’Isabelle Minière

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Comment détruire son conjoint, en toute impunité ? Jusqu’où peut-on aller dans le mensonge, la manipulation et la perversité ? On assiste au pouvoir malfaisant d’Achille, comédien reconnu, apprécié, et au désarroi de la douce Ella, victime de ses abus répétés. Hanté par ses cauchemars, Achille décide de consulter Félix, hypnothérapeute. Un roman sur la perversion narcissique, le manipulateur et sa victime, la violence psychique. Un si charmant manipulateur montre aussi la force d’une femme en apparence fragile, soumise, mais en lutte, vivante.

Psychologue et hypnothérapeute, Isabelle Minière vit et travaille à Paris. Elle aime regarder les gens, les écouter, imaginer leur vie. Depuis vingt ans, elle écrit pour les adultes (Lattès, Dilettante, Serge Safran) et pour les enfants (Jasmin, Éditions du Rouergue). Au cours de ses romans, elle approfondit la texture et les blessures de ses personnages. Les sentiments, les émotions, les blessures, l’humour, l’autodérision… Ça peut gratter parfois, comme les orties.

Extraits
“— Maman, est-ce qu’il t’a déjà battue ? Elle a regardé l’évier, comme s’il avait la réponse, et elle est restée en suspens ; les éviers sont assez nuls pour fournir l’inspiration. Puis elle a tourné la tête vers la fenêtre. Elle a regardé l’arbre. L’arbre qu’elle aime tant, son arbre ; peut-être la seule chose qu’elle aime dans ce jardin. Un jour, elle m’a expliqué : avec l’encadrement de la fenêtre, l’arbre fait comme un tableau, il est dedans et dehors à la fois. Un arbre réel et le tableau d’un arbre. Un arbre plus réel que d’ordinaire, magnifié par le tableau que le cadre de la fenêtre lui dessine. J’étais encore adolescent et cela m’a marqué, je n’ai plus jamais regardé cet arbre de la même façon. Il y a des fois où les arbres sont des tableaux…”

” — C’est ma femme, elle est à moi. Elle se défend et je la préviens : si elle ne me laisse pas faire, je me suicide, et elle aura ma mort sur la conscience. Elle proteste, elle pleure, personne ne peut l’entendre, la chambre est isolée, sauf à hurler au secours, ses jérémiades ne servent à rien ! Et si elle crie, si elle appelle, je la brise ! Elle est à moi ! Elle pleure, non, non Achille, s’il te plaît, je la connais ta chanson ma belle, chanteuse à la noix va ! Pas un gramme de talent, si je ne t’avais pas trouvée dans ton ruisseau, tu serais à la rue ! ”

Informations pratiques

  • Roman
  • 234 pages
  • Prix 19 €
  • Broché 140 x 210 mm
  • ISBN 978-2919780051

“Jamais le droit de crier” de Françoise Henry

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Une femme achète des fleurs au marché, et les fleurs voient tout ce qui se passe chez elle, dans sa vie intime. Une curieuse explore les sacs d’une clocharde céleste, une passante écoute un homme rompre avec son amie sur son téléphone portable… Pourquoi va-t-on toujours regarder ce qu’on ne devrait pas, et fouiller dans ce qui ne nous appartient pas ? Trahisons, mensonges, secrets… On cherche ce qui se cache derrière les apparences, on va très loin, on ose. À ses risques et périls.

Après la publication d’un recueil de poésies, Françoise Henry s’oriente vers le théâtre – elle joue avec Olivier Py – tout en continuant d’écrire. Elle a publié dix romans dont “Le rêve de Martin” (Grasset – finaliste du Fémina – Prix Marguerite Audoux) et “Plusieurs mois d’avril”(Gallimard). Elle est également comédienne pour France Culture et France Inter. Avec “Jamais le droit de crier”, elle publie ici son premier recueil de nouvelles. Des nouvelles ? Des nouvelles de qui ? Des nouvelles des autres, bien sûr. De tout ce qui se passe dans la vie des femmes : choses visibles ou invisibles, dites ou non dites, tapies mais violentes, dans la rue, chez soi, petits drames silencieux puisqu’on n’ose jamais crier…

Extraits

“Les mêmes fleurs ont assisté, impuissantes, aux cris, aux mots de destruction. Elles se taisaient. Elles ne se sentaient plus à leur place, exposées, au centre. Elles se serraient les unes contre les autres, tant et si bien que certains pétales, coincés, ont séché, se sont recroquevillés. Un regard de la femme a dû les effleurer, un regard perdu, la femme se raccrochait à elles, se disait peut-être que tant que les fleurs seraient là, entre eux deux, la dispute ne serait pas trop grave.”

“Je l’ai à peine regardée, mais j’ai noté, d’un coup d’oeil, son fichu sur la tête, son vieux et lourd manteau de tweed qui pendait sur l’ourlet irrégulier d’une jupe incolore, ses chaussures d’homme surmontées de socquettes. Signes qui ne trompent pas. Comme celui de pousser, de tout son corps, de toute sa fatigue, un caddie.”

“— Je suis au fond du gouffre ! confiait-elle d’une voix sourde. Si tôt ? Si tôt, le matin, au fond du gouffre ? J’aurais voulu la suivre, mais elle allait dans le sens opposé à moi, puisque je l’avais croisée ! De quel gouffre parlait-elle ? Mille possibilités s’offraient, hélas, dans la catégorie des gouffres ! J’ai continué mon chemin, mais dans ma tête ne cessaient de résonner ces mots : — Je suis au fond du gouffre ! Confiés avec une telle maîtrise, sans plainte, sans larmoiement : juste un constat. Adressés à qui ? Jamais je n’en saurais plus sur cette femme ni sur le gouffre dont elle parlait. Jamais ! Tant pis pour toi, curieuse ! ”

Informations pratiques

  • Recueil de nouvelles
  • 84 pages
  • Prix 16 €
  • Broché 140 x 210 mm
  • ISBN 978-2919780068

A propos de The Menthol House

Maison d’édition parisienne créée en 2008, The Menthol House met en avant des artistes et valorise des livres objets référencés à la Réunion des Musées Nationaux.

Elle s’est fixée une mission : redonner l’envie d’écrire et ouvrir l’imagination.

Fondée par l’écrivain Anne Calife (publication Gallimard, Mercure de France, Albin Michel), The Menthol House place toute son énergie et son dynamisme à publier de beaux livres objets très originaux fabriqués en France et à mettre en valeur de jeunes artistes.

The Menthol House propose des livres lumineux capables de nous guérir des mensonges empoisonnés, avec des auteurs affranchis des conventions. Des inconsolés qui consolent, des brûlés qui rafraîchissent.

Elle a notamment publié la collection Carnets d’Artistes, composée d’illustrateurs sélectionnés pour leur talent unique, et la collection Une Histoire Avec, qui présente de façon originale une autre vision de belles villes de France (Paris, Marseille, Metz, Strasbourg, Cassis).

Avec la collection Orties, elle propose des textes précis, piquants pour résister, pour ceux qui sont sur le point d’abandonner la partie. La collection Orties, pour se défendre.

Si c’était une poésie, ce serait Sylvia Plath,

Si c’était une voix, ce serait celle de Janis Joplin,

Si c’était un instrument de musique, ce serait la guitare d’Elizabeth Cotten,

Si c’était un peintre, ce serait Frida Kahlo,

Si c’était un animal, ce serait un éléphant dans un magasin de porcelaine,

Si c’était une plante, ce serait l’ortie,

Si c’était un humain, ce serait une clocharde céleste,

Si c’était une fleur, ce serait la ronce,

Si c’était une matière, ce serait de la vase,

Si c’était une boisson, ce serait de l’alcool à volonté,

Si c’était un mot, ce serait résister,

Si c’était un bâtiment, ce serait l’hôpital psychiatrique ou la prison,

Si c’était un moment, ce serait la nuit juste avant l’aube.

Pour en savoir plus

La collection Orties : Fiche journalistes orties

Site web : https://www.the-menthol-house.com/

Sortie livre : “Papa tais-toi” d’Agathe Jouhanneau, un récit poignant autour de l’inceste psychique

L’inceste psychologique, on en parle ? Alors que tout le monde a en tête la triste réalité que recouvre l’inceste physique, le viol psychique est tout aussi traumatisant et d’autant plus destructeur qu’il est commis par un parent.

Il peut ainsi y avoir une non-différentiation des sexualités qui passe par les mots. L’enfant devient alors le témoin et le confident de l’adulte. Il voit ce qu’il ne doit pas voir, entend ce qu’il ne devrait surtout pas entendre…

Pour Agathe Jouhanneau, ce bourreau était son propre père. Un homme d’apparence joviale et chaleureuse mais qui cachait un côté sombre et sadique. Une histoire qu’elle raconte dans “Papa Tais Toi“, publié chez Livio Editions.

A travers ce témoignage bouleversant, l’auteure nous dévoile le long et difficile parcours de reconstruction qui l’a sauvée. Elle nous relate l’analyse qui lui a permis de mettre fin à ses somatisations, angoisses et dépression, dont le seul but était l’autodestruction.

Avec un espoir : redonner espoir à toutes celles et ceux qui sont victimes d’un pervers.

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L’inceste ne se résume pas au viol génital

Le père d’Agathe était incestueux. Et s’il n’a pas été jusqu’au viol génital, il a laissé dans le psychisme de l’enfant qu’elle était des traces qui l’ont lourdement marquée.

Des migraines atroces, des envies d’en finir, des rêves effrayants, et cette immense colère qui finit par déclencher de nombreuses maladies… Jusqu’au jour où, grâce à un psy, elle identifie enfin l’origine de ces maux : son père, un obsédé sexuel, lui a fait subir un viol psychique. Un diagnostic salvateur qui l’aidera à remonter la pente et qui verra la disparition progressive de ses problèmes de santé.

C’est pour cela que “Papa Tais-Toi” est un livre à mettre en toutes les mains ! Il alerte, avec sincérité, sur une situation trop méconnue, y compris par de nombreux médecins. Il délivre aussi un formidable message d’espoir en montrant que, pour toutes et pour tous, la résilience est possible.

Incipit

Il vient de mourir. Enfin. Je ne pensais pas qu’il irait jusqu’à cet âge. Durant neuf décennies et demie, il a mangé, bu et fumé sans modération. Toute une vie d’abus. Il a passé quatre-vingt-seize ans sur cette terre, et l’autre nuit il est parti, étouffé, incapable de respirer une fois de plus. Le monde sans lui n’est plus le même monde. La tonitruance s’est tue. J’ai de la peine en pensant au papa de mon enfance.

Ces deux derniers mois, j’ai attendu sa fin comme une promesse de libération. Ce n’est pas le cas. Sa disparition ne change rien en moi. Je reste la même ou presque, sans doute un peu plus légère, plus sereine, comme si sa mort le punissait et que cette punition me rendait justice. Il est resté sept ans en maison de retraite avant de s’éteindre. Je ne suis pas allée le voir une seule fois. Je n’irai pas à ses obsèques. Chacun en pensera ce qu’il voudra, moi seule ai vécu ma vie.

Un extrait du livre

“Dès la première photo, il observa ma réaction en souriant, ses yeux plus clairs que jamais, cherchant sur mon visage l’autorisation de continuer. Ce premier cliché montrait une femme toute nue, assise par terre, la tête en arrière, les jambes ouvertes. Elle avait des seins énormes et entre ses jambes, c’était très noir. Je n’avais que douze ans, je n’avais jamais vu aucun corps nu. Un corps de vieille pour moi. Elle avait au moins trente-cinq ans. Papa riait doucement. Il fit passer la première photo sous le paquet pour me monter la seconde.

A ce moment-là, j’eus un malaise. Comme des fourmis dans les jambes, la bouche sèche. Je me mis à gigoter comme si une mouche me piquait, pour qu’il sente que ce qu’il me montrait ne me plaisait pas du tout, que je voulais rejoindre ma sœur pour jouer avec elle et le petit chien Fripon que j’aimais et que je tentais de dresser. Ça c’était drôle, apprendre à Fripon à se rouler par terre, lui faire donner la patte… pas de regarder le derrière d’une inconnue.

Mais mon père resserra son étreinte. J’eus un haut le cœur en voyant la photo suivante. J’avais chaud. Je transpirais. Je jetais des coups d’œil aux photos pour obéir, en les regardant le moins possible. Je me sentais mal, au point d’avoir le désir de m’évanouir. Il aurait peut-être oublié les photos pour me soigner.

Les photos défilèrent, plus laides les unes que les autres. Pendant ce temps-là, Papa me parlait tout bas. Il susurrait : Avec tout ce qu’on leur fait pour leur faire du bien, ah ! Elles-en profitent les coquines… Regarde celle–là, toute pâmée, bien détendue, et celle-ci qui en redemande… Regarde encore cette photo, elle est belle cette femme-là, les cuisses écartées, à montrer tout ce qu’elle a à l’intérieur… »

Ce qu’en pensent les lecteurs(trices)

Cheryl K. :

“Beaucoup d’émotion et d’admiration devant tant de courage face à cette souffrance. Quel chemin parcouru, quelles épreuves surmontées pour enfin trouver une juste sérénité. Mettre les mots sur les maux pour enfin VIVRE. Un récit qui ne laisse pas indifférent.”

Roger D :

“Excellent récit d’une vie et surtout d’une Femme qui malgré un lourd passé aime croquer la Vie et donne l’Espoir dans une volonté absolue d’en faire toute la Lumière pour que celle-ci soit un hymne au Bonheur quelque le temps pour y arriver”.

Nicolle R. :

“(…) Ce livre captivant, d’une émotion, d’une intelligence, et d’un grand courage nous touche énormément. Il serait intéressant de figurer dans les cabinets de psys pour aider les victimes de ce traumatisme.”

Guy Chamberland :

“Passionnant de bout en bout. La première page est un vrai coup de poing. Agathe nous livre toute sa vie de façon bouleversante. De plus, c’est très bien écrit. Je le recommande à tous.”

Anne-Solenn :

“Avec justesse et pudeur, un témoignage bouleversant sur le viol psychologique et sur comment la détresse, l’incompréhension dans l’enfance, se transmet dans le corps. Ce livre dit aux parents que les lourdes plaisanteries d’adulte peuvent faire germer dans l’esprit de l’enfant une spirale destructrice. Sobre et léger, malgré le sujet sombre, cet ouvrage peut aussi aider des lecteurs à se reconstruire.”

Vincent C. :

“J’ai acheté plusieurs copies du livre afin de pouvoir l’offrir. Je crois que ce témoignage courageux peut être très utile, il suffit pour s’en convaincre de voir par où cette personne est passée, l’énergie qui l’anime à la fin du livre. Un récit pas évident sur une souffrance décrite sans pincettes mais avec sobriété, malgré tout.”

À propos de Livio Editions

Dans son souci de démocratiser une édition souvent élitiste, Livio Éditions donne la possibilité à des auteurs inconnus, souvent talentueux et pleins d’originalité, d’être publiés, vendus et donc lus.

Créée en 2014, Livio Éditions compte aujourd’hui plusieurs auteurs de qualité et publie des ouvrages variés (romans, témoignages, poésie, contes et autres).

Informations pratiques

“Papa Tais-Toi”

  • Auteur : Agathe Jouhanneau
  • Prix : 10 €
  • ISBN : 978-2354550233

Pour en savoir plus

Découvrir le livre : https://livio-editions.fr/produit/papa-tais-toi

Site web éditeur : https://livio-editions.fr

Facebook : https://www.facebook.com/livio.editions/

Instagram : https://www.instagram.com/livio.editions/

Sortie livre : “Manager l’intelligence et le talent” par David Laillier

Manager les autres, Se manager, Manager ensemble

La qualité du management des talents et des intelligences fait de plus en plus les unes des journaux et revues. Et pour cause : aujourd’hui, ni les managers ni les managés n’en semblent satisfaits.

Les entreprises consacrent des ressources énormes à « processer », automatiser, informatiser leurs opérations, mais semblent démunies face aux exigences des « travailleurs du savoir » (Drucker) et de la « classe créative » (Florida).

En effet, comment réussir à gérer ceux et celles qui créent la valeur ajoutée par leur pertinence plus que leurs heures ? Comment faire face à l’imprévisible, là où les procédures n’existent pas encore ? Est-il vraiment possible de manager les personnes intelligentes et créatives ?

Pour aider les managers à faire face à toutes les situations qui influencent la réussite de l’entreprise/de l’équipe, mais qu’ils ne savent pas encore gérer, David Laillier (coach de la haute performance) publie “Manager l’intelligence et le talent” aux éditions EMS.

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Une vision à 360 degrés du management de l’intelligence et du talent

David Laillier est un expert mondialement reconnu en PNL et en hypnose qui a déjà coaché plus de 250 professionnels et particuliers en Europe et aux Etats-Unis. Dans cet ouvrage, il offre une analyse et des outils précis pour challenger, encadrer, faire progresser et prendre soin des employés talentueux. De ceux qui sont payés pour être créatifs et intelligents, pour prendre et assumer des initiatives.

L’intelligence et la créativité sont ici une attitude et une responsabilité, pas une question de QI ou de talents innés. Tout le monde est potentiellement concerné.

David Laillier souligne :

Il n’y a pas de procédure, pas d’algorithme, pour savoir comment être créatif, prendre des initiatives, apprendre, garder son sang-froid, persévérer, s’orienter dans des situations nouvelles. Mais on peut créer les conditions favorables qui permettent d’attirer, de sélectionner, de développer et de garder les talents dans son entreprise.

L’originalité de cet ouvrage est aussi de livrer une vision d’ensemble du management. Il ne s’agit pas seulement de manager les autres !

Les managers doivent aussi faire face à des problématiques complexes :

  • parce qu’ils doivent être leurs propres managers : Comment faire face aux pressions continuelles d’un monde imprévisible ? Comment être un modèle pour ceux et celles qu’on encadre ? Comment y garder sa lucidité et conserver sa performance et son bien-être ?
  • parce que le management n’est pas et ne doit pas être un exercice solitaire. Les étincelles de génie naissent du travail de groupe. Mais comment mettre le collectif lui-même au service de l’intelligence et de la créativité ? Comment créer des équipes de la haute performance ?

Réussir à s’adapter aux évolutions structurelles d’aujourd’hui et de demain

Désormais, les intelligences et les talents sont placés au cœur de l’économie moderne. Alors qu’on parle de plus en plus de “knowledge economy”, de technologie, de standardisation, de disruption ou d’empowerment, la grande majorité des entreprises françaises peine à s’adapter.

Or, les enjeux sont énormes : la capacité à bien gérer les intelligences et les talents fera demain (et fait déjà aujourd’hui !) la différence entre les entreprises qui réussissent et les autres.

Mais combien de managers et de DRH se sentent désemparés au quotidien pour apporter les bonnes réponses au turn-over, à la guerre des talents ou encore à la culture et au rapport au travail des “millenials” ?

Découvrir des principes de management à l’efficacité prouvée

Pour manager les intelligences et les talents de leurs équipes, mais aussi les leurs, les managers ont besoin de pouvoir s’appuyer sur des outils fiables et performants.

Tout simplement parce que l’ “intelligence” et le “talent” ne sont pas des attributs innés, ils s’acquièrent et prennent la forme de compétences qui évoluent dans le temps ! Le challenge est donc d’apprendre à mieux gérer l’imprévisible et les contextes d’incertitude permanente.

Il est pourtant possible de s’engager sans certitude de réussite, de persister même quand les premières tentatives ont échoué, et de maintenir l’intelligence créative éveillée quelles que soient les pressions du contexte.

Tous les “serial learners”, qui doivent apprendre constamment et vite tout en tenant le choc, sont donc concernés par le livre “Manager l’intelligence et le talent”. Il y a bien sûr tous les avocats, les consultants et les financiers mais aussi tous les managers, chefs de projets, chefs de produits, designers, experts divers, commerciaux, artistes, etc…. En bref, tous ceux qui constituent la “creative class” (Richard Florida) au centre de l’économie actuelle.

David Laillier confirme :

Mon expérience des entreprises et du management d’équipes au plus haut niveau, doublée d’un parcours de coach internationalement reconnu, me donne assez de recul pour percevoir les problématiques de management que j’évoque dans le livre. J’ai appliqué avec succès à mes clients toutes les solutions et approches évoquées.

Un manuel de résilience pour aller plus loin

Comment faire face à de multiples obligations de résultat lorsque se dressent des défis imprévus ? Lorsqu’il n’y a pas de script préalable, et à défaut d’avoir les bons outils, le stress peut vite submerger les managers et les managés.

C’est aussi pour cela que le livre “Manager l’intelligence et le talent” est à mettre entre toutes les mains. Il corrige certaines bêtises et donne des lignes directrices pour découvrir comment ne pas se brûler, maintenir sa créativité, surmonter les challenges, et même prospérer.

Au sommaire

- Introduction

- PREMIÈRE PARTIE : Manager les autres

Chapitre 1 / Manager les personnes, une tâche impossible et nécessaire

  • Une évidence : on ne manage pas l’intelligence comme les autres ressources
  • L’idéal de passer du gouvernement des hommes à l’administration des choses
  • Une nécessité aujourd’hui plus que jamais : revenir de l’administration des choses au gouvernement des hommes

Chapitre 2 / Manager des personnes, c’est les laisser manager les situations, même difficiles

  • Savoir gérer des situations incertaines et nouvelles : une compétence empirique et inconsciente
  • Comment cette compétence s’acquiert-elle ? Déléguer et donner des responsabilités
  • C’est à l’avantage du managé comme du manager

Chapitre 3 / Manager des personnes (intelligentes), c’est créer les conditions de leur succès

  • Créer les conditions pour que le managé donne le maximum
  • S’assurer que le managé peut donner le minimum
  • Observer, observer, observer

- DEUXIÈME PARTIE : Se manager

Chapitre 4 / Se challenger et apprendre constamment

  • Rester un débutant, radicalement
  • Se challenger pour apprendre

Chapitre 5 / Renforcer sa résilience

  • Ne pas se laisser définir par l’extérieur
  • Faire face, quoi qu’il arrive
  • Le sens de la direction

Chapitre 6 / Développer son excellence personnelle, sa « part de génie »

  • Manager son état
  • La stratégie de créativité : boire à la source
  • Comment faire ? Signaux spontanés et états de haute performance

- TROISIÈME PARTIE : Manager ensemble

Chapitre 7 / Être collectivement intelligent

  • La créativité et l’intelligence collectives
  • Logiques de la disruption : ces problèmes qui nous menacent
  • L’intelligence collective

Chapitre 8 / Structurer comment les intelligences se confrontent

  • Les vertus de la dispute : le conflit au cœur de l’intelligence collective
  • Devenir polyglotte
  • Avoir des éléments minimaux de langage et de compréhension communs pour éviter la guerre civile

Chapitre 9 / Équipes d’élite

  • Quelques traits récurrents des équipes d’élite ultraperformantes
  • Décentralisation de la décision
  • L’informel

- Conclusion

- Bibliographie

A propos de l’auteur David Laillier, préparateur mental de la haute performance

profil

Marié et père de deux enfants, David Laillier est diplômé de SciencesPo Paris et titulaire d’une licence et d’une maîtrise de philosophie (Paris Sorbonne). Après avoir vécu sur la côte Ouest des Etats-Unis, il s’est réinstallé en France avec sa famille.

David débute brièvement sa carrière dans l’enseignement supérieur (Prépa SciencesPo, faculté des Lettres, ICP) puis l’intelligence économique. Mais très vite, il choisit d’exercer dans un domaine dans lequel il excelle : le conseil en management. Durant près de 20 ans, il mène ainsi une carrière au plus haut niveau sur tous types de projets (E&Y, Capgemini Consulting, puis à son compte).

Depuis 10 ans, il a aussi coaché avec succès plus de 250 professionnels, dirigeants, sportifs et particuliers en Europe et aux Etats-Unis.

Conférencier et enseignant, notamment à l’Ecole Militaire à Paris, il est un des principaux experts dans le monde en programmation neurolinguistique et en hypnose.

David confie :

Je me suis intéressé au départ à la PNL et à l’hypnose dans une optique de développement personnel. Mais cette rencontre essentielle, effectuée très tôt dans ma vie, est ensuite devenue une véritable passion. C’est pour partager mes connaissances et démocratiser l’accès à ce savoir très précieux que je me suis mis à écrire.

David est ainsi l’auteur de deux ouvrages :

- “Votre Inconscient a du Génie”, salué par J. Grinder (le créateur de cette discipline) comme “une contribution exquise et bienvenue à la présentation et au développement de la PNL et de la PNL New Code”.

- “Manager l’Intelligence et le Talent”. L’idée de ce livre est née d’un séminaire réalisé pour la branche française d’un grand groupe international de conseil en management et de services informatiques. Les idées développées alors peuvent s’appliquer à tous les managers. Elles sont le fruit d’une longue expérience en tant que consultant, coach et ex-salarié “atypique”. David Laillier souhaite aussi, avec cet ouvrage, contribuer aux débats actuels et d’offrir des réponses à propos de la “crise” du management, aux difficultés pour gérer/attirer/garder les meilleurs et les millénials, etc.

Le témoignage de John Grinder, le fondateur de la PNL, sur le travail de David Laillier

 “Je recommande fortement les compétences de David Laillier. Il maîtrise et comprend comme peu d’autres les schémas d’excellence que j’ai modélisés et codifiés sous le nom de PNL et PNL New Code. Son impact profond sur les autres, sa rigueur, son questionnement permanent, sa propre capacité à apprendre sont exceptionnels. Il démontre que le champ de la PNL est encore bien vivant. Il fait partie de ces gens qui font bouger les lignes. Il a mon soutien à 100 %. Allez le voir, vous ne regretterez pas !”

Informations Pratiques

  • “Manager l’intelligence et le talent”
  • Maison d’édition : EMS
  • ISBN : 978-2-37687-171-2
  • 204 pages
  • Format : 140 x 205
  • Prix : 22 € (e-book : 13,99 €)

Pour en savoir plus

Commander le livre : https://www.editions-ems.fr/livres/collections/ems-coach/ouvrage/546-manager-l-intelligence-et-le-talent.html

Lire l’introduction : https://static1.squarespace.com/static/5d444201613c8e0001226fbf/t/5d94ff2da6584d41e0a3c7a4/1570045741710/extrait_ext_mger_intelligence.pdf

Site web : https://bylaillier.com/

Facebook : https://www.facebook.com/David-Laillier-coach-204243296651595/

LinkedIn : https://www.linkedin.com/in/david-laillier-168677/?originalSubdomain=fr

Sortie livre : “10 950 jours (et questions) dans la peau d’un dirigeant”, le livre de Legal Design qui dépoussière le monde du droit

“Au secours, je n’y comprends rien !” Voilà en substance ce que pensent les dirigeants d’entreprise lorsqu’ils sont confrontés à toutes les questions juridiques qui impactent la vie de leur société ainsi que la leur à titre personnel : le choix du statut juridique, la rédaction d’un pacte d’associés, la constitution d’un patrimoine immobilier, le mariage/le divorce… Ils doivent aussi faire face à des changements complexes qui leur sont imposés, comme le prélèvement à la source par exemple.

Les professionnels du droit se retrouvent alors confrontés à un énorme challenge : réussir à rendre accessibles les concepts les plus difficiles afin d’aider leurs clients à s’adapter et à prendre les meilleures décisions.

Or, présenter des rapports indigestes de 20 ou 40 pages, que les dirigeants n’auront jamais le temps de lire, n’est pas la meilleure solution pour les aider à assimiler l’opacité des multiples normes existantes. A l’heure de l’ubérisation et de la numérisation des métiers du droit, il devient urgent de démocratiser la compréhension des notions juridiques.

Une enquête réalisée en mai 2019 par le Conseil national des barreaux (CNB) révèle notamment que seulement 11% des personnes interrogées sollicitent directement un avocat en cas de problème. Elles préfèrent (39%) consulter d’abord des forums sur le web !

D’où l’intérêt du Legal Design, une approche complémentaire qui fait comprendre en images des problématiques juridiques : lois, processus, situations… Mais comment appréhender cette méthode ?

Pour passer du rôle d’expert incompris à celui de ténor recherché, un binôme inédit constitué d’une avocate et d’une designer a co-écrit un livre passionnant : “10 950 jours (et questions) dans la peau d’un dirigeant”Stéphanie Marais-Batardiere et Sabine Bertrand montrent comment, grâce au Collaborative Legal Design, les professionnels du droit peuvent apporter une réelle plus-value à leurs clients en créant une relation plus collaborative et fructueuse.

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Vivre une expérience en mode Legal Design pour moderniser le droit

Comment trouver le bon équilibre entre le numérique et l’humain ? L’émergence du numérique et les récentes évolutions technologiques transforment en profondeur les métiers du droit.

Les professionnels du secteur doutent de plus en plus de leur avenir, et ils ont aussi le sentiment d’être perçus comme des rabats-joie qui compliquent inutilement la réalisation des projets. Nombreux sont aussi ceux qui ne voient pas concrètement l’intérêt du Legal Design, dans la mesure où ils ont l’impression de déjà tout faire pour simplifier la vie de leurs clients.

Dans ce contexte, le livre “10 950 jours dans la peau d’un dirigeant” est un puissant tremplin pour reprendre les cartes en main afin de se créer de nouvelles opportunités. Chacun a en effet le pouvoir d’agir pour se construire un avenir positif et un métier attractif.

A travers l’histoire de Sébastien, un dirigeant d’entreprise, les avocats/juristes vivent une expérience en mode Legal Design, avec plusieurs niveaux de lecture, et découvrent :

  • l’efficacité de cette méthode pour gagner en crédibilité et valoriser leurs interventions ;
  • comment prendre de l’avance et implanter dès à présent les pratiques métiers de demain, plutôt que de subir l’ubérisation du droit.

Stéphanie Marais-Batardière et Sabine Bertrand, les auteures, soulignent :

Il est grand temps de réveiller le monde du droit ! Nous sommes convaincues que les avocats et les juristes ont tout à gagner à créer eux-mêmes de nouvelles pratiques en phase avec les besoins et les attentes de leurs clients mais aussi de leurs équipes.

Une démarche exclusive de Collaborative Legal Design

Le binôme avocat-designer a développé et expérimenté avec succès depuis 4 ans une méthode de Collaborative Legal Design. Avec un objectif : rendre les services des cabinets d’avocats et des professionnels du droit plus accessibles.

Il faut d’ailleurs tordre le cou aux clichés qui entourent le Legal Design.

Stéphanie Marais-Batardière confirme :

Le Legal Design n’est pas un effet de mode qui se résumerait à de “petits dessins” inutiles ! Le plus souvent, il va d’ailleurs prendre la forme d’une infographie pertinente ou d’un contrat rendu beaucoup plus visuel. Le but est de permettre aux clients de devenir actifs dans la gestion de leurs propres dossiers. Ils peuvent s’impliquer davantage dans les décisions puisqu’ils en comprennent les tenants et les aboutissants.

La démarche est applicable facilement au quotidien afin d’aider chaque avocat et chaque juriste à révéler qui ils sont vraiment afin de créer plus de lien et plus de sens.

Le Collaborative Legal Design est ainsi un outil qui contribue à dépoussiérer l’image des différents acteurs du droit pour qu’ils reprennent leur place de premier plan. Il a d’ailleurs été reconnu par ses pairs puisque le cabinet Callios a été quatrième finaliste au Prix de l’innovation des avocats en relation client, organisé par le Village de la Justice en 2019.

Un ouvrage adapté aux dirigeants d’entreprise

“10 950 jours (et questions) dans la peau d’un dirigeant” est un ouvrage qui est aussi destiné aux dirigeants d’entreprise.

Pour ne plus avoir le sentiment de perdre le contrôle lorsqu’il s’agit d’arbitrer les questions juridiques et fiscales, et oser aller plus loin, ils profitent enfin d’un précieux outil qui leur permet :

  • de se poser les bonnes questions, en comprenant les tenants et les aboutissants de chaque situation ;
  • d’être rassurés quant aux décisions prises et se concentrer sur leur activité ;
  • de gagner en assurance dans leurs échanges avec leurs conseils.

Sommaire

  1. L’Idéaliste – Le lancement de Chapeaux & Compagnie : entreprendre, créer son entreprise
  2. L’Amoureux – Vive les mariés ! : le mariage/divorce
  3. Le Pacifique – Sébastien et Jean s’associent : le pacte d’associés
  4. Le Fonceur – Le juridique ne sert à rien ! : l’approbation juridique annuelle des comptes
  5. Le Prudent – Cela n’arrive pas qu’aux autres : la gestion des risques et la protection du dirigeant
  6. Le Visionnaire – Une bien mauvaise surprise (fiscale) : la rémunération du dirigeant
  7. Le Capitaine – Le rachat de Couvre Chef : la société holding
  8. Le Bâtisseur – Un nouvel atelier pour Jean : la constitution d’un patrimoine immobilier
  9. Le Sage – Sébastien pense à la retraite : la transmission d’entreprise

Prix : 38 €.

Commander le livre : https://www.10950jours.fr/

À propos des auteures, un binôme de choc qui démocratise le Legal Design

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Stéphanie MARAIS-BATARDIERE

Stéphanie est avocate fiscaliste depuis presque 20 ans au Barreau de Paris 2001-2007 et au Barreau d’Angers depuis 2007.

En 2013, elle crée le cabinet Callios et, durant 7 ans, elle acquiert une expérience entrepreneuriale qui lui permet de comprendre comment rendre plus collaborative sa relation avec ses clients dirigeants d’entreprise.

De plus, grâce aux outils visuels qu’elle a créé, ses conseils sont plus accessibles et ses clients perçoivent encore mieux la valeur ajoutée de son accompagnement.

Sabine BERTRAND

Designer depuis près de 15 ans, Sabine utilise sa baguette magique pour aider les métiers techniques, notamment dans le domaine du médical et du droit, à mieux se faire comprendre.

Cette passionnée intervient à trois niveaux :

  • elle utilise la méthodologie du design pour créer des outils qui permettent aux professionnels de mieux collaborer avec leurs clients ;
  • elle valorise graphiquement un cheminement d’actions pour lever les freins et faciliter la compréhension ;
  • elle amène la magie nécessaire aux professionnels pour les libérer de leur expertise.

Toutes les deux animent désormais des ateliers, des conférences, et proposent des accompagnements individualisés autour de leur méthode de Collaborative Legal Design.

Pour en savoir plus

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Consulter le premier chapitre : https://www.relations-publiques.pro/wp-content/uploads/pros/20191111131716-p3-document-xilu.pdf

Site web : https://www.10950jours.fr/

Les accompagnements au Collaborative Legal Design : http://collaborativelegaldesign.com/

Facebook : https://www.facebook.com/smbcallios

Instagram : https://www.linkedin.com/in/sabinebertrand/

LinkedIn : https://www.linkedin.com/in/smbcallios/

Sortie livre : “L’Esprit des mots, pour retrouver sens et cohérence” d’Audrey Chapot

En quoi l’utilisation de mots anodins et galvaudés nous impose-t-elle une pensée uniformisée et manipulatoire ? Pourquoi est-il indispensable de mettre à jour notre lecture du monde ? Comment s’allier aux mots pour retrouver du sens et changer la donne au quotidien ?

Dans son livre “L’Esprit des mots”, l’anthropologue hybride Audrey Chapot mêle anecdotes personnelles et réflexions anthropologiques pour décrypter, interpeller et mettre en perspective ce que les mots montrent de notre civilisation et de notre époque, à notre insu.

Au-delà du constat, son approche singulière et multifocale invite chacun à dépasser les dérives et fausses promesses ambiantes pour agir en conscience : elle propose de réinvestir les mots pour se réinvestir soi-même.

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Quand les mots influencent nos croyances

Les mots affectent nos comportements et orientent nos décisions collectives et individuelles, de gré ou de force, dans les champs de notre vie sociale et personnelle (média, politique, publicité, management, moral…).

La facilité de nous reposer sur nos habitudes nous maintient dans un flou des discours, une instrumentalisation des foules, une perte de repères pour chacun, une quête de sens pour beaucoup.

Comment inciter à en sortir de manière constructive et générer de nouveaux comportements verbaux, responsables et conscients ?

“L’Esprit des mots” vise à inverser la donne : à faire parler les mots, pour leur permettre de « remettre les pendules à l’heure » afin de nous aider à reprendre la main et rétablir la place du sacré dans nos vies.

L’auteur a extrait une vingtaine de mots structurant toute société humaine. Pour les réhabiliter, et nous réhabiliter nous-même en tant qu’ « individu complet », il est essentiel de renouer avec leur Essence, avec leur dimension profonde et sacrée.

Audrey Chapot souligne :

J’invite le lecteur à découvrir autrement son état d’esprit et ses comportements pour l’amener à se réconcilier avec sa nature profonde – ce qu’il est – tout autant qu’avec son environnement, qu’il maltraite depuis trop longtemps.

Une lecture inédite du monde contemporain

Grâce à une approche claire et pédagogique, “L’Esprit des mots” est à mettre entre toutes les mains pour aider chacun(e) à s’ajuster au quotidien, avec aisance.

L’auteur fournit de nombreuses clés de lecture des images mentales avec lesquelles nous voyons le monde de manière inconsciente. Elle valorise aussi les traditions des peuples premiers souvent oubliées et incomprises.

“L’Esprit des mots” offre plusieurs niveaux de lecture et propose trois portes d’entrée complémentaires, chacune reliée aux autres par des passerelles :

  • un témoignage personnel, qui apparaît en début de chaque article ;
  • une démarche anthropologique et transdisciplinaire, analytique, foisonnante et incisive ;
  • dans certains cas, une approche pratique invite aussi à l’introspection, à se poser et à réfléchir sur son état d’esprit et ses actes quotidiens.

Audrey Chapot joue entre les disciplines, les perspectives, les secteurs d’activité pour les combiner afin de bousculer ce qui était installé et perçu comme “évident”. Avec un objectif : conforter ou remettre en question les habitudes et modes de pensée.

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Table des matières

  • Introduction
  • Note préliminaire
  • Ces mots qui nous façonnent
  • Anthropologie & ethnologie : Comprendre comment le monde tourne
  • Croyance : Tout part de là !
  • Culture(s) : Ces tuteurs qui guident notre quotidien
  • Don : Pourquoi donner n’est-il jamais gratuit ?
  • Education : Devenir qui, et pour quoi ?
  • Geste : C’est bien plus que la main et le corps !
  • Habitat : Comment se sentir chez soi ?
  • Hygiène : Lorsque nous réinventons la roue, en moins bien
  • Jeu : Le champion du cache-cache
  • Loisir : Ce trompe l’œil qui n’amuse plus du tout
  • Métier : Se dédier ou s’oublier, à vous de choisir !
  • Mouvements, changements de situation : L’existence, c’est aussi un peu de mécanique
  • Nature : Celle qui n’est pas ce que vous croyez !
  • Nomade : Non, il ne suffit pas de bouger pour être nomade !
  • Outils : Savez-vous retrouver les outils sous une montagne de gadgets ?
  • Patrimoine : A quel point choisissons-nous notre histoire ?
  • Un autre Grand Récit des activités humaines : En quoi le progrès récent n’est-il qu’une illusion ?
  • Réseau : Comme l’araignée, vous savez aussi tisser votre toile !
  • Sacré : A la recherche de ce qui a été oublié
  • Sédentaire : Mise au point sur une si courte histoire !
  • Travail : Comment oser faire à sa manière ?
  • Vide : Désencombrez, encore et encore !
  • Et maintenant ? Tout est entre nos mains
  • Mon activité, en bref
  • Inspirations choisies
  • Remerciements

Consulter un extrait du livre

Pour avoir un aperçu de “L’Esprit des mots”, c’est par ici : https://www.relations-publiques.pro/wp-content/uploads/pros/20191128144356-p6-document-cwnu.pdf

À propos d’Audrey Chapot, anthropologue hybride

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Diplômée en ethnologie, civilisation indienne et conseil en organisation, Audrey Chapot s’adresse aux particuliers et aux entreprises prêts à bousculer le prêt-à-penser, questionner les conditionnements et revoir leur rapport au monde.

Elle décrypte les idées, les mentalités, les influences culturelles et ancestrales pour identifier comment ces facteurs invisibles portent ou limitent nos comportements et nos décisions, individuellement et à l’échelle sociétale.

Conférencière reconnue, elle donne aussi des consultations individuelles (en ligne et à Strasbourg) pour aider chacun(e) à revenir à soi, à lever les loyautés invisibles et à tracer sa route. Elle travaille notamment sur 3 dimensions interdépendantes : l’exploration de soi, l’exploration du monde, et l’exploration des transitions de vie.

Audrey souligne :

Ma pratique permet de lever les perturbations récurrentes, notamment lors des étapes-clé de l’existence telles que les reconversions professionnelles, les expatriations, les retours au pays…

Elle est animée au quotidien par la volonté d’assainir notre relation au monde, tout autant que nos modes de vie et modalités au travail.

Avec “L’Esprit des mots”, Audrey s’adresse à tous ceux/celles qui veulent comprendre les abus de langage et leurs influences.

Elle précise :

Si le lecteur est interpellé, bousculé au point d’entendre ce qu’il n’avait jusqu’alors jamais entendu, alors ses habitudes de pensée changeront. Ceci est le point de départ incontournable pour que les mentalités et les comportements évoluent.

Audrey Chapot travaille actuellement à l’écriture d’un prochain livre.

 Informations Pratiques

  • L’Esprit des Mots
  • 384 pages
  • Broché
  • Format : 14,8 x 21 cm
  • Prix papier : 22 €, formats ebook (ePub et Kindle) : 9,99 €
  • ISBN papier : 9782322186839, ISBN ebook : 9782322225262

“L’Esprit des mots” peut être commandé chez l’éditeur BOD, sur Leslibraires.fr et sur Amazon et chez tous les libraires.

Pour en savoir plus

Site web : https://www.audreychapot.com/

Facebook : https://www.facebook.com/audreychapot.pro/

LinkedIn : https://www.linkedin.com/in/audreychapot/

Sortie livre : “ART Volume 4″ de Rémi Bertoche – Récits, peintures du surfeur voyageur Rémi Bertoche

Comment un artiste baroudeur qui cherche l’inspiration en surfant au milieu des icebergs se retrouve à peindre pour le Prince Albert II de Monaco, pour les superstars des tapis rouge aux 4 coins du monde et au Carlton lors du Festival de Cannes ? Explications…

Derrière les photos que les artistes postent sur les réseaux sociaux, il y a tout un travail de fond, des instants passionnants et de vrais moments de galère, de belles réussites et des moments de doute…

C’est toute une vie créative qu’il est bien difficile d’imaginer en regardant une oeuvre.

Le livre “ART Volume 4″ fait découvrir aux lecteurs l’univers de Rémi Bertoche, un artiste contemporain, surfeur et voyageur, qui s’est forgé au fil des années une belle notoriété. À mettre entre toutes les mains, ce livre invite à voir en couleur et en grand que tout est possible dès lors qu’on n’arrête pas d’y croire.

De ses prestations en direct lors de grandes rencontres sportives (GP de F1 de Monaco, HSBC Golf Championship d’Abu Dhabi), des Art Fair de Miami et des Emirats Arabes Unis en passant par les hôtels les plus prestigieux de Hawaï, Tokyo et des Seychelles, le récit plonge les lecteurs au cœur de la vie et des créations de Rémi et le rend captivant de la première à la dernière page.

Paru le 1er décembre.

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Une sortie très attendue par les amateurs d’art, de voyages et de sports

Les trois premiers volumes de 180 pages de la série “Art” de Rémi Bertoche, publiés en 2002, 2004 et 2007 ont connu un beau succès dans le monde entier. Ils ont ainsi été traduits en français, anglais, espagnol et japonais pour toucher une audience internationale.

Mais depuis le dernier volume publié il y a plus de dix ans, il s’est passé beaucoup de choses !

Cette aventure pleine de rebondissements est racontée dans ce volume 4.

Il était une fois, la suite d’une belle histoire, d’une inspiration prenant sa source au cœur des océans. Des icebergs aux barrels translucides, des îles où il fait chaud, très chaud, de la jungle sauvage, urbaine, aux tapis rouges des événements de prestige.

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La sortie du livre était très attendue, comme l’a montré le succès de la campagne de financement participatif sur KissKissBankBank avec plus de 200% du projet financé.

Ce nouvel ouvrage, à paraître en décembre, contient 272 pages en couleur d’œuvres d’art, de live painting et de photos d’ambiance retraçant le parcours de l’artiste. Il y a aussi tout l’envers du décor : les touches qui ne prennent pas, les paris perdus, ou au contraire tous les détails de folles péripéties qui le conduisent par exemple à peindre devant et pour le Roi du Bahreïn une gigantesque fresque de 15 m² le représentant sur son cheval …

Rémi Bertoche, un artiste contemporain au parcours atypique

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Rémi Bertoche a déjà eu plusieurs vies. Né le 21 Décembre 1977 à Biarritz, il a grandi dans les Landes, et il a installé son atelier à Seignosse depuis 10 ans.

Mais il a aussi été Pro surfer sur le WQS (World Pro Surfing Tour) entre 1998 et 2007, créateur d’une revue (Freegolf / Freesurfing magazine) et co-fondateur de “Le salon des Glisseurs” en 2010 (renommé ” Glissexpo ” en 2012) .

Rémi est surtout un artiste “No Limit” qui considère que rien n’est impossible. Mieux : plus le challenge semble difficile à relever, plus il a envie de le faire ! Il foisonne d’idées nouvelles, sans cesse à la recherche d’un moyen pour surfer sur les obstacles. Rémi vise toujours plus haut, toujours plus loin, et il ne se satisfait jamais d’un petit résultat.

Aujourd’hui, il est référencé sur le marché de l’art chez ARTPRICE et AKOUN. Une toile d’1m x 1m signée Rémi Bertoche est estimée à 15 000 €.

Un extrait de la préface d’Alain Gardinier

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« Rémi Bertoche vit pour et avec l’élément liquide qu’il exprime en couleurs ou en noir et blanc sur de magnifiques grands formats. C’est cette existence de folie, ces surf trips dans la glace ou au bord du désert, ces créations folles dans des lieux plus extravagants les uns que les autres et sur tous les supports existants (toile, papier, murs, blockhaus…) qu’il raconte aujourd’hui dans ce Tome 4 de ‘Remi Bertoche Art’ : 272 pages d’art mais aussi d’aventures et d’anecdotes hallucinantes vécues par un personnage résolument hors du commun. Il y a des artistes et il y a … Rémi Bertoche. »

Rencontrer l’artiste pour une dédicace du livre

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Suite au lancement du livre le 1er décembre, Rémi Bertoche est présent tous les Samedi de décembre de 13h à 19h pour échanger avec son public, présenter son livre et ses œuvres, dédicacer ses ouvrages…

Sur rendez-vous.

Informations pratiques

  • “ART Volume 4″ de Rémi Bertoche
  • 272 pages
  • Livre couleur
  • Couverture rigide
  • Format 60 x 21,5 cm ouvert
  • Tarif : 49 €

Pour en savoir plus

Dossier de presse : https://www.relations-publiques.pro/wp-content/uploads/pros/20191115130952-p3-document-nvxr.pdf

Site web : https://www.bertoche.com/

La boutique des reproductions : https://www.bertoche.com/10-tableaux

Facebook : https://www.facebook.com/remibertoche/

Instagram : https://www.instagram.com/remibertoche/?hl=fr

LinkedIn : https://www.linkedin.com/in/donald-carre-20b61b57

Sortie livre : Jiu-Jitsu La Force Tranquille, le livre qui vous aide à devenir meilleur de Samir Bensaïd

On ne naît pas champion, on le devient ! Compétiteur reconnu, plusieurs fois champion de France, Samir Bensaïd a connu, comme tant de sportifs, les doutes et les questionnements avant de parvenir au sommet de sa discipline.

La sortie de son dernier livre Jiu-Jitsu La Force Tranquille est un événement en soi : jusqu’à présent, aucun ouvrage n’avait encore abordé cette discipline sportive, qui connait pourtant un succès croissant dans le monde entier.

Jiu-Jitsu La Force Tranquille est le partenaire idéal pour accompagner les combattants de Jiu-Jitsu brésilien dans leurs progressions, quel que soit leur niveau. Mais pas seulement ! Il donne aussi à tous, grâce à un accès facile et à un ton souvent empreint d’humour, de précieux outils pour avoir un mental à toute épreuve.

Samir Bensaïd est avant tout animé par la volonté de transmettre des clés qui vont permettre à chacun(e) de se ressourcer pour continuer à avancer.

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Le Jiu-Jitsu, un sport et une philosophie de vie

Le Jiu-Jitsu brésilien, JJB pour les intimes, n’est pas seulement un sport de combat. Il est aussi un tremplin qui développe une autre façon d’envisager l’existence, avec plus d’humilité.

La première rencontre avec cette discipline peut même s’avérer compliquée.

Samir confie :

Lorsque nous débutons, nous sommes parfois un peu perdus, nous avons du mal à progresser, nous ne comprenons rien au système de ceinture, c’est le brouillard !

Chacun va alors se noyer dans un océan de techniques, reproduites péniblement en combat. Peu à peu, le doute commence à faire son apparition : « Suis-je fait pour ce sport ? »

Certains abandonnent et d’autres continuent. Mais même pour ces derniers les questionnements et remises en question se succèdent au fil des années.

Samir souligne :

En tant que ceinture noire, j’ai acquis une certitude : toutes ces phases de doutes et de questionnements sont normales et font partie du processus d’apprentissage.

Dans ce livre, il retrace ainsi, à travers son propre parcours, la vie et l’évolution du combattant de Jiu-Jitsu brésilien, avec ses hauts et ses bas, et toutes les interrogations qui ne manquent pas de survenir.

Un livre de développement personnel

A travers des récits courts et autobiographiques, souvent empreints d’humour et parfois d’émotion, Samir raconte comment il a réussi à surmonter toutes les difficultés qui se sont dressées sur son chemin.

Il évoque notamment des passages de son enfance qui ont contribué à forger son caractère avec des valeurs importantes comme le respect, le partage, l’humilité et le vivre ensemble.

Jiu-Jitsu La Force Tranquille est ainsi un livre de transmission, un précieux guide pour que chacun puisse apprendre à son tour à dépasser ses obstacles.

Samir confirme :

Je veux que tout le monde puisse accéder à des outils qui aident à se relever des défaites. Car derrière chacune d’entre elles se cache un véritable trésor !

En effet, au fur et à mesure qu’ils découvrent le livre, les lecteurs s’aperçoivent que les leçons apprises grâce au Jiu-Jitsu brésilien peuvent aussi être appliquées dans la vie de tous les jours. Véritable bouffée d’oxygène, ce livre est un hymne à l’espoir, au partage et au respect de l’être humain d’où qu’il vienne.

Ce qu’en pensent les lecteurs

Voici quelques témoignages que les lecteurs du livre ont laissé sur Amazon :

“Ce livre est juste merveilleux pour devenir un meilleur combattant en JJB mais surtout pour devenir une meilleure personne. Bravo Samir !”

“On ressort de l’ouvrage avec beaucoup de positif, beaucoup de bonnes vibrations et déjà rien que pour cela, il vaut le coup d’être lu.”

“Excellent livre, très instructif et extrêmement enrichissant.”

“Ce livre est à la fois un partage de valeurs morales et un booster de motivation. Sur le tatami ou ailleurs, il vous aide à surmonter les épreuves et à remporter les challenges de la vie.”

“Super livre, superbe écriture, j’adore, je survalide ! Une tuerie ! Continue comme ça Samir.”

“Super top ! Un moment qu’on attend cet ouvrage sur le Jiu-Jitsu. Je le recommande pour tous les passionnés de Jiu-jitsu brésilien. Et c’est écrit par un passionné de dingue.”

A propos de Samir Bensaïd, champion de France de Jiu-Jitsu brésilien

5 fois champion de France, Samir Bensaïd est un compétiteur chevronné. Plusieurs fois médaillé international, il continue aujourd’hui de faire de la compétition tout en entraînant de jeunes sportifs au sein de son club. Les performances de plusieurs de ses élèves au plus haut niveau le propulsèrent au poste d’entraîneur de l’équipe de France lors de la saison 2018/2019. Son équipe se classera d’ailleurs deuxième meilleure nation au Championnat d’Europe de Bucarest en Roumanie 2019.

Pourtant, rien ne le prédestinait à une telle ascension ! Samir a en effet découvert le Jiu-Jitsu relativement tard, en 2008, à l’âge de 29 ans. Depuis, il n’a eu de cesse de relever de nouveaux challenges.

Il s’est notamment formé à la PNL (Programmation Neuro Linguistique) et à l’ennéagramme, et a publié un livre en ligne « 7 secrets pour progresser en JJB », téléchargé à plus de 4 000 exemplaires.

Sa chaîne YouTube, qu’il développe depuis le début de sa carrière, est numéro 1 en France sur le Jiu-Jitsu brésilien avec bientôt 10 000 abonnés. Il y diffuse du contenu chaque semaine.

L’idée du livre Jiu-Jitsu La Force Tranquille est née en juillet 2019 suite au succès des emails que Samir envoyait régulièrement à son audience.

Il confie :

Ayant été très mauvais à l’école, je n’aurais jamais cru pour écrire un livre un jour ! C’est ma communauté qui m’a porté et donné l’envie de me dépasser. J’ai décidé de me challenger pour qu’il soit prêt pour la rentrée 2019, soit 3 mois plus tard.

Pari réussi !

Aujourd’hui Samir ambitionne de faire de son livre une référence dans sa discipline et ça semble bien parti avec déjà une cinquantaine de commentaires positifs et une note de 4,9 sur Amazon ! Son espoir : toucher les cœurs et donner à tous de la force et du courage.

Samir travaille actuellement au lancement d’un nouveau programme en ligne d’ici la fin de l’année. Il a également d’autres projets d’écriture : deux nouveaux livres vont voir le jour durant le premier semestre 2020.

Pour en savoir plus

Commander le livre : https://www.amazon.fr/JIU-JITSU-FORCE-TRANQUILLE-devenir-meilleur/dp/1700442600

Site web “7 secrets pour progresser en JJB” : https://samir-bensaid.systeme.io/9f4a2861

Facebook : https://www.facebook.com/samirbensaidbjjLifestyle/

Instagram : https://www.instagram.com/samirbensaid_bjj/

 

“Divorce et nullité de mariage”, l’histoire vraie d’un marathon canonique : le « divorce religieux » a-t-il un sens ? Quels sacrements et vie de foi pour les divorcés remariés ou en couple ?

L’Eglise Catholique autorise dans certains cas bien spécifiques la nullité du mariage religieux. Elle reste encore peu rodée à la gestion de cette procédure canonique et à l’accompagnement psychologique des personnes concernées.

Une situation qui peut être particulièrement difficile à vivre, comme en témoigne Sophie Touttée Henrotte, infirmière de formation et Gestalt-thérapeute coach certifiée, dans son nouveau livre Divorce et nullité de mariage – Marathon canonique et démarche thérapeutique d’une femme de foi  publié aux Éditions du Signe.

Cet ouvrage passionnant raconte le long et éprouvant combat – durant plus de quatre ans – d’une femme divorcée, mère de trois enfants, pour contester la demande en nullité de son mariage religieux instruite par son ex-mari 21 ans après.

Trois ans après la sentence qui lui donnait raison, l’auteur détaille son parcours et s’intéresse aux évolutions possibles proposées par l’Église. Y aurait-il désormais d’autres solutions pour les divorcés que de passer par une procédure de nullité pour accéder de nouveau aux sacrements, tout en défendant les liens sacrés du mariage ?

Dans la perspective, en tant que thérapeute, d’accompagner mieux des personnes qui seraient confrontées à la même situation, Sophie Touttée Henrotte souhaite aujourd’hui à travers ce livre, témoigner de sa foi vivante, de l’évolution de sa spiritualité au travers cette épreuve et de cette soif d’amour à recevoir et à donner.

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Un parcours de vie qui pose des questions essentielles

Comment démontrer qu’un mariage est bien valide au regard du droit canonique ? Pour obtenir gain de cause, Sophie Touttée Henrotte a dû subir trois instances successives devant les officialités de Paris, Versailles puis Montpellier ainsi que des expertises psychiatriques.

Si elle dévoile aujourd’hui cette étape de sa vie, c’est avant tout pour montrer comment se déroule une telle procédure et à quel point le défendeur, dans la mesure où il conteste la demande en annulation, se trouve démuni, malmené, ballotté entre les mains d’une institution assez rigide et souvent opaque.

Sophie souligne :

Les « dégâts collatéraux » sont inévitables, pour les enfants et l’entourage proche, mais aussi pour les témoins de mariage qu’on appelle à revenir vingt ans en arrière pour vérifier l’authenticité du consentement des ex-époux.

Une situation dont les plus hautes instances religieuses ont pris conscience : le Pape François a publié une réforme des nullités de mariage en septembres 2015 (le motu proprio « Mitis iudex Dominus Iesus »). Mais, dans le cas de Sophie, cela n’aurait visiblement rien changé à son problème, ni sur le fond ni sur la forme (sa procédure s’est déroulée entre 2011 et 2015).

La foi et la volonté d’avancer dans le sens de l’amour

Passé le choc de la demande en nullité, livrée à elle-même, Sophie a gardé une foi chrétienne bien ancrée. Elle a pourtant connu des moments de doute profond quant au soutien et à la compétence des hommes d’Eglise qu’elle a rencontrés tout au long de ce parcours juridique insensé. Elle s’est souvent retrouvée déconcertée par des discours divergents qui auraient pu la pousser à ne plus répondre en vérité.

L’ouverture pastorale défendue par le Pape François en avril 2016, dans son exhortation apostolique Amoris Laetitia, est un véritable déclic. Le Pape appelle en effet à aider “les divorcés remariés” car “ils ne doivent pas se sentir excommuniés”.

Sophie confie :

Ma plus grande souffrance est cette impossibilité de recevoir le Pardon. Il s’agit à mon sens d’une sanction peu concevable venant de Dieu : il ne juge pas et ouvre grand ses bras.

Une couverture signée Pierre Trémauville, artiste peintre à Paris

Pierre Trémauville est né en 1951 à Falaise, dans le Calvados. Il vit désormais à Chantilly.

Artiste peintre et sculpteur autodidacte, il apprend son art à l’école de la rue, à Montmartre.

Cet artiste au talent reconnu expose régulièrement en Europe et aux Etats-Unis, et son travail a été récompensé par de nombreux prix. Il est notamment coté sur Drouot et Akoun.

Ses œuvres figurent dans de nombreuses collections privées dans toute l’Union Européenne mais aussi au Japon, aux Etats-Unis, à Taïwan, aux Emirats-Arabes Unis, au Pérou et au Canada.

Il a créé la peinture figurant en couverture du livre en 2019, spécialement pour Sophie Touttée Henrotte.

Après avoir lu le premier livre « Voyage au cœur du lien », Pierre a été touché par le témoignage de vie de Sophie. Il lui a fait la surprise il y a un an de reproduire sa couverture et de lui faire parvenir en cadeau son tableau.

Sophie lui parle alors de son second livre. Pierre insiste pour se mettre à l’ouvrage. Il fait appel à sa créativité pour lui composer une couverture qui se retrouve sélectionnée par les éditions du Signe.

C’est ce que Sophie pourrait définir comme un lien du cœur, Pierre est sur son chemin de vie par la peinture pour transmettre à ses côtés.

Sommaire

Avant-propos

PREMIÈRE PARTIE : Procédure de nullité du mariage catholique, mon marathon canonique

  • Le choc de la demande en nullité
  • La première audition
  • Deux instances contradictoires
  • Une victoire longue à venir
  • Quid des droits de la défense ?
  • Toute la lumière sur mon dossier judiciaire

DEUXIÈME PARTIE : Les sacrements et la vie de foi pour les divorcés formant un nouveau couple

  • Les divorcés remariés ou en couple dans Amoris laetitia
  • Comment revenir aux sacrements ?
  • La grâce du salut sans la communion

TROISIÈME PARTIE : Cheminement dans la foi d’une thérapeute et ouverture sur une autre forme de spiritualité

  • Le cheminement d’une thérapeute, une relecture de ma foi
  • À chacun son chemin et sa spiritualité

Épilogue

Bibliographie

Informations pratiques

Divorce et nullité de mariage – Marathon canonique et démarche thérapeutique d’une femme de foi de Sophie Touttée Henrotte

  • Éditions du Signe
  • 205 pages
  • ISBN : 978-2-7468-3774-4
  • A paraître fin novembre, en librairie début décembre

A propos de Sophie Touttée Henrotte

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Ancienne infirmière, graphologue et morphopsychologue, coach certifiée, Gestalt-thérapeute, avec une spécialisation dans les addictions (DU universitaire), les couples et les typologies borderline, Sophie Touttée Henrotte crée en 2000 son cabinet Bilanciel (www.bilanciel.fr) à destination des entreprises et des particuliers, puis, fonde en 2012 l’association Oser c’est vivre (www.ocev.fr). En janvier 2019, elle crée UDC « union des cœurs, univers des coquelicots » (http://www.udc.coach/) où coexistent plusieurs univers différents dédiés à la danse, à la formation, à la méditation et yoga, aux massages, à la thérapie. Là aussi, elle aime emmener ses patients dans divers espaces, dans l’ici et le maintenant, là où sont leurs besoins de l’instant présent.

Ainsi, depuis plus de vingt ans, Sophie accompagne des jeunes en orientation scolaire, des adultes et des couples dans la connaissance de soi et le développement personnel, ou en entreprise, des professionnels dans la cohésion d’équipe et l’émergence des talents.

Elle souhaite préserver une vision holistique de l’être humain et grandir ensemble. Son rêve est de rechercher prioritairement le bien commun en favorisant le développement intégral de la personnalité de chacun.

Pour cela, elle s’ajuste à chacun en utilisant la boîte à outils qu’elle s’est constituée au gré de ses formations. Sophie sait transmettre aussi bien par le biais de la danse (qu’elle pratique intensément depuis ses 5 ans), du yoga, de la méditation, de la chromothérapie, de la lithothérapie, de l’énergétique que grâce à des outils comme l’Ennéagramme, le MBTI, la typologie de Holland, des tests projectifs… mais surtout grâce à son sourire inébranlable et son amour de la vie. Son credo : être bien dans son corps et dans sa tête, savoir ouvrir sa boîte à l’ETRE.

Pour venir en aide à ses patients, Sophie s’appuie sur une approche novatrice dans le milieu de la thérapie : le dévoilement du thérapeute. En faisant part de son expérience personnelle et en acceptant de se dévoiler à ses patients dans un ajustement créateur, Sophie crée un véritable lien, qui s’inscrit dans cette dynamique de liance et de reliance. Ses conférences, ses stages et son livre Voyage au cœur du lien en sont la parfaite illustration.

Depuis ses 18 ans, elle consacre une partie de sa vie à l’humanitaire et à l’associatif, où le temps ne compte pas, seule l’ouverture de cœur est essentielle à ses yeux.

Pour en savoir plus

Sites web : https://www.bilanciel.fr/ et http://www.udc.coach/

Blog : http://www.osercolorersavie.fr/

Dossier de presse : https://www.relations-publiques.pro/wp-content/uploads/dp/bilanciel.pdf

Sortie Livre : Chère Insaisissable, Liane de Pougy de Sophie Tellier

Comment trouver sa place dans une société entièrement corsetée par les hommes ? C’est ce combat de femme, toujours d’actualité, qu’entreprend Liane de Pougy (1869-1950), danseuse et courtisane devenue l’une des Reines de Paris.

En se hissant très jeune en haut de la hiérarchie des Grandes Horizontales, puis en œuvrant pour la liberté d’expression et la liberté sexuelle, elle trace une certaine voie de l’émancipation féminine. Devenue Princesse Ghika, atteindra-t-elle finalement la respectabilité ? Elle meurt Anne-Marie-Madeleine de la Pénitence, « laïque consacrée » dans le Tiers-Ordre de Saint-Dominique.

Dans cette pièce, écrite pour une comédienne/chanteuse et un pianiste/comédien, Liane narre sa vie de manière vivante, littérale, humoristique, émouvante et finalement très contemporaine.

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Chère Insaisissable, Liane de Pougy : le texte du Théâtre Musical enfin publié

Chère Insaisissable, Liane de Pougy est une oeuvre à part, publiée à la fois en format papier et numérique aux Éditions AlterPublishing.

Ecrit par la comédienne-chanteuse Sophie Tellier, ce spectacle musical a fait l’objet d’une lecture publique au Festival NAVA. Cette talentueuse artiste était accompagnée par un pianiste-comédien (Sébastien Mesnil dit Le Zèbre).

L’histoire est construite autour de la vie de Liane de Pougy, célèbre courtisane de la Belle Epoque. Sophie Tellier s’est passionnée pour ce personnage hors-du-commun, qui suit, contre toute attente, un parcours de liberté et d’indépendance.

Elle nous confie :

L’existence de Liane de Pougy est remplie de paradoxes : attraction, fascination, mépris, elle aura tout connu.  Mais, à sa manière, elle a tracé une certaine voie du féminisme. En œuvrant pour la liberté d’expression, la liberté sexuelle et la liberté des femmes tout court, elle témoigne aussi de la dignité humaine.

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Liane n’est pas seulement une des “Reines de Paris”, incontournable et protégée par les têtes couronnées du monde entier. Elle est aussi une pionnière qui choisit de divorcer, gère sa carrière tumultueuse en femme d’affaires, affiche sa bisexualité, devient écrivain, crée un journal et se réalise dans la littérature érotique.

Elle ose aussi suivre la voie de la spiritualité, en dehors des dogmes, par le don de soi au service des autres. Alors qu’elle est richissime, elle préfère se consacrer à toutes les femmes qui se trouvent au plus bas de l’échelle sociale. La sulfureuse Liane de Pougy devient ainsi Princesse Ghika puis Sœur Anne-Marie de la Pénitence.

Une vie foisonnante ponctuée de virgules musicales

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L’immersion dans la vie de Liane de Pougy est ponctuée de chansons et de valses argentines, comme un pont entre les XIXème et XXème siècles.

De belles pépites musicales qui donnent du rythme et du relief, puisées parmi le répertoire de :

  • Reynaldo Hahn,
  • Erick Satie,
  • Joséphine Baker,
  • Lucienne Delyle,
  • Les Sœurs Étienne,
  • Boris Vian,
  • Barbara,
  • Juliette,
  • Gainsbourg…

Une préface de Laurent Chalumeau

Laurent Chalumeau est journaliste, écrivain, scénariste et dialoguiste.

Voici un extrait de sa préface :

“Une constante, tout du long : qu’elle démasque l’hypocrisie du pacte conjugal ou les conditions faites aux plus vulnérables, aux êtres improductifs dont le monde n’a que faire, les questions que soulève la scandaleuse existence de Liane sont toujours celles de notre temps.

People, pute, sainte, rebelle, tout ça à la fois — l’étonnant, ce n’est pas qu’une artiste veuille aujourd’hui raconter cette histoire. Ce qui surprend, c’est plutôt que cette vie soit restée si longtemps un secret bien gardé.”

À propos de Sophie Tellier

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Comédienne au parcours éclectique, Sophie Tellier est également chanteuse, danseuse, metteur en scène, chorégraphe pour l’opéra ou chorégraphe associée pour Mylène Farmer. Elle interprète aussi la rivale dans trois de ses clips vidéo.

Comédienne et chanteuse pour A.Arias, J-M.Besset, N.Briançon, P.Calvario, J. Lassalle, M.Legrand, J-L.Revol ou J.Savary, elle a incarné Camille Claudel dans Camille C. mise en scène par J-L.Moreau (Molière de l’Inattendu 2005). Elle a aussi participé en 2014 à Dreyfus, joué à l’Opéra de Nice, la dernière création de Michel Legrand (livret de Didier Van Cauwelaert, mise en scène de Daniel Benoin).

Depuis 2015, Sophie Tellier a mis en scène Tobie et Sarra, puis Joseph, des créations musicales de Jocelyne et Étienne Tarneaud.

Au théâtre, elle a joué dernièrement dans Jean Moulin de Jean-Marie Besset, mise en scène de Régis de Martrin Donos, puis dans La double inconstance de Pierre Carlet de Chamblain de Marivaux, mise en scène de Philippe Calvario.

Pour en savoir plus

Télécharger un extrait sur AlterPublishing : https://www.alterpublishing.com/fr/chere-insaisissable.html

Facebook : https://www.facebook.com/ChereInsaisissable/

Teaser YouTube : https://youtu.be/P1ycqWM6i8I

Site web Sophie Tellier : https://www.sophietellier.com/

Agent Sophie Tellier :

Agence Talents d’Art,

Sabine Desternes

06 11 91 38 57

sabine.desternes@talentsdart.fr

Sortie livre : “La Renaissance de la Terre” d’Herbert ICKX, roman d’anticipation sur un “futurible”

Découvrant un rapport confidentiel sur une étrange observation, deux enquêteurs privés vont travailler séparément puis ensemble, traversant de périlleuses puis extraordinaires aventures.

Gérant plusieurs dossiers brûlants, ils feront de nombreuses découvertes sur l’Univers, différentes forces en présence, aux buts très divergents, avec pour enjeu le sort de notre planète.

Dans “La Renaissance de la Terre”, un livre d’anticipation publié aux Editions Le Lys Bleu, Herbert ICKX présente un futurible (futur possible) qui divertit tout autant qu’il donne à réfléchir, fait voyager et incite à élargir sa vision des choses…

Aventure, suspens, humour, sentiments, informations, réflexions et clins d’œil sont au rendez-vous de ce livre attachant qui va marquer les esprits !

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Un roman surprenant ancré dans la réalité

Fiction ou réalité ? “La Renaissance de la Terre” casse les codes et distille un suspense qui tient en haleine de la première à la dernière page.

Si sa trame est fictive, tous les éléments isolés assemblés dans le roman sont issus d’une réalité tangible. Seul leur agencement est une fiction…

Herbert ICKX  souligne :

L’étiquette de la science-fiction (ou anticipation) a souvent été utilisée dans le passé, et depuis longtemps, pour faire passer des informations et amener à des prises de conscience.  Il a parfois fallu quelques décennies pour valider et démontrer, par des faits concrets et tangibles, leurs grandes pertinence et lucidité.

Dans  “La Renaissance de la Terre”, l’auteur a le courage d’aborder des sujets peu souvent évoqués en mêlant le suspens, l’humour, la provocation, la mise en perspective et l’aventure, avec des personnages qui ont une réelle profondeur.

Un livre attachant et captivant à mettre entre toutes les mains !

A propos d’Herbert ICKX, l’auteur

Chercheur amateur inlassable, et contacté bien malgré lui, Herbert ICKX a été confronté à des faits qu’ils l’ont emmené là où peu auraient tout d’abord souhaité aller. Mais par la suite, sa perception de la réalité profonde des choses lui a ouvert des horizons insoupçonnés et hautement remarquables.

Depuis ses premiers ressentis et intuitions, à la fin des années 90, il n’a cessé de découvrir que de nombreux autres chercheurs indépendants confirmaient toutes ses expériences, ses convictions intimes, ouvrant ainsi des horizons extraordinaires pour nos potentiels individuels, notre avenir collectif, et le devenir de la planète…

Aujourd’hui, “La Renaissance de la Terre” pourrait prochainement devenir un film. Un autre livre, sur une autre histoire, est déjà en préparation. Les faveurs du public envers ce premier ouvrage détermineront si une suite lui sera donnée…

Informations pratiques

  • “La renaissance de la Terre”
  • Le Lys Bleu Editions
  • Numéro ISBN / EAN : 9782851139719
  • 304 pages
  • Tarif : 19,90€

Pour en savoir plus

Site web : http://herbertickx.fr

Facebook : https://www.facebook.com/Herbert-Ickx-auteur-de-romans-danticipation-510549349717384/

Les éditions Le Lys  Bleu : https://www.lysbleueditions.com/produit/la-renaissance-de-la-terre/

Comprendre et cuisiner les fruits et légumes Bio : Des experts du bio lancent le premier livre pour tout savoir sur les fruits & légumes bio… de la culture à la cuisine !

En 2018, plus de 7 Français sur 10 ont consommé des produits biologiques et près des 3/4 le font régulièrement (au moins une fois par mois). 12% consomment même des produits bio tous les jours ! (source : Agence Bio).

Un engouement qui a un réel impact économique : en 2018, le marché du bio représente 9.4 milliards d’euros de chiffre d’affaires et affiche une belle croissance (+ 15,7% par rapport à 2017).

De scandales alimentaires en prises de conscience environnementales, le comportement des Français a évolué en profondeur.

Toutefois, il est légitime de se sentir un peu désemparé au quotidien :

  • Que recouvre exactement la réalité du bio : Comment travaillent les producteurs ? Quelles sont les spécificités des fruits et légumes bio ?
  • Comment éviter la lassitude en hiver et début de printemps où la diversité des fruits et légumes de saison est limitée ? Existe-t-il d’autres recettes savoureuses et créatives ?

C’est pour leur apporter une réponse pertinente que l’association Bio Loire Océan, en collaboration avec le formateur et auteur de livres culinaires Gilles Daveau, publie “Comprendre et cuisiner les fruits et légumes Bio”.

Ce livre passionnant, qui sortira le 15 novembre 2019, est le premier à apporter un regard croisé sur la production des fruits & légumes ET sur les recettes/techniques de cuisine.

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Une collaboration exclusive entre producteurs et cuisiniers

Bien manger, ce n’est pas seulement bien cuisiner ! Afin que l’appétit pour une cuisine saine devienne une démarche durable et riche de sens, encore faut-il comprendre d’où viennent les produits que nous mettons dans nos assiettes.

Issu d’une collaboration exclusive entre producteurs et cuisiniers, le premier livre édité par Bio Loire Océan offre une approche à 360° de l’agriculture biologique.

L’association de producteurs de fruits et légumes biologiques de la région des Pays de la Loire veut ainsi accompagner les consommateurs jusque dans leur cuisine, en les aidant à s’approprier facilement la bio.

Une démarche pédagogique pour sensibiliser et donner envie, qui se compose de deux parties : “côté jardin” et “côté cuisine”. Avec, à chaque fois, des regards d’experts passionnés par leur métier ! Le livre est en effet co-écrit par l’association Bio Loire Océan et Gilles Daveau (formateur et auteur de livres culinaires), avec l’appui de son réseau d’animateurs culinaires de la région nantaise.

Côté jardin : “Mieux comprendre les fruits et légumes biologiques”

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Ce livre lève le voile sur la face cachée des fruits et légumes bio. Au fil des pages, les lecteurs apprennent comment ils sont cultivés, avec de belles photos des producteurs dans leur quotidien au travail.

Ils s’initient aussi aux spécificités des fruits et des légumes et comprennent tous leurs bienfaits pour la santé.

Ils découvrent enfin qui fait quoi… tout simplement parce que derrière chaque produit consommé, il y a un savoir-faire authentique ! L’agriculture biologique tire sa force des hommes et des femmes qui s’impliquent chaque jour pour cultiver avec un mode de production respectueux de la planète.

Côté cuisine : “recettes et techniques culinaires au fil des saisons”

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Quels sont les types de cuisson à privilégier ? Comment bien cuisiner ? Comment se faire plaisir et varier les saveurs au fil des saisons ?

Le livre fourmille de conseils, de belles photos mettant l’eau à la bouche, et de recettes qui donnent envie de se mettre derrière les fourneaux.

Les fruits et légumes bio sont une source inépuisable d’inspiration pour se concocter de bons petits plats et s’initier à de nouvelles saveurs. Les gourmands vont adorer !

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Informations pratiques

  • Comprendre et cuisiner les fruits et légumes Bio
  • Sortie : 15 novembre 2019
  • 64 pages
  • Format : 15 x 21 cm
  • Prix de vente : 10 €

A propos de Bio Loire Océan

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Bio Loire Océan (BLO) est une association de producteurs de fruits et légumes biologiques des Pays de la Loire née en 1997.

Ses membres se sont fixés un objectif fort en accord avec leurs valeurs : développer et structurer la filière des fruits et légumes biologiques en Pays de la Loire.

Un défi que l’association relève au quotidien en agissant concrètement à plusieurs niveaux :

  • Planification des productions de fruits et légumes
  • Actions de recherche et d’expérimentation sur les fruits et légumes biologiques
  • Formation des producteurs
  • Développement de la commercialisation sur différents marchés : magasins spécialisés bio, livraison de paniers aux particuliers, transformateurs, …

Très active et dynamique, Bio Loire Océan représente aujourd’hui :

50 fermes bio, soit environ 70 producteurs de la région

Plus de 150 fruits et légumes différents, bio et gourmands, proposés aux consommateurs

5 départements couverts depuis ses locaux implantés à Châteauneuf-sur-Sarthe (Maine et Loire, 2 rue des Fontaines)

Une équipe passionnée de 6 salariés

L’idée du livre est née d’une réflexion collective. L’association a reçu une prime de co-développement liée à l’activité en commerce équitable proposée par Bio Loire Océan avec son partenaire Les Paniers Bio Solidaires. BLO a alors décidé d’utiliser cette somme au profit d’une action fédératrice visant à sensibiliser tous les consommateurs de fruits et légumes biologiques.

Pour en savoir plus

Site web : http://www.bioloireocean.bio/

Changer de vie ? Faut-il encore l’assumer ! avec le tome 2 de « Suivre les vagues », nouveau roman d’Anaïs W.

Six mois après la sortie du tome 1 de “Suivre les vagues – À contre-courant” Anaïs W. présente au début du mois d’octobre le 2ème tome “Au gré du vent”, son sixième roman, très attendu.

Qui n’a pas déjà eu envie de tout plaquer ? Regarder avec envie ceux qui l’ont fait avant nous ? Comment savoir si c’est le bon choix ? Ce que l’on laisse et ce que l’on trouvera ? Sera-t-il encore possible de revenir en arrière ? Ce n’est qu’en franchissant le pas que l’on trouvera les réponses, comme nous le montre Éléa, l’héroïne de “Suivre les vagues”.

Dans ce nouveau tome, à travers les questionnements d’Éléa, Anaïs W. amène subtilement le lecteur à une introspection sur la vie et sur lui-même. Et que ceux/celles qui n’ont pas encore eu la chance de découvrir le premier tome se rassurent : “Au gré du vent” peut se lire de façon indépendante.

Date de sortie : 12 octobre 2019

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Pourquoi faisons nous le grand saut ? Comment oser ré-enchanter sa vie ?

C’est bien souvent un grand sentiment d’insatisfaction qui nous pousse à considérer un changement de vie. Insatisfaction professionnelle, personnelle, mal-être, impression d’être coincé, de ne pas trouver sa place… Avant même de penser à tout plaquer, il faut réussir à mettre des mots sur ce qui nous rend malheureux et nous paralyse.

C’est ce chemin qu’emprunte Éléa dans le premier tome de « Suivre les vagues ». Lasse de jouer au caméléon pour plaire, étouffée par les diktats sociaux, elle cherche la force de décider de son destin… Mais rapidement, par facilité, elle se laisse distraire par un homme et s’éloigne de son objectif de réinventer sa vie.

Petit à petit, à chaque fois que nous nous efforçons de redresser la barre, nous nous rapprochons de ce qui compte vraiment pour nous, jusqu’au jour où nous sommes enfin prêts à tout changer.

À la fin du tome 1, Éléa voit ainsi ses derniers espoirs s’envoler après une rupture sentimentale. Elle se retrouve face à une réalité à laquelle elle ne peut plus échapper : il est temps pour elle de prendre son envol, de suivre ses rêves les plus fous, qu’importent ses peurs et les conséquences…

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Changer de vie ? Oui, faut-il encore l’assumer jusqu’au bout !

Changer de vie, c’est comme sauter dans le vide. Qui sait sur quoi on va tomber ? Pour se rassurer, on se nourrit d’espoir.

Comme Éléa, on espère ne plus ressentir de frustrations, de peines, de douleurs. On voudrait que tout soit simple. Pas seulement meilleur. On aimerait que ça soit parfait. Mais ce n’est jamais le cas, n’est-ce pas ? Alors, comment assumer ? Ne pas vouloir revenir en arrière ? Ne pas paniquer face aux premières difficultés ?

C’est tout un cheminement que les lecteurs font aux côtés d’Éléa dans le tome 2 de “Suivre les vagues”. Son aventure devient aussi la leur, elle réveille en creux des réflexions qui vont les aider à avancer.

Un personnage principal inspiré du vécu de l’auteure

“En venant m’installer ici, je pensais que mes problèmes se résoudraient d’eux-mêmes. Après tout, c’est ce qu’on attend d’un changement, non ? Que les choses rentrent dans l’ordre et s’améliorent. Mais j’ai vite été confrontée à une réalité cruelle : c’est un mensonge. Une nouvelle vie ne répare pas l’ancienne. Elle ne nous transforme pas du jour au lendemain et elle ne panse pas nos plaies encore à vif… Par contre, elle nous ouvre des opportunités différentes, accompagnées de difficultés qui nous façonnent et nous font grandir. Je le découvre jour après jour depuis mon arrivée à Seignosse.” - Synopsis “Au gré du vent

Éléa, l’héroïne du tome 2 de “Suivre les vagues”, est un personnage touchant et sincère, qui est inspiré directement de l’expérience personnelle d’Anaïs W. Elle aussi, en tant que romancière indépendante, a été confrontée aux bouleversements intérieurs liés au changement de vie.

Son écriture riche en émotions nous emporte ainsi dans les méandres de ce nouveau départ, fait de joies et de déconvenues. La force de ce récit tient à son authenticité et à la force des réflexions d’Éléa.

Anaïs W. souligne :

Les questionnements d’Éléa trouvent un écho en chacun(e) de nous ! Car tous, nous avons aussi été confronté(e)s à des moments de doute et de quête de sens concernant nos souffrances, la confiance en soi, mais aussi la maternité, la surconsommation, l’amitié, et le travail.

Mêlant une nouvelle fois fiction et développement personnel, ce second tome est une invitation au voyage intérieur. Le tout dans une ambiance estivale, sur les plages des Landes autour de l’univers du surf dans lequel s’épanouie la jeune héroïne, qui viendra ouvrir de nouveaux horizons et divertir le lecteur.

Extrait

” Il n’y a pas de fatalité dans la vie : nous ne pouvons pas modifier notre passé, mais rien n’est permanent dans le présent ou l’avenir. Nous détenons les clés de notre vie, car tout tient à notre perception. Bien sûr, nous ne pouvons pas éviter la mort, les coups durs, nous protéger des autres, cependant, nous pouvons choisir comment nous interprétons ces éléments et le sens que nous leur donnons. Seul notre état d’esprit compte et d’un instant à l’autre nous pouvons radicalement changer notre point de vue.

Pendant des mois, j’ai voulu me fixer des objectifs, un sommet… mais c’était stupide. Le bonheur, l’amour, la fortune ne sont pas des choses que l’on doit conquérir et obtenir à tout prix, au risque de se sentir dans l’échec lorsque nous n’y parvenons pas. C’est quelque chose que l’on doit juste essayer d’avoir le plus souvent possible, en vivant au jour le jour, en ayant un point à l’horizon qui nous permet de ne pas dériver. En regardant Farès, la tête reposée sur le siège, les yeux fermés, un sourire aux lèvres, je comprends ce qui nous a aidés à surmonter toutes nos difficultés : nous avons lâché prise. Nous avons accepté de faire de notre mieux, avec l’incertitude du futur. La vie et ses aléas sont comme le mouvement perpétuel de l’océan : on ne peut pas aller contre. À nous de choisir quelles vagues nous souhaitons suivre.”

A Propos d’Anaïs W., l’auteure

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Née en mars 1988 à Laval, dans la Mayenne, Anaïs W. est une jeune auteure française. Sa passion pour l’écriture naît à l’âge de douze ans et se renforce à l’adolescence, où l’écriture devient une véritable soupape.

Et pourtant, c’est vers la science qu’Anaïs se tourne ; elle décroche un master en virologie et commence en 2015 une thèse sur le VIH. Mais quelques mois après, elle quitte la recherche pour se consacrer à temps plein à sa première passion, dont elle vit aujourd’hui.

Anaïs W. a publié quatre romans. Après deux premiers livres publiés en 2015 et 2016, ses romans L’espoir au corps en 2017, suivi de Juste Puni en 2018, ont connu un véritable succès et ont ouvert un nouveau chapitre dans sa carrière d’auteur.

Ses histoires ont aujourd’hui séduit plus de 10 000 lecteurs.

Elle confie :

Je suis animée par une forte conviction : quelles que soient nos difficultés, nous pouvons nous en sortir en cherchant au fond de nous les bonnes ressources.

Pour en savoir plus

Suivre les vagues : https://anaisw.com/suivre-les-vagues-t2

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Sortie Livre : “La nouvelle religion du numérique. Le numérique est-il écologique ?” de Florence RODHAIN

La pensée magique accompagne le développement fulgurant du numérique dans nos sociétés.

A l’ère du “tout-numérique”, des réseaux sociaux, du virtuel, du télétravail et du “zéro papier”, la prise de recul n’est plus autorisée.

Pour Florence Rodhain, auteure de plus de 200 publications scientifiques, il y a pire : la pensée dominante voudrait faire croire que le numérique est associé à l’écologie.

Or en réalité, l’industrie des Technologies de l’Information et de la Communication est l’un des secteurs industriels les plus polluants et destructeurs de la planète…

Dans son dernier livre “La nouvelle religion du numérique. Le numérique est-il écologique ?”, co-édité par EMS (Editions Management et Société) et par les éditions Libre & Solidaire, Florence Rodhain se base sur ses propres travaux, ainsi que sur ceux de l’ensemble de la communauté scientifique, pour déconstruire cette pensée magique.

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L’engouement pour le “tout numérique”, le résultat de manipulations

Pour Florence Rodhain, Maître de conférences HDR à l’École polytechnique universitaire de Montpellier et co-directrice de l’unité de recherche « Systèmes d’Information » du laboratoire MRM, il ne faut pas se voiler la face : les injonctions à se diriger vers le « tout numérique » sont l’objet de manipulations où les véritables motifs sont cachés.

On cache la tentative de sauvegarder coûte que coûte un système qui nous entraîne vers le chaos, tout comme le fait que l’enfant est désormais considéré comme un consommateur plutôt que comme un apprenant…

Et pour étayer ses propos, l’auteure adopte une démarche pragmatique, rationnelle et très documentée.

Dès l’introduction, avec l’écriture incisive qui la caractérise, elle donne le ton :

De nombreuses écoles au niveau post-bac délivrent une tablette aux étudiants de première année, le plus souvent un iPad. (…). Allez leur dire, preuve à l’appui, que leurs étudiants, désormais, grâce à la tablette gracieusement fournie, passent, sur 1h30 de cours, 25 minutes à jouer, 15 minutes à surfer sur Facebook, 10 minutes à regarder des photos ou vidéos, etc.

Un pamphlet salutaire qui incite à ouvrir les yeux

Voici un court extrait de l’introduction qui donne à réfléchir et appelle à plus de prudence face à l’avènement du numérique, érigé au rang de religion (un thème explicité en profondeur dans la seconde partie de l’ouvrage) :

 “Si l’individu est béat devant la beauté des nouvelles icônes religieuses (une jolie pomme rouge par exemple), c’est gagné : la consommation suivra. Les dirigeants ne s’y trompent pas, eux qui poussent les consommateurs à entrer en religion dès l’âge le plus tendre. Ainsi, une pluie d’incitations n’a de cesse de tomber sur les éducateurs dans l’optique de les convertir au numérique. L’argent, comme par miracle, coule à flot dans les écoles, lycées, universités, quand il s’agit d’équiper les classes au tout numérique. Cet afflux de moyens en temps de « crise » est aussi remarquable que la multiplication des pains. Les apôtres du numérique siégeant dans les ministères s’efforcent de former une armée d’abbés chez les enseignants, de l’université à la crèche. C’est bien connu, plus tôt l’esprit est soumis à une doctrine, plus il y a de chance que celle-ci prospère.

La poussée est irrésistible…

Certes…

Est-ce que ce constat doit nous inciter à avancer au pas la bouche ouverte ? Puis avaler l’ostie en baissant les bras et la tête ? Bien au contraire ! C’est un argument supplémentaire pour raison
garder. Débusquons les ressorts de l’essor du numérique. Sortons de l’acceptation béate, refusons d’avancer tels des bovidés, fermons la bouche, relevons la tête et surtout ouvrons les yeux.”

Le Sommaire

Remerciements

Introduction

Mode d’emploi : comment lire cet ouvrage ?

Partie 1 - Le numérique est-il écologique ? Courtes chroniques

  • Chronique 1. Surfer sur l’information, voler en avion : même pollution ?
  • Chronique 2. Ordinateur pour table. Comment nous mangeons nos PC ?
  • Chronique 3. « Le Wi-Fi m’a tuer ». Confession d’un spermatozoïde
  • Chronique 4. Le vocabulaire de la novlangue numérique décrypté : Nuage (cloud) de données. Avis de plafond bas
  • Chronique 5. Le vocabulaire de la novlangue numérique décrypté : La « société de l’immatériel ». Quand l’immatériel offre matière à réflexion
  • Chronique 6. Le vocabulaire de la novlangue numérique décrypté : Le « virtuel ». Bienvenue dans la société de matérialisation de la pensée
  • Chronique 7. Le vocabulaire de la novlangue numérique décrypté : La « dématérialisation ». Les TIC loin de l’antimatière présumée
  • Chronique 8. Le mythe du « zéro déplacement » : Quand les TIC induisent toujours plus de transport de personnes
  • Chronique 9. Le mythe du « zéro déplacement » : Pourquoi les TIC ne remplacent pas le déplacement de personnes. 1. Les « effets neutres »
  • Chronique 10. Le mythe du « zéro déplacement » : Pourquoi les TIC ne remplacent pas le déplacement de personnes. 2. Les « méta-motivations »
  • Chronique 11. Le mythe du « zéro déplacement » : Pourquoi les TIC ne remplacent pas le déplacement de personnes. 3. Les « effets de complémentarité »
  • Chronique 12. Le mythe du « zéro déplacement » : Pourquoi les TIC ne remplacent pas le déplacement de personnes. 4. La théorie de la « richesse des médias »
  • Chronique 13. Le télétravail n’est pas forcément écologique
  • Chronique 14. Le discours sur l’hyper-sensibilité électromagnétique : entre aveuglement et schizophrénie
  • Chronique 15. L’hyper-sensibilité électromagnétique : une maladie ? Ou un don ?
  • Chronique 16. « Zéro papier » : la fin d’un mythe. Avec les TIC, on consomme toujours plus de papier
  • Chronique 17. Zéro pointé aux prophètes du « zéro papier ». Pourquoi consomme-t-on plus de papier avec les TIC ?
  • Chronique 18. À vos rames citoyens ! Quand le principal usage du papier n’est pas lié aux impressions, mais aux emballages
  • Chronique 19. Il faut 30 ans pour amortir une liseuse… Le livre papier plus écologique que le livre numérique
  • Chronique 20. TIC : premier poste de consommation électrique des Français… à l’insu de leur plein gré

Partie 2 - Contextualisation : la nouvelle religion du numérique

  • Un discours religieux empreint de mythes, une démarche irrationnelle
  • Les 10 commandements de la nouvelle religion
  • La genèse de la nouvelle religion : une injonction à la croissance infinie grâce aux TIC
  • Des apôtres qui s’approprient les richesses aux dépens des pratiquants
  • Les curés du numérique : faites ce que je dis, pas ce que je fais
  • La laïcité numérique est-elle possible quand le pouvoir étatique s’affaiblit face aux géants du numérique ?
  • Nos enfants tenus à se faire baptiser le plus tôt possible à coups de biométrie
  • Avalez l’ostie, dites Amen, respectez les 10 commandements, et attendez sagement l’extrême onction

Conclusion : Se réveiller, penser, résister, oser l’hérésie

Postface : Ouvrir les yeux et prendre le risque de tourner le regard vers l’intérieur

Portrait de Florence Rodhain, l’auteure

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Florence Rodhain est docteure en Systèmes d’Information, Maître de conférences HDR à l’École polytechnique universitaire de Montpellier et co-directrice de l’unité de recherche « Systèmes d’Information » du laboratoire MRM.

Auteure de plus de 200 publications scientifiques, elle a vécu et travaillé dans différents pays sur tous les continents, où elle a pu investiguer la question de l’incidence du numérique sur les écosystèmes, également en tant que membre du comité d’éthique de l’IRD jusqu’en 2018. Elle a encadré et fait soutenir plusieurs thèses de doctorat sur le sujet.

 A propos des Editions EMS

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EMS (Editions Management et Société) est une maison d’édition reconnue qui publie des ouvrages de management-gestion depuis 1997 sous différentes formes : livres, cas pédagogiques, contenus gratuits, thèses, mémoires, etc.

Elle propose notamment la collection “Versus”, dirigée par Eric REMY, qui a pour objectif de débattre des questions et controverses que les organisations et leur gestion posent à l’ensemble de la société. Pour ce faire, Versus rassemble un ensemble d’ouvrages pluridisciplinaires ayant pour objet de mettre au jour et donner à voir des ruptures et alternatives possibles à la pensée managériale.

A ce titre, les auteurs de ces ouvrages peuvent engager des discussions sur les fondamentaux des sciences de gestion, développer des réflexions sur les principes et les pratiques du management, présenter de nouveaux rapports au terrain afin d’appréhender la complexité organisationnelle. En sorte, se dresser face à une certaine orthodoxie managériale en proposant des sorties de cadre fertiles, en permettant l’émergence de voix constructives à la gestion des organisations…

Les éditions EMS publient chaque année 30 nouveaux titres.

Informations pratiques

“La nouvelle religion du numérique. Le numérique est-il écologique ?” de Florence Rodhain

Collection “Versus”
Année de parution : 2019
132 pages
Format 140 x 205
Tarif : 10,90 € en format papier, 6,99 € en e-book
ISBN 978-2-37687-292-4

Pour en savoir plus

Commander le livre : https://www.editions-ems.fr/livres/collections/versus/ouvrage/539-la-nouvelle-religion-du-num%C3%A9rique.html

Site web Editions EMS : https://www.editions-ems.fr

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