Plus de 80 % des boomers possèdent un compte Facebook – Les résultats surprenants de l’étude (+ infographie) réalisée par Digital Baby Boomer
Les boomers et les réseaux sociaux
Il est temps de tordre le cou à une idée reçue : il n’y a pas que les jeunes des générations Y & Z qui utilisent massivement les réseaux sociaux !
Depuis la pandémie de COVID-19, d’autres tranches d’âge se sont emparées de ces outils pour maintenir une vie sociale active, en particulier avec leurs proches.
À commencer par les seniors, que tout le monde appelle désormais “les boomers”.
On les croyait déconnectés, on les découvre accros à Facebook, qu’ils consultent massivement avec leur mobile.
C’est ce que révèle l’étude « Les Boomers & Les Réseaux Sociaux », réalisée en novembre 2023 par l’agence Digital Baby Boomer, grâce à son outil Data Baby Boomer.
Elle a été réalisée auprès de 1 172 participants d’une moyenne d’âge de 64 ans et contient plusieurs données très surprenantes.
Facebook, le réseau social préféré des boomers !
Une utilisation intensive des réseaux sociaux
Savez-vous que plus de 80 % des boomers possèdent un compte Facebook ? Ils sont devenus tellement accros aux échanges virtuels que 1/3 des répondants se connectent au moins 1 fois par jour sur un réseau social.
Les boomers apprécient aussi les messageries de type Messenger et/ou WhatsApp : ils sont plus de 60 % à les utiliser.
Une véritable aisance pour surfer
Les boomers utilisent massivement les réseaux sociaux pour rester connectés avec leurs proches, suivre l’actualité et les informations, ou encore partager du contenu (photos, vidéos…).
Autant de pratiques qu’ils effectuent via leur support de prédilection : le mobile.
Ils trouvent d’ailleurs que l’apprentissage des réseaux sociaux a été très facile : après s’être formés auprès de leurs enfants ou en suivant des tutoriels, moins de 20 % estiment que les réseaux sociaux sont difficiles d’utilisation.
Du recul par rapport aux informations qu’ils y trouvent
Comme les jeunes générations, les boomers accordent de l’importance aux avis et recommandations de produits ou de services partagés par d’autres utilisateurs sur les réseaux sociaux.
Toutefois, ils gardent leur esprit critique : plus de 60 % des répondants se méfient des informations lues sur les réseaux sociaux.
Faceboomer: un outil marketing pour réaliser vite et bien des campagnes sur Meta
Parce que Facebook est la plateforme de prédilection des boomers, il apparaît crucial d’intégrer aussi bien des stratégies digitales sur Meta, que des initiatives en point de vente afin de capter leur attention et les séduire.
Exclusivement dédiée à la création et à la gestion de campagnes publicitaires sur Meta, Faceboomer est une solution imaginée et développée par Digital Baby Boomer.
Elle permet d’optimiser tout le potentiel de Facebook Ads pour cibler les + de 55 ans et leur diffuser des annonces spécialement adaptées à leur profil.
Avec Faceboomer, nous proposons un outil complet pour optimiser la présence publicitaire d’une marque sur Facebook et toucher efficacement chaque boomer.
Cette solution peut ainsi répondre à toutes les problématiques des entreprises. En quelques clics, via Faceboomer, elles peuvent :
Créer et gérer leurs campagnes de publicités Meta ;
Diffuser leurs campagnes en fonction de ciblages socio-démographiques et de centres d’intérêt ;
Créer des contenus ;
Développer des campagnes de trafic, visibilité, acquisition, et leads ;
Mettre en place la gestion optionnelle du community management ;
Définir une stratégie de reciblage.
Digital Baby Boomer, l’Expert Web Marketing des + 55 ans
Digital Baby Boomer est le 1er groupe marketing 100 % web qui cible exclusivement les + de 60 ans.
Fondé par Yves Bozzi en 2016, il accompagne toutes les marques désireuses de toucher sur internet la cible des boomers.
Il travaille aujourd’hui avec plus de 80 marques, de la start-up aux grands groupes du CAC 40 : Domitys, Ovelia, Korian, Malakoff Médéric, Doro, Audika, Bastide, Crédit Agricole immobilier, Roc-Eclerc prévoyance, l’Assurance Retraite, Odalys Vacances, AFM Téléthon, Elite Rencontre….
Digital Baby Boomer a développé 3 domaines d’expertise :
Acquisition
Promouvoir les offres des marques auprès de leur cible grâce à une data qualifiée ;
S’appuyer sur un réseau de plus de 600 éditeurs ;
Convertir les prospects en clients ;
Activer des leviers adaptés pour générer des leads qualifiés.
Études de marché & enquêtes
Analyser le marché par des études quantitatives et qualitatives approfondies ;
Sonder un panel de population face à une problématique ;
Traiter les données de l’enquête ;
Définir ensemble les indicateurs clés de business à travers la mise en place de KPIs.
Opérations sur-mesure
Proposer des solutions innovantes et originales ;
Garantir un accompagnement personnalisé pour répondre à cette stratégie ;
Piloter la mise en place de l’opération sur différents leviers digitaux ;
Mesurer les retombées quantitatives et qualitatives.
Sensibiliser à l’informatique : les étudiants de l’école 42 Angoulême animent des projets d’initiation au code pour les enfants de 5 à 9 ans à partir du 6 novembre
À l’heure du tout digital, il y a un chiffre qui interpelle : les femmes représentent moins de 30 % des salariés dans les métiers du numérique, et même moins de 16 % des fonctions techniques (source).
Une situation d’autant plus paradoxale que dans ce secteur, les besoins en recrutement, qui vont en s’amplifiant, se heurtent à une pénurie de talents. Le problème ? Par manque de confiance en elles, les filles ont tendance à s’autocensurer et à se détourner des filières de formation dédiées.
D’où l’intérêt de mener des actions de sensibilisation dès le plus jeune âge !
Dans le cadre de son développement, l’École 42 Angoulême a choisi de développer des projets d’initiation au code pour les enfants de 5 à 9 ans.
Cette initiative, en partie supportée par le Club d’étudiants Code for All, poursuit un double objectif :
Montrer que chacun.e a le droit d’essayer, de tester, d’aimer ou de ne pas aimer ;
Faire connaître les pédagogies alternatives où l’on apprend du collectif et souvent bien plus en se trompant qu’en réussissant du premier coup.
Chaque semaine à partir du 6 novembre et durant 7 semaines les élèves de 42 Angoulême animeront donc des sessions d’initiation au code auprès des enfants de l’École des Eaux Claires de Puymoyen.
L’École 42 a toujours refusé la fatalité et les stéréotypes ! Parce que nous portons des valeurs d’égalité des chances, nous souhaitons favoriser la parité dans les métiers du numérique.
Apprendre le code pour mieux casser les codes
Chaque semaine à partir du 6 novembre et durant 7 semaines les élèves de 42 Angoulême animeront donc des temps périscolaires d’initiation au code auprès d’enfants de 5 à 10 ans.
Les enfants vont pouvoir profiter d’ateliers pour apprendre à coder… mais pas que ! Ils vont aussi pouvoir laisser aller leur imagination afin de révéler leur potentiel créatif.
Les interventions de l’École 42 porteront sur :
Découverte de la programmation à l’aide d’outils simples et ludiques, sans écrans ;
Initiation aux pédagogies alternatives et à l’apprentissage en pair à pair ;
Apprendre des échecs et des réussites des autres ;
Recommencer et capitaliser sur l’expérience du groupe.
Une évolution sur-mesure
3 niveaux de progression sont prévus avec différents scénarios d’introduction :
Niveau débutant : seulement les plaques de direction ;
Niveau intermédiaire : direction + les plaques répétitions (x2, x3…) ;
Niveau expert : direction + les répétitions + les boucles + les parenthèses.
Nous souhaitons pouvoir déployer ces animations à plus grande échelle et envisageons des interventions tout au long de l’année.
Une école atypique qui démocratise l’accès aux métiers du numérique
L’École 42 Angoulême, c’est le cursus et la pédagogie qui ont fait la réputation du “42″, déployés sur tout le territoire de la Nouvelle-Aquitaine.
Une approche 100 % inclusive qui offre une formation de 1 à 5 ans pour apprendre à coder :
Entièrement gratuite pour les élèves, garantie sans frais cachés.
Ouverte à toutes et à tous, sans condition de diplôme ni prérequis.
Accessible dès 18 ans, sans distinction de profil : jeunes bacheliers, étudiant(e)s en poursuite d’étude ou en changement de parcours, personnes en recherche d’emploi, en reconversion ou en réinsertion…
Riche de la diversité des profils de ses élèves, l’école 42 est classée n°1 pour ses valeurs éthiques et n°8 dans le classement mondial des Universités innovantes (classement WURI 2022).
La première étape pour intégrer l’école est donc de venir tester en grandeur réelle le monde du développement au cours d’une PISCINE. Piscine pour immersion ! 26 jours consécutifs pendant lesquels chaque candidat va se faire une idée de ce qu’est la programmation, en étant confronté à des nouvelles méthodes d’apprentissage et au travail en équipe dans une ambiance solidaire et bienveillante.
Une pédagogie collaborative qui s’appuie sur l’apprentissage actif
Contrairement aux idées reçues, il n’y a pas besoin d’aimer les maths pour apprendre à coder, même en partant de zéro.
Le concept : un apprentissage actif, réalisé grâce à la participation d’autres élèves (“Peer-To-Peer Learning“). Chacun.e va ainsi pouvoir libérer sa créativité, en se formant sur des projets de programmation informatique passionnants.
Un contenu 100 % pratique
Les élèves développent des connaissances “en situation” dans le cadre de projets de taille et de difficultés variables qui les amènent à faire preuve d’initiative, d’autonomie, d’ingéniosité, et à travailler en équipe pour atteindre leurs objectifs.
Et comme le campus est ouvert 24h/24 et 7j/7, chacun.e peut avancer à son rythme.
Une formation à 360°
Ce programme, d’une durée d’environ 4 ans, est composé :
D’un tronc commun d’une durée de 18 mois environ ;
De spécialités d’une durée de 2 ans ;
Des périodes de professionnalisation en entreprise (stages, alternance…)
L’organisation gamifiée du cursus en niveaux d’expérience fait que certain(e)s vont avancer plus vite que d’autres sur un problème donné, suivant les facilités qu’ils ont, leur formation antérieure et/ou leur expérience.
Les échanges entre élèves vont alors permettre aux étudiants en difficulté d’arriver à les surmonter et trouver une solution au problème.
Un tremplin vers une carrière épanouissante
Les campus 42 affichent un taux de 100 % d’embauche !
Depuis 2023, 42 Angoulême propose 2 titres RNCP (Registre National des Certifications Professionnelles) aux élèves ayant fini le tronc commun :
Concepteur Développeur de Solutions Informatiques (Titre de niveau 6 – Bac+3) – Options Développement web et mobile OU Développement Applicatif ;
Expert en Architecture Informatique (Titre de niveau 7 – Bac +5) – Options Systèmes d’information et réseaux OU Architecture des bases de données et data.
Ces titres peuvent être réalisés sous statut étudiant ou sous statut alternant (contrat d’apprentissage ou de professionnalisation). L’alternance permet aux élèves d’être autonomes financièrement en devenant salariés.
Des certifications attestant de la qualité du cursus
Depuis 2023, le campus a obtenue 3 certifications :
Centre de formation Handi Accueillant – CRFH (Centre de Ressources Formation Handicap) ;
QUALIOPI « Action de formation » — ICPF ;
QUALIOPI « Action de formation par apprentissage » — ICPF
Les chiffres clés de la première année
Près de 1 000 visiteurs accueillis en Portes Ouvertes ;
Près de 1 700 candidat(e)s inscrit(e)s sur la plateforme d’admission ;
Plus de 800 personnes ayant réalisé les jeux en ligne ;
L’Ecole 42 à Angoulême fêtera sa première année le 23 mars et va accompagner encore plus de nouveaux candidats en 2023 !
Se former gratuitement, à son rythme, sans aucun prérequis et dans un secteur qui recrute n’est pas une utopie !
En 2013, l’École 42 a vu le jour en faisant un pari un peu fou : contribuer à résoudre les fortes tensions de recrutement dans les métiers du numérique en accompagnant toutes les femmes et les hommes ayant l’envie et la motivation de devenir développeur informatique.
Elle a donc ouvert ses portes à tous les profils atypiques, de tout âge : les demandeurs d’emploi, les personnes en reconversion, les décrocheurs scolaires… mais aussi aux personnes en poursuite d’études.
Un concept qui cartonne puisque 42 a créé le plus grand réseau d’écoles d’informatique au monde gratuites, innovantes et ouvertes à tous & à toutes avec près de 47 campus partout dans le monde, dont 7 sur le territoire français.
Parmi les dernières nées de cet écosystème innovant, il y a l’École 42 à Angoulême, lancée avec succès l’année dernière.
En pleine croissance, elle fêtera son premier anniversaire le 23 mars prochain.
Nous avons atteint (et même dépassé !) notre objectif de 150 étudiants formés pour cette première année. En 2023, nous souhaitons aller encore plus loin en accompagnant 175 nouveaux talents.
Démocratiser l’accès aux métiers du numérique
L’école 42 propose une formation à tous ceux et celles qui ont les capacités d’apprendre à coder… même sans aimer les maths et en partant de zéro.
Le concept est simple : les élèves réalisent des projets de programmation informatique passionnants, en mode collaboratif et en apprentissage actif. Concrètement, cela signifie qu’ils deviennent acteurs de leur formation et qu’ils apprennent des autres.
Avec une pédagogie active inédite :
Une école ouverte 24h/24 et 365 jours par an. Finis les cours et les profs, chacun.e apprend à son rythme grâce à l’entraide et aux diverses ressources pédagogiques mises à sa disposition.
Zéro frais cachés. La formation, qui dure entre 1 et 5 ans, est totalement gratuite.
Zéro prérequis. L’école 42 permet à quiconque, quel que soit son passé scolaire ou professionnel, de valider une formation de haut niveau.
Soutenue par les collectivités territoriales et les entreprises du territoire, l’arrivée de l’école 42 à Angoulême en 2022 a révolutionné le paysage éducatif néo-aquitain.
Les grandes étapes du parcours des élèves
Un processus de sélection qui met l’accent sur le concret
Les candidat.e.s sont d’abord évalué.e.s via des jeux en ligne qui permettent de tester leurs capacités de logique et de mémorisation.
Ensuite, après une visite du campus et une présentation de la méthode 42, les candidat.e.s vont bénéficier d’une immersion intensive de 26 jours (appelée la “piscine”). Durant cette période, chacun.e va commencer à coder en mode collaboratif.
Quelques semaines plus tard, ceux qui auront validé “la piscine” feront leur entrée à l’école.
Un programme complet
Le cursus débute par un tronc commun d’environ un an, pour apprendre les bases et savoir coder.
Ensuite, après un stage, la seconde partie du programme est dédiée à la spécialisation dans les domaines classiques du numérique et de la programmation (intelligence artificielle, sécurité, développement d’applications…).
Une insertion vers l’emploi facilitée
À l’issue du cursus, les élèves de l’école sont riches de compétences particulièrement recherchées, qu’elles soient :
Techniques : développement de logiciel, conception et gestion des domaines d’information, adaptation et innovation dans les technologies numériques ;
Ou relationnelles : gestion et communication pour les équipes et les projets.
C’est pour cela que les campus 42 affichent un taux de 100 % d’embauche !
Actuellement, nous accompagnons la promotion 2022 dans la recherche de ses premiers stages puis nous la guiderons vers des contrats en alternance.
Les chiffres-clés de la première année
Près de 1 000 visiteurs accueillis en Portes Ouvertes
Près de 1 700 candidat(e)s inscrit(e)s sur la plateforme d’admission
Plus de 800 personnes ayant réalisé les jeux en ligne
5 piscines de sélection
Près de 360 candidats en piscines
173 élèves accueillis sur les rentrées 2022
Pour en savoir plus
École 42 Angoulême – 49/51 Boulevard Besson Bey -16000 Angoulême
CarbonScore, l’application qui gamifie la responsabilité numérique des entreprises
Simplifier la mesure individuelle des émissions de CO2 en entreprise
À l’heure de la transition écologique, le principal enjeu est de changer les comportements. Dans les organisations, la prise de conscience des émissions liées à l’activité numérique des collaborateurs échoue souvent sur la notion de CO2 : elle paraît trop souvent abstraite aux utilisateurs.
Pourtant, il y a urgence à agir : la croissance de l’impact des émissions numériques en entreprise (mails, vidéos, Visio, stockage) est vertigineuse et croit de 8 % par an. Au delà des émissions il faut prendre en compte le caractère limité de la ressource numérique auquel nous avons accès, cette dernière étant loin d’être infinie.
La solution ? Offrir un moyen engageant de mesurer et de faire prendre conscience de l’impact des gestes numériques pour orienter l’utilisation vers des usages plus respectueux de l’environnement.
Dans ce contexte, la start-up TechUpClimate déploie la version industrielle de CarbonScore, une plateforme innovante qui permet d’induire des actions écoresponsables dans les entreprises en s’appuyant sur la gamification et le Micro-learning.
Le concept : Le CarbonScore une mesure imagée et individuelle des émissions de Co2, simple à comprendre, permettant un challenge permanent des usages numériques mais pas que…
Le déploiement de la version industrielle de CarbonScore avec le soutien de la région Île-de-France est une première étape structurante dans notre développement et confirme la portée innovante de notre solution de rupture. Plébiscité par de nombreuses entreprises de toute taille et de tout secteur notre plateforme est rentrée dans une phase d’accélération qui permet de constater l’augmentation de la conscience environnementale chez les collaborateurs d’entreprises.
Jean Christophe Bories, Président
Un outil concret et motivant pour réduire les émissions de gaz à effet de serre
Alors que 73 % des Français ne savent pas que le numérique pollue (étude Cleanfox), il faut savoir que si Internet était un pays, il serait le 6e plus gros pollueur mondial.
Le numérique représente déjà 4 % des émissions de CO2 au niveau mondial (source : The Shift Project)… et ce n’est qu’un début ! Si rien n’est fait, les experts estiment qu’elles seront multipliées par deux d’ici 2025.
Pour changer la donne, CarbonScore permet d’engager simplement les collaborateurs dans une démarche RSE en les aidant à :
Prendre la mesure réelle de leur impact quotidien ;
Mieux maîtriser les ressources à leur disposition ;
Adopter des gestes plus écoresponsables.
La version présentée dispose également d’un accès “tableau de bord” permettant la visualisation des progrès de la communauté et l’évolution du taux d’engagement des collaborateurs.
Ultra-efficace, CarbonScore participe ainsi à une réduction visible de la consommation énergétique, des flux et des volumes de stockage en entreprise.
Une utilisation #easy et accessible à tous
Notre mission ? Fournir des technologies non polluantes pour mettre un contrôle sur la croissance des émissions du numérique dans notre quotidien. Tout simplement parce que la pratique des écogestes n’est pas suffisante…
Fabien Scolan, CTO et cofondateur
La mesure permanente et sans effort
Le sourcing de l’information se fait naturellement avec le principe de “collecteurs” développé par la start-up. Cette technologie sécurisée et anonymisée permet de valoriser les actions digitales en se basant sur des modèles de valorisation CO2 éprouvés, mais adaptés aux objectifs bas carbone de l’entreprise.
Un déploiement instantané
Avec CarbonScore, le déploiement en entreprise est facilité par une approche Saas (Software as a service) sur abonnement.
Une pédagogie inédite et “zéro prise de tête”
De façon ludique et stimulante, l’application engage chaque collaborateur vers l’écoresponsabilité, tout en les sensibilisant aux enjeux environnementaux.
Les (grands) petits plus
Un outil permettant de comparer des services, des personnes et des entreprises entre elles sur l’aspect de l’écoresponsabilité ;
La mesure réelle et quotidienne des impacts environnementaux qui motive le passage à l’action ;
Les contenus de formation(Micro-learning) qui accompagnent la démarche RSE et orientent son développement ;
La gamification sous forme de challenges et de défis permanents, ponctuée par un circuit de récompense et de reconnaissance.
À propos de TechUpClimate, la société éditrice de CarbonScore
TechUpClimate est une start-up qui rassemble une large communauté d’experts de la communauté “sobriété numérique” et de la mesure en entreprise des Gaz à effet de serre.
Sa mission : développer des technologies de mesure et d’incitation à une plus grande sobriété numérique et énergétique.
CarbonScore a ainsi vocation à devenir un réflexe et une routine dans le quotidien du collaborateur. Elle est déjà utilisée par des entreprises telles que Infiny Link, Sonergia, Rémy Cointreau, Eco CO2, Bworkshop, Banques Populaires, Aerow…
L’application va par la suite être déployée à l’international.
Portrait de Jean-Christophe Bories, co-fondateur et Président
Ingénieur de formation (ENSEA), Jean-Christophe Bories a effectué l’essentiel de sa carrière dans l’informatique pour les entreprises. Passionné d’innovation, il a notamment pu lancer ou accompagner différentes startups.
Très engagé sur la protection de l’environnement et sur la question du changement climatique, il développe en tant que conseiller municipal à Pontoise des actions en faveur de la biodiversité : installation de ruches, mobilités douces, sauvegarde de milieux humides, sauvegarde du hérisson, initiation à la permaculture.
Lancer une start-up avec un but environnemental s’est imposé comme une évidence ! Ma priorité : engager de jeunes collaborateurs et ainsi préparer l’avenir vers un monde plus écoresponsable.
La genèse de l’aventure CarbonScore
Après 35 ans de métier dans la direction de projets informatiques, Jean-Christophe s’est interrogé sur l’impact de nos usages numériques. Il a alors constaté qu’il n’y avait pas de mesure environnementale quotidienne.
Ce questionnement l’a aussi amené à prendre conscience du rôle qu’il peut jouer : “en un sens, je me sens responsable de la dégradation de l’état de la planète que nous laisserons à nos enfants”, explique-t-il.
Face à la surconsommation de ressources planétaires liée au numérique, Jean-Christophe a donc décidé d’agir pour promouvoir une utilisation plus efficace et plus sobre.
Il a eu l’idée du concept CarbonScore lors d’un concours d’innovation environnementale dans un grand groupe français.
Congé menstruel, congé IVG… : Shodo, l’ESN qui redonne du sens au salariat, s’engage en faveur de l’égalité des genres
Si près de 6 diplômés du supérieur sur 10 sont des femmes, elles ne sont que 1 sur 5 à s’engager dans la filière numérique (source). Pourtant, l’envie est bien là : 56 % des lycéennes sont intéressées par l’informatique et le digital (source).
Alors pourquoi un tel désamour ? Il s’explique en partie par l’image “machiste” du secteur : Claudine Schmuk, fondatrice de la société d’études Global Contact, explique que “les femmes ne s’y sentent pas les bienvenues” (source).
Pourtant, cette situation n’est pas une fatalité !
Depuis sa création, l’ESN Shodo a choisi d’incarner la justice sociale qu’elle aimerait retrouver à plus large échelle dans le “monde de demain”. Avec la volonté de redonner toujours plus de sens au salariat et de renforcer l’attractivité du numérique, elle s’attaque cette année à un nouveau chantier : l’égalité de genre.
Ce chantier est tout particulièrement mené par la communauté interne réservée aux minorités de genre, créée en 2022 et appelée la Shororité (= la sororité version Shodo)
Les premières mesures, très concrètes, vont être désormais appliquées au sein de l’ESN ainsi que dans toutes ses filiales actuelles et futures.
Nous espérons que ces premières mesures en faveur de l’égalité des genres inspireront d’autres entreprises et le plus de monde possible. Car nous en sommes convaincu.e.s : une autre voie est possible !
Laury Maurice, représentante de la Shororité chez Shodo
Créer un monde de la Tech et du travail plus juste
Il est temps d’en finir avec le problème systémique de la discrimination des genres dits minoritaires, et notamment des femmes !
Loin des grands discours, les membres de la Shororité ont mené un travail de fond pour faire évoluer le modèle Shodo en prenant des mesures très concrètes telles que :
Le congé menstruel
Femmes, personnes transgenres et non-binaires… Les règles, souvent synonymes d’inconfort voire de douleurs, constituent la première inégalité physiologique.
Shodo a donc mis en place une cagnotte de congés menstruels sur la base de 10 jours par an et par personne menstruée. Ceci représente donc un total de plus 55 000 euros.
Logiquement, plus il y a de personnes menstruées, plus la cagnotte augmente.
En cas d’incapacité temporaire liée aux règles, il suffit de piocher dans la cagnotte, sans aucune justification à donner.
D’autres congés, avec le même fonctionnement, sont également mis en place depuis le 1er janvier 2023 chez Shodo.
La réduction de la charge mentale
Parce que 46 % des femmes estimant être en proie à la charge mentale l’expliquent par la venue d’un enfant, Shodo propose notamment :
Le congé second parent obligatoire de 28 jours (vs 7 jours prévus par la loi), avec un maintien de salaire dès la première année à 100 % ; la convention Syntec ne le prévoit qu’après 2 ans d’ancienneté dans l’entreprise ;
Une prime compensatrice équivalente à 1 mois de salaire versée en cas de prise de congé parental par le.la co-parent.e non salarié.e, afin d’inciter les parent.e.s accompagnateurs.trices à s’arrêter pour soulager le.la salarié.e Shodo lors de sa reprise ;
Une reprise en douceur après un congé maternité : 1 mois d’intercontrat minimum avec un programme aménagé (horaires réduits de 24h/semaine sur 4 jours, formations, ateliers jeunes parents Issence, pas d’entretiens clients) avec maintien de salaire complet pour les consultant.e.s revenant de congé maternité.
La reconnaissance des moments plus difficiles
Le congé d’arrêt naturel de grossesse ou d’interruption médicale de grossesse : ce congé payé dure 5 jours et il est alloué aux 2 parents ; la convention Syntec propose 3 jours réservés aux femmes depuis le 13 décembre dernier.
Le Congé pour Interruption Volontaire de Grossesse (IVG) : alors que la remise en cause du droit à l’IVG fait de plus en plus de bruit, Shodo met en place un congé payé de 5 jours pour soutenir toutes les personnes qui auront recours à l’avortement.
Nous voulons que Shodo reflète notre combat pour la justice sociale, alors nous agissons pour atteindre une plus grande équité dans notre société.
L’équipe de la Shororité : Aurore, Florine, Anuradha, Mialy, Sabine, Juliette, Lucie & Laury
Shodo, l’ESN qui casse les codes de la corporation tech
Savez-vous que dans l’univers de la tech, le taux de turn-over est d’environ 25 % par an ? Il y a urgence à redonner du sens au salariat pour retenir les développeurs et développeuses qui plaquent tout pour devenir indépendant.e.s.
En effet, la plupart d’entre eux le font par dépit et se retrouvent confronté.e.s à des difficultés structurelles qu’ils et elles doivent affronter seul.e.s : trouver des clients, gérer des revenus fluctuants et l’absence de certains avantages, être sans collègue au quotidien…
Un modèle social éthique inédit
Le modèle social de Shodo combine donc les aspects flexibles et rémunérateurs du modèle freelance tout en profitant de la sécurité d’un CDI et du soutien d’une communauté d’entreprise.
Fondée en 2019, le groupe Shodo compte 2 filiales, une à Nantes et une à Paris (Shodo Studio). Le groupe compte continuer à s’étendre et multiplier ses offres partout en France, notamment à Lyon avec l’ouverture d’une nouvelle structure très prochainement. Pour chaque filiale, Shodo reste majoritaire à hauteur de 51% afin d’assurer la bonne mise en pratique du modèle dans chaque structure.
Ce développement en filiale, gérée par des mandataires sur place, part de la volonté des 2 co-fondateurs Guillaume Ferron et Jonathan Salmona de garder une taille humaine dans chaque structure, tout en donnant la possibilité à d’autres salarié.e.s de rejoindre un modèle social vertueux. À ce titre, Shodo, comme ses filiales, ouvrent une partie de leur capital aux salarié.e.s. (34% pour Shodo, 19% pour les filiales).
Les (grands) petits plus
La transparence. Elle passe notamment par une grille de salaire basée sur les années d’expérience, un simulateur disponible sur le site de l’entreprise, une marge fixe et transparente, etc. De plus, le modèle Shodo et toutes ses mesures sont consultables sur son blog d’entreprise en “open source”.
La redistribution des richesses. Tout le chiffre d’affaires généré au-delà de la marge fixée à 25k€/an ou 30k€/an par personne est redistribué au salarié.e.. Les salarié.e.s sont aussi directement intéressé.e.s à la réussite de la société en étant détenteurs.trices d’une partie du capital social de la société.
La confiance. Depuis 2022, en accord avec le ou la salariée, Shodo supprime la période d’essai des contrats à durée indéterminée.
Aussi, une carte bancaire d’entreprise est confiée à chaque salarié.e dès son arrivée. Fini les notes de frais et chacun.e est libre de gérer ses dépenses liées au travail.
L’équilibre vie pro/vie perso. Contrairement à la majorité des ESN, il n’est plus question de sacrifier sa vie personnelle pour rencontrer ses collègues. Dans le modèle Shodo, des journées dites de communauté sont organisées sur le temps de travail. Elles sont l’occasion idéale pour rencontrer le reste des membres Shodo.
De plus chez Shodo, les consultant.e.s Shodo disposent toutes et tous de congés supplémentaires (en moyenne de 3 semaines).
“Surenchère des salaires des métiers du digital : comment préserver votre politique salariale ?” – le 1er webinar organisé par digiRocks se déroulera le jeudi 9 mars 2023
Malgré le contexte de crise actuel, qui impacte leur trésorerie, 85 % des entreprises françaises prévoient des augmentations salariales en 2023. Plus particulièrement sur les métiers du digital où l’on observe une évolution des salaires de +7 % en moyenne.
Et si ce n’était qu’un début ? Dans un contexte de pénurie des talents et d’inflation, les organisations sont désormais confrontées à des attentes salariales toujours plus élevées de la part des candidats et des collaborateurs.
Pourtant, pour rester compétitives, elles doivent aussi préserver leur politique salariale.
Dans ce contexte, le cabinet de recrutement digiRocks organise son 1er webinar le 9 mars à 12h15 sur Webikeo.
Objectif : aider les managers et RH qui recrutent des professionnels des métiers du digital et de l’IT (Responsables eCommerce, Traffic Manager SEA, SEO, chefs de projet digital, Product owner, Business Developer, Data Analyst…).
Un webinar axé sur le concret pour bien réagir face à la surenchère des salaires dans le digital
Pour une entreprise qui recrute des professionnels du digital, et en particulier depuis la crise COVID, le marché est très tendu : pénurie de personnes dûment formées, expérimentées, forte mobilité…
Les règles du recrutement ont changé avec une inversion des rapports de force entre employeur et employé, des prétentions salariales élevées, assorties de demandes jusqu’ici inconnues : travail à distance, management à l’expertise, approche fondée sur les résultats, avantages et primes.
En tant que recruteurs, nous voulons aider nos clients à remédier efficacement à ce problème. L’idée est de sortir de la solution uniquement symptomatique pour se positionner sur une approche systémique, à long terme.
Hervé Bourdon, CMO (Directeur marketing) de digiRocks
Save the date : le webinar se déroulera le 9 mars à 12h15 sur Webikeo
Le webinaire sera animé par Ameline Le Barzic, digiRocks, entourée d’experts RH et recrutement.
Il est destiné aux managers de PME, d’ETI et de grandes entreprises en forte digitalisation. Tous les secteurs sont touchés par cette hausse structurelle des salaires des expert(e)s du digital.
Au programme :
État des lieux : conjoncture et pratiques, attentes des générations X, Y ou Z ;
Études des cas : 2/3 exemples concrets de problématiques métier/lieux, exposées par des recruteurs expérimentés (les rockers #digiRocks) ;
Solutions stratégiques et opérationnelles, prévention.
digiRocks, le cabinet de recrutement expert des métiers digitaux
20 expert(e)s du digital recrutent matin, midi et parfois soir pour les 400+ clients digiRocks. Une recette testée et approuvée par plus de 500 000 candidat(e)s en 6 ans.
digiRocks utilise une approche centrée candidat(e)s basée sur le Pitch. Cette méthode permet de comprendre les trajectoires professionnelles et d’identifier les talents en temps réel. Grâce à ces données plus fines que LinkedIn, les recruteurs digiRocks peuvent présenter 2 Talents sous 15 jours dans plus de 90% des cas sur les 75 métiers du digital et de l’IT.
Les recruteurs peuvent consulter la base de + 8.000 Talents disponibles sur digiRocks.fr
+ de 350 clients satisfaits
digiRocks compte parmi ses clients des entreprises telles que Leroy Merlin, Michelin, L’Equipe, Jardiland, Groupe Publicis, Raja, EDF ENR, Cegid, Jules…
Voici un aperçu de leurs retours :
Candidats
“Tout le process est rapide, efficient et sans friction.”
“Une réactivité sans précédent ! Une expérience recruteur/recruté très humaine, presque déstabilisante. Parfait !”
“Professionnalisme, réactivité, aide. L’objectif est vraiment d’être recruté à la fin du processus et dans un job qui correspond à vos attentes. “
“J’ai postulé à 2 offres : le jour même, j’ai eu un retour ce qui est très rare. Et j’ai eu de vrais conseils avec un guide PDF et un RDV en visio très vite.”
Recruteurs
Philippe Bruant, CTO chez Accenta : “digiRocks a parfaitement saisi le brief, tous les aspects importants et les points forts du job à pourvoir. Proactifs, compétents et efficaces, digiRocks a su convaincre un talent de nous rejoindre alors que celui-ci avait plusieurs autres propositions en parallèle. Les engagements en termes de délais ont été tenus. Bravo !”
Laura Nardelli, Marketing Manager France chez Red-On-Line : “digiRocks fait preuve d’un grand professionnalisme et met un point d’honneur à faire du recrutement une étape bienveillante, humaine et surtout très efficace. Leur connaissance des métiers du digital en fait de précieux alliés pour tout recruteur qui souhaite trouver sa perle rare en gagnant du temps. Merci !”
Hugues Rolland du Roscoat, Directeur marketing et digital chez Groupe Premista : “Job très spécifique d’Affiliate Manager recruté en 3 semaines. Professionnalisme et Implication !”
À propos d’Hervé Bourdon, Directeur marketing
Hervé Bourdon est spécialiste du eCommerce et du marketing digital depuis plus de 20 ans.
Organisateur des événements “Shake your eCommerce” à Marseille, Hervé est le fondateur de eCOm Provence, une association qui fédère plus de 200 eCommerçants. Auparavant, il était le Directeur marketing de Oxatis et d’EBP Informatique.
Recruteur durant 4 ans pour le réseau digiRocks, il est aujourd’hui Directeur marketing (CMO).
Transition écologique IT : le Collectif API Thinking lance le label “API Green Score” pour promouvoir la création d’APIs écoresponsables
À l’époque du tout numérique, les APIs sont partout ! Chaque “Application Programming Interface” joue en effet un rôle essentiel, puisqu’elle permet aux applications de communiquer entre elles.
Un exemple concret : Google Maps. Moyennant finance, tous les développeurs peuvent utiliser une API permettant d’accéder aux cartes numériques du monde entier, aux itinéraires et aux infos trafic. Ces données peuvent alors être réinjectées directement dans une autre application (ex. : Uber ou Citymapper).
Une innovation géniale… ou presque.
Car, aujourd’hui, la façon dont les APIs sont conçues participe à la pollution numérique générée par le secteur informatique, responsable à lui seul de l’émission de 4 % des gaz à effet de serre et de 6 à 10 % de la consommation d’électricité mondiale. En clair, il a le même impact que l’aviation !
C’est pour en finir avec cette situation que le Collectif API Thinking lance le label “API Green Score”. Cette nouvelle certification va permettre de valoriser chaque API numériquement responsable.
Elle va aussi inciter les producteurs & utilisateurs d’API à des questions d’éco-conception, d’éco-consommation, d’impacts environnementaux et sociétaux de leurs APIs.
Un nouvel outil pour passer à l’ère des APIs Numériquement responsables
L’API Green Score est une boîte à outils pour aider les utilisateurs, concepteurs et propriétaires d’API à se poser des questions sur l’impact numérique de leur API sur l’environnement.
Elle est constituée d’un guide de bonnes pratiques, afin d’inciter à la transition écologique de façon concrète, et du tout nouveau label “API Green Score” qui atteste de l’éco-conception des APIs.
Ce chantier est piloté par Yannick Tremblais, IT Innovation Manager du Groupe Rocher. Il regroupe différents membres participants et entreprises contributrices :
L’Oréal : Julien Brun et Liliana Jenna ;
BPCE : Oscar Kiniffo ;
Combo : Mathieu Pradal ;
SNCF : Frédéric Morisset ;
ENEDIS : Jérôme Mezille ;
EDF : Thomas Breton ;
AXA : Christelle Revaudet ;
API Thinking : Julien Bichon, Camille Laroche.
7 domaines passés au crible pour une analyse à 360° de chaque API
Le Collectif API Thinking a créé des métriques pertinentes et réalistes que les parties prenantes peuvent utiliser et adapter selon le contexte de leur entreprise.
Cet outil est basé sur 7 domaines différents afin de créer des métriques pertinentes et réalistes que les parties prenantes peuvent utiliser, adapter selon le contexte de leur entreprise.
Cycle de vie des API : désaffecter une API inutilisée, déployer l’API près du consommateur, réduire le nombre de versions d’API, unifier le catalogue d’API, créer un référentiel consommateur, identifier l’API à usage unique, urbanisation avec la gouvernance des données.
L’échange de données : échange avec la plus petite taille suivant la taille de la charge utile de l’API, préférez le jeton opaque au JWT, principes de l’API Customer Centricity, API Data/Granularity, tirez parti d’Odata ou de GraphQL pour la base de données API, gestion des données, contenu dynamique.
Données : optimiser les requêtes pour limiter les informations renvoyées, ne collecter que les données requises, ne fournir que les données modifiées, utiliser le cache, communiquer sur la taille de la charge utile, API utilisée géolocalement à proximité de leurs consommateurs.
Architecture : promouvoir l’architecture des événements, filtrer les données dans la charge utile, pagination, webhook ou notification commerciale, AsyncAPI.
Outils : définir une base de critères de notation, fournir des KPI (Nombre d’appel, taille de la charge utile, nombre d’équipements utilisés…), évaluer la consommation d’énergie pour une API, connaître l’impact du langage sur la consommation d’énergie.
Infrastructures : utiliser une infrastructure adaptative, utiliser aussi peu de fournisseurs de cloud que possible entre consommateur et backend, être proche du centre de données, définir quelles actions sont plus pertinentes de faire pour réduire l’impact des APIs.
Communication : nom de l’API Ecoscore, guide des ressources, partage des critères d’évaluation et des méthodes, adapter la communication de chaque personas.
À propos du Collectif API Thinking
Nous travaillons à la création d’APIs écoresponsables et à la définition d’un « modèle » de portail de bonne qualité (en termes de fonctionnalités, d’informations…). Il s’agit ainsi d’apporter une réponse concrète aux attentes des fintechs.
Créé en mai 2020, le collectif API Thinking est le seul et unique collectif français sur les APIs regroupant les acteurs francophones (clients finaux) de l’écosystème APIs.
Gratuit pour ses membres, il permet à tous les clients finaux d’échanger, de partager leurs expériences entre eux. Les acteurs tant business et métiers de tous secteurs d’activité se côtoient dans un espace de discussions libre.
Tous les mois, des chantiers (groupe de travail) se regroupent pour avancer sur des sujets autour des APIs (Cas d’usage, gouvernance, architecture, sécurité, API numériquement responsable et API Management).
Une fois par trimestre, une Session Plénière est organisée avec la totalité des membres dans le but de faire un point sur les derniers mois, mais aussi d’écouter des retours d’expériences (des membres ou partenaires).
Aujourd’hui, le collectif API Thinking regroupe toutes celles et ceux qui œuvrent au quotidien autour des APIs et qui partagent un point commun : avoir déjà initié une démarche d’API ou avoir pour projet de le faire.
Le Collectif ambitionne désormais de sortir encore plus de livrables pour faciliter les approches sur les APIs et partager ses connaissances en créant de nouveaux chantiers & projets sur les APIs. En parallèle, il souhaite aussi avancer sur les tendances émergentes, comme celles du Green IT.
Par exemple, au sein du chantier API Management 360°, il prépare la sortie d’un comparatif des solutions d’API Management qui sera orienté vers les utilisateurs finaux.
Ce groupe de travail vise à partager sur les pratiques de gouvernance de chacun des acteurs, ainsi que sur les outils utilisés.
API Management
Ce chantier est destiné à :
Définir le format du rapport avec les catégories, un score card, un visuel résumant le classement… ;
Définir une méthodologie de notation des solutions APIM ;
Identifier les critères d’évaluation des solutions APIM ;
Définir la pondération de chaque famille de critère ;
Impliquer tous les membres du collectif à travers un questionnaire d’évaluation (T1 2023) ;
Définir les modalités des contributions des éditeurs.
Architecture et Sécurité
En cours de définition.
Cas d’usage
Ce groupe de travail permet de :
Présenter des exemples concrets d’API ayant rempli leurs objectifs ;
Partager des cas d’usage : satisfaction des besoins, ROI ;
Recevoir des retours sur une excellente histoire d’API de chaque membre ;
Développer un modèle pour structurer l’étude de cas.
La revue de presse mensuelle
Tous les mois, elle recense divers articles, en français ou en anglais, sur l’ouverture des systèmes d’information. Les dernières revues de presse peuvent être téléchargées gratuitement sur le site du Collectif.
Portrait de Julien Bichon, le fondateur
Depuis 2008, Julien Bichon travaille au sein du groupe BPCE, à différents postes à responsabilité. Il rejoindra au 3 janvier 2023 le groupe BNP Paribas.
Il a développé une réelle expertise sur les APIs, sur lesquelles il travaille depuis 2017. D’abord en tant que responsable de l’offre Open API (BPCE) puis, à partir de février 2021, dans le cadre du programme Open Platform and APIs (BPCE SA).
En mai 2020, Julien décide de regrouper des personnes travaillant sur les APIs en premier lieu dans le secteur Banque-assurance-fintech : le Collectif API Thinking vient de naître ! Il ouvre rapidement ses portes à tous les secteurs d’activité : aéronautique, retail, énergie …
En juin 2021, Julien co-crée également avec Accetal « France API », le premier évènement francophone dédié aux APIs. La première édition a eu lieu le 14 juin 2022 et la seconde se déroulera le 13 juin 2023.
Oxygenserv, le nouvel hébergeur écologique, performant et haut de gamme pour tous les serveurs de jeux
Alors que les experts du GIEC alertent sur l’accélération du réchauffement climatique, le monde des jeux vidéo n’a toujours pas amorcé sa transition énergétique.
Pourtant, il y a aujourd’hui une véritable urgence à agir puisque :
Le secteur du jeu vidéo est le premier marché culturel au monde (devant le cinéma et la musique), puisque 40% de la population mondiale joue régulièrement ;
En raison de la mauvaise qualité des serveurs utilisés, les parties de jeux de millions de joueurs sont hébergées dans des centres de données extrêmement énergivores.
Le résultat ? Une empreinte catastrophique… Il faut notamment savoir que le numérique représente à lui seul 3,8% des émissions de gaz à effet de serre (GES). À titre de comparaison, c’est beaucoup plus que le transport aérien civil.
Cette pollution ne bénéficie même pas aux joueurs et aux administrateurs de serveurs : alors que la plupart des jeux proposent un mode multijoueur, les hébergeurs ne sont pas à la hauteur de leurs attentes. Freezes et lags aux heures de pointe, matériel ancien, support inexistant… la liste des griefs ressemble à un inventaire à la Prévert !
C’est pour en finir avec ce cercle vicieux que 3 jeunes étudiants-entrepreneurs passionnés lancent Oxygenserv, le premier hébergeur écologique et performant pour les serveurs de jeu.
Cette innovation française, qui refuse les compromis pour démocratiser une solution de qualité et durable, est actuellement proposée en version bêta avec des offres pour 4 jeux vidéo : Arma 3, Garry’s mod, Rust et Minecraft.
Notre mission ? Sensibiliser tout un secteur, celui du jeu vidéo, encore trop peu impliqué dans la protection de la planète.
Jean-Baptiste Devic, Co-fondateur et Président
L’écologie et le savoir-faire français révolutionnent l’hébergement des serveurs de jeu
Pourquoi faudrait-il choisir entre respect de l’environnement et expérience des joueurs ?
Pour garantir l’excellence aux gamers, Oxygenserv a opté pour des serveurs dernière génération, implantés dans un datacenter basé à Grenoble qui fait partie des centres de données les plus écologiques au monde.
La jeune pousse peut ainsi proposer le service le plus écoresponsable sur le marché :
Alimentation par des énergies renouvelables
100% de l’électricité est produite à partir des centrales hydroélectriques et éoliennes.
Modèles plus économes
Réutilisation de la chaleur ;
Free cooling pour une faible consommation en eau : elle est puisée dans une nappe phréatique qui est réinjectée dans la nappe après avoir refroidi les serveurs ;
Alimentation intelligente : lorsque la charge électrique est faible, les alimentations peuvent se mettre en veille afin d’économiser de l’électricité.
Un PUE record
L’efficacité énergétique du datacenter permet d’envisager un PUE (Power usage effectiveness) de 1,25 (moyenne européenne de 2.03). Le datacenter est également labellisé Greenethiquette, une charte certifiant l’utilisation responsable des NTIC.
Neutralité carbone
Le CUE (Carbon Usage Effectiveness) du datacenter est nul ce qui signifie que son activité n’émet pas de gaz à effet de serre dans l’atmosphère.
Des performances 30 à 40 % supérieures pour offrir une incroyable qualité de jeu
Au-delà de son engagement pour la planète, Oxygenserv permet aussi aux gamers de vivre une expérience ultra-qualitative, en phase avec leurs besoins.
Sa force ? Avoir été conçue par des experts du jeu vidéo.
Ils ont donc choisi la dernière génération de composants, plus performante et plus économe. Ils ont aussi développé et testé toute leur gamme de produits spécifiquement pour le jeu.
Avec, en prime, de (grands) petits plus :
Une expérience utilisateur au centre des préoccupations ;
Une gestion de service rapide et intuitive pour les administrateurs de serveurs : interface ergonomique, tâches récurrentes automatisées pour gagner du temps… ;
Un accompagnement et un support réalisé par de fins connaisseurs du jeu vidéo (développeurs et anciens joueurs).
Jean-Baptiste Devic souligne :
Oxygenserv est la première solution écoresponsable ET de haute performance. Les gamers peuvent ainsi jouer en toute tranquillité, sans se prendre la tête et sans nuire à la planète.
4 jeux déjà disponibles avec la version bêta
Arma 3
Un véritable jeu de combat dans un immense bac à sable militaire. À partir de 7 €/mois.
Garry’s mod
Un jeu bac à sable aux nombreux modes de jeu où seule l’imagination compte. À partir de 9 €/mois.
Rust
Munis d’une pierre et d’une torche, les joueurs doivent survivre dans un monde hostile et gagner en puissance. À partir de 15 €/mois.
Minecraft
Explorer, miner, crafter dans un monde infini aux possibilités sans limites. À partir de 8€/mois.
À propos de Jean-Baptiste Devic, Co-fondateur et Président
Originaire de Chambéry (Savoie), Jean-Baptiste est étudiant-entrepreneur à Paris Dauphine en section Talents, une filière qui permet d’exercer à la fois son talent et de suivre ses études grâce à un programme aménagé.
Oxygenserv est déjà sa deuxième expérience entrepreneuriale, puisqu’il avait créé au début du lycée avec son associé Maxence Salomon (actuellement en école d’ingénieur), The-Programmer, un marketplace spécialisé dans le développement d’addons pour les jeux vidéo. Après 2 ans de travail sans relâche, il est devenu leader sur son marché.
Fort de cette belle réussite, ils commencèrent à travailler sur le projet Oxygenserv fin 2020.
Leur objectif : développer une solution qui permettrait à la fois de réconcilier les joueurs et les administrateurs de serveur tout en respectant l’environnement.
Le challenge est immense ! La Dream Team consacre plus d’un an à peaufiner ce projet un peu fou : création de l’infrastructure (choix du datacenter, des composants des serveurs), recherche et développement (création du site internet, du dashboard client, des outils de contrôle), expérience utilisateur (prototypage, direction artistique…), etc.
Après avoir surmonté ces différents obstacles, ils fondent Oxygenserv en janvier 2021.
Aujourd’hui, la jeune startup ambitionne de s’imposer d’ici 3 ans comme une valeur de référence sur le marché européen en tant qu’hébergeur de serveurs de jeu.
Pour ce faire, elle va notamment étoffer sa gamme de produits et les services autour de son offre, acquérir un parc informatique conséquent et fiable, tout en travaillant avec des associations à impact sociétal afin de réaliser des projets concrets sur le terrain.
À plus long terme, d’ici 5 à 10 ans, Oxygenserv souhaite construire son premier datacenter sur un modèle encore plus écologique, accompagner les joueurs vers la transition écologique, mais aussi faciliter et aider le quotidien des administrateurs de serveurs.
La Digital School : la première école du numérique en France portée par les Entreprises du Digital
En France, près de 8 entreprises sur 10 ont des difficultés à recruter dans le secteur du numérique, faute de trouver les profils qualifiés nécessaires à leur activité (source). Or, elles ont d’énormes besoins : le numérique représente plus de 1,5 million d’emplois en France, plus de 200 métiers et il a généré 53,7 milliards de CA en 2017.
Cette pénurie de compétences freine leur développement, alors qu’elles font face à un environnement en constante mutation et que la digitalisation s’est accélérée depuis la pandémie de Covid-19.
En parallèle, nombre de lycéens et d’étudiants s’interrogent sur leur avenir. Les confinements successifs ont montré la fragilité de certains secteurs d’activité et ont abouti à une généralisation du télétravail, qui est amené à durer pour 58% des DRH qui l’ont expérimenté (source).
Ils sont donc nombreux à vouloir se former aux métiers du numérique. Mais pas n’importe comment ! Dans un domaine où tout évolue très vite, ils doivent avoir l’assurance d’acquérir des connaissances en phase avec la réalité du terrain. En effet, les entreprises attendent d’eux qu’ils soient immédiatement opérationnels.
Dans ce contexte, La Digital School fait figure de pionnière : elle est la première école du numérique en France portée par les Entreprises du Digital.
Nous avons conçu La Digital School comme un pôle d’excellence. Notre ambition est claire : nous voulons qu’elle figure parmi les meilleures écoles du numérique en France.
La Digital School : l’enseignement du numérique 100% adapté aux besoins des entreprises
La force de La Digital School ? Avoir développé une pédagogie immersive, collaborative et participative permettant aux étudiants de mettre en application concrète les enseignements dispensés en cours.
Ainsi, de nombreuses animations pédagogiques se déroulent en mode projet afin d’expérimenter de nouvelles méthodes de travail et de développer ses compétences opérationnelles & managériales :
Business Game ;
Project Room ;
Open Conf’ par les entreprises du digital (ex. Google est intervenu début 2022) ;
Challenge Open Room ;
Workshop ;
Voyage à la Silicon Valley en dernière année de mastère professionnel
Grâce à plus de 400 entreprises partenaires, des stages (dès la 1ère année de Bachelor), contrats de professionnalisation et contrats d’apprentissage (à partir de la 3ème année de Bachelor) sont également proposés aux étudiants.
La Digital School forme ainsi à 8 grandes familles de métiers : marketing digital, webmaster, UX/UI Designer, e-commerce, CRM, gestion de projet, Data, IT Digital.
Les chiffres clés
20 000 anciens élèves, qui constituent le plus important réseau de Bretagne ;
100 intervenants professionnels, managers, chefs d’entreprise et entrepreneurs présents quotidiennement sur le campus ;
40 points de contact entreprise chaque année d’étude ;
12 diplômes reconnus par l’État, inscrits au RNCP niveaux 5, 6 et 7.
Les (grands) petits plus
Un concentré d’expertises & d’innovation
Former aux métiers du numérique implique des exigences fortes : la maîtrise technique & technologique, la veille & l’innovation, et l’interaction permanente avec les professionnels du secteur.
Veille permanente des contenus & des outils pédagogiques
La Digital School est toujours en veille sur les dernières technologies, les nouveaux outils et les nouvelles méthodes utilisées en entreprise. Comme les compétences & les métiers du digital évoluent à une vitesse incroyable, les contenus pédagogiques et les outils sont donc adaptés en permanence.
Savoir-faire technique & compréhension des enjeux
Les étudiants & apprenants acquièrent des savoir-faire techniques précis, mais ils apprennent aussi comment intégrer une dimension transversale, une prise de hauteur, afin de mettre leurs techniques au service d’enjeux business qu’ils sont en mesure d’appréhender.
L’expertise d’entreprises du digital
Créer l’école en co-construction avec les entreprises du secteur a été une évidence pour ses fondateurs. Cette confiance témoignée par les entreprises représente également une forte responsabilité pour l’école : être à la hauteur des exigences de ses partenaires et membres du Digital Cluster. Les équipes pédagogiques de l’école valorisent ainsi un accompagnement bienveillant ET exigeant, tant sur le plan des hard skills que des soft skills.
Des intervenants de haut niveau
Cette interaction permanente et inédite avec les grandes entreprises du secteur, mais aussi avec des startups innovantes et agiles, permet à La Digital School de proposer à ses étudiants des intervenants de très haut niveau, issus pour bon nombre des membres de son Digital Cluster (Google, W3, Asten, 42, Capgemini, Arkéa…).
Le Digital Cluster, cœur du réacteur de La Digital School
La Digital School a réussi à fédérer autour de son berceau les forces vives du numérique du territoire.
Le Digital Cluster regroupe ainsi, depuis le 13 mars 2019, une trentaine d’acteurs majeurs du secteur du digital : AC3, Air Affaires, Arkéa, Asten, Brest Métropole, BreSSSt , B&B Hotels, CaptainVet, Genesys, Polymont, Rivacom, FrenchTech Brest+, W3, West Web Valley, YellowCake, ZIP, Cap Gemini, Allo voisins, Google ateliers numériques Rennes, Inovans, Beable…
Il se réunit désormais 1 fois par trimestre pour leur permettre de participer à la co-construction de cette nouvelle école.
Ainsi, la maquette pédagogique de La Digital School est écrite collectivement et alimentée régulièrement en fonction des nouvelles technologies et des évolutions du secteur.
Grâce au Digital Cluster, nous sommes à la pointe de la formation professionnalisante. Les entreprises ont la garantie de trouver des profils très spécifiques dans les métiers du numérique.
Quelques exemples d’entreprises qui sont intervenues pour animer des conférences/ateliers
Google
Price Minister
The Family
Facebook
Ecole 42
Microsoft
Blablacar
Paypal
SeLoger.com
Arkéa
Uber
Deezer
Vente Privée
Leetchi
Accor
…
Des programmes de formation complets et concrets
Bachelor Digital
Les métiers visés : Développeur Back-end, Développeur Front-end, Développeur Web, Développeur mobile, Intégrateur Web, Lead Developer.
Cette formation permet de se spécialiser en :
Webmarketing & Social Media : double diplôme “Bachelor Digital” et “Chef de projet E-Business” ;
Développement web & mobile : double diplôme “Bachelor Digital” et “Concepteur développeur d’applications” ;
Webdesign & Contenus : double diplôme “Bachelor Digital” et “Chef de projet E-Business”.
Elle va durer un, deux ou trois ans selon le niveau d’entrée choisi. En pratique, il faut être titulaire du baccalauréat (général, pro ou équivalent) pour intégrer le Bachelor 1 ; être titulaire d’1 Bac+1 (toutes filières) ayant validé 60 ECTS pour suivre le Bachelor 2 ; ou être titulaire d’1 Bac+2 (toutes filières) ayant validé 120 ECTS pour intégrer le Bachelor 3.
A noter : les Bachelor 2 et 3 sont aussi accessibles par Validation des Acquis Professionnels (VAP).
Mastère professionnel Stratégie Digitale
Les métiers visés : Chef de projet innovation, Manager de projet Web et digital, Chef de projet Webmarketing, Directeur e-commerce, Responsable Marketplace, Digital Brand Manager, Growth Hacker, SEO / SEA / SEM Manager, Traffic Manager, Head of Digital, Responsable Acquisition / Affiliation, Directeur Technique Web, Chief Digital Officer…
Cette formation permet d’accéder à un titre de Niveau 7 “Manager de projet web digital”.
Dans le prolongement du Bachelor 3ème année, 3 spécialisations sont proposées :
Webmarketing & Social Media : les étudiants apprennent à mettre le digital au service des enjeux business de l’entreprise ;
Développement web & mobile : ils deviennent de véritables développeurs full-stack ;
Webdesign & Contenus : ils sont capables de produire et d’intégrer l’ensemble des médias web d’une organisation.
Elle va durer un ou deux ans selon le niveau d’entrée choisi. En pratique, il faut être titulaire d’1 Bac+3 (toutes filières) ayant validé 180 ECTS pour suivre le Mastère 1 ; ou être titulaire d’1 Bac+4 (toutes filières) ayant validé 240 ECTS pour intégrer le Mastère 2.
A noter : le Mastère professionnel est aussi accessible par Validation des Acquis Professionnels (VAP) et par Validation des Acquis de l’Expérience (VAE).
Bac+2 développeur intégrateur de médias interactifs
Les métiers visés : Graphiste, Intégrateur web, Développeur web
Cet exécutive MBA d’une durée d’un an est destiné aux personnes en reprise d’étude (à partir de 26 ans), aux demandeurs d’emploi, aux salariés démissionnaires, aux personnes suivant une réorientation professionnelle.
Grâce à ce parcours, les étudiants vont apprendre à produire et intégrer l’ensemble des médias web d’une organisation.
Au-delà de compétences spécialisées, le Bac+2 DIMI permet aussi de développer des compétences en gestion de projet et des compétences digitales (Webdesign, UX Design et ergonomie, Design mobile & Design d’interface, Motion design & vidéo pour le web, Html, CSS, Javascript, Php, Base de données, Animate & Motion design pour le web et CMS de type wordpress).
A noter : cet executive MBA est aussi accessible par VAP et VAE. Il est aussi possible de valider un ou plusieurs blocs de compétences.
À propos de la Dream Team
La Digital School a été co-fondée par :
Alexis Drieux-Falgon
Alexis Drieux-Falgon a fait toute sa carrière dans le domaine de l’enseignement supérieur au sein de grands groupes d’écoles de management. Pendant près de 10 ans, il a été Directeur Département Entreprise au sein du groupe IDRAC Business School, et pilotait les partenariats stratégiques au niveau national.
En 2013, il est devenu Directeur adjoint chez ESG Executive Education, appartenant au Groupe Galileo Global Education, où il déployait les parcours de formation à destination des cadres et dirigeants de grandes entreprises (PMU, H&M, Orange, SPAM…). En 2015, il a décidé de se consacrer à un nouveau lieu d’innovation pédagogique en fondant l’Open campus de Brest avec François Pouletty.
François Pouletty
Co-fondateur & dirigeant Open campus de Brest
Directeur du pôle Créa & Management
Charles Cabillic
Senior mentor Digital Cluster
Entrepreneur et Co-fondateur du Groupe Epopée & W3 (West Web Valley, ZIP, Air Affaires, AlloVoisins, Tan-Ki)
Pour en savoir plus
Une Journée portes-ouvertes sera organisé le samedi 12 mars à partir de 10h00.
DriveWin, le spécialiste de la performance eRetail, change de nom et devient bascule.
DriveWin est une société spécialisée dans le développement de la performance digitale des marques de grande consommation.
Son ambition : devenir la première suite de produits et de services dédiés à la performance digitale des acteurs de la grande consommation en France et en Europe.
Dans cette optique, elle change de nom le 31 mai : DriveWin devient bascule.
Partenaire eRetail d’acteurs tels que Fleury Michon, Panzani, Lactel…, bascule propose plusieurs types de services pour les aider à performer sur les circuits click&collect et hors domicile : consulting, agence media, agence data, formations.
Une vision à 360° de la performance digitale
bascule propose des services complémentaires, qui se nourrissent les uns les autres, afin de gagner en pertinence. Tout un écosystème permet ainsi de simplifier l’externalisation des sujets digitaux.
Camille Toumelin, CEO, souligne :
Nous déclinons notre identité sur des offres clarifiées, car scindées, grâce à notre changement de nom. Toutes constituent des prestations clés en main destinées à accélérer la croissance.
bascule.consulting : le cabinet de conseil stratégique et opérationnel
Sur un modèle de consulting-as-a-service, le cabinet accompagne les marques dans la digitalisation des modes de consommation. Via un abonnement tout compris, et sur la base d’outils technologiques développés en interne, un consultant expérimenté réalise un diagnostic approfondi de la situation sur les sites des distributeurs pour personnaliser ses recommandations sur l’ensemble des leviers, et aider les clients à les implémenter.
bascule augmente les ventes des marques, suit les KPIs appropriés (données IRI, part de marché, Index Drive/HMSM, etc.), aide à la préparation des argumentaires et négociations distributeurs.
Plus d’une quinzaine de groupes de grande consommation ont ainsi été accompagnés avec des résultats notables dont + 30% de chiffre d’affaires en un an pour un des leaders des produits laitiers et +5.6 points de croissance au-delà de sa catégorie pour un acteur majeur de la charcuterie en France, doublé d’un gain d’1.3 points de parts de marché.
En complément de son offre “CaaS”, bascule.consulting propose 2 produits clés en main issus de sa technologie interne : le pack Master Data et l’approche eMerchandising.
bascule.media : l’agence media spécialisée sur le eRetail
Focalisée sur le retour sur investissement, bascule.media est la première agence spécialisée sur les enjeux de la grande distribution et du eRetail. Elle propose deux modes de collaboration :
Plan eRetail media : l’agence construit la stratégie annuelle selon les objectifs des marques et les profils des consommateurs. Elle conseille aussi les meilleurs outils pour chaque marché, par distributeur et segment de produits.
“Media-as-a-service” : l’agence dispose de relations privilégiées avec les régies publicitaires pour optimiser les négociations et réaliser les campagnes dans les meilleures conditions. Sur la base d’une collaboration annuelle tout compris, elle négocie, achète, suit et optimise toutes les campagnes eRetail media de ses clients.
bascule.data : la première source de data sur le comportement du consommateur en ligne
bascule. a conçu le premier outil de tracking et d’A/B testing permettant de mesurer les retours sur investissement des opérations des marques sur les sites de eCommerce alimentaire.
Il est ainsi possible de :
Comprendre le funnel d’achat : étude du comportement du consommateur et mesure de l’impact des mesures prises par les marques ou les distributeurs sur les ventes.
Réaliser des A/B tests : l’agence teste les stratégies d’assortiment et de eMerchandising pour quantifier leur retour sur investissement et leur permettre d’optimiser leur budget.
Analyser les usages & attitudes : bascule.data fournit des études détaillées sur les interactions entre les consommateurs et leurs sites de courses en ligne pour permettre à ses clients de développer une stratégie orientée client.
bascule.training : un organisme de formation spécialisé sur les problématiques de digitalisation de la grande distribution
bascule.training propose des formations dédiées pour les Catmans, Kams, managers eCommerce et marketing, ainsi que pour la force de vente.
Toutes les sessions sont organisées autour de méthodologies empiriques dont l’efficacité académique a été reconnue.
Ils font confiance à bascule
Voici un aperçu des clients qui font déjà confiance à l’expertise de bascule :
Savencia,
Fleury Michon,
Bjorg,
Labeyrie,
Lactel,
Panzani,
HarperCollins,
Affinity,
Aoste,
Britvic,
Blédina,
Swinkels family brewels,
…
A propos de la Dream Team bascule.
Mélange de profils techniques et business, l’équipe bascule. est avant tout passionnée par les enjeux de digitalisation de la grande distribution. Ils fournissent à leurs clients une expertise et des appuis technologiques inégalables sur le marché.
Camille Toumelin – CEO
Diplômée de l’ESSEC Business School, Camille a fait ses armes dans une boutique de conseil en stratégie spécialisée dans l’entrepreneuriat.
Fruggr, le 1er outil d’évaluation automatisée de l’impact environnemental et social des applications numériques des entreprises
A l’heure de l’urgence climatique, la pollution liée au numérique devient de plus en plus préoccupante. Les chiffres sont alarmants : le digital consomme déjà 10% de l’électricité mondiale (source : rapport Ademe, janvier 2021).
Par ailleurs, le numérique exclut autant qu’il réunit. En effet, il manque une compétence clef numérique à un tiers des Français (source : rapport du Sénat sur l’illectronisme).
Heureusement, les organisations publiques ou privées sont de plus en plus nombreuses à avoir conscience de ces enjeux et à vouloir modifier leurs pratiques, tant par conviction que pour atteindre leurs objectifs RSE.
Mais en pratique, comment procéder de façon simple et concrète ? Il est par exemple impossible d’améliorer l’empreinte des applicatifs IT si cette dernière n’est pas mesurée automatiquement et régulièrement.
Dans ce contexte, Digital4better lance la start-up Fruggr : 1er outil complet d’analyse automatisée de l’empreinte environnementale & sociale des applications des systèmes d’information(SI) d’entreprises.
Avec un objectif : faciliter la transition numérique et énergétique grâce à un logiciel DeepGreenTech au service d’un numérique plus performant et plus responsable.
Fruggr, le Yuka de l’impact du numérique des organisations
Le numérique peut polluer, exclure, devenir rapidement obsolète. Passer à un numérique raisonné et plus pérenne est un impératif pour que cette technologie soit accessible à tous et source de progrès social.
Or pour identifier ces enjeux et progresser dans le développement de solutions numériques plus durables, encore faut-il pouvoir mesurer son impact !
Frédérick MARCHAND, co-fondateur, souligne :
Il ne peut pas y avoir de numérique responsable sans outil permettant de mesurer pour mieux agir. C’est pour cela que nous avons créé Fruggr, une solution cloud automatisée permettant d’évaluer et améliorer en continue l’impact des plateformes numériques des entreprises.
Décarboner et ouvrir les applicatifs de son système d’information
Le logiciel permet d’analyser des dispositifs web externes (ecommerce, site institutionnel….) comme des plateformes numériques internes.
Basé sur des interfaces de collectes automatiques, il aide à prendre la bonne décision au bon moment, tant en phase de conception qu’une fois l’applicatif déjà déployé.
La méthodologie de calcul s’appuie sur les facteurs d’impacts des référentiels les plus fiables (1byteModel, IEA, EEA, Base Carbone…). Avec un énorme atout : sa capacité à effectuer une actualisation permanente.
Fruggr fournit également un module d’aide à la décision pour améliorer l’impact tant social qu’environnemental mais également économique des assets numériques.
Il est ainsi possible d’atteindre une performance durable à tous les niveaux :
ROI Environnemental : mesurer l’impact environnemental et analyser ses leviers d’action ;
ROI Social : proposer des services numériques accessibles, inclusifs et éthiques ;
ROI Economique : réduire ses budgets (frugalité) et toucher davantage de prospects.
Passer en mode “amélioration continue” en mesurant régulièrement pour mieux agir
Fruggr permet à chaque organisation de viser une performance numérique durable grâce à l’utilisation d’une technologie éprouvée.
Jérôme LUCAS, cofondateur Fruggr confirme :
Plusieurs clients, notamment dans les secteurs de la banque-assurance et l’énergie, ont déjà éprouvé Fruggr afin de contribuer à le perfectionner durant sa phase de pré-lancement. Notre logiciel vient aussi d’être sélectionné par l’ADEME pour mesurer son empreinte SI. Une belle reconnaissance.
Fruggr répond à de nombreuses attentes :
Les Equipes SI/Digital pour mesurer l’impact environnemental et social de leurs applications, mais aussi pour piloter leurs améliorations afin d’optimiser les gains ;
Les équipes RSE pour contribuer concrètement à la RSE de l’entreprise, pouvoir accéder en temps réel au bilan environnemental et social de l’IT ;
Les Directions générales/Marketing-Com pour sensibiliser à un numérique responsable aligné avec leurs valeurs, communiquer sur leurs actions positives, fédérer leurs équipes comme leurs clients.
Les (grands) petits plus Fruggr
120 indicateurs (en cible) répartis sur 4 axes, calculés automatiquement sans aucune action nécessaire ;
Une collecte des données brutes sur toutes les couches (équipements d’usage, réseau, serveurs) ;
Une analyse automatisée ne nécessitant pas de saisie manuelle ;
Un reporting sur 3 niveaux : Tableaux de bord synthétiques, Reporting projet des indicateurs, Reporting technique.
Comment se lancer ?
Il faut pouvoir mesurer pour agir et Fruggr est un excellent moyen de lancer efficacement une telle démarche d’amélioration de l’impact de son IT.
Une mise en place qui est simple et rapide :
Souscrire et scanner ses applications pour commencer à utiliser le logiciel cloud Fruggr ;
Consulter les tableaux de bord et différents reporting (en ligne, rien à installer, en temps réel) ;
Améliorer et partager en interne et pourquoi pas en externe.
A propos de la start-up Fruggr
Fruggr est édité par le groupe Digital4Better, un acteur du numérique à impacts qui accompagne les entreprises dans une transformation numérique durable. Digital4better est un acteur de l’économie sociale et solidaire, avec un engagement reconnu par l’état (agrément ESUS).
Ce projet est ainsi né d’un constat du terrain : en réalisant des plateformes numériques avec un meilleur impact pour plusieurs de ses clients, Digital4Better a rapidement eu besoin d’un logiciel pour évaluer cet impact et permettre de l’améliorer.
Stéfan COSQUER cofondateur Fruggr précise :
Effectuer une ACV (analyse de cycle de vie) manuellement est très lourd, de plus l’analyse ne portera que sur un faible échantillon d’unités fonctionnelles. L’importance d’un outil capable d’évaluer de façon automatisée nous est apparue comme une évidence.
Fruggr est reconnu et primé :
French Tech, Incubé Emergys – Le Poool
BPI Communauté Coq Vert (acteurs engagés dans la transition énergétique)
Pôle de compétitivité à vocation mondiale Images & Réseaux
Lauréat du Réseau Entreprendre Impact+ et prix Initiative Remarquable France.
Acteur et membre de différents collectifs : Impact France/Tech4Good, France Digitale, Institut du Numérique Responsable (INR).
Challenge Sobriété Numérique pour les entreprises françaises
À l’heure où les enjeux environnementaux sont au coeur de la société, le secteur du numérique doit impérativement revoir ses pratiques. Sa part dans les émissions de gaz à effet de serre est alarmante : elle a augmenté de moitié depuis 2013, passant de 2,5 % à 3,7 % du total des émissions mondiales selon le Shift Project.
A ce rythme (9% par an), le secteur IT devrait dépasser le secteur automobile en termes d’émissions de gaz à effet de serre d’ici 2024.
80% de ces émissions sont dues à la partie hardware du numérique : fabrication des devices, datacenters, etc. Mais il ne faut pas se tromper : les 20% de la partie software sont grandement responsables de l’ensemble de l’impact environnemental du secteur car la transformation digitale des entreprises entraine un besoin en infrastructures IT de plus en plus puissantes. Il y a donc un besoin toujours croissant de ressources Cloud.
C’est pour cela qu’il est urgent de sensibiliser les développeurs, architectes, designers et product managers aux principes et bonnes pratiques en matière de sobriété numérique afin de fabriquer du software plus responsable et plus durable pour la planète.
Des équipes IT de grandes entreprises françaises vont ainsi se rassembler pendant 3 mois pour :
comprendre les enjeux de l’éco-conception,
et améliorer ses pratiques numériques & cloud.
L’objectif : agir ensemble pour créer un monde numérique plus durable.
Un challenge axé sur le concret pour faire vraiment bouger les lignes
Aujourd’hui, il existe en France de nombreux acteurs prônant les bonnes pratiques d’un numérique durable : Green IT, le Shift Project, le cycle de formation de l’Université de La Rochelle, l’Institut du Numérique Responsable, l’ADEME…
Pourtant, il n’y a pas, ou trop peu, de retour terrain des entreprises :
Qu’est-ce qui fonctionne ?
Qu’est-ce qui ne fonctionne pas ?
Quelles sont les bonnes pratiques faciles à mettre en place et ayant un impact important ?
Quelles sont les difficultés rencontrées par les entreprises pour adopter une culture en interne visant un IT plus durable ?
Y a-t-il un blocage de la part de la direction ?
etc.
Le Challenge Sobriété Numérique est un événement 100% unique : il s’agit actuellement du seul programme qui donne la parole aux équipes IT et qui recueille des retours terrains directs.
Une deuxième édition qui fédère de nombreuses entreprises, mentors et experts
De nombreux acteurs du numérique sont prêts à s’impliquer pour changer les choses et faire évoluer le numérique de façon positive et plus respectueuse de l’environnement.
Le Challenge accueille notamment :
Des équipes multidisciplinaires
Le challenge va fédérer des designers, architectes, développeurs, products managers… d’Allianz, Bpifrance, Crédit Agricole, Doctolib, Ecoact, Groupe Rocher, La Poste, Leroy Merlin, Meetic et Oui SNCF.
Celine Lescop, Lead Digital Sustainability & Data Architect (Axa) & Shift Project Report Co-Auteur
Maxime Efoui, Project Director (The Shift Project)
Vincent Courboulay, Directeur de l’INR (Institut du Numérique Responsable)
Raphael Guastavi, Head of Products & Materials Efficiency (ADEME)
Dr. Luc JULIA, Auteur de “There Is No Such Thing as Artificial Intelligence”
15 mentors expérimentés
Bertrand Keller (Développeur accessibilité Commando UX au Service du Premier Ministre – DINUM), Helene Maître (Product Owner, Agile à Fairness), Mickael Fine (Product Manager, Data at TheFork and Co-Lead & Data Scientist à Data for Good), Julie Guillerm (Lead Designer à Ippon Technologies)… de nombreux mentors ont accepté d’accompagner les équipes participantes.
Des partenaires engagés
De l’ADEME jusqu’à Sipios, de nombreux partenaires soutiennent le projet Sustainable Digital Challenge.
C’est notamment le cas de Google Cloud, qui investit massivement sur l’environnement et en transformant notamment ses datacenters pour atteindre la neutralité carbone.
Il y a aussi Ippon Technologie, une société de conseil française présente dans le monde entier, qui a mis à disposition du Challenge des experts en Data Management qui vont accompagner les équipes du challenge concernant les bonnes pratiques du management des données dans un enjeu de sobriété numérique.
A propos des organisateurs
APIdays
APIdays est le plus grand organisateur de conférences dans le monde autour du thème des APIs, représentant une communauté mondiale de 300 000 personnes, 52 événements depuis 2012 dans 14 pays, et un total de 2000 intervenants.
Ces événements ont été imaginés par Mehdi Medjaoui en 2012, lors de sa première édition à Paris. Mehdi est entrepreneur dans le logiciel, expert H2020 auprès de la Commission Européenne, auteur, chargé d’enseignement et professeur invité à HEC et EMLyon et consultant international sur le sujet de “Programmable Economy”.
GreeNet.io
GreeNet.io, fondé par Nicolas Drouet, est un outil pour mesurer et diminuer l’impact CO2 qui est généré en naviguant sur internet, consolider les impacts des salariés, mais aussi calculer le bilan carbone du numérique des entreprises.
La genèse du Sustainable Digital Challenge
En 2018, l’Ingénieur Jean-Marc Jancovici est venu clôturer la conférence APIdays Paris concernant les enjeux autour de l’impact environnemental de l’IT. Très appréciée, elle a généré de nombreux commentaires et insufflé à toutes la communauté APIdays l’envie de s’engager concrètement pour un numérique plus sobre.
La Dream Team a alors décidé de créer le Sustainable Digital Challenge pour éviter les équipes IT à venir travailler pendant 3 mois sur l’amélioration de l’empreinte carbone de leur projet.
Un projet ambitieux
Le Challenge a vocation à grandir en France en impliquant toujours plus de grandes entreprises participantes. Avec un objectif : dépasser la seule implication des équipes IT pour toucher les Directions des entreprises en les sensibilisant au sujet de l’empreinte carbone IT.
En parallèle, Sustainable Digital Challenge va s’internationaliser : une édition sera proposée en Asie Pacifique dès 2022 puis en Amérique du Nord en 2023.
« 40 mots pour un numérique responsable » de Frédérick Marchand : le guide pour un numérique à impacts positifs en entreprise
Fort de plus de 20 ans d’expérience dans le domaine, et s’apercevant qu’il n’existe jusqu’alors aucun livre visant à accompagner cette transformation numérique responsable en entreprise, Frédérick Marchand décide de publier son ouvrage, véritable guide pratique et accessible à tous.
Questionnement de sa raison d’être par l’entreprise, quête de sens des clients et collaborateurs, relance numérique et écologique de l’économie : 3 transformations à priori distinctes.
Ces 3 transformations ont pourtant un élément pivot : le numérique responsable. Le numérique responsable peut se traduire par plusieurs notions :
un numérique avec une meilleure empreinte environnementale, qui agit sur tous les critères de respect des ressources de notre planète ;
un numérique avec une meilleure empreinte sociale, qui rend les services numériques accessibles à tous, qui évite tout effet d’exclusion numérique ;
un numérique avec une meilleure empreinte éthique, des traitements numériques en toute transparence dans le respect de chacun ;
un numérique au service de problématiques sociétales, au service d’une transition écologique, au service de problématiques sociales… car le numérique est un levier d’un monde meilleur.
« 40 mots pour un numérique responsable » de Frédérick Marchand, publié aux éditions ContentA, est un guide destiné à sensibiliser le maximum de personnes dans les organisations privées comme publiques afin de réussir une transformation numérique responsable.
Ce livre permet d’identifier les éléments importants du contexte, les thèmes majeurs et les leviers pour agir. Loin du jargon incompréhensible des experts du domaine, Frédérick Marchand a voulu se démarquer en proposant un livre accessible au plus grand nombre, tant par son contenu et la vulgarisation des notions techniques, que par son prix réduit (12 €). En effet, étant très sincèrement engagé dans cette démarche, il a renoncé à ses droits d’auteur pour que son livre soit le plus accessible possible.
Un guide pour un numérique à impacts positifs en entreprise
Cet ouvrage, destiné à tous les acteurs de l’entreprise, permet de découvrir :
Comment appréhender les impacts du numérique,
Quelles sont les premières clefs pour agir au sein de votre organisation,
Comment générer plus de ROI sur les 3 axes (People, Profit, Planet).
Frédérick Marchand souligne :
Avec ce livre, nous voulons sensibiliser les dirigeants mais aussi leur donner un outil utile, bien plus intéressant qu’un énième goodie jetable, à offrir à leurs collaborateurs. Avec un objectif : lancer une vraie dynamique sociétale de transformation numérique durable de l’organisation.
Le plus de cet ouvrage : il a été spécialement conçu pour les organisations publiques et privées. Exit donc les conseils grand public qui incitent simplement à éteindre sa box et à vider sa boîte mail !
Sommaire
Préface de Benjamin Enault
Acte I – Pourquoi une transformation numérique responsable ?
Au numérique de se transformer
Le numérique, ce compagnon de tous les instants
Une transformation numérique à tout va
La révolution des impacts
Un numérique aux impacts méconnus
Un numérique à l’éthique négligée
Un numérique qui réunit et qui exclut
Un numérique qui pèse sur le dérèglement climatique
Comment en est-on arrivé là ?
Les effets leviers positifs existent
L’âge de la maturité numérique
Un livre aussi accessible que le numérique responsable
Acte II – Comprendre pour mieux agir
Sobriété – Frugalité - Low-tech – Obsolescence – Réparabilité – Durabilité – DEE – Economie circulaire – Economie de la fonctionnalité – ODD – Effet de serre – Facteur 4 et neutralité carbone – Bilan carbone – ACV – Effet rebond – Impact – Ecocide – Sociétal – Partie prenante – Inclusif – Illectronisme – Accessibilité – Ethique – Souveraineté numérique – Iconomie – Résilience – Progressive enhancement – Dégradation élégante – Décommissionnement – Scalabilité – Pervasif – GreenIT – Sustainable design – Eco-conception – Phases d’un projet – Green Cloud Computing – Software Craftsmanship – Agilité – Consequence scanning – Tech for Good
Acte III – Une conclusion qui n’est qu’un début
Les clefs pour comprendre (apprendre)…et agir
Un numérique à 300 % gagnant
Pour aller plus loin
Postface de Anne Tozzelino
Remerciements
Bibliographie : top 3
Rapports et études : top 10
Index
Extrait
“L’industrie du numérique a révolutionné l’ensemble des secteurs. Mais si c’était au numérique de se révolutionner lui-même ?
Le parallèle avec la voiture est un bon exemple : qui se souciait, avant, de concevoir des véhicules consommant moins ? Le numérique doit réfléchir très clairement à sa révolution, sa propre révolution et pas uniquement la révolution des autres secteurs qu’il favorise. Cette révolution n’est encore qu’à ses débuts, les organisations ne savent même pas mesurer l’empreinte environnementale, encore moins l’empreinte sociale de leur système d’information. Or, pour agir, il faut mensurer.
Il faudra être capable d’identifier les différents leviers d’amélioration. Cela passera par un vaste chantier de formation, de sensibilisation, de changement d’usages de l’ensemble des acteurs, à la fois des acteurs du numérique, des usagers et de l’ensemble des fonctions en entreprise.
Cette révolution prendra du temps. La crise de 2020 a été un accélérateur de cette prise de conscience, de cette nécessité de transition énergétique et transformation numérique. La prise de conscience sur l’éthique débute tout juste, avec notamment le débat sur la souveraineté numérique et notre résilience, ainsi que la question des données personnelles. L’impact social du numérique reste encore malheureusement trop réservé aux initiés du sujet.
Le numérique est source de magnifiques leviers pour la transition énergétique, mais le numérique est aussi l’un des principaux pollueurs.
S’il apporte de génialissimes solutions à des problématiques sociales, il peut être source d’exclusion.
Le numérique est au cœur de la résilience de nos organisations, et nos organisations sont le moteur d’un numérique plus vertueux.
Un numérique responsable est la clef d’une performance résiliente.”
A propos de Frederick Marchand, Expert de la transformation numérique des organisations
Frédérick Marchand a plus de 20 ans d’expérience dans le management de Digital Factory d’envergure et dans l’accompagnement d’entreprises dans leur transformation digitale.
Il est le Président et cofondateur du groupe Digital4better, une entreprise à mission qui a pour raison d’être le numérique responsable.
Cet Entrepreneur à impact impliqué sur de nouveaux modèles économiques est aussi un acteur engagé au sein de différents collectifs pour promouvoir un numérique à impact positif tels que l’INR (Institut du Numérique Responsable).
Il est également ambassadeur au sein de collectifs comme Impact / Tech for Good France. En parallèle, il est auteur et conférencier sur la transformation numérique durable.
Informations Pratiques
« 40 mots pour un numérique responsable » de Frédérick Marchand
“PME & ETI : Rester maître de son destin à l’ère digitale”, le livre blanc de Digispin qui aide les entreprises françaises à passer de la survie à la croissance
Après une année 2020 qui aura été marquée par la pandémie de Covid-19, les entreprises doivent revenir à leur raison d’être : “vivre” plutôt que “survivre”. Il s’agit désormais d’intégrer les évolutions concurrentielles et réglementaires pour continuer à se développer pour le bien de toutes les parties prenantes.
Cela passe notamment par :
le renouvellement de l’expérience client et de l’expérience collaborateur, en y insufflant une dynamique participative ;
la prise du recul vis-à-vis des solutions mises en avant par les géants du web (marketplaces, formations gratuites ou bons cadeaux des Gafam) pour garder la maîtrise du modèle de vente ;
l’accélération de la mise en place d’un digital maîtrisé en intégrant le facteur humain (intelligence collective, volonté commune d’innovation).
Concernant ce dernier point, BPIFRANCE LE LAB considère dans son étude “Les tendances majeures qui vont transformer l’économie : Décryptage des impacts pour les PME et les ETI ” que l’un des marqueurs du monde post-covid sera “la digitalisation à pas forcés, dans une accélération sans précédent… qui va continuer”.
Mais comment décliner cet impératif dans l’entreprise ? Comment faire les bons choix d’acteurs et de solutions alors que l’offre est surabondante ? Et comment impliquer les forces vives de l’entreprise dans leur mise en œuvre ?
Opérationnel depuis début 2020 et fort de plus de 130 Consultants indépendants spécialisés, le partenaire engagé de la transformation digitale des PME y présente les essentiels d’une adaptation de l’entreprise à l’ère du Digital et propose des démarches spécifiques adaptées à la taille de l’entreprise et à ses principales fonctions.
Il s’appuie pour cela sur sa nouvelle structure associative qui réunit désormais 9 Associés dont 6 Associés Conseils pilotant chacun le développement de l’offre et des compétences d’accompagnement ajustées à chacun des domaines qu’il juge actuellement prioritaire pour le redémarrage des PME.
Un livre blanc de 43 pages structuré autour de 3 convictions fortes
La transformation des entreprises à l’ère du Digital doit viser à la mise en place d’un digital maîtrisé (combinant la saisie de toutes ses opportunités et l’atténuation des risques et des craintes qu’il génère) centré sur le facteur humain et dans une approche progressive s’appuyant résolument sur l’intelligence collective des parties prenantes internes et externes et une volonté partagée d’innovation.
En parallèle, toute entreprise se doit de considérer :
Les contraintes créées par la digitalisation de son écosystème et la nécessité de s’y adapter tout en gardant le contrôle de son destin.
Les opportunités offertes par le digital pour augmenter l’efficience de son fonctionnement, accélérer sa croissance, mais aussi réinventer son modèle d’affaires ou son organisation en concertation avec ses parties prenantes
Enfin, il y a une certitude : l’innovation digitale révolutionne la conduite de projet d’entreprise. Il est indispensable d’adopter une démarche Agile de type « Try and Learn » s’opposant à la démarche « Waterfall » traditionnelle, s’appuyant sur la promotion d’une culture de cocréation collective avec toutes les parties prenantes de l’entreprise (Clients, Employés, Fournisseurs, Société civile..) et se déroulant en étapes progressives.
Dans le Livre Blanc “PME & ETI : Rester maître de son destin à l’ère digitale”, chaque Associé Conseil de Digispin partage l’approche qu’il a définie dans son domaine d’expertise, à partir d’une solide expérience et d’un ensemble d’observations majeures.
Avant-Propos
“Lancée opérationnellement à la fin de 2019, la communauté de Consultants Digispin s’est fixée pour objectif de faciliter voire de démocratiser l’accès au Conseil en faveur des PME et ETI qui ont besoin d’assistance pour conduire au mieux les adaptations que leur impose un environnement d’affaires en pleine transformation.
Un de leurs enjeux majeurs actuels est celui de la transformation digitale et des risques ou opportunités qu’elle implique pour leur compétitivité et dans certains cas pour leur survie. Forts de l’expérience de nos associés tant en termes de pilotage d’activités ou d’entreprises que d’accompagnement de clients très divers, complétée par les points de vue de nombreux membres de notre communauté de consultants indépendants (plus de 120 au début 2021), nous vous présentons ce livre blanc.
Il est destiné à partager ce que nous pensons être les essentiels d’une adaptation de l’entreprise à l’ère du Digital ( « Nos Convictions ») et à proposer des démarches spécifiques à votre type d’entreprise ou à votre type de fonction au sein d’une entreprise ( « Nos Approches »).
Nous visons à enrichir votre réflexion tant en phase de réflexion stratégique qu’en phase de mise en œuvre et sommes bien sûrs soucieux de vous accompagner le cas échéant avec nos savoir-faire et surtout un seul objectif : vous aider à garder la maîtrise de votre destin à un moment d’évolution très forte de votre environnement.”
Sommaire
Pour une digitalisation heureuse des petites et moyennes entreprises – Eric PRADIER
Transformer sa PME en tirant partie d’un digital maîtrisé – Corinne LE GUERN
Les leviers de transformation digitale des ETI – Frédéric BETSCH
De l’entreprise en silos à l’entreprise plateforme étendue – Hervé ANGELINI
La DRH, acteur clé de la transformation agile des organisations – Sophie Charpentier
Le Marketing Digital, accélérateur de croissance – Alice COATALEM
La Direction Commerciale, un catalyseur de la transformation – Jean-Charles DUBREUCQ
Se développer à l’international à l’ère digitale – Olivier GENE
Pour une culture d’innovation dans votre entreprise – Xavier DE GROVE
A propos de Digispin
Digispin est une plateforme intelligente qui agrège les propositions des meilleurs consultants indépendants certifiés.
Tous mettent en oeuvre des pratiques et des méthodes efficaces et pérennes, 100 % personnalisées en fonction des besoins de chaque client. Ils sont d’ailleurs évalués, en toute transparence par les entreprises.
Digispin démocratise ainsi l’accès à 4 domaines de compétences pour réussir à se démarquer dans la période “post-Covid” :
L’Adaptation facilitée
Les PME et les ETI doivent s’adapter au fait que les transactions digitales sont devenues inévitables, car demandées par les clients, les fournisseurs et l’administration. Elles doivent donc traiter au mieux cet impératif, en agissant au bon moment.
L’Efficience augmentée
Il s’agit d’optimiser le temps et la qualité de travail des collaborateurs et d’automatiser les tâches répétitives. Il faut donc mettre en place des outils de pilotage pour suivre de façon dynamique les performances de l’entreprise et ajuster sa stratégie en temps réel.
La Croissance accélérée
Le Digital offre aux entreprises de nouveaux leviers de croissance. La mise en place d’un site internet et des outils digitaux associés permet d’augmenter le potentiel du marché, de trouver de nouveaux clients, d’utiliser les données de façon prédictive pour adresser des campagnes ciblées, et mettre en place de nouveaux canaux de communication avec leurs clients.
La Réinvention concertée
La Digitalisation entraîne des changements de comportements et en particulier quand elle améliore le quotidien de chaque individu. Digispin intervient alors pour accompagner les changements progressifs de modèles d’affaires et de fonctionnement, en concertation dès le départ avec les employés, clients et fournisseurs. Cela permet de réussir la transformation digitale, puisqu’elle va apporter de la valeur à chacun.
Portraits des associés
Alice Coatalem
Alice est diplômée d’un Doctorat en Management de Dauphine.
Elle a plus de 30 ans d’expérience à des postes commerciaux ou de direction générale au niveau européen dans le secteur IT, incluant Vente à distance, partenariats stratégiques, planification opérationnelle et développement des équipes.
Elle a notamment mis en place et piloté des équipes commerciales importantes, ayant la responsabilité directe de plus de 800 Commerciaux en charge de 1 B$ de ventes.
Experte dans tous les aspects de Stratégie Commerciale et Marché, Alice a également lancé avec succès une activité de Conseil en transformation digitale des ventes et du marketing B2B.
Eric Pradier
Eric a plus de 30 ans d’expérience de Direction Générale dans des Entreprises IT et Telco, incluant des PME innovantes. Il a travaillé durant plus de 15 ans à l’étranger (UK, US, Scandinavie, Benelux).
Il a notamment été en charge du Pilotage et de la Transformation d’Activités, ainsi que d’Equipes de Consulting très importantes (Motorola Global Services WW, Nokia Consulting and System Integration WW, HP Consulting EMEA). Il a aussi été Conseiller et Sponsor engagé auprès de startups en plein essor (Quantcube, AddWorking),
Eric est Expert dans tous les aspects de stratégie digitale dans les secteurs Public et Concurrentiel.
Il a fondé Digispin avec Alice Coatelem en 2018 avec la volonté d’adopter une démarche résolument start-up. Xavier De Grove les a rejoints ensuite.
Eric précise :
Avec Digispin, nous voulons aider les PME et les ETI françaises à relever le défi du Digital. Nous souhaitons aussi accompagner le développement de nouveaux types de salariats, en “col blanc” et fondés sur l’indépendance.
Xavier De Grove
Xavier est Ingénieur A.Ir.Br., titulaire d’un DESS en gestion de la Vrije Universiteit Brussel, d’un diplôme Leadership Digital et Coaching à l’ESSEC, et d’un diplôme Artificial Intelligence au MIT Sloan.
Il a plus de 25 ans d’expérience dans des rôles commerciaux ou de direction générale au niveau national, EMEA et Global dans le secteur IT, avec un accent particulier sur le segment PME / ETI et la Gestion des écosystèmes de partenaires.
Xavier a notamment mis en place et piloté des équipes importantes, avec la responsabilité de 600 M€ de CA et la gestion de 3000+ partenaires.
Il est Expert dans la définition et l’exécution de GTM multi-tier ainsi que la création de nouveaux business models rendus possibles par la transformation digitale.
Aujourd’hui, Digispin représente un réseau de plus de 80 consultants certifiés. Elle ambitionne désormais de se développer et de fédérer 300 consultants d’ici la mi-2021. Par la suite, le concept sera étendu à l’international.
Hervé Angelini
Hervé a plus de 30 ans d’expérience dans la Direction Commerciale, Marketing, Stratégie et Direction Générale dans des Entreprises IT et Services IT (Président et mandataire social).
Il a notamment été en charge du Pilotage et de la Transformation de filiales, Business Unit, Activités et Equipes, Impact du Digital : restructuration d’entités, repositionnement de portfolio, changement de business model, reskilling des collaborateurs.
Il a ainsi développé une réelle expertise dans l’approche systémique de la transformation des entreprises à l’ère du Digital, de la gestion du changement à la culture de cocréation de valeur en passant par l’accompagnement des hommes et des organisations.
Sophie Charpentier
Sophie est spécialisée dans l’accompagnement des projets de transformation organisationnelle et humaine à l’ère du digital. Elle est notamment experte en RH, organisation, développement des compétences, IT, formation et accompagnement des changements.
Elle a plus de 25 ans d’expérience de direction de projets et management d’équipes pluridisciplinaires en cabinets de conseil. Sophie a mené plus de 50 missions auprès de DG, DRH, DAF, DSI et Directions opérationnelles au sein des secteurs finance, banque, industrie, énergie, telco, services, santé et secteur public, en France et à l’étranger.
Elle est certifiée en Direction de Projet (PMI) et en coaching professionnel (individuel et collectif). Sophie a la culture du co-développement, de la systémie et des méthodes agiles.
Olivier Gene
Olivier est Speaker et Conférencier. Il est expert de la Conduite du Changement, du Management générationnel & de l’Ère digitale.
Il intervient notamment pour :
Accompagner les dirigeants & leurs entités dans la diversification des cibles sur des territoires étrangers et captifs ;
Digitaliser des processus globaux ;
Accompagner les structures sur le thème des problématiques managériales liées aux évolutions sociétales et leur transformation digitale.
Durant 12 ans, Olivier a géré la création, le pilotage et la direction stratégique & opérationnelle de Business Units au sein de grands groupes. Ensuite, pendant 10 ans, il a co-créé des start-ups dans l’univers Télécoms, Energie et Data-Visualisation. Il a notamment contribué à des innovations sur les territoires France, Israel, Californie, Japon et Afrique de l’Ouest. Olivier maîtrise aussi les process de levée de fonds (Seed, Série C,B,A).
Corinne Le Guern
Corinne est spécialisée dans l’accompagnement stratégique (adaptation & transformation) des start-ups et des TPE/PME. Elle est experte en Stratégie d’Entreprise & Performance Commerciale, en s’appuyant sur le digital et l’intelligence collective comme leviers de croissance et d’efficience.
Corinne a exercé durant 25 ans en tant que Manager Commercial dans le secteur IT (éditeurs et ESN) puis pendant 11 ans dans le Conseil, au travers de sa propre activité. Elle a ainsi accompagné plusieurs dizaines de structures (start-up, TPE & PME de tous secteurs).
Frédéric Betsch
Frédéric est un spécialiste de la Direction de programme de transformation et de projets IT complexes. Il pilote notamment des équipes projet multi-compétentes dans un contexte international.
Il a exercé pendant plus de 30 ans dans le monde de l’IT et le Digital (télécom et ESN) en maîtrise d’ouvrage, maîtrise d’œuvre, gestion de programme et de projets. Ce parcours lui a permis de développer une véritable expertise dans les projets de réponse à appel d’offre d’externalisation de services IT de la qualification de l’opportunité à la contractualisation.
Restrictions sanitaires : après un an de crise, plus de 4 Français sur 10 “consomment” de la culture en ligne… et cela ne va pas s’arrêter ! (étude Gece & Correspondances Digitales)
En France, le secteur de la culture pèse 47 milliards d’euros et représente 2,3% de l’économie française (source).
Alors que les cinémas, théâtres, musées et autres lieux culturels sont à l’arrêt depuis un an, de nombreuses voix s’élèvent pour réclamer la réouverture de ces lieux conviviaux. Un véritable défi alors que l’épidémie repart à la hausse dans de nombreux départements.
Tout l’enjeu est actuellement de prendre les mesures adaptées pour éviter un nouveau confinement national, très coûteux (près de 193 milliards d’euros), et de trouver le bon équilibre pour préserver le moral des Français.
Ainsi plusieurs questions se posent :
quel est l’impact de la fermeture des lieux culturels sur le moral des Français ?
quels sont les lieux auxquels ils sont le plus attachés ?
la pratique des activités culturelles a-t-elle changé durant cette crise ?
Et il y a des surprises ! Car si plus de 8 Français sur 10 ont été touchés moralement par la fermeture des théâtres, salles de concerts, musées et cinémas, leurs pratiques ont considérablement évolué en un an.
Olivier Allouard, le Directeur de l’institut Gece, souligne :
Désormais, nos compatriotes réclament d’avoir le choix. Notre étude montre notamment que s’ils attendent avec impatience de pouvoir retourner dans les cinémas, ils sont aussi 36% à vouloir continuer pratiquer des activités culturelles en ligne à l’avenir.
La fermeture des lieux culturels a eu un lourd impact sur le moral des Français
Alors que la ministre de la culture a annoncé voir le bout du tunnel (source), aucune date officielle n’est encore prévue pour permettre aux musées, monuments, cinémas, centres d’art… d’accueillir à nouveau du public.
Or il y a urgence à agir, au vu de l’impact sur le moral des Français :
un tiers des Français n’ont pas le moral aujourd’hui contre 10% avant la crise sanitaire ;
40,5% ont le moral qui a baissé (étudiants, actifs cadres, demandeurs d’emploi et femmes notamment) ;
81% des Français sont touchés moralement par la fermeture des théâtres, salles de concerts, musées et cinémas. Ces derniers devraient d’ailleurs faire partie des lieux à ouvrir en priorité puisque 71,5% de nos compatriotes ont été affectés par l’interdiction d’aller regarder des films sur grand écran.
Conscientes de ces enjeux, certaines municipalités comme la ville de Beauvais réclament de devenir des “zones pilotes” pour tester une réouverture sanitaire expérimentale (source). Leur objectif : trouver le bon équilibre entre maintien d’une activité économique, le soutien aux acteurs culturels, le respect des contraintes sanitaires actuelles et la préservation de la santé psychique des Français.
Les pratiques culturelles en ligne sont devenues incontournables
Malgré la crise, les confinements successifs et le couvre-feu, nos concitoyens n’ont pas renoncé à la culture !
41% des Français ont pratiqué régulièrement une activité culturelle en ligne, soit 21 800 000 Français de 15 ans et plus
Parmi eux, 28% sont des nouveaux pratiquants soit 6 200 000 de Français (rapporté aux Français = 11,5% des Français). Cela représente une augmentation de 20 points par rapport à avril 2020 (enquête Gece pour Universcience).
Dans le détail :
21% ont regardé un concert ou spectacle en live ;
20% ont regardé un concert ou spectacle en replay ;
14% visitaient virtuellement un musée, une exposition… ;
et 8% se sont formés en ligne à des pratiques culturelles et artistiques.
Sans surprise, les personnes qui sont allées au théâtre, à un concert et/ou dans un musée ou voir une exposition lors des 2 dernières années sont proportionnellement plus nombreuses à avoir substitué leurs pratiques d’avant la crise par des pratiques virtuelles en 2020 (54%).
Mais le numérique démocratise aussi l’accès à la culture : 19 % des Français qui n’ont fréquenté ni théâtre ni musée ni concert lors des 2 dernières années ont néanmoins pratiqué une activité culturelle en ligne. De plus, 41% des Français qui pratiquaient des activités culturelles en ligne en 2020 en ont pratiqué plus qu’avant la crise sanitaire.
En 2021, les institutions vont devoir s’adapter
Antoine Roland, directeur de {CORRESPONDANCES DIGITALES], précise :
Face à ces nouvelles pratiques, les professionnels du monde de la culture s’allient à de nouveaux partenaires et affermissent leurs compétences sur le Web et les réseaux sociaux. A la réouverture des lieux culturels, il sera plus que jamais nécessaire de faire le bilan d’une telle situation et d’appuyer les professionnels dans le rééquilibrage des activités en ligne et en physique proposées aux publics.
L’appétence pour le numérique ne va pas disparaître de sitôt. Dans le monde d’après, le digital va occuper une place importante car il est pleinement entré dans les habitudes :
36% des Français vont continuer à pratiquer leurs activités culturelles en ligne à l’avenir ;
47% des Français seraient intéressés par des visites guidées à distance de musées ou d’expositions. Cette demande émane plus particulièrement des étudiants, des CSP supérieures et des habitants des grandes villes.
Olivier Allouard précise :
Notre étude montre que le confinement et les fermetures sont aussi une occasion pour les lieux culturels de se réinventer et d’innover leurs contenus sur le numérique, qu’il soit gratuit ou payant. Il s’agit à la fois de combler le manque pour les Français qui ne peuvent pas sortir et attirer de nouveaux publics.
Cette évaluation des pratiques culturelles online a déjà été conduite en avril par l’institut Gece pour le compte d’Universcience. Cette nouvelle étude a permis de refaire le point 9 mois après.
A propos des fondateurs de Gece et de Correspondances Digitales
Gece
Olivier ALLOUARD, l’actuel Directeur, a créé l’Institut de sondages Gece à Rennes en 2006. Avec une ambition : apporter des outils stratégiques d’aide à la décision et à l’information.
Sa marque de fabrique ? Rester volontairement une entreprise à taille humaine, basée en province, afin d’apporter un accompagnement réellement personnalisé à ses clients.
Gece accompagne ainsi les collectivités, entreprises et associations pour élaborer et analyser des enquêtes et des sondages auprès des habitants, des citoyens, des professionnels et des publics (notoriété, satisfaction, tests de communication, impact économique…).
Gece mobilise ainsi son expertise en études quantitatives (questionnaire) et qualitatives (entretien, focus-group…), dans tous les secteurs d’activité (secteur public, environnement, culture, tourisme…) pour obtenir des résultats fiables et concrets facilitant la prise de décisions stratégiques.
Correspondances Digitales
Après des études à Sciences Po Lyon, Antoine ROLAND travaille 7 ans dans le conseil en stratégie d’entreprises.
En 2012, il fonde {CORRESPONDANCES DIGITALES], agence dédiée à l’accompagnement des musées et acteurs culturels dans leurs stratégies d’innovation et de communication. Dans le cadre de ses missions, il a eu l’occasion de collaborer avec le Muséum national d’Histoire naturelle, le Musée du Louvre, la Fondation Louis Vuitton, le 11 Conti-Monnaie de Paris, l’Institut national d’histoire de l’art, le Musée de la Grande Guerre (Meaux), le musée d’art et d’histoire du Judaïsme.
En parallèle de cette activité, Antoine ROLAND enseigne au CELSA, à l’Ecole du Louvre pour le parcours Médiation, à la Burgundy School of Business et à l’ESSEC.
Emploi : Digital4Better, l’entreprise du numérique à impact, a recruté 20 collaborateurs en 6 mois d’existence… et ce n’est qu’un début !
Alors que la pandémie de Covid-19 a déjà généré la suppression de près de 160 000 emplois (source) et que 25 % des entreprises risquent d’être à court de liquidités dans les mois à venir (source), de jeunes pousses affichent une croissance insolente.
Leur secret ? Un concept en phase avec les enjeux du moment et de demain, à l’image de Digital4better, une nouvelle entreprise spécialisée dans le numérique à impact.
Concrètement, il s’agit de mettre le numérique en ligne avec les engagements sociétaux des entreprises et des organisations publiques. Car, plus que jamais, il y a un challenge à relever : concilier transformation numérique et responsabilité sociétale, deux facteurs-clés de compétitivité.
Les organisations ont d’ailleurs conscience qu’il s’agit d’une priorité quand 80 % des Français (et donc des clients !) estiment qu’elles doivent agir pour résoudre les problèmes sociétaux (source : étude Edelman) et 63 % font davantage confiance à celles qui proposent des produits durables (source : étude Ademe).
C’est pour cela que le concept cartonne : lancée il y a 6 mois, Digital4Better a déjà recruté 20 collaborateurs. Elle a notamment bénéficié de la confiance de La Poste, Enedis, Système U, Audencia, BPCE Casden, Laboratoire Science & Nature…
Portée par cette belle dynamique, Digital4Better prévoit de recruter 60 collaborateurs sur 2 ans.
Un numérique à impact au service d’une performance durable
Alors que la responsabilité sociétale des entreprises (RSE) est devenue un véritable critère d’investissement (exemple), de plus en plus d’organisations ont besoin d’être accompagnées pour relever un triple défi :
coupler transformation numérique et transition écologique ;
faire du numérique un formidable levier social et non une source d’exclusion ;
valoriser leur responsabilité sociétale, très importante pour des salariés et clients en quête de sens.
Or jusqu’à présent, ces trois problématiques, pourtant étroitement liées, étaient souvent traitées de manière distincte, ce qui diminuait l’impact des initiatives mises en œuvre.
D’où le succès du concept Digital4Better ! Cette tribu d’experts passionnés réalise des plateformes numériques à la performance durable. Leur objectif : imaginer, dans sa conception et sa mise en œuvre, un numérique plus respectueux de la Planète et des Hommes.
Frederick Marchand, co-fondateur, souligne :
Nous concevons et réalisons des outils digitaux avec un meilleur impact qui apportent toujours un triple ROI : économique + environnemental + social.
Digital4Better est reconnue par l’Etat comme Entreprise Solidaire D’utilité Sociale et est un acteur engagé au sein de l‘INR (Institut Numérique Responsable). Elle compte aussi parmi les premières B Corp en France, une certification attestant de sa capacité à répondre à des exigences sociétales et environnementales, de gouvernance ainsi que de transparence envers le public.
Nous ne voulons pas être les meilleurs au monde mais meilleur pour le monde
Une pluralité de talents recrutés
Les experts Digital4Better sont actuellement répartis sur 3 tribus : Rennes, Nantes & Paris. Parce qu’il faut des talents pluridisciplinaires pour répondre avec efficacité aux besoins des clients, la start-up recrute des profils variés, qui interviendront dans une approche forfaitaire ou en mission.
Les makers recrutés sont essentiellement : Développeur fullstack, Leadtech, DevOps, Architecte et Scrum Master, UX /UI.
Une réponse sur-mesure pour créer une transformation numérique durable
Contrairement aux idées reçues, le numérique peut avoir un impact négatif car, s’il n’est pas maîtrisé, il peut devenir une source de pollution, d’exclusion et de gaspillage (il est vite obsolète).
Grâce à une solide expertise de la transformation numérique des entreprises et à une méthode agile capitalisée (AI4B : agilité au service d’un impact positif), Digital4Better va questionner globalement tous les développements :
Utile : est-ce que le service rendu répond à un réel besoin ? ;
Utilisable : est-ce que le service développé répond à tous les enjeux ergonomiques pour permettre un usage dans toutes les situations ? ;
Utilisé : est-ce que le service développé est finalement utilisé ?
Cette démarche éprouvée va ainsi permettre de :
Limiter l’empreinte environnementale : éco-conception des développements, sobriété numérique des architectures.
Développer l’accessibilité aux services numériques (illectronisme, handicap, …) avec une lecture critique (éthique, IA et marketing, données personnelles…).
Rationaliser les fonctionnalités au service d’un meilleur usage et interroger la frugalité.
Frédérick Marchand précise :
Nous aurons réussi si nous générons le maximum d’impacts positifs sur la société. Notre forte croissance et la création d’un modèle économique viable ne sont qu’un moyen pour atteindre ce but qui nous motive au quotidien. C’est tout simplement notre raison d’être !
A propos de la Dream Team Digital4Better
Derrière Digital4Better, il y a 5 cofondateurs passionnés aux profils complémentaires et pouvant capitaliser sur plus de 1000 projets digitaux réalisés. Ils ont réuni autour d’eux les meilleurs talents du numérique.
Un modèle d’entreprise réellement engagé qui attire…
Frédérick MARCHAND
Frédérick a 23 ans dans le management de Digital Factory d’envergure et dans l’accompagnement d’entreprises dans leur transformation digitale.
Fort d’un leadership affirmé et d’une vision du numérique à impacts, Frédérick est un entrepreneur engagé dans les nouveaux modèles économiques.
Il s’implique également dans des mouvements comme Impact France/TechforGood.
En parallèle, il est auteur et conférencier sur la transformation numérique durable.
Jérôme LUCAS
Depuis 23 ans, Jérôme accompagne les clients dans leurs projets digitaux web et mobile, en particulier les plateformes e-commerce B2C et B2B. Il intervient sur la réflexion stratégique liée aux projets de transformation numérique.
Il dispose également d’une connaissance de bout en bout de la chaîne de production et de mise en œuvre opérationnelle des projets. En parallèle, Jérôme est administrateur de Femmes du Digital Ouest et ADN Ouest.
Stéfan COSQUER
Avec 17 ans d’expérience, Stéfan est un Directeur technique confirmé qui a géré plusieurs produits logiciels au sein de différentes startups. Il dispose d’une double expertise : technique sur différents frameworks de développement applicatif et architecture contributeur à l’INR – Institut du Numérique Responsable.
Ronan ROBE
Ronan a travaillé durant 13 ans chez différents acteurs du numérique dans le Management de projets digitaux et la Direction Produit. Il est cofondateur de Nantes Numérique Responsable.
Etienne ALLAIN
Etienne a exercé 6 années à différents postes en Communication, Marketing puis Développement commercial.
“Et si un clic pouvait changer le monde ?” de Marie Prat, un roman d’anticipation
Et si un clic pouvait changer le monde ?
D’abord, un monde numérisé à outrance, un Enfant étrange, un Chat millénaire et connecté, une Dame qui traverse les mondes, c’est le décor de cette histoire qui va bien au-delà du temps et de l’espace.
Ensuite, un cataclysme inédit offre à l’enfant une chance unique de réinitialiser la planète.
Voilà le défi à relever pour une humanité au bord du gouffre !
Va-t-il le faire ?
Pour résumer, va-t-il réinitialiser le monde ? Faire un Reset World ?
Dans un contexte international marqué par les pandémies, humaine et informatique, le monde accélère sa mutation numérique. Jusqu’où ? Et surtout, le numérique est-il utilisé à bon escient ? Ne doit-on pas « réinitialiser » le monde et l’humain ? Si le monde buggait pour nous donner une leçon ?
Pour son premier roman “Et si un clic pouvait changer le monde ?”, l’experte du numérique Marie Prat partage une histoire qui se lit comme un conte, dans un univers de science-fiction très proche de ce que nous vivons tous actuellement.
Un livre dans l’air du temps, à mettre entre toutes les mains.
Un voyage initiatique et inspirant
L’histoire se situe dans quelques années, une vingtaine d’années à peine. Le monde est tout numérique, les robots sont partout, les gens sont hyperconnectés, plus individualistes que jamais. Ils vivent enfermés dans leur bulle numérique et dans des villes protégées, emmurées. Quelques individus éclairés refusent le modèle, se nomadisent, d’autres sont repoussés à l’extérieur des villes (les migrants).
Et puis il y un enfant, différent, qui évolue dans cet univers en mode “décalé”…
A travers ses yeux, et forte d’une carrière dans le numérique, Marie livre un autre regard sur notre évolution vers le “tout digital” et à ses répercussions.
Elle souligne :
J’ai le sentiment que la civilisation s’est développée uniquement sur le côté mécaniste et mercantile, que l’humain a perdu son identité, son bon sens, ses connexions naturelles. Il est temps que nous soignions nos âmes pour retrouver l’essentiel… L’espoir est permis si nous en prenons tous conscience !
Les “plus” du livre
une histoire qui ne laisse personne indifférent ;
la parfaite connaissance de la réalité d’un monde numérisé ;
un roman de courte anticipation : en se situant dans une vingtaine d’années, le roman permet à tous les lecteurs.trices de se projeter dans ce futur réaliste et effrayant, un peu comme dans un conte ;
une écriture fluide, concise, style rapide et agréable ;
un récit riche et dense ;
un livre plein de tendresse et de lumière ;
des thématiques dans l’air du temps : le numérique, la robotique, la société de consommation, la liberté individuelle, la domination de la finance, le pouvoir, la sagesse de la nature, la place de l’être humain dans l’univers, la puissance de l’espoir…
Extrait
“Quelques petits jours avant le grand chamboulement, deux ou trois tout au plus…
L’Enfant somnole vaguement à l’arrière de la voiture qui sait où aller, comment y aller, et qui y va, sans aide humaine aucune.
L’Enfant regarde les paysages défiler, alternance de villes et de villages barricadés derrière des murs de béton et d’acier. Autour, les espaces naturels, plaines et forêts, restent miraculeusement intacts, au moins en apparence, au moins pour l’instant. Ici et là, à l’écart des remparts, sur les chemins bordant les routes, on aperçoit des groupes de marcheurs, nonchalants ou pressés, allant dans un sens ou dans un autre, leurs maigres bagages sur le dos.
La petite famille roule ainsi depuis le début de l’après-midi, ils ont déjeuné dans la voiture, équipée comme il se doit, pour rafraichir et réchauffer nourriture et boissons. Dans ces années-là, la révolution numérique a parcouru la planète à vitesse grand V, balayant tout sur son passage.
Quelques innovateurs visionnaires ont fait vaciller les modèles économiques préexistants. Les échanges et les liens sociaux ont été bouleversés en conséquence, la société métamorphosée en profondeur. De la révolution industrielle du millénaire passé, il ne reste que de maigres vestiges. Le numérique a engendré un monde de plateformes, transformé l’économie traditionnelle en une économie de la multitude.
Les technologies ont propulsé de nouveaux usages et de nouveaux comportements, et ont ainsi permis de proposer aux individus autre chose, vraiment autre chose ! Et le monde s’est numérisé, uberisé larga manu. L’intrusion, puis la généralisation du numérique dans toutes les sphères de la société a fait espérer aux plus optimistes qu’un monde meilleur était possible…
Les parents de l’Enfant, installés face à face dans des fauteuils très confortables et à leur goût, à l’avant du véhicule, devisent, comme ils aiment le faire dès qu’ils en ont l’occasion, sur l’état du monde. Tous les voyants de l’énorme tableau de bord sont au vert, tout va bien.
La mère a posé son téléphone intelligent, elle n’a plus de vies, le numéro 11101 du vieux jeu de bonbons attendra un peu…
Ils reviennent de la métropole régionale où ils sont allés consulter le médecin spécialiste pour le suivi de l’Enfant. Ils auraient pu éviter ce déplacement et réaliser la consultation en ligne, mais ils se sont dit qu’un petit « voyage réel » leur ferait du bien à tous les trois.
Un petit voyage réel ? L’Enfant sourit… La conversation ambiante lui paraissant relativement insipide, il replonge dans ses pensées : cela, il s’en délecte ! Quelques mois plus tôt, il a été grièvement blessé par un drone livreur qui volait beaucoup trop bas. Victime d’un traumatisme crânien grave, l’Enfant est resté sept jours dans le coma : autant de jours et de nuits d’angoisse pour ses parents.
Au matin du huitième jour, l’Enfant s’est réveillé, miraculeusement. Il a ouvert les yeux, emplis d’une nouvelle lumière, et il a raconté son séjour merveilleux dans l’autre monde : comme tout y est beau, comme on s’y sent bien.”
L’avis des lecteurs.trices
Voici un aperçu des témoignages laissés par les lecteurs.trices :
“Voici un livre qui ramène à l’essentiel du monde. L’auteur nous promène dans une fiction sociale… qui pourrait bien un jour ne plus en être une. Une parabole des temps d’effondrement qui nous rappelle à l’enfance de notre âme, notre part de lucidité, celle qui peut nous sauver de l’inhumain. Merci à Marie Prat de l’avoir écrit.”
“Ce livre m’a plu énormément, une vraie découverte littéraire que je souhaite partager. Les 3 personnages sont attachants, l’histoire est très originale. On dévore le livre, et on en sort avec un peu plus d’espoir. A lire absolument pour tous ceux qui rêvent de mieux, de plus humain, d’autre chose : une très belle histoire, j’espère qu’il y aura une suite.”
“Déjà lu 3 fois et j aime davantage à chaque lecture. Livre magnifiquement insolite, qui nous entraîne dans un voyage initiatique à travers l’espace, le temps et l’âme universelle, qui nous permet de nous questionner sur le sens de la vie et nous aide à trouver la vérité intérieure. Moi qui suis plutôt auditive, je vois un film se dérouler au fil de ma lecture, plutôt au fil de mon voyage car j entre directement dans le personnage de l’enfant et je suis émerveillée par tous ces univers si bien décrits et qui pourtant imaginés semblent si réels. Ce livre extraordinaire qui relie les mondes et les êtres, monde vivant et de l’au-delà représenté par la dame millénaire, monde d’ici et d’ailleurs, représenté par des extra-terrestres si différents et pourtant plus humanistes que les terriens, monde des robots déjà présents à notre époque et donc intégrés très fluidement par notre conscience , monde des animaux merveilleusement représenté par le chat, ce livre extraordinaire ferait aussi un film hors du commun, digne d’un Matrix, d’un Star Wars ou d’un Avatar, tout en étant plus doux, plus féminin, plus plus quoi !”
“Un livre qui fait du bien ! Ce livre m’a plu énormément, une vraie découverte littéraire que je souhaite partager. Les 2 personnages sont attachants, l’histoire est très originale. On dévore le livre, et on en sort avec un peu plus d’espoir. A lire absolument pour tous ceux qui rêvent de mieux, de plus humain, d’autre chose : une très belle histoire, j’espère qu’il y aura une suite.”
“J’ai beaucoup aimé, c’est plein de notions qui me parlent. C’est une fable qui touche au cœur, beau style, sans fioriture. Certains points mériteraient d’être approfondis. Bien aussi le rappel de ce qu’on vit aujourd’hui vu du futur, la façon dont l’enfant écoute ses parents.”
“Je ne me lasse pas de relire ce roman, d’autant que l’actualité semble de mieux en mieux s’y fondre !! Si vous ne l’avez pas encore lu, vraiment n’hésitez pas, “Et si un clic pouvait changer le monde” ne peut pas vous laisser indifférent ! déroutant, touchant, fluide…bravo!”
A propos de Marie Prat
Marie PRAT démarre sa carrière informatique voilà plus de 25 ans, au temps des premiers sites web. Pionnière du digital learning, elle créée une agence web et e-learning avec 2 amis et publie une vingtaine d’ouvrages spécialisés. Son activité professionnelle de conseil et formation l’amène à travailler beaucoup à l’international.
Très investie depuis une dizaine d’années dans la représentation des TPE PME, elle connaît très bien le monde du numérique, ses acteurs et son environnement.
Marie PRAT, globe-trotter dans l’âme et citoyenne du monde, s’est inspirée de ses expériences personnelles et professionnelles, de son engagement, de sa sensibilité particulière et de son goût marqué pour l’écriture depuis toujours, pour donner naissance à un premier roman qui mêle suspense et espoir.
Informations Pratiques
“Et si un clic pouvait changer le monde ?” de Marie Prat
“Numérique Responsable : l’informatique peut-elle être écologique ?”, le nouveau Numéro Spécial de Kaizen co-édité avec Zenika, Entreprise de Services Numérique attentive à son impact sur le monde
Si la notion de progrès signifie « mieux vivre », alors nous y sommes tous favorables pour demain, pour l’ensemble des êtres humains.
Reste à savoir comment on tend vers ce progrès…
Pour certains, le progrès passe par plus de technologie. Ce que nous vivons depuis des siècles. Pour d’autres, au contraire, il passe à présent par notre désaliénation vis-à-vis de la technologie, numérique en particulier.
En cinquante ans, en effet, l’informatique puis le numérique sont devenus omniprésents dans nos vies, professionnelles, personnelles. Ordinateurs, smartphones sont partout, tout le temps.
Le numérique a bouleversé nos quotidiens. Grâce à Internet, on a accès à une infinité d’informations. Les réseaux sociaux nous permettent de communiquer avec des milliers de personnes à l’autre bout du monde et, dans le même temps, nous éloignent de ceux qui vivent juste à côté de nous. Tout va plus vite : envoi de fichiers instantané, trading haute fréquence…
À l’ère de l’immédiateté, dans ce monde du « tout-numérique », nous éprouvons l’emprise : emprise sur nos ressources, nos biens communs, et emprise sur nos cerveaux. Sommes-nous rendus quelque part entre 1984 (George Orwell) et Le Meilleur des Mondes (Aldous Huxley), entre dictature et hyperconsommation, à l’image de la Chine ? Ou pouvons-nous, à l’inverse, tirer profit du numérique pour faire face à la crise écologique ?
Et si le moment était venu d’appuyer sur « pause », de prendre un peu de recul, de passer au numérique responsable ?
Se poser les bonnes questions pour devenir des consom’acteurs du numérique
Kaizen est un magazine positif qui donne la parole aux acteurs de la transition écologique. Ce bimestriel français, vendu en kiosques, librairies & magasins bio, publie également deux à trois hors-séries par an avec toujours la même ambition : parler de l’écologie à travers des gestes et des initiatives que nous pouvons tous reproduire.
Zenika (sa parfaite anagramme !) est une Entreprise de Services du Numérique (ESN) spécialisée dans l’innovation technologique, organisationnelle et managériale. Très engagée sur la question du Green IT, elle a aussi reçu le 1er prix Great Place To Work des moins de 500 salariés.
Tels deux colibris partageant les mêmes valeurs, leurs deux équipes se sont fédérées le temps d’un Numéro Spécial pour donner de la matière à réfléchir, loin des réponses toutes faites.
Au fil des pages, les lecteurs.trices vont ainsi pouvoir découvrir les impacts du numérique sur la planète et les cerveaux. Par exemple, combien savent qu’il faut 70 matériaux pour construire le smartphone qui se trouve dans notre poche ? Pourtant, nous sommes 88 % en France à en changer au bout de deux ans, alors qu’il fonctionne encore…
Mais ce Numéro Spécial va plus loin que le simple constat pour proposer des solutions concrètes à mettre en place dès à présent.
Herri Héas, directeur de Zenika Rennes et Brest souligne :
Dans ce hors-série « Numérique responsable », nous souhaitons partager la vision d’un monde différent, positif, tourné vers l’avenir et donner à tous l’envie de le construire, ensemble.
Sommaire
Préface : Frédérick Bordage : “Faire du numérique un outil de résilience”.
Chapitre 1 : Emprise sur le bien commun
Interview Sebastien Brault : “On aurait pu sauver les abeilles, on a préféré sortir un nouvel iPhone”
Décryptage : Impact écologique du numérique : le comprendre, le freiner
En chiffres : TIC, des outils certes, des impacts aussi
Décryptage : 5G, la connexion de trop ?
En chiffres : Le numérique, puits de données, pompes à matière
Décryptage : Halte à l’obsolescence programmée !
Interview : Philippe Bihouix : “Le numérique durable demande un extrême discernement dans les usages”
Solutions : Chérir ses objets, interroger ses usages
Décryptage : Bid data : le nouvel or noir
Solutions : Cloud computing, le numérique sur un nuage ?
Chapitre 2 : Emprise sur nos cerveaux
Interview Yves Citton : “Pour une écologie de l’attention”
Décryptage : Captologie versus design éthique
En chiffres : Nos vies connectées
Solutions : Inclusion numérique : grande cause nationale ?
Interview Laurence Devillers : “Comprendre les relations entre l’humain et la machine”
Décryptage : Résister à la béatitude numérique
En chiffres : Réseaux sociaux, la virtualité à table
Solutions : La parentalité numérique dans la société des écrans
Décryptage : tous accros au numérique ?
Solutions : Vive le logiciel libre !
A propos de Kaizen
Créé en 2012 par Cyril Dion, Yvan Saint-Jours, Patrick Baldassari et Pascal Greboval, Kaizen est un média indépendant, n’appartenant à aucun groupe de presse et se finançant essentiellement grâce à ses abonnés.
Cet « explorateur de solutions écologiques et sociales » est conçu comme un rapporteur d’initiatives pionnières qui, par leur simplicité et leur bon sens, révèlent aux Français de nouveaux horizons et sont porteuses d’espoir.
Plus que tout, nous croyons qu’il ne peut y avoir de réelle métamorphose de nos sociétés sans un profond changement de ceux qui la constituent : NOUS. Alors informons et partageons, pour mieux agir ensemble
Kaizen propose un journalisme de solutions, participatif, positif et ingénieux.
Il tient son nom des mots japonais kai qui signifie « le changement », et zen qui veut dire « bon ». Il s’agit d’une véritable philosophie de changement, fondée sur le bon sens commun avec une approche nécessairement coopérative.
Informations Pratiques
“Numérique Responsable : l’informatique peut-elle être écologique ?” – co-édité par Kaizen et Zenika
CINEVR, la première salle de cinéma 100% virtuelle et immersive pour voir des films en solo ou entre amis
Comment revivre la magie du cinéma à l’heure du coronavirus et des mesures de distanciation sociale ?
Alors que beaucoup de Français hésitent à reprendre le chemin des salles obscures, et que leur pouvoir d’achat ne leur permet pas toujours d’assouvir leur amour du 7ème art, le numérique apporte des innovations technologiques qui révolutionnent le secteur.
Mieux que le cinéma à la demande, il y a maintenant le cinéma à la maison !
CINEVR, la première salle de cinéma virtuelle permet de visionner plus de 100 films, en solo ou entre amis, tranquillement installé.e dans le confort de son home sweet home.
CINEVR, vivre l’expérience cinéma à la maison
Et s’il n’y avait plus besoin d’être un VIP au Festival de Cannes pour avoir droit à sa propre projection privée ?
Et si on pouvait de nouveau vivre la magie du cinéma lové.e dans les bras de son amoureux.se ? Ou confortablement installé.e avec ses potes ou sa famille ?
Et si on avait le droit de faire du bruit, de parler et de rire au cinéma ? De voir les films qu’on veut et pas seulement les sorties du moment ?
Parce que le cinéma est une source formidable d’émotions, d’ouverture au monde et d’évasion, CINEVR propose de vivre une expérience unique : le cinéma “comme si vous y étiez”, mais sans la moindre contrainte.
Lancée cet été par CINEMUR, startup française leader en France sur le marché de la réalité virtuelle, CINEVR est une salle de de cinéma 100% virtuelle et immersive pour voir des films 2D, 3D et 360° en solo ou entre amis.
Comment ça marche ?
Tranquillement installé dans son canapé, il suffit de s’équiper d’un casque de réalité virtuelle pour rejoindre chaque soir à 21h une séance de cinéma avec d’autres spectateurs.
Et pour tous ceux.celles qui ont des emplois du temps surchargés, des horaires décalés, ou tout simplement une envie folle de liberté et de moments fun à partager entre amis, CINEVR offre aussi la possibilité de se créer une séance privée à la date et l’heure de son choix. Il ne reste plus qu’à inviter ses amis pour partager de belles émotions ensemble lors d’une séance collective.
Disponibles sur les casques Oculus Go, Oculus Rift S, Samsung Gear VR, HTC Vive dès le lancement, CINEVR sera également disponible d’ici la fin de l’année sur tous les casques de réalité virtuelle du marché.
Pour vivre l’expérience incroyable d’une séance de cinéma à la maison, il suffit de s’inscrire ici : https://cinevr.io/.
Un catalogue riche de plus de 100 films et bien plus encore
CINEVR, c’est le paradis des cinéphiles et des amoureux.ses de culture puisqu’il propose :
des blockbusters quelques mois seulement après leur sortie au cinéma,
des documentaires passionnants,
des court-métrages primés dans les Festivals à travers le monde,
des spectacles vivants,
et toujours plus d’expériences 360° originales des meilleurs studios XR français et internationaux.
Le cinéma à la maison, c’est aussi une ambiance exceptionnelle qui met du “waow” dans les yeux et dans le coeur des spectateurs.
Au-delà de la salle de cinéma, il y a ainsi des salles thématiques en affinité avec les films regardés pour augmenter l’expérience spectateur : une plage sous les cocotiers pour les films romantiques, une maison hantée pour les films d’horreur, un drive-in des 60’s pour les films culte, un vaisseau spatial pour les films de science-fiction et un théâtre antique pour les spectacles vivants.
CINEMUR, le spécialiste de la réalité virtuelle et augmentée
CINEMUR est une agence digitale basée à Paris. Créée et animée par des mordus de cinéma et de divertissement, elle a développé une véritable expertise dans les projets de réalité virtuelle et augmentée.
L’agence est également à l’origine du site cinemur.fr, une mine d’informations et de recommandations sur les meilleurs films à l’affiche au cinéma, à la télévision et sur les plateformes de vidéo à la demande (VOD et SVOD).
L’idée de CINEVR est née de l’intérêt de longue date que l’équipe de CINEMUR porte aux technologies et aux casques de réalité virtuelle.
Vincent Tessier, dirigeant, souligne :
La réalité virtuelle dispose d’un potentiel infini pour créer de nouvelles expériences immersives à fort impact émotionnel pour les utilisateurs.
L’équipe a alors imaginé, conçu et développé CINEVR, une nouvelle expérience du cinéma, digitale, sociale et immersive, pour amener le cinéma à la maison.
Aujourd’hui, CINEVR ambitionne de devenir le cinéma virtuel de référence en Europe : un espace social propice aux rencontres de passionnés du 7ème art, avant-premières, événements en live, festivals mais également un espace communautaire pour créer et animer ses propres séances de cinéma.
A propos de Vincent Tessier
Vincent Tessier dirige la société CINEMUR depuis 2019. Passionné par l’innovation et les possibilités infinies de la réalité virtuelle, il a fortement contribué à développer et monétiser CINEVR.
Animé par le goût des challenges, Vincent a réalisé toute sa carrière dans le secteur des médias, du digital et de la réalité virtuelle.
Après 10 ans de conseil auprès d’opérateurs Télécom et groupes Média au sein du cabinet PricewaterhouseCoopers, il crée en 2007 la première plateforme vidéo UGC Do It Yourself, maTVpratique, disponible sur le web, les mobiles et les TV connectées, qu’il vend au groupe Bertelsmann en 2012.
Il rejoint alors le groupe Prisma Media en tant que Directeur du Développement Vidéo, puis Directeur Marketing Digital (pour les marques Capital, Géo, Ca m’intéresse, National Geographic…) et enfin Directeur des Fusions & Acquisitions.
Vincent Tessier est également membre actif des think tanks AFXR dédiés aux technologies immersives, La Fabrique du Futur, le Media Club et éditeur du media 7×7.press qui étudie l’impact des innovations technologiques sur la société et les tendances futures.
IA BTP, lance un “Robot-Achat” pour améliorer la marge et la productivité des PME du BTP
Alors que les travaux reprennent progressivement partout en France, plus de 360 000 entreprises du BTP doivent désormais rattraper le retard pris durant le confinement et surtout dégager rapidement de la trésorerie.
Pour Xavier Fournet, associé chez KPMG, le BTP peut toutefois devenir “un des maillons forts de la relance de l’économie du pays”, mais à condition d’accélérer la digitalisation du secteur (source).
Les solutions numériques peuvent en effet contribuer à augmenter la compétitivité des PME françaises en leur proposant des outils fonctionnels et économiques, parfaitement adaptés à la réalité de leur métier.
Ainsi, il faut savoir que de nombreuses PME du BTP, dégageant de 1 à 3 millions d’euros de chiffre d’affaires, n’ont pas les moyens de s’offrir les services d’un acheteur (salaire : 35 000 € en moyenne).
Or les achats représentent 35% du CA ! Il s’agit tout simplement du 2ème poste de charges pour l’entreprise. La plupart du temps, faute d’expert dédié, ces fonctions sont réalisées par le Chef d’Entreprise, l’Assistante, le Chargé d’Affaires, ou le Conducteur de Travaux.
En découlent des conséquences désastreuses : dans la mesure où une PME du BTP gère autant de références qu’un supermarché, elle se retrouve dans la difficulté de maîtriser tous ses prix d’achats, et perd beaucoup de temps sur des tâches administratives sans valeur ajoutée.
Dans ce contexte, pour les aider à dégager de la marge et de la productivité, IA BTP, le spécialiste du Génie Electrique et Climatique, lance le premier “Robot-Achat” qui simplifie la vie des entreprises.
Le concept est simple : grâce à la puissance de l’IA, cet assistant achat numérique se charge de toutes les tâches chronophages !
Il permet ainsi à l’entreprise de gagner un temps précieux, pour le commerce, la réalisation des chantiers et surtout les créances clients qui sont la base de la trésorerie.
Il est enfin possible de maîtriser automatiquement les prix de matériel !
Inventé par IA BTP, le premier “Robot Achat” utilise les nouvelles technologies pour proposer aux PME du BTP un véritable assistant achat numérique qui peut permettre de dégager jusqu’à 7% de marge brute.
Le Robot Achat va se charger de :
Analyser les achats,
Détecter les pistes d’améliorations,
Alimenter le catalogue de consommables.
Cet outil “nouvelle génération” est aussi éthique.
Saïd ABIDI, le fondateur, confirme :
Comme nous croyons en une Economie Responsable et Durable, notre solution est respectueuse des fournisseurs locaux, à contre-courant de la mode des Market Place.
Les (grands) petits plus qui font la différence
Lauréat du Réseau Entreprendre Provence en 2020.
IA BTP a développé des solutions adaptées à toutes les tailles d’entreprises, et devient un véritable accélérateur de la Transformation Digitale, en apportant :
Une vision globale des rouages et de l’écosystème du BTP grâce à l’expertise de son fondateur (plus de 20 ans d’expérience en tant que Fabricant-Distributeur-Installateur) ;
Une largeur d’offres, avec des solutions et services uniques sur le marché ;
Une expérience stratégique et opérationnelle multi-métiers : électricité, climatique, plomberie, étanchéité, peinture, éclairage public, entreprise générale, etc. ;
Une forte compétence technologique grâce à la synergie des savoirs des ingénieurs, d’un professeur IA, et d’universitaires.
IA BTP, c’est aussi…
E-catalogue : le service d’achat digital
LeE-catalogue (E Cat) est une plateforme multi-fournisseurs qui regroupe sur un seul et unique site, et en version mobile, toutes les offres des fournisseurs, avec, à la clé, de gros avantages :
les commandes et les réceptions se font en 3 clics,
le rapprochement commande/bon de livraison numérique/facture se fait automatiquement,
l’interface peut être intégrée à un ERP
Grâce à cet outil, les gains administratifs sont de 80 %.
E-Diagnostic : l’audit Achat numérique
Parce que la multiplicité des références et des fournisseurs génère de la surfacturation et fait perdre un temps précieux aux services administratifs & comptables, IA BTP propose un service “Performance Achat” pour identifier les sources d’économies réalisables.
Des outils et des process ultra efficaces permettent en effet de mesurer la performance des achats de l’entreprise, et de fournir une Cartographie des Pistes d’Améliorations pour aider le dirigeant à faire les bons choix avec des éléments factuels.
SOLIDAIRE
Pendant la crise du COVID 19, IA BTP, à décider d’offrir l’Audit aux Entreprises.
Saïd ABIDI, fondateur de IA BTP
Saïd ABIDI découvre le monde de la construction à l’âge de 11 ans en aidant à bâtir la maison familiale située aux pieds des Alpilles en Provence.
Puis à l’adolescence, il choisit tout naturellement ses jobs d’été dans ce milieu en devenant manœuvre pour des maçons et des électriciens.
Après des études techniques et commerciales, Saïd intègre l’univers hyper structuré de la grande distribution agroalimentaire puis celui de la distribution de matériel électrique dans laquelle il occupe des postes stratégiques et participe notamment à la transformation numérique des grands clients.
Durant 20 ans, il se forge une solide expérience au sein des plus grands groupes avant de se lancer en tant que « Consultant Achat » indépendant en 2013 pour accompagner les PME.
Il constate alors que les pertes de temps et de marge sont liées au manque de moyens humains et technologiques, dont sont victimes de nombreuses entreprises.
Il précise :
Je me suis lancé dans un tour de France à la recherche de solutions numériques dédiées aux sociétés sans acheteur… Je n’ai rien trouvé !
Il décide de créer sa propre solution et intègre l’Accélérateur M à la Cité des Savoirs et de l’Innovation Aix–Marseille où il développe des algorithmes permettant de soulager la fonction achat et fonde IA BTP en 2018.
MARSEILLE TERRE D’INNOVATION
L’Ecosystème est très dynamique et la synergie est très forte entre les différents acteurs, ce qui m’a permis d’accéder rapidement à un réseau de compétences et à innover !
En 2020, il crée le premier « Robot-Achat » !
IA BTP ambitionne désormais de contribuer à maintenir une “Economie Locale Responsable”, renforcer les liens entre les installateurs et leurs fournisseurs et accélérer la transformation digitale des entreprises.
C’est pour poursuivre cet objectif de devenir le « Facilitateur » de la filière entre les entreprises et leurs fournisseurs (quelle que soit leur taille) que IA BTP lance cet été son « E-catalogue Intelligent ». Une IA permettra de passer les commandes oralement et de reconnaître les produits via l’appareil photo du Smartphone.
Ces innovations « Made in Marseille » (lauréat du réseau Entreprendre Provence en 2020) sontappelées à se développer en Europe, en Amérique du Sud et en Afrique.
Résolument numérique, fidèle à ses valeurs d’innovation, de convivialité et de partage, SOAT se met en scène.
L’ADN de SOAT, c’est l’alliance des technologies innovantes et du potentiel humain au service des organisations. Née en 2001, la société réalise aujourd’hui un CA de 38 millions d’euros et accompagne plus de 150 clients à la recherche d’expertise dans le développement logiciel. Les Soatiens sont formés aux technologies et méthodologies les plus innovantes pour réussir les projets sur lesquels ils interviennent. Ils forment une tribu dans laquelle les échanges et le partage sont permanents. De la diversité naît la richesse.
SOAT a souhaité réaffirmer sa marque dynamique, innovante et fédératrice, et afficher ses ambitions de développement en s’inspirant des valeurs qui ont fait son succès.
Une nouvelle identité, fruit d’une belle aventure participative
SOAT c’est avant tout un état d’esprit positif et fédérateur, qui valorise une autre vision du numérique.
Son équipe de spécialistes forme une communauté soudée dans laquelle chacun a la liberté d’être soi et d’assumer sa différence. L’idée est de s’appuyer sur la bienveillance et l’écoute pour décupler les performances.
David LEVY, Directeur Associé chez SOAT, souligne :
SOAT a toujours fait le pari de la force du collectif et du partage. Mais attention, nous voulons faire des choses sérieuses sans nous prendre au sérieux !
Alors quand il a fallu définir la nouvelle charte graphique de SOAT, tous les Soatiens ont eu leur mot à dire.
Pour innover, s’inspirer et rassembler, le processus de création a donc été 100% participatif. Il s’est déroulé en 3 étapes :
un questionnaire rempli par tous pour définir les piliers du futur positionnement de SOAT ;
à partir des résultats obtenus et des échanges menés, SOAT a affiné son approche en se rapprochant davantage de ses valeurs fédératrices ;
le design de l’identité a été revu pour s’ajuster à l’évolution de l’entreprise dans une dynamique de renouveau.
Une nouvelle signature qui affirme une vision forte
Avec cette signature, la volonté de SOAT est de fédérer autour d’un idéal et d’affirmer le credo de l’entreprise :
Derrière la complexité de l’outil, le numérique porte une vision, une philosophie et change positivement la vie quotidienne.
Cette nouvelle identité met aussi en exergue les différents métiers de SOAT, reflétant un positionnement exceptionnellement diversifié pour une ESN :
Développement et Architecture : Developer, Tech Lead, Principal Developer, Technical Coach, Architect ;
Data : Data Engineer, Data Scientist, Data Architect
SOAT est en effet spécialisée dans le développement logiciel, l’expertise technologique, le coaching agile et technique, la formation et l’innovation.
Elle offre, grâce aux profils diversifiés de ses consultants, un accompagnement global et sur-mesure, prônant l’innovation et les approches Agile, Craftsmanship et DevOps.
Une success story portée par une culture de l’innovation valorisant l’humain
L’histoire de SOAT prend racine à une époque qui marque le début de la ruée vers le silicium.
Le numérique apparaît comme la solution. Michel AZRIA et David LEVY ont travaillé ensemble à partir de 1990 et se sont passionnés pour le numérique et son formidable pouvoir social.
En 2001, ils créent SOAT avec la volonté farouche de montrer que l’entreprise peut être un lieu de convivialité, d’innovation et de partage.
David LEVY confirme :
L’objectif de SOAT est de faire en sorte que l’entreprise ne soit plus jamais un lieu de contraintes verticales, mais un lieu d’épanouissement personnel, authentique et stimulant. La hiérarchie est plate, il y a une culture de confiance qui crée les conditions d’une ambiance étonnante de bienveillance et d’émulation.
La “Soattitude” peut se résumer en quelques mots : une philosophie qui met l’accent sur l’épanouissement personnel et la progression continue de ses consultants, en favorisant la proximité, l’échange et le partage des connaissances.
SOAT en quelques chiffres-clés
Créée en 2001
300 consultants
202 sessions de formation organisées en 2019
5e dans sa catégorie au classement HappyAtWork en 2018 et 2019
+100 articles de blog et publications en 2019
+100 événements techniques ou ludiques organisés en 2019
Déconfinement et reprise d’activité des entreprises : le digital maîtrisé et l’intelligence collective, deux éléments clés pour accélérer la reprise avec Digispin
Pour beaucoup d’entreprises, la mise en place du confinement le 17 mars dernier et la crise sanitaire ont mis en exergue de nombreuses forces et faiblesses, ainsi que des fragilités et robustesses inattendues.
Alors que certaines ont su, en s’appuyant sur leurs équipes terrain et leurs dirigeants éclairés, anticiper au mieux et aborder la situation dans les meilleures conditions possibles, de très nombreuses autres ont été prises au dépourvu.
Alors que la reprise s’amorce depuis le 11 mai 2020, il est évident que tous les acteurs voudront tirer leur épingle du jeu et relancer au plus vite leur activité.
Dans ce contexte, le Digital est une opportunité extraordinaire pour l’ensemble des PME et des ETI, qui doit cependant être maîtrisée en termes de risques collatéraux et dont la dynamique doit être systématiquement centrée sur l’Humain et donc sur l’amélioration de son quotidien et la prise en compte de ses réticences.
Pour ce faire, Digispin, la Plateforme Intelligente qui démocratise l’accès au conseil et accélère la transformation digitale des PME et ETI, propose d’apporter l’expertise et l’expérience de ses consultants dans 3 domaines d’accompagnement et d’assistance :
S’adapter rapidement et le mieux possible aux contraintes digitales induites par leur écosystème (clients, fournisseurs, administrations…).
Saisir l’opportunité du digital pour augmenter significativement et durablement leur efficacité et la croissance de leurs activités.
Saisir l’opportunité du digital pour réinventer leur modèle d’activité ou leur organisation en concertation avec toutes les parties prenantes (employés, clients…)
Parce que la réussite du déconfinement est un enjeu majeur pour les PME et ETI, Digispin propose de les accompagner pour mettre la révolution numérique au service de cette réussite, en mettant à leur disposition une communauté d’experts certifiés, une relation client-conseil réinventée par le numérique, une approche par projets pilotes, ainsi que des partenariats solutions et financiers innovants.
Accélérer la transformation digitale des PME et des ETI
La crise économique liée à la pandémie de Covid-19 met plus que jamais en lumière le rôle moteur du Digital. Déjà incontournable, il va devenir dans les semaines et les mois qui viennent un avantage compétitif majeur.
Les PME et les ETI qui l’utilisaient déjà ont été clairement plus agiles et résilientes pour maintenir leurs ventes à distance, garder le contact avec leurs clients & fournisseurs, effectuer leurs déclarations administratives (via la dématérialisation des supports) et mettre leurs collaborateurs en télétravail.
Les entreprises qui sont en retard pour l’adopter ont déjà rencontré de grosses difficultés financières pour se maintenir en activité durant le confinement. Or, avec les mesures de distanciation sociale et un reconfinement possible (source), elles ne peuvent plus se permettre d’attendre pour opérer cette transformation stratégique.
Toutes partagent en commun la nécessité de maîtriser leur évolution digitale, en particulier concernant sa dimension intrusive vis-à-vis des libertés individuelles (sécurité des moyens de téléconférence, traçage des personnes contaminantes…).
C’est pour cela que Digispin offre un accompagnement concret, flexible et pratique aux PME et aux ETI. Il s’agit de les aider à adopter rapidement un Digital maîtrisé, centré sur le facteur humain et l’intelligence collective.
Eric Pradier, co-fondateur et associé, souligne :
Nous combinons un modèle d’affaires “digital” (Plateforme d’intermédiation, Marketing Digital, Vente virtuelle..) avec une présence “incarnée” puisque nous sommes aux côtés de nos consultants et de nos clients, en leur apportant une expérience métier très solide (Conseil et Services, Go To Market Digital, Partenariats solutions).
Un accès rapide et guidé à un large panel d’expertise en transformation digitale
Digispin est une plateforme intelligente qui agrège les propositions des meilleurs consultants indépendants certifiés.
Tous mettent en oeuvre des pratiques et des méthodes efficaces et pérennes, 100% personnalisées en fonction des besoins de chaque client. Ils sont d’ailleurs évalués, en toute transparence par les entreprises.
Digispin démocratise ainsi l’accès à 4 domaines de compétences pour réussir à se démarquer dans la période “post-Covid” :
L’Adaptation facilitée
Les PME et les ETI doivent s’adapter au fait que les transactions digitales sont devenues inévitables, car demandées par les clients, les fournisseurs et l’administration. Elles doivent donc traiter au mieux cet impératif, en agissant au bon moment.
L’Efficience augmentée
Il s’agit d’optimiser le temps et la qualité de travail des collaborateurs et d’automatiser les tâches répétitives. Il faut donc mettre en place des outils de pilotage pour suivre de façon dynamique les performances de l’entreprise et ajuster sa stratégie en temps réel.
La Croissance accélérée
Le Digital offre aux entreprises de nouveaux leviers de croissance. La mise en place d’un site internet et des outils digitaux associés permet d’augmenter le potentiel du marché, de trouver de nouveaux clients, d’utiliser les données de façon prédictive pour adresser des campagnes ciblées, et mettre en place de nouveaux canaux de communication avec leurs clients.
La Réinvention concertée
La Digitalisation entraîne des changements de comportements et en particulier quand elle améliore le quotidien de chaque individu. Digispin intervient alors pour accompagner les changements progressifs de modèles d’affaires et de fonctionnement, en concertation dès le départ avec les employés, clients et fournisseurs. Cela permet de réussir la transformation digitale, puisqu’elle va apporter de la valeur à chacun.
Un outil d’auto-évaluation performant pour faire le point en 5 minutes
Pour aider les dirigeants à situer la transformation digitale de leur PME ou ETI, Digispin leur offre un rapport personnalisé sur la maturité digitale de leur entreprise, ses opportunités d’accélération et ses zones de risques. Pour cela, il suffit de réaliser un questionnaire d’auto-évaluation précis de 5 à 7 minutes qui va notamment permettre de déterminer :
la capacité d’adaptation de l’entreprise,
des pistes d’amélioration de son efficience,
des opportunités de croissance,
des moyens pour réinventer l’activité.
L’entreprise est ensuite contactée par un expert de la transformation pour dialoguer autour des solutions à mettre en place.
Investigation, suivie d’une validation du client ;
Phasage, Calendrier et Description des livrables, suivie là encore d’une validation par le client ;
Pilotage de la mise en oeuvre, suive d’une notation par le client.
Des partenariats et solutions innovants
Solutions Logicielles simples à mettre en oeuvre, toutes sélectionnées par Digispin puis proposables par les Consultants après formation spécifique ;
Organismes de financement de projets des PME et ETI et de formation professionnelle (définition d’offres spécifiques « Digispin » proposables par les Consultants Digispin).
Portraits des associés
Alice Coatalem
Alice est diplômée d’un Doctorat en Management de Dauphine.
Elle a plus de 30 ans d’expérience à des postes commerciaux ou de direction générale au niveau Européen dans le secteur IT, incluant Vente à distance, partenariats stratégiques, planification opérationnelle et développement des équipes.
Elle a notamment mis en place et piloté des équipes commerciales importantes, ayant la responsabilité directe de plus de 800 Commerciaux en charge de 1 B$ de ventes.
Experte dans tous les aspects de Stratégie Commerciale et Marché, Alice a également lancé avec succès une activité de Conseil en transformation digitale des ventes et du marketing B2B.
Eric Pradier
Eric a plus de 30 ans d’expérience de Direction Générale dans des Entreprises IT et Telco, incluant des PME innovantes. Il a travaillé durant plus de 15 ans à l’étranger (UK, US, Scandinavie, Benelux).
Il a notamment été en charge du Pilotage et de la Transformation d’Activités, ainsi que d’Equipes de Consulting très importantes (Motorola Global Services WW , Nokia Consulting and System Integration WW, HP Consulting EMEA). Il a aussi été Conseiller et Sponsor engagé auprès de startups en plein essor (Quantcube, AddWorking),
Eric est Expert dans tous les aspects de stratégie digitale dans les secteurs Public et Concurrentiel.
Il a fondé Digispin avec Alice Coatelem en 2018 avec la volonté d’adopter une démarche résolument start-up. Xavier De Grove les a rejoint ensuite.
Eric précise :
Avec Digispin, nous voulons aider les PME et les ETI françaises à relever le défi du Digital. Nous souhaitons aussi accompagner le développement de nouveaux types de salariats, en “col blanc” et fondés sur l’indépendance.
Xavier De Grove
Xavier est Ingénieur A.Ir.Br., titulaire d’un DESS en gestion de la Vrije Universiteit Brussel, d’un diplôme Leadership Digital et Coaching à l’ESSEC, et d’un diplôme Artificial Intelligence au MIT Sloan.
Il a plus de 25 ans d’expérience dans des rôles commerciaux ou de direction générale aux niveaux national, EMEA et Global dans le secteur IT, avec un accent particulier sur le segment PME / ETI et la Gestion des écosystèmes de partenaires.
Xavier a notamment mis en place et piloté des équipes importantes, avec la responsabilité de 600 M€ de CA et la gestion de 3000+ partenaires.
Il est Expert dans la définition et l’exécution de GTM multi-tier ainsi que la création de nouveaux business models rendus possibles par la transformation digitale.
Aujourd’hui, Digispin représente un réseau de plus de 80 consultants certifiés. Elle ambitionne désormais de se développer et de fédérer 300 consultants d’ici la mi-2021. Par la suite, le concept sera étendu à l’international.
Easy Partner lève le voile sur le métier de freelance le 6 février lors du Free Tech Day, son 1er événement gratuit 100 % Tech & Freelance
Alors que tout le monde parle de pénurie de talents dans le numérique et la tech, il faut rappeler une réalité : en 2018, il y a eu en moyenne 1,5 fois plus de candidats que d’offres sur des postes en informatique (source).
Les entreprises cherchent avant tout des compétences et des profils qualifiés. C’est pour cette raison qu’elles sont de plus en plus nombreuses à se tourner vers des freelances : ils apportent une expertise technique doublée d’un savoir-faire éprouvé sur de nombreux projets très différents.
Du côté des indépendants, nombreux sont ceux qui choisissent le Freelancing pour être autonomes, s’organiser librement et trouver des clients qui “matchent” avec leurs attentes (notamment leur envie de se challenger). Mais en parallèle, ils doivent composer avec la réalité de leur nouveau statut : Comment réussir à trouver des missions vraiment intéressantes ? Comment se faire payer ? Quel est le bon statut pour se lancer ?…
C’est pour accompagner cette communauté que le spécialiste du recrutement tech : Easy Partner, organise la première édition du Free Tech Day à Paris le 6 février prochain.
Le “Free Tech Day” : l’afterwork 100 % Tech et Freelance
Pour bien démarrer cette année, les acteurs de la tech ont enfin un rendez-vous pour échanger autour de la réalité de leur métier. Le Free Tech Day c’est l’afterwork dédié aux experts tech et freelances. L’événement se déroulera le 6 février à partir de 18 h 30 en plein cœur de Paris. Ambiance conviviale garantie !
Pour qui ?
Le Free Tech Day, c’est le point de rencontre des développeurs, des architectes, des UX designers, des chefs de projets… en bref, de tous les pros de la tech qui sont freelances ou qui sont sur le point de le devenir.
Comment ça marche ?
Le concept est très simple : grâce à 4 talks d’experts volontairement courts (15 minutes) pour aller à l’essentiel, les participants auront accès à tous les secrets du Freelancing.
Ils découvriront notamment :
le meilleur statut juridique pour les développeurs indépendants ;
des outils performants pour gérer leur comptabilité ;
les bonnes pratiques pour trouver leur prochaine mission ;
les clés pour se faire payer en temps et en heure ;
…
Durant ces ateliers afterworks, des partenaires experts (Qonto et Novaa) interviendront pour apporter leurs connaissances sur toute la partie gestion de l’activité freelance.
Et parce qu’Easy Partner chouchoute sa communauté, chacun(e) pourra poser ses questions et obtenir des informations fiables et concrètes. En bonus, l’apéritif est offert !
Combien ça coûte ?
Rien du tout ! Il suffit de s’inscrire pour pouvoir participer.
Où se déroule le Free Tech Day ?
Dans le 9ème arrondissement de Paris, dans les locaux de leur partenaire Qonto.
Easy Partner, une équipe de 20 Tech addict’s
Easy Partner, c’est une équipe d’agents et de recruteurs expérimentés, spécialisée dans la mise en relation Talent Tech & Entreprise.
Mais pas seulement ! Les 20 tech addict’s de l’équipe, qui forment un mélange assez surprenant, s’engagent véritablement auprès des communautés de développeurs. Ils parlent le même langage qu’eux, comprennent leurs attentes et celles de leurs clients, et ils apportent au quotidien des solutions et outils concrets pour les accompagner.
Ensemble, ils ont développé tout un écosystème dynamique composé d’un collectif de 500 freelances, d’un journal de développeur, d’événements & de meet-up…
Alexandre sait écouter les développeurs, ce qu’ils cherchent dans un poste et surtout sait trouver le poste qui leur convient ! Je suis ravie du poste qu’il m’a trouvé, il correspond parfaitement à ce que je recherchais.
Elsa Villemagne, Lead développeur chez HighCO
La genèse d’une success story
Easy Partner a été fondée à Marseille en 2012 par Julien Broue et Florian Grandvallet. Leur promesse ? Une expertise technique au sein des équipes, une sélection rigoureuse des projets tech et la meilleure des expériences candidats !
Ils ont alors inscrit des valeurs fortes dans l’ADN de leur cabinet :
la performance : le niveau d’exigence est élevé et chacun veut dépasser ses limites.
le respect : les membres d’Easy Partner, bien qu’ayant le même âge, viennent de différents horizons.
le fun : l’équipe travaille dans une très bonne ambiance, avec des challenges réguliers, des jeux et tournois divers (babyfoot, console, etc.), des after works, des ateliers ainsi que des séminaires à l’international.
la récompense : parce que chaque membre de l’équipe participe à la réussite d’Easy Partner, les consultants sont fortement récompensés pour leurs résultats et bénéficient d’incentives réguliers.
Le succès est vite au rendez-vous !
Aujourd’hui, Easy Partner c’est :
Plus de 1 000 recrutements réussis
Deux bureaux en France : à Paris et à Aix-en-Provence
20 collaborateurs
Des clients qui font partie de la crème de la tech et du digital : Les Echos, Adobe, Se Loger, Payfit, LVMH, Vente Privée, Webedia, AlloCiné, BazarChic…
A propos de Laura Peignard, Growth Hacker pour le cabinet Easy Partner
Laura Peignard, titulaire d’un master en journalisme et communication a occupé pendant plus de 3 ans le poste de responsable événementielle pour le leader des web-conférences BtoB, Webikeo. Depuis avril 2019, elle a rejoint la société Easy Partner et est aujourd’hui en charge du développement de la communauté et du positionnement du cabinet.
Elle a eu l’idée du Free Tech Day en s’appuyant sur son expérience dans le monde passionnant de l’événementiel.
Laura confirme :
Nous travaillons avec de nombreux développeurs et startups françaises. Nous considérons qu’il est primordial d’aller à la rencontre de cette belle communauté. Nous avons en effet à cœur d’échanger avec eux et de répondre à toutes les questions qu’ils peuvent se poser sur l’exercice de leur activité en tant que freelance. Cela nous permet également de renforcer nos liens avec eux.
Le format “ateliers” afterwork s’est alors imposé comme une évidence, car c’est celui qui est le plus adapté aux attentes des candidats et consultants freelances.
Easy Partner ambitionne d’organiser ces rendez-vous plusieurs fois dans l’année.
Sortie Livre : “La nouvelle religion du numérique. Le numérique est-il écologique ?” de Florence RODHAIN
La pensée magique accompagne le développement fulgurant du numérique dans nos sociétés.
A l’ère du “tout-numérique”, des réseaux sociaux, du virtuel, du télétravail et du “zéro papier”, la prise de recul n’est plus autorisée.
Pour Florence Rodhain, auteure de plus de 200 publications scientifiques, il y a pire : la pensée dominante voudrait faire croire que le numérique est associé à l’écologie.
Or en réalité, l’industrie des Technologies de l’Information et de la Communication est l’un des secteurs industriels les plus polluants et destructeurs de la planète…
Dans son dernier livre “La nouvelle religion du numérique. Le numérique est-il écologique ?”, co-édité par EMS (Editions Management et Société) et par les éditions Libre & Solidaire, Florence Rodhain se base sur ses propres travaux, ainsi que sur ceux de l’ensemble de la communauté scientifique, pour déconstruire cette pensée magique.
L’engouement pour le “tout numérique”, le résultat de manipulations
Pour Florence Rodhain, Maître de conférences HDR à l’École polytechnique universitaire de Montpellier et co-directrice de l’unité de recherche « Systèmes d’Information » du laboratoire MRM, il ne faut pas se voiler la face : les injonctions à se diriger vers le « tout numérique » sont l’objet de manipulations où les véritables motifs sont cachés.
On cache la tentative de sauvegarder coûte que coûte un système qui nous entraîne vers le chaos, tout comme le fait que l’enfant est désormais considéré comme un consommateur plutôt que comme un apprenant…
Et pour étayer ses propos, l’auteure adopte une démarche pragmatique, rationnelle et très documentée.
Dès l’introduction, avec l’écriture incisive qui la caractérise, elle donne le ton :
De nombreuses écoles au niveau post-bac délivrent une tablette aux étudiants de première année, le plus souvent un iPad. (…). Allez leur dire, preuve à l’appui, que leurs étudiants, désormais, grâce à la tablette gracieusement fournie, passent, sur 1h30 de cours, 25 minutes à jouer, 15 minutes à surfer sur Facebook, 10 minutes à regarder des photos ou vidéos, etc.
Un pamphlet salutaire qui incite à ouvrir les yeux
Voici un court extrait de l’introduction qui donne à réfléchir et appelle à plus de prudence face à l’avènement du numérique, érigé au rang de religion (un thème explicité en profondeur dans la seconde partie de l’ouvrage) :
“Si l’individu est béat devant la beauté des nouvelles icônes religieuses (une jolie pomme rouge par exemple), c’est gagné : la consommation suivra. Les dirigeants ne s’y trompent pas, eux qui poussent les consommateurs à entrer en religion dès l’âge le plus tendre. Ainsi, une pluie d’incitations n’a de cesse de tomber sur les éducateurs dans l’optique de les convertir au numérique. L’argent, comme par miracle, coule à flot dans les écoles, lycées, universités, quand il s’agit d’équiper les classes au tout numérique. Cet afflux de moyens en temps de « crise » est aussi remarquable que la multiplication des pains. Les apôtres du numérique siégeant dans les ministères s’efforcent de former une armée d’abbés chez les enseignants, de l’université à la crèche. C’est bien connu, plus tôt l’esprit est soumis à une doctrine, plus il y a de chance que celle-ci prospère.
La poussée est irrésistible…
Certes…
Est-ce que ce constat doit nous inciter à avancer au pas la bouche ouverte ? Puis avaler l’ostie en baissant les bras et la tête ? Bien au contraire ! C’est un argument supplémentaire pour raison garder. Débusquons les ressorts de l’essor du numérique. Sortons de l’acceptation béate, refusons d’avancer tels des bovidés, fermons la bouche, relevons la tête et surtout ouvrons les yeux.”
Le Sommaire
Remerciements
Introduction
Mode d’emploi : comment lire cet ouvrage ?
Partie 1 - Le numérique est-il écologique ? Courtes chroniques
Chronique 1. Surfer sur l’information, voler en avion : même pollution ?
Chronique 2. Ordinateur pour table. Comment nous mangeons nos PC ?
Chronique 3. « Le Wi-Fi m’a tuer ». Confession d’un spermatozoïde
Chronique 4. Le vocabulaire de la novlangue numérique décrypté : Nuage (cloud) de données. Avis de plafond bas
Chronique 5. Le vocabulaire de la novlangue numérique décrypté : La « société de l’immatériel ». Quand l’immatériel offre matière à réflexion
Chronique 6. Le vocabulaire de la novlangue numérique décrypté : Le « virtuel ». Bienvenue dans la société de matérialisation de la pensée
Chronique 7. Le vocabulaire de la novlangue numérique décrypté : La « dématérialisation ». Les TIC loin de l’antimatière présumée
Chronique 8. Le mythe du « zéro déplacement » : Quand les TIC induisent toujours plus de transport de personnes
Chronique 9. Le mythe du « zéro déplacement » : Pourquoi les TIC ne remplacent pas le déplacement de personnes. 1. Les « effets neutres »
Chronique 10. Le mythe du « zéro déplacement » : Pourquoi les TIC ne remplacent pas le déplacement de personnes. 2. Les « méta-motivations »
Chronique 11. Le mythe du « zéro déplacement » : Pourquoi les TIC ne remplacent pas le déplacement de personnes. 3. Les « effets de complémentarité »
Chronique 12. Le mythe du « zéro déplacement » : Pourquoi les TIC ne remplacent pas le déplacement de personnes. 4. La théorie de la « richesse des médias »
Chronique 13. Le télétravail n’est pas forcément écologique
Chronique 14. Le discours sur l’hyper-sensibilité électromagnétique : entre aveuglement et schizophrénie
Chronique 15. L’hyper-sensibilité électromagnétique : une maladie ? Ou un don ?
Chronique 16. « Zéro papier » : la fin d’un mythe. Avec les TIC, on consomme toujours plus de papier
Chronique 17. Zéro pointé aux prophètes du « zéro papier ». Pourquoi consomme-t-on plus de papier avec les TIC ?
Chronique 18. À vos rames citoyens ! Quand le principal usage du papier n’est pas lié aux impressions, mais aux emballages
Chronique 19. Il faut 30 ans pour amortir une liseuse… Le livre papier plus écologique que le livre numérique
Chronique 20. TIC : premier poste de consommation électrique des Français… à l’insu de leur plein gré
Partie 2 - Contextualisation : la nouvelle religion du numérique
Un discours religieux empreint de mythes, une démarche irrationnelle
Les 10 commandements de la nouvelle religion
La genèse de la nouvelle religion : une injonction à la croissance infinie grâce aux TIC
Des apôtres qui s’approprient les richesses aux dépens des pratiquants
Les curés du numérique : faites ce que je dis, pas ce que je fais
La laïcité numérique est-elle possible quand le pouvoir étatique s’affaiblit face aux géants du numérique ?
Nos enfants tenus à se faire baptiser le plus tôt possible à coups de biométrie
Avalez l’ostie, dites Amen, respectez les 10 commandements, et attendez sagement l’extrême onction
Conclusion : Se réveiller, penser, résister, oser l’hérésie
Postface : Ouvrir les yeux et prendre le risque de tourner le regard vers l’intérieur
Portrait de Florence Rodhain, l’auteure
Florence Rodhain est docteure en Systèmes d’Information, Maître de conférences HDR à l’École polytechnique universitaire de Montpellier et co-directrice de l’unité de recherche « Systèmes d’Information » du laboratoire MRM.
Auteure de plus de 200 publications scientifiques, elle a vécu et travaillé dans différents pays sur tous les continents, où elle a pu investiguer la question de l’incidence du numérique sur les écosystèmes, également en tant que membre du comité d’éthique de l’IRD jusqu’en 2018. Elle a encadré et fait soutenir plusieurs thèses de doctorat sur le sujet.
A propos des Editions EMS
EMS (Editions Management et Société) est une maison d’édition reconnue qui publie des ouvrages de management-gestion depuis 1997 sous différentes formes : livres, cas pédagogiques, contenus gratuits, thèses, mémoires, etc.
Elle propose notamment la collection “Versus”, dirigée par Eric REMY, qui a pour objectif de débattre des questions et controverses que les organisations et leur gestion posent à l’ensemble de la société. Pour ce faire, Versus rassemble un ensemble d’ouvrages pluridisciplinaires ayant pour objet de mettre au jour et donner à voir des ruptures et alternatives possibles à la pensée managériale.
A ce titre, les auteurs de ces ouvrages peuvent engager des discussions sur les fondamentaux des sciences de gestion, développer des réflexions sur les principes et les pratiques du management, présenter de nouveaux rapports au terrain afin d’appréhender la complexité organisationnelle. En sorte, se dresser face à une certaine orthodoxie managériale en proposant des sorties de cadre fertiles, en permettant l’émergence de voix constructives à la gestion des organisations…
Les éditions EMS publient chaque année 30 nouveaux titres.
Informations pratiques
“La nouvelle religion du numérique. Le numérique est-il écologique ?” de Florence Rodhain
Collection “Versus”
Année de parution : 2019
132 pages
Format 140 x 205
Tarif : 10,90 € en format papier, 6,99 € en e-book
ISBN 978-2-37687-292-4
Il y a urgence à passer de l’ère de la sécurité à celle de la cybersécurité, selon Nicolas J. Lecocq, expert du digital et du secteur IT
L’explosion des technologies numériques change complètement la donne en matière de sécurité informatique dans les entreprises.
Avant, il était possible d’avoir un mode de fonctionnement basé sur la réaction à posteriori : lorsqu’une faille était identifiée, il suffisait de rajouter un complément de sécurité afin de bénéficier d’une protection efficace. C’était un peu, comme si les responsables informatiques se contentaient d’agir comme des détecteurs de mouvements dans une salle.
Aujourd’hui, à l’époque du “tout digital”, il est primordial d’adopter une autre approche ! Parler simplement de sécurité est devenu obsolète, puisque nous sommes déjà entrés dans l’ère de la cybersécurité et de la cyberdéfense.
Mais comment faire accepter les dépenses de cybersécurité aux directeurs financiers, et aux dirigeants qui considèrent la plupart du temps cet investissement injustifié, voire impossible à réaliser ?
Beaucoup de chefs de PME, et même de grandes entreprises, considèrent le monde du digital comme un risque trop coûteux, un univers incompatible avec la sécurité et souvent sans connaître leur ratio risque sur bénéfice.
Nicolas J. Lecocq, Senior IT Executive et spécialiste reconnu dans le domaine des nouvelles technologies et celui du digital, préconise d’adopter une approche “top down”.
L’idée est de phaser sa démarche, de partir de l’existant pour le transformer par étapes, afin de limiter les coûts et de gagner en efficacité.
1) Faire le point de la situation
Il faut avoir une vision claire de la situation de l’entreprise à chaque instant, avant d’envisager d’agir, il est important de se rendre compte que l’on ne peut protéger que ce que l’on connaît. Par exemple, une étude a montré que 68% des employés ont conscience de détenir des données critiques… mais, ils ne savent pas lesquelles, ni comment les protéger.
Il est extrêmement important de faire un inventaire (et le tenir à jour) de l’ensemble, et pas seulement des composants techniques, en incluant notamment les fournisseurs, les contrats/SLA, les utilisateurs, les clients cibles, de même que les librairies source (Open ou non), des codes, des données, des flux, et de l’ensemble des infrastructures (liste non exhaustives).
Au-delà de l’inventaire il est impératif de connaître la criticité de ses assets. Il est évident que l’on ne protège pas les informations de la même manière qu’elles soient « publiques » ou « sensibles/secrètes » de même que le coût de reconstruction, qu’il soit faible ou onéreux.
Finalement, il faut rester au courant de ce qui se passe et des tendances dans le monde de la cybersécurité. En effet, les solutions d’aujourd’hui risque de devenir obsolètes demain.
2) Identifier ses vulnérabilités
Quelles sont les données sensibles à protéger ? Quels sont les éléments susceptibles de fragiliser leur sécurité et leur confidentialité ? Dans la mesure, où chaque entreprise à ses forces et ses faiblesses, il est important de dresser un bilan objectif et exhaustif.
Exemple : une entreprise qui a des difficultés financières et qui risque une OPA hostile est nettement plus exposée qu’une entreprise ayant des bases solides.
3) Déterminer les risques
La question n’est pas de savoir s’il y a des risques, mais, de repérer lesquels. Les failles potentielles sont partout, personne ne peut se considérer à l’abri. Par exemple, en 2015, des chercheurs ont montré avec quelle facilité, il était possible de pirater un réfrigérateur connecté afin d’obtenir tous les comptes Google de la famille ! (Source)
On définit les risques sur une matrice Probabilité sur Sévérité pour avoir une vision claire des risques.
Nicolas J. Lecocq souligne :
Toutes les technologies que nous utilisons au quotidien augmentent les surfaces d’attaque. Il faut donc commencer par cerner les risques inhérents à chacun de ces éléments : les comptes étendus, les personnes à forte mobilité, les datacenters « On-premise », le cloud, les appareils connectés (IoT), …, sont tous potentiellement des ouvertures pour des attaques, on parle alors d’augmentation de la surface d’attaque. Plus elle est grande, plus les risques sont grands.
4) Identifier les sources Cyber d’informations
Avoir la connaissance de son environnement, de ses propres vulnérabilités et des risques inhérents est déjà une base solide, surtout si on ne met pas en place des solutions « sur étagère ». Ce type de solution « constructeur » nécessite d’autres sources d’information pour connaître leurs vulnérabilités. On peut facilement se dire que le site de la solution fournit l’information nécessaire et bien pas forcément. Donc, il faut s’abonner à des sources fiables d’information de sécurité telles que OWASP, ANSSI, US-CERT (CISA), …
5) Monitoring, remontée d’alerte et analyse
Quand et à quelle fréquence. On pourrait être fortement surpris du nombre de tentatives d’attaque par seconde. Il est nécessaire de le mettre en valeur. En effet, il est difficile de justifier des contre-mesures si on ne peut mettre en avant les sources et les fréquences des attaques. Il faut garder à l’esprit que dans l’aire de la cybersécurité, cyberdéfense, les hackers ont plus que jamais un temps d’avance notamment avec l’utilisation des nouvelles technologies digitales, tel que le deep learning et l’intelligence artificielle.
Pour illustrer le besoin de monitoring, en 2018 un organisme attaché à l’ONU s’est rendu compte d’un piratage massif qui était latent depuis 2 ans et qui a permis aux hackers d’accéder aux données privées des membres affiliées à cet organisme directement. (Source)
6) Mettre en place des contre-mesures globales
Il est nécessaire d’évaluer la probabilité que le risque puisse survenir et de mettre ensuite en place des correctifs adaptés.
Tout l’enjeu est de ne pas se focaliser uniquement sur le risque technique ou celui lié à la protection des données, comme les responsables IT ont tendance à le faire. La notion de risque doit être appréhendée de façon globale, car les conséquences d’un piratage sont nombreuses. La perte de crédibilité par exemple, aux conséquences très lourdes pour l’entreprise doit aussi être qualifiée, sans compter les amendes importantes que l’entreprise risque en cas de perte de données.
7) Passer à une culture de la cybersécurité dans l’entreprise
Si, les six étapes précédentes suffisent à rassurer les directeurs financiers concernant les dépenses de sécurité, il est capital d’aller beaucoup plus loin en travaillant sur deux axes majeurs : la “security by design” et la “security by awareness”, en d’autres termes mettre en place une culture de protection et de prévention.
La “security by design” consiste à intégrer la sécurité dès la conception d’une solution (un logiciel, une application, un objet connecté, un site web…). Chaque groupe IT et chaque développeur a la responsabilité de protéger les données et la solution.
La “security by avareness” met quant à elle l’accent sur la pédagogie et sur la formation. Chaque acteur de l’entreprise (y compris les stagiaires, les externes, les fournisseurs et même les clients) doit avoir les bons réflexes lorsqu’il est en présence de situations à risque. Il faut sensibiliser à la cybersécurité et aux conséquences potentielles liées à certains comportements car le maillon faible de la protection des données est et restera le facteur humain. Par exemple, il y a deux ans au Royaume-Uni, une grosse attaque de type “ransomware” a paralysé plusieurs hôpitaux tout simplement parce qu’un membre du personnel avait cliqué sur un email frauduleux. (Source)
Nicolas J. Lecocq précise :
Quand il y a un état d’esprit dans l’entreprise centré sur la cybersécurité, il est beaucoup plus simple ensuite de définir et d’appliquer les mesures de protection nécessaires, ainsi que de calculer le retour sur investissement.
A propos de Nicolas J. Lecocq, expert des nouvelles technologies
Nicolas J. Lecocq est Senior IT Executive avec plus de 30 ans d’expérience dans la création de solutions innovantes (architecture d’entreprises, sécurité, infrastructures, applications, gestion de projets et de programmes, …).
Il a collaboré à l’international avec les plus grands groupes (Atos, Accenture, Cognizant Technology, Wipro Technologies, UBS, entreprises du Fortune 500 …) et géré des budgets de plusieurs millions de dollars.
Nicolas J. Lecocq dispose notamment de compétences en gestion, en marketing et en comptabilité qui lui permettent d’améliorer l’efficacité des programmes ou projets de 30%, de réduire les risques ainsi que de diminuer l’ensemble des coûts des programmes de transition et de transformation.
Sécurité et risques du monde digital : Bilan d’une situation explosive selon Nicolas J. Lecocq, expert du digital et du secteur IT
Alors que l’univers du numérique évolue à la vitesse de la lumière, le domaine de la sécurité semble être resté à l’âge de pierre.
Nous en sommes désormais à l’ère du “machine learning” : grâce à l’intelligence artificielle, les appareils numériques ne se contentent plus d’appliquer des programmes, ils “apprennent” automatiquement à partir de données pour améliorer leurs performances. Ils deviennent ainsi capables de résoudre certaines tâches pour lesquelles ils n’ont pas été explicitement programmés.
Cette technologie présentant de nombreux avantage, elle n’est cependant pas sans risques. Les machines analysant plus vite que l’humain, celles-ci vont reproduire et traiter les données plus rapidement, ce qui peut mettre à mal tous les systèmes de sécurité basés sur les interventions humaines.
Nicolas J. Lecocq, Senior IT Executive et spécialiste reconnu dans le domaine des nouvelles technologies et celui du digital, souligne :
Désormais, le maillon le plus faible peut potentiellement faire casser toute la chaîne de sécurité ! La méthodologie ayant changé, le temps des grosses applications monolithiques est révolu. Aujourd’hui, nous faisons face à des micro-services qu’il faut sécuriser de bout en bout.
Une nouvelle génération des systèmes de Security Centers
Pour être réellement efficaces, les systèmes de Security Centers doivent passer à la vitesse supérieure.
Cela suppose notamment de mettre en place :
Un monitoring et de la gestion événementielle pour surveiller les variations de l’activité informatique
Une technologie de pointe, pour avoir des outils aussi performants que ceux des hackers
Une détection des failles via l’intelligence artificielle (IA)
Une politique d’anticipation : il faut être capable de faire du prédictif ! Ainsi, en fonction des événements, il est possible de se préparer à l’avance à une recrudescence sur certains sites. Imaginons par exemple une OPA d’une entreprise A sur une entreprise B. Dans ce cas, il y a aura une augmentation des attaques sur l’entreprise B.
Dans ce contexte, les professionnels du développement applicatif vont devoir s’adapter. Une nouvelle discipline va ainsi voir le jour car la sécurité ne sera plus rajoutée a posteriori, mais incluse dans le code dès le départ.
Etant donné que chaque application est désormais accessible au plus grand nombre, il est indispensable de vérifier chaque étape de l’infrastructure, y compris côté utilisateur, pour s’assurer que tous les modèles de sécurité ont été intégrés.
La sécurité : un facteur-clé de compétitivité
Plus le développement est compliqué, plus le coût est élevé. Surtout que la sécurité ne s’arrête pas à la conception de l’application !
Prenons l’exemple d’un process standard. Un prestataire tiers va se charger de sécuriser l’ensemble des chaînes de développement, d’infrastructures, etc… Les coûts de maintenance et de tests…, risquent d’impacter le budget sécurité de l’entreprise.
Lorsque l’ensemble du process est validé, la veille sécuritaire peut alors être mise en place. Malheureusement, les entreprises choisissent d’ignorer cet aspect par méconnaissance des risques ou par volonté de limiter les dépenses.
Il s’agit pourtant d’un très mauvais calcul financier et stratégique ! Tous les dirigeants doivent garder à l’esprit qu’un outil sécurisé aujourd’hui sera peut-être truffé de failles demain.
De plus, au-delà des risques liés à la perte de données (notamment juridiques et économiques), il y a un vrai danger concernant la perte de la crédibilité et de la réputation de l’entreprise. Subir une attaque entraînant la perte de données est préjudiciable sur le long terme puisqu’il est excessivement difficile de restaurer une relation de confiance avec ses clients et partenaires.
A titre d’exemple, tout le monde a encore en mémoire les récents scandales qui ont touché Facebook (entre autres) et concernant environ 50 millions de comptes ayant été affectés suite à une faille de sécurité (source). Les grosses structures ne sont pourtant pas les seules visées.
Plus vulnérables, les PME sont aussi des cibles privilégiées des hackers, celles-ci n’ayant pas les mêmes moyens financiers qu’une grande entreprise, il leur est difficile après une attaque de re-séduire leurs clients ainsi que redorer leur image.
Dès 2019 et dans les années à venir, la sécurité des données (de A à Z) va donc devenir un sujet majeur qui déterminera la compétitivité des entreprises françaises.
A propos de Nicolas J. Lecocq, expert des nouvelles technologies
Nicolas J. Lecocq est Senior IT Executive avec plus de 30 ans d’expérience dans la création de solutions innovantes (architecture d’entreprises, sécurité, infrastructures, applications , gestion de projets et de programmes, …).
Il a collaboré à l’international avec les plus grands groupes (Atos, Accenture, Cognizant Technology, Wipro Technologies, UBS, entreprises du Fortune 500 …) et géré des budgets de plusieurs millions de dollars.
Nicolas J. Lecocq dispose notamment de compétences en gestion, en marketing et en comptabilité qui lui permettent d’améliorer l’efficacité des programmes ou projets de 30%, de réduire les risques ainsi que de diminuer l’ensemble des coûts des programmes de transition et de transformation.
Numérique : les 3 défis que la France doit relever en 2019 selon Nicolas J. Lecocq, expert du digital et du secteur IT
Le monde du digital est en perpétuel changement et évolue à une vitesse impressionnante. La dernière nouveauté de rupture est à peine assimilée qu’une nouvelle vient la remplacer.
Cette évolution rapide représente une véritable compétition pour les entreprises en termes d’adaptation. En effet, il faut suivre le rythme et rester à la pointe de la technologie pour ne pas se faire déborder par la concurrence.
Plus encore que l’appréhension des nouvelles technologies, de l’outil en lui-même, c’est le changement économique et organisationnel lié à cette évolution qui représente pour elles un véritable défi.
Nicolas J. Lecocq, Senior IT Executive et spécialiste reconnu dans le domaine des nouvelles technologies et celui du digital, sensibilise aux 3 défis que doit relever la France en 2019 pour ne pas prendre de retard par rapport aux plus gros acteurs du domaine (États-Unis et Asie).
1) La mutation des ressources humaines
La Quatrième révolution industrielle, autrement dit la révolution numérique, transforme la façon de travailler en profondeur en gommant les frontières entre les sphères physiques et virtuelles. Les innovations se succèdent à une vitesse exponentielle et tous les secteurs d’activités sont bouleversés.
L’enjeu principal est d’appréhender ce changement de façon globale. Dans les entreprises, le grand challenge n’est pas la technologie mais l’organisation ! Il est urgent de comprendre que le modèle économique doit être revu en profondeur.
Les acteurs de l’économie en Europe ont trop souvent tendance à créer une division digitale sans forcément penser que c’est l’ensemble du modèle qui doit être revu pour permettre la réussite de cette révolution. Le focus doit également se faire sur le client et non pas sur le produit ou service, sans quoi cela va inévitablement résulter en un échec.
Prenons un exemple. Avant, pour développer un site web, il suffisait de faire appel à un chef de projet et à un développeur qui vous livraient un outil fini et prêt à fonctionner. Désormais, la tendance est à une collaboration sur un mode itératif : on part d’un outil imparfait, comportant des erreurs, puis on corrige les bugs tout en améliorant le produit pour satisfaire les clients.
Nicolas J. Lecocq souligne :
Pour que les entreprises françaises puissent être des acteurs crédibles du monde numérique, elles devront changer leur façon de fonctionner ! Pour ne pas prendre de retard face aux Etats-Unis et à l’Asie, il faut introduire de l’agilité et faire travailler les équipes de façon transversale. Cette transformation sera plus difficile à mettre en place dans les entreprises très hiérarchisées, mais elle est pourtant fondamentale.
2) Le SCRUM, le nouveau secteur qui recrute
La conséquence logique de la mutation organisationnelle des entreprises est la nécessité d’anticiper à tous les niveaux ses nouveaux besoins en compétences.
En période de crise économique et de chômage, le SCRUM (la gestion de projets et notamment le développement de logiciels) apparaît dorénavant comme le secteur qui recrute. Dans les années à venir, la recherche de profils qualifiés va être de plus en plus importante car il s’agit d’un facteur clé de compétitivité pour toutes les structures.
A titre d’exemple, il faut savoir que dès 2011 l’Observatoire des projets stratégiques a montré que le taux de réussite des projets de développement logiciel atteignait 42% avec les méthodes AGILE contre 14% avec les modèles classiques (source).
Nicolas J. Lecocq précise :
Ma longue expérience à l’étranger m’a appris que la France a de réels atouts pour réussir cette transition. Aucun pays ne dispose d’une recette miracle, il y a de bonnes choses et de moins bonnes partout. Notre environnement culturel et politique se caractérise par un frein au changement très fort mais cet obstacle peut être surmonté. La France dispose d’une grande créativité, d’une indépendance et d’un esprit d’entreprise qui lui permettent de trouver ses propres solutions. A nous d’agir maintenant pour ne pas être dépassés demain !
Le PO (Product Owner) qui a une place particulière de passerelle vers le business et les clients, est également un secteur qui recrute. Malheureusement cette position est difficile à pourvoir dans la mesure où cela demande des compétences AGILE mais aussi une bonne connaissance de ses interlocuteurs et de leurs métiers et cela représente parfois un vrai casse-tête.
3) La nécessaire prise en compte des failles de sécurité
En 2019, la sécurité va représenter un des défis majeurs des entreprises. Elles ne peuvent plus se contenter de lancer toujours plus de projets digitaux (sites web, applications, logiciels…) sans intégrer les risques et les éventuelles failles.
Aux balbutiements d’Internet, la sécurisation était relativement simple puisqu’il suffisait de protéger l’unique accès physique donnant un accès au web. Désormais, la situation est radicalement différente : l’information est visible partout et les données sont stockées dans des datacenters disséminés partout dans le monde. Les risques se sont donc multipliés mais les entreprises ne prennent que rarement le temps d’analyser ces enjeux pour apporter une réponse satisfaisante.
Les dirigeants ont souvent l’impression que leur responsabilité est plus floue et qu’elle est partagée avec les géants du web diffusant ou stockant les informations. Mais la réalité est radicalement différente !
Il existe d’ailleurs en Europe une certaine défiance vis-à-vis des acteurs majeurs des plateformes digitales majoritairement américaines. C’est pourquoi la sécurité est d’autant plus importante, ses acteurs peuvent avoir accès aux données personnelles. Malheureusement les initiatives européennes concurrentielle sont marginales et peu pérennes.
Nicolas J. Lecocq confirme :
Pour faire simple, il est possible de faire une comparaison avec la colocation. Avant, vous étiez l’unique locataire, voire le propriétaire, donc vous étiez le seul à connaître la valeur de vos biens et à connaître les risques. Maintenant, vous êtes en colocation ! S’il n’y a pas une remise en question en amont, il peut y avoir de grosses failles de sécurité : personne n’aura la responsabilité de verrouiller la porte, un colocataire peut laisser entrer des personnes que vous ne connaissez pas…
A propos de Nicolas J. Lecocq, expert des nouvelles technologies
Nicolas J. Lecocq est Senior IT Executive avec plus de 30 ans d’expérience dans la création de solutions innovantes (architecture d’entreprise, sécurité, infrastructures, application, gestion de projets et de programmes, …).
Il a collaboré à l’international avec les plus grands groupes (Atos, Accenture, Cognizant Technology, Wipro Technologies, UBS, entreprises du Fortune 500 …) et géré des budgets de plusieurs millions de dollars.
Nicolas J. Lecocq dispose notamment de compétences en gestion, en marketing et en comptabilité qui lui permettent d’améliorer l’efficacité des programmes ou projets de 30%, de réduire les risques ainsi que de diminuer l’ensemble des coûts des programmes de transition et de transformation.
Faire payer son service uniquement s’il est réussi : le pari de RankToPay
Aujourd’hui encore, le numérique fait peur aux petites entreprises. Alors que 85% des Français ont accès à Internet et que 74% l’utilisent tous les jours (source), seuls les grands groupes et les start-ups ont massivement profité de l’explosion du digital.
Les TPE et PME françaises sont à la traîne : 42% des entreprises ayant moins de 50 salariés et 75% de celles ayant moins de 10 salariés disposent d’un site internet (source : Baromètre Opinionway-Priceminister La Poste – octobre 2014).
La France se classe seulement au 16ème rang en Europe concernant la digitalisation de ses entreprises (c’est à dire avoir un site web, un blog, ou une page sur les réseaux sociaux), avec ce que cela implique en termes de compétitivité.
En effet, l’e-commerce génère déjà 70 milliards de chiffre d’affaires et il a créé plus de 100 000 emplois en 2016. D’ici à cinq ans, un quart des achats seront effectués en ligne ! (source) Et au-delà des ventes en ligne, il ne se passe pas une journée sans que les Français fassent une recherche sur Google ou sur les réseaux sociaux.
Dans ce contexte, comment réussir à convaincre les TPE/PME de développer leur présence en ligne et de se donner les moyens de réussir ?
Parmi les principales craintes des dirigeants, il y a la peur de ne pas savoir comment s’y prendre pour donner de la visibilité à leur site Internet et la peur de devoir investir beaucoup pour obtenir au final de piètres résultats.
Dans ce contexte, Jean-Baptiste Gayet, le fondateur de RankToPay, a décidé d’innover en cassant tous les codes liés au référencement !
RankToPay a en effet choisi de miser sur la transparence en proposant à ses clients de ne payer le service rendu que s’il est réussi.
Ce service clé-en-mains est particulièrement complet et novateur puisqu’il inclut :
Un audit complet, gratuit et sans engagement : il s’agit d’analyser l’optimisation actuelle du site web sur un mot clé donné et de voir s’il est possible d’améliorer son positionnement
Des conseils d’expert sur la stratégie à adopter et les mots-clés à choisir
Un paiement uniquement aux résultats : le tarif est connu à l’avance et le client ne paie que si les résultats sont obtenus
Des tarifs attractifs : par exemple 150€ HT pour être en première position sur Google et sur YouTube
Un blog en accès libre pour se familiariser et se former au référencement
RankToPay : Être visible sur le web sans prendre le moindre risque
Internet est un univers que les dirigeants de petites entreprises françaises ne maîtrisent pas.
Lorsqu’ils se lancent en ligne, ils commettent alors fréquemment trois erreurs :
croire que leur site web va être visible et bien positionné sur les moteurs de recherche du seul fait de son existence
faire naïvement confiance à des prestataires peu scrupuleux (certains se font passer pour des “anciens” de chez Google, d’autres vendent très cher un service inexistant)
ne pas oser faire appel à un prestataire par crainte d’avoir à payer un tarif prohibitif
Avec RankToPay, cette situation appartient désormais au passé !
Pour redonner confiance aux dirigeants, RankToPay s’engage sur les résultats obtenus.
Alors que les autres agences font payer un abonnement mensuel sans offrir la moindre garantie, RankToPay affiche des tarifs attractifs et clairs à payer uniquement si le site web améliore son positionnement sur Google et YouTube via du référencement naturel : 150 € HT pour la première position sur la première page, 145 € HT pour la deuxième position, 140 € HT pour la troisième etc…
Il n’y a aucune surprise, tout est défini à l’avance avec le client (mots clés, positionnement visé, prix…).
Des conseils et de la transparence de A à Z
Pour que la relation avec ses clients débute sur de bonnes bases, RankToPay offre gratuitement un audit complet et sans engagement qui détaille les faiblesses du site web, ses niveaux de performances techniques, ses bonnes pratiques, l’ergonomie pour les utilisateurs….. De plus, le positionnement du site est également analysé pour présenter une vision actualisée de toutes les pages en fonction des mots-clés retenus.
Jean-Baptiste Gayet souligne :
Il s’agit de déterminer d’où l’on part pour savoir exactement où on veut arriver !
A partir de là, RankToPay effectue des recommandations de mots-clés et des objectifs de positionnement.
En parallèle, un blog permet à tous les dirigeants qui le souhaitent de se familiariser avec le référencement. Ils peuvent ainsi apprendre comment personnaliser leurs vidéos, comment découvrir le profil des visiteurs de leur site, comment obtenir davantage de visiteurs…
Optimiser son site web soi-même ou se faire aider
Pour être bien placé dans les moteurs de recherche, un site doit être correctement optimisé. Si ce n’est pas le cas, il faut effectuer certaines actions correctrices avant de travailler au référencement.
Pour que chacun puisse savoir à quoi s’en tenir, RankToPay propose un simulateur d’optimisation afin de déterminer :
si le client peut optimiser son site web lui-même (tarif : 160 € HT) grâce aux 10 rapports d’optimisation le guidant pas-à-pas
si RankToPay doit intervenir (tarif : 480 € HT). Dans ce cas le client suit le travail via la console de suivi et bénéficie notamment de rapports d’optimisation illimités.
A propos de Jean-Basptiste Gayet, le fondateur de RankToPay
Jean-Baptiste Gayet est un entrepreneur-né !
Ingénieur R&D durant 11 ans chez Orange, il a fondé sa première société en 1992 pour lancer l’un des premiers sites français marchand de jeux et jouets éducatifs (teachandtoys.com) qui sera racheté par la suite par alapage.com.
Fin 2009, profitant d’un essaimage de la R&D d’Orange, Jean-Baptiste crée sa seconde société, GLG Développement, axée sur le développement de services web générateurs de leads. (glgdev.fr, visitezmoi.fr, scan-and-scratch.fr, etc.).
Durant ces années au service des PME et des TPE, il constate les difficultés que les dirigeants français ont pour appréhender tout le potentiel mais aussi tous les enjeux d’Internet.
Jean-Baptiste confirme :
Trop peu de responsables d’entreprise prenaient en compte l’importance d’avoir un site web, et quand ils en avaient un, l’importance que celui-ci soit optimisé pour être bien référencé.
Il cherche alors une solution qui soit à la fois efficace, économique, et rassurante pour ses clients : le concept RankToPay vient de naître ! Lancé début 2017, RankToPay est un service d’optimisation et de référencement de sites internet, facturable uniquement aux résultats. Jean-Baptiste prend en effet un engagement fort : si le site de ses clients n’est pas correctement référencé sur Google/YouTube, il n’y a rien à payer !
Très dynamique, RankToPay projette d’augmenter sa gamme de services, en proposant notamment la gestion de communiqués de presse.
Création de sites internet & Projets digitaux : Appliweb Solutions, la qualité française 30% moins chère
Les PME et TPE jouent aujourd’hui un rôle important dans le tissu économique français. Le dynamisme économique de ces très petites et moyennes entreprises atteint aujourd’hui celui des grandes entreprises. En effet, la valeur ajoutée apportée par ces petites structures ainsi que leurs efforts en matière de recherche et développement représentent une part majeure dans l’économie française. La France compte 3,1 millions de TPE et PME, soit 99,8 % du nombre total d’entreprises.
Or, les PME et TPE ne disposent pas d’autant de moyens que les grandes entreprises. Elles ressentent bien souvent le besoin de faire appel à des prestataires extérieurs, soit pour compléter leur savoir-faire, soit pour structurer et mener des projets requérant des compétences pointues ainsi qu’une très rapide vitesse de production. Cependant, le coût de ces services recherchés est généralement trop élevé pour ces petites structures.
C’est dans ce contexte que Wendy Pailloux et Mohamed El Farik ont créé en 2016 l’agence web française offshore appelée Appliweb Solutions.
C’est après cinq années d’études à l’international que ces deux Français mettent en place cette agence pour accompagner de A à Z les PME et TPE, aussi bien dans leur stratégie que dans leur communication digitale. Une dizaine d’ingénieurs informatiques s’occupe avec eux de répondre aux besoins des clients dans tous leurs projets digitaux : création de site internet, SEO…
Tout d’abord installés en région Parisienne, ils ont décidé de s’implanter en Tunisie. Cette maîtrise des coûts et les infrastructures du pays permettent à Appliweb Solutions d’offrir des services à des prix 30% moins chers que ceux de la concurrence.
A ce prix, les clients bénéficient des services de collaborateurs hautement diplômés, et Appliweb Solutions garantit à ses clients un service français de qualité à un prix très accessible.
Appliweb Solutions : la qualité française à des tarifs de 30 à 50% moins chers
Lorsque les TPE et les PME françaises souhaitent externaliser la création de leurs éléments de communication digitale (site Internet, logo, réseaux sociaux, application….), elles sont confrontées à une situation cauchemardesque :
- soit elles font appel à une agence basée sur notre territoire mais dans ce cas l’investissement financier demandé impacte lourdement leur trésorerie. Elles sont alors souvent contraintes de renoncer à leurs projets, ou de les différer, ce qui nuit à leur compétitivité
- soit elles font appel à une agence offshore pour bénéficier de tarifs low cost, mais elles font alors face à d’autres problèmes : la barrière de la langue empêche une bonne compréhension de leurs besoins et exigences, et le travail n’est pas toujours effectué dans les règles de l’art….
Dans ce contexte, Wendy Pailloux et Mohamed El Farik ont décidé de lancer Appliweb Solutions, l’agence web française offshore qui permet à toutes les entreprises de profiter de tarifs de 30 à 50% moins chers.
Appliweb Solutions intervient :
auprès des TPE et des PME pour des prestations de création web (avec et sans CMS), de communication (éléments graphiques et vidéos), et de stratégie média
auprès d’autres professionnels du Web en tant que sous-traitant
Appliweb Solutions permet de bénéficier des tarifs d’une agence offshore sans avoir à en subir les inconvénients !
Par rapport aux agences basées en Europe mais aussi dans les pays du Maghreb, les TPE et les PME françaises peuvent réaliser des économies significatives (de 30 à 50 %).
Mais elles ont aussi tous les avantages d’une agence française :
le service client est disponible et à l’écoute
il n’y a plus de problèmes liés à la barrière de la langue
le travail fourni est de qualité irréprochable
Appliweb Solutions va encore plus loin en proposant la meilleure des garanties à tous ses clients : les projets ne sont facturés qu’au moment de leur livraison définitive ! Il n’y a ainsi plus aucun risque d’avoir une mauvaise surprise…
Thomas Bouvry, co-fondateur de Comptoir et Saveurs, témoigne :
Prestataire très professionnel. Très réactif, toujours disponible. Résultat plus que satisfaisant, je recommande.
Un accompagnement de A à Z en communication et en stratégie de développement
Appliweb Solutions est une agence à taille humaine et qui a vocation à le rester !
Aujourd’hui, nous comptons une dizaine de collaborateurs sur des domaines bien précis : ingénieurs informatiques, développeurs et graphistes.
L’agence peut ainsi intervenir avec efficacité pour proposer un véritable accompagnement de A à Z, tant en communication digitale qu’en stratégie de développement :
stratégie globale et conquête de nouveaux marchés : choix de l’audience, choix des réseaux sociaux, community management (animation des pages, création de jeux concours, optimisation des publications, ….), création de visuels (montage video, motion design, affiches et publications, jeux…)….
création web : site web vitrine, site e-commerce, plateforme web
communication : marketing, UI/UX Design, stratégie, 3D Modeling, Video production
A propos de Mohamed El Farik, co-fondateur d’Appliweb Solutions
Mohamed El Farik est un entrepreneur passionné ! Titulaire d’un Master II en ingénierie financière et développement d’entreprise, il a créé sa toute première société en 4ème année d’école de commerce, après avoir réalisé plusieurs mois d’études à Manhattant (NYC). Il travaille ainsi pendant trois ans dans le domaine du transport de marchandises et de déchets.
Il décide alors de quitter Paris pour l’Afrique du Nord. Pendant un an, en Tunisie, il étudie le marché et il réalise le potentiel de développement existant dans le digital.
Il précise :
L’idée de créer Appliweb Solutions m’est venue d’un constat simple : comment aider les PME/TPE européennes à développer leur communication, compte tenu des limites financières de celles-ci ? Avec Wendy, nous avons alors souhaité créer une agence de “qualité française” à tarif low cost.
En 2017, Appliweb Solutions continue de développer des partenariats avec des agences européennes (Paris, Bruxelles…). L’agence s’attaque aussi aux marchés arabes, notamment les pays du Golfe.
CompareAgences.com sort un nouvel outil pour les propriétaires de biens immobiliers
CompareAgences.com, des nouveautés en 2017 !
CompareAgences.com propose désormais en temps réel les disponibilités de milliers d’agences immobilières partout en France, permettant ainsi aux Français de réserver en ligne, 7j/7 et 24h/24 leur prochain rendez-vous avec leur agent immobilier.
Pour les agences immobilières, CompareAgences.com est un outil SaaS de gestion de rendez-vous et de développement de clientèle. Le service leur permet de réduire de 60% leur temps de prospection, de diviser par 4 le nombre de rendez-vous non honorés et de générer une confiance accrue des propriétaires auprès des agences immobilières utilisant CompareAgences.com. CompareAgences.com leur amène aussi de nouveaux clients, un atout majeur en particulier pour les jeunes agences immobilières.
Créée en 2013, CompareAgences.com équipe plus de 5% des agences immobilières en France et a pour ambition de devenir le leader de la prise de rendez-vous en ligne en Europe d’ici à 2020.
Arthur Cassagnau, le fondateur de CompareAgences.com, ajoute :
Au delà de la prise de rendez-vous en ligne, CompareAgences.com permet aux propriétaires vendeurs et bailleurs de retrouver toutes les performances concrètes de vente et de mise en location. Grâce à notre ancienneté sur ce marché, nous sommes les seuls acteurs à proposer ce genre d’informations aux particuliers.
La société annonce de bons chiffres pour l’année 2016 et prévoit une année 2017 exceptionnelle :
1050 Agences immobilières partenaires en France sur un total de 20 000 sur le territoire
90 Agences immobilières partenaires rien qu’à Paris
15000 inscriptions sur le site en 2016
Plus de 1200 rendez-vous pris en 2017
Délai de vente constaté sur 2016 à Paris : 45 jours
Ces résultats, ce sont les propriétaires utilisateurs de CompareAgences.com ainsi que les agences immobilières partenaires qui en sont les grands gagnants.
CompareAgences.com : le défenseur des intérêts des propriétaires
Faire appel à une agence immobilière pour vendre ou louer un bien peut ressembler à un cauchemar quand on ne sait pas à qui s’adresser.
D’abord, il faut trouver une agence fiable et professionnelle, ce qui est loin d’être évident quand on ne dispose pas d’informations pour faire le bon choix. Ensuite, il faut s’assurer que l’agence est réellement impliquée et qu’elle met tout en oeuvre pour vendre ou pour louer le bien immobilier au meilleur prix et dans les meilleurs délais.
Comment s’y retrouver dans cette jungle ? Comment se faire aider sans commencer, comme cela se pratique habituellement, par payer sans avoir la moindre garantie de résultat ?
Bonne nouvelle ! Il y a enfin une solution : CompareAgences.com.
Ce service s’engage à aider gratuitement les propriétaires à vendre ou à mettre en location leur bien immobilier en :
sélectionnant les agences immobilières les plus performantes à partir de critères objectifs (données de vente et de location des 18 derniers mois, prix au mètre carré, délai de transaction et taux de transformation)
les accompagnant tout au long du processus de vente ou de mise en location
CompareAgences.com : un concept innovant et 100% gratuit
La force de CompareAgences.com est que son équipe croit dans son projet et qu’elle est fédérée autour de valeurs fortes : l’innovation et l’éthique. Grâce à sa taille humaine, elle est résolument proche de ses interlocuteurs et de leurs attentes.
Y compris en ce qui concerne la rémunération !
Arthur Cassagnau, le fondateur de CompareAgences.com, souligne :
Nous sommes payés uniquement au résultat. Pour les propriétaires, c’est une vraie garantie car ils savent que nous avons tout intérêt à trouver les agences immobilières les plus performantes !
Tout le monde y gagne : les propriétaires vendent ou mettent en location plus rapidement leur bien immobilier à des prix le plus souvent supérieurs à ceux du marché ; les agences valorisent leurs compétences et leur professionnalisme tout en trouvant plus facilement des clients; et CompareAgences profite du bouche-à-oreilles de propriétaires satisfaits pour continuer à se développer
La Manufacture des Métiers d’Art valorise le travail des artisans d’art grâce à une formule de communication digitale adaptée aux nouveaux usages
La France est l’un des pays les plus dynamiques en matière d’artisanat d’art, avec 38 000 artisans d’art recensés et un chiffre d’affaires de 8 milliards d’euros. Pourtant, le marché demeure peu structuré : les artisans d’art sont dispersés sur le territoire, et parfois même isolés.
Cependant, même s’ils travaillent le plus souvent seuls, les artisans d’art ont la volonté de coopérer, particulièrement en matière de partage d’informations (source Baromètre 2014 des Métiers d’Art de France). Si 90% des 972 répondants possèdent un site internet, ils ne sont que 20% à avoir mis en place un outil de vente en ligne, tandis que 40% seulement déclarent utiliser les réseaux sociaux.
C’est dans le but de mettre en valeur les artisans que Ludivine Renault-de Haas lance La Manufacture des Métiers d’Art. Cette plate-forme unique en France a pour vocation d’améliorer la visibilité des artisans d’art, non seulement sur le plan national, mais également à l’étranger.
La Manufacture des Métiers d’Art permet aux artisans d’art de rendre leur travail accessible au plus grand nombre, tout en valorisant la diversité et la richesse de leurs talents et de leur savoir-faire.
Concrètement, la plate-forme permet une communication digitale facilitée, en fournissant un site internet avec un nom de domaine propre et la possibilité d’avoir une boutique en ligne, tout en diffusant sur la plate-forme du contenu présent sur le site personnel de l’artisan.
La Manufacture des Métiers d’Art c’est surtout une véritable démarche d’accompagnement des artisans, et propose des formations à la communication numérique, des tutoriels réguliers ainsi que de nombreux conseils personnalisés. De plus, tous les mois, chaque artisan bénéficie d’un suivi individuel de l’activité numérique et d’une lettre d’information sur l’actualité du secteur et de la communauté.
Ludivine Renault-de Haas, fondatrice de La Manufacture des Métiers d’Art, a été sélectionnée par Jeunes Femmes et Numérique et son programme Étincelles pour être accompagnée pendant 4 mois pour développer son offre et son entreprise.
Ludivine précise :
La Manufacture des Métiers d’Art n’est pas un énième site de type « Vente en Ligne – Galeries d’Art ». Il y a une dimension très pro axée sur les résultats et l’accompagnement, couplée à une vraie expertise de l’artisanat d’art. Tout simplement parce que les artisans d’art français ne cherchent pas seulement à être reconnus : ils veulent pouvoir vivre de leur métier !
La Manufacture des Métiers d’Art, l’unique portail dédié à l’artisanat d’art français
Les artisans d’art français ne veulent plus de beaux discours ! En matière de communication digitale comme ailleurs, ils ont besoin de solutions concrètes et efficaces.
En ce sens, le concept de la Manufacture des Métiers d’Art est résolument novateur. Ce portail internet exclusivement dédié à l’artisanat d’art français a une approche très réaliste du commerce et du marketing.
Grâce à une offre tout-en-un, les artisans d’art bénéficient d’un accompagnement complet dans toute leur communication digitale à un tarif très accessible !
La solution clé-en-main comprend :
Un site internet avec un nom de domaine en propre et la possibilité d’avoir une boutique en ligne
La diffusion automatique sur le portail de l’artisanat d’art français du contenu (informations et produits) présent sur le site personnel de l’artisan
Une interface pour suivre les formations ainsi qu’un forum réservé aux membres pour le partage des bonnes pratiques, l’échange de services, la diffusion de petites annonces…
Un accompagnement de A à Z dans toute la communication digitale… pour vendre sans souci !
Les artisans d’art sont démunis et désemparés quand il faut mettre en place une stratégie de communication digitale. Ils ne savent pas comment procéder pour actualiser leur site : ils sont nombreux à avoir une « vitrine » obsolète, incompatible avec les nouveaux comportements des internautes (exemple : incompatibilité avec les mobiles ou avec les versions récentes des navigateurs web).
Créer un site professionnel peut de surcroît coûter très cher, surtout s’il faut le refaire au bout d’un an ou deux parce qu’il est déjà dépassé…
Pourtant, pour vendre, ils ont besoin de valoriser leur savoir-faire et leur image de créateur via un beau site et une communication réussie.
Avec La Manufacture des Métiers d’Art, les artisans d’art vont ENFIN pouvoir entrer facilement et sans grever leur budget dans l’ère du numérique.
Ils bénéficient en effet d’une garantie d’accompagnement incluant :
des formations à la communication digitale
des tutoriels réguliers à la mise à jour du site internet
un suivi mensuel individuel de l’activité numérique
des conseils personnalisés
une lettre d’information mensuelle sur l’actualité du secteur de la communauté
Ludivine confirme :
Le conseil et le suivi sont inscrits dans l’ADN de La Manufacture des Métiers d’Art !
Ils profitent d’un outil performant pour avoir un site à jour, compatible avec les différents supports (PC, tablettes, smartphones) et valorisé par la rediffusion automatique de son contenu sur le portail de La Manufacture des Métiers d’Art.
Cerise sur le gâteau : le prix de cette offre tout-en-un est véritablement économique par rapport à la qualité du service puisqu’il s’agit d’un abonnement mensuel à partir de 90€ HT/mois. Aucune commission n’est prélevée sur les ventes réalisées.
Une approche pragmatique soutenue par le programme Étincelles de Jeunes Femmes & Numérique
Jeunes Femmes & Numérique soutient l’initiative de Ludivine Renault-de-Haas !
La fondatrice de La Manufacture des Métiers d’Art a été sélectionnée pour être accompagnée dans le lancement de sa start-up par le programme Étincelles.
Durant quatre mois, elle profite ainsi :
d’une formation au leadership,
d’un mentorat par un professionnel expérimenté,
d’une aide au développement de son projet durant des ateliers en groupe,
d’un véritable networking, pour bénéficier de la force d’un réseau, avec les acteurs du numérique.
A propos de Ludivine Renault-de Haas, la fondatrice de La Manufacture des Métiers d’Art
Ludivine Renault-de Haas est une mampreneur passionnée au parcours atypique !
Après un DUT génie Mécanique et une école de Commerce, elle suit son mari dans ses différentes missions. Cette ancienne professionnelle du développement et du marketing des pure players européens vit hors de France depuis 18 ans. Elle a résidé à Séville (Espagne) où ses 3 enfants sont nés, puis à Bruxelles (Belgique) et elle navigue maintenant entre le Nord de l’Italie où réside sa famille et Thonon-les -Bains, ville de son enfance, où elle a créé sa start-up.
Malgré ses déménagements successifs, Ludivine a toujours cherché à trouver des emplois lui permettant d’acquérir de nouvelles compétences. Désormais, et parce que ses aspirations ont évolué, elle a décidé de créer sa propre entreprise pour valoriser l’artisanat d’art.
Un choix qui ne doit rien au hasard !
Issue d’une famille de créateurs de bijoux et d’amateurs d’art, Ludivine a en effet déjà créé le site “Creativi dei Laghi”, un e-commerce d’objets créatifs et déco, pour aider ses amies à exister autrement que comme “femme au foyer”, “femme de” ou “maman de”. Cette expérience lui a permis de rencontrer des créatrices vraiment talentueuses !
Mais elle réalise vite que son modèle économique, basé sur les commissions sur les ventes, n’est pas viable. En discutant de ce problème avec son réseau, un de ses contacts lui dit avoir refait son site via une formule d’abonnement : c’est une révélation !
Ludivine décide de s’inspirer de ce business model et de compléter l’offre par abonnement avec des services supplémentaires pour se lancer dans le secteur des métiers d’art, la suite logique de Creativi dei laghi mais destiné à la France. Le marché est en effet mieux identifié et il est aussi bien plus simple de communiquer (notamment via des news, des blogs…) dans sa langue maternelle.
La Manufacture des Métiers d’Art vient de naître !
Ludivine souligne :
Je veux ouvrir le marché de l’artisanat d’art français à l’ensemble du territoire mais aussi à l’étranger. Mon credo : défendre le fait-main, le produit unique, et l’originalité à des tarifs accessibles. Il s’agit de rendre accessible à tous le savoir-faire français !
Bientôt 40 ans d’expérience, AIM permet de développer toujours plus vite grâce à l’AIM Kit 2 et DevTools pour STM32 famille F7
Alors que les entreprises, qu’elles soient TPE/PME, start-ups ou même grands groupes industriels, ont besoin d’une immense réactivité et d’un time to market qui soit le plus court possible, la plupart sont bloquées par des contraintes techniques de développement et de programmation pour la mise au point de leurs systèmes embarqués, automates et objets connectés.
Et rien que pour les objets connectés, le DigiWorld Institute estimait qu’en 2012 qu’il existait 15 milliards d’appareils intelligents connectés. Ce chiffre devrait atteindre les 80 milliards d’ici 2020. Peu de domaines peuvent se vanter de connaître de telles prévisions !
Dans ce contexte florissant, AIM va bientôt fêter ses 40 années d’expérience.
A cette occasion, la société fait peau neuve grâce à son nouveau site et annonce le lancement de deux nouveautés : l’AIM KIT2, à base de microcontrôleur STM32 série F7 de STMicroelectronics, ainsi qu’une nouvelle version de DevTools qui permet de développer plus rapidement des solutions informatiques embarquées grâce à la programmation graphique dans un environnement temps réel.
AIM participera également au Salon Enova (Salon des Technologies et des Services) les 14 et 15 septembre à Paris Porte de Versailles, et au Salon IoT Planet les 25, 26 et 27 octobre 2016 à Grenoble.
AIM : 40 ans d’expérience au service du marché de l’IoT en pleine croissance
En 2017, AIM fêtera ses 40 ans d’expérience dans le développement de matériels et de logiciels embarqués.
Contrairement à de nombreux professionnels dans ce domaine, cette société innovante n’a jamais changé d’actionnaires, ni de nom… et encore moins de métier !
Son savoir-faire est largement reconnu et particulièrement apprécié car les besoins des acteurs du marché de l’IoT (= l’Internet des Objets) n’ont jamais été aussi importants ! 80 milliards d’objets connectés seront produits en 2020 et la croissance annuelle du marché est en moyenne de 16,9%…
Or, pour rester compétitives, les entreprises qui conçoivent des systèmes embarqués, des automates et des objets connectés ne peuvent plus perdre un temps précieux à tenter de résoudre des contraintes techniques de développement et de programmation.
Le time to market doit être réduit au maximum.
C’est pour cela que les solutions proposées par AIM sont plébiscitées : elles permettent de “maquetter” beaucoup plus rapidement (AIM Kit) et même de programmer 10 fois plus vite (atelier DevTools d’AIM) !
Deux nouveautés pour aller toujours plus loin et plus vite : l’AIM Kit 2 et l’AT3200
Pour fêter dignement ces 40 ans, AIM change totalement son site web, avec une nouvelle identité graphique pour optimiser et simplifier le parcours du visiteur.
Mais ce n’est pas tout ! Pour aider ses clients à rester compétitifs et performants, AIM lance deux nouveautés :
AIM Kit 2, le nouveau kit de développement
Le principe des kits de développement est de simuler sur une plateforme un programme destiné par exemple à la conception d’un produit IoT.
Avant, AIM proposait l’AIM Kit 1, un kit d’introduction déjà très efficace. Mais pour aller encore plus loin dans la conception d’une maquette de base, AIM lance en 2016 l’AIM Kit 2 !
Si l’AIM Kit 2 reste un kit de développement à base de microcontrôleur STM32 type ARM cortex M, grâce aux outils IHM, il intègre désormais beaucoup plus de fonctionnalités :
plus de capacité mémoire RAM et ROM,
des périphériques en plus : USB, SD,
plus de bus de terrains : CAN, RS232, Ethernet,
puissance de traitement plus importante,
taille écran tactile plus proche des IHM du commerce (4,3″ au lieu de 2,4″) et de meilleure définition.
AT3200, le nouvel automate tactile d’AIM
Le successeur de l’AT3100, l’AT3200 est aussi une plateforme très complète d’outils de développement : langage automate, programmation graphique, langage C, communications et une très large panoplie de blocs fonctionnels et graphiques.
Ce petit bijou technologique apporte de véritables évolutions au niveau de la qualité de l’écran tactile (VGA et non plus 1/4 VGA), de la performance du processeur, et du volume de stockage des données.
Que vont changer ces nouvelles solutions ?
Elles changent… tout. Les clients qui utilisent l’AIM Kit ou DevTools bénéficient d’avantages très concrets :
gain de temps : la programmation avec DevTools est 10 fois plus rapide,
réduction des coûts de développement,
des interfaces intuitives pour une utilisation simplifiée : avec DevTools, la configuration du matériel, le choix du système embarqué et la programmation de l’application se fait en quelques clics,
des fonctionnalités très complètes,
des outils complémentaires : les deux suites logicielles DevTools (Agilia et µOne) se complètent et sont intégrées à l’AIM Kit pour pouvoir facilement créer et tester une application embarquée,
des solutions qualitatives,
un service client à l’écoute et très réactif.
Guy Henri Poujoulat, le fondateur d’AIM, souligne :
Notre force est de permettre aux entreprises de gagner du temps en développement et de réduire considérablement le time to market. En prime, notre solution est française, de sa conception à sa fabrication !
Venez rencontrer AIM au Salon Enova et au Salon IoT Planet !
AIM participe cette année à de salons de grande envergure :
14 et 15 septembre : Salon Enova (Salon des Technologies et des Services) à Paris Porte de Versailles
25, 26 et 27 octobre : Salon IoT Planet à Grenoble
Vous pouvez télécharger l’invitation au salon Enova ici.
A propos d’AIM
Intervenant dans de multiples domaines, du secteur médical à l’industrie, AIM est une société spécialisée dans le développement de matériel et de logiciel embarquée. Basée à Grenoble, elle a été créée le 1er janvier 1977 par Guy Henri Poujoulat, l’actuel président. Guy Henri est titulaire d’un DEA mathématiques et informatiques appliquées.
AIM a une particularité : cette entreprise française est à la fois fabricant et prestataire de services. La société propose en effet des solutions dans le domaine des noyaux temps réels instrumentés, langages de programmation, chaînes de développement, protocoles réseaux, et drivers associés.
Ad-Viséo, le premier centre de contacts qui fait entrer les entreprises dans l’ère du digital !
Ad-Viséo : Trouver et fidéliser les clients des entreprises
Les entrepreneurs ont deux points communs : d’une part, ils ne sont pas des professionnels du contact, tant par email que par téléphone. Pourtant, ils ont conscience que cette fonction dite « support » dans les domaines marketing et commercial est indispensable à la réussite de l’entreprise. D’autre part, ils ne sont pas très forts pour toute la partie qui relève des nouveaux usages de la relation clients et prospects, notamment sur les réseaux sociaux. Toutefois, et ils le savent, ces nouveaux outils sont le présent et le futur de toutes les entreprises permettant l’interaction avec leurs clients, leurs prospects, développer leur business en développant leur présence et leur e-réputation.
Dès lors, la question que beaucoup de dirigeants se posent est la suivante : comment faire de mon entreprise un interlocuteur à part entière, capable de communiquer efficacement et massivement, de faire valoir ses compétences, de séduire un grand nombre de personnes, mesurer la qualité des prestations et de la satisfaction des clients, par tous les moyens de contacts tant classiques que modernes, que sont le téléphone, le web, les emails, les réseaux sociaux… le tout dans une stratégie cohérente, réfléchie, qui tire le meilleur de chaque ?
C’est ce que propose Ad-Viséo, le premier centre de contacts multicanal 2.0, qui travaille à l’échelle de tout le territoire national.
La vocation de l’entreprise : aider les clients à conquérir de nouveaux marchés et à fidéliser les clients existants. Pour atteindre cet objectif, plusieurs actions peuvent être mises en place : prospection téléphonique à haute valeur ajoutée, prestations de télémarketing, enquêtes de satisfaction sur mesure, relance des clients inactifs, réception d’appels à vocation commerciale, service clients externalisé pour les e-commerces…
Ad-Viséo : donner aux entreprises les moyens de se développer
Face à un contexte économique tendu et à une concurrence de plus en plus féroce, les entreprises peinent à trouver de nouveaux clients. Or, ce n’est pas toujours évident : comment parvenir à mettre en place des actions efficaces quand on n’a ni la fibre commerciale ni la maîtrise des nouveaux outils de communication ?
D’où l’intérêt de recourir au premier centre de contacts multicanal 2.0 : Ad-Viséo.
Valérie Berger, co-fondatrice, souligne :
Nous avons une connaissance approfondie des produits, des services et des enjeux de chaque mission que nos clients nous confient. C’est pour cela que nous pouvons proposer des actions ciblées véritablement qualitatives.
L’enjeu est de taille : d’après une étude réalisée par American Express, 78% des consommateurs ont déjà abandonné une transaction en raison d’un mauvais service client. D’après Lee Ressources, 91% des clients insatisfaits ne referont plus affaire avec une entreprise qui n’a pas répondu à leurs attentes.
Un large panel de services proposés aux entreprises
Grâce à son implantation à Toulouse, à sa politique de formation continue et au suivi individuel, Ad-Viséo valorise l’image de marque des entreprises et contribue à fidéliser leurs clients. Des solutions complètes et packagées permettent de couvrir l’ensemble des besoins :
L’accueil des clients et des prospects (téléphone, Internet, e-mails, chat, réseaux sociaux)
Les missions traitées peuvent être variées : prise de commandes, négociation commerciale sur rebond ou découverte de besoins, closing, service après-vente, relève de standard… La qualité de la relation commerciale qui se crée avec les prospects et les clients permet de les fidéliser.
La prospection commerciale
Ad-Viséo intervient du plan marketing à la réalisation opérationnelle en proposant une démarche qualitative en 5 étapes :
validation des avantages produit,
confirmation des cibles et du couple “produit/marché” pertinent,
rédaction de l’argumentaire (accroche, réponse aux objections),
formation des équipes commerciales,
communication du compte rendu de l’action.
Les équipes de vente sont encadrées et animées pour atteindre l’objectif fixé et, si besoin, les actions mises en place peuvent être réajustées en fonction des résultats obtenus.
Le Community Management (réseaux sociaux)
Ad-Viséo établit un diagnostic préalable pour permettre une présence optimisée sur les réseaux sociaux : qui de Facebook, Twitter, Linkedin est approprié à la cible du client, quel temps efficace y passer, quel budget y consacrer ? Quand la stratégie est définie, les équipes sédentaires expérimentées d’Ad-Viséo réalisent les actions quotidiennes nécessaires pour augmenter la notoriété et la visibilité des entreprises . C’est un levier très efficace pour conquérir de nouveaux marchés et pour fidéliser les clients. Grâce à un solide réseau de partenaires spécialisés, Ad-Viséo peut aussi proposer la création de sites Internet en adéquation avec le budget de ses clients.
Les formations
Plusieurs formations commerciales sont proposées :
prospection téléphonique,
négociation commerciale (téléphone ou face-à-face),
accueil client (téléphone ou face-à-face),
gestion d’un client difficile (possibilité de formation en duo avec un psychologue spécialisé dans la gestion des conflits),
ressources humaines : conduite des entretiens individuels et professionnels, recrutement, etc.
L’accompagnement RH
Ad-Viséo a développé un accompagnement sur-mesure pour réaliser :
les entretiens annuels et les entretiens professionnels : savoir ceux qui sont obligatoires, leurs objectifs, réussir à les conduire pour qu’ils soient une réussite, etc.
le recrutement : préparer les fiches de poste, déterminer les objectifs et le cadre de la mission, intégrer et former la personne recrutée, obtenir et trier les CV, la méthodologie du recrutement, etc.
La force d’Ad-Viséo : un mode de management collaboratif résolument moderne
Ad-Viséo tord le cou aux idées reçues concernant les méthodes de management dans les centres d’appels. Pour cette entreprise toulousaine, le bien-être au travail n’est ni un mythe ni un objectif mais plutôt une réalité. Tous les collaborateurs d’Ad-Viséo travaillent dans un environnement épanouissant. Récemment, le management collaboratif a été mis en place. Les commerciaux sédentaires peuvent notamment exprimer et valoriser leurs compétences.
Corinne Le Strat, co-fondatrice, précise :
Mêler l’intelligence individuelle et collective est indispensable ! C’est grâce à notre organisation basée sur la coopération, la confiance, la convivialité, la créativité et la co-responsabilité que nous pouvons apporter une réelle valeur ajoutée à nos clients.
A propos de Valérie Berger et Corinne Le Strat, les deux fondatrices d’Ad-Viséo
Valérie Berger et Corinne Le Strat se sont rencontrées tandis qu’elles travaillaient pour le même centre d’appel. Valérie était Directrice Générale et Corinne Directrice des Ressources Humaines. Quatre ans plus tard, en 2012, elles ont lancé Ad-Viséo.
Les parcours de ces deux entrepreneures sont complémentaires. Corinne a 22 ans d’expertise dans le domaine des Ressources Humaines, dont 15 ans en cabinet conseil et 7 ans en tant que DRH de centres d’appels. Quant à Valérie, elle a occupé pendant 28 ans de nombreuses fonctions de la Relation Client en tant que commerciale terrain, manager d’équipes commerciales et dirigeante de centres de contacts, appels entrants et sortants.
Ad-Viséo travaille avec des entreprises dans des secteurs très variés : services aux entreprises, agro-alimentaire, industrie, équipements, immobilier, informatique, services externalisés pour sites e-commerce….