Pollution plastique en mer : la ville de Biarritz renouvelle sa confiance à I Clean My Sea pour gérer ses déchets flottants

Alors que la pollution plastique dans les océans pourrait tripler d’ici 2060, la situation est déjà catastrophique… Les chiffres sont éloquents :

  • 12 millions de déchets plastiques sont déversés dans les océans chaque année ;
  • 5 000 milliards de plastiques flottent déjà tout autour du monde ;
  • et 90 % des espèces sont contaminées par la pollution marine (source).

La Côte Basque n’échappe pas à ce phénomène, aux manifestations parfois très visibles. En 2021 par exemple, les promeneurs ont eu la désagréable surprise de voir l’océan rejeter des ronds de plastique sur la plage (source).

Particulièrement mobilisée sur ce sujet, la ville de Biarritz a retenu à nouveau la stratégie “I Clean My Sea” pour son plan de gestion 2023 des déchets flottants :

  1. La détection des plastiques en mer par le grand public avec l’application mobile gratuite I Clean My Sea ;
  2. La collecte optimisée avec un navire innovant ;
  3. La collecte guidée par les photos prises avec l’application mobile I Clean My Sea.

Avec la confiance accordée à I Clean My Sea par la Ville de Biarritz, l’entreprise apporte la preuve de l’attractivité de son offre de service. Sur la saison 2022, la stratégie I Clean My Sea a amélioré de 300 % l’efficacité de collecte !

 Aymeric Jouon, le fondateur

 

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I Clean My Sea x Biarritz

En finir avec les déchets flottants grâce à la détection participative et gratuite

Alors que le secteur de la dépollution marine est dominé par de grands groupes, I Clean My Sea se démarque par la performance des actions mises en place, puisqu’elles allient opérations en mer et outils numériques.

Avec, toujours, la volonté de proposer une solution simple, pragmatique et inclusive. Car pour lutter contre la pollution de la Côte Basque, chacun peut agir : tous les Biarrot.e.s, les professionnels de la mer et les touristes peuvent devenir acteurs.trices de la protection de “leur” océan.

Le concept est d’une efficacité redoutable. Via l’application mobile I Clean My Sea, il suffit de prendre en photo un déchet flottant pour aider les marins à collecter plus de plastiques.

Un geste à la portée de tous, à la fois facile et rapide. Et pour les collectivités, une alternative qui peut immédiatement être mise en place.

En adoptant la stratégie “I Clean My Sea”, les élus du littoral fédèrent leurs administrés et mobilisent des moyens industriels pour déployer un plan d’action efficace et visible contre la pollution plastique en mer.

Une collecte 100 % efficace grâce à un navire innovant : The Collector

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Grâce aux photos prises par les citoyens, The Collector reçoit en temps réel la photo des déchets, leur position et une prévision de leurs trajectoires de dérive.

Autant de données qui vont lui permettre d’intervenir beaucoup plus rapidement.

The Collector sait ainsi exactement où aller pour récupérer les déchets flottants, ce qui fait gagner beaucoup de temps et réaliser des économies substantielles en consommation d’énergie à bord.

Autre avantage, et non des moindres : toutes les informations récoltées vont aider à comprendre où et quand les accumulations de plastiques se forment, afin d’améliorer l’impact des dispositifs de protection des océans.

La localisation des déchets flottants depuis votre smartphone fait appel aux données satellites, c’est une des raisons qui a motivé L’Agence Spatiale Européenne (ESA) à apporter son soutien à I Clean My Sea.

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Un concentré d’innovations

The Collector est un navire anti-déchets vraiment pas comme les autres :

  • Son design a été spécialement conçu pour limiter la consommation d’énergie ;
  • Son système de dépollution permet de réaliser simultanément la collecte et le tri des déchets flottants ;
  • Les détections de déchets flottants réalisées avec l’application mobile gratuite I Clean My Sea permettent d’optimiser le travail de collecte en mer.

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Dépolluer la mer à Biarritz… mais pas seulement !

I Clean My Sea invite les usagers de la mer à télécharger son application mobile gratuite de détection des déchets flottants :

Sur le littoral de Biarritz : pour guider The Collector et son équipage dans leur travail de collecte ;

Sur le littoral Français : pour apporter la preuve aux élus du littoral qu’ils peuvent compter sur la mobilisation des usagers de la mer pour déployer un plan de gestion local des plastiques en mer ;

Sur le littoral du monde entier : parce que chaque détection réalisée avec l’application mobile gratuite I Clean My Sea est un pas de plus vers la détection des déchets flottants depuis l’espace grâce aux images satellites.

À propos d’Aymeric Jouon, le fondateur

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Océanographe de formation, Aymeric Jouon a travaillé pendant cinq ans dans la recherche (plus de 700 citations) et douze ans dans le privé. Spécialisé dans la mesure et la modélisation des pollutions marines, Aymeric Jouon a également été responsable d’un navire de dépollution pendant quatre ans.

Aujourd’hui, il est le fondateur et le PDG d’I Clean My Sea, une entreprise de développement de services de gestion des pollutions marines.

Aymeric a très tôt pris une décision qui va guider tous ses choix personnels et professionnels : vivre au contact de la mer. Plus qu’une passion, sa relation à l’océan est un élément déterminant dans ses choix de vie.

Depuis ses premiers bords en planche à voile à l’âge de 10 ans, en passant par son expérience de sauveteur en mer pendant ses études jusqu’à ses travaux de recherche, sa motivation est nourrie par les émotions que l’océan lui procure :

  • Le sentiment de dépassement de soi en planche à voile au milieu des floes (glaçons) du fjord d’Oslo ;
  • Le sentiment d’émerveillement devant le ballet aquatique de deux raies mantas dans le grand bleu au large d’Ouvéa (Nouvelle-Calédonie), au cours d’une session d’apnée ;
  • La décharge d’adrénaline provoquée par une plongée au milieu du plus grand regroupement de requins au monde dans la passe sud de Fakarava au Tuamotu de Polynésie Française.

Aymeric confirme :

En réponse aux moments d’émerveillement vécus au contact de l’Océan, je mets mes compétences et mon énergie au service de la protection du milieu marin. Des outils innovants adaptés au milieu marin et des stratégies commerciales hybrides pour des services efficaces sur le plan opérationnel, et rentables sur le plan économique.

Pour en savoir plus

Site web : https://icleanmysea.com

Facebook : https://www.facebook.com/icleanmysea/

Instagram : https://www.instagram.com/icleanmysea/

LinkedIn : https://fr.linkedin.com/company/i-clean-my-sea

Lutte contre le réchauffement climatique : la France peut prendre une longueur d’avance en lançant le projet de Bouclier Solaire développé par l’OMPE

L’OMPE lance son boulier solaire pour s’attaquer au réchauffement climatique

Le dernier rapport du GIEC est formel : face à l’accélération du réchauffement climatique, il y a urgence à agir vite et fort pour espérer limiter la hausse des températures de +1,5° à +2°C d’ici la fin du siècle (source).

Après 2025, il sera trop tard… et certains experts commencent à prédire que l’augmentation de 5°C pourrait être atteinte prochainement.

Dans ce contexte, l’inertie des États est effrayante.

Les prévisions folles de croissance des industries pétrolières ou de l’aviation mondiale pour les années à venir semblent déconnectées de la réalité environnementale. À titre d’exemple, Boeing prévoit 82% d’avions en plus en circulation dans le monde d’ici 2041 (source).

Pourtant, le réchauffement climatique représente un coût exorbitant… que nous commençons déjà à payer. La canicule et les incendies de cet été (en Gironde, en Espagne, en Grèce, aux États-Unis…) ne sont qu’un avant-goût de ce qui nous attend.

Selon Météo France, les canicules seront deux fois plus fréquentes d’ici 2050 (source). Il y aura donc toujours plus de feux de forêts, de sécheresse, de problèmes liés au manque d’eau, de dégradation de la biodiversité, de pertes animales et de décès humains.

Face à l’absence de solutions pérennes, l’OMPE (Organisation Mondiale pour la Protection de l’Environnement) propose ainsi une solution globale d’ampleur internationale pour abaisser la température sur Terre : le Bouclier Solaire.

Cette innovation française, qui permettrait de diminuer de 1% à 100% le rayonnement solaire, est actuellement la seule à apporter une réponse concrète aux prévisions du GIEC.

Les actions locales ou nationales n’ont aucun impact sur le réchauffement climatique global. Pour être à la hauteur du défi que nous avons à relever, il faut produire une solution technologique qui soit aussi globale.

Gilles Lazzarini, fondateur de l’OMPE

Le Bouclier Solaire : une réponse globale à un problème qui nous concerne tous

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À l’étude depuis la création de l’OMPE, soit depuis 9 ans, le Bouclier Solaire fonctionne sur le principe d’un parasol noir (black umbrella) positionné entre la Terre et le soleil permettant de générer une zone comparable à de la pénombre. Ce système permet de filtrer le rayonnement solaire sur une ou plusieurs zones terrestres afin d’atténuer les effets du réchauffement climatique. Il possède plusieurs types de filtres, plusieurs axes d’inclinaison et de rotation grâce à un pivot ajustable. Le bouclier solaire sera dirigé et positionné depuis le centre de contrôle de l’OMPE sur Terre.

Plus l’angle de déflection est fort, plus le diamètre de la zone d’ombre portée sur Terre est important !

Guidé depuis le centre de contrôle OMPE sur Terre, le Bouclier Solaire permettrait de :

  • Choisir la zone à ombrager (zone à canicule ou à feux ou zone en alerte particulière) ;
  • Modifier les courants d’air et les vents, ou encore pallier à des problèmes de trous dans la couche d’ozone (UV, etc.) ;
  • Filtrer certains UV ou rayons (via un système de filtres), mais aussi d’avoir des ombrages et des portées différents (inclinaison possible du bouclier solaire) ;
  • Changer d’altitude ;
  • Passer en mode “nuit totale” si besoin, avec possibilité de lancer plusieurs boucliers à la suite.

Un projet fédérateur qui placerait la France en leader mondial sur la lutte contre réchauffement climatique

La France a tout à gagner à investir dans le projet du Bouclier Solaire porté par l’OMPE.

Dans la continuité de l’accord de Paris en 2015, elle pourrait ainsi détenir un monopole en matière climatique. Avec, à la clé, une avancée technologique qui bénéficierait significativement à l’économie du pays.

Au-delà de la protection de la planète, le Bouclier Solaire permettra en effet de réaliser des gains financiers significatifs :

  • Economies de ressources (budgétaires et humains) actuellement dépensées pour gérer toutes les conséquences du réchauffement climatique (feux, inondations…) ;
  • Boost de compétitivité pour le lanceur Ariane, actuellement en perte de vitesse face à SpaceX et aux lanceurs chinois ;
  • Augmentation du délai pour effectuer la transition écologique à l’échelle mondiale ;
  • Gestion du temps d’ombre pays par pays, avec possibilité de taxation.

Aujourd’hui, l’OMPE avec à sa tête Gilles Lazzarini, qui est un peu notre Elon Musk français, recherche un millionnaire ou un mécène prêt à l’aider à démarrer son projet de “Bouclier Solaire” afin de diminuer de 1% à 100% le rayonnement solaire.

Budget recherché : 25 millions d’euros pour lancer les études détaillées de ce projet. L’avancement et les dépenses liées au projet seront totalement transparents et réactualisés quotidiennement sur le site de l’OMPE.

Et face aux coûts des incendies, à l’image du récent en Gironde, dont les dégâts s’élèvent à plusieurs millions d’euros, les dépenses dédiés à la lutte contre les incendies vont largement dépasser le montant nécessaire au financement du bouclier solaire.

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L’OMPE : des actions ciblées pour protéger la planète

Fondée en 2013 par Gilles Lazzarini, l’Organisation Mondiale pour la Protection de l’Environnement (OMPE) s’inscrit dès ses débuts dans une gestion globale et transversale des problématiques environnementales, et fait de cette particularité sa marque et son empreinte dans le monde associatif.

Elle a déjà lancé 10 projets novateurs et concrets :

1) La nouvelle voiture autonome partagée, écologique et sécurisée. Elle est destinée à remplacer progressivement nos véhicules actuels, polluants et dangereux.

2) La Barge géante et ses Drones fishy anti-plastiques : ces barges naviguent en permanence nuit et jour au-dessus des vortex de plastiques pour récupérer tous les déchets.

3) L’absorbeur de CO2 et de gaz à effet de serre : il s’agit de panneaux filtrant de grandes dimensions posés à l’entrée et à l’intérieur des villes.

4) La génothèque mondiale stocke physiquement et informatiquement les génomes des espèces en voie de disparition grâce à des matériels et des équipes de vétérinaires spécialisés.

5) Les parcs Charles Darwin : ces parcs animaliers ultra-modernes créés pour réaugmenter le nombre d’animaux sur Terre.

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6) Le SEURFF (Système d’Extinction Ultra-Rapide des Feux de Forêts) : ce système ultra-moderne permet d’asphyxier les flammes en quelques minutes seulement à partir de projection d’azote et d’autres gaz sous pression.

7) La Caisse verte : il s’agit d’un progiciel informatique permettant de passer à la Transition Écologique Mondiale.

8) Le CMPE (Code Mondial pour la Protection de l’Environnement) : cet ensemble de textes et articles permettant d’homogénéiser de manière globale les lois mondiales régissant l’environnement et la biodiversité pays par pays.

9) Les virus : ce projet consiste à centraliser depuis le Centre de Recherche de l’OMPE les recherches contre les virus et contre les moustiques effectuées dans tous les instituts publics de santé du monde.

10) Le Bouclier Solaire : ce système permet de filtrer le rayonnement solaire sur une zone ou plusieurs zones terrestres afin d’atténuer les effets du réchauffement climatique.

L’OMPE, en quelques chiffres

  • 150 adhérents et 10 nouvelles demandes d’adhésion par semaine du monde entier ;
  • 45 000 visites uniques du site par mois du monde entier ;
  • 13 000 membres Facebook du monde entier ;
  • 12 800 signatures sur la Campagne Stop Ça suffit aux Feux de Forêts ;
  • 17 150 signatures sur la Campagne Stop Ça suffit anti corrida et maltraitances aux Animaux.

À propos de Gilles Lazzarini, Fondateur et Président de l’OMPE

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Niçois et père de 3 enfants, Gilles Lazzarini est un ancien informaticien IBM, devenu depuis homme d’affaires.

Cet entrepreneur passionné par les sciences, la planète et la politique est très attaché à la France et aux valeurs de la République : la Liberté, l’Egalité, la Fraternité, trois valeurs trop souvent écartées, année après année, au profit d’un néolibéralisme fou et destructeur de la santé, de l’environnement et de l’humanité.

Il est également le fondateur de l’OMPE (https://www.ompe.org/ : Organisation Mondiale pour la Protection de l’Environnement), une association créée en 2013, qu’il préside toujours aujourd’hui.

L’OMPE est une des premières associations au monde à alerter au niveau global sur les pollutions, la perte de notre biodiversité, le réchauffement climatique, les plastiques, les pesticides, les feux de forêts, les virus, etc. Elle soutient également L’affaire du siècle.

Pour en savoir plus

Tous les projets de l’OMPE : https://www.ompe.org/projets/

Site web : https://www.ompe.org/

Facebook : https://www.facebook.com/OMPE.FRANCE

Instagram : https://www.instagram.com/ompeworld/

LinkedIn : https://www.linkedin.com/in/gilleslazzarini/

Pollution plastique en mer : la ville de Biarritz choisit I Clean My Sea pour gérer ses déchets flottants

Alors que la production de plastique dans le monde devrait doubler d’ici 2040, le WWF tire la sonnette d’alarme : dans un rapport publié en février dernier, le Fonds mondial pour la nature constate que la pollution plastique concerne désormais “toutes les parties des océans, de la surface aux grands fonds marins, des pôles aux côtes des îles les plus isolées.” (source)

La Côte Basque n’est pas épargnée et, dès 2018, le nageur Rémi Camus parlait de “soupe de plastique” entre l’entrée du port de Bayonne et Hendaye (source).

Face à cette situation, la Ville de Biarritz met tout en œuvre pour garantir un plan de gestion des déchets flottants particulièrement efficace.

Elle a notamment retenu la stratégie “I Clean My Sea” pour gagner en efficacité grâce à la mobilisation de l’ensemble des usagers de l’océan. Fondée par un océanographe, cette start-up propose un concept à la fois simple, pragmatique et très performant :

  1. Le grand public participe à la détection des plastiques en mer via l’application mobile gratuite I Clean My Sea ;
  2. Les photos prises facilitent la collecte (elles sont géolocalisées), qui est optimisée par un navire innovant ;
  3. Le plastique récupéré est ensuite valorisé par des entreprises spécialisées pour créer des produits à longue durée de vie (ex. : t-shirts, gourdes, gilets…).

Via l’app mobile I Clean My Sea, chacun devient acteur de la protection de l’océan !

Aymeric Jouon, le fondateur

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Pour lutter contre la pollution de la Côte Basque, il suffit de prendre une photo

Contrairement aux idées reçues, il peut être très simple de participer à la protection de l’environnement ! Tous les Biarrot.e.s, mais aussi les professionnels de la mer et les touristes, peuvent agir très facilement pour préserver “leur” océan.

Sans que cela soit compliqué, ni chronophage, ni cher.

Partant du principe que les solutions les plus efficaces sont aussi les plus simples, I Clean My Sea s’appuie sur la détection participative et gratuite pour s’attaquer au problème des déchets flottants.

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Comment ? “Je vois un déchet flottant, je le prends en photo avec l’application mobile I Clean My Sea, et j’aide ainsi les marins à collecter plus de plastiques” : voilà en substance la stratégie antipollution qui a séduit la ville de Biarritz.

Car si le secteur de la dépollution marine est dominé par de grands groupes, I Clean My Sea se démarque par la performance des actions mises en place, puisqu’elles allient opérations en mer et outils numériques.

 En adoptant la stratégie “I Clean My Sea”, les élus du littoral fédèrent leurs administrés et mobilisent des moyens industriels pour déployer un plan d’action efficace et visible contre la pollution plastique en mer.

The Collector : un navire anti-déchets “nouvelle génération”

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Grâce aux photos prises par les citoyens, The Collector reçoit en temps réel la photo des déchets, leur position et une prévision de leurs trajectoires de dérive.

Toutes ces de données qui vont lui permettre d’intervenir beaucoup plus rapidement.

The Collector sait ainsi exactement où aller pour récupérer les déchets flottants, ce qui fait gagner beaucoup de temps et réaliser des économies substantielles en consommation d’énergie à bord.

Autre avantage, et non des moindres : toutes les informations récoltées vont aider à comprendre où et quand les accumulations de plastiques se forment, afin d’améliorer l’impact des dispositifs de protection des océans.

La localisation des déchets flottants depuis votre smartphone fait appel aux données satellite, c’est une des raisons qui a motivé L’Agence Spatiale Européenne (ESA) à apporter son soutient à I Clean My Sea.

Un concentré d’innovations

The Collector est un navire anti-déchets vraiment pas comme les autres :

  • Son design a été spécialement conçu pour limiter la consommation d’énergie ;
  • Son système de dépollution permet de réaliser simultanément la collecte et le tri des déchets flottants ;
  • Les détections de déchets flottants réalisées avec l’application mobile gratuite I Clean My Sea permettent d’optimiser le travail de collecte en mer.

Un service attractif et utile pour la Ville de Biarritz… et bien au-delà

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Avec la confiance accordée à I Clean My Sea par la Ville de Biarritz, l’entreprise apporte la preuve de l’attractivité de son offre de service.

I Clean My Sea invite donc tous les usagers de la mer à télécharger son application mobile gratuite de détection des déchets flottants :

Sur le littoral de Biarritz : pour guider The Collector et son équipage dans leur travail de collecte.

Sur le littoral français : pour apporter la preuve aux élus du littoral qu’ils peuvent compter sur la mobilisation des usagers de la mer pour déployer un plan de gestion local des plastiques en mer.

Sur le littoral du monde entier : parce que chaque détection réalisée avec l’application mobile gratuite I Clean My Sea est un pas de plus vers un algorithme de détection des déchets flottants à partir d’images satellites (ESA-BIC).

À propos d’Aymeric Jouon, le fondateur d’I Clean My Sea

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Océanographe de formation, Aymeric Jouon a travaillé pendant cinq ans dans la recherche (plus de 650 citations) et douze ans dans le privé. Spécialisé dans la mesure et la modélisation des pollutions marines, Aymeric Jouon a également été responsable d’un navire de dépollution pendant quatre ans avant de créer l’entreprise I Clean My Sea.

Aujourd’hui, il est le PDG d’I Clean My Sea, une entreprise de services de gestion des pollutions marines.

Aymeric a très tôt pris une décision qui va guider tous ses choix personnels et professionnels : vivre au contact de la mer. Plus qu’une passion, sa relation à l’océan est un élément déterminant dans ses choix de vie.

Depuis ses premiers bords en planche à voile à l’âge de 10 ans, en passant par son expérience de sauveteur en mer pendant ses études jusqu’à ses travaux de recherche, sa motivation est nourrie par les émotions que l’océan lui procure :

  • Le sentiment de dépassement de soi en planche à voile au milieu des floes (glaçons) du fjord d’Oslo ;
  • Le sentiment d’émerveillement devant le ballet aquatique interprété par deux raies mantas dans le grand bleu au large d’Ouvéa, Nouvelle-Calédonie au cours d’une session d’apnée ;
  • La décharge d’adrénaline provoquée par une plongée au milieu du plus grand regroupement de requins au monde à Fakarava dans l’archipel des Tuamotu de la Polynésie Française.

Aymeric confirme :

En réponse aux moments d’émerveillement vécus au contact de l’Océan, je mets mes compétences et mon énergie au service de la protection du milieu marin. Des outils innovants adaptés au milieu marin et des stratégies commerciales hybrides pour des services efficaces sur le plan opérationnel, et rentables sur le plan économique.

Pour en savoir plus

Site web : https://icleanmysea.com

Facebook : https://www.facebook.com/icleanmysea/

Instagram : https://www.instagram.com/icleanmysea/

LinkedIn : https://fr.linkedin.com/company/i-clean-my-sea

Polyter, pour l’agriculture et la reforestation, un antidote au dérèglement climatique

Alors que les scientifiques du GIEC ont alerté sur l’accélération du réchauffement climatique (source), l’Union africaine et 11 pays du continent se sont lancés dans un projet titanesque : la Grande Muraille Verte de Dakar à Djibouti.

L’objectif est de stopper la désertification du Sahel en restaurant 100 millions d’hectares de terres dégradées. Lancée en 2005, cette initiative devrait prendre enfin de l’ampleur dans les années qui viennent. En effet, lors de la COP26 à Glasgow, le FVC (Fonds Vert pour le Climat) et le FIDA (Fonds International de Développement Agricole) ont promis de financer ce rideau de verdure à hauteur de 143,2 millions de dollars d’ici 2025.

Mais concrètement, comment réussir à restaurer ces terres arides qui s’étendent sur une bande de plus de 8000 kilomètres de long et d’une quinzaine de kilomètres de large ?

Les arbres mettent beaucoup de temps à pousser… or aujourd’hui, face à la situation d’urgence, il faut aller encore plus vite.  Au vu des enjeux, l’Afrique ne peut plus se permettre d’attendre : il s’agit de préserver la paix, d’éviter la famine en facilitant la production de nourriture, et la création d’emplois (source).

D’où l’intérêt de la technologie Polyter. Fiable, éco-responsable, durable et rentable, elle a démontré son efficacité et son efficience depuis plus de 25 ans sur l’ensemble des continents.  Testée, validée et homologuée en agroforesterie, elle offre une approche holistique aux problématiques du monde végétal.

Avec à la clé des résultats bluffants, pérennes et durables : le cycle de développement des plantes est accéléré de 1,5 à 3 fois, tout en réduisant la consommation d’eau et d’engrais.

 

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Repousser le désert, un challenge désormais à la portée de tous

En 30 ans, de Dakar à Djibouti, le désert du Sahara a avancé de 400 kilomètres. A titre de comparaison, cela représente l’équivalent de quatre fois la superficie de la France.

Cette catastrophe écologique, aux causes multiples (surpopulation, surpâturage et coupe pour le combustible), provoque non seulement une déforestation massive, mais entraîne aussi des tensions économiques et sociales.

Dans ce contexte, pour enrayer la progression des sables dans ces régions, où les conflits se multiplient, il existe une solution : planter différentes variétés d’acacias et d’autres variétés d’arbres. Le but est de capturer l’azote de l’air pour enrichir les sols naturellement et ainsi bonifier le travail paysan. Les arbres, en stabilisant et nourrissant les sols, récréent un microclimat et autorisent la mise en place de programmes agricoles.

Polyter permet de relever ces défis et et de répondre à l’urgence de résultats concrets sur un plan agronomique et environnemental. Il s’agit en effet du seul hydrofertilisant capable d’apporter aux plantes, eau et engrais en fonction de leurs propres besoins.

Philippe Ouaki di Giorno, le fondateur, souligne :

Polyter apporte la garantie de réussir des programmes d’ampleur : cette technologie assure une reprise quasi-totale de ces plantations d’arbres avec un ratio inégalé de près de 100%. Elle accélère aussi leur cycle de croissance jusqu’à 3 fois suivant les variétés.

Polyter, un puits et un garde-manger permanent pour les plantes

Présenté sous la forme de granulés, Polyter va absorber l’eau de façon spectaculaire (jusqu’à 300 fois son poids sec initial). Les plantes et les arbres vont donc avoir à disposition toutes les ressources dont ils ont besoin pour un bon démarrage puis croître rapidement et se développer harmonieusement.

Une croissance qui est aussi optimisée par la particularité de cet hydrofertilisant : il baisse la température du sol pour supprimer toute source de stress. Les végétaux poussent ainsi beaucoup plus vite. De plus, à l’intérieur de Polyter, un engrais spécifique optimise le développement de la masse racinaire.

Avec, en prime, une innovation notable :

Les racines se greffent naturellement à Polyter, puisqu’il est pratiquement organique, il devient donc partie intégrante de la plante.  Cela permet d’atteindre des rendements qualitatifs inégalés : de 50 à 300% selon les cultures.

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Une technologie éprouvée

Polyter est utilisé avec succès depuis près de 30 ans dans plus de 70 pays partout dans le monde, dans les zones arides et semi-désertiques (Sénégal, Burkina Faso, Côte d’Ivoire, Namibie, Maroc…), ou, dans des programmes de prestige comme le Festival des Fleurs de Disneyland Paris (France) et Jumeirah Palm Islands Al Nakheel Properties à Dubaï (E.A.U.).

Les principales caractéristiques de Polyter

Fertilisation

Accélération des cycles de culture et du développement du chevelu racinaire ; réduction de la consommation d’engrais de 30 à 50% ; optimisation du rendement, de la qualité et de l’entretien de la production.

Hydro-rétention

Économise au moins 50 à 80% de la consommation d’eau, augmente les surfaces cultivées. Réduction des pertes par évaporation, percolation et lixiviation.

Activation

Accélère les cycles de développement des plantes de 1,5 à 3 fois. Multiplie le développement des masses racinaires et foliaires de 3 à 5 fois. Augmente les rendements et la qualité des production.

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Régénération des sols

Stabilisation et fixation des sols par ventilation et décompactage. Restructuration de l’humus. Réduction des pertes par lessivage de la structure du sol. Augmentation de la vie du sol.

Biodégradabilité

Totalement dégradable naturellement en 3 à 5 ans, selon le nombre de bactéries présentes dans le sol (Analyse certifiée par le COFRAC, Laboratoire INOVALYS, accréditation N°1-5755).

Sécurité

Aucun résidu dans le sol ou dans les productions. Aucun danger pour la faune et les utilisateurs. N° Agrément alimentaire BAES-DMT-2019-0147-06. Analyse certifiée CE par LAUS GmbH.

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La Polysphère, un écosystème de solutions développées autour de Polyter

Pour s’adapter à tous les besoins et permettre de concrétiser tous les projets de végétalisation, Polyter propose tout un écosystème d’innovations :

  • SkyVerde : Support végétal permettant la réalisation de toitures végétalisées avec la plus grande gamme végétale possible en créant la biodiversité et un microclimat.
  • PolyTurba : Base à mélanger à un sol inerte tel que sable et cailloux permettant la création d’aménagements paysagers dans des lieux improbables comme sur Palm Island à Dubaï.
  • PolyterFix : Technologie agissant sur le changement de la structure moléculaire de l’eau afin qu’elle ne soit plus gravitaire, donc verticale, mais avec un écoulement horizontal, et ainsi faire de grandes économies des apports en eau des cultures.

A propos de Philippe Ouaki di Giormo, l’inventeur du Polyter

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Né en 1958 à Tunis, Philippe Ouaki di Giorno vit en Algérie jusqu’en 1962 avant de venir en France.

Dès son plus âge, il développe une sensibilité pour l’environnement l’amenant très vite à se poser une seule et même question : « Pourquoi ne pouvons-nous pas admirer de notre vivant un arbre grand et majestueux que l’on aurait planté soi-même ?».

Philippe obtient en septembre 1977 son Diplôme de l’école d’horticulture Tecomah de Jouy en Josas (78), où il étudie l’agronomie, la physiologie végétale et l’horticulture.

Passionné et après des années de recherche, il met au point le Plantoïde, un composant qui a le pouvoir de générer en quelques mois des arbres centenaires, répondant ainsi à son rêve d’enfant. Il choisit ce nom en référence aux Humanoïdes de la science-fiction, dont il est un fervent lecteur.

En 1991, la profession et le monde horticole lui décerne le prix « Coup de chapeau du Jury » spécialement créé pour cette invention au salon Hortimat d’Orléans.

Philippe Ouaki di Giorno s’aperçoit très rapidement que le Plantoïde, dont l’objectif principal est l’élaboration d’une matière active, développe une masse racinaire aberrante de vingt fois supérieure à celle d’une plante traditionnelle.

Après un an de R&D, il réussit à diminuer l’augmentation de la masse racinaire, qui passe alors de 20 à 5 fois. C’est une petite révolution : sa solution est désormais utilisable et compatible dans tous les domaines de l’agriculture.

Début 1992, après être parvenu à un résultat optimum, il fabrique cette matière active qu’il nommera Polyter. Très vite, l’efficacité du Polyter est confirmée avec succès auprès des professionnels, amenant de très nombreux pays à son utilisation.

Pour en savoir plus

Présentation Polyter : https://www.relations-publiques.pro/wp-content/uploads/2021/11/Polyter-Brochure-2021.pdf

Site web : https://polyter.com/fr/polyter-gr.html

Facebook : https://www.facebook.com/Polyterofficiel/

Instagram : https://www.instagram.com/polyterofficiel/

LinkedIn : https://www.linkedin.com/company/polyter

#Un Job Pour Le Climat : à l’occasion de la sortie du livre “La Victoire Climatique !”, le marin-écrivain Michel Adrien recrute Un(e) Ambassadeur(drice) qui veut contribuer à aider la planète !

Parce qu’il s’agit avant tout d’une aventure qui se doit d’être participative et fédératrice, Michel Adrien profite de la sortie de son nouveau livre, “La Victoire Climatique !” pour lancer Un Job Pour Le Climat auprès des étudiant(e)s. Avec, à la clé, un job rémunéré, motivant et riche de sens de 3 mois : Ambassadeur(drice) Médias.

Un Job Pour Le Climat : bien plus qu’un travail, une passionnante aventure à vivre.

Si vous êtes enjoué(e), optimiste, doté(e) d’une bonne culture générale, à l’aise devant un objectif et capable d’éloquence, c’est le moment de postuler au Job pour le Climat !

Pour devenir Ambassadeur(drice) médias, il suffit de :

  1. Se rendre sur le site https://micheladrien-ecrivain.fr/un-job-pour-le-climat/
  2. De télécharger La Victoire Climatique !
  3. De faire un pitch du livre en vidéo (30 s maxi)

Le (La) meilleur(e) candidat(e) retenu(e) sera sélectionné(e) par Michel Adrien et des professionnels de la Communication.

Ce sera alors le début d’un job motivant qui peut contribuer à faire bouger les lignes

Le principe est simple : durant quelques heures par mois, le (la) lauréat.e de ce challenge défendra et présentera La Victoire Climatique auprès des médias Presse, Radio et TV. En parallèle, il fera découvrir et commentera le livre via des vidéos postées sur les réseaux sociaux.

Défendre la planète est aussi rémunérateur : en devenant porte-parole de La Victoire Climatique, l’étudiant.e percevra une rémunération de 3 600 € Bruts pour 3 mois (novembre 2021 à janvier 2022) + un pourcentage sur les ventes du livre qu’il réalisera.

Pour tenter de participer à ce beau projet, c’est par ici : https://micheladrien-ecrivain.fr/un-job-pour-le-climat/

Livre de Michel Adrien

La victoire climatique

La Victoire Climatique, être résolument optimiste !

Alors que les experts du GIEC alertent sur l’accélération du réchauffement climatique (source), loin du discours du pire, la démonstration du meilleur est à venir.

Face aux conséquences de plus en plus visibles du réchauffement climatique, l’humanité se trouve face à un choix : soit elle continue de brûler sans retenue pétrole, gaz en épuisant la Terre ; soit elle décide de capter l’énergie venue d’ailleurs, en l’occurrence du Soleil et du vent qu’il génère. Maintenant, nous savons le faire.

Si la prise de conscience d’agir nécessite un électrochoc, se désespérer de la situation nous détourne de la fascinante perspective qui s’ouvre devant nous.

Marin, entrepreneur et visionnaire, Michel Adrien a très tôt compris que les ressources de la planète étaient limitées. Il nous embarque aujourd’hui, dans son nouveau livre La Victoire Climatique !, vers un horizon résolument et objectivement optimiste.

Il argumente et explique clairement comment capter les énergies renouvelables grâce aux spectaculaires progrès réalisés dans ce domaine et pointe les formidables opportunités de « croissance verte » pour la France et pour l’Europe.

Avec détermination et confiance, l’auteur démontre que les nouvelles technologies permettront à l’humanité de limiter le réchauffement climatique et d’atteindre la neutralité carbone en 2050/2060 pour remporter La Victoire Climatique !

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Extrait

“Beaucoup doutent de notre capacité à nous passer des produits pétroliers, principaux responsables du dérèglement climatique, alors que nous allons le faire, et cela dans les prochaines années grâce aux énergies inépuisables et propres que nous offrent généreusement le soleil et le vent, et aussi grâce à l’hydrogène. Certains ont encore du mal à y croire, et nous les comprenons.

Pourtant, la révolution énergétique qui s’amorce sous nos yeux va bel et bien avoir lieu et même nous surprendre par sa rapidité et par son ampleur. Nous allons vous le démontrer dans ce livre. La « révolution du soleil et du vent », en plus de nous procurer l’énergie décarbonée dont nous avons besoin, va aussi générer une « croissance verte », encore insoupçonnée. Une multitude d’emplois seront créés dans les domaines du solaire et de l’éolien, en particulier offshore.

Pour une fois, notre pays bénéficie d’une chance inouïe qu’il doit saisir à bras-le-corps, celle de posséder l’un des premiers domaines maritimes au monde ; car c’est bien sur les zones maritimes que va se développer la plus grande production d’énergie verte, et cela dans un très proche avenir.

Aussi, plutôt que de baisser les bras face à l’adversité, nous devons nous retrousser les manches et participer à l’avènement de ce nouveau et passionnant deal. Nous avons devant nous une perspective enthousiasmante, notamment pour les jeunes, qui ont l’avenir devant eux. Ils vont avoir la chance de vivre l’aventure exaltante de cette révolution, bien éloignée de la lente agonie inhérente à une extinction de masse.”

A propos de Michel Adrien

Michel Adrien

Michel Adrien est marin, entrepreneur, visionnaire et auteur à succès.

Né à Noirmoutier, mousse à quatorze ans, il devient patron de son propre bateau à vingt-trois ans avant de bâtir un empire de pêche reconnu dans le monde entier.

Retiré des affaires, humaniste et bienveillant, il devient écrivain, une fois de plus avec succès.

La Victoire Climatique ! est son troisième ouvrage, un livre au message exaltant et inspirant pour toutes les générations.

Portrait Michel Adrien

Portrait Michel Adrien

Informations Pratiques

La Victoire Climatique ! de Michel Adrien

  • Édition de l’Etrave
  • 198 pages
  • ISBN : 9 782359 920772
  • Prix : 18 €

En savoir plus

Site web : https://micheladrien-ecrivain.fr/

Greenliving : le nouveau concept clé-en-main pour se lancer dans l’immobilier locatif sûr et rentable tout en agissant pour protéger la planète

D’ici 2050, la France s’est donnée pour objectif de réduire de 45 % les consommations d’énergie et de diviser par 4 les émissions GES.

Pour y arriver, la transition énergétique des bâtiments existants est essentielle. Cela passe, notamment, par la sobriété énergétique menée par les usagers, mais aussi par la rénovation du parc immobilier ancien (sources : ademe.fr, ecologie.gouv.fr, cerema.fr, étude deloitte-fpi) :

  • Le secteur du bâtiment consomme à lui seul 43 % de l’énergie ;
  • 23 % des GES (gaz à effet de serre) proviennent du secteur résidentiel et tertiaire ;
  • Il y a en France 4,8 millions de passoires thermiques.

Les jeunes sont d’ailleurs particulièrement sensibilisés à ces enjeux : 77 % pensent qu’il faut privilégier la rénovation des logements anciens.

En parallèle, l’immobilier apparaît plus que jamais comme LE placement privilégié des Français : ils sont 7 sur 10 à le préférer aux supports financiers. Valeur refuge par excellence, il est d’autant plus attractif que tous les indicateurs sont au vert actuellement : hausse des prix, forte demande locative, engouement pour la pierre… (sources : crédit foncier/ locservice.fr /meilleursagents.com).

Alors pourquoi ne pas concilier ces deux problématiques ?

Greenliving est un nouveau concept d’immobilier locatif à impact, qui propose d’allier rentabilité et efficacité énergétique.

La jeune pousse propose ainsi une offre clé en main pour se lancer dans des placements sûrs et rentables.

Avec, toujours, une garantie de satisfaction grâce à des services à 360°, qui incluent un accompagnement sur l’aspect bancaire, le dispositif “maprimerenov”, mais aussi l’accès à des partenaires compétents en matière d’électricité verte.

Avec Greenliving, nous voulons proposer un accompagnement que l’on a imaginé depuis longtemps : avoir un interlocuteur privilégié, qui simplifie les démarches pour investir dans l’immobilier tout en ayant une démarche environnementale.

Loïc Botella et Michael Sciuto, co-fondateurs

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L’investissement locatif à impact devient enfin accessible à tous

Investir dans l’immobilier ancien est souvent dissuasif quand on n’est pas du métier : cela prend beaucoup de temps, il faut avoir de solides connaissances pour identifier les bons placements, et ensuite être capable de gérer toute la complexité fiscale et financière qui entoure l’immobilier.

C’est pour en finir avec cette situation que Greenliving a inventé l’investissement locatif en mode “zéro prise de tête”.

Son équipe de passionnés se charge de tout, via une offre clé en main qui inclut :

  • La recherche du bien en fonction des besoins et du budget de l’investisseur ;
  • La mise en relation avec des partenaires bancaires ;
  • La possibilité d’obtenir l’éco – PTZ ;
  • La mise en relation auprès des artisans ;
  • Le pilotage des travaux ;
  • La gestion des demandes de primes/aides de l’État et des C.E.E (certificats d’économie d’énergie) sur “maprimerenov” ;
  • La proposition de plusieurs packs d’ameublement ;
  • La gestion locative (en option) + mise en place des contrats d’énergie (verte, bien sûr !).

Un acteur de la transition énergétique pour investir sûr et engagé

Greenliving n’est pas une société d’investissement locatif comme les autres puisqu’elle met en place des actions concrètes autour de l’impact environnemental grâce à 4 piliers fondamentaux :

  1. La rénovation énergétique ;
  2. L’ameublement écoresponsable ;
  3. La sensibilisation des locataires à l’écogestion ;
  4. La contribution financière à des organismes à impact : la jeune pousse reverse notamment 1 % de son chiffre d’affaires à l’association “1 % for the planet”.

Après chaque rénovation, afin de mesurer les gains d’énergie, Greenliving a mis en place un indicateur de mesure appelé “Le compteur”.

Michael Sciuto, co-fondateur, souligne :

A ce jour, le gain de consommation réalisé, après rénovation, sur les projets confiés, est de 300 kWh/m²/an, soit un gain de 35 % en moyenne. Cela équivaut à un gain d’1 mois de consommation en électricité d’un appartement !

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Zoom sur les produits d’investissement disponibles

Studio/T1

Un investissement intéressant : ticket d’entrée faible, vacance locative faible, investissement peu risqué, plutôt liquide comme placement. En revanche, la rentabilité n’est pas toujours au rendez-vous, il faut choisir son placement avec soin.

L’avis Greenliving : cet investissement est bien pour débuter dans l’investissement, ou diversifier son patrimoine sans risque.

Colocation

Un investissement tendance depuis quelques années, car ce type de logement est dans l’air du temps : il séduit aussi bien les étudiants que les jeunes actifs. La colocation permet aussi d’accéder à des biens dans des villes tendues ou dans des secteurs périphériques des centres villes.

L’avis Greenliving : la colocation est un investissement génial pour ceux qui veulent allier cashflow et patrimoine (en fonction des secteurs).

Montpellier - Projet colocation 4 chambres

Montpellier – Projet colocation 4 chambres

Coliving

Un placement qui suppose de faire des travaux conséquents pour toucher de jeunes actifs, qui veulent bénéficier d’espaces privés, de lieux communs plus grands, tout en bénéficiant de services mutualisés.

​L’avis Greenliving : c’est un investissement qui demande une prise de risque plus importante, car moins liquide. À la revente, vous vous adressez à des investisseurs plutôt aguerris. Chez Greenliving, nous sommes convaincus que le coliving sera un mode d’habitat à part entière dans les années à venir.

Immeuble de rapport ou de rendement

Cet investissement suppose d’effectuer une analyse complète, car la prise de risque est très forte en raison des publics visés. En fonction des secteurs, le ticket d’entrée peut être plus ou moins élevé.

​L’avis Greenliving : ce type de placement est destiné aux personnes qui ont déjà sécurisé du patrimoine ou bien qui ont de l’épargne.

A propos de l’équipe

Derrière le concept Greenliving, il y a deux mordus de l’immobilier et de travaux.

Loïc Botella, co-fondateur et responsable du pôle travaux

Loic, 35 ans est l’heureux papa d’un petit garçon. Il a effectué une partie de sa carrière professionnelle dans le secteur de la rénovation/pilotage de chantier sur des postes à responsabilité, en tant que responsable technique.

Michael Sciuto, co-fondateur et responsable du pôle investissement

Michael, 35 ans, est papa de 2 petites filles. Il a acquis une solide expérience dans le secteur de la construction, de l’immobilier et des normes environnementales, en tant que responsable commercial.

Nous sommes investisseurs à titre privé. On réalisait des investissements avec des rendements supérieurs au marché, et grâce aux travaux effectués, on avait des gains d’énergies conséquents. Greenliving, c’est la combinaison de l’ensemble de nos expériences !

Présente sur Montpellier et Nîmes, la jeune pousse Greenliving prévoit déjà à court terme de s’étendre à d’autres villes.

Pour en savoir plus

Dossier de presse : https://www.relations-publiques.pro/wp-content/uploads/pros/20210719142608-p3-document-eunf.pdf

Site web : https://www.greenliving.fr/

Facebook : https://www.facebook.com/greenliving.impact

Instagram : https://www.instagram.com/greenliving.impact

LinkedIn : https://www.linkedin.com/company/68836650/admin/

La Belle Empreinte lance l’Opération “Emplettes Responsables à Paris” avec 45 acteurs engagés le 14 avril prochain pour soutenir les boutiques

S’habiller, décorer sa maison, cuisiner de bons petits plats … Derrière chacun de nos actes du quotidien, il y a des achats qui ont un impact sur la Terre et sur les Hommes. D’autant plus que les emplettes responsables sont aussi sources de rencontres, de découvertes et de fierté pour le client.

Après deux confinements successifs, ces acteurs, et plus spécialement les boutiques de proximité, ont plus que jamais besoin d’être encouragés. Mais vers qui se tourner à Paris pour participer à cette démarche vertueuse qui profite à tous ?

Forte du succès de sa première édition, La Belle Empreinte réitère l’opération Emplettes Responsables avec 45 partenaires à Paris le 14 avril prochain.

Livret de conseil, jeu-concours… Cette opération collective de sensibilisation aux emplettes responsables, accessible à tous, veut booster le commerce à impact écologique et social à Paris.

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Save The Date : L’Opération Emplettes Responsables fera vibrer la capitale le 14 avril

Et si le Paris responsable n’était plus réservé à quelques happy few ? On ne le sait pas assez mais la capitale fourmille de belles initiatives qui gagnent à être connues.

C’est pour leur donner un coup de projecteur et répondre aux attentes des Parisiens que La Belle Empreinte lance la deuxième édition de son Opération Emplettes Responsables.

Au programme :

Le Guide des Emplettes Responsables

Le Guide de Emplettes Responsables veut faciliter le passage à l’action en proposant une liste de solutions engagées facilement accessibles.

Soutenu par la Mairie de Paris, Leboncoin, le Jacquard français, Faïencerie de Gien, Balzac Paris, Laines Paysannes et Santander Banque, le Guide des Emplettes Responsables est un livret d’une quarantaine de pages édité en format PDF et papier.

Organisé selon 4 rubriques (Textile, Maison, Alimentation et Information), il est composé de :

  • Des pages conseils, pour comprendre les enjeux et mettre en place des gestes simples au quotidien ;
  • Une base unique de près de 300 adresses engagées pour savoir où acheter ;
  • Des interviews de personnalités inspirantes pour approfondir (Anne Quemin, Directrice de la Communication chez Leboncoin, Béatrice Brandt, Directrice Générale du Jacquard Français, Chrysoline de Gastines, fondatrice de Balzac Paris) ou d’entreprises inspirantes (Laines Paysannes).

Le Guide est financé à 50% par les partenaires financiers et à 50% via un crowdfunding, lancé le 8 mars sur Zeste (la plateforme éthique de la banque La Nef).

Ceux et celles qui soutiennent cette belle aventure sont enthousiastes : “Hâte de pouvoir apporter mon soutien aux marques engagées !”, “La première version du guide m’a bien aidé. Hâte de découvrir la nouvelle version ! Merci !”, “Un projet qui a du souffle, merci bon vent”, “Super projet, je contribue avec plaisir !”…

Le Jeu-Concours du 14 avril au 14 mai

Pendant un mois, l’Opération Emplettes Responsables va permettre à chacun de faire un premier pas, en s’amusant, vers des achats à impact écologique et social.

Le principe est simple :

  1. Les participants répondent à 5 questions choc en ligne ;
  2. Les gagnants, tirés au sort parmi les bonnes réponses, remportent un lot d’une marque partenaire engagée dans l’opération telle que : Panafrica, le Slip français, Faïencerie de Gien, le Jacquard Français, Balzac Paris, Quatre Coins, Ateliers Unes, Lautrec, Kipli, Wecandoo, Onfootprint, Chaussettes Orphelines, Histon Project, Dreamact, Altermundi, Floratropia, La Carte Française, Le Pompon, Tassiopée, Optique Durable, Trendethics, Ethi’kdo, Leboncoin, 1083, Armaillé Paris, Il était plusieurs fois, Laines Paysannes, Reine de Bohême, etc.

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Mettre en lumière les marques qui s’engagent concrètement à changer les choses

L’Opération Emplettes Responsables veut donner de la visibilité à tous ceux et celles qui agissent, au quotidien pour faire bouger les lignes : gros acteurs responsables comme nouveaux arrivants, l’initiative constitue une caisse de résonance pour les marques parisiennes.

Cette visibilité passe également par le Guide. Gratuit dans sa version digitale, il est distribué en version papier contre une libre participation sur le site de La Belle Empreinte https://labelleempreinte.fr/guide.

Le Guide des Emplettes Responsables à Paris 2019 a rencontré un franc succès auprès des initiatives parisiennes engagées : plus de 35 partenaires ont été fédérés et de nouvelles marques ont manifesté très tôt leur désir de participer à l’édition 2021. Les Parisiens quant à eux ont largement apprécié ce nouveau support !

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Comment faire partie du Guide ?

Le Guide des Emplettes Responsables propose exclusivement des bonnes adresses qui ont mis en place au moins une action à fort impact écologique et social sur la majorité de leur proposition :

Origine Géographique : la moitié des produits sont français ou réalisés par la marque ou + de 90% des produits sont européens (hors adresses répertoriées dans la rubrique Alimentation).

Engagement social : un engagement en faveur de l’insertion sociale, du commerce équitable ou de l’artisanat concernant + de la moitié des produits.

Matières Responsables : la moitié des produits doivent être réalisés en matière écologique (bio, recyclées, etc.).

Circularité & Sensibilisation : il s’agit d’être un lieu de vente de produits d’occasion, d’information sur les emplettes à impact, un lieu qui favorise le “fait maison”, le recyclage, la circularité etc.

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Un maximum de nouveautés pour l’édition 2021

Dans un soucis d’amélioration et d’innovation continue, La Belle Empreinte, en s’appuyant sur les retours des utilisateurs et des marques, a pensé des nouveautés pour enrichir la nouvelle édition de ce Guide :

  • des cartes thématiques du Paris responsable,
  • l’augmentation significative du nombre d’adresses,
  • des macarons pour les boutiques physiques engagées (sous réserve qu’un nombre suffisant de macarons soient précommandés) …

Cette nouvelle édition, ultra-qualitative et illustrée par Edith Caron, est réalisée avec cette touche qui fait la marque de fabrique de La Belle Empreinte : la rigueur scientifique dans un style de communication joyeux, pour réconcilier exactitude et plaisir de la découverte. L’idée est de donner envie d’agir, sans culpabiliser, pour créer une Communauté engagée.

Les + du Guide : une approche pédagogique, des connaissances scientifiques fiables, synthétisées, pour être accessibles, une mine d’adresses engagées sur les thématiques du Textile, de la Maison (ameublement, linge de maison, fleurs, décoration, etc.) et du Quotidien.

La Belle Empreinte, le Label des objets qui font du bien à la Terre, aux Emplois et aux Clients, pour une Communauté et des Marques engagées.

La Belle Empreinte développe des outils d’information qui simplifient les emplettes responsables, créent du lien avec les fabricants et font connaître la multitude d’initiatives positives en France.

En plus du guide, La Belle Empreinte développe un label innovant pour les objets qui font du bien à la terre, aux emplois et aux clients.

Le label complet et exigeant vérifie que la fabrication d’un objet est respectueuse de la terre et des hommes à chacune des étapes du cycle vie.

Chaque objet labellisé s’accompagne d’une étiquette digitale qui explique pourquoi l’objet est labellisé et La Belle Histoire de sa fabrication.

Disponible pour le textile, il a pour vocation de s’étendre au papier, aux meubles et aux jouets.

La Belle Empreinte a aussi développé une offre sur-mesure qui permet aux entreprises de faire un premier pas ou de poursuivre leur dynamique d’éco-conception :

  • Formation des équipes pour comprendre les grands enjeux ;
  • Mesure d’impact eau et carbone ;
  • Accompagnement à l’affichage environnemental ;
  • Plan stratégique et opérationnel pour optimiser les process de l’organisation dans une optique d’éco-conception ;
  • Labellisation des collections grâce au Compteur DD, un algorithme qui prend en compte les 40 défis prioritaires pour la Terre, les Emplois et les Clients.

Pour les Entreprises, La Belle Empreinte réalise des Team Building qui engagent les salariés grâce à des thématiques porteuses de sens telles que la Biodiversité & les Emplettes Responsables.

 

Une belle aventure humaine

Delphine, la fondatrice, est Diplômée des MinesParistech. Elle a travaillé pendant 6 ans en audit, développement durable et innovation dans l’industrie.

En 2018, désireuse de contribuer à l’élan collectif autour du développement durable, elle crée La Belle Empreinte avec un objectif : guider les particuliers et les marques vers des objets qui font du bien à la terre et aux hommes.

Elle souligne :

Produire les objets en créant de beaux emplois et en utilisant les ressources de la nature avec parcimonie m’est apparu comme une nécessité. Partager l’histoire des objets est aussi une occasion de créer plus de lien entre les particuliers et le monde passionnant de la production. Enfin, le client, acteur du changement, peut aussi être fier de son impact par ses emplettes au quotidien.

De nombreuses personnes ont aussi contribué au développement de La Belle Empreinte et à la nouvelle édition du guide : membres de l’équipe, étudiants bénévoles du NOISE, experts du développement durable…

Ce projet a eu la chance d’être accompagné par La Ruche dans le cadre du programme Les Audacieuses et par le dispositif UpFactory (Groupe SOS).

Pour en savoir plus

Site web : https://labelleempreinte.fr/

Facebook : https://www.facebook.com/LaBelleEmpreinte.fr

Instagram : https://www.instagram.com/labelleempreinte/

LinkedIn : https://www.linkedin.com/company/la-belle-empreinte

I Clean My Sea, la première app qui permet de signaler les plastiques en mer, lance une campagne mondiale de collecte des déchets

« On aime ce qui nous a émerveillé, et on protège ce que l’on aime » disait Jacques-Yves Cousteau, le célèbre explorateur océanographique français.

Oui mais… combien de citoyens, partout dans le monde, ont l’impression d’assister, impuissants, à la pollution plastique qui envahit les océans et qui détruit tout sur son passage ?

Les plaisanciers et les vacanciers qui partent se promener en mer ou sur les fleuves ne peuvent généralement que constater les dégâts.

Or les chiffres sont alarmants :

  • 253 kilos de plastique sont déversés chaque seconde dans les océans selon l’UNESCO (source) ;
  • 99% des animaux marins auront ingéré du plastique d’ici 2050 (source) ;
  • chaque année, plus d’1 million d’oiseaux marins et plus de 100 000 mammifères meurent à cause du plastique ;
  • le corps humain absorbe jusqu’à 1% de microparticules de plastique… car nous en consommons jusqu’à 11 000 chaque année (source : Université de Gand, Belgique, 2017) ;
  • d’ici 2050, il y aura plus de plastique que de poissons dans les océans.

Alors faut-il se résoudre à rester les bras croisés en attendant que la situation empire ? Pas du tout !

Fondée par un océanographe, la start-up I Clean My Sea lance une application mobile pour permettre à tous les citoyens de devenir acteurs de la collecte des déchets flottants en mer.

Le concept est ultra-efficace : il suffit de prendre une photo des déchets et, hop, l’appli les géolocalise et envoie les informations à The Collector, un navire spécialisé dans la collecte des déchets en mer (déjà actif au Pays Basque).

Participer au nettoyage des océans n’a jamais été aussi simple !

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Photographier les déchets flottants : le nouveau réflexe à adopter pour protéger les océans

Et si nettoyer les océans devenait encore plus simple que de prendre un selfie ? Et si la puissance du collectif venait soutenir les initiatives en faveur de la protection de l’environnement ?

Pour agir, il n’y a pas besoin que les choses soient fastidieuses, chronophages, complexes ou coûteuses. Ce qui compte, c’est la somme des petites actions positives qui s’additionnent et constituent une véritable force.

Pour I Clean My Sea, c’est une évidence : la lutte contre les déchets flottants passe par une détection participative, simple et gratuite.

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L’application mobile, désormais disponible pour le monde entier, repose sur un concept innovant :

  1. Chaque usager de la mer, qu’il soit à terre ou en mer, peut prendre en photo des déchets flottants via l’app qui les géolocalise ;
  2. Les marins collecteurs bénéficient alors en temps réel d’une photo des déchets, de leur position et d’une prévision de leur trajectoires de dérive ;
  3. Le navire The Collector intervient alors pour collecter les déchets ;
  4. Le plastique récupéré en mer est ensuite valorisé par des entreprises spécialisées ;
  5. Il deviendra un superbe produit, à longue durée de vie, estampillé I Clean My Sea “100% marine source” : des t-shirts, des chemises, des gourdes, des sweats, des gilets…

C’est un véritable cercle vertueux qui se met en place !

De plus, tous les usagers, qui deviennent ainsi des acteurs luttant contre la pollution plastique, peuvent suivre la dérive prévue des déchets qu’ils ont détectés.

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The Collector : le premier navire anti-déchets a déjà pris la mer

The Collector, navire spécialisé dans la collecte des déchets en mer, est déjà déployé au Pays Basque

Grâce aux citoyens, il profite de précieuses données pour agir efficacement.

D’abord parce qu’il devient possible de comprendre où et quand les accumulations de plastiques se forment. C’est une étape indispensable pour améliorer l’impact de tous les dispositifs mis en oeuvre afin de protéger les océans.

Ensuite, parce que les signalements permettent de développer la détection satellite et donc de les repérer “depuis l’espace”.

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Aymeric Jouon, le fondateur, souligne :

Les navires qui collectent les plastiques en mer ne savent pas où aller pour récupérer les déchets. Il en résulte une perte de temps et d’argent énorme ! Avec The Collector, je veux démontrer que pour être efficace dans la collecte des déchets flottants, il faut se positionner aux embouchures des rivières.

En effet 80% des déchets qui arrivent en mer transitent par les rivières.

Un constat qu’Aymeric a déjà fait à titre personnel : lors de ses sorties en mer, il a remarqué qu’il y a plus de déchets flottants à la sortie de l’Adour, le fleuve limitrophe des Landes et du Pays Basque, que partout ailleurs sur le littoral du Sud-Ouest.

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Les (grands) petits plus I Clean My Sea

  • La mobilisation des citoyens au sein d’un projet participatif : elle permet d’agir avec précision et facilite la prise de conscience environnementale globale. Il s’agit d’ailleurs d’un levier très efficace pour sensibiliser les jeunes générations à la protection des océans.
  • L’efficacité : la plupart des projets existants n’ont pas produit de véritables résultats, malgré leur succès médiatique et d’importantes ressources financières, car ils ne savent pas où collecter les déchets.
  • L’expérience : Aymeric Jouon est expert en Océanographie, il a une solide expérience des pollutions marines (il a notamment été responsable d’un navire de collecte des déchets en mer pendant 4 ans) ;
  • Une action au service de l’intérêt général : I Clean My Sea est une entreprise de l’Economie Sociale et Solidaire ;
  • Une entreprise française, basée à Bidart, dans le Pays Basque.

À propos d’Aymeric Jouon, le fondateur

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Océanographe de formation, Aymeric Jouon a travaillé pendant cinq ans dans la recherche (plus de 500 citations) et huit ans dans le privé. Il a également été responsable d’un navire de dépollution pendant quatre ans.

Aujourd’hui, il est le Directeur d’Hydro-Cote, une entreprise de développement de services innovants en environnement maritime.

Aymeric a très tôt pris une décision qui va guider tous ces choix personnels et professionnels : vivre au contact de la mer.

Depuis l’achat de sa première planche à voile à 13 ans, en passant par son travail de sauveteur en mer pendant ses études jusqu’à ses travaux de recherche, sa motivation est nourrie par les émotions que l’océan lui procure :

  • Le sentiment de dépassement de soi en planche à voile au milieu des floes (glaçons) du fjord d’Oslo ;
  • Le sentiment d’émerveillement devant le ballet aquatique interprété par deux raies mantas dans le grand bleu au large d’Ouvéa, Nouvelle-Calédonie au cours d’une session d’apnée ;
  • La sensation d’adrénaline d’une plongée au milieu du plus grand regroupement de requins au monde dans la passe sud de Fakarava au Tuamotu de Polynésie Française.

Aymeric confirme :

En réponse aux moments d’émerveillement vécus au contact de l’Océan, je mets mes compétences et mon énergie au service de la protection du milieu marin avec les moyens existants tout en développant des outils innovants et en adoptant une stratégie économique viable et pérenne.

https://youtu.be/clvvcMhdOpM

Pour en savoir plus

Site web : https://icleanmysea.com

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Feux de forêts : pour agir efficacement, l’OMPE veut créer et piloter en France le 1er Centre Mondial de Lutte contre les Feux

Il suffit de regarder l’actualité pour constater l’importante recrudescence des feux de forêt. De plus en plus longs à éteindre, ils occasionnent des dégâts incroyables :

  • en France : à Martigues, en Alsace, dans l’Aube, en Meurthe-et-Moselle, à Anglet… ce sont des centaines d’hectares qui ont disparu en fumée (source) ;
  • en Sibérie : plus de 160 incendies ont détruit 333 000 hectares de forêts et relâché des tonnes de CO2 dans l’atmosphère (source) ;
  • en Amazonie : les incendies ont augmenté de près de 20% en juin dernier par rapport à 2019, avec plus de 2 200 foyers, ce qui est un record inégalé depuis 13 ans (source) ;
  • aux Etats-Unis : plusieurs milliers d’hectares ont été dévastés dans l’Etat de Washington, mais aussi dans le Nevada, la Californie, l’Utah…(source)
  • en Pologne : le plus grand parc national a été ravagé par les flammes (source) ;
  • en Australie : plus de 5 millions d’hectares ont brûlé et 80% de la population a été touchée par la fumée toxique (source) ;
  • ….

Pourtant, malgré cette situation catastrophique, les gouvernements actuels ne prennent pas réellement en compte cette priorité écologique mondiale majeure. Dans ce contexte, l’OMPE (Organisation Mondiale pour la Protection de l’Environnement) veut créer et piloter le 1er Centre Mondial de Lutte contre les Feux, en France. 20200804081845-p1-document-fzgg L’OMPE a fait un constat ces derniers temps. Malgré le courage et la motivation indiscutable de nos pompiers, les feux sont de plus en plus puissants et nombreux, ils mobilisent de plus en plus de pompiers et de moyens et coûtent de plus en plus chers avec des matériels souvent anciens et très coûteux en maintenance. Les feux tuent de plus en plus de personnes et d’animaux, polluent énormément et mettent de plus en plus de temps à être éteints. Cela renvoie au principe des trois 30 (vent, sécheresse, température) qui est très souvent dépassé aujourd’hui en raison du réchauffement climatique, des sécheresses, des vagues de chaleurs et de la rareté de l’eau (utilisée au moment l’extinction). La destruction des forêts survient de plus en plus rapidement, passant d’une périodicité trimestrielle à quelque chose de quasi-hebdomadaire et parfois quotidien voire permanent (Suède, Sibérie, Amazonie, Californie, Canada, Australie). De plus, des microparticules sont relâchées dans l’air suite à la combustion incomplète des arbres, des feuilles et des broussailles. Les Feux de Forêts sont classés dans la catégorie très dangereuse des ARCs par l’OMPE, c’est-à-dire des Accélérateurs du Réchauffement Climatique. Les ARCS sont des sujets à traiter en priorité suite à leurs nombreuses conséquences sur notre planète : dégagement de CO2, de GES, baisse des puits de carbone et de la fabrication d’O2, augmentation des températures, perte de la biodiversité, fonte du permafrost, dégagement de méthane, etc… Les Feux de Forêts détruisent les arbres, qui sont, rappelons-le, les poumons de la planète, et transforment le CO2 en oxygène, autrement dit les arbres sont  indispensables à la vie. De plus, les incendiaires ou commanditaires n’ont jamais été retrouvés et dans le cas échéant, ils sont rarement punis pour leurs actes.

Une urgence : Trouver rapidement des solutions pour lutter contre les feux de forêts

Dans la mesure où l’augmentation et la virulence des feux de forêts constituent un phénomène mondial, il est fondamental de créer une structure indépendante capable de centraliser la recherche et les initiatives pour trouver des solutions efficaces. Le Centre Mondial de Lutte contre les Feux a vocation à réfléchir à des politiques de prévention pérennes mais aussi à imaginer des moyens performants pour arrêter rapidement les feux de forêts. Il pourra notamment s’appuyer sur l’expertise et les travaux déjà menés par l’OMPE sur le SEURFF (Système d’Extinction Ultra-Rapide des Feux de Forêts).

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Objectif : éteindre les feux de forêts en une journée ou en quelques heures, ces délais permettant de réduire fortement la pollution de l’air, la déforestation, les pertes humaines et le réchauffement climatique, ainsi que les actuels coûts gigantesques. Gilles Lazzarini, le fondateur de l’OMPE, souligne :

L’intérêt de ces nouveaux systèmes d’extinction ultra-rapide des feux de forêts est qu’ils n’utilisent pas d’eau. Ils asphyxient les flammes en quelques minutes seulement à partir de projection d’azote et d’autres gaz sous pression.

Il est composé de camions et d’avions propulseurs de gaz et remplacera les systèmes actuels dépassés par le réchauffement climatique.

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L’OMPE : des actions ciblées pour protéger la planète

Fondée en 2013 par Gilles Lazzarini, l’Organisation Mondiale pour la Protection de l’Environnement (OMPE) s’inscrit dès ses débuts dans une gestion globale et transversale des problématiques environnementales, et fait de cette particularité sa marque et son empreinte dans le monde associatif. Elle a déjà lancé 10 projets novateurs et concrets :

1) La nouvelle voiture autonome partagée, écologique et sécurisée. Elle est destinée à remplacer progressivement nos véhicules actuels polluants et dangereux.

2) La Barge géante et ses Drones fischy anti-plastiques : ces barges naviguent en permanence nuit et jour au-dessus des vortex de plastiques pour récupérer tous les déchets.

3) L’absorbeur de CO2 et de gaz à effet de serre : il s’agit de panneaux filtrant de grandes dimensions posés à l’entrée et à l’intérieur des villes.

4) La génothèque mondiale stocke physiquement et informatiquement les génomes des espèces en voie de disparition grâce à des matériels et des équipes de vétérinaires spécialisés.

5) Les parcs Charles Darwin : ces parcs animaliers ultra-modernes créés pour ré-augmenter le nombre d’animaux sur Terre.

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6) Le SEURFF (Système d’Extinction Ultra-Rapide des Feux de Forêts) : ce système ultra-moderne permet d’asphyxier les flammes en quelques minutes seulement à partir de projection d’azote et d’autres gaz sous pression.

7) La Caisse verte : il s’agit d’un progiciel informatique permettant de passer à la Transition Écologique Mondiale.

8) Le CMPE (Code Mondial pour la Protection de l’Environnement) : cet ensemble de textes et articles permettant d’homogénéiser de manière globale les lois mondiales régissant l’environnement et la biodiversité pays par pays.

9) Les virus : ce projet consiste à centraliser depuis le Centre de Recherche de l’OMPE les recherches contre les virus et contre les moustiques effectuées dans tous les instituts publics de santé du monde.

10) Le projet OMBRE : ce système se comporte comme un parasol géant composé de panneaux de déflexions physiques couplés à des systèmes de déflexions ondulaires filtrant ou réfléchissant les photons du soleil.

L’OMPE, en quelques chiffres

  • 150 adhérents et 10 nouvelles demandes d’adhésion par semaine du monde entier
  • 45.000 visites uniques du site par mois du monde entier
  • 13.000 membres Facebook du monde entier
  • 12.800 signatures sur la Campagne Stop Ça suffit aux Feux de Forêts
  • 17.150 signatures sur la Campagne Stop Ça suffit anti corrida et maltraitances aux Animaux

A propos de Gilles Lazzarini, fondateur et président de l’OMPE

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Né à Nice, Gilles Lazzarini est un ancien ingénieur IBM. Cet écologiste convaincu est passionné depuis l’enfance par la planète, les animaux et l’environnement. Compositeur talentueux, environnementaliste et philanthrope, il décide de s’engager plus activement en faveur de la protection environnementale et animale en réaction à un émouvant et éprouvant documentaire sur le massacre de la Baie de Taijin au Japon : « J’ai vu le plaisir que prenaient les pêcheurs à ensanglanter avec leurs machettes des globicéphales condamnés depuis longtemps dans les mailles de filets, d’où ils n’auraient jamais pu s’échapper. Je ne pouvais pas rester spectateur ».

En 2013, il fonde l’Organisation Mondiale pour la Protection de l’Environnement, et assure en fervent adepte du stabilationisme, la présidence de l’ONG. La passion de la musique ne l’a pas pour autant pas quitté et Gilles Lazzarini met ses notes au service de ses engagements. Après avoir composé et co-écrit une chanson caritative « Avec toi, avec nous » sur le thème de la planète et des animaux et interprétée par les voix des “Stars 80″ (disponible à l’écoute sur le site de l’OMPE), il compose en 2016, suite à l’attentat de Nice, “Le chant des Anges”. En 2020, Gilles a fondé le parti politique écolo-citoyen P5 (parti politique pour la paix et la protection de la planète) et annoncé sa candidature à l’élection présidentielle de 2022. Gilles Lazzarini se positionne un peu en lanceur d’alerte en classant les Feux de Forêts à un niveau d’importance ultra-prioritaire aux conséquences catastrophiques par rapport aux autres dérèglements de l’environnement. C’est pourquoi l’OMPE (Organisation Mondiale pour la Protection de l’Environnement) veut créer et piloter le 1er Centre Mondial de Lutte contre les Feux, en France !

Pour en savoir plus

Site web : http://www.ompe.org Facebook : https://www.facebook.com/OMPE.FRANCE/ Instagram : https://www.instagram.com/ompeworld/ LinkedIn : https://www.linkedin.com/in/gilleslazzarini/

Urgence climatique : quels sont les enseignements de la crise du Covid-19 pour mieux se préparer aux défis de demain ?

Dans le “monde d’avant”, l’ONU alertait déjà sur la réalité de l’urgence climatique (source).

Aujourd’hui, dans le monde post-Covid, elle est plus que jamais d’actualité. Mais pour se préparer aux défis de demain, encore faut-il les appréhender dans leur globalité !

Face à la crise sanitaire et ses conséquences économiques auxquelles nous sommes confrontés, les professionnels du conseil climat, énergie et environnement réunis au sein de l’APCC (Association des Professionnels en Conseil Climat, Energie et Environnement) prennent la parole.

Ils soulignent :

Les problèmes majeurs de notre époque (changement climatique, énergie, environnement, santé, sécurité alimentaire, déforestation et mondialisation des productions) ne peuvent être compris isolément. Ils sont systémiques, interconnectés et interdépendants. Or, notre société est peu entraînée à appréhender ce type de problèmes.

Cette crise n’est d’ailleurs qu’un des prémices de nouvelles crises à venir ! Il convient donc de saisir cette opportunité pour réfléchir et repenser nos modes d’organisation, transformer nos modèles de société pour devenir plus résilients face au défi climatique qui nous attend.

Pour y parvenir, les membres de l’APCC formulent 30 propositions visant à mettre en place de véritables plans de transformation, que ce soit au niveau des territoires, des organisations ou plus largement de la société.

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Agir dès maintenant pour changer la donne

Les professionnels du conseil climat, énergie et environnement réunis au sein de l’APCC (Association des Professionnels en Conseil Climat, Energie et Environnement) accompagnent au quotidien les entreprises privées, structures publiques, collectivités locales et territoires.

Leur mission consiste à identifier les risques, en particulier sur les enjeux énergétiques et climatiques, les anticiper et se préparer pour y faire face.

En accord avec cette mission, ils viennent de sortir une publication,“Tirer les enseignements de la crise du COVID-19 pour mieux se préparer au défi climatique”.

Les membres de l’APCC enjoignent le gouvernement à avoir la sagesse et le courage politique d’engager de véritables actions allant dans le sens d’une société plus résiliente, à faible impact carbone, plutôt que le retour à un « business as usual » qui serait nuisible à long terme et incompatible avec l’Accord de Paris.

Forts de leurs expériences auprès des entreprises et des collectivités, et très au fait des enjeux auxquels notre société va être confrontée en termes de changement climatique et de ses conséquences, ils ont à cœur de faire passer un message fort : notre modèle de société doit évoluer pour être capable de supporter les nombreuses autres crises à venir.

L’Etat a déjà montré qu’il était capable de mettre en place rapidement des mesures fortes pour enrayer l’épidémie. Il doit maintenant se donner les moyens pour créer les conditions d’une reprise différente.

Dans la continuité des missions qu’ils assurent déjà, les membres de l’APCC se tiennent prêts à accompagner les entreprises et les collectivités pour élaborer, déployer, suivre et évaluer les plans de transformation. Avec pour objectif final de préparer un avenir plus résilient pour les générations futures.

A propos de la publication : Une approche à 360 degrés

1ère partie : Accompagner les organisations et les territoires

ACCOMPAGNER LES ORGANISATIONS

Il s’agit de propositions visant à l’élaboration et au suivi de véritables Plans de Transition tels que prévus à l’article 28 de la Loi Énergie Climat avec un devoir d’exemplarité des services de l’Etat et des organismes publics.

ACCOMPAGNER LES TERRITOIRES

Un Plan de Transition Territorial prescriptif, s’imposant à toutes les politiques publiques, doit être mis en place sur chaque territoire. Il va impliquer largement les élus, les habitants et les acteurs socio-économiques.

RENFORCER LES CURSUS DE FORMATION

Au-delà des nécessaires modifications des cursus de formation, il est également incontournable d’optimiser l’organisation des acteurs contribuant à préparer le plan de transformation global de la société.

2ème partie : Créer les conditions sociales, culturelles et économiques de réussite d’un plan de transformation global

En parallèle de ce qui constitue leur cœur de métier, les membres de l’APCC décrivent dans cette 2ème partie les conditions nécessaires au déploiement de plans de transformation efficaces :

  • Développer avec une approche systémique une culture de la prévention/gestion des risques ;
  • Embarquer l’ensemble de la population dans le processus de transformation en prenant en compte la notion de résilience et en respectant un impératif de justice sociale ;
  • Refondre complètement les modes de financement.

Une publication dans la continuité des actions de l’APCC

Suite à cette publication, l’APCC continuera sa mission en développant et en détaillant davantage ses propositions au travers de différentes actions :

  • Évènements de sensibilisation et d’information pour les entreprises et collectivités : webconférences, journées techniques, ateliers, rencontres régionales, rédaction d’articles en ligne… ;
  • Relation avec l’ADEME, l’Etat ;
  • Relation avec ses autres partenaires et parties prenantes.

A propos de l’APCC

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L’APCC, Association des Professionnels en Conseil Climat Énergie et Environnement est une association créée en 2010 à but non lucratif régie par la loi du 1er juillet 1901 et le décret du 16 août 1901.

Elle a pour objectifs de :

  • Représenter les entreprises qui accompagnent et conseillent au quotidien les entreprises, collectivités et établissements publics sur les sujets liés à la transition énergétique ;
  • Inscrire ses membres dans une démarche d’échange et d’amélioration continue ;
  • Informer, expliquer, donner des clés et diffuser les bonnes pratiques aux organisations sur les thématiques liées à la transition énergétique.

L’APCC participe activement aux politiques afin d’agir pour la transition vers une économie décarbonée et la préservation des ressources naturelles. L’association est consultée ou intervient dans le cadre des évolutions réglementaires et méthodologiques.

L’APCC dispose de groupes de travail, d’échanges et de réflexions sur les enjeux prédominants du secteur, elle produit des livrables divers et variés tels que des notes de positionnement et participe à des travaux avec ses parties prenantes (MTES, ADEME, associations, institutions et acteurs de la transition énergétique).

L’APCC organise une dizaine d’événements présentiels et virtuels par an (webconférences, sommet virtuel du climat, journées techniques, rencontres régionales).

Le Sommet Virtuel du Climat, un projet à l’initiative de l’APCC

L’APCC est à l’origine et a co-organisé le 1er Sommet Virtuel du Climat (SVC) du 18 au 28 novembre 2019. Ce sommet a touché près de 2000 personnes lors de 31 webconférences réunissant 125 intervenants.

Avec le SVC, l’association a montré bien avant le confinement qu’un colloque peut se tenir à distance et qu’il n’est pas nécessaire de se déplacer pour échanger des retours d’expérience. De plus, la construction d’alternatives peut et doit s’appuyer sur des solutions techniques alternatives générant moins de gaz à effet de serre. A ce titre, le sommet a émis moins de 4 tCO2e. En comparaison, un même sommet organisé en présentiel aurait émis 15 fois plus de gaz à effet de serre.

Pour en savoir plus

Télécharger directement la publication PDF de l’APCC : https://www.relations-publiques.pro/wp-content/uploads/pros/20200528133857-p3-document-oeid.pdf

Accéder à la publication via le site de l’APCC : https://apc-climat.fr/tirer-les-enseignements-de-la-crise-du-covid-19-pour-mieux-se-preparer-au-defi-climatique/

Site web APCC : https://apc-climat.fr/

LinkedIn : https://www.linkedin.com/company/apcc/

Amazonie en danger : une délégation de porte-paroles du peuple autochtone Ashaninka vient à la rencontre des Nantais

Zones déboisées qui ont augmenté de 85 %, villages détruits, non-respect des populations locales… depuis quelques années, les peuples indigènes et communautés traditionnelles amazoniennes sont menacés et vivent dans des conditions très difficiles. À tel point que 47 d’entre elles viennent de décider de s’unir pour (re)former une alliance des Peuples de la Forêt et opposer un front commun au président brésilien Jair Bolsonaro (source). En parallèle, plusieurs initiatives positives voient le jour, pour éveiller les consciences et tisser des ponts entre les peuples afin d’agir collectivement pour la protection de l’Amazonie, notre nature commune.

À Nantes, du 1er au 5 avril 2020, l’association Amazônia a ainsi l’honneur de recevoir une délégation de porte-paroles du peuple Ashaninka. Cet événement exceptionnel va permettre de renforcer les liens interculturels entre la région nantaise et un peuple autochtone d’Amazonie brésilienne.

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Un formidable espace de dialogue et de rencontre pour construire ensemble un monde solidaire

La présence à Nantes d’une délégation de porte-paroles du peuple Ashaninka est un événement rare à ne surtout pas manquer ! Invités par l’association Amazônia, les représentants de ce peuple autochtone souhaitent partager au plus grand nombre le témoignage des réalités vécues en Amazonie. Derrière un tableau d’actualités alarmantes pour l’avenir de cette forêt, ils proposeront au public une présentation de leurs projets, leurs visions et les actions menées par le peuple Ashaninka pour préserver notre nature commune.

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Ces rencontres interculturelles, qui se dérouleront du 1er au 5 avril, poursuivent un triple objectif :

  • Favoriser la mise en œuvre d’un projet de territoire indigène (valorisation culturelle et développement économique) par le partage et la co-construction avec des acteurs de la société civile ligérienne en France.
  • Donner une visibilité au peuple Ashaninka et leur permettre d’exprimer leur vision de la situation en Amazonie et sur leur territoire.
  • Permettre à l’association Amazônia d’accentuer la mise en place de partenariats en France, au service des projets menés et la réciprocité de leurs intérêts (protection et restauration des écosystèmes, mesures de luttes contre le changement climatique, développement de modes de production et de consommation durables, éducation à la citoyenneté et à la solidarité internationale).

La délégation sera composée de :

Alexandrina Piyãko Ashaninka, porte-parole de son peuple. Elle est titulaire d’un Master en gestion de projet de développement durable pour les territoires indiens. Alexandrina est très impliquée dans la promotion et la valorisation de la culture ashaninka au Brésil et dans le monde.

Dora Piyãko Ashaninka, présidente de la coopérative Ayompari. Dora gère la coopérative et anime les échanges avec les producteurs et artisans du village Apiwtxa. Elle et sa famille vivent essentiellement au village Apiwtxa. Sa venue en Europe est exceptionnelle.

Dr José Pimenta, Docteur en anthropologie et professeur à l’Université de Brasilia. Il est l’un des chercheurs spécialistes des Ashaninka dans le monde.

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Les temps forts de cette semaine riche en apprentissages mutuels

Conférence grand public à Nantes

Table ronde « Gardiens de l’Amazonie » : projets de territoires, les peuples de la forêt au secours de la planète. En partenariat avec la ville de Nantes et le Muséum d’Histoire Naturelle. Jeudi 2 avril 2020 de 19 h à 21 h au Muséum d’Histoire Naturelle de Nantes. Entrée gratuite sur inscription (nombre de places limitées). Réservations en ligne sur : https://www.weezevent.com/conference-gardiens-de-l-amazonie.

Julien Orain, co-fondateur et Président de l’association Amazônia, précise :

Venant d’une région isolée de l’Amazonie brésilienne, Alexandrina et Dora Piyãko offriront au public de cette soirée une occasion exceptionnelle de vivre un temps de rencontre et d’échange interculturel.

Rendez-vous institutionnel à Nantes

Réception avec honneur et respect des porte-paroles Ashaninka à Nantes par des élus locaux, responsables d’organisations, à la Mairie de Nantes. Le vendredi 3 avril à 18 h. Discussion et plaidoyer autour de l’Amazonie et des peuples premiers.

Rendez-vous scientifique à Nantes

Intervention de Dr José Pimenta auprès d’un public universitaire de chercheurs et étudiants sur la situation des Ashaninka face aux projets de développement dans cette région amazonienne. Le mercredi 1er avril de 18 h 30 à 20 h à la Maison des Science de l’Homme Ange Guépin.

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Atelier World Café à Nantes

L’édition d’un livre sur l’art, les luttes et le modèle d’exemple du peuple Ashaninka : valoriser pour protéger. Il s’agit de valoriser la venue de la délégation Ashaninka à Nantes et d’amorcer avec eux la phase concrète d’un projet d’édition de livre. Cet ouvrage mettra notamment en lumière l’art Ashaninka, le travail des artisans et l’organisation coopérative. L’association Amazônia prévoit d’inviter un réseau ad hoc qui pourra faciliter la mise en œuvre de ce projet (spécialiste de l’édition, du monde du livre, etc.) et d’animer un atelier d’échanges techniques et de partage entre la délégation Ashaninka et les participants. Pour en savoir plus sur ce projet : https://www.relations-publiques.pro/wp-content/uploads/pros/20200106111443-p7-document-wuzr.pdf

Rencontre associative à Prinquiau

Tenue de l’assemblée générale de l’association Amazônia en présence de la délégation. Réunion suivie d’un temps convivial avec l’écosystème Amazônia : adhérents, bénévoles, partenaires.

 Un événement de grande ampleur soutenu par de nombreux partenaires

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En tant qu’organisatrice de cette rencontre interculturelle, l’association Amazônia a vu les choses en grand ! Le budget total de cet événement s’élève à 8 200 €, mais l’association assume totalement cet engagement hors du commun pour une petite structure. Julien Orain confirme :

Après 3 ans d’existence, grâce au soutien de nos membres et partenaires, nous souhaitons proposer des rendez-vous importants et des rencontres ambitieuses. L’enjeu est de taille : il s’agit d’œuvrer pour le salut d’une humanité réconciliée avec sa planète, pour la préservation d’un biome tel que l’Amazonie, et pour la diversité humaine incarnée par les peuples autochtones.

La réception de la délégation Ashaninka bénéficie de l’aide active de nombreux partenaires :

  • Partenaires techniques : ville de Nantes, Musée des Confluences de Lyon, Université de Brasilia, Association Jabiru prod’… ;
  • Partenaires locaux : Muséum d’Histoire Naturelle de Nantes, Maison des Sciences de l’Homme, Librairie la Géothèque, Galerie Equinoxe, Maison des Citoyens du Monde…

 Amazônia : “Agir pour préserver l’Amazonie, c’est agir pour la Terre entière”

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Vous savez mon attachement aux peuples premiers. Par conséquent, les actions et projets concrets qui permettent de créer des liens entre les peuples indigènes, les populations traditionnelles d’Amazonie et la France ont tout mon soutien.

Pierre Rabhi, fondateur du mouvement colibris et parrain d’Amazônia

L’association Amazônia, c’est un collectif de personnes venant d’horizons différents, ayant décidé de mettre en commun leurs connaissances et compétences afin de contribuer par des actions concrètes et de sensibilisation à la préservation de l’Amazonie. En menant des actions de solidarité avec les peuples de la Forêt, l’association met les échanges interculturels au cœur de ses projets, que ceux-ci soient réalisés ici ou là-bas.

En quelques mots, Amazônia c’est…

  • Un projet associatif citoyen et inclusif. Amazônia débute sa 4ème année d’activité en maintenant avec conviction le déploiement d’un projet associatif citoyen et inclusif. Pas besoin d’être “sachant” pour découvrir, s’engager et agir. Spécialistes ou non-spécialistes, jeunes ou plus expérimentés, occupés ou plus flexibles, chacun(e) a quelque chose à apporter et à recevoir. Il y a tant à apprendre les uns des autres ! C’est par le partage et l’inclusion que Amazônia réussira à relever les défis pour l’avenir de la grande forêt et à rapprocher les peuples autour de ces défis.
  • Une association forte de ses partenaires. Amazônia est fortement soutenue par un riche “écosystème” de partenaires et soutiens : anthropologues en France et au Brésil, peuples indigènes et communautés traditionnelles, scientifiques, ONG parentes en France et au Brésil, experts des projets de développement et de solidarité internationale. Son réseau s’élargit chaque jour dans une dynamique constructive au service de projets partagés.
  • Une philosophie : “Faire de notre mieux”. En pratique, cette conviction est très efficace : la force d’intention, d’action et d’engagement de chacun est décuplée par le groupe.
  • L’action concrète. Chaque euro disponible est savamment utilisé pour être mis au service de l’action en Amazonie auprès de partenaires sérieux et vertueux.
  • Des partenaires Ashaninka en Amazonie. Le peuple Ashaninka, avec qui Amazônia a engagé un accord de partenariat depuis 2018, est reconnu pour son excellence dans la conduite de projets pour la sauvegarde de l’Amazonie et des peuples de la Forêt. Il a obtenu le soutien de la coopération internationale. Il brille par la diffusion de ses résultats et de ses propositions dans le monde (Europe, ONU, Etats-Unis, Asie). Il partage son expertise et ses résultats au-delà de sa “Terre Indigène”, auprès de dizaines de représentants d’organisation indigène en Amazonie.

Comment soutenir l’association ? Parfois on a envie d’aider… mais on ne sait pas comment. Bonne nouvelle : une simple adhésion (10 €) est déjà un commencement. En effet, plus l’association aura d’adhérents, et plus elle aura du poids pour aller chercher de nouveaux partenaires ici et là-bas, ainsi que des financements pour concrétiser ses projets.

 À propos de Julien Orain, co-fondateur et Président d’Amazônia

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Julien Orain est apiculteur et gérant d’un magasin Biocoop à Savenay (Loire-Atlantique). Il découvre l’Amazonie en 2004 lors d’un stage avec l’Université de Metz sur la thématique de la gestion agro-environnementale et le développement d’un projet d’élevage des abeilles natives, initié par des communautés traditionnelles dans l’Etat du Parà (Brésil). Il réalise ensuite plusieurs voyages dans diverses régions d’Amazonie dans le but de découvrir et de s’imprégner un peu plus de la diversité amazonienne : en forêt auprès de populations traditionnelles ou de peuples indigènes, mais aussi en ville où il noue des contacts avec quelques organisations indigénistes, ONG et anthropologues. Il confie :

Je dois faire partie de ces personnes qui, lorsqu’elles ont l’Amazonie dans la peau, ne peuvent plus vivre sans elle… Une fois, lors d’un vol vers le Brésil, mon voisin de siège, un écrivain brésilien m’a taquiné en écoutant mon parcours “Ah mon ami, tu as attrapé une amazonite aiguë à ce que je vois. C’est une belle maladie qui mérite de ne pas être soignée mais d’être vécue”. Puis plus tard lors d’un survol en plein jour au dessus de la grande forêt, sur plus de 1 600 km, j’ai été bouleversé par cette immensité de Nature. Je n’oublierai jamais ce moment. C’est là que je me suis dit que tout cela devait être partagé, qu’il allait falloir se mobiliser pour préserver ces territoires d’une si grande importance.

L’idée lui vient alors de poursuivre cette expérience collectivement et surtout de la tourner vers l’action. Julien met un an à interroger ses intentions les plus profondes, car il réalise l’engagement que représente la création d’une association. Il veut le faire en pleine conscience. Il fédère alors du monde autour de ce projet et, en février 2017, l’association Amazônia voit le jour grâce à un groupe de personnes fondatrices très motivées. Toutes partagent le même objectif : contribuer activement à la préservation de l’Amazonie en renfonçant l’autonomie de ses peuples traditionnels et en partageant des habilités, intérêts et compétences au travers de l’intelligence collective. Julien souligne :

Des dizaines de personnes ont déjà fait vivre Amazônia jusqu’à présent ! L’association poursuit aujourd’hui son travail pour rapprocher l’Amazonie de l’Europe et passer à l’action. Nous voulons préserver les peuples et la nature de cette région-continent, joyaux de la seule planète Terre connue que compte l’univers.

Pour aller plus loin, Amazônia ambitionne désormais de passer à la vitesse supérieure en augmentant fortement ses budgets. Elle désire en effet se “professionnaliser”, tout en restant une association, pour devenir une ONG du 21ème siècle, inclusive, participative, agile et audacieuse. Cela lui permettra de porter les projets qu’elle défend avec ses partenaires, projets forcément coûteux puisqu’ils concernent l’Amazonie. De 17 000 € en 3ème année, Amazônia vise désormais un budget de 70 000 € en 2020. Dans les plus brefs délais, son budget pourrait atteindre 150 000 €. Elle pourrait ainsi mettre en oeuvre le meilleur des projets de territoires en Amazonie : basé sur la formation, l’autonomie et la valorisation de la forêt sur pied (l’inverse de la forêt coupée !).

Un accent sera également mis autour de la sensibilisation en France au travers du déploiement d’expositions, de projets pédagogiques “Tandems Solidaires” avec les écoles, etc. Pour cela, l’association Amazônia est à l’écoute de manifestations d’intérêts pour des projets de partenariats (RSE), de mécénat auprès d’organisations nantaises, ligériennes et plus largement françaises. Un travail est également engagé avec des fondations pour pérenniser le déploiement des projets à plus long terme.

Pour en savoir plus

Site web : https://www.assoamazonia.org/

Facebook : https://www.facebook.com/Association-Amaz%C3%B4nia-518830408470566/

Adhérer à l’association : https://www.helloasso.com/associations/amazonia/adhesions/j-adhere-a-l-association-amazonia-1

Soutenir les projets de l’association Amazônia (dons) : https://www.helloasso.com/associations/amazonia/formulaires/1

Rapport annuel 2019 : https://www.relations-publiques.pro/wp-content/uploads/pros/20200106111443-p3-document-jhnp.pdf

Ever Bio Cosmetics innove avec le Bag in Box, le premier système de vente de cosmétiques bio au millilitre et zéro déchet

Alors que l’Union européenne a validé l’interdiction du plastique à usage unique d’ici 2021, de plus en plus de consommateurs sont séduits par la démarche “Zéro déchet”.

L’idée de départ est simple : le déchet le moins polluant est celui qui n’est pas produit. Mais en pratique, comment proposer les meilleurs produits sans avoir recours aux emballages jetables ?

Dans le secteur de la cosmétique, les plus grandes marques réfléchissent à cette problématique, portées notamment par l’explosion de la demande de cosmétiques bio, plus sains pour la peau et pour l’environnement. Le chiffre d’affaires de ce secteur a en effet progressé de façon spectaculaire en 2018 (+39 %) pour atteindre 123,2 M€, alors que celui de l’hygiène-beauté conventionnelle a perdu 2,2 %.

Jusqu’à présent, le challenge du zéro déchet semblait impossible à relever : à moins d’être pharmacien, il n’est pas possible de vendre de l’huile au millilitre tout en conservant la mention Bio. Pour la bonne et simple raison qu’à partir du moment où la bouteille est ouverte, n’importe qui peut couper l’huile.

Mais ça, c’était avant !

Ever Bio Cosmetics, une référence incontournable dans l’univers de la cosmétique Bio, a inventé le Bag in Box. Ce système innovant de distribution est 100 % inviolable et sain, afin que les professionnels du Bio (magasins, distributeurs bio…) puissent proposer de l’huile cosmétique de qualité Premium au millilitre dans des flacons adaptés.

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Le “Bag in Box” révolutionne la cosmétique pour mieux préserver la Planète

En cosmétique, c’est connu, ce qui coûte le plus cher, c’est le flacon.

Les entreprises ont un rôle à jouer pour favoriser la consommation en conscience, faire cesser le suremballage, et préférer le vrac.

Tout le monde y gagne :

  • l’environnement est protégé ;
  • les professionnels de la cosmétique réduisent leurs frais de transport, de flacon et d’emballage ;
  • les client(e)s profitent d’un rapport qualité prix/imbattable. À titre d’exemple, un flacon de 15 ml d’huile de graines de figues de barbarie peut être vendu à 15 €, alors que la même quantité est proposée chez les concurrents entre 39 et 45 €. Pour l’huile d’argan, il faut compter 15 € les 120 ml, contre 30 € habituellement.

L’innovation “Bag in Box” permet ainsi la vente au millilitre d’huiles cosmétiques bio, à un tarif équitable, tout en profitant d’excellentes conditions de conservation et du maintien de la mention Bio.

Suzanne Samama, co-fondatrice d’Ever Bio Cosmetics, souligne :

J’ai eu l’idée de ce système avec inviolabilité du flacon en réfléchissant à la législation du vrac en termes de Bio. En tant que “green convertie” je suis convaincue que toutes les structures ont un réel rôle à jouer en ce qui concerne la pollution plastique.

Yves Samama, le fondateur, précise :

Qui dit Bag in Box, dit aussi contenant muni d’un robinet plastique qui finira à déchetterie. Quant à la boîte en carton plastifié… Même recyclé, ce carton provient des arbres que l’on abat, nous avons donc opté pour une bouteille en verre. Cette bouteille munie d’un robinet, est consignée, stérilisée et réutilisée !

Des huiles cosmétiques de qualité Premium

Ever Bio Cosmetics s’engage depuis sa création dans une démarche d’excellence, tant au niveau de ses relations avec ses client(e)s que de la qualité des produits fournis.

Alors quand la marque imagine un système de vrac, il s’agit toujours de qualité haut de gamme. L’huile est 100 % pure et extraite dans les règles de l’art pour préserver toutes ses vertus.

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3 cosmétiques sont disponibles SANS MINIMUM DE COMMANDE :

L’incontournable Huile d’Argan

Raffermissante, tonifiante et hydratante, elle convient à de multiples usages.

Tarif : 90 € le Bag in Box d’un litre.

La précieuse Huile de graines de figues de Barbarie

Il faut une tonne de fruits, sélectionnés avec soin, pour produire 1 litre de ce précieux élixir de beauté anti-âge, lissant et anti-acné.

Tarif : 640 € le Bag in Box d’un litre. Frais de port offerts.

Le Sérum Sublimissime

Un must-have d’Ever Bio Cosmetics, à la fois antirides, illuminateur de teint et rajeunissant.

5 tailles de flacon pour satisfaire tous les besoins

Ever Bio Cosmetics complète son offre avec des contenants qui existent dans plusieurs formats :

  • Pipette de 15 ml
  • Pipette de 30 ml
  • Pompe de 30 ml
  • Pipette de 50 ml
  • Verse de 120 ml

À propos d’Ever Bio Cosmetics

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Yves, masseur-kinésithérapeute, a découvert les vertus des huiles de graines de figues de Barbarie et d’argan et a fait le choix d’en faire profiter ses patients.

Conquis par l’efficacité de ces produits, il décide de créer une ligne de produits cosmétiques naturels à base de ces huiles précieuses.

Mais alors qu’ils pourraient se contenter, comme la plupart des producteurs, de cueillir les graines dès que les figues font leur apparition, puis de les passer dans une machine afin d’en extraire le précieux liquide, Ever Bio Cosmetics suit un tout autre schéma.

La marque de cosmétiques naturels met un point d’honneur à extraire elle-même l’huile des fruits afin d’en préserver toutes leurs propriétés. Elle est par ailleurs engagée avec la population locale et lui fournit des emplois.

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Soucieuse de s’engager dans une démarche qualitative et responsable, elle propose une gamme de sérums, crèmes de jour et laits corporels avec un taux de concentration et une pureté d’huiles extrêmement élevés, réalisés dans le respect de fortes valeurs éthiques et environnementales.

Ever Bio Cosmetics est aujourd’hui plébiscité par de nombreux hôtels et spas.

Pour en savoir plus

Site web : http://www.everbiocosmetics.fr

Facebook : https://www.facebook.com/everbiocosmetics?ref=hl

Instagram : https://www.instagram.com/everbiocosmetics/

Deux marques Toulousaines boycottent le “Black Friday” ! Bhallot et Thé Coul organisent une journée d’action Green Friday le 29 novembre

Chaque année, c’est la même chose : les Français sont inondés de publicités qui les incitent à consommer toujours plus à l’occasion du Black Friday. Et ça marche !

En 2018, ce sont plus de 50 millions de transactions bancaires qui ont été réalisées lors de cet événement  (source).  A elle seule, la société Amazon a écoulé plus de 1400 produits par minute en 2017 (source).

Pourtant, cette surconsommation, même le temps d’une seule journée, a un coût non négligeable pour la planète et pour les humains au vu des désastreuses conditions de production.

Alors que la mode est la deuxième industrie la plus polluante au monde (juste après le pétrole !), certains chiffres parlent d’eux-mêmes :

  • On achète 60% de plus de vêtements qu’il y a 15 ans mais on les garde 2 fois moins longtemps (source : MacKinsey & Co, Style that is subtainable : A new fashion formula, Nathalie Remy, Eveline Speelman & Steven Swartz, 2016).
  • La production de vêtements a doublé entre 2000 et 2014 (source : Timeout for fast fashion, Greenpeace, 2014).
  • 500 000 Tonnes de microparticules de plastiques sont relâchées chaque année dans l’océan (source : Ellen MacArthur Foundation, A new textiles economy. Redesigning fashion’s future, 2016 & Circular fibres initiatives analysis, 2016).
  • Pour fabriquer un t-shirt, il faut l’équivalent de 70 douches (source : Fashion Revolution, 2017)

Pour lutter contre les ravages du Black Friday, de nombreuses marques s’engagent en organisant ce jour-là une offensive positive : le Green Friday. La première édition en 2018 a fédéré plus de 180 associations et entreprises, y compris certains acteurs de la grande distribution (source).

Cette année encore, partout en France, de nombreuses actions vont être organisées le vendredi 29 novembre pour lutter contre la frénésie du Black Friday.

A Toulouse, Thé Coul & Bhallot ont décidé de s’associer pour proposer une journée de résistance.

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Il y a urgence à ne plus surconsommer !

Tout le monde le sait : l’enjeu environnemental est devenu tellement important qu’il s’impose comme une priorité absolue.

En septembre dernier, dans le cadre de la 74e session ordinaire de l’Assemblée générale des Nations Unies, António Guterres (le Secrétaire général de l’ONU) a ainsi convié les dirigeants du monde à un Sommet exceptionnel consacré à l’urgence climatique. De même, il y a quelques jours, 11 000 scientifiques ont signé un rapport déclarant notamment que l’urgence climatique est “claire et non équivoque” (source).

Il est donc nettement devenu nécessaire de réduire sa consommation.

Mais en pratique, comment faire ? Il est parfois difficile de résister au Black Friday et ses offres alléchantes…

Heureusement, cette journée placée sous le signe de la surconsommation ne fait pas vraiment partie des valeurs de certaines entreprises qui font de la résistance encore et toujours à l’envahisseur.

A l’image de Bhallot et de Thé Coul, deux marques toulousaines installées place Arnaud Bernard.

Bhallot est la marque d’accessoires de mode qui travaille les fibres naturelles avec des acteurs localisés autour de la fibre.

Thé Coul est un espace convivial pour boire un café ou un thé tout en passant un merveilleux moment à réaliser des créations sur de la céramique (tasse, bol etc..).

Ensemble, elles vont proposer une journée “Green Friday” afin de tirer la sonnette d’alarme et mettre en lumière les initiatives permettant de consommer de manière responsable.

Jean-Baptiste ASTAU, co-fondateur de Bhallot souligne :

Face au rouleau compresseur “Black Friday”, nous faisons tous de notre mieux, chacun à notre échelle !  On n’y est parfois pour rien si le système est comme ça…  Alors nous avons eu l’idée de proposer une journée où chacun(e) peut lutter tout en se faisant plaisir !

L’idée n’est pas de pousser les gens à la consommation ni de les faire culpabiliser. Bien au contraire ! Pour ce Green Friday, l’ambiance sera chaleureuse et bienveillante.

Au programme de cette folle journée fun et “so green”

Vendredi 29 novembre, faites de votre friday une belle journée pour sur-consommer le réparable et le durable !

Bhallot et Thé Coul vont proposer un maximum d’actions concrètes et à la portée de tous :

Machines à coudre industrielles en libre-service chez Bhallot

C’est le bon moment pour réparer une belle fringue ou jouer les stylistes en créant LA super pièce qu’il est impossible de coudre sur une petite machine.

Lieu de de cette action : 21 place Arnaud Bernard 31000 Toulouse.

Customisation de céramiques fait-main par Maud de @Thé Coul

Plutôt que de faire des achats en ligne, hop, on profite de ce friday pour sortir de chez soi, s’initier à une activité manuelle et créative, tout en partageant un moment convivial et sympa.

Lieu de cette action : 8 place Arnaud Bernard 31000 Toulouse

Un mur de soutien anti-black friday et chiffres clés de la surconsommation

L’idée est de sensibiliser les toulousain(e)s aux enjeux cachés du Black Friday et de permettre à chacun(e) de soutenir le Green Friday, une initiative positive qui agit concrètement pour changer la donne.

10% reversés à des associations qui luttent contre l’obsolescence programmée

Bhallot et Thé Coul s’engagent à reverser 10% de leur chiffre d’affaires le 29 novembre 2019 à des associations tel que Hop (Halte à l’Obsolescence Programmée), Zero Waste France, Ethique sur l’étiquette et les Amis de la terre afin de promouvoir la consommation responsable.

Rejoindre le mouvement et participer au Green Friday

Lien de l’événement : https://www.facebook.com/events/1398293890320078/

Tout savoir sur le Green Friday :  https://www.bhallot.eu/le-black-friday-devient-green-friday/

A propos de Bhallot, la marque ambassadrice d’une autre vision de la mode

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Bhallot, c’est le projet de Guillaume et Jean-Baptiste, deux ingénieurs, passionnés et portés par l’envie de créer de beaux produits éthiques.

Après une première expérience professionnelle dans le monde du jute, ils se demandent comment exploiter ce tissu ultra-résistant, beau et que l’on sait fabriquer et traiter correctement en France.

Comme un pied de nez à la mondialisation, ils posent les fondations de leur entreprise d’espadrilles et de sacs made in France, avec la volonté de devenir leaders sur le marché de la création de produit en fibres naturelles alternatives.

Désormais, Guillaume, l’ingénieur Textile de l’ENSAIT, est en charge du développement produit, tandis que Jean-Baptiste, ingénieur toulousain spécialisé dans le e-commerce et le e-marketing gère les procédés de fabrication.

Bhallot a notamment lancé les premiers sacs en lin huilé entièrement imaginés, conçus et fabriqués en France.

Pour en savoir plus

Site web : https://www.bhallot.eu

Facebook : https://www.facebook.com/1bhallot/

Instagram : https://www.instagram.com/bhallot_bags/

LinkedIn : https://www.linkedin.com/company/bhallot

Sommet Virtuel du Climat du 18 au 28 novembre : le 1er événement professionnel en ligne dédié au climat

Alors que 11 000 scientifiques viennent de signer un rapport déclarant l’état d’urgence climatique (source), les dernières statistiques sont particulièrement alarmantes.

Ainsi, en France, des records absolus de chaleur ont été enregistrés lors de la canicule de l’été 2019, avec 46°C atteints dans l’Hérault (Source : La Chaine Météo). Tandis qu’en Australie 11 000 kilomètres carrés de terrain ont brûlé et brûlent encore dans des incendies hors-normes (Source : Le Monde), les 11 millions d’habitants de Jakarta, vont quant à eux être forcés de déménager car la capitale de l’Indonésie est fortement menacée par la montée des eaux (source : France Info).

Chaque année, ce sont en moyenne plus de 25,3 millions de personnes contraintes à de tels déplacements liés au changement climatique. Le nombre de réfugiés climatiques pourrait grimper à 250 millions en 2050 (Source : Réseau Action Climat).

Plus encore que les citoyens, les collectivités, les entreprises et les acteurs de la finance sont en première ligne pour contribuer à inverser cette situation catastrophique et impulser une dynamique positive. Même vertueux les gestes citoyens ne représenteront pas plus de 25 % de l’effort d’atténuation selon une étude publiée par Carbone 4 en juin 2019. Les leviers les plus puissants tiennent donc dans les actions cumulées des entreprises, de l’Etat et des collectivités (entre 60 et 75 % de l’effort à réaliser selon les scenari).

Mais comment passer des bonnes intentions aux actions concrètes ? Faute d’être suffisamment informées, les organisations sont souvent désemparées et ne savent pas quelles sont les solutions existantes pour sortir de l’impasse.

Dans ce contexte, le lancement du 1er Sommet Virtuel du Climat du 18 au 28 novembre est une formidable opportunité qui va donner aux entreprises, collectivités et acteurs de la finance les moyens d’avancer à leur échelle sur les problématiques liées au changement climatique.

Quel que soit leur niveau d’engagement, les organisations vont pouvoir trouver des réponses à leurs questions et des leviers d’actions concrets.

 

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9 jours consacrés au climat, 8 jours de webconférences et 1 salon virtuel

Premier événement 100% en ligne dédié au climat et destiné aux professionnels, le Sommet Virtuel du Climat a été créé avec un objectif : impulser des dynamiques de mise en action au plus grand nombre d’organisations face aux enjeux du changement climatique en France, dans le but de respecter les Accords de Paris.

Emeline Ivars de l’APCC (Association des Professionnels en Conseil Climat, Energie et Environnement), initiatrice de l’événement, souligne :

Nous souhaitons que ce format innovant et accessible à tous soit un temps fort de propagation de bonnes pratiques pour des équipes partout en France. Nous espérons voir se connecter au moins 3000 organisations : entreprises, acteurs de la finance et collectivités.

Entièrement gratuit, le Sommet Virtuel du Climat est composé de 31 webconférences et d’un salon virtuel.

Au programme :

  • Un maximum de conseils pratiques de la part d’organisations expertes des enjeux énergie-climat
  • ET des retours d’expérience très inspirants d’entreprises et de collectivités. Elles vont partager leurs réussites, leurs méthodes et solutions innovantes.
  • Au total, ce sont plus de 100 intervenants qui s’exprimeront lors de cet événement.

Loin des discours creux et vides de sens, l’accent est en effet mis sur le concret afin d’apporter des réponses opérationnelles aux problématiques auxquelles font face les entreprises et collectivités.

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Zoom sur les webconférences, des mines de bonnes pratiques à transposer

Les 31 webconférences, d’une durée de 90 minutes, sont axées sur les problèmes que les organisations peuvent rencontrer sur le terrain.

Elles vont aborder trois thématiques principales :

  • Entreprises : Comment se préparer et pérenniser son entreprise dans un monde décarboné ?
  • Collectivités : Comment mettre en œuvre, financer et faire vivre une stratégie de neutralité carbone et de résilience à l’échelle de son territoire ?
  • Acteurs de la finance : Comment impliquer efficacement la sphère financière, quel rôle face aux enjeux du changement climatique ?

De nombreux sujets seront ainsi être traités tels que les îlots de chaleurs urbains, l’adaptation au changement climatique, la transition bas-carbone, l’efficacité énergétique, le financement de la transition, les outils et méthodologies pour avancer…

L’ensemble des webconférences seront ensuite disponibles immédiatement après leur diffusion, en replay sur le site du Sommet Virtuel du Climat, permettant ainsi aux entreprises, collectivités et acteurs de la finance de continuer à en bénéficier après l’événement.

Le programme complet est disponible ici : https://sommetvirtuelduclimat.com/liste-webconferences/

Un salon virtuel pour aller plus loin

Pour donner suite aux 8 jours de webconférences, les participants pourront se connecter à un salon virtuel, où solutions, expertises conseil et techniques leurs seront proposées sur les stands virtuels d’exposants.

Ce format très novateur dans le domaine de la lutte contre le changement climatique est à la fois simple et pratique. Il suffira d’un ordinateur et d’une connexion web pour dialoguer via un tchat avec les différents experts et naviguer parmi les stands.

Un événement fédérateur d’une grande ampleur

Le Sommet Virtuel du Climat est soutenu par le Ministère de la Transition Écologique et Solidaire, ainsi que par 2 sponsors et 14 partenaires.

Pour réussir à relever le challenge de l’organisation d’un tel événement, l’APCC s’est associée avec quatre autres structures à but non lucratifs, également expertes des questions climat :

L’ADEME (Agence de l’Environnement et de la Maîtrise de l’Energie) : elle participe à la mise en œuvre des politiques publiques dans les domaines de l’environnement, de l’énergie et du développement durable.

L’ABC (Association Bilan Carbone) : elle fédère les expertises, sensibilise les parties prenantes et met à disposition des organisations des solutions et bonnes pratiques pour réussir la transition énergie-climat.

Le CEREMA (Centre d’études et d’expertise sur les risques, l’environnement, la mobilité et l’aménagement) : il apporte des connaissances, savoirs scientifiques et solutions innovantes au cœur des projets territoriaux.

La Fédération CINOV : la fédération patronale des métiers de la prestation intellectuelle, du conseil, de l’ingénierie et du numérique.

Ensemble, elles partagent la même conviction : les secteurs professionnels, privés et publics ont leurs rôles à jouer dans la lutte contre le changement climatique, du fait de l’influence directe ou indirecte de leurs activités sur les territoires et les citoyens qui y habitent.

A propos d’Emeline Ivars et de l’APCC, à l’initiative de cet événement majeur

Emeline Ivars est cheffe de projet du Sommet Virtuel du Climat et coordinatrice de l’Association des Professionnels en Conseil Climat, Energie et Environnement (APCC).

Après une école de commerce, elle a travaillé chez April à la création et mise en œuvre du 1er rapport extra-financier du groupe.

Depuis 2014, elle travaille à l’APCC et a notamment mis en place les “Webconf’ de l’APCC”, un format de webconférence d’une heure où entreprises et collectivités viennent trouver conseils, bonnes pratiques et expertises techniques.

A l’origine du Sommet Virtuel du Climat, elle lui a donné corps et a su partager sa vision pour embarquer tout d’abord l’APCC en interne, puis les co-porteurs, et enfin tous les intervenants et partenaires.

L’idée de ce projet est venue d’un constat : les webconférences organisées par l’APCC depuis plusieurs années rassemblent souvent les mêmes participants. En effet, l’APCC fédère des bureaux d’études qui conseillent et accompagnent au quotidien entreprises et collectivités sur leurs enjeux liés au climat (comptabilité, stratégie, compensation carbone ; plan climat ; plan de mobilité ; adaptation au changement climatique…).

Parmi les missions de l’association, il y a notamment la diffusion de bonnes pratiques au plus grand nombre d’organisations sur ces thématiques afin de les aider à lever les freins auxquels elles sont confrontées.

Au vu des enjeux liés à l’urgence climatique, l’APCC a donc décidé de changer d’échelle pour toucher un maximum de structures. Le format virtuel est aussi un premier exemple d’action positive : il diminue l’impact carbone de l’événement (une évaluation de l’impact carbone est en cours d’élaboration par un bureau d’étude).

Du côté des organisations, l’intérêt est bien là : plus de 1000 participants uniques se sont déjà inscrits et plus de 4 200 participations sont déjà prévues aux webconférences.

Le premier Sommet Virtuel du Climat ambitionne de réunir d’ici la fin de l’événement 3000 à 5000 participants uniques. Si cette édition est un succès, il sera reconduit en 2020 ou en 2021.

Pour en savoir plus

Site web : https://sommetvirtuelduclimat.com/

Twitter : https://twitter.com/SVClimat

LinkedIn : https://www.linkedin.com/showcase/sommet-virtuel-du-climat/

Un boulot = un bouleau : abc for value reconduit l’opération le 18 Novembre 2016 à 11h

Pour abc for value la Responsabilité Sociale des Entreprises (RSE) n’est pas un vain mot ! Le cabinet d’acquisition & développement de talents® a dans son ADN trois valeurs qu’il revendique haut et fort : l’humain, l’engagement sociétal et l’implication environnementale.

C’est pour cela qu’il a lancé en 2009 l’opération “un boulot = un bouleau”. Chaque membre d’abc for value avait en effet la volonté de participer de façon concrète et active à la préservation de notre belle planète. Le principe d’ “un boulot = un bouleau” est à la fois simple et efficace : un arbre est planté pour chaque personne accompagnée par leur équipe au cours de l’année. Notons qu’en 2015, ce sont 149 talents que le cabinet a contribué à accompagner soit à l’intégration dans l’entreprise soit lors d’une nouvelle prise de fonction.

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Dans ce contexte, chaque arbre planté représente le symbole d’un engagement sociétal et environnemental fort. Clément Villeroy de Galhau, l’un des associés du cabinet qui est à l’origine du projet, souligne :

Depuis le début de cette initiative, plus de 600 arbres ont pu être plantés !

L’arrivée de nouveaux partenaires au sein du cabinet marque un moment fort de cette année 2016, car elle amène la mise en œuvre de nouvelles prestations complémentaires (coaching et accompagnement d’équipes). C’est un véritable tournant dans l’histoire du cabinet et ses dirigeants ont ressenti le besoin de marquer ce moment fort en choisissant de retourner sur le site du lancement de l’opération un boulot= un bouleau.

L’événement se déroule donc cette année, aux Ormes Domaine & Resort en Ile-et-Vilaine (35). Ce sera alors l’occasion de s’émerveiller de l’épanouissement des arbres plantés quelques années auparavant et aussi de revoir les talents accompagnés par abc for value dans cette entreprise.

Valoriser le patrimoine et l’engagement au quotidien

“un boulot = un bouleau”, c’est l’histoire d’une transmission par l’exemple de la philosophie qui anime abc for value. Alors, il va de soi que l’endroit où les arbres vont être plantés est choisi avec la plus grande attention : il s’agit à la fois de contribuer à la préservation et à la valorisation du patrimoine mais aussi de mettre en lumière des lieux qui sont véritablement en accord avec cette démarche.

Les précédentes éditions se sont ainsi déroulées à la Haye-Fouassière puis au Château du Pé (tous les deux en Loire-Atlantique), au château de Thoiry et au domaine de Fleyriat (Rhônes-Alpes), ainsi qu’au Château de Brissac (Maine-et-Loire).

En 2016, l’humain est à l’honneur aux Ormes, Domaine & resort

Ce n’est pas un hasard si les Ormes Domaine & resort ont à nouveau été choisis, comme en 2010, pour accueillir l’opération “un boulot = un bouleau” ! Ils symbolisent en effet à double titre la richesse des qualités humaines :

  • fidèles à abc for value depuis le lancement du cabinet, ils ont à cœur de favoriser la réussite de chacun de leurs collaborateurs
  • leur histoire est celle de la volonté d’entreprendre et de l’envie d’aller plus loin, tous ensemble : à l’origine, il n’y avait qu’un simple camping… tandis qu’aujourd’hui le domaine s’étend sur plus de 200 hectares et propose de multiples activités dans un cadre exceptionnel et luxueux. Il s’agit tout simplement d’un des plus grands centres touristiques de Bretagne.

Le 18 novembre 2016, de nombreux arbres seront plantés dans cet ancien domaine épiscopal situé à 30 minutes du Mont Saint-Michel et de Saint-Malo, et viendront habiller l’entrée du Domaine à la grille d’honneur du château.

Une opération prend de plus en plus d’ampleur… car abc for value s’agrandit !

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Le succès d’”un boulot = un bouleau” n’est pas près de se démentir : le nombre de collaborateurs du cabinet augmente également chaque année et atteint aujourd’hui une quinzaine de personnes. Son objectif est de renforcer sa présence sur tout le territoire afin d’être au plus près de ses clients. Or plus le cabinet grandit, plus il y a de Talents accompagnés (intégration, développement de compétences, évaluation individuelle ou collective, organisation-structuration RH), plus il y a d’arbres plantés. Un cercle vertueux, où tout le monde est gagnant, se met ainsi en place :

  • les clients d’abc for value ont des collaborateurs bien intégrés, opérationnels et efficaces,
  • les collaborateurs sont soutenus et leurs compétences sont valorisées,
  • les sites choisis pour l’opération “un boulot = un bouleau” sont récompensés de leurs efforts RSE,
  • les membres d’abc for value ont la satisfaction de mener des actions en adéquation avec leurs valeurs,
  • la planète respire !

A noter qu’abc for value soutient aussi les associations caritatives. Au-delà de l’engagement environnemental, les collaborateurs du cabinet sont aussi des militants au niveau social. Hugues de la Roulière, associé fondateur, précise :

Nous donnons tous 0,5% de nos honoraires à des associations caritatives telles que l’Arche, SOS Préma, les blouses roses… Depuis 2009, nous avons ainsi reversé plus de 28 000 euros.

A propos d’abc for value

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Créé en 2003, abc for value est un cabinet qui optimise la relation entre l’entreprise et son collaborateur dans toutes leurs phases d’évolution, de l’intégration du nouveau talent jusqu’à son départ.

Il a développé un concept très innovant, l’acquisition &  développement de talents®, qui consiste à associer un accompagnement structuré à chaque prestation proposée. Parce que l’intégration “seule” ne suffit pas, le suivi tout au long de la première année au sein de l’entreprise est indispensable pour permettre une bonne adaptation du collaborateur à la culture de l’entreprise, l’optimisation de ses performances dans ses nouvelles fonctions et la valorisation de l’investissement réalisé par l’entreprise par rapport aux autres offres du marché.

Le professionnalisme du cabinet, sa réactivité et son engagement sont à la fois reconnus par ses clients et par les talents. abc for value a aujourd’hui 6 bureaux dans toute la France (Paris, Nantes, Rennes, Lyon, Nancy et Orléans).

Pour en savoir plus

Site web : http://www.abc-forvalue.net

Esprit de l’Eau : une installation visuelle et musicale qui célèbre la beauté de l’eau

Esprit de l’Eau : un pur moment de grâce et d’évasion

Dans un rapport d’août 2010, la Commission Européenne tire la sonnette d’alarme et estime que “l’Europe est en train d’épuiser ses principales ressources en eau” (source). A l’échelle de la planète, le constat est le même : par inconscience ou par avidité, l’être humain dilapide cette denrée dont il a pourtant besoin pour vivre. Préserver la richesse de notre cadre de vie est aussi un réflexe salutaire.

Très consciente de ces enjeux, l’artiste Catherine Ablon a imaginé une installation visuelle et musicale pour sensibiliser le grand public à la beauté de l’eau. Très éloignée des discours scientifiques ou dogmatiques souvent présent dans les médias, elle a choisi l’approche artistique pour éveiller les consciences de chacun d’entre nous.

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“Esprit de l’Eau” : une ode visuelle et musicale à la beauté de l’eau

20140731095542-p4-document-pgyy“Esprit de l’Eau” est la rencontre entre ces deux arts complémentaires que sont la musique et la photographie.  Créée en mars 2014, cette exposition en itinérance dans le Loiret offre une approche inédite de notre bien le plus précieux à tous : l’eau.

Les clichés invitent à l’imaginaire et à un éveil sensoriel. Chacun est touché en profondeur par la grâce et la beauté de ce cadeau de la nature.

Volontairement “picturales”, grâce au choix d’une distance précise entre la macro et le paysage, les photos de Catherine Ablon vont bien au-delà de la simple représentation des eaux bleues de Tavers. Elles rendent visibles l’esthétique et la rareté d’un environnement et d’un cadre de vie naturel à protéger, sans jamais chercher à adopter un angle moralisateur.

La musique vient accompagner et sublimer le parcours initiatique du spectateur.

Les chants ne servent pas un discours “prêt-à-penser”.  Ce sont seulement les voix des Néréides, personnages mythiques habitant les eaux de la planète et s’exprimant dans une langue inventée, qui délivrent une émotion et un cri intérieur.

Catherine Ablon, une artiste photographe ET musicienne

Derrière “l’Esprit de l’Eau”, il y a une artiste talentueuse et atypique : Catherine Ablon est à la fois une photographe et une musicienne reconnue.

Au départ, il y a la musique : elle apprend le piano dès l’âge de 5 ans, puis elle découvre la guitare à 14 ans. Elle étudie l’harmonie et la composition. Mais cela ne lui suffit pas : la photographie est aussi un support qui la fascine et dans lequel elle excelle. Elle travaille durant 9 ans pour l’entreprise Traphot et réalise des clichés pour des clients aussi prestigieux que la Galerie Maeght ou Connaissance des Arts.

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En 1995, elle revient à ses premières amours en créant sa propre école de musique et de chant en collaboration avec Marie Dubois et Didier Loquin : VOCIS VIA à Montrouge (Hauts-de-Seine).  Depuis près de 20 ans,  elle se consacre au chœur d’adultes en harmonisant un répertoire très étendu, qui va de la musique médiévale au Gospel.

De passage dans le Loiret, elle a un véritable coup de cœur pour un site magnifique : les eaux bleues à Tavers. C’est une petite étincelle qui fera naître une grande idée : celle d’associer ses 2 passions, la musique et la photographie, le temps d’une exposition. Les clichés qu’elle prend vont lui inspirer la création d’une musique qu’elle compose dans la foulée.

L’installation visuelle et musicale “Esprit de l’Eau” vient de voir le jour….

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Comment assister aux expositions de l’ “Esprit de l’Eau”?

Sortez vos agendas !

Pour partager un moment d’émotion autour de la beauté de l’eau, vous avez plusieurs possibilités :

  • En août : l’Esprit de l’Eau est exposée au Château de Trousse-Barrière à Briare (45)
  • Le samedi 16 août : un concert exceptionnel et gratuit aura lieu à Briare à partir de 17 heures pour découvrir “en live” la musique composée pour l’exposition
  • Le dimanche 24 août à 17 heures, à Briare : rencontrez Catherine Ablon en participant à la séance de dédicace du livre -CD “Esprit de l’Eau”
  • Le vendredi 12 septembre à 17h30 à Beaulieu-sur-Loire (45) : vernissage de l’exposition qui durera 1 mois

Profitez-en car l’exposition souhaiterait ensuite s’envoler à Paris et à l’étranger, et notamment au Canada et en Norvège (ces deux pays sont très sensibles aux questions liées à la protection de l’environnement).

Si vous n’avez pas la chance de pouvoir vous rendre dans le Loiret, ou si vous voulez revivre la magie de “l’Esprit de l’Eau”, vous pouvez vous procurer des tirages photos et le livre-CD de l’exposition ici  : www.esprit-de-leau.com

Contact Presse

Marie-Françoise Dubois

E-mail : mi_dubois@yahoo.fr

Tel : 06 18 07 48 07

Site web : www.esprit-de-leau.com