Jazz : sortie de “24 Préludes”, 2ème album de piano solo de Fabien Robbe

24 Préludes” de Fabien Robbe est un album atypique, puisque sa parution coïncide avec une étape de sa vie qu’il voit comme symbolique, le passage à la quarantaine.

Ces préludes, qu’il a commencé à noter en 2017, parcourent le fil tendu entre contrainte et liberté.

Les préludes des pionniers de cette « forme sans forme » proposaient un défi, un challenge, la petite pierre d’achoppement destinée à stimuler la créativité. C’est le paradoxe du prélude : comme dans la vie de tous les jours, on se fixe un programme, mais sait-on exactement ce qui va se passer ? La vie de tous les jours est précisément le sujet de ce travail de longue haleine.

Fabien Robbe y met beaucoup des lieux qu’il visite, auxquels il retourne, et des familiers qu’il côtoie. C’est un disque proprement autobiographique.

Ce touche-à-tout génial nous transporte dans son univers personnel empli d’influences aussi diverses que variées : on passe avec brio de Bach à Debussy, de Monk à Tusques, de la musique bretonne à Moussorgski… Entre écriture et improvisation, jazz et classique, baroque et modernité, Fabien fait définitivement partie des musiciens qui comptent en Bretagne.

Didier SQUIBAN

Un album aux multiples influences

Tel Chopin, qui a beaucoup fait pour populariser le prélude, Fabien est une figure romantique arpentant sa région natale et sa Bretagne d’élection, un mot-clé naissant de ses impressions, une musique apparaissant du mot-clé ruminé. D’ailleurs, il ne renie pas Chopin, au contraire, il avoue que c’est lui qui l’a mis au piano. Et il écrit à la main. Sa musique naît sans le piano, avant le piano, elle précède la technique.

La musique, ce sont les lieux et les gens qui vous font l’honneur de vous accueillir. Le reste, ce ne sont que moyens techniques à mettre en œuvre, une question de contexte, ce qui explique la carrière diverse de Fabien Robbe, des orchestres dansants et traditionnels (Menestra, Tribuil) jusqu’au free jazz (ses disques avec Jérôme Gloaguen, et un recueil d’inédits de François Tusques), avec des incursions de plus en plus fréquentes dans l’électronique expérimentale. Différents habillages, même propos.

Ces expériences et ces figures se retrouvent donc dans les préludes. Mais réduites à une expression simple, esquisse plutôt que fresque. Le prélude est une forme qui proclame que point n’est besoin de plus.

De même que les poèmes qui accompagnent le disque, le piano-prélude avoue une référence, mais l’imaginaire doit remplir un blanc. Comme il l’entend. L’auditeur n’est pas invité à s’arrêter, à se fixer. L’ambiance d’abord : le prélude n’est-il pas un ancêtre de la musique ambient ? L’inspiration, surtout quand elle est dictée par d’autres musiciens, ne veut pas dire « faire comme ».

On entendra dans ces vingt-quatre préludes des clins d’œil. La citation vit dans le jazz, c’est comme ça. Mais pas de pastiche ; des emprunts techniques ou mélodiques, oui. Des marqueurs : un coup de gavotte, le prélude en sol majeur de Chopin, encore lui, qui traîne dans une main gauche. Des hérésies ludiques : un blues en mode majeur, une toccata de Bach mâtinée de Mal Waldron.

Bref, vingt-quatre façons de bien s’entendre avec le piano, avec qui il a eu une histoire… Parfois chaotique ; hommage est rendu aux « grands barbus », dixit, qui l’ont snobé à l’entrée du conservatoire… Parfois apaisée ; depuis gamin, il voulait composer, et ce disque marque la plénitude de « l’état de compositeur », après la conquête des « états d’urgence » collectifs d’un disque précédent…

Avec tout ça, il ne sait toujours pas jouer Chopin. De toute façon, ça le faisait ch*** de massacrer une énième fois les grands compositeurs. Autant se massacrer soi-même. Chacun ses standards ! (D’après Julien Palomo)

A propos de Fabien Robbe

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Originaire de Thimert-Gâtelles (28) et breton d’adoption, Fabien Robbe a toujours baigné dans la musique depuis son plus jeune âge.

Il se forme tôt à la trompette et au piano qu’il va délaisser pour une guitare électrique et des cheveux longs pour former avec trois potes YOLK. Arrivé au lycée, il découvre la musique bretonne. MENESTRA voit le jour un soir et fera danser durant presque 15 ans. Il côtoie dans ce même temps le TRIO PATRICK BOUFFARD le temps de quelques bals.

En 2006, il écrit sa première musique pour les EOSTIGED AR STANGALA, LA troupe de danse bretonne de Quimper (15 fois champion de Bretagne).

En 2015, il enregistre chez Improvising Beings, un disque piano solo Da bep Lec’h, point de départ de nouvelles expériences très « Tusquiennes » qui se poursuivra en 2016 par la formation du duo ROBBE/GLOAGUEN : Etats d’urgences (Improvising Beings), album salué par la critique.

En 2018, le duo ROBBE/GLOAGUEN signe son deuxième album, composé de deux grandes improvisations : Anima Animus (Mazeto Square).

En 2020, paraît Gardez votre sang froid (Mazeto Square) du ROBBE/GLOAGUEN QUARTET.

En février 2021, autre album expérimental du duo ROBBE/GLOAGUEN, autour des poèmes de Youenn Gwernig : The Egg Memory (Muteant Sounds)

Informations pratiques

  • 24 Préludes (Fabien Robbe)
  • Date de parution : 23 avril 2021
  • Label : Mazeto Square
  • Prix : 15 €

Mazeto Square : une maison d’édition et un label musical

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Créé en 2009, Mazeto Square est à la fois un label musical et une société de production et d’édition. Tout d’abord orienté vers le cinéma, avec la production de courts métrages expérimentaux, Mazeto Square s’est ouvert à l’édition de livres et à la production phonographique.

En 2012, le label a sorti son premier album, le conte musical Maman Mamelle. Puis, pendant plusieurs années, il a essentiellement publié des contes musicaux pour la jeunesse, avec sa collection « Mauvaises graines ».

Mazeto Square a ensuite élargi son catalogue à d’autres styles, du jazz aux musiques traditionnelles en passant par la chanson française. Le label a notamment sorti les albums d’artistes comme Mezcal Jazz Unit, Gilles Dalbis, Christian Zagaria, et Pierre Diaz.

Aujourd’hui, Mazeto Square continue à mettre en avant des œuvres nécessaires, qu’il s’agisse d’albums pour la jeunesse (contes musicaux), de disques d’artistes et de musiciens hors norme (jazz, musiques traditionnelles, chanson française) et de rééditions d’œuvres anciennes parfois oubliées.

La société de production et d’édition est membre depuis 2018 du réseau 1 % for the Planet ; elle s’engage donc à reverser chaque année 1 % de son chiffre d’affaires à des associations de protection de l’environnement pour limiter l’impact de son activité d’édition.

En 2017, Mazeto Square s’est ouvert au répertoire du jazz (free jazz, world jazz music) en prenant en distribution des artistes évoluant dans cet univers musical. Puis, naturellement, la maison d’édition a décidé d’assurer la production d’albums.

Ainsi en 2018, elle reprend la distribution de l’ensemble des albums de la formation de jazz Mezcal Jazz Unit, et produit deux autres disques : « Anima Animus » du duo Fabien Robbe et Jérôme Gloaguen et « Le Grand voyage de Goélin », conte musical de Patrick Fischmann.

En 2019, Mazeto Square a produit le premier album du François Perrin Utopic Quartet : « Les Routes de l’Intime » (Festival Jazz à Brides, D’Jazz Nevers Festival…), ainsi que « Selenites : One Kenichi Dream », nouvel album studio du guitariste Raymond Boni en duo avec le percussionniste Gilles Dalbis (avec le soutien de la SCPP et du FCM). En parallèle, en octobre, elle a publié le dernier conte musical jeunesse de Patrick Fischmann et Christian Zagaria, illustré par Christelle Le Guen : « Un signe des étoiles » (avec le soutien de la SACEM).

En 2020, Mazeto Square a produit le premier album studio du duo Bastien Boni (contrebasse) et Nicoló Terrasi (guitare) : « Les Partitions invisibles » (avec le soutien de la SCPP et du PIC-Ensemble Télémaque). Dès la fin du printemps, elle a également commercialisé un double album hommage à l’Intercommunal Free Dance Music Orchestra de François Tusques.

La société s’est aussi lancée dans l’édition vidéo en proposant la réédition en DVD de 3 films documentaires musicaux de la réalisatrice Christine Baudillon consacrés à 3 musiciens influents de l’improvisation libre : « Siegfried Kesseler – A Love Secret » ; « Raymond Boni – Les Mains bleues » ; « Daunik Lazro : Horizon Vertical ».

En 2021, Mazeto Square produit notamment le deuxième album de pianiste de Fabien Robbe “24 Préludes”.

Pour en savoir plus

Découvrir l’album : https://www.mazeto-square.com/product-page/24-pr%C3%A9ludes-cd

Site web : https://www.mazeto-square.com/

Facebook : https://www.facebook.com/MazetoSquare/

Instagram : https://www.instagram.com/mazetosquare/

Sorties DVD : Mazeto Square réédite 3 documentaires musicaux de la cinéaste Christine Baudillon sur 3 artistes de l’improvisation libre

Il y a enfin une bonne nouvelle pour tous les amoureux de la musique qui ont été privés de festivals et de concerts cette année en raison de la pandémie de covid-19 : la réédition, par Mazeto Square, de 3 documentaires musicaux en DVD de la cinéaste Christine Baudillon sur de talentueux artistes de l’improvisation libre.

Christine Baudillon est une réalisatrice passionnée, qui a su à chaque fois créer une relation de confiance avec les musiciens qu’elle a filmés.

Elle livre ici 3 documentaires exceptionnels sur des artistes à l’univers singulier : Raymond Boni (Les Mains Bleues), Daunik Lazro (Horizon Vertical) et Siegfried Kessler (A love secret).

Sortie prévue le 5 octobre 2020.

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Christine Baudillon, une cinéaste qui s’aventure dans l’univers de l’improvisation libre

Christine Baudillon filme comme personne les musiciens. Elle réalise notamment le portrait du pianiste Siegfried Kessler suivi de ceux sur la contrebassiste Joëlle Léandre, du saxophoniste Daunik Lazro et dernier en date, Raymond Boni, guitariste et harmoniciste.

Puis elle entreprend le tournage de Animal pensivité, un essai cinématographique.

En 2018, elle accompagne le film posthume de François Lagarde, Le Rouge et le Gris, Ernst Jünger dans la Grande Guerre dont elle est la monteuse et œuvre pour que le film Alexandre Kojève, en connaissance de cause, autre réalisation de François Lagarde, puisse voir le jour.

Pour Mazeto Square, la réédition de ces 3 DVD de documentaires musicaux s’est imposée comme une évidence.

La production d’œuvres consacrées au jazz (et qui plus est free jazz) est toujours un pari délicat car elle requiert une haute exigence artistique, avec des moyens de plus en plus limités. Le travail tout en subtilité de Christine ne pouvait donc que nous enthousiasmer.

Raymond Boni : Les Mains Bleues

Raymond Boni est un musicien majeur de l’improvisation libre. Guitariste et harmoniciste, il est celui qui, dès 1969, bien avant L’oiseau, l’arbre, le béton – sur le label Futura – se jetait à corps perdu dans des brisures de lignes, accelerandos fulgurants, folles échappées et bifurcations soudaines, tel le vol émouvant d’une chauve-souris à la tombée du jour. Raymond Boni c’est tout cela et c’est aussi l’évocation du cante jondo, cri solaire et imploration gitane andalouse mêlés au bruissement d’un vent chaud dans les arbres.

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L’œil de Christine Baudillon a le don de nous rapprocher des musiciens qu’elle aime et que nous aimons aussi. Gros plan sur l’œil du guitariste – la vista de l’improvisateur –, puis destination cuisine où il s’empare d’une guitare classique.

C’est là que commence ce portrait fait de quotidien, c’est-à-dire de musique, de souvenirs personnels et de rencontres : Christine Wodrascka, Violeta Ferrer, Bastien Boni, Jean-Marc Foussat, Laurent Charles, Lucien Bertolina, ou encore Daunik Lazro, Joe McPhee et Claude Tchamitchian (Next to You). Chaque spectateur aura ses préférences côté musique, mais tous devraient succomber à la « parole Boni », donnée en intérieur, en pleine nature ou chez son luthier…

L’approche naturaliste de Christine Baudillon respecte le temps qu’il fait et le temps qu’il faut pour faire sonner le matériau, pour construire un langage sous l’influence de Django et le transformer au gré du vent, loin des chapelles et des cabotinages (lorsqu’il se moque des musiciens qui disent prendre des risques lorsqu’ils jouent, Boni dévoile toute la sagesse qui l’inspire). Un grand bol d’air, pour les cinq sens…

Prix : 20 €

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Daunik Lazro : Horizon Vertical

Daunik Lazro est un artisan majeur de la musique improvisée européenne. Autodidacte de l’improvisation libre, c’est un homme engagé dans une musique qu’il veut incandescente et absolument défaite de toutes conventions. Musicien de haute voltige, Lazro empoigne son saxophone baryton comme on se saisit d’un corps. Sa matière sonore est un brusque et vif ébranlement suivi l’instant d’après d’un presque silence.

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Les sons qui sortent du baryton de Lazro sont des sons qui écorchent le convenu. Ce sont des sons de batailles, propulsés contre l’arrogance des chefs. Ce sont des sons que beaucoup ne veulent pas entendre et que beaucoup n’entendront jamais. Des sons qui interrogent et bousculent un monde servile. Son souffle est un chant.

Et puis Daunik parle. Il parle de sa rage, de son désespoir, de ses tourments, de la perte, des expériences passées, des influences (Bechet, Dolphy, Ornette, Lyons, Portal). Avec le photographe Horace, il se souvient d’Ayler à Pleyel, des spectateurs qui partaient en masse, de ceux qui hurlaient leur dégoût et des autres qui criaient leur joie.

Ce film est le portrait intimiste d’un musicien hors normes. Souvent, Christine Baudillon filme le saxophoniste, immobile. Minutieusement, elle enregistre le vent dans les branches. Elle superpose les axes. Un filet d’eau coule. Des feuilles mortes jonchent le sol. Le mouvement est lent et Tarkovski n’est pas loin. Et surtout, elle n’impose rien, ne bouscule rien. Cinéaste humble et investie, elle n’interfère pas : elle enregistre et témoigne. Seulement cela. Et ce cela est immense.

Prix : 20 €

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Siegried Kessler : A Love Secret

Siegfried Kessler, pianiste de jazz sarrois, est un personnage hors norme. Il a vécu plus de vingt ans à La Grande-Motte sur un voilier de course amarré au bout du pont F. « F comme fa dièse », aimait-il préciser. Son bateau, c’était toute sa vie, c’était son amour. Il aurait pu aussi bien dire, comme Novecento le pianiste d’Alessandro Barrico, « la terre, c’est un bateau trop grand pour moi. C’est un trop long voyage… Pardonnez-moi. Mais je ne descendrai pas ».

Mais si Kessler a été un grand marin, il fut aussi tout entier musique. Tout entier jazz. Les touches de son piano vibraient comme un nuage d’argent qui s’ouvre et déverse sa fureur. Kessler prenait la mer autant que possible, c’était un fou du grand large. Mais « on n’est pas fou quand on trouve un système qui vous sauve ».

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En 2002, pendant presque une année et munie d’une petite caméra DV, Christine Baudillon avait accompagné Siegfried Kessler. Il en résulte ce portrait filmé « quasi improvisé libre ».

A Love Secret est saisissant à la fois pour la proximité avec Kessler, mais aussi pour le rythme et les images du film parfaitement au diapason du pianiste. Des plans fixes, des longs cadrages, des gros plans figés, des portraits immobiles, des angles uniques… font ressortir le jeu de l’acteur, le bateau qui glisse sur l’eau, la Volkswagen qui tourne en rond, les mouettes qui traversent l’écran, etc. Le parti-pris d’un sujet en mouvement dans un décor fixe, filmé avec une sobriété élégante, permet de se concentrer sur le sujet et de mettre en relief la musique. Baudillon laisse son acteur se mettre en scène et dérouler son solo de bout en bout. Et quel acteur ! Kessler joue son propre rôle avec une présence extraordinaire.

La construction du film s’articule autour d’une introduction, de trois parties et d’une conclusion. L’introduction donne le ton : une vue plongeante sur la main de Kessler qui interprète la Chaconne dans sa transcription par Brahms. L’immobilité élégante du piano coupé en diagonale, des éclats noirs et blancs des touches et du reflet des cordes tranchent avec la mobilité précise de la main et de la musique. Ce somptueux morceau traduit à merveille la tension et l’émotion contenues dans le documentaire du début à la fin.

Prix : 20€

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À propos du label Mazeto Square

Créé en 2009, Mazeto Square est à la fois un label musical et une société de production et d’édition. Tout d’abord orienté vers le cinéma, avec la production de courts métrages expérimentaux, Mazeto Square s’est ouvert à l’édition de livres et à la production phonographique.

En 2012, le label a sorti son premier album, le conte musical Maman Mamelle. Puis, pendant plusieurs années, il a essentiellement publié des contes musicaux pour la jeunesse, avec sa collection « Mauvaises graines ».

Mazeto Square a ensuite élargi son catalogue à d’autres styles, du jazz aux musiques traditionnelles en passant par la chanson française. Le label a notamment sorti les albums d’artistes comme Mezcal Jazz Unit, Gilles Dalbis, Christian Zagaria, et Pierre Diaz.

Aujourd’hui, Mazeto Square continue à mettre en avant des œuvres nécessaires, qu’il s’agisse d’albums pour la jeunesse, de disques d’artistes et de musiciens hors norme et de rééditions d’œuvres anciennes parfois oubliées.

La société de production et d’édition est membre depuis 2018 du réseau 1 % for the Planet ; elle s’engage donc à reverser chaque année 1 % de son chiffre d’affaires à des associations de protection de l’environnement pour limiter l’impact de son activité d’édition.

En 2017, Mazeto Square s’est ouvert au répertoire du jazz (free jazz, world jazz music) en prenant en distribution des artistes évoluant dans cet univers musical. Puis, naturellement, la maison d’édition a décidé d’assurer la production d’albums.

Ainsi en 2018, elle reprend la distribution de l’ensemble des albums de la formation de jazz Mezcal Jazz Unit, et produit deux autres disques : « Anima Animus » du duo Fabien Robbe et Jérôme Gloaguen et « Le Grand voyage de Goélin », conte musical de Patrick Fischmann.

En 2019, Mazeto Square a produit le premier album du François Perrin Utopic Quartet : « Les Routes de l’Intime » (Festival Jazz à Brides, D’Jazz Nevers Festival…), ainsi que « Selenites : One Kenichi Dream », nouvel album studio du guitariste Raymond Boni en duo avec le percussionniste Gilles Dalbis (avec le soutien de la SCPP et du FCM). En parallèle, en octobre, elle a publié le dernier conte musical jeunesse de Patrick Fischmann et Christian Zagaria, illustré par Christelle Le Guen : « Un signe des étoiles » (avec le soutien de la SACEM).

En 2020, Mazeto Square a produit le premier album studio du duo Bastien Boni (contrebasse) et Nicoló Terrasi (guitare) : « Les Partitions invisibles » (avec le soutien de la SCPP et du PIC-Ensemble Télémaque). Dès la fin du printemps, elle a également commercialisé un double album hommage à l’Intercommunal Free Dance Music Orchestra de François Tusques.

La société se lance désormais dans l’édition vidéo en proposant la réédition en DVD de 3 films documentaires musicaux de la réalisatrice Christine Baudillon consacrés à 3 musiciens influents de l’improvisation libre : « Siegfried Kesseler – A Love Secret » ; « Raymond Boni – Les Mains bleues » ; « Daunik Lazro : Horizon Vertical ».

Pour en savoir plus

Site web : https://www.mazeto-square.com/

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Sortie album jazz : “Les Partitions invisibles” de Bastien Boni et Nicoló Terrasi

Le duo de musiciens de jazz français Bastien Boni (contrebasse) et Nicoló Terrasi (guitare) souhaite créer des paysages sonores qui prennent vie et transporter l’auditeur dans des univers oniriques, le laissant construire son propre parcours imaginaire, tel un cinéma pour les oreilles.

Les séquences sonores, préalablement enregistrées par les musiciens, relèvent d’une matière narrative réaliste (field recording). Voix, bribes de conversations, sons de la nature, bruits du quotidien, sons réalistes et abstraits… peignent des scènes auditives plus ou moins identifiables.

Dans leur premier album, “Les Partitions invisibles” (édité sous le label MazetoSquare), le propos est de réaliser une forme musicale qui se construit dans la temporalité à travers la confrontation et le dialogue de sons réalistes enregistrés et de sons abstraits instrumentaux… comme dans un collage dadaïste, où figures reconnaissables et images, et mots inventés réalisent la forme.

Sortie prévue le 6 avril 2020.

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Une improvisation musicale qui ouvre les portes de l’imaginaire

« Les Villes invisibles est né par fragments… comme des poèmes que je mettais sur le papier, suivant les inspirations les plus variées… 

Quand j’écris, je travaille par séries : j’ai plusieurs chemises où je mets les pages qu’il m’arrive d’écrire, selon les idées qui me passent par la tête, ou même de simples notes que je voudrais écrire… Je rassemble des pages sur les villes et les paysages de ma vie…, celles de villes imaginaires, hors de l’espace et du temps.
Je voulais que ces séries s’alternent, s’entrelacent et, en même temps, que le parcours du livre ne s’éloigne pas trop de l’ordre chronologique dans lequel les différents textes avaient été écrits. »

ITALO CALVINO - Le Città invisibili (Les Villes invisibles), 1972.

“Les Partitions invisibles” est le fruit de la captation de moments, l’invention instantanée d’une musique imaginée…

Sa composition s’apparente au livre de Calvino : le récit musical est construit par fragments nés de l’interaction de Bastien Boni (contrebasse) et Nicoló Terrasi (guitare) dans un dialogue libre. La narration musicale, se structurant en forme ouverte, permet de laisser libre la fantaisie, ainsi un lieu écouté peut devenir un paysage intérieur où l’imagination de chacun construit son propre scénario, tel un cinéma pour les oreilles.

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C’est dans une dimension imaginaire que la musique des “Partitions invisibles” se construit, autour de l’improvisation et d’un troisième élément sonore qui est le field recording ; ainsi se crée un parcours auditif imaginatif, une partition inexistante. Les enregistrements de terrain sont pour les musiciens comme les éléments que Calvino utilise pour construire sa narration : pages sonores imaginaires hors de l’espace et du temps.

En suivant un processus musical semblable à celui littéraire de Calvino, les improvisations instrumentales se mélangent avec un catalogue sonore de field recording, créant ainsi une narration. Les morceaux /chapitres s’alternent avec des bagatelles, sorte de petits intermèdes acoustiques, évoquant les dialogues entre les deux protagonistes du roman.

Ce qui commande au récit, ce n’est pas la voix : c’est l’oreille.

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Découvrir l’album en concert

Le GMEM-cncm (Centre national de création musicale de Marseille) soutient la création de ces “Partitions invisibles”. Bastien Boni et Nicoló Terrasi ont bénéficié d’un accueil en résidence de travail du 10 au 14 février et du 9 au 13 mars 2020.

Ces deux sessions au GMEM-cncm ont pour objectif de préparer les futurs concerts du duo, en travaillant sur l’aspect scénique de leur performance :

  • 12 mars : concert de sortie de résidence au GMEM-cncm ;
  • 29 mars : concert au PIC-Télémaque, à Marseille, là où les deux artistes ont enregistré l’album ;
  • 6 avril : sortie officielle de l’album ;
  • 9 avril : concert de présentation du CD au Théâtre de la Mer, à Marseille.

Du 25 juin au 3 juillet, le GMEM-cncm recevra à nouveau Bastien Boni et Nicoló Terrasi pour une 3ème session qui s’axera plus sur la conception son/lumières des concerts à venir.

Un duo né d’une passion commune

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Bastien Boni et Nicoló Terrasi, tous deux compositeurs instrumentistes, sont liés par la pratique de l’improvisation libre. C’est lors de la représentation de la pièce Acustica du compositeur Mauricio Kagel (production compagnie l’Art de Vivre, 2016), que se révèle leur complicité.

Le duo prendra forme ensuite au sein du collectif Grand 8 (grand ensemble de musique improvisé) avec l’envie de partager une musique complice et ludique. Leur projet met en jeu un travail instrumental et de live électronique qui se déploie en contrepoint à une écriture sonore diffusée sur un dispositif de haut-parleurs.

Bastien Boni : contrebassiste, compositeur et improvisateur

Diplômé de l’Ecole Nationale de Musique d’Avignon et d’Aix Marseille Université, il compose de la musique pour le théâtre, le cinéma, l’audiovisuel, la danse contemporaine, et des installations sonores sous différentes formes : sculptures et objets sonores.

Nicoló Terrasi :  guitariste, compositeur et improvisateur

Diplômé du Conservatoire de Palerme, de l’École Normale de Musique, du Conservatoire du XXe arr. de Paris, et du CNRR de Marseille, il compose des musiques instrumentales, acousmatiques, mixtes et s’intéresse aux musiques traditionnelles et à l’improvisation libre.

Il réalise des musiques pour le spectacle vivant et jeune public, pour des films documentaires, le théâtre et l’image. Il développe des projets pédagogiques autour de la création contemporaine, et en relation aux arts visuels avec la compagnie Risonanze.

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Informations pratiques

  • “Les Partitions invisibles” (Bastien Boni & Nicoló Terrasi)
  • Date de parution : 6 avril 2020
  • Label : MazetoSquare

A propos du label MazetoSquare

Depuis 10 ans, le label MazetoSquare produit et distribue des œuvres qui lui semblent nécessaires : des albums pour la jeunesse (contes musicaux), des disques d’artistes et musiciens hors normes (jazz, musiques traditionnelles, chanson française), des rééditions d’œuvres anciennes parfois oubliées…

Pour en savoir plus

Dossier de presse : DP_LES-PARTITIONS-INVISIBLES_07022020_DEF

Site web : https://www.mazeto-square.com/

Facebook : https://www.facebook.com/MazetoSquare/

Instagram : https://www.instagram.com/mazetosquare/

Sortie album jazz : “Sélénites – One Kenichi Dream” de Raymond Boni et Gilles Dalbis

Le guitariste Raymond Boni et le percussionniste Gilles Dalbis aiment à nous raconter des histoires, dans une envie sans cesse renouvelée de partage. Cette fois-ci, ils nous emmènent sur la Lune, Sélène, après un premier album en duo remarqué. Pourquoi pas ?

Faut-il alors dans ce nouveau disque en attendre les crépuscules, les zones d’ombre, un négatif ? Pas tout à fait. Ce sont plutôt les rêves nocturnes, ou les rêves d’ailleurs, ou les épopées mythiques que l’on écoute à la veillée, autour du feu, près d’un maquis, en vue de la mare nostrum trop étale qui, elle aussi, les écoute.

Dans ce nouvel album “Sélénites – One Kenichi Dream” (édité sous le label Mazeto Square), ces deux musiciens laissent s’exprimer pleinement leur liberté, leur sensibilité, leur désir de non-conformisme.

La musique de ce duo est une composition de l’instant, une musique improvisée ; en quelque sorte, la musique d’un cri. Avec le temps, leur musique s’étoffe, se précise, s’épure infiniment, se nourrissant d’influences comme le jazz, le free jazz, la musique contemporaine, la musique Flamenca… traçant le lien entre sa propre histoire et celle de la musique en général.

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 Une plongée au cœur de paysages fantastiques

Ce qui est le plus important, est que l’harmonie entre ces deux musiciens est capable de créer des rythmes et des mélodies qui ne sont plus de l’improvisation en soi, mais une composition intéressante. Quelque chose qu’une musique improvisée devrait être.

 HUBERT HEATHERTOES, ASTIPALEA RECORDS

“Sélénites – One Kenichi Dream” ouvre les portes d’un autre univers, qui se donne d’autant mieux à voir que la ligne est claire. La gratte, sèche. Abstraite souvent, mais comme a pu l’être celle de Derek Bailey, parce que motivée par une intention entièrement personnelle. La percussion primale – au sens “d’origine” – avec une batterie Asba à l’os.

Gestes premiers, instinct pur, il s’agit donc toujours de partage, quand des humains se mettent autour du feu pour faire reculer la nuit et élever le son vers Sélène, providence des navigateurs et des égarés.

 

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Raymond Boni, le guitariste, a amené l’harmonica et quelques riffs de blues à la veillée. Ses grands espaces brûlés et brûlants s’adaptent très bien à la poussière de basalte. De même, des traînes de delays font monter une certaine angoisse primordiale, comme du temps de L’Oiseau, l’arbre, le béton.

Et Gilles Dalbis, le percussionniste, comme il le redit souvent, “est dans un état”. Pas forcément musical, c’est plutôt de la danse, des images, les tensions et guérisons, des choses profondément humaines. Ce duo improvise parce que c’est comme ça qu’on vit.

Cette fois, ils partagent leur grand songe, et vous n’aurez pas connu une telle excitation depuis les Aventures du baron de Münchausen.

Ecouter un extrait : https://www.relations-publiques.pro/wp-content/uploads/pros/20190916085245-p4-document-zcfj.mp3

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6 pépites musicales

Le monde étrange et envoûtant des sonorités entrecroisées, et les sonorités des différentes cordes. Au pays de la liberté…

DIDIER EPSZTAJN, ENTRE LES LIGNES ENTRE LES MOTS

  1. Kenichi flies to Selene (15’11)
  2. Crazy Moon (4’35)
  3. Selenite Blues (4’14)
  4. Dancing (5’40)
  5. Moon Song (5’50)
  6. Where is Kenichi ? (5’43)

Durée totale de l’album : 41’17.

Portrait de Raymond Boni (guitare, harmonica)

Guitariste improvisateur compositeur français, Raymond Boni est né le 15 mars 1947, à Toulon.

Ce musicien de talent multiplie les rencontres, parfois ponctuelles, avec des instrumentistes avides comme lui d’échanges spontanés et d’improvisation polymorphe. Celles-ci prennent souvent la forme du duo, notamment avec les batteurs percussionnistes comme Éric Échampard, Hamid Drake, Luc Bouquet, Makoto Sato, Didier Lasserre et Gilles Dalbis.

D’une rare longévité, son association avec Joe McPhee se prolonge au fil de différents projets tels que Remembrance (avec le bassiste Michael Bisio) ou le quartet Next to you.

Raymond Boni fait également partie du quartet Mamabaray, du trio à cordes Zany Strings avec Michael Nick et Bastien Boni. Plus récemment, il participe au trio Résolution avec Patrice Soletti et Marc Siffert, ainsi qu’à l’ensemble du Grand 8, et joue aussi en duo avec Sakina Abdou.

Discographie sélective :

  • 1971 L’oiseau, l’arbre, le béton, solo (Futura).
  • 2012 Family reunion avec M. Petrov, G. Berisha, B. Boni, A. Petrov (Chicken madness).
  • 2012 Welcome, solo (Emouvance).
  • 2013 Federico Garcia Lorca, avec Violeta Ferrer (Fou-Records).
  • 2014 Clameur, avec Raphaël Saint Remy (Emouvance).
  • 2016 Soft eyes, avec Didier Lasserre (Improvising Beings).
  • 2016 The magic city (Alabama 1985), avec Joe McPhee (Trost Jukebox Series).
  • 2017 Improvisations : 8 pièces pour guitares et batterie percussions avec Gilles Dalbis.

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Portrait de Gilles Dalbis (percussions)

Compositeur batteur et percussionniste français, Gilles Dalbis est né le 16 septembre 1953, à Montpellier.

Après des études de piano de l’âge de quatre ans à 14 ans, il débute à la batterie dans divers groupes du Sud de la France. Principalement autodidacte, il étudie aussi à Paris avec Dante Agostini, Daniel Humair et Georges Paczynski. Dès lors, il se consacre à la musique improvisée.

Gilles Dalbis aime à développer des rencontres et créations avec des artistes venus de différents arts d’expression : spectacles avec le texte, la danse, l’image numérique. Il s’attache également à nouer des rencontres sensibles et créations avec des personnes autistes ou des personnes en traitement.

Gilles Dalbis joue sur une batterie vintage Gretsch, également sur batteries ASBA (dont le nouveau prototype 2018 des usines de Lyon), ainsi que sur des matériaux bruts : le bois, la terre, l’eau.

Discographie sélective :

  • 1981 L’Eternitat de Marie Rouanet, avec René Bosc, Guy Simon… (Ventadorn).
  • 1992 Moments, percussions solo.
  • 1997 Traces, percussions solo.
  • 2001 Les sons de la terre : la naissance des percussions (L’Entretemps).
  • 2006 Quart’ograph, avec Christian Zagaria, Patrice Soletti et Marc Siffert.
  • 2012 Maman mamelle de Charles Borrett (Mazeto Square).
  • 2013 Métamorphoses avec Pierre Diaz.
  • 2017 9 pièces pour un Duo avec Pierre Diaz.
  • 2017 Improvisations : 8 pièces pour guitares et batterie percussions avec Raymond Boni.

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Informations pratiques

Sélénites : One Kenichi Dream (Raymond Boni & Gilles Dalbis)

Date de parution : 04 Nov. 2019

Label : Mazeto Square

À propos du label Mazeto Square

 

Depuis 10 ans, le label Mazeto Square produit et distribue des œuvres qui lui semblent nécessaires : des albums pour la jeunesse (contes musicaux), des disques d’artistes et musiciens hors normes (jazz, musiques traditionnelles, chanson française), des rééditions d’œuvres anciennes parfois oubliées… Et bien d’autres curiosités qui, nous l’espérons, susciteront la vôtre.

Pour en savoir plus

Site web : https://www.mazeto-square.com/

Facebook :  https://www.facebook.com/MazetoSquare/

Rendez-vous à Bergerac du 23 au 26 mai… ça va jazzer !

Plus de 20 groupes, des têtes d’affiche internationales, de la diversité, l’ouverture sur les mondes du Jazz… et une ambiance de fête ! Le festival Jazz Pourpre donne rendez-vous du 23 au 26 mai à Bergerac. A l’occasion de ses 10 ans, le festival crée le Village Jazz et réserve de belles surprises !

Le festival JAZZ POURPRE fête ses 10 ans

 

Depuis sa création en 2004, le festival Jazz Pourpre Périgord Festival porte haut et fort les couleurs du Jazz. Pour fêter ses 10 ans, le festival parrainé cette année par China Moses, réserve quelques nouveautés et de belles surprises au public…

Des artistes prestigieux

China Moses, une marraine « Crazy Blues » !

Accompagnée de son pianiste Raphael Lemonier et de leur band de musiciens, China Moses rendra hommage à travers l’interprétation de son album « Crazy Blues » à quelques grandes dames du blues et de la soul : Dinah Washington, Nia Simone, Janis Joplin…

Et si China Moses se considère comme une conteuse d’histoires de jazz, elle a sans nul doute hérité d’un je ne sais quoi de ses parents, la chanteuse Dee Dee Bridgewater et le réalisateur Gilbert Moses…

Renaud Garcia Fons

Virtuose de la contrebasse à la notoriété mondiale, Renaud Garcia Fons viendra en quatuor présenter son projet Linea del Sur.

Au fil des compositions, l’accordéon, la guitare flamenco, les percussions mais aussi la contrebasse incarnent les instruments du voyage…

Fabrice Eulry et Pierre-Yves Plat

Pianistes de génie, Fabrice Eurly excelle dans les styles les plus divers, du plus rythmé au plus mélodique quand Pierre-Yves Plat a l’art de faire résonner Chopin en ragtime ou Bach en salsa ! Un duo de virtuoses, époustoufflant…

Paul Chéron 7Tet et Nadia Cambours

Issue du fameux et jubilatoire Tuxedo Big Band, cette formation se réunit à nouveau autour des grandes chanteuses de swing, d’une air sombre ou léger, au gré de l’univers singulier de Benny, Count, Lester, Billie, Anita, Ella … « le swing est opaque, intime, l’émotion est simple… dans le sillage »

 

3 lieux : plus de musique, plus d’arts, plus de vie !

En plus de la Grande Scène du centre Culturel de Bergerac, le festival jazz Pourpre se déroulera sur deux autres sites : La Boite de Jazz et le Village des Arts et Artistes.

Digne de l’ambiance des clubs de jazz, La Boîte de Jazz accueille sous un chapiteau de 500 places, des concerts gratuits en continu.

Pour associer Jazz et Arts, les 10 ans du festival inaugureront Le Village, un lieu « magique » où le public pourra découvrir des expositions mais aussi des performances en live de sculpteurs, peintres, graphs, luthiers, etc. autour des thèmes de la musique et du vin (on est à Bergerac tout de même !). Danse, « bœufs » surprise, piano open et restauration aux Tables du Village, seront aussi de la partie.

Tout un programme… enfin l’essentiel !

Jeudi 23 mai – Mise en bouche

18 h : Ouverture du Village – Au piano, Anthony Hendrix

19 h : Dîner au Village

20 h 30 : Concert Blues Connexion, podium à un groupe bergeracois en devenir

Vendredi 24 mai

17 h : Ouverture du Village – Animation, Batucada Mozaik

17 h 30 : Inauguration en présence de China Moses – Mise en jazz Rix Tet

18 h 30 : Apéro-jazz – Au piano, Anthony Hendrix

19 h : Dîner jazz avec Rix Tet 5tet

21 h : Concert – Renaud Garcia Fons

Samedi 25 mai

10 h : Matinale au Village

10 h – 18 h : Jazz en ville - déambulation de 3 groupes

12 h : Apéro-jazz avec Alain Barabes

13 h : Déjeuner jazz avec Thibault Bonté 5tet

14 h 30 : Concert – les Gosses de la Rue

16 h 30 : Concert : Jérôme Gatius 4tet

18 h : Concert - Fabrice Eulry et Pierre-Yves Plat

19 h : Diner jazz avec Top Trio

21 h : Concert – China Moses

Dimanche 25 mai

12 h 30 : Déjeuner spectacle – Les Zinzins du jazz (uniquement sur réservation)

18 h : Paul Chéron 7Tet et Nadia Cambours

19 h : Diner jazz avec Des Cordes Jazz

Un festival jazzifiant !

La programmation éclectique et la confiance des artistes de renom ont bâti au  fil des éditions une réputation grandissante au festival Jazz Pourpre.

Créé en 2004 par l’association Jazz Pourpre, le festival s’inscrit comme un événement majeur en parallèle de la programmation des concerts Jazz en Chais.

Pour Jacques Gommy, président de l’assocation,

C’est aussi une vision différente d’un Festival de Jazz, immergé dans une ambiance Artistique et Culturelle, mais toujours festive

Informations pratiques

Tarifs

Au Centre Culturel  – Pass 3 jours / 4 concerts : 55 €

A la boîte de Jazz et au Village : Entrée gratuite

Renseignements

Jazz Pourpre

Tél. 05 53 73 12 25

Mail : jazzpourpre@orange.fr

www.jazzpourpre.com