AGIR RECOUVREMENT fête ses 30 ans et continue à se développer en s’appuyant sur des valeurs fortes

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Depuis 30 ans, AGIR RECOUVREMENT construit sa croissance dans le respect de valeurs fortes et d’une culture de la performance.

Spécialiste de la créance B to B, la société fait partie des 10 premières sociétés indépendantes de recouvrement d’impayés en France et à l’international.

 Quels sont les facteurs clés de succès de cette PME ?

AGIR RECOUVREMENT s’appuie sur deux piliers inscrits dans l’ADN du groupe FSP :

L’humain avant tout : des collaborateurs fidèles à l’entreprise préservent et transmettent un savoir-faire unique, qu’ils enrichissent de leurs expériences. La société soutient, par le sponsoring et le mécénat des causes qui lui sont chères autour des valeurs comme la persévérance, le dépassement de soi, l’entraide…

L’agilité : avant-gardiste et soucieuse de sa contribution aux enjeux de développement durable, AGIR RECOUVREMENT a déjà développé de nombreux projets pour améliorer son impact environnemental et sociétal. Les nombreux changements technologiques et règlementaires incitent à l’adaptation et à l’innovation. Les équipes grandissent avec ses évolutions permanentes. Elles sont habituées à proposer de nouveaux process pour améliorer leur qualité de travail.

Une success-story résumée en quelques dates-clés

Photo-groupe

1993 – Création d’AGIR RECOUVREMENT à Cholet.

2001 - La société est regroupée sous la holding FSP, fédérant également PRÉ-VENANCE, experte dans la gestion du poste client. AGIR RECOUVREMENT et PRÉ-VENANCE ont pour cœur de métier la gestion et l’optimisation de la trésorerie des entreprises.

2011 – La société déménage dans de nouveaux locaux plus spacieux en périphérie de la ville, permettant aux collaborateurs de bénéficier d’une superficie de 1500m².

2014 – Le succès d’AGIR RECOUVREMENT grandissant, les équipes se trouvent à nouveau à l’étroit. Une extension de 500 m² voit le jour.

2017 – Le fondateur Stéphane Paye décède, laissant les collaborateurs orphelins d’un leader charismatique.

2018 – Nomination d’un Directoire pour commencer une nouvelle page de l’histoire d’AGIR RECOUVREMENT. La nouvelle impulsion donnée par Franck Louis, président du Directoire, produit rapidement ses effets sur les résultats du groupe.

2020 – Confrontée comme l’ensemble de l’économie à la crise sanitaire, AGIR RECOUVREMENT réussit à maintenir son cap de développement tout en faisant preuve de résilience.

2023 – AGIR RECOUVREMENT toujours ambitieuse, développe de nouveaux projets pour soutenir sa croissance.

AGIR RECOUVREMENT, l’outsider qui a su s’imposer face aux grands noms du secteur

Les chiffres à connaître

  • Chaque année, 56 milliards d’euros d’impayés en France
  • 25 % des défaillances dues au retard ou défauts de paiement
  • 300 000 emplois menacés par les retards de paiement

La PME qui s’inscrit dans une stratégie groupe pilotée par FSP gagne des parts de marchés face aux concurrents en misant sur différents éléments différenciants :

  • Une connaissance du B to B,
  • Une offre globale de services proposée par le groupe FSP à travers ses différentes entités,
  • 115 collaborateurs impliqués,
  • Un segment sur le haut de gamme,
  • Un maillage commercial sur tout le territoire français,
  • Un service export en interne et des correspondants à l’international,
  • Un large réseau de partenaires (avocats, huissiers et notaires) en France.

Forts de la confiance de nos clients, nous comptons poursuivre notre croissance en France et à l’international.

Franck Louis, président du directoire

Pour en savoir plus

Site web : https://www.agir-recouvrement.com/

LinkedIn : https://www.linkedin.com/company/agir-recouvrement

Impayés et retards de paiements : Recouvr’up lance le label Business Bonnes Pratiques pour aider les entreprises à agir contre les « mauvais payeurs »

Alors que la crise économique liée à la pandémie de Covid-19 devrait coûter 22 points de PIB à la France en 2020 (source), les entreprises luttent pour sauvegarder leur trésorerie et rester compétitives.

Il ne s’agit pas seulement d’attirer les clients : quand ils sont là, encore faut-il réussir à se faire payer. Le pourcentage de factures impayées a augmenté de 18,2% depuis le début de l’épidémie pour atteindre près de 23% début juillet (source). C’est mieux qu’au début du déconfinement (il atteignait près de 40% le 16 mai) mais la situation reste problématique pour nombre d’entreprises, dont la survie est aujourd’hui menacée.

De plus, à ces impayés, il faut ajouter la problématique des délais de paiement qui privent les PME/PMI de 12 à 15 milliards d’Euros de trésorerie (source) et causent la faillite de 40 PME par jour en moyenne.

Dans ce contexte, il est urgent de sécuriser les relations commerciales et de garantir des paiements à l’échéance ! Alors pour aider les dirigeants à prendre les bonnes décisions et à restaurer la confiance dans les relations d’affaires, la plateforme de recouvrement en ligne Recouvr’Up lance la charte “Les Business Bonnes Pratiques”.

Cette charte permet de labelliser les entreprises signataires et atteste de leur démarche commerciale éthique, transparente et professionnelle.

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Valoriser les entreprises responsables et fiables pour booster la croissance

Parce que les factures impayées et les retards de paiements sont très élevés en France, il est primordial de trouver une solution pour préserver la trésorerie des entreprises, afin de leur permettre non seulement de se développer, mais aussi d’assurer leur pérennité.

Avant même de penser au recouvrement des factures, il y a donc un enjeu crucial qui se pose en amont de la relation commerciale : comment sécuriser ses factures clients et éviter les “mauvais payeurs” ?

Pratiquer le “name & shame”, comme le fait déjà Bercy, ne suffit pas puisque cette action intervient a posteriori, quand nombre de TPE/PME ont été confrontées à des difficultés de paiement. Par ailleurs, elle concerne uniquement les entreprises auditées, et se fonde sur un principe de défiance.

C’est pour cela que Recouvr’up lance la charte et le label Business Bonne Pratiques (BBP). Philippe Bernis, le fondateur, souligne :

Nous voulons modifier la relation d’affaires : le prestataire prend un engagement éthique et responsable en matière commerciale, en contrepartie d’un paiement à l’échéance.

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L’idée est de créer un cadre propice à des relations commerciales de confiance, qui responsabilisent les deux parties.

Les entreprises utilisatrices de Recouvr’up peuvent ainsi accepter la charte BBP et labelliser leur entreprise sur une démarche commerciale éthique, transparente et professionnelle.

Elles doivent en effet s’engager sur 5 principes fondamentaux d’une bonne relation client/fournisseur :

  1. Engagement ferme préalable à tout travail (devis accepté et bon de commande établi) ;
  2. Prestation conforme à la demande ;
  3. Facturation dans les règles avec un logiciel homologué (respect des dispositions légales en vigueur) ;
  4. Paiement de ses fournisseurs et prestataires dans les délais ;
  5. Relance de ses factures clients impayées à l’échéance.

Professionnaliser la gestion du poste client

Dès que l’entreprise a accepté la charte “Business Bonnes Pratiques”, elle peut alors :

  • apposer sur ses factures le label BBP sous forme d’un sticker vert (autocollant ou jpeg téléchargeable),
  • et/ou éditer une attestation à joindre à sa facture.

 

Ce label rappelle aux clients que, outre l’engagement de son fournisseur dans une démarche éthique et responsable, le paiement est attendu à l’échéance et que la facture est placée sous la protection de Recouvr’Up.

A défaut de paiement à l’échéance, l’entreprise pourra déclencher les actions automatiques de recouvrement et réclamer des pénalités pour retard de paiements, avec notamment les stickers BBP coercitifs orange ou rouge apposables sur les relances.

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Philippe précise :

Cette démarche permet de lever la peur de froisser les clients en osant relancer les factures impayées. Grâce au label, la question du respect des délais de paiement est posée d’emblée dans la relation commerciale, elle est donc beaucoup mieux acceptée.

Concrètement, dès l’émission de la facture, le client sait que le paiement est attendu à l’échéance conformément au contrat ou à la règle édictée par le Code de commerce (30 jours par défaut en BtoB).

Cette approche a également une vertu pédagogique puisqu’elle “éduque” les entreprises à la relance des encours clients et au respect des délais de paiement. “Taper du poing sur la table” quand les engagements de paiement ne sont pas tenus doit être simple et plus systématique ! Le principe d’ « une main de fer dans un gant de velours » cher au recouvrement de créances, prend ici tout son sens.

Recouvr’up, la plateforme en ligne qui démocratise le recouvrement de créances

Parcours Recouvr'Up

 

Le recouvrement est encore tabou en France auprès des entreprises pour plusieurs raisons : la mauvaise image des acteurs du métier (notamment les cabinets de recouvrement), le coût élevé des prestations, la perte de la relation commerciale dès lors qu’on fait appel à un prestataire, et la faible innovation technologique.

Mais ça, c’était avant !

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Recouvr’Up casse les codes du recouvrement grâce au 100% digital. Cette plateforme “nouvelle génération” permet aux entreprises :

  • d’appuyer leur demande de paiement : relance automatique d’un cabinet de recouvrement ;
  • de réclamer des pénalités de retard : calcul du montant des pénalités de retard et justificatif comptable ;
  • et de mettre leurs menaces à exécution (procédure judiciaire) de façon simple (aucun prérequis), rapide (en 3 clics) et efficace.

Le tout pour un tarif accessible sans aucun honoraire prélevé sur les encaissements.

L’objectif est clair : en finir avec ce sentiment de laisser-aller, voire d’impunité en recouvrement de créances, et inciter tous les clients à régler les factures dans les délais.

Philippe confirme :

Nous voulons démocratiser le recouvrement et mettre toute la puissance du digital au service d’une relation client/fournisseur plus responsable, saine, et transparente. En tant que gérant du cabinet Direct Recouvrement depuis 2011, j’ai à cœur de changer les choses car je suis confronté quotidiennement aux difficultés d’encaissement des entreprises.

Portrait de Philippe Bernis, fondateur de Recouvr’up

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Après un parcours en sciences de gestion, Philippe Bernis a exercé pendant dix ans le métier de responsable recouvrement dans une société cotée en Bourse. En 2011, il décide de voler de ses propres ailes et de mettre son expérience au profit des entreprises en fondant le cabinet Direct Recouvrement.

Il précise :

Chez Direct Recouvrement, nous avons un véritable savoir-faire du recouvrement de créances.

En 2015, pour les besoins de son cabinet, Philippe Bernis développe un simple calculateur pour connaître avec précision le montant des pénalités de retard dues par les débiteurs en situation d’impayé. Cet outil va donner naissance à Recouvr’up, qui évoluera ensuite pour devenir une plateforme de recouvrement 100% digitale offrant un large panel de services.

La plateforme Recouvr’Up a permis à Philippe d’être lauréat de Réseau Entreprendre et d’intégrer l’incubateur La Turbine à Cergy-Pontoise.

Pour en savoir plus

Présentation Recouvr’up : https://www.relations-publiques.pro/wp-content/uploads/pros/20200716131056-p3-document-dnqu.pdf

Sit web : https://recouvrup.fr

LinkedIn : https://www.linkedin.com/company/direct-recouvrement

Innovation digitale anti retards de paiement : Rubypayeur “fait la guerre” aux mauvais payeurs

Les retards de paiement sont une vraie plaie pour l’économie française ! Pour avoir un ordre de grandeur, il faut savoir que :

  • 25% des dépôts de bilan sont imputables aux défauts de paiement
  • 56 milliards d’euros de créances sont restées impayées en France en 2017
  • 100 000 emplois pourraient être créés si les délais de paiement étaient respectés

Or, en pratique, les TPE/PME se retrouvent démunies pour trouver des solutions efficaces. En effet, quand le mauvais payeur décide de faire la sourde oreille, obtenir gain de cause suppose de se lancer dans un bras de fer juridique souvent long et coûteux. Les petites créances sont trop rarement recouvrées et les mauvais payeurs sont conscients des lacunes du système. Les entreprises se retrouvent alors avec des difficultés de trésorerie et, dans tous les cas, avec un manque à gagner qui a un impact direct sur la santé de l’entreprise.

Dans ce contexte, il y a pourtant une solution simple et d’une redoutable efficacité : le “Name & Shame”, un concept très plébiscité dans les pays anglo-saxons. L’idée est de modifier le rapport de force en dénonçant les mauvaises pratiques de paiement.

Fin 2015, Bercy a inauguré cette pratique en France en communiquant sur les amendes infligées pour retard de paiement à des grands groupes. Ce procédé est intéressant mais présente une limite : il faut attendre longtemps avant que le nom des mauvais payeurs soit dévoilé et cette démarche ne se fait pas à l’initiative des entreprises. Quid des TPE/PME qui représentent l’immense majorité du tissu industriel et commercial en France ?

Pour en finir avec ce cauchemar, Alexandre Bardin lance Rubypayeur ! Cette solution innovante révolutionne le recouvrement de créances entre professionnels en permettant d’identifier en quelques clics les mauvais payeurs et/ou de déclencher une procédure de recouvrement amiable basée sur le Name and Shame. En prime, les tarifs sont accessibles à toutes les entreprises, mêmes les plus petites.

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Rubypayeur : le recouvrement nouvelle génération devient communautaire

En matière de recouvrement, la France est restée à l’âge de pierre ! Dans un contexte économique tendu, il est devenu urgent d’utiliser tout le potentiel des outils numériques afin d’apporter une réponse moderne et pragmatique à un réel besoin.

Alexandre Bardin souligne :

Les PME n’ont pas vocation à être des banquiers ! Il est indispensable de prendre des initiatives fortes pour en finir avec des pratiques aux conséquences catastrophiques. Sinon, certains continueront à considérer ces entités comme des sources de crédit intarissables.

Avec Rubypayeur, fini l’impunité pour les mauvais payeurs. Le chef d’entreprise a toutes les cartes en main pour s’informer, se protéger et se défendre face aux retards de paiement.

Des services 2.0 pour agir vite et bien

Rubypayeur propose d’activer 3 leviers pour en finir avec les retards de paiement :

Identifier les risques : votre futur partenaire commercial est-il un mauvais payeur ?

Le moteur de recherche Rubypayeur permet d’accéder en quelques clics aux pratiques de paiement de plus de 10 millions d’entreprises françaises.

Il est ainsi possible de savoir si des incidents de paiement ont été signalés ou si l’entreprise s’est engagée à respecter les délais de paiement (en signant la charte Ruby). Pour toujours plus de simplicité, un service d’alerte propose même de recevoir des notifications sur des entreprises cibles.

Se faire payer : le recouvrement qui ose le “Name and Shame”

Fini le “pas vu, pas pris” qui permet aux habitués des retards de paiement de se constituer une trésorerie au détriment des PME.

La procédure Rubypayeur est à la fois pédagogique et dissuasive :

  • Le dossier de recouvrement amiable est créé en quelques minutes.
  • Le processus de relance est alors déclenché : le débiteur est invité à régulariser sa situation par recommandé, SMS et emails.
  • S’il ne paie toujours pas sa facture, son retard de paiement est publié sur le moteur de recherche public de la plateforme. Autant dire que la plupart des retardataires vont se dépêcher d’agir pour éviter cette mauvaise publicité !
  • Pour les plus récalcitrants, une procédure de recouvrement judiciaire avec requête en injonction de payer est alors proposée en option.

Tarif phase amiable : 15 € HT + 10% de la créance récupérée (ou gratuit + 5% de la créance récupérée pour les abonnés Rubypayeur).

Tarif phase judiciaire : 199€ HT (ou 149€ pour les abonnés Rubypayeur).

Labelliser son entreprise : valoriser les bons payeurs

Devenir “Rubypayeur” permet de rassurer ses futurs partenaires commerciaux concernant les retards de paiement.

Mais pour cela, il faut montrer “patte blanche” : pour pouvoir s’abonner au service Rubypayeur (tarif : 9,99 € HT/mois sans engagement), il faut s’engager à honorer ses factures en temps et en heure en signant la charte Ruby.

L’abonnement permet également d’accéder à un tableau de surveillance et de bénéficier d’avantages tarifaires sur les prestations de recouvrement Rubypayeur.

De plus, il offre la possibilité d’utiliser le logo “Rubyprotect” sur les factures et le logo de labellisation Rubypayeur sur tous les supports de communication.

Respect du débiteur

Il existe évidemment de bonnes raisons de ne pas payer une facture. Rubypayeur prend en compte ces éléments et apporte une attention toute particulière aux droits du débiteur, en lui permettant de contester la procédure avec des éléments tangibles.

Par ailleurs, Rubypayeur impose au créancier de fournir des documents précis et vérifiés. C’est une condition sine qua non pour que le système soit vertueux. L’objectif n’est pas de créer un outil qui servirait à nuire aux débiteurs mais de donner un moyen efficace au créancier de se faire payer.

A propos d’Alexandre Bardin, serial entrepreneur et fondateur de Rubypayeur

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A 30 ans, et après un cursus Franco-Allemand en école de commerce, Alexandre Bardin a déjà créé 3 entreprises. Il a eu l’idée de Rubypayeur en s’appuyant sur son expérience de dirigeant.

Il confie :

En tant que fondateur d’un e-commerce ayant une activité B2B, j’ai été confronté à de gros problèmes de retards de paiement de la part de certains clients. J’ai été surpris de voir à quel point les créances sont compliquées à recouvrer, tant en raison des coûts disproportionnés que de l’efficacité toute relative des cabinets spécialisés.

En s’intéressant aux solutions de recouvrement, Alexandre constate que ce secteur n’a pas vraiment pris le virage du digital et qu’il existe des opportunités de développement intéressantes.

Il décide alors de créer une plateforme de recouvrement novatrice qui va s’appuyer sur quatre piliers :

  • Le numérique : pour proposer des outils performants et faciles à utiliser.
  • Le Name and Shame : pour pénaliser les mauvais payeurs.
  • La communauté : la base de données, accessible à tous, s’auto alimente avec les incidents de paiement non réglés et les engagements pris pour les respects des délais de paiement.
  • La démocratisation du recouvrement : les tarifs très abordables permettent à toutes les entreprises d’accéder à des solutions performantes pour éviter les impayés.

Alexandre précise :

Avec Rubypayeur, nous avons l’ambition de révolutionner un secteur vital pour l’économie. Notre objectif est d’apporter une solution réellement efficace pour en finir avec les retards de paiement.

Pour en savoir plus

Site web : https://rubypayeur.com/

Blog : https://blog.rubypayeur.com/

Nouveau : un service en ligne qui aide les entreprises à récupérer leurs impayés sans se ruiner

Recouvreo : Calculer les pénalités de retard et relancer les clients en quelques clics et à moindre frais

En 2014, sur environ 63 000 entreprises en faillite, près de 25% d’entre elles ont mis la clé sous la porte suite à des retards de paiement…

Ce problème tend même à empirer, à tel point que le 8 juin 2016 le ministre de l’Economie Emmanuel Macron a estimé qu’il s’agissait “d’un frein à la dynamique de reprise”. Deux entreprises sur trois en moyenne ne respectent pas les délais de paiement. Une étude réalisée par Altarès montre que les retards de paiement ont été en moyenne au premier trimestre 2016 de 12,6 jours. Or, une seule journée de retard représente 1 milliards d’euros de perte de trésorerie pour les entreprises qui sont concernées.

Au premier trimestre 2016, 16 309 entreprises sont déjà en état de défaillance. Faut-il se résigner à subir cette situation ? Quelles sont les solutions pour aider les entrepreneurs qui innovent, qui créent de la richesse et des emplois en France, à ne plus être lourdement impactés par les mauvais payeurs ?

Il existe toujours la possibilité de réclamer des indemnités de retard mais cette option, qui peut s’avérer très efficace, n’est jamais utilisée car pas maitrisée par les entreprises : personne ne sait comment les calculer et comment inciter ses clients à les régler.

Dans ce contexte, le lancement de Recouvreo est une excellente nouvelle ! Les entreprises vont enfin pouvoir donner un second souffle à leur trésorerie en récupérant beaucoup plus facilement leurs impayés.

Le principe est simple. Grâce à cette application en freemium (inscription gratuite et options payantes), les entreprises vont pouvoir très facilement :

  • Calculer leurs pénalités de retard
  • Éditer un justificatif de calcul
  • Imprimer des courriers de relance professionnels
  • Et si rien ne marche, le cabinet Direct Recouvrement se charge d’adresser des relances aux débiteurs

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Recouvreo : une solution 100% en ligne pour encaisser vite et bien toutes les créances

Comment calculer les pénalités de retard ? Comment savoir quels articles de lois mettre en avant pour inciter le client à payer rapidement sa facture ?

Les artisans et les petites entreprises ne sont pas comme les grands groupes : quand ils rencontrent des difficultés pour récupérer un impayé, ils sont souvent isolés et leurs dirigeants ne peuvent pas se permettre de perdre un temps précieux à comprendre et à calculer les indemnités de retard.

Avec Recouvreo, cette situation cauchemardesque appartient désormais au passé. En effet, cette solution intelligente 100% digitalisée est à mi-chemin entre les Fintech et les Legaltech :

  • comme les Fintech, elle simplifie et accélère considérablement les rentrées de cash ;
  • comme les Legaltech, elle donne un accès facile et direct à une matière très complexe (le contentieux des affaires).

En quelques clics, chaque entreprise peut calculer les pénalités de retard, éditer un justificatif de calcul, imprimer des courriers professionnels et faire adresser automatiquement des relances par un cabinet de recouvrement (Direct Recouvrement) aux débiteurs (envoi simple, recommandé avec Accusé de Réception et e-mail).

Avec Recouvreo, le contentieux et plus particulièrement le recouvrement de créances entre dans l’ère du digital !

Calculer sûrement et efficacement les intérêts réclamés et justifier le calcul, le tout sans perdre de temps / Le Parisien

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Combien ça coûte ?

Recouvreo est un freemium.

Cela signifie que l’inscription est totalement gratuite. Toutes les entreprises, de façon illimitée, peuvent ainsi obtenir de façon automatique le montant des pénalités de retard à appliquer.

Des options payantes permettent ensuite d’aller plus loin (abonnement allant de 49€ HT à 399€ HT par an).

Quand le client ne paie toujours pas, il y a encore une solution.

Il arrive que malgré plusieurs relances, un client ne paie toujours pas sa facture. Les services publics ou les grands groupes en font souvent une habitude, afin de gagner de la trésorerie sur le dos des petites entreprises.

Dans ce cas, Recouvreo permet d’obtenir satisfaction plus loin en confiant le recouvrement de la créance à Direct Recouvrement.

Le débiteur va alors être contraint de payer :

  • soit par voie amiable : taux d’encaissement de 80%, hors dépôts de bilan et garantie de résultats à 30 jours.
  • soit par voie judiciaire : pilotage des procédures judiciaires de l’assignation jusqu’à l’exécution, réseau national d’huissiers et d’avocats.

Le paiement des honoraires du cabinet de recouvrement est effectué uniquement sur le résultat.

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Focus : un blog pour tout savoir sur le recouvrement

Comment éviter les retards de paiement ? Quelles sont les procédures d’urgence pour récupérer un impayé ? Comment relancer efficacement les mauvais payeurs par SMS ou par téléphone ?

Le Journal du Recouvrement, le blog édité par Direct Recouvrement, regorge de conseils et d’informations ciblées pour que chaque entreprise puisse mettre en place une procédure de recouvrement qualitative.

Il se compose de 6 grandes catégories :

  • Se faire payer : les bonnes pratiques
  • La réglementation en vigueur
  • Les procédures judiciaires
  • Recouvrement : l’œil des pros !
  • Études de cas
  • Actualité du crédit

A propos de Philippe Bernis, concepteur de Recouvreo et dirigeant de Direct Recouvrement

Philippe BERNIS a travaillé pendant 10 ans dans une société cotée en bourse en tant que responsable recouvrement.

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En 2011, il décide de mettre son expérience au profit des entreprises pour les aider à ne plus subir les impayés en lançant Direct Recouvrement, son propre cabinet de recouvrement. Tout le monde y gagne puisque ses clients récupèrent de la trésorerie et ils ne paient que sur les résultats obtenus.

En 2015, pour les besoins de son cabinet, Philippe développe un calculateur de recouvrement de créances pour calculer vite et bien le montant de la majoration due par les débiteurs en situation d’impayé.

D’améliorations en améliorations, cet outil de calcul devient commercialisable. Il prend d’abord la forme d’une application mais il évolue très vite pour proposer un large panel de services afin de dématérialiser totalement la relance : Recouvreo, la première plateforme de recouvrement 2.0 vient de naître.

Dès son lancement, cette solution full web a rencontré un vif succès : en une semaine à peine, plus de 50 nouveaux utilisateurs se sont inscrits, soit plus de 10 par jour.

Pour en savoir plus

Site web : http://www.recouvreo.fr

Le Journal du Recouvrement (blog de Direct Recouvrement) : http://www.lejournaldurecouvrement.fr/

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