“Films de famille, Complexes familiaux” de Philippe Collinet : Un essai sur la famille et ses nouvelles structures qui explore l’origine des conflits

Les relations familiales nous touchent tous, qu’elles soient sources de bonheur ou de tensions. Dans son essai « Films de famille, Complexes familiaux », Philippe Collinet explore ces dynamiques en mêlant la profondeur de la psychanalyse à la richesse du cinéma. Ce livre invite à une meilleure compréhension des liens qui unissent – et parfois opposent – les membres d’une même famille, en s’appuyant sur l’éclairage que le septième art nous offre depuis ses débuts.

Cet essai n’est pas un guide de développement personnel pour l’harmonie familiale ! Il offre  plutôt un éclairage sur la complexité des rapports humains au sein de la famille.

Cet ouvrage n’est pas un manuel de développement personnel, mais plutôt une réflexion qui aborde avec sensibilité et intelligence la complexité des relations familiales. Philippe Collinet adopte un regard unique, offrant aux lecteurs un point de vue à la fois accessible et stimulant sur les réalités de la vie de famille. Son écriture simple et éclairante permet à chacun de s’interroger sur ses propres expériences familiales, qu’il soit novice ou expert en psychanalyse.

Comprendre la famille à travers les films : Une approche originale

Philippe Collinet plonge dans l’univers du cinéma pour décrypter les dynamiques familiales. Il utilise des films emblématiques pour illustrer des thèmes tels que la rivalité fraternelle, les relations parent-enfant, ou encore les jeux de pouvoir familiaux. Ces références cinématographiques permettent d’aborder les questions inconscientes qui habitent nos vies familiales, offrant ainsi un regard inspirant et accessible sur les problématiques familiales universelles.

Il fournit des exemples de films pour illustrer comment les cinéastes abordent les questions psychanalytiques liées à la famille. Il montre comment le cinéma peut servir de miroir à nos propres expériences familiales, tout en offrant une perspective unique sur les conflits inconscients qui animent les relations familiales.

Extraits de la préface d’Annie et Jacques Ascher

“La lecture de ce livre est stimulante, rafraîchissante. Elle nous permet non seulement de rencontrer un psychanalyste cinéphile mettant son regard à l’écoute «sans a priori ni préjugés», mais encore un auteur qui avec une courageuse lucidité rappelle la spécificité du “parlêtre” humain et la spécificité hominisante du stade du miroir. Il nous dit bien que cabinet du psychanalyste et séance de cinéma peuvent être des espace-temps en miroir où notre monde ” humain trop humain”, si beau et si familièrement inquiétant est convoqué.

L’auteur n’hésite pas, au nom de l’humanisme, à rappeler quelques invariants de l’humaine condition : il y a des hommes, des femmes, des enfants, des adolescents enfermés dans un labyrinthe familial. Il ose cette question de grande actualité : « le père a-t-il encore un nom ? » Il accepte de s’exposer : il écrit sur le divorce, questionne une sexualité « libérée » des différences, souligne que certains films à présenter l’animal langagier humain comme porteur du Réel ” d’un corps sans âme “. En prenant la parole, il atténue la résonance inquiétante du philosophe Emmanuel Levinas, constatant qu’à notre époque : ” la parole a perdu la parole “.

Sommaire

  • Préface
  • Bande-Annonce
  • Prologue
  • Le Cinéma
    • Les années super-huit
    • Les Films d’amateurs : The Fabelmans 2022
    • Les Films d’Auteurs : La vie des morts 1991, La sentinelle 1992
  • En Famille
    •  Les Complexes Familiaux : Hannah et ses sœurs 1986,  La bûche 1999,  Festen 1988, Rocco et ses frères 1960
    • Autres Parentalités :  Un papa hors pair 2021,  À plein temps 2021, Un couple presque parfait 2000, Comme les autres 2008, Tous les papas ne font pas pipi debout 1998
  • Les Enfants Terribles
    • Le Complexe d’Œdipe :  Œdipe ROI 1967,  La fureur de vivre 1955
    • Le Complexe de l’Intrusion : À L’Est d’Eden 1955,  Frère et sœur 2022, Grave 2016
    • Le Complexe du Sevrage :  J’ai tué ma mère 2009
    • Le Complexe de Remplacement : The Kid 1921, Lion 2016, Pupille 2018, Van Gogh 1991,  Camille Claudel 1988.
    • Le Complexe de la Sexuation
    • Le Complexe Dysphorique :  Petite fille 2020, Laurence anyways 2012,  Masculin, Féminin 1966
    • Le Complexe de l’Homosexualité :  Tom à la ferme 2013, Portrait de la jeune fille en feu 2019, Sous le plus grand chapiteau du monde 1952
  • Les Parents Terribles
    • Le Complexe Paternel : L’événement le plus important depuis que l’homme a marché sur la lune 1973,  Trois hommes et un couffin 1985, Le Fils du désert 1948, Mon roi 2015
    • Le Père Tout Puissant :  L’Âme des guerriers 1994,  Les grandes familles 1958,  Le jouet 1976
    • Les Héros Sont Fatigués :  Maria’s lovers 1984, Itinéraire d’un enfant gâté 1988, Americain beauty 1999, Titane 2021
    • Les Pères-Vertis : Les parents terribles 1948,  Fatale 1992, Chinatown 1974
    • Quel Père Quel Fils ? : Un mauvais fils 1980, La chambre du fils 2001, Et Dieu… créa la femme 1956
    • Maman et P. : La Maman et la putain 1973,  Jeune et jolie 2013, Combien tu m’aimes 2005
    • Mère de Famille :  La promesse de l’aube 2017, Tout sur ma mère 1999, Un conte de Noël 2008, Sonate d’automne 1978, Juste la fin du monde 2016
  • Sans Famille
    • Orphelin : L’enfant sauvage 1970
    • En Solitaire : Dillinger est mort 1969
    • No Kid : Paris Texas 1984, Henry et June 1990,  Citizen Kane 1941
    • Bande à Part :  Le charme discret de la bourgeoisie 1972, La grande bouffe 1973
  • La Grande Famille du Cinéma
    • Cinémas : Cinéma Paradiso 1988, La rose pourpre du Caire 1985, Empire of Light 2022
    • Portraits de Famille : Huit et demi. 1963, La nuit américaine 1973, Le mépris 1963,  Sunset Boulevard 1950, Chantons sous la pluie 1952,  Mulholland Drive 2001
  • Bijoux de Famille
    • Le Cabinet des Curiosités :  Freaks 1932, India Song 1975, La Féline 1982, Les Belles de nuit 1952,  Pipicacadodo 1979, La Lune dans le caniveau 1983
    • Souvenirs
  • Epilogue
  • Références

Extrait

Le cinéma et la psychanalyse, nés la même année, grandissent, se développent au même rythme et se subvertissent en même temps. Les fées penchées sur le berceau n’étaient pas favorables à l’expression de cette gémelliparité. Freud n’aime pas le cinéma. Il refuse la proposition qui lui est faite par S. Godwin Mayer, d’écrire le scénario du film Les Mystères d’une âme : « Le projet ne me plait guère. Je ne tiens pas pour possible de représenter nos abstractions » le film sera réalisé par GW. Pabst sur les conseils d’Abraham.

Lacan reconnaît la pertinence et la justesse des représentations du cinéma, mais en 25 ans il ne cite que 8 films dans son séminaire ! Le cinéma est considéré comme une usine à rêves, une expression de l’inconscient. Lacan disait : le cinéma constitué de substance lumineuse cache le regard en le révélant. « Il est le révélateur le plus sensible et peut vraiment illuminer la psychanalyse »

Pour le psychanalyste, il ne s’agit pas d’interpréter les films avec la présomption de tout voir et tout savoir « l’artiste, le poète précède toujours le psychologue », mais de se laisser surprendre par le cinéaste et ses inventions qui peuvent faire avancer et approfondir les concepts de la psychanalyse et peut-être modifier parfois l’écoute des patients sur le divan dans la cure.

Pour le cinéaste, les concepts fondamentaux de la psychanalyse : l’inconscient, la répétition, le transfert, la pulsion sont les opérateurs de l’économie filmique. Il devient le réalisateur, le témoin, et le révélateur, passeur d’un réel. L’auteur est un autre, un grand Autre, le lieu de tous les signifiants dont le projet n’est pas sans intention dans sa façon de nouer les trois registres de l’Imaginaire, du Symbolique et du Réel dans la représentation métaphorique et la réflexion spéculaire projetée sur l’écran de notre propre image. C’est ce qui fait une œuvre.

Portrait de Philippe Collinet

Docteur en médecine diplômé de la Faculté de Médecine de Lille, Philippe Collinet a débuté sa carrière comme médecin généraliste en ville. Il a ensuite pratiqué la gynécologie et l’andrologie orientées vers l’infertilité des couples.

Après 10 ans d’analyse, il reçoit des patients en psychothérapie, en analyse, en supervision d’analystes.

Un écrivain et un poète

Philippe Collinet est notamment connu pour ses poèmes et ses essais littéraires, ainsi que pour ses contributions à la réflexion philosophique et artistique. Ses œuvres abordent souvent des thèmes profonds tels que l’existence, la nature humaine et la société contemporaine.

Il a notamment publié :

  • aux Éditions l’Harmattan : Lettres au corps (2013, col. Écrits 21) et Je est un autre (2016, Études psychanalytiques).
  • aux Éditions Borromées : Lectures de l’Esquisse (2016), Femme et Psy (Tirésias, 2018), Une écriture de Ouf ! (2021), Éthique du désir (Ouvrage collectif, 2016), Quand l’œil écoute (Ouvrage collectif, 2017), Objet de la peinture, Peinture de l’objet (JP. Fernandez, P. Collinet, 2018) et Confinement, Élucubrations (P. Collinet, JP. Fernandez, JP. Triboulet, 2020)

Le fondateur des Éditions Borromées

Philippe a créé cette maison d’édition destinée à prolonger sa pratique de l’analyse. Avec une double ambition :

  1. Aider certaines personnes à obtenir par l’écriture cette reconnaissance qu’elles ne trouvent pas ailleurs, même se elles sont loin des réseaux de Philippe ou étrangères à la psychanalyse.
  2. Permettre aux lecteurs de se lire dans leurs textes.

C’est une maison de passe entre un auteur inconnu et un lecteur espéré ! Ce n’est pas une bibliothèque de collections, mais d’identifications, fussent-elles « atypiques ».

À propos des Éditions Borromées

Les Éditions Borromées sont une maison d’édition française indépendante spécialisée dans la publication d’ouvrages littéraires, philosophiques et théoriques. Elles se distinguent par un catalogue qui met en avant des textes exigeants, souvent en lien avec la psychanalyse, la philosophie, et les sciences humaines.

Le nom “Borromées” fait référence aux “nœuds borroméens”, un concept emprunté à la topologie qui a été largement utilisé par le psychanalyste Jacques Lacan. Ce concept symbolise la manière dont les différentes dimensions de l’expérience humaine (le réel, le symbolique et l’imaginaire) sont entrelacées et interdépendantes.

Les Éditions Borromées publient des ouvrages d’auteurs contemporains ainsi que des rééditions de textes classiques, en cherchant à contribuer à la réflexion intellectuelle sur des sujets complexes et souvent interdisciplinaires. Leur démarche éditoriale vise à encourager une lecture approfondie et critique, souvent en dehors des sentiers battus de la production littéraire et théorique grand public.

En savoir plus

Découvrir le livre : https://www.editionsborromees.com/product-page/films-de-famille-complexes-familiaux

Site web : https://www.editionsborromees.com/

Facebook : https://www.facebook.com/profile.php?id=61550672494103

Instagram : https://www.instagram.com/collinet4544/

LinkedIn : https://www.linkedin.com/in/dr-philippe-collinet-b1a3ab197/

Il est la voix de Richard Gere, de Jeff Goldblum et d’Harrison Ford : la légende Richard Darbois fait la une du nouveau numéro de Synchro, le premier magazine sur le doublage

Tous les amoureux du cinéma connaissent Richard Darbois, même lorsqu’ils n’en ont pas conscience… Sa voix fait tout bonnement partie de notre patrimoine culturel commun.

Le “Roi Richard” est devenu aussi mythique en France que les acteurs à qui il a prêté son timbre inimitable à l’international (Danny Glover, Bill Murray, Jeff Goldblum, Harrisson Ford, Richard Gere…).

Sa capacité à moduler la tessiture de sa voix à l’envie, son jeu d’une précision et d’une justesse remarquables, ont magistralement servi des films tels que SOS Fantômes (1984), Retour vers le futur (1985), Predator (1987), L’Arme fatale (1987), Jurassic Park (1993) ou Un jour sans fin (1993). Il a aussi été la voix de la radio NRJ.

Ce comédien talentueux n’accepte plus d’interview, estimant avoir déjà tout révélé. Il a cependant accepté de répondre aux nombreuses questions de SYNCHRO, ayant été touché par le concept et impressionné par la qualité de l’objet.

Cet entretien de près de 50 pages, qui revient sur sa fabuleuse carrière, est à découvrir dans le nouveau numéro du premier magazine dédié à l’art du doublage. Les interviews et voxographies de Donald Reignoux et Nathalie Karsenti, deux autres grandes figures du doublage, sont également au sommaire de ce N°6.

Le 6e numéro du magazine SYNCHO sera disponible en précommande sur Ulule à partir du 1er septembre. 

Richard Darbois a marqué d’une manière indélébile notre cinéphilie grâce à des interprétations restées dans les mémoires. Il a doublé les plus grandes stars des années 80 et affirmer qu’il les a tous dou­blés n’est pas loin de la réalité.

Olivier Barbery, fondateur de SYNCHRO

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Un nouveau numéro qui présente des figures incontournables de la synchro

Au-delà de l’interview de “The Voice” Richard Darbois, SYNCHRO met un coup de projecteur sur deux acteurs ayant offert des interprétations inoubliables :

Donald Reignoux, le Prince du doublage devenu Roi

En 30 ans de métier, Donald Reignoux a déjà travaillé en synchro sur près de 300 films, plus de 200 séries, et plus de 70 jeux vidéo… alors qu’il a seulement 40 ans.

Il a notamment prêté sa voix à Paul Dano, Jesse Eisenberg (son “chouchou artistique”) ou Andrew Garfield (sa “fierté de doublage”).

Nathalie Karsenti, entre force et douceur

Le timbre de velours de Nathalie Karsenti a doublé des actrices de premier plan comme January Jones dans la série culte MadMen ou bien encore Zoe Saldana dans le rôle de Gamora chez Marvel.

Depuis 20 ans, elle a exploré tous les registres de jeu. Nathalie a aussi démocratisé le doublage auprès du grand public, grâce à son émission culte “Il était une voix”.

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SYNCHRO, le premier et le seul périodique sur le monde du doublage

Synchro est un véritable objet de collection à destination des voxophiles, des passionnés de doublage ou tout simplement des amoureux de cinéma.

Un “mook” que l’on range soigneusement dans sa bibliothèque à chaque parution. Un écrin rendant hommage au talent immense de ces comédiens qui travaillent dans l’ombre et méritent tant la lumière.

Chaque parution est numérotée à la main et sortie en édition limitée.

Le magazine Synchro, c’est aussi l’occasion de lire des interviews qui prennent le temps.

Des formats longs, trop rares aujourd’hui, afin d’en connaître beaucoup plus sur ces magiciens qui œuvrent dans l’ombre : qu’ils soient des monstres sacrés du doublage, des comédiens débutants dans l’exercice, ou encore des techniciens au service de ces VF qui ont marqué notre mémoire collective.

À propos d’Olivier Barbery, le fondateur et rédacteur en chef

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Passionné de cinéma et de doublage depuis toujours, Olivier est tombé sous le charme des versions françaises depuis son plus jeune âge.

C’est par le biais de l’émission “La Dernière Séance”, présentée par Eddy Mitchell, que j’ai pris conscience du pouvoir qu’ont les voix sur moi. J’étais alors en admiration à l’écoute de ces magnifiques comédiens à la signature vocale si appuyée, tels que Jean-Claude Michel, Raymond Loyer ou encore Claire Guibert et Paule Emanuele…

À l’aube des années 2000, intrigué par un sujet quasiment invisible dans les médias de l’époque, il décide de mettre en lumière ces comédiens cachés dans l’ombre.

Pour ce faire, il rencontre et s’entretient avec une vingtaine d’entre eux, dans l’optique de sortir un recueil d’interviews, un ouvrage faisant référence en la matière.

Resté à l’état d’embryon pour des raisons personnelles et professionnelles, il décide, au sortir du premier confinement, de concrétiser ce projet en le transformant en un magazine indépendant et bimestriel. Le premier en son genre.

C’est grâce aux contributeurs du numéro prototype lors d’une première campagne de précommande sur Ulule qu’Olivier Barbery a pu créer SYNCHRO ÉDITIONS et lancer le magazine SYNCHRO.

Pour en savoir plus

La campagne sur Ulule : https://fr.ulule.com/synchro-numero6/

Site web : https://www.synchrodoublage.fr/

Facebook : https://www.facebook.com/magazinesynchro

Instagram : https://www.instagram.com/synchrodoublage/

LinkedIn : https://www.linkedin.com/in/olivier-barbery-744389138/

Quels sont les départements les plus abonnés à Netflix ? Les résultats de l’étude (avec infographie) réalisée par Comparatest

Netflix compte désormais plus de 221 millions d’abonnés dans le monde (source), dont près de 10 millions en France (source).

Le géant américain du streaming est ainsi devenu, en quelques années à peine, un véritable poids lourd du numérique.

Mais, derrière ces chiffres, il y a une réalité beaucoup plus contrastée : on ne consomme pas des films et des séries Netflix de la même manière selon qu’on réside à Toulouse ou à Aurillac !

Entre la ville et la campagne, les jeunes et les seniors, il y a des disparités notables dans la façon d’utiliser ce nouveau service.

Pour la première fois, une étude nationale réalisée par Comparatest.fr révèle ainsi la pénétration moyenne de Netflix dans la population des 96 départements métropolitains français sur l’année 2022.

Et il y a des surprises !

Pierre Tabuteau souligne :

Certains départements sont vraiment des inconditionnels de Netflix, comme les Hautes-Alpes où 1 personne sur 5 regarde des films et des séries via cette plateforme.

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14,15% de la population française est abonnée à Netflix

9,1 millions de Français se connectent chaque mois à Netflix pour regarder des films et des séries.

D’ailleurs, si la plateforme américaine a commencé à perdre des abonnés début 2022, cette baisse est à relativiser : en 2021, la croissance du groupe a atteint 8%.

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Les zones les plus “Netflix addicts”

Le tiers “Sud” de la France affiche un taux de pénétration largement supérieur à la moyenne nationale : les 10 départements qui consomment le plus Netflix sont tous situés dans cette zone.

De même, comme Netflix est massivement utilisé par les 18-34 ans, les départements avec des populations jeunes affichent une moyenne nettement supérieure à ceux ayant davantage de seniors.

On s’abonne aussi beaucoup à Netflix dans les départements montagneux (ex. : la Lozère est 11e, la Savoie 14e…), car il y a moins de cinémas à proximité.

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Les régions qui boudent Netflix

Parmi les surprises contenues dans ce classement, il y a notamment la place occupée par Paris : 54ème avec une pénétration de 14,1%. La capitale se trouve donc bien loin derrière des départements tels que le Tarn, la Sarthe ou la Côte-d’Or.

L’Île-de-France n’est d’ailleurs pas vraiment convertie à Netflix : les Hauts-de-Seine sont à la 15e place, le Val-de-Marne à la 20e, les Yvelines à la 45e…

De même, on constate que les anciennes régions Auvergne, Alsace et Basse-Normandie sous-performent la pénétration nationale.

Portrait de Pierre Tabuteau, fondateur de Comparatest.fr

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Diplômé de Kedge Business School, Pierre Tabuteau est un indépendant, passionné d’informatique, de statistiques et de développement web. C’est ainsi qu’il a commencé à s’intéresser à Internet, un puissant moyen pour toucher le plus grand nombre.

Il s’est donc mis à rédiger des articles sur ses domaines de prédilection. Aujourd’hui, il gère plusieurs sites web dont Comparatest.fr, une plateforme qui publie des analyses sur les principaux services au quotidien et qui évalue les tendances de consommations des clients.

Avec un objectif : mesurer les impacts sociaux et sociétaux de produits commerciaux.

C’est notamment ce qu’il vient de faire via cette dernière analyse sur Netflix, un service auquel il est abonné ainsi que beaucoup de personnes de son entourage.

Par la suite, il compte passer d’autres canaux vidéos au crible, comme Disney ou Canal +.

Pour en savoir plus

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Site web : https://comparatest.fr/

Synchro, le premier et le seul magazine dédié à l’art du doublage

Le pouvoir de la voix est puissant.

Nous avons TOUS des voix qui ont bercé notre enfance par le biais de dessins animés que nous regardions en boucle, ou des séries et films que nous ne pouvions regarder qu’en version française car dans l’impossibilité alors de lire des sous-titres.

Ces voix font partie de notre quotidien.

Au détour d’une publicité pour laquelle elles vantent les bienfaits d’un produit de consommation, lors d’une rediffusion d’un film à la télévision, en habillage de certaines fréquences radio, alors empêtrés dans les embouteillages des grandes villes, ou bien en voix off de documentaires où elles se font alors plus délicates et posées.

Ces timbres vocaux nous sont si familiers, alors que les formidables comédiens derrière eux si étrangers, cachés dans l’ombre d’un micro de plateau d’enregistrement.

Ces voix, qui nous sont si chères, sont celles de comédiens extrêmement talentueux qui méritent la lumière.

SYNCHRO est ainsi un nouveau magazine destiné à mettre un coup de projecteur sur ce métier si peu connu et pourtant si présent dans nos vies.

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Oser ralentir pour aller en profondeur

Alors que la presse traditionnelle est à la peine, la pluralité et la créativité des magazines indépendants montrent qu’une autre voie est possible. Lire une de ces revues, c’est offrir tout ce que le rapport au papier a de plus noble : feuilleter, lire, toucher, sentir… Et de faire remonter par là même quelques souvenirs, de tourner les pages, zapper, lire, revenir, cocher, corner, marquer, souligner…

Face au flux d’informations — provenant des réseaux sociaux, des blogs et assimilés — que nous subissons chaque jour, le magazine nous permet de ralentir, de donner plus de place aux mots et à la réflexion. Nous accordons de plus en plus de valeur aux « news composées dans un monde décomposé ». Des magazines qui se prêtent à une lecture longue et lente, comme celle d’un livre.

Parallèlement à la technologie et au besoin de ralentir, un des autres éléments qui a permis à cette « nouvelle ère » de magazines de se développer est certainement le design graphique. Le soin apporté au projet graphique, au papier, à l’impression, aux illustrations. Le design graphique combiné à des contenus justes et à une communication intégrée.

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Un écrin pour des comédiens d’exception

SYNCHRO est un magazine bimestriel, élaboré par des passionnés pour des passionnés. Une authentique pépite qui séduira tous les voxophiles, les amoureux de doublage ou tout simplement les mordus de cinéma.

Il est d’ailleurs bien plus qu’un magazine. Véritable objet de collection (numéroté à la main et en édition limitée), ce “MOOK” se range soigneusement dans sa bibliothèque à chaque parution. Numéro après numéro, sa collection constituera au fil du temps une véritable encyclopédie de cet Art qu’est le doublage.

Il s’agit d’un écrin rendant hommage au talent immense de ces comédiens qui travaillent dans l’ombre et qui pourtant méritent la lumière.

L’ambition de SYNCHRO est de donner la parole à tous les “acteurs de la synchronisation” : des comédiens aux directeurs artistiques en passant par les adaptateurs, mais également les techniciens de l’ombre sans qui les versions françaises que nous chérissons ne pourraient exister.

Il fait également la part belle aux reportages ciblés et aux dossiers thématiques divers. Par exemple, le N°1 renferme un article hommage de 10 pages aux comédiens Jacques Frantz (Robert De Niro, Mel Gibson, Nick Nolte,…), mais aussi de découvrir ce qu’est la détection avec notamment l’interview d’un talentueux détecteur (Yves Jeannes).

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Le numéro 2 est déjà disponible en précommandes sur Ulule

Le second numéro, très esthétique avec sa couverture cartonnée et ses pages de 135 g au toucher mat, consacre 108 pages au doublage.

Il présentera notamment :

  • Une interview de Jean-Marc Pannetier, adaptateur et directeur artistique chevronné ;
  • Une interview de Roger Carel, voix française de Peter Ustinov, Peter Sellers, Jack Lemmon, Benny Hill, et d’une centaine de personnages animés de notre enfance ;
  • Une interview de Xavier Beja, voix française de David Krumholtz, Josh Radnor, Nathan Darrow, Christian Slater,… ;
  • Le reportage “un Film, un Doublage” sur Le Peuple loup avec les interviews exclusives de Lévanah Salomon, Lana Ropion, Serge Biavan et Jean-Marc Pannetier ;
  • Une interview de Morgane Berard, administratrice de la chaîne Youtube “Le Monde du doublage français par Morgane”;
  • La rubrique “Les Voix d’une Star” : Kirk Douglas ;
  • Et toujours, des fiches de doublage (cartonnées 170 g) détachables à collectionner, qui ornent fièrement cet exemplaire.

Extraits

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L’avis des premiers lecteurs/lectrices

Voici un aperçu des commentaires laissés par les contributeurs et les contributrices sur Ulule :

“J’ai reçu les numéros 0 et 1 hier, un cadeau de Noël arrivé après Noël mais le plus merveilleux de tous !!! Ces livres sont si beaux, et le contenu tellement passionnant ! Je commande à présent le numéro 2 et j’ai hâte de pouvoir commander tous les numéros à venir ! Mille mercis Olivier ! Vive le doublage et vive SYNCHRO !”

“Bravo pour ce super projet. Hâte de recevoir le premier et heureux de participer pour le deuxième.”

“Encore partant pour cette aventure au mook si élégant et extrêmement intéressant. Bravo Olivier !”

“Pas d’hésitation pour soutenir ce nouveau numéro, qui s’annonce tout aussi remarquable que ses prédécesseurs. Bravo à vous !”

“Continuez comme ceci ! Hâte de voir ma collection grandir ! Hâte également d’un jour y retrouver Richard Darbois (et le rêve serait qu’il dédicace l’ouvrage).”

“Longue vie a Synchro ! Vivement les abonnements physiques ! Merci pour ton super travail Olivier.”

À propos d’Olivier Barbery, le fondateur et rédacteur en chef

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Passionné de cinéma et de doublage depuis toujours, Olivier est tombé sous le charme des versions françaises depuis son plus jeune âge.

” C’est par le biais de l’émission “La Dernière Séance”, présentée par Eddy Mitchell, que j’ai pris conscience du pouvoir qu’ont les voix sur moi. J’étais alors en admiration à l’écoute de ces magnifiques comédiens à la signature vocale si appuyée, tels que Jean-Claude Michel, Raymond Loyer ou encore Claire Guibert et Paule Emanuele…”

À l’aube des années 2000, intrigué par un sujet quasiment invisible dans les médias de l’époque, il décide de mettre en lumière ces comédiens cachés dans l’ombre.

Pour ce faire, il rencontre et s’entretient avec une vingtaine d’entre eux, dans l’optique de sortir un recueil d’interviews, un ouvrage faisant référence en la matière.

Resté à l’état d’embryon pour des raisons personnelles et professionnelles, il décide, au sortir du premier confinement, de concrétiser ce projet en le transformant en un magazine indépendant et bimestriel. Le premier en son genre.

C’est grâce aux contributeurs du numéro prototype lors d’une première campagne de précommande sur Ulule qu’Olivier Barbery a pu créer SYNCHRO EDITIONS et lancer le magazine SYNCHRO.

Pour en savoir plus

La campagne sur Ulule : https://fr.ulule.com/synchro-numero2/

Site web : https://www.synchrodoublage.fr/

Facebook : https://www.facebook.com/SynchroEditions/

Instagram : https://www.instagram.com/synchrodoublage/

LinkedIn : https://www.linkedin.com/in/olivier-barbery-744389138/

BassMe, l’appareil révolutionnaire qui permet de “vivre” physiquement le son… même en cas de surdité !

En France, plus d’1 personne sur 10 est sourde ou malentendante, ce qui représente entre 5 et 7 millions d’individus.  Pour la majorité d’entre eux, les problèmes d’audition sont venus progressivement et se sont aggravés au fur et à mesure des années.

Tout le monde peut être concerné. Il y a bien sûr les seniors, qui représenteront 1 Français sur 4 en 2070 (source). Mais ils ne sont pas les seuls ! Un sondage IFOP publié en 2020 révèle notamment que 65% des adolescents de 15 à 17 ans et 59 % des jeunes de 18 à 24 ans ont déjà ressenti des acouphènes.

Cette situation pose un double problème :

  •  les personnes sourdes ne peuvent pas apprécier pleinement certains petits plaisirs de la vie comme écouter de la musique, ressentir l’immersion d’un film ou d’une partie de jeux vidéo ;
  • celles qui ont une audition en baisse ont tendance à augmenter fortement le volume, ce qui finit par accentuer leur problème.

D’où le succès de l’innovation française BassMe ! Ce caisson de basses personnel et portatif, primé au CES de Las Vegas 2020 avec un Award de l’Innovation, offre une expérience immersive unique.

BassMe est au son ce que le relief est à l’image : il donne à vivre une expérience immersive et sensorielle unique. Peu importe l’ampleur du handicap auditif, chacun.e va pouvoir vivre des émotions intenses.

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Bonjour à vous , j’ai acheté cet appareil BassMe à Toulouse, c’est très bien pour les sourds car je suis aussi sourd. Enfin sentir la vibration poitrine devant la tv ( bluetooth ), les cinéma et théâtre ( application microphone ) etc…, et aussi deuxième appareil pour mon neveu entendant ( pour ses jeux pc ), merci pour cette nouvelle invention.

Un utilisateur de BassMe

Le son ne s’écoute plus… il se vit !

BassMe, c’est comme une baguette magique : il suffit de le porter pour ressentir physiquement le son, y compris lorsqu’on est sourd ou malentendant.

Disposé sur la poitrine de ses utilisateurs, le dispositif permet d’aller au-delà d’une simple écoute : il propulse chaque personne au cœur du son, grâce à son système unique d’ondes sonores et de vibrations.

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De la musique au cinéma en passant par les jeux vidéos, chaque moment se transforme en expérience sensorielle unique, à la fois auditive et tactile. Émotions fortes garanties !

Et quand les spectacles seront de nouveau autorisés, le BassMe pourra aussi devenir un formidable compagnon lors d’un concert : grâce à lui, les personnes sourdes ou malentendantes pourront participer pleinement au show et ressentir la richesse de tout ce qui se joue sur scène.

Alban Duroy, président-fondateur, souligne :

Nous avons de plus en plus de retours d’utilisateurs.trices qui nous disent apprécier nos produits pour “vivre” la musique malgré leur surdité. Pour nous, c’est une réelle source de motivation qui nous pousse à améliorer sans cesse notre offre afin de leur proposer une immersion toujours plus qualitative.

Utiliser un BassMe permet également d’apaiser certaines personnes atteintes de troubles autistiques.

Un appareil qui agit aussi à titre préventif

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Très facile à utiliser, le caisson de basses personnel se compose :

  • d’une anse d’épaule, ajustable à toutes les morphologies, pour le disposer au centre de la cage thoracique ;
  • d’un module contenant le caisson de 26 watts, plaqué contre le torse pour garantir une dispersion optimale des vibrations et ressentir chaque impact, même les plus précis.

Le corps reçoit alors de réelles sensations tactiles qui viennent sublimer la dimension audio.

Grâce au son, les utilisateurs ressentent ainsi les pas du héros du film ou les cascades, mais aussi les courses poursuites et les coups de feu dans un jeu vidéo, l’ambiance d’un concert…

Pratique et élégant, le BassMe est un véritable accessoire tendance. Mieux : il peut être porté partout, grâce à un design futuriste.

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Pour profiter de tout le potentiel du caisson de basses, rien de plus simple !

Il se connecte facilement avec n’importe quel casque audio mais aussi à tout équipement de jeu, appareil mobile, console, PC, tablette, Home Cinéma avec Bluetooth ou câble audio.

Mieux : il peut être porté partout, grâce à un design ultra-stylé.

6 couleurs sont disponibles pour choisir “son” BassMe en fonction de sa personnalité ou de son envie du moment : Gris, Blanc, Rouge, Doré, Bleu; Rose

Le grand plus : un tarif qui reste accessible au plus grand nombre (129 €).

A propos de BassMe et du STUDIO DUROY

équipe

Née de la rencontre entre un inventeur, un gestionnaire et un graphiste, la société STUDIO DUROY commence son aventure avec la commercialisation de BassMe, l’accessoire donnant vie au son.

Un concept né d’une manière assez atypique. Alban DUROY, le président et créateur de BassMe, a eu l’idée de ce caisson de basses personnel alors qu’il était tranquillement allongé sur son canapé pour écouter de la musique. Son enceinte Bluetooth a basculé sur son torse, côté haut-parleur… et ces premières sensations de vibrations sont apparues comme une révélation.

Alban a alors réalisé qu’il ne voulait plus simplement écouter de la musique, mais qu’il désirait aussi la ressentir !

C’est au concours Start-Up Week-End de Perpignan (FR, 66), en octobre 2017, qu’il va ensuite rencontrer ses futurs collaborateurs. Pendant 50 heures, ils vont travailler sur le projet BassMe.

Terminant premiers du concours, ils décident de poursuivre l’aventure ensemble. Aujourd’hui, la société STUDIO DUROY souhaite être le studio de création qui améliore le quotidien de ses clients, à travers diverses inventions étonnantes et ludiques. Soutenue par la région Occitanie/Pyrénées-Méditerranée, l’entreprise STUDIO DUROY a participé au CES Las Vegas en janvier 2019 et 2020.

Lors de sa seconde participation, BassMe a obtenu un Award de l’Innovation dans la catégorie « Headphones & Personal Audio ». Classée 3e Start-up française du CES par le célèbre magazine FORBES et, grâce à un passage dans l’émission d’M6 « Mon Invention vaut de l’or » BassMe a acquis une notoriété auprès du grand public et s’attaque maintenant au marché international.

Aujourd’hui, BassMe ambitionne d’exporter davantage son savoir-faire Made in France sur plusieurs continents (Asie, Amérique, Europe). Pour ce faire, la start-up française compte finaliser sa levée de fonds et créer encore plus d’emplois en Occitanie.

Pour en savoir plus

Site web : https://www.bassme.com

Facebook : https://www.facebook.com/bassmeduroy/

Instagram : https://www.instagram.com/bassme__/

LinkedIn : https://www.linkedin.com/company/bassme/

Agathe, une danseuse sourde testant le BassMe+ : https://www.facebook.com/181113165788812/videos/1684241188424194 

BassMe, le caisson de basses personnel qui permet de ressentir physiquement le son, comme si vous étiez en concert, dans la scène de votre film ou immergé dans votre jeu vidéo préféré.

Cette année, de nombreux événements musicaux et culturels (concerts, festivals…) ont été annulés suite aux mesures sanitaires.

À titre d’exemple, il faut savoir que la fréquentation des cinémas en septembre a diminué de moitié par rapport à 2019 (source).

Chacun recherche à éprouver l’intensité de cette émotion dont on ne se lasse jamais : Vibrer avec une chanson, vivre un film, se plonger dans un jeu vidéo “comme si on y était”.

Or, quand on est chez soi, la seule solution pour ressentir une immersion totale, sans déranger ses voisins, reste de s’équiper d’écouteurs et de monter le volume à fond… ce qui n’est pas sans conséquence sur la santé des tympans. Et encore, le résultat est loin d’être à la hauteur des attentes.

D’où la révolution BassMe, une innovation française qualifiée d’objet “tech” le plus original de l’année. Ce caisson de basses personnel et portatif, primé au CES de Las Vegas 2020 avec un Award de l’Innovation, offre une expérience immersive unique.

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Chacun peut ainsi être propulsé au cœur du son, pour écouter différemment et ressentir sans limites.

Alban Duroy, son créateur, souligne : “BassMe est au son ce que le relief est à l’image ! “

Pour finir l’année en beauté, BassMe propose de nouveaux coloris pour sa version iconique ainsi qu’une nouvelle version : BassMe+.

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Accéder à une dimension supérieure du son

BassMe est un caisson de basses personnel qui permet de ressentir physiquement le son, différemment d’une simple écoute. Disposé sur la poitrine de ses utilisateurs, le dispositif les propulse au cœur du son, grâce à son système unique d’ondes sonores et de vibrations.

Chacun est ainsi transporté au coeur de la musique, le cinéma ou les jeux vidéo. Il s’agit d’une formidable expérience sensorielle, à la fois auditive et tactile : le corps reçoit des vibrations si puissantes, avec de réelles sensations tactiles, que les utilisateurs ont tendance à baisser le volume sonore.

Leur audition est ainsi préservée, tout en leur offrant une qualité d’immersion inédite.

BassMe+, une immersion encore plus forte

BassMe+ va encore plus loin en permettant la connectivité Bluetooth sur n’importe qu’elle source (appareil mobile, PC, console, home cinéma, tablette…).

Le Bluetooth aptX low latency permet une transmission sans fil de la musique haute résolution avec une qualité supérieure à celle du CD à partir d’appareils compatibles.

Le BassMe+ est environ 25% plus puissant que le BassMe classique et permet en outre de pouvoir combiner les sensations du caisson basse personnel et du casque, pour une immersion encore plus poussée.

BassMe+ est disponible dès aujourd’hui en précommande au prix de 129€ TTC (gris, bleu, rouge, rose, blanc) et 139€ TTC (gold) sur le site : www.bassme.com.

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Comment ça marche ?

Le caisson de basses personnel se compose d’une anse d’épaule pour le disposer au centre de la cage thoracique. Cette anse est ajustable pour s’adapter à toutes les morphologies.

Le module contenant le caisson de 26 watts est quant à lui directement plaqué contre le torse pour garantir une dispersion optimale des vibrations et ressentir chaque impact, même les plus précis.

Le son devient ainsi un puissant levier pour ressentir toutes les sensations : l’ambiance d’un concert “live”, les vibrations d’une course automobile dans un jeu vidéo, les coups de feu et chaque rebondissement d’une scène d’action de son film favori…

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Les (grands) petits plus BassMe

  • la simplicité d’utilisation : il suffit de connecter son caisson de basses à son casque audio ou à tout équipement de jeu, appareil mobile, console, PC, tablette, Home Cinéma avec Bluetooth ou câble audio.
  • les multiples possibilités offertes par cette innovation : BassMe est également présent dans certains cinémas et salles de concert, par exemple au cinéma Mega Castillet de Perpignan.

Prix : à partir de 129 €

De nouvelles couleurs pour imposer son style

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La gamme BassMe s’élargit avec l’apparition de 3 nouvelles couleurs (Blanc, Doré, Rose).

Il y a donc désormais 6 couleurs de BassMe au choix :

  • Gris
  • Blanc
  • Rouge
  • Doré
  • Bleu
  • Rose

 

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Témoignages d’utilisateurs

Gaming

“J’adore ! Cela ajoute vraiment une immersion musicale ! C’est encore plus frappant si vous écoutez de la musique type electro ! En jeux vidéo c’est encore mieux on ressent les coups qu’on reçoit, les coups de feu, les pas des avatars de joueurs. C’est vraiment cool, reste accessible et en plus c’est français. Personnellement, je n’ai aucun souci avec livraison sous 2 jours ouvrés. Je recommande.”

Musique

“Je viens d’avoir le mien et pour mixer à la maison c’est comme si j’étais en soirée ! Vraiment hallucinant la sensation au top !”

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Cinéma

“Mais quelle expérience !!! On ressent vraiment bien le son, j’ai même essayé d’apposer mon BassMe contre le cadre de mon lit, et bien ça marche ! Mon lit vibre ! (Pas autant que sur la poitrine) mais parfait pour regarder un film, on se croirait presque en imax (…)”

Déficience auditive

“Bonjour à vous, j’ai acheté cet appareil BassMe à Arras (Pas de Calais), c’est très bien pour les sourds car je suis aussi sourd, enfin sentir la vibration poitrine devant la tv (bluetooth), les cinémas et théâtres (application microphone) etc…. , et aussi un deuxième appareil pour mon neveu entendant  pour ses jeux pc), merci pour cette nouvelle invention.”

À propos de BassMe et du STUDIO DUROY

équipe

Née de la rencontre entre un inventeur, un gestionnaire et un graphiste, la société STUDIO DUROY commence son aventure avec la commercialisation de BassMe, l’accessoire donnant vie au son.

Un concept né d’une manière assez atypique. Alban DUROY, le président et créateur de BassMe, a eu l’idée de ce caisson de basses personnel alors qu’il était tranquillement allongé sur son canapé pour écouter de la musique. Son enceinte Bluetooth a basculé sur son torse, côté haut-parleur… et ces premières sensations de vibrations sont apparues comme une révélation.

Alban a alors réalisé qu’il ne voulait plus simplement écouter de la musique, mais qu’il désirait aussi la ressentir !

C’est au concours Start-Up Week-End de Perpignan (FR, 66), en octobre 2017, qu’il va ensuite rencontrer ses futurs collaborateurs. Pendant 50 heures, ils vont travailler sur le projet BassMe.

Terminant premiers du concours, ils décident de poursuivre l’aventure ensemble. Aujourd’hui, la société STUDIO DUROY souhaite être le studio de création qui améliore le quotidien de ses clients, à travers diverses inventions étonnantes et ludiques. Soutenue par la région Occitanie/Pyrénées-Méditerranée, l’entreprise STUDIO DUROY a participé au CES Las Vegas en janvier 2019 et 2020.

Lors de sa seconde participation, BassMe a obtenu un Award de l’Innovation dans la catégorie « Headphones & Personal Audio ». Classée 3e Start-up française du CES par le célèbre magazine FORBES et, grâce à un passage dans l’émission d’M6 « Mon Invention vaut de l’or » BassMe a acquis une notoriété auprès du grand public et s’attaque maintenant au marché international.

Aujourd’hui, BassMe ambitionne d’exporter davantage son savoir-faire Made in France sur plusieurs continents (Asie, Amérique, Europe). Pour ce faire, la start-up française compte finaliser sa levée de fonds et créer encore plus d’emplois en Occitanie.

Pour en savoir plus

Site web : https://www.bassme.com

Facebook : https://www.facebook.com/bassmeduroy/

Instagram : https://www.instagram.com/bassme__/

LinkedIn : https://www.linkedin.com/company/bassme/

CINEVR, la première salle de cinéma 100% virtuelle et immersive pour voir des films en solo ou entre amis

Comment revivre la magie du cinéma à l’heure du coronavirus et des mesures de distanciation sociale ?

Alors que beaucoup de Français hésitent à reprendre le chemin des salles obscures, et que leur pouvoir d’achat ne leur permet pas toujours d’assouvir leur amour du 7ème art, le numérique apporte des innovations technologiques qui révolutionnent le secteur.

Mieux que le cinéma à la demande, il y a maintenant le cinéma à la maison !

CINEVR, la première salle de cinéma virtuelle permet de visionner plus de 100 films, en solo ou entre amis, tranquillement installé.e dans le confort de son home sweet home.

 

CINEVR, vivre l’expérience cinéma à la maison

Et s’il n’y avait plus besoin d’être un VIP au Festival de Cannes pour avoir droit à sa propre projection privée ?

Et si on pouvait de nouveau vivre la magie du cinéma lové.e dans les bras de son amoureux.se ? Ou confortablement installé.e avec ses potes ou sa famille ?

Et si on avait le droit de faire du bruit, de parler et de rire au cinéma ? De voir les films qu’on veut et pas seulement les sorties du moment ?

Parce que le cinéma est une source formidable d’émotions, d’ouverture au monde et d’évasion, CINEVR propose de vivre une expérience unique : le cinéma “comme si vous y étiez”, mais sans la moindre contrainte.

Lancée cet été par CINEMUR, startup française leader en France sur le marché de la réalité virtuelle, CINEVR est une salle de de cinéma 100% virtuelle et immersive pour voir des films 2D, 3D et 360° en solo ou entre amis.

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Comment ça marche ?

Tranquillement installé dans son canapé, il suffit de s’équiper d’un casque de réalité virtuelle pour rejoindre chaque soir à 21h une séance de cinéma avec d’autres spectateurs.

Et pour tous ceux.celles qui ont des emplois du temps surchargés, des horaires décalés, ou tout simplement une envie folle de liberté et de moments fun à partager entre amis, CINEVR offre aussi la possibilité de se créer une séance privée à la date et l’heure de son choix. Il ne reste plus qu’à inviter ses amis pour partager de belles émotions ensemble lors d’une séance collective.

Disponibles sur les casques Oculus Go, Oculus Rift S, Samsung Gear VR, HTC Vive dès le lancement, CINEVR sera également disponible d’ici la fin de l’année sur tous les casques de réalité virtuelle du marché.

Pour vivre l’expérience incroyable d’une séance de cinéma à la maison, il suffit de s’inscrire ici : https://cinevr.io/.

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Un catalogue riche de plus de 100 films et bien plus encore

CINEVR, c’est le paradis des cinéphiles et des amoureux.ses de culture puisqu’il propose :

  • des blockbusters quelques mois seulement après leur sortie au cinéma,
  • des documentaires passionnants,
  • des court-métrages primés dans les Festivals à travers le monde,
  • des spectacles vivants,
  • et toujours plus d’expériences 360° originales des meilleurs studios XR français et internationaux.

Le cinéma à la maison, c’est aussi une ambiance exceptionnelle qui met du “waow” dans les yeux et dans le coeur des spectateurs.

Au-delà de la salle de cinéma, il y a ainsi des salles thématiques en affinité avec les films regardés pour augmenter l’expérience spectateur : une plage sous les cocotiers pour les films romantiques, une maison hantée pour les films d’horreur, un drive-in des 60’s pour les films culte, un vaisseau spatial pour les films de science-fiction et un théâtre antique pour les spectacles vivants.

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CINEMUR, le spécialiste de la réalité virtuelle et augmentée

CINEMUR est une agence digitale basée à Paris. Créée et animée par des mordus de cinéma et de divertissement, elle a développé une véritable expertise dans les projets de réalité virtuelle et augmentée.

L’agence est également à l’origine du site cinemur.fr, une mine d’informations et de recommandations sur les meilleurs films à l’affiche au cinéma, à la télévision et sur les plateformes de vidéo à la demande (VOD et SVOD).

L’idée de CINEVR est née de l’intérêt de longue date que l’équipe de CINEMUR porte aux technologies et aux casques de réalité virtuelle.

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Vincent Tessier, dirigeant, souligne :

La réalité virtuelle dispose d’un potentiel infini pour créer de nouvelles expériences immersives à fort impact émotionnel pour les utilisateurs.

L’équipe a alors imaginé, conçu et développé CINEVR, une nouvelle expérience du cinéma, digitale, sociale et immersive, pour amener le cinéma à la maison.

Aujourd’hui, CINEVR ambitionne de devenir le cinéma virtuel de référence en Europe : un espace social propice aux rencontres de passionnés du 7ème art, avant-premières, événements en live, festivals mais également un espace communautaire pour créer et animer ses propres séances de cinéma.

A propos de Vincent Tessier

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Vincent Tessier dirige la société CINEMUR depuis 2019. Passionné par l’innovation et les possibilités infinies de la réalité virtuelle, il a fortement contribué à développer et monétiser CINEVR.

Animé par le goût des challenges, Vincent a réalisé toute sa carrière dans le secteur des médias, du digital et de la réalité virtuelle.

Après 10 ans de conseil auprès d’opérateurs Télécom et groupes Média au sein du cabinet PricewaterhouseCoopers, il crée en 2007 la première plateforme vidéo UGC Do It Yourself, maTVpratique, disponible sur le web, les mobiles et les TV connectées, qu’il vend au groupe Bertelsmann en 2012.

Il rejoint alors le groupe Prisma Media en tant que Directeur du Développement Vidéo, puis Directeur Marketing Digital (pour les marques Capital, Géo, Ca m’intéresse, National Geographic…) et enfin Directeur des Fusions & Acquisitions.

Vincent Tessier est également membre actif des think tanks AFXR dédiés aux technologies immersives, La Fabrique du Futur, le Media Club et éditeur du media 7×7.press qui étudie l’impact des innovations technologiques sur la société et les tendances futures.

Pour en savoir plus

Site web : https://cinevr.io

Facebook : https://www.facebook.com/cinevrapp/

Instagram : https://www.instagram.com/cinevrapp/

LinkedIn : https://www.linkedin.com/company/cinevr

78e édition du festival national de courts métrages organisé par la FFCV, du 20 au 23 septembre à Soulac-sur-Mer

La planète cinéma est en ébullition ! Pour la troisième année consécutive, le Festival “Ciné en Courts” transformera la charmante ville de Soulac-sur-Mer (Gironde) en Cannes des courts-métrages amateurs.

La 78e édition s’annonce fidèle à la réputation du Festival : sélection rigoureuse des œuvres, qualité et diversité de la programmation, échanges avec les réalisateurs, mais aussi partage de l’amour du cinéma (entrée libre).

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82 films en compétition du 20 au 23 septembre à Soulac-sur-Mer (Gironde)

2018 devrait être un excellent millésime pour le Festival “Ciné en Courts” puisqu’il présentera pour sa 78e édition 82 films en compétition dont :

  • 30 films de fiction (thriller, aventure, comédie, drame, reconstitution historique, fantastique…)
  • 30 reportages-documentaires
  • 8 films expérimentaux
  • 2 films d’animation
  • et 12 films minutes (il s’agit de raconter en 60 secondes une histoire facilement compréhensible par tous)

Au total, cela représente plus de 14h30 de projections qui vont émerveiller tous les amoureux du grand écran !

Organisé avec le soutien de la municipalité de Soulac-sur-Maire et de son maire M.Xavier Pintat, ainsi qu’avec l’aide de l’association des commerçants de la ville, le Festival est devenu au fil du temps une véritable institution qui met à l’honneur le cinéma indépendant sous toutes ses formes.

La “crème” des courts-métrages

La participation au festival de Soulac-sur-Mer est l’étape ultime d’un processus de sélections rigoureuses d’œuvres produites par environ 200 ateliers de la France entière.

En effet, pour avoir la chance de voir leur film ou reportage projeté au cinéma Océanic (qui bénéficie d’un format professionnel DCP), les auteurs de films auto-produits ont déjà dû remporter divers concours organisés par les huit régions cinématographiques françaises.

L’objectif est avant tout de permettre au Festival Ciné en Courts de présenter des oeuvres répondant à des exigences de qualité, de diversité et d’éclectisme.

Jean Claude Michineau, Président de la FFCV, souligne :

Le lien commun à toutes ces productions est l’imagination, l’astuce, le goût et le savoir faire car s’il est vrai que les auteurs auto produits ne rentrent dans aucun circuit commercial, ils doivent compenser l’absence d’apport financier par leur ingéniosité.

Un pur moment de cinéma accessible à tous

Le Festival Ciné en Courts s’est imposé comme un événement incontournable car il crée une véritable passerelle entre le cinéma indépendant et son public.

Sa volonté est de faire découvrir au plus grand nombre toute la richesse de l’univers du court-métrage, les pépites créatives… et une autre façon d’aborder le cinéma. Tout simplement parce que sortir des circuits commerciaux stimule l’ingéniosité et offre une grande liberté quant au choix des sujets et à la manière de les aborder.

Cette manifestation culturelle, très originale, ambitionne ainsi de démocratiser le court-métrage en rendant le cinéma accessible à tous (l’entrée est libre et gratuite dans la limite des places disponibles) mais aussi en instaurant un véritable échange avec les réalisateurs.

En attendant le début de l’édition 2018, voici le court-métrage qui a remporté le Grand Prix 2017 :

A ne pas manquer cette année

L’édition 2018 du Festival “Ciné en Courts” sera marqué par deux temps forts :

Le Bistrot des Festivaliers (nouveauté)

A deux pas de la salle de cinéma, confortablement installé sous un barnum sur la place du Marché, le Bistrot des Festivaliers est un lieu convivial où les réalisateurs et les festivaliers peuvent se rencontrer.

Le concept est très simple : à chaque entracte, les réalisateurs viennent présenter leur film et échanger avec le public autour d’un verre. Les festivaliers peuvent ainsi poser librement leurs questions sur les motivations des auteurs ou les conditions de tournage mais aussi découvrir les anecdotes qui ont émaillé la réalisation de leur oeuvre.

Le Repas de Gala (samedi soir)

Il se déroulera dans le cadre agréable du Palais des Congrès et il accueillera 120 à 200 convives (sur inscription).

Au programme : animation musicale, de délicieux mets préparés par un traiteur (possibilité de menus sans gluten sur demande), et surtout de la convivialité lors de ce repas en commun pris autour de tables rondes de 10 couverts.

Un Jury de professionnels

Pour les réalisateurs amateurs, le Festival Ciné en Courts représente l’opportunité incroyable de montrer leurs œuvres à un jury composé de 3 professionnels et 2 membres de la FFCV.

Ils décerneront plus de 20 prix dont  :

  • 4  prestigieux Grands Prix : Prix du Président de la République, Prix de la Ville de Soulac, Prix du CNC, Prix Jeune Réalisateur de la FFCV
  • 15 prix spéciaux dont le Prix du Patrimoine offert par la Région Nouvelle Aquitaine et le Prix du Public offert par l’association des commerçants soulacais.

Le Jury est composé de :

JEROME ROGUEZ, Président du Jury

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Formé au cinéma ethnographique par Jean ROUCH et Jean-René MORILLIERES, Jérôme passa au début des années 70 un an et demi au Pakistan parmi les “Kalashs” et les “Hunzas”. Il parcourut ensuite la France pour les faire connaître par des Conférences “Grands Reportages” et “Visages et Réalités du Monde”.

Puis ses activités audio-visuelles l’amenèrent à la réalisation de documentaires pour toutes les chaînes de télévision, avec une priorité pour des magazines de France 3 “Thalassa”, “Montagne” et “Faut Pas Rêver”, mais aussi pour TF1 “Grands Reportages”, France 2 “Envoyé spécial”, et bien d’autres.

MICHELANGELO BUFFA, juré

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Depuis l’age de 14 ans dans les années 60, et jusqu’à aujourd’hui, il n’a jamais arrêté de réaliser des images, des films et vidéos, en totale liberté et se présente comme FILMEUR (terme emprunté à Alain Cavalier). A partir de 1970, il a écrit pour la revue de cinéma FILMCRITICA….

Quelques temps après, il a publié son premier livre de cinéma : IL CINEMA E’ IL CINEMA : Jeux de mots volés à Jean-Luc-Godard, dont le sous-titre est : “Vagabondage cinématographique d’un cinéphile-filmeur”.

BOUALEM GUERITLI, juré

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Réalisateur et grand reporter, il est l’auteur de près de trois cents émissions, reportages et documentaires pour France Télévisions et des chaînes étrangères. Il a réalisé des magazines de géopolitique et quatre heures hebdomadaires de programmes pour la jeunesse en direct durant plusieurs années.

JADE MORICE, jurée

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Après un bac option cinéma et trois ans de CPGE Lettres, Jade se lance dans un Master 1 Cinéma à l’Université Paris Diderot. Membre actif de l’association audiovisuelle DiviPassion, elle s’investit dans l’univers cinématographique. Dans le cadre de l’atelier réalisation de Paris 7, elle a réalisé son premier court-métrage documentaire sur la danse.

GERARD PHILIPPE, juré

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Entré dans un club dès 1976, à 20 ans, afin de progresser en photo au départ mais très attiré par l’image animée, Gérard a très vite participé à des tournages en Super 8 et 16mm. Il a assuré la responsabilité de président du club durant 22 ans avec notamment l’organisation du concours national de cinéma et vidéo en 1991. Moment important car c’était le lancement de la vidéo dans les concours fédéraux.  Son investissement dans la fédération s’est concrétisé par la présidence de la 3ème région pendant 11 années. À cette occasion, il a été sollicité pour assumer avec grand intérêt la présidence de jurys de concours régionaux mais également juré au national de St Nazaire. La réalisation l’a aussi mobilisé et il a eu l’immense plaisir d’avoir plusieurs films primés aux concours régionaux et sélectionnés au national, ce qui est déjà une grande récompense. Un film reçu même le prix national du documentaire.

Un tremplin vers une compétition internationale

Recevoir un prix au Festival  Ciné en Courts peut ouvrir des portes vers une reconnaissance nationale mais aussi internationale.

En effet, parmi les films primés, certains sont retenus pour participer au  concours annuel de l’UNICA, à hauteur d’une heure de projection. C’est l’occasion pour les réalisateurs de se confronter au niveau international, de rencontrer et d’échanger avec des passionnés de cinéma venus d’horizons plus lointains.

En 2018, les rencontres internationales se dérouleront en République Tchèque à BLANSKO début septembre, 5 films français sélectionnés à Soulac en 2017 y représenteront la France.

Le déroulement du Festival

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Jeudi 20 septembre

20h30 – Présentation du Jury

21h – Projection des premiers courts métrages en compétition

Vendredi 21 septembre

Projections de 9h à 12h30, de 14h à 19h et de 21h à 23h

Samedi 22 septembre

Projections de 9h à 12h30 et de 14h à 19h.

Dimanche 23 septembre

11h – Remise des prix

Le Festival en 5 chiffres-clés

  • 78 éditions
  • 200 ateliers de la France entière participants
  • 14h30 de projections au total
  • 20 prix décernés
  • 60 minutes de films sélectionnés pour participer au concours annuel international de l’UNICA

A propos de la FFCV, acteur de premier plan du cinéma français

Les origines de la FFCV remontent à 1933, date à laquelle a été fondée la FFCCA, la Fédération française des clubs de cinéastes amateurs. Quatre ans plus tard, celle-ci publiait une encyclopédie du cinéma amateur, unique à l’époque, avec une préface de Louis Lumière et un avant-propos de Léon Gaumont.

Rebaptisée Fédération française de cinéma et vidéo en 1987, l’organisation a été reconnue d’utilité publique en 2007 et a fêté son 85ème anniversaire en 2018. Elle constitue aujourd’hui un « réseau-école d’apprentissage, d’expérimentation et de diffusion du cinéma et du documentaire indépendants et autoproduits au service de la création libre ». Sa mission : rendre la création cinématographique accessible à tous et à toutes.

IMG_20180621_211809Présidée par Jean Claude Michineau, la FFCV compte 1300 membres, réalisateurs et techniciens, dont des grands noms comme le réalisateur Edouard Molinaro, le spécialiste des transparences Georges Jonesco, et Jean Vivié, conseiller technique de la fédération, professeur à l’IDHEC et premier directeur des Archives du film. Chaque année, plusieurs centaines de films sont produits au sein d’une centaine de clubs et d’ateliers de cinéma, et les membres se réunissent au niveau national pour confronter leurs productions et leurs idées.

 

Pour en savoir plus

Le Festival national Ciné en Courts : http://ffcinevideo.com/le-festival-national/

La Fédération Française de Cinéma et de Vidéo : http://ffcinevideo.com/

Il était une fois Patrick Guérineau…

Patrick Guérineau, qui depuis 2006 incarne le barman de la série à succès Camping Paradis, rejoint une nouvelle fois le tournage de la nouvelle saison, alors que la diffusion de nouveaux épisodes a débuté sur TF1.

C’est avec beaucoup de plaisir que l’acteur retrouve son lieu de tournage et les décors de son enfance.

Patrick a passé une grande partie de son enfance entre Aix-en-Provence et les plages de Sausset-les-Pins et de la Couronne sur la côte Bleue à l’ouest de Marseille où se déroulent les aventures du fameux Camping… il y est chez lui.

Grâce à son travail et à ses multiples expériences, Patrick a su conquérir l’amitié des réalisateurs avec qui il a travaillé, ainsi que le coeur du grand public. Il apporte ainsi une touche de bonne humeur bienvenue dans la vie des Français.

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Patrick Guérineau, un artiste interprète aux multiples facettes

Cinéma, télévision, théâtre….Patrick Guérineau est un acteur complet qui aime son métier et qui s’y investit.

C’est au théâtre qu’il se forme et qu’il apprend. Il rejoint la compagnie de René Loyon avec qui il collabore pendant plusieurs années et joue à Paris comme en tournée des auteurs aussi différents que Molière, Pirandello, Lorca ou Michel Vinavert dans un style plus contemporain.

J’ai adoré cette période. Le théâtre permet un contact immédiat avec le public.

En 2013, bien que les tournages de Camping Paradis lui prennent beaucoup de temps, Patrick trouve le moyen avec son ami et comparse Laurent Ournac de partir à nouveau en tournée avec une pièce de Carole Greep “Du piment dans le caviar”. C’est un succès. La trentaine de dates jouées un peu partout en France affiche complet.

En parallèle Patrick fait des apparitions au cinéma ce qui lui donne l’opportunité de creuser d’autres aspects de sa personnalité et de traverser d’autres univers. Avec Laetitia Colombani dans “Mes Stars et moi”, “Les fragments d’Antonin” de Gabriel Lebomin, “Secret défense” de Philippe Haim ou plus récemment dans un film d’anticipation “Virtual Revolution” de Guy Roger Duvert qui s’est tourné en France et en Anglais.

J’ai très envie de jouer en anglais dans des productions et coproductions internationales, la télévision le permet de plus en plus et c’est très bien.

Sa popularité auprès du grand public, c’est d’ailleurs à la télévision qu’il la doit.

Il joue dans plusieurs séries cultes comme “Plus belle la vie”, “Sous le soleil”, “Pas de secret entre nous”, “Falco” et bien d’autres. A chaque fois il s’investit dans ses personnages et les incarne avec beaucoup de plaisir.

Je mets toujours un peu de moi dans mes personnages.

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Sympathique et accessible Patrick est ancré dans la vraie vie et a su trouver un équilibre entre sa vie professionnelle et sa vie de famille.

Patrick attache beaucoup d’importance à la famille. Lorsqu’il n’est pas en tournage il aime tout particulièrement être avec son fils de 17 ans et Lou sa femme qui partage sa vie depuis quatre ans maintenant. Lou, mannequin pour une importante agence parisienne, est également souvent en déplacement en France comme à l’étranger. Elle tient une place indispensable dans la vie et le cœur de Patrick.

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Ma femme est à la fois un pilier et un moteur pour moi, un soutien indéfectible.

C’est probablement dans son couple et dans sa vie de famille que Patrick a puisé la force de se confronter à des épreuves sportives de renoms. Adepte des sports d’endurance il est allé au bout de courses mythiques telles que l’Ironman et d’autres marathons. 

Sans eux, je ne serai probablement pas allé au bout de ces courses-là.

Il se définit lui-même comme “un type ordinaire inscrit à des courses extraordinaires”. 

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Tout comme il juge extraordinaire la chance d’avoir à incarner le rôle de Xavier le chaleureux barman de la série Camping Paradis qui l’a véritablement révélé au grand public.

Depuis juin 2006 Patrick incarne Xavier le beau gosse séducteur terriblement romantique et attachant, jamais avare de bons conseils, qui rêve de devenir acteur….

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Un rôle que Patrick affectionne :

J’y suis très attaché et j’aime beaucoup ce personnage.

Les téléspectateurs aussi ! Pour la reprise de la diffusion de la série à succès, ils étaient 5 696 000 à regarder l’épisode inédit du 13 mars 2017, offrant ainsi à Tf1 la plus grosse audience prime time ce soir-là (24,3% de PDA).

C’est avec beaucoup d’enthousiasme que Patrick a donc rejoint le tournage de la prochaine saison à venir.

Pour en savoir plus

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Instagram : https://www.instagram.com/patrick.guerineau/