“À pied du Léman à la Méditerranée” de Matthieu Gétaz et Antoine de Baecque : un récit photographique immersif d’une marche à travers les Alpes

Un voyage de 530 km de Saint-Gingolph à Menton 

En 2021, avec un sac à dos minimaliste et une tente pour une autonomie totale, Matthiez Gétaz entame un périple entre nature sauvage et chemins peu fréquentés.

Alternant entre récits personnels et commentaires inspirés des textes d’Antoine de Baecque et de Corina Bille, l’auteur dévoile les secrets des crêtes spectaculaires du GR5C, les charmes discrets du Mercantour, et les panoramas époustouflants jusqu’à l’arrivée à Menton.

À travers une marche en deux étapes richement illustrée par plus d’une centaine de photos, Matthieu Gétaz partage une expérience immersive à travers les Alpes, du Léman jusqu’à la Méditerranée.

“À pied du Léman à la Méditerranée” vient de paraître aux éditions Slatkine.

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Une incroyable randonnée pour voir la montagne autrement

Du lac Léman à la Méditerranée, de Saint-Gingolph à Menton, le marcheur endurant peut suivre sur plus de 650 kilomètres un sentier de grande randonnée nommé GR5.

Ce chemin nord-sud, également appelé depuis les années 1 970 « Grande Traversée des Alpes », s’est imposé auprès de milliers de marcheurs chaque année comme la voie classique par excellence de la randonnée alpine. On y affronte, en un mois de marche, quelques 30 000 mètres de dénivelés positifs répartis en une trentaine de grands cols, soit quatre fois la hauteur
de l’Everest.

Cependant, à l’exception de quelques passages délicats en début d’été quand des névés encombrent encore le sentier, ce chemin ne présente pas de difficulté majeure, bien balisé de marques peintes en rouge et blanc, pourvu de petits hôtels, de gîtes et de refuges permettant des étapes relativement confortables.

Le GR5 est la colonne vertébrale des sentiers des Alpes.

Les itinéraires suivis

  • Saint-Gingolph – Val Claret GR5 ;
  • Val Claret – Ref. de l’Orgère GR55 ;
  • Ref. de l’Orgère – Névache GR5 ;
  • Névache – Briançon GR5C ;
  • Briançon – Saint-Dalmas de Valdeblore GR5 ;
  • Saint-Dalmas de Valdeblore – Sospel ;
  • GR52A Sospel – Menton GR52.

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Notes d’intention

Matthieu Gétaz

« C’est suite à la lecture d’un livre de Corina Bille : À pieds du Rhône à la Maggia édité en 1956, que j’avais entrepris il y a plus de vingt-cinq ans cette marche de cinq jours environ, avec mon appareil de photo. J’ai réalisé ensuite la mise en page d’un ouvrage à partir des textes de Corina Bille, illustré avec mes photos en noir et blanc. Le dernier chapitre faisait office de topo de marche avec tous les renseignements nécessaires pour se lancer dans la traversée. Il a été édité en 1999 aux éditions La Joie de Lire.

Puis il y a un peu plus de trois ans, après avoir lu La traversée des Alpes, écrit par Antoine de Baecque, j’ai décidé d’entreprendre ce périple, du Léman à la Méditerranée. Cette fois-ci, j’ai fait le choix de la photo en couleur, plus orienté sur la restitution des paysages traversés, commentés et contextualisés avec des textes écris par Antoine de Baecque, qui donnent un aperçu, narratif et historique pour celles et ceux intéressé(e)s par ce long cheminement. Après m’être rendu à Saint-Gingolph en bateau, j’ai attaqué cette randonnée en 2021 muni d’un sac à dos “le plus léger possible” avec une tente de camping, pour plus d’autonomie et pour être plus près de la nature. J’ai fait cette traversée en deux temps, la première m’a mené jusqu’à Aime-la-Plagne dans la vallée de l’Isère en huit jours.

La deuxième partie a été réalisée l’année suivante de Landry jusqu’à Menton en quinze jours. J’ai fait plus ou moins les mêmes étapes qu’Antoine de Baecque, à quelques nuances près. Entre Névache et Briançon, j’ai pris le GR5C qui chemine dans la deuxième section sur une ligne de crêtes spectaculaire avec une vue magnifique sur le massif des Ecrins, qui se termine par une longue descente de plus de mille quatre cents mètres jusqu’à Briançon. Puis, ensuite, à partir de Saint-Dalmas dans le parc national du Mercantour, j’ai rejoint la vallée de la Vésubie par le col Saint-Martin sur le GR52A. C’était la ligne la plus directe et la moins fréquentée par les marcheurs pour rejoindre Sospel par le col de Turini, avant le franchissement des deux derniers cols qui mènent à la mer. »

Antoine de Baecque

« En suivant le “récit photographique” de Matthieu Gétaz le long de sa marche à travers les Alpes, mes propres souvenirs ont affleuré, telles des images revenues avec une netteté à laquelle je ne m’attendais pas. C’est à une restitution de ces images-souvenirs que j’ai voulu procéder ici, mettant en forme narrative cette expérience de marche qui, parallèle à celle des photographies, m’a reconduit mentalement le long de la traversée des Alpes qui est une ligne tendue, en multiples détours obliques et pentus, d’une eau à une autre, du Léman à la Méditerranée. »

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Portraits des auteurs

Matthieu Gétaz

Matthieu Gétaz est graphiste, diplômé des Beaux-Arts de Lausanne et de l’École des Arts Décoratifs de Genève. Il a publié plusieurs ouvrages sur les thèmes du voyage, de la montagne et de la marche, comme “À pied, du Rhône à la Maggia”, de Corina Bille, dont il a réalisé les photos et le graphisme (Éd. La Joie de Lire).

Antoine de Baecque

Historien, professeur d’histoire du cinéma à l’École Normale Supérieure (Ulm), spécialiste de la culture des Lumières et de la Révolution française, Antoine de Baecque est également critique et historien du cinéma. Spécialiste de la Nouvelle Vague, il a écrit trois biographies, de François Truffaut (Gallimard, 1996, avec Serge Toubiana, Prix des lectrices de Elle, Prix France Télévision), de Jean-Luc Godard (Grasset, 2010 et 2023) et d’Eric Rohmer (Stock, 2014, avec Noël Herpe, Prix de la critique de cinéma).

Informations pratiques

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“À pied du Léman à la Méditerranée” dee Matthieu Gétaz (photos) et Antoine de Baecque (texte).

  • Editions Slatkine
  • Sortie : 9 mai 2025
  • Beau Livre – Montagne
  • Format : 14,8 x 20,5 cm
  • EAN : 978-2-8321-1382-0
  • Pages : 288
  • Prix : 28 €

En savoir plus

Découvrir le livre : https://www.slatkine.com/fr/editions-slatkine/76615-book-07211382-9782832113820.html

Site web : https://www.slatkine.com/

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LinkedIn : https://www.linkedin.com/company/editions-slatkine/?viewAsMember=true

Beaux livres : “Les Alpes françaises à vélo” de Nicolas Richoz, un ouvrage qui fera le bonheur des mordus de cyclisme, de Tour de France et de paysages spectaculaires

37 itinéraires à télécharger – 102 000 md + 4065 km

Chaque publication d’un livre de Nicolas Richoz est un événement pour les amateurs de beaux livres et de cyclisme ! Le succès de ses précédents ouvrages, et en particulier celui des “Alpes à vélo” a incité l’auteur à se lancer dans la rédaction de ce livre qui répond à une forte demande des libraires et des cyclistes de l’Hexagone.

Car “Les Alpes françaises à vélo”, c’est un peu la “petite madeleine de Proust” que tout le monde attendait, tant la France et le cyclisme vivent depuis toujours une histoire d’amour passionnée et intemporelle.

Elle trouve son apogée chaque année à travers l’épopée grandiose du Tour de France. Ce monument sportif, bien plus qu’une simple course, incarne l’esprit d’une nation vibrante et les rêves d’innombrables cyclistes à travers le monde.

C’est pour cela que cette exploration de la chaîne montagneuse française des Alpes séduira un large public, des amateurs de beaux paysages jusqu’aux passionnés de la petite reine.

Nicolas Richoz a d’ailleurs vu les choses en grand en publiant un livre véritablement unique, un “monstre” de 432 pages richement illustré (photos classiques et par drone), avec 37 QR codes permettant de télécharger les itinéraires.

À paraître fin octobre.

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Explorer les Alpes françaises à vélo

Qui n’a pas déjà vibré face aux difficultés des sportifs grimpant l’Alpe d’Huez, le Mont Ventoux ou le col du Télégraphe ?

Depuis sa création en 1903, la Grande Boucle a su captiver les cœurs et les esprits, mêlant exploits héroïques, paysages sublimes et moments de pure magie. Les routes sinueuses des Alpes, les vastes étendues de la campagne française et les pavés historiques des villes ont vu défiler des générations de champions, chacun contribuant à écrire un nouveau chapitre de cette romance cycliste.

 

À travers ces pages, nous explorons la richesse de cette relation unique entre la France et le cyclisme, une passion forgée par des décennies d’aventures humaines, rendant hommage à la beauté des paysages alpins et à la grandeur de cette épreuve légendaire.

Sommaire

  • Préface
  • Les Alpes françaises
  • Les itinéraires
  • Chapitre I : Le département de la Haute-Savoie
  • Chapitre 2 : Le département de la Savoie
  • Chapitre 3 : Le département de l’Isère
  • Chapitre 4 : Le département de la Drôme et Le département du Vaucluse
  • Chapitre 5 : Le département des Hautes-Alpes
  • Chapitre 6 : Le département des Alpes-de-Haute-Provence et Le département du Var
  • Chapitre 7 : Le département des Alpes-Maritimes
  • Chapitre 8 : Les 7 majeurs
  • Remerciements
  • Partenaires
  • Index

À propos de Nicolas Richoz

Nicolas Richoz est né le 27 octobre 1993 et il réside à Valais, en Suisse. Il a obtenu un Master EPFL en génie civil, spécialisation en ingénierie structurale.

Adepte de triathlon, de cyclisme et de ski, il est aussi passionné de photographie de paysage et de photographie aérienne. Il dispose d’un diplôme de l’Institut de photographie et a suivi une formation de télépilote de drone.

Il est l’auteur des “Alpes à vélo” (Éditions Slatkine, 2021) et du “Valais à vélo” (Éditions Slatkine, 2023) : deux livres références !

Informations pratiques

  • Éditions Slatkine
  • Beau livre relié
  • En librairie fin octobre 2024
  • ISBN : 978-2-8321-1353-0
  • Format : 25 x 30 cm
  • 432 pages
  • Prix : 49 €

En savoir plus

Découvrir le livre : https://www.slatkine.com/fr/editions-slatkine/76456-book-07211353-9782832113530.html

Site web : https://www.slatkine.com/

Instagram : https://www.instagram.com/editionsslatkine/

Facebook : https://www.facebook.com/editionsslatkine/

LinkedIn : https://www.linkedin.com/uas/login?session_redirect=https%3A%2F%2Fwww.linkedin.com%2Fcompany%2F78793696%2Fadmin%2Fpage-posts%2Fpublished%2F

Whispers de David Dreger : L’âme vibrante de l’Équateur et des Galapagos

Découvrez “Whispers” de David Dreger, un chef-d’œuvre photographique en édition limitée, numérotée et signée. Ce livre exceptionnel vous invite à un voyage visuel captivant, révélant la magie de l’Équateur et des Galapagos à travers plus de 110 clichés éblouissants.

Un voyage immersif au cœur de l’Équateur et des Galapagos

Ouvrir un livre de David Dreger, c’est s’embarquer pour une aventure inoubliable. Chaque page rapproche un peu plus des paysages époustouflants et des cultures authentiques. Le regard unique du photographe français capture l’essence des populations locales, offrant un témoignage poignant de l’époque et des modes de vie rencontrés.

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Une qualité photographique exceptionnelle

Les amateurs de photographie seront comblés par la qualité des images, toutes prises sur le vif avec des boîtiers Leica Q2 et Canon 5DSR. Les clichés, d’une netteté impressionnante, capturent des moments fugaces et authentiques.

Un quatrième ouvrage en édition limitée

Après le succès de “Un Voyage Sacré” (Pérou), “Shades” (New York), et “Al-Andalus” (Andalousie), David Dreger nous offre “Whispers”, son quatrième ouvrage. Limité à seulement 50 exemplaires, ce livre dévoile l’âme vibrante de l’Équateur et des Galapagos à travers une série de photos saisissantes.

La richesse et la diversité de ce pays est incroyable. Chaque coin de l’Équateur, des montagnes majestueuses des Andes à la luxuriante forêt amazonienne, offre des paysages à couper le souffle. Les Équatoriens, avec leur hospitalité chaleureuse, m’ont accueilli comme un membre de leur famille. J’ai été fasciné par la culture vibrante, les marchés colorés et les traditions ancestrales. Les Galapagos, avec leur faune unique et leurs paysages volcaniques, sont un véritable paradis sur Terre. L’Équateur m’a offert des expériences inoubliables, et j’espère que mes photos transmettent la beauté et l’esprit de ce pays exceptionnel.

David Dreger

Une plongée dans la beauté de l’Amazonie et des Galapagos

Richement illustré, “Whispers” invite à découvrir :

L’Amazonie : ses dangers, ses secrets et sa beauté brute.
La diversité des Oiseaux : une explosion de couleurs et de formes.
Les équatoriens : leur gentillesse et leur culture riche.

David Dreger partage également une ambiance musicale en recommandant l’écoute du “Beethoven Cuban Concertino” de Joachim Horslet, pour une immersion totale.

Une esthétique soignée et un design élégant

“Whispers” n’est pas seulement un livre, c’est un objet d’art. La couverture, en verre acrylique et simili-cuir, offre une luminosité et une profondeur de couleur exceptionnelles. Chaque exemplaire, unique et signé, est fabriqué à l’unité en 15 jours, garantissant une qualité irréprochable.

Une ambition de transmission et de conscience éveillée

Ce projet ambitieux vise à :

Explorer l’Amazonie : découvrir ses mystères et sa biodiversité.
Comprendre la culture du cacao : de la fève à la fabrication du chocolat.
Admirer la faune marine des Galapagos : une richesse préservée.
En filigrane, David Dreger souhaite éveiller les consciences sur l’impact humain et délivrer un message d’espoir, illustrant la coexistence harmonieuse possible entre l’homme et la nature.

Un Livre d’exception pour les collectionneurs

“Whispers” est un bijou à manipuler, regarder et offrir. Sa conception soignée en fait un objet digne des plus belles collections, un véritable trésor visuel pour les passionnés de photographie et les amoureux de la nature.

Ne manquez pas l’opportunité d’acquérir ce chef-d’œuvre en édition limitée, véritable témoignage de la beauté et de la diversité de notre monde.

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À propos de David Dreger

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David Dreger est né le 13 juin 1967 dans le Nord de la France. Ce photographe français produit et édite des livres depuis 2018. Il s’est installé depuis peu dans la ville du Tréport, en Normandie.

David est titulaire d’un baccalauréat G3 (Gestion), puis d’un Master 2 en Administration Economique et Sociale.

Après ses études, David débute sa carrière professionnelle dans le commerce, un peu partout en France (Tours, Montpellier). En 1999, il évolue vers l’audit interne puis les ressources humaines dans la distribution spécialisée. En 2011, il rejoint Nocibé, de nouveau sur l’audit interne.

Il réalise une série de clichés qui lui donne envie d’aller plus loin et il investit dans son premier appareil photo numérique. Il démarre sa carrière artistique puis il découvre et analyse en profondeur le travail de Newton, Lindberg, Sieff ou encore Doisneau. C’est à ce moment qu’il décide de se lancer dans la photographie en créant son premier studio pour faire ses clichés de manière professionnelle.

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Depuis 2015, l’artiste partage son travail photographique entre les États-Unis, l’Afrique, l’Europe et l’Amérique du Sud.

En 2019, il consacre une seconde exposition à Lille sur le thème de l’androgynie intitulée “Garçonne”. En 2020, il sort le premier volet d’une trilogie consacrée à l’Amérique du Sud. Un Voyage sacré, traduit en espagnol, retrace le parcours du photographe en 2018 à travers le Pérou. Le second ouvrage est consacré à l’Équateur et sera suivi d’un livre sur la Colombie en juillet 2024.

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David expose en 2020, à Amiens, une série de photos retraçant les 10 dernières années de son travail qu’il intitule “21 regards”.

Début 2023, il a édité un second livre en qualité premium consacré à New York et intitulé “SHADES”.  La même année, en août, il publie le livre “AL-ANDALUS” pour partager son voyage au cœur de l’Andalousie en près de 180 photos.

Aujourd’hui, de retour en France,  il présente WHISPERS pour faire découvrir les multiples facettes de l’Équateur. Prochainement, deux nouveaux ouvrages embarqueront les lecteurs pour la Réunion et le Portugal (Porto et la Vallée du Douro).

Informations pratiques

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WHISPERS de David Dreger

  • Édition limitée à 50 exemplaires (numérotés et signés par l’auteur)
  • 68 pages et 110 photos
  • Impression sur papier brillant 310 gr/M2 (papier certifié FSC®)
  • Format : 30 x 21 cm paysage
  • Couverture rigide
  • Aspect couverture : verre acrylique et simili-cuir
  • Prix TTC : 179 € hors frais de port (15 € en France métropolitaine)

En savoir plus

Le livre “Whispers” – Équateur : https://www.daviddreger.com/livre-book-whispers-equateur

Une sélection de photos du livre : https://www.daviddreger.com/une-selection-de-photos-du-livre-whispers

Site web : https://www.daviddreger.com/

Facebook : https://www.facebook.com/DavDreger

Instagram : https://www.instagram.com/david_dreger_photographe/

LinkedIn : https://www.linkedin.com/in/daviddreger/

Filtr’, la revue d’art pensée comme un espace d’exposition accessible aux personnes malvoyantes, lance son 3e numéro

Une revue collective et collaborative

La revue Filtr’ est une collection de livres-objets qui interroge les nouveaux espaces d’expositions à travers l’édition imprimée. Chaque numéro rassemble un ensemble d’auteur·ice·s et d’artistes réunis autour d’une thématique commune.

Ainsi, elle offre à tout artiste ou collectif l’opportunité d’être visible à travers une édition diffusée dans toute la France.

Sa particularité ? Être pensée comme une exposition. Chaque élément de l’édition est détachable et l’ensemble des projets artistiques peuvent être utilisés sous deux formats : celui du livre et celui de l’affichage.

La spécificité de cette édition est de permettre aux lecteurs de choisir son mode de lecture ainsi que l’espace approprié à chaque pièce. Rien n’est défini, les modes de lectures sont éphémères et aléatoires, la revue vit avec l’acteur de ses lectures.

Filtr’ n°2, le troisième numéro de la collection, aura pour thème “Effleurer l’invisible”.
Il sera publié en mars 2023, suite à la campagne sur KissKissBankBank.

Ici, les plis, textures, empreintes, transparences et couleurs donnent des espaces à toucher, manipuler, ressentir. Le lecteur devient acteur.

Marie Lorieux, fondatrice

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Une lecture libre, malléable et unique

La conception aléatoire de la revue se joue des sensibilités singulières de ses collaborateurs : auteurs, créateurs, partenaires…

Au fil des publications, cet objet unique se métamorphose, se transforme et se révèle. Une pièce unique, originale et signée, est également présente dans chaque exemplaire de toute la collection de la revue.

Les supports variés s’associent au point de vue des artistes, les pensées imagées se chevauchent dans un joyeux tumulte de papiers, volumes, grammages.

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Ouvrir ce livre, entre le support et l’objet d’art, c’est partager un tête-à-tête avec ceux qui font et racontent l’histoire de l’art, c’est vivre une expérience esthétique et sensorielle différente, ni tout à fait étrangère, ni tout à fait familière.

Quelle est la place de l’artiste dans l’espace d’un livre ? Quelle est la place du livre comme support de création ? Les questions sont posées, libres à chacun.e d’en écrire les réponses.

Filtr’ n°2 : “Effleurer l’invisible”

Marie Le Moigne - Filtreditions

Ce nouveau numéro, à paraître en mars, s’articule autour des gestes de lecture, des empreintes qui se distinguent à main nue, des reliefs tactiles, de la perception des vides, des pleins, du contraste entre le visible et l’invisible… Chacun.e pourra ainsi la toucher avec les yeux.

Créée en collaboration avec des professionnels de la chaîne du livre, cette thématique met l’accent sur des techniques d’impression et de façonnage particulières, afin de retranscrire le plus fidèlement possible, dans le livre, certaines œuvres en volume.

Qu’elles soient en volumes, sonores ou palpables, nous cherchons ici à transmettre et à approfondir une sensibilité aux matières, aux textures, aux odeurs… Infiniment déclinable, le papier a un potentiel précieux pour raconter les histoires.

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Une revue pensée AVEC et POUR les personnes malvoyantes

Explorer de nouveaux horizons, c’est aussi créer du lien, permettre la rencontre entre personnes malvoyantes et voyantes, et ouvrir le dialogue autour de l’édition artistique.
La nouvelle revue Filtr’ N°2 a donc décidé d’évoluer pour être accessible à ce nouveau public, habituellement exclu du monde des livres d’art.

L’équipe de Filtreditions a organisé un atelier et échangé avec des associations et avec des personnes malvoyantes pour donner naissance à un format privilégiant le toucher, l’audio et l’odorat. De plus, si les budgets sont suffisants, la revue sera entièrement transcrite en braille, pour compléter les QR codes de chaque projet.

Filtr’ N°2 a ainsi vocation à être diffusée via les associations, fondations, écoles et librairies spécialisées en déficience visuelle… Mais pas seulement ! En tant que livre d’exposition à part entière, elle pourrait être intégrée dans les formations d’arts plastiques, d’édition, de design, etc. Par des enseignants intéressés par cet objet polyvalent et ambitieux.

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Les (grands) petits plus

La reliure détachable

Les lecteurs choisissent leur méthode de lecture, car le livre peut aussi être exposé. D’ailleurs, certains se procurent une édition, car ils ont un coup de cœur pour une œuvre qu’ils souhaitent afficher chez eux. Les autres apprécient son côté très vivant et malléable : la revue se réinvente en permanence et se prête à de multiples utilisations.

Un livre-objet inédit sur le marché du livre d’art

Filtr’, c’est une exposition à voir chez soi à travers un livre présentant le travail de 7 artistes minimum par revue.

Avec de vraies différences :

  • Chaque exemplaire contient une pièce unique signée de l’artiste ;
  • Un événement de lancement pour chaque sortie de revue permet de rencontrer les artistes.

Une revue avec un supplément d’âme

Filtr’ est auto-éditée en partie (autoproduction de la pièce unique). Fabriquée en France sur des papiers durables, elle est aussi assemblée à la main pour garantir un objet final esthétiquement parfait.

Le tout à un coût très accessible pour une édition d’art.

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Filtreditions : une maison d’édition indépendante qui ose la singularité

Chez Filtreditions, nous essayons simplement de transmettre un peu de cette passion qui nous anime : l’amour des formes, des médiums, des possibilités, des livres ouverts, des portes entrebâillées par lesquelles passe la lumière.

Fondée en 2017, Filtreditions publie des objets imprimés, crée des événements culturels et lance des éditions artistiques pour des projets collectifs ou individuels.

Cette maison d’édition dynamique a décidé de créer la revue collective Filtr’ pour donner à des artistes émergents une nouvelle visibilité par une forme éditoriale singulière. L’idée originelle était de faire découvrir, par l’objet livre, des créations artistiques (toutes pratiques et médiums confondus) à la manière d’une salle d’exposition.

Son catalogue se compose aujourd’hui de 3 éditions d’artistes indépendants et des 3 revues de la collection Filtr’ (Le n°0 sorti en 2017 portait sur la thématique “Plastique” et le n°1 de 2019 sur “Point, ligne, plan”).

Et bientôt…

La revue Filtr N°2 a vocation à être diffusée dans tous les cercles d’amateurs et de collectionneurs d’art, notamment via les librairies spécialisées en art et en livres d’artiste, les galeries et les musées. Chaque édition peut en effet être intégrée à des expositions sur des thématiques communes et/ou transversales.

À propos de Marie Lorieux, la fondatrice

Marie Lorieux est entrepreneuse, résiliente et passionnée. À 31 ans, elle a déjà fondé sa propre maison d’édition, Filtreditions. Et collabore également avec des marques ou des agences, en tant que directrice artistique indépendante spécialisée en conception d’objets imprimés.

Marie a suivi des études de photographie à Lyon, et un Master en Média, Design et Art Contemporain à Paris.

Filtreditions voit le jour durant la dernière année d’études de Marie qui développe à côté sa clientèle professionnelle entre photographie, graphisme et le développement de projets créatifs. Sa maison d’édition lui donne l’occasion de créer et de gérer des événements culturels entre Paris, Bruxelles, Lyon et Bordeaux pour des expositions artistiques multidisciplinaires ou encore pour des lancements d’éditions.

Par la suite, elle s’intéresse et travaille petit à petit avec l’édition papier. Bénévolement, elle cherche à développer un maximum Filtreditions, et fidélise en parallèle des clients en direction artistique.
Marie a choisi, depuis plus d’une année, une vie nomade à travers l’Hexagone et partage désormais son temps entre des projets de création graphique ou éditoriaux auprès des particuliers, ainsi que des missions de créations digitales ou print avec des marques ou des entreprises.

La genèse de l’aventure Filtr

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À l’occasion d’une recherche bibliographique, dans le cadre de ses études, à la librairie Kandinsky au Centre Georges Pompidou, Marie fait une découverte dont le projet Filtr puisera ses racines. Every building on the Sunset Trip de Ed Ruscha ou Monter/Sampler de Yann Beauvais et Jean-Michel Bouhours, sont des réelles sources d’inspirations pour Marie qui devient très sensible à l’esthétique et la recherche autour des livres d’artistes, des livres d’auteurs et livres-objets.

La réflexion de son mémoire de fin d’études s’appuie notamment sur son amour des formes, des espaces, des matières, de l’architecture, du papier, du livre et de l’art. Ce mémoire portait sur l’association cinégraphique, les formes et usages des méthodes graphiques dans le cinéma expérimental.

Marie s’intéresse également au milieu de l’autoédition et aux mouvements d’art d’avant-garde. Elle est beaucoup inspirée de l’art conceptuel et Fluxus, grâce à ces œuvres qui sortent des musées et se réinventent pour se créer de nouveaux espaces. Elle aime également l’utilisation, le mouvement, l’espace autour des objets livres ainsi que leurs places dans les espaces d’expositions, comme les librairies, les galeries, et chez les collectionneurs et particuliers.

Mais Marie, toujours envahie par le syndrome de l’imposteur, est poussée à créer des éditions présentant le travail des autres plutôt que ses propres créations artistiques.

Cette démarche va cependant s’avérer positive, car elle va étancher sa soif de collaboration :

Les projets collectifs et humains ont une vraie valeur positive pour moi ! C’est d’ailleurs pour cela que j’ai voulu créer un projet d’art qui me ressemble, tant au niveau de l’esthétique que des valeurs.

Le projet de création, de la revue Filtr, est ainsi né. Une revue en papier, hybride, polyvalente, collective et collaborative, humaine, et surtout, un objet de création unique.

Pour en savoir plus

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La campagne sur KissKissBankBank : https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/filtreditions_filtr2

Site web : https://www.filtreditions.com

Facebook : https://www.facebook.com/filtreditions

Instagram : https://www.instagram.com/filtreditions/

LinkedIn : https://www.linkedin.com/filtreditions

Kit media : https://drive.google.com/drive/folders/1BAWsTFd2roZwybxvGpeZHR29CQv7bpmh?usp=share_link

“New York Apocalypse” de Marie Le Blé : Big Apple comme vous ne l’avez jamais vu

Le meilleur des scénaristes de science-fiction n’aurait pu imaginer cette vision de New York que l’auteure révèle à travers des images inédites prises tout au long de la pandémie.

Dans “New York Apocalypse”, la journaliste et photographe Marie Le Blé dévoile les dessous de la cité des gratte-ciel, soudain murée dans un silence fantomatique, seulement interrompu par le bruit lancinant des sirènes.

La ville qui ne dort jamais, fascinante et bouillonnante, celle du business, des cocktails et de la fête, offre brusquement des allures d’apocalypse…

Mais c’est sans compter sur le courage et la force des New-Yorkais dont l’enthousiasme immortel affiche une volonté infaillible de redonner vie à la Grande Pomme.

En publiant ce beau livre, je veux transmettre un message d’espoir, tout en rendant hommage au courage et à la résilience des New-Yorkais.

Marie Le Blé

Un autre regard sur les événements de l’histoire contemporaine des États-Unis

Marie Le Blé a été l’une des rares journalistes français.es à couvrir la pandémie de Covid à New York au risque de sa vie.

Sur le terrain, elle a été au cœur des événements récents qui ont marqué les États-Unis : la campagne électorale américaine opposant Donald Trump et Joe Biden, les émeutes qui ont suivi la mort de Georges Floyd et l’assaut du Capitole, entre autres.

Ses clichés mettent aussi en avant le caractère historique de la pandémie qui, en 2020, a mis à terre la ville symbole de la puissance américaine. Un témoignage touchant qui rappelle à tous la fragilité universelle de l’homme face à la maladie et la mort.

“New York Apocalypse” est un beau livre qui plaira à tous les amoureux de New York, des États-Unis et d’art.

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Portrait de Marie Le Blé

Diplômée de l’IPJ-Dauphine où elle a enseigné, Marie Le Blé a travaillé pour Le Parisien pendant seize ans. Puis pour l’agence de presse Credo à Paris, elle est amenée à aller là où les autres ne vont pas.

Riche de ces années d’expérience et installée à New York, elle décide, en mars 2020, de couvrir la pandémie aux États-Unis. Face à la peur tenace de l’ennemi invisible, elle choisit de témoigner.

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Affiliée à l’agence de presse photos américaine, Zuma, ses images sont publiées dans le WSJ, Le Guardian, Le New York Post, Le Daily Mail, El Mundo, Stern, L’Express, La Croix…

De passage en Bretagne, fin 2021, Marie Le Blé a pris contact avec les éditions Blacklephant pour leur proposer son projet de livre de reportages et de photographies consacré à New York pendant la pandémie de Covid.

Il faudra ensuite une année de travail pour aboutir à la publication de “New York Apocalypse, Big Apple comme vous ne l’avez jamais vu” .

À propos de Blacklephant Editions

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Animés par des valeurs humanistes, nous publions des livres qui contribuent à rendre le monde meilleur.

Dans un monde ultra-connecté et plongé dans l’instantanéité, Blacklephant Éditions invite à faire un pas de côté, à oser la prise de recul offerte par l’écriture.

Elle publie des romans, des témoignages, de beaux livres et de la bande dessinée. Autant d’ouvrages qui ont tous un point commun : ils sont écrits par des auteurs talentueux, libres et engagés, qui mettent en lumière la richesse de la diversité, l’inclusion, la protection de la vie, l’imagination, la connaissance, la résilience, la soif de découverte et l’ouverture au monde.

Toute l’équipe, guidée par son intuition, aime faire découvrir à ses lecteurs de véritables coups de cœur. C’est d’ailleurs pour cela qu’elle a choisi l’éléphant comme animal totem ! Il symbolise la loyauté, l’empathie et la camaraderie qu’elle veut incarner au quotidien auprès de tous ses interlocuteurs.

Blacklephant Éditions est située à Auray, en Bretagne Sud. Elle est une marque de Goodman et Compagnie, un studio de production audiovisuelle qui place l’humain au centre du jeu.

Informations Pratiques

“New York Apocalypse” de Marie Le Blé

  • Sortie : 17 novembre 2022
  • Éditeur : Blacklephant Éditions
  • ISBN-10 : 2493043103
  • ISBN-13 : 978-2493043108
  • Format : 24 x 26.5 cm
  • Nombre de pages : 260
  • Prix : 34,90 €

Pour en savoir plus

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Découvrir le livre : https://blacklephant.com/ouvrage/new-york-apocalypse/

Site web : https://blacklephant.com/

Facebook : https://www.facebook.com/Blacklephant.editions/

Instagram : https://www.instagram.com/blacklephant.editions/

LinkedIn : https://www.linkedin.com/company/blacklephant/

Beaux Livres : “MODERN ICONS et autres rêveries subaquatiques” d’Harry Fayt, une immersion dans l’univers du photographe subaquatique belge

“D’une imagination foisonnante et multi-directionnelle, mon travail suit plusieurs pistes et se refuse au sens unique.

Très curieux de nature, l’inspiration me vient de partout. D’un objet chiné aux puces, un sujet d’actualité, une image, une scène dans la rue, mon esprit procède comme il le fait avec un puzzle. Différents éléments viennent s’assembler pour créer un concept inattendu, le plus souvent farfelu mais toujours cohérent.

Refusant les “ça ne se fait pas “, j’aime penser en électron libre sans me conformer à une certaine vision de la société.”

En Avril 2022, Harry Fayt a été sélectionné par WBI (Wallonie – Bruxelles – International) pour représenter la Wallonie lors d’une exposition itinérante qui tournera à travers le monde durant cinq ans. De New York à Tokyo, de Pékin à Kinshasa, ce sont des dizaines de capitales qui découvriront bientôt son travail.

Après sa première monographie éditée à 500 exemplaires en 2019 sur le thème du nu, le photographe profite de ce cycle d’expositions pour publier son second ouvrage « MODERN ICONS et autres rêveries subaquatiques » qui présente entre autres ses séries « Modern Icons » et ses détournements d’art et « Heart Made in Belgium », ses portraits immergés d’artistes belges.

Édition limitée à 1000 exemplaires.

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 Des photos de studio… sous l’eau

Passionné et à la recherche de défis, Harry Fayt est déjà une référence dans le domaine de la photographie subaquatique en Europe.

Concernant cet artiste atypique, Cecile van Bockstaël de la Melting Art Gallery écrit :

“Il aurait pu, comme d’autres de ses confrères, se contenter d’immortaliser des scènes esthétisantes, de transformer ses modèles en silhouettes graciles et nymphes aquatiques. Bien au contraire, Harry l’insatiable va au-delà. Avec lui tout est permis. Il créé, met en scène, explore des univers, raconte des histoires, s’implique, surprend… Il n’a pas peur de prendre des risques…

Nourri de surréalisme belge, il donne naissance à des œuvres uniques, denses, intenses et engagées. L’art de la mise en scène fascine chez lui. Avec intelligence et humour, il utilise, tel un magicien, maints subterfuges pour nous plonger dans un univers fantastique. Il révèle les personnalités, revisite les chefs d’œuvres artistiques, interroge la société.

Plus qu’un photographe subaquatique, Harry Fayt est un artiste, un vrai, un grand, débordant de talent…”

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Extraits

La série Modern Icons

À travers les siècles, beaucoup d’œuvres d’art sont devenues in contournables et ont disséminé leur beauté et leur symbolisme dans notre société.

Ces images, Harry Fayt aime se les réapproprier, les transformer et les adapter à notre époque. Il leur fait conter de toutes nouvelles histoires inspirées par l’actualité et les débats de société.

Tantôt engagées, décalées voire loufoques, il aime que ses œuvres poussent à la réflexion et à la relecture pour que finalement le public puisse les interpréter à travers son propre imaginaire.

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La série Heart made in Belgium

Cette série est née de la volonté d’Harry Fayt de mettre la scène artistique belge à l’honneur en partageant ses coups de cœur.

La Belgique regorge de talents de tous horizons, que ce soit sur le plan musical, cinématographique ou de l’art en général. À côté de pointures mondiales telles que Benoit Poelvoorde, Jean-Claude Van Damme ou encore Jan Fabre, une nouvelle scène émerge et de nouveaux artistes y apportent un renouveau permanent.

L’objectif d’Harry Fayt est ici de se faire plaisir en mettant en scène les artistes qu’il rencontre sur son chemin et qui l’inspirent. Son défi est de s’imprégner de leurs univers et de créer des portraits qui leur ressemblent ou au contraire d’en prendre le contre-pied total.

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À propos d’Harry Fayt

Originaire de Charleroi en Belgique, Harry Fayt obtient un diplôme en photographie publicitaire en 1998. Il suit ensuite un parcours professionnel qui l’a emmené vers le portrait.

Dans un premier temps, il a photographié des musiciens grâce auxquels il a étudié la physionomie des émotions. Il s’est ensuite tourné vers la photographie de famille.

Photographier des bébés nageurs a été son rite de passage vers l’autre monde, celui de la photographie subaquatique.

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En 2012, c’est avec la rencontre de l’auteure-interprète Typh Barrow qu’il revient à son premier amour, le portrait d’artiste… sous l’eau. Enrichi de cette singularité, il a entamé une multitude d’expérimentations grâce auxquelles il crée aujourd’hui de nouvelles images.

J’aime repousser les frontières d’un monde que je me suis moi-même inventé, toujours avec le même objectif: questionner, étonner, élargir le champ des possibles.

Aujourd’hui, Harry aimerait photographier sous l’eau des personnalités artistiques françaises, comme il a déjà pu le faire avec Sidoine et Delphine Depardieu.

Informations techniques

“Moderns icons et autres rêveries subaquatiques”

  • 1ère édition de 1000 exemplaires
  • 64 pages
  • 51 images
  • Papier ivoire haut de gamme
  • Couverture «Soft touch»
  • 24 x  28,5cm
  • Le livre signé est disponible pour 39 euros sur la boutique du site:  https://www.harryfayt.com/store

Pour en savoir plus

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Présentation : https://www.relations-publiques.pro/wp-content/uploads/pros/20220810103701-p3-document-wpdy.pdf

Découvrir le livre : https://www.harryfayt.com/produit/modern-icons-et-autres-reveries-subaquatiques/

Site web : https://www.harryfayt.com/

Facebook : https://www.facebook.com/HarryFaytunderwater

Instagram : https://www.instagram.com/harryfaytunderwater

LinkedIn : https://www.linkedin.com/in/harry-fayt-06a05533

“Appât de loup” d’Umbertha Richeux : un livre poétique unique d’autoportraits de personnages imaginés dans des lieux abandonnés

Pour la première fois, la modèle est aussi photographe…

« Appât de loup, c’est la réunion d’autoportraits de personnages imaginaires.

C’est un voyage dans le temps au cœur d’une Europe abandonnée.

C’est aussi la persistance d’un silence tout juste perturbé par les pas d’une femme, une seule et même femme jouant mille et une autre quelques instants.

Appât de loup, c’est des histoires. Des histoires publiques, privées et intimes.

Des histoires de poésie. Des histoires sans parole. Des histoires de cœur. »

Umbertha réalise des autoportraits dans des lieux abandonnés à l’aide d’un déclencheur, toujours en lumière naturelle.

Les livres existants sur le thème de modèles en friche se comptent sur les doigts d’une main.

Que la modèle soit elle-même la photographe, cela ne s’est tout simplement jamais fait. Ce livre est donc une première en son genre.

Ces autoportraits ne sont pas de simples autoportraits. Umbertha réalise des « autoportraits de personnages imaginaires » comme elle le dit.

Une femme qui en joue 1001 autres. Des femmes avec des chevelures de feu, de cendre, de ciel, habillées en tenue de soirée, en tulle ou de leur nudité.

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Une invitation à l’humanité à travers 150 photos

Une seule et même personne mais tant de personnages différents…

Dans ce livre singulier, le photographe et le modèle ne font qu’un.

Au fil des pages, les lecteurs découvrent un univers à part, un style unique dans lequel le corps fait aussi partie du décor.

Le dénudé est discret et atemporel. Les morceaux de tissus forment comme un voile de pudeur. Les robes sont simples. Ici, nous sommes en intimité, de celle où chacun peut se retrouver.

Il me serait agréable que « Appât de loup » puisse se retrouver dans toutes les bibliothèques des rêveurs, des amoureux des images, qu’il soit une porte vers une forme d’évasion.

Umbertha

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Le mot de Jonk, l’éditeur

“Umbertha réalise des autoportraits de personnages imaginaires dans des lieux abandonnés.

Ses photos ne tombent jamais dans la facilité ou la vulgarité. Elles sont sublimes, pleines de sensibilité, de légèreté et de poésie.

J’ai initialement lancé ma maison d’édition pour publier uniquement mes propres projets. Une fois la machine lancée, je me suis dit qu’il était dommage de ne pas publier également des artistes dont j’aime le travail. C’est ainsi que j’ai proposé à Umbertha d’être le deuxième projet de Jonk Editions.”

Extraits

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« Du charme de la ville, s’échapper.
Du tumulte de la rue au simple bruit d’un craquement d’un plancher.
Appât de loup, une évasion dans un monde abandonné.
S’engouffrer dans un Orient-express déserté,
Pénétrer sur la pointe des pieds au cœur d’une usine désaffectée,
Emprunter le pas des absents au sein d’une villa sans toit,
Se frayer un chemin dans les couloirs gigantesques d’un château dévasté,
Gravir des escaliers improbables,
Se poser délicatement dans un fauteuil poussiéreux, à une table vacillante, devant un bureau marqué
par l’histoire, sur un lit bancal,
S’étendre face à une cheminée éteinte,
Se recueillir dans l’âme des ruines d’une église,
Embarquer dans un avion dépourvu de moteur,
Envisager un camion submergé d’une végétation dense.
Suspendues dans l’espace et le temps, des silhouettes vous guident dans chacun de ces lieux en rupture.
Des femmes à la chevelure de feu, de cendre, de ciel, vêtues de robes de bal, de tulle ou de leur nudité.
Appât de loup est un recueil d’autoportraits de personnages imaginaires au cœur d’un monde silencieux.
En parcourant ce livre, en feuilletant ces pages, en vous arrêtant sur certains clichés, vous pourrez percevoir, dans chacune des histoires, qu’elles soient publiques, privées ou intimes, une sérénité certaine, l’attachement profond à ce qui fut et qui demeure dans nos cœurs.
À notre abandon. »

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A propos d’Umbertha

Issue du monde de la BD, Umbertha change de voie quand un accident de la route l’empêche de dessiner. Elle s’oriente alors vers le droit et devient avocate.

En 2012, elle tombe sous le charme d’une ruine et une nouvelle aventure commence… Elle réalise qu’à l’aide de sa silhouette, elle peut faire naître des personnages imaginaires, ici même, avec la prise de vue.

Elle devient Umbertha.

Le livre “Appât de loup” est né de l’envie de partager, de semer de la poésie dans l’esprit, une évasion avec autrui.

En début de cette année 2021, Jonk, ayant déjà réalisé plusieurs livres, a fait naître ce projet et Umbertha lui a emboité le pas avec enthousiasme.

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Informations Pratiques

  • Publié par Jonk Editions ;
  • ISBN : 978-2-9576450-1-5 ;
  • Format : 24.5 x 24.5 cm ;
  • Couverture rigide ;
  • 160 pages ;
  • 150 photos ;
  • 3 chapitres: storia pubblica, storia privata, storia intima ;
  • Prix : 32€.

Pour en savoir plus

Site web : https://jonk-editions.com/

Facebook : https://www.facebook.com/umberthaboiteaimage

Instagram : https://www.instagram.com/umbertha/

Beaux Livres : “Paysâmes” de Johanne Gicquel, le regard d’une ex-paysanne sur les femmes qui ont épousé la terre

Un livre de clichés et de mots mêlés 

Du texte (conjugué au « je ») pour raconter des femmes ayant épousé la Terre (bretonne).
Des clichés (pas clichés). Du noir et du blanc pour dire les gris de la vie, raconter la vie dans les campagnes, raconter celles qui ont fait le choix (exigeant) de nourrir les autres.

“Paysâmes” est un livre singulier et hors-du-temps, qui sonne à voir toutes ces “invisibilisées” qui “font”, en pensant les Autres, en pensant la Planète. Ici, ce sont des femmes qui ont fait le choix – exigeant- de nourrir les autres.

Un univers que Johanne Gicquel connait bien, pour avoir été, elle aussi, paysanne. Ses textes, entre coups de gueule et chansons d’amour, disent la vie tout court.

Préfacé par la romancière et poétesse Marlène Tissot, ce livre donne à voir en 10 portraits 11 femmes, enrichis par les 2 poèmes de Yann Morel et 1 complémenterre qui fait écho avec l’actualité en apportant des éléments de connaissance et de compréhension du monde agricole.

L’idée n’est pas de sacraliser – parce que tout est toujours complexe, parce que rien n’est simple – mais d’apporter un regard humain sur d’autres humains. Car en matière d’agriculture, tout est blanc ou noir (soit les paysans sont accusés d’être des pollueurs, soit ils sont encensés). Bref, si le choix a été fait du noir et blanc, c’est aussi pour dire tous les gris de la vie.

Johanne Gicquel

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Un livre pour les femmes et pour les hommes (les leurs ou pas)

Paysâmes s’adresse à tous ceux qui veulent savoir ce qu’il y a dans leurs gamelles (celle des animaux et la leur).

Aux amoureux des bêtes à poils ou à plumes (les bêtes).

Aux Bretons, ceux d’ici et d’ailleurs, ceux de cœur.

A ceux qui aiment le pain (et les boulangères).

A ceux qui aiment les petites histoires (et la grande aussi).

Aux jeunes (ou pas) qui veulent épouser la Terre, pour un temps ou pour toujours (le temps d’un mariage ne se décrète pas).

A ceux pour qui le bonheur est dans le pré (et qui en oublient la gadoue).

A celles et ceux en devenir (en pensant à leur planète).

Paysâmes est un livre très personnel, que Johanne a mené d’un bout à l’autre : photographies, textes (hors 2 poèmes de Yann Morel), maquettage. Pour être libre du contenu du livre, de la forme, du fond. Car derrière la simplicité du propos, du ton adopté direct, c’est l’agriculture qui est interrogée (ses enjeux, locaux, nationaux, environnementaux, sociaux, …) – sujet ô combien polémique. A juste titre, on le comprendra dans le livre.

Et parce qu’elle a été 10 ans les mains dans la pâte et les pieds dans la terre, parce qu’elle a grandi dans ce milieu – rural, rude parfois, misogyne plutôt -, elle en est arrivée à se dire : oui, un livre sur l’agriculture, la vie des champs (il était dans sa tête depuis 12 ans) s’impose mais un livre qui donne à voir des femmes, des faiseuses. Pour croiser le regard.

Au-delà des portraits, la partie complémenterre du livre retrace 60 ans d’agriculture, depuis l’après-guerre. Un contenu qui montre pourquoi ce monde est devenu hyper-intensif et productiviste en région Bretagne, tout particulièrement.

Comprendre hier, pour saisir aujourd’hui et dessiner demain.

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Une démarche artistique affirmée

Le style de Johanne est atypique et multi-facettes, à son image.

Au niveau de la photographie, elle refuse les poses et les artifices. Ses clichés sont pris sur le vif, pour mieux refléter la vérité des conditions de travail de celles qui le font. Ils sont donc une valeur ethnographique. Avec, toujours, une grande exigence au niveau du graphisme.

L’écriture s’inscrit quant à elle sur plusieurs registres, entre textes bruts et poèmes, avec la volonté de poursuivre la mise en musique de textes (du livre ou pas, d’autres sont en attente). Pour écouter le 1e morceau composé et chanté par Philippe Pastor, c’est par ici : https://www.johannegicquel.com/paysames/miseenmusique/

Ce choix de la mise en musique a été fait par défi, jeu, envie, et motivée également par l’idée de toucher un autre public - moins lecteur peut-être, par envie de toucher au cœur. 

Sommaire

Préface

Intro

Paysâmes

Regard de femmes

  • Des images des clichés
  • De l’histoire qui nous fait
  • Mémé
  • Mémère
  • Au nom de la terre et de la famille

dessinRencontres

  • Gene
  • Stéphanie
  • Cécile
  • J’ai vu orange j’ai vu rouge
  • Enora
  • Fabienne
  • Christiane
  • Aziliz
  • Mon châtaignier mon dragon
  • Audrey lauriane
  • Ma paysanne
  • Chants de Terre – Yann Morel
  • Martine
  • Pollution – Yann Morel
  • Humeur noire
  • Françoise
  • (note)

Complementerre

  • Paysâmes du choix des mots
  • Femmes des terres bretonnes
  • Dis tonton
  • Hey Jo
  • 2020 je tu elles
  • Essenti(elle)s

Ultimes notes

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Extrait

“J’ai voulu écrire sur les femmes – celles qui ont choisi d’épouser la Terre – parce que je suis une femme, parce que j’ai été, durant 10 ans de ma carrière, paysanne. Oui, j’ai fait mien ce mot – il n’a de sens ici que celui originel « celui d’un pays ».

Ce livre ? Je le porte depuis une douzaine d’années. Ce n’est donc pas – peu s’en faut – un ouvrage entrepris parce que ce serait à la mode, vendeur, bref, opportuniste.

Il y a 12 ans, je cultivais mes précieux légumes, je pâtonnais, je suais – au champ, au fournil –, j’aimais ça. J’aimais aussi expliquer mon, mes, nos métiers. Envie constante de partager des tranches et des tronches de vie.

Bref. Les années ont passé et la vie – hasard ou pas – m’a ramené ce projet de papier en pleine face. La projection d’un film – qui bouscule –, l’intérêt manifeste et circonstancié pour l’agriculture locale, qualitative [...]. Et puis, reste ce constat, flagrant, du déficit de culture terrienne. Epoque à la fois hyper et dé-connectée. Déconnectée de la nature, des réalités du temps – qu’il fait, qui passe –, des contingences matérielles, une époque éloignée, pour beaucoup, de celles et de ceux qui font l’agriculture et qui, pourtant – qu’y a-t-il de plus précieux –, les nourrissent.

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Le projet de livre réémerge donc. Son contenu évolue. De la photo, du noir, du blanc, pour dire tous les gris de la vie. Des textes, du « je », usé non par pur égotisme mais pour me réapproprier une parole souvent (auto-)confisquée. Des textes peut-être moins naïfs que je ne les aurais écrits il y a 10 ans, si tant est qu’ils aient pu être naïfs. Disons que, même si je suis née dans la marmite du parfait productivisme intensif breton, consciente des enjeux (locaux, territoriaux, sociaux…), il manquait l’expérience, le vécu.

La vie est passée par là, avec ses satisfactions, ses galères, ses réussites [...]. Oui, les pieds dans la terre, parfois dans la merde – disons-le –, ça ouvre les yeux, et rudement, sur les réalités du métier.

Bref. 2020. J’ai eu envie de croiser le regard et le faire avec des femmes – celles qui « pensent » leur métier, serais-je tentée d’écrire. Présomptueux ? Chacun jugera. J’ai eu envie de les raconter, elles, de les dire en images et en mots, et de fait, c’est une agriculture – bretonne, féminine – qui se dévoile.

Alors, vas-y.

Raconte-toi.

Raconte-moi.”

A propos de Johanne Gicquel, artiste et auteure (désormais) dans les herbes

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Johanne a grandi dans une ferme, une des plus grosses de Bretagne, à l’ombre d’un oncle leader de sa filière. Un seigneur de la Terre – certains le pensaient.

Attachée à la nature et à l’écologie (sa formation), elle a accompagné des paysans durables, bio, pendant plusieurs années. Puis elle a quitté ce métier de chargée de mission pour chausser les bottes. Par choix, par “conscience”, elle est devenue paysanne. Elle a vécu ainsi pendant 10 ans, entre champs et fournil.

Johanne est ensuite passée de l’agriculture à la culture tout court. Aux arts et aux livres. Par goût pour ouvrages de papier, pour raconter l’époque à sa façon : simple, directe, en mêlant les mots et les images.

Avec une ambition :”œuvrer” à faire connaître l’Autre (au sens nature ou humain).

Aujourd’hui, dans la continuité de Paysâmes, Johanne aimerait monter une exposition et développer un podcast pour parler des faiseuses, afin de valoriser la matière collectée, écrite et composée (dimension musicale du projet).

Elle souhaite aussi poursuivre le développement de sa maison d’édition, qui compte déjà 5 autres publications (1 conte pour enfant et 4 livres dans la collection Bulles de Vie pour raconter la nature environnante).

Informations Pratiques

“Paysâmes” de Johanne Gicquel

  • Dimensions : 20 x 30 cm
  • Impression en Ille-et-Vilaine sur du papier FSC et PEFC. Beau et brut.
  • 244 pages
  • 910 g
  • Prix : 29,00 €

Pour en savoir plus

Site web : https://www.johannegicquel.com/paysames

Commander Paysâmes, dans la boutik en ligne  : https://www.johannegicquel.com/boutiklivres/paysames/#cc-m-product-14325058532

Site web Johanne Gicquel : https://www.johannegicquel.com/

Facebook : https://www.facebook.com/oplurielle/

Instagram : https://www.instagram.com/oplurielle/

LinkedIn : https://www.linkedin.com/in/johanne-gicquel-856455170/

“De mon balcon. Chroniques d’un confinement parisien” du photographe Philippe Enquin, un beau livre avec un préambule de François Morel

Le confinement du Printemps 2020 est une expérience qui marquera la mémoire de tous les Français.

Mélange de sidération, de gravité, mais aussi de solidarité et d’espoir, il constitue un ancrage émotionnel pour tous : très clairement, il y a un « avant », un « pendant », et un « après » confinement.

A Paris, le confinement a donné lieu pendant 2 mois à des scènes singulières, tendres et humaines.

Philippe Enquin, jeune photographe de 85 ans, a eu l’idée dès le début d’éditer un livre de photographies prises de son balcon.

Philippe Enquin saisit la générosité, la bienveillance, les petits gestes du quotidien, immenses et minuscules, quand l’épidémie tourmente la planète.

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Un témoignage unique du confinement de printemps

Peu à peu, Philippe Enquin a pris conscience de la chance unique qu’il avait de pouvoir observer de son balcon, du deuxième étage, des scènes reflétant toute la palette des émotions, des scènes pleines d’humanité.

Seul ce confinement pouvait les révéler.

Il souligne :

Les conditions étaient idéales : presque pas de circulation, peu de passants et même peu de vélos (au départ), sans parler de ce printemps splendide d’une luminosité exceptionnelle dans un Paris limpide.

Impossible de trouver ces conditions réunies habituellement, sauf un dimanche matin, et encore !

Mais il n’y avait pas que les conditions matérielles qui étaient particulières. Les conditions « spirituelles » l’étaient tout aussi, et Philippe a ressenti dans cette période une atmosphère de gravité et de fraternité très singulière.

Pour preuve, les gestes et les sourires échangés avec certains passants inconnus, la communion avec les voisins à l’occasion de l’hommage de 20 heures, toutes scènes impossibles à imaginer en temps normaux.

Ce beau livre légendé et parsemé de bons mots est un véritable témoignage artistique, mémoriel, photographique, sociétal, historique, culturel, et même touristique.

Il constitue un merveilleux cadeau à offrir à quelqu’un que l’on aime, ou à s’offrir à soi, pour garder toujours auprès de soi ce témoignage et revivre toutes les émotions qui sont rattachées à ce moment de vie si singulier, tant personnellement que collectivement.

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Un fragment d’une tranche de vie qui résonne en chacun.e de nous

Il a fallu 3 mois à Philippe et à son ami Carlos Schmerkin, qui a conçu et réalisé tous ses précédents ouvrages, pour donner vie à ce projet un peu fou.

Philippe précise :

J’ai dû prendre en tout plus de 3 000 photos. Les 140 retenues illustrent, grâce à la complicité souvent volontaire de mes modèles, les étincelles d’humanité que j’essaye de saisir.

Ensemble, ils ont travaillé les photos, en ont ajoutées d’autres prises avec un iPhone pendant les “itinérances” quotidiennes de Philippe dans les quartiers de la République et du Canal Saint-Martin.

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Puis ils ont affiné les légendes pour accentuer les touches d’humour et les clins d’œil. Le poète anthropologue José Muchnik est également intervenu pour commenter l’étonnant cliché de ce mystérieux homme masqué entièrement vêtu de noir.

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José Muchnik souligne :

Cette image restera sans doute comme une des images symbole de période noire que nous vivons, noire et inclinée, comme l’homme qui traverse la rue.

Car l’oeil de Philippe a su saisir toute l’étrangeté de cette période et la transformer en quelque chose de joyeux et d’émouvant : les courses du quotidien pour aller acheter du pain ou du papier toilettes, les scènes de tendresse et les moments de joie fugace, le rituel de 20 heures, la générosité envers les SDF, la limpidité d’un Paris sans flots de voitures ou de piétons, la vie qui suit son cours, la préparation du déconfinement…

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Un préambule de François Morel

Ses photos ne sont pas dans l’air du temps, elles sont dans le souffle de l’instant, quand la vie ne se résigne pas à baisser les bras, quand l’humour devient un acte de courage (…).

François Morel est comédien, auteur, chanteur, metteur en scène et chroniqueur sur France Inter depuis 2009. Son personnage dans les Deschiens (sur Canal+, de 1993 à 2000) l’a fait connaître du grand public. Il a reçu en 2019 le Molière du meilleur comédien dans un spectacle de théâtre public ainsi que le Prix Humour de la SACD.

Son premier roman « C’est aujourd’hui que je vous aime » est sorti en mars 2018 aux Editions du Sonneur. Le livre « Tous les Marins sont des chanteurs » écrit avec Gérard Mordillat et Antoine Sahler est sorti en octobre 2020 chez Calmann Lévy.

François a écrit avec son fils Valentin « le Dictionnaire amoureux de l’Inutile », sorti le 1er octobre 2020 chez Plon.

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Une préface d’Alain Kleinmann

Les photos de Philippe Enquin sont un document précieux sur ces moments si singuliers et un témoignage irremplaçable.

Alain Kleinmann est un peintre contemporain largement reconnu, né en 1953 à Paris où il vit et travaille.

Depuis plusieurs décennies, son activité plastique sur le thème de la mémoire constitue dans beaucoup de pays une référence majeure dans ce domaine. Son œuvre fait appel à une large palette de techniques : travaux sur toiles, sur papiers, sur objets, bronzes, installations, lithographies, gravures…

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Une trentaine d’ouvrages est parue sur son travail et il a exposé dans de nombreuses galeries et institutions internationales ainsi que dans plus d’une cinquantaine de musées : Paris, Milan, Berlin, Londres, Barcelone, Madrid, Lausanne, Stockholm, Copenhague, Bruxelles, La Havane, Buenos Aires, New York, Berkeley, Séoul, Tokyo, Moscou… Il a créé avec Hastaire le groupe international de peintres « Mémoires ».

Il est l’auteur de différents écrits autour de la peinture, notamment « La Peinture et Autres Lieux » et « Interrogations sur l’art contemporain », ainsi que de nombreux entretiens et préfaces. Il a été nommé en 2016 Chevalier de la Légion d’Honneur par le Premier Ministre pour l’ensemble de son œuvre.

A propos de Philippe Enquin, photographe

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Philippe Enquin naît à Buenos Aires en 1935. Avec son épouse, Gladys Aslan (décédée en 2012) ils s’installent en France en 1962. Il effectue toute sa carrière comme consultant en Stratégie et Management, et cofonde le MID (Marketing, Innovation et Développement).

À la fin de sa carrière professionnelle, Philippe qui a deux enfants et cinq petits-enfants, commence à prendre conscience de son appartenance au peuple Juif. Avec la découverte de centaines de lettres et de photos, cette prise de conscience l’amène à élaborer le livre « Mots croisés, trois générations de Juifs argentins », publié en Argentine et en France (La Cause des Livres, 2014), qui raconte la passionnante histoire de ces migrants nés en Russie et installés en Argentine, lui permettant de révéler ses trois identités : Felipe « l’Argentin », Philippe « le Français » et Frumkin « le Juif ».

Depuis quelques années, la photographie devient sa principale activité. En janvier 2018, la Galerie Argentine accueille sa première exposition « Rencontres éphémères ». En octobre de la même année, il participe à l’exposition « Mémoires libres : Résistances » à la mairie de Guyancourt. En novembre 2018 il publie « Instants d’humanité » (Lonely Star Éditions), un beau livre de portraits, reflet de ses voyages à travers différents continents.

Avec « De mon balcon », il trouve sans doute sa réelle vocation… celle de « Chroniqueur Photographe ! »

Informations pratiques

“De mon balcon. Chroniques d’un confinement parisien” de Philippe Enquin.

  • Sortie : Novembre 2020
  • ISBN 978-2-9575410-0-3
  • 106 pages
  • Prix : 26 €

Pour en savoir plus

Site web : https://www.philippeenquin.net/livre/

Editions Communiquance : s’offrir une immersion dans les plus beaux pays du monde devient enfin accessible à tous grâce aux livres interactifs tactiles

Encore marginal en France, le marché du livre interactif est appelé à prendre de l’ampleur dans les mois et les années qui viennent.

En effet, en raison de la crise sanitaire actuelle, la demande pour de nouveaux supports explose. Le livre audio cartonne (+20 à 25 % en 2020 selon Deloitte) et les lecteurs.trices sont à la recherche de nouvelles découvertes sensorielles, beaucoup plus immersives.

Il ne s’agit plus simplement de lire un livre mais bien de “vivre” une expérience enrichissante et captivante, qui permette de se cultiver autrement.

Le livre interactif, à la fois tactile et enrichi de photos & vidéos, propose une plongée inédite à l’intérieur de pays, de lieux d’exception, d’événements… pour mieux surprendre, émerveiller, mais aussi donner à comprendre et rendre le savoir accessible à tous.

Pionnières en France dans ce domaine, les Editions Communiquance proposent 12 livres interactifs à des prix tout doux (moins de 4€).

Pour accompagner tous ceux/celles qui ne pourront pas partir en voyage cet hiver en raison de la crise sanitaire actuelle, elle propose une sélection de 5 titres à offrir et à s’offrir pour s’évader à l’autre bout du monde sans avoir besoin de bouger de chez soi. 

 

Logo Communiquance carré

 

Une expérience interactive bluffante

Qu’on se le dise : un livre interactif tactile n’a rien à voir avec une lecture sur une simple liseuse de type Kindle ou Kobo. Ces supports permettent uniquement de tourner les pages, et ne respectent même pas la maquette des livres.

Via les iPad, iPhone et ordinateurs Mac (Apple), il est possible d’aller beaucoup plus loin et de profiter d’interactions riches telles que l’agrandissement des images, les schémas animés ou les vidéos.

Premier éditeur de livres interactifs tactiles lisibles dans cet univers, Communiquance propose 12 titres en lignes et 5 collections (Voyages, reportages, expression, essai et communication).

Avec de vrais avantages pour les lecteurs :

  • Des prix très attractifs (moins de 4€) ;
  • Une démarche ultra-qualitative au niveau des textes, des photos et des vidéos ;
  • Des sujets très variés pour correspondre à tous les profils ;
  • Une approche pédagogique : la présentation est lisible et claire ;
  • La mise à jour gratuite ;
  • Le paiement sécurisé.

Pour découvrir toute la puissance des livres interactifs, le mieux est de débuter par les Collections Voyages ou Reportages, qui sont les plus spectaculaires.

Jean-Luc Michel, le fondateur, souligne :

Les musées de l’Espace, le Bénin, La Louisiane, l’Egypte des Pharaons, Le Caire, le Vendée Globe, Jeeps et Jeepers, Les Arts Premiers… chaque livre permet aux lecteurs.trices de découvrir autrement un pays ou un événement, tout en profitant d’une qualité “Livre d’Art”.

Idéal pour préparer son séjour, explorer des contrées lointaines, ou encore se remémorer ses plus beaux souvenirs de voyages !

Zoom sur une sélection de livres voyages pour s’évader et rêver cet hiver

Tous les livres présentés dans cette sélection sont proposés à 3,99 €.

L’EGYPTE DES PHARAONS

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Devant son succès, ce best-seller de la collection Voyages est en cours de réédition. N’hésitez pas à l’acheter, la nouvelle édition sera envoyée automatiquement aux acheteurs.

Le voyage commence par la Basse Égypte avec la nécropole de Saqqarah, Gizeh et ses pyramides et se poursuit avec la Haute Égypte avec le temple de la femme Pharaon Hatchepsout, les vallées des Rois, des Reines, des Nobles et des Artisans, Abou Simbel, les grands temples de Karnak, Edfou, Philae, Kom-Ombo, Medinet Habou, sans oublier Assouan, les iles Éléphantine, Saluga et Séhel, la vie le long du Nil et même les mirages du désert.

Ses plus :

  • des conseils photographiques pour rapporter autre chose que des photos souvenirs ;
  • des informations qui n’ont jamais été abordées en profondeur comme la chronologie des dynasties, leurs durées comparées aux 4584 années de civilisation, la complexité de la notion d’âme et même des conseils pour promouvoir le tourisme dans un pays soumis à de grandes difficultés ;
  • un format interactif pour agrandir plus d’une centaine de photos et admirer la finesse des hiéroglyphes ou des parchemins ;
  • un texte instructif mais jamais pesant qui apporte des informations originales et essentielles sur la chronologie, la culture et la psychologie de la plus longue civilisation que la Terre ait portée.

LE CAIRE ET L’EGYPTE MODERNE

Couverture Le Caire

Ce nouveau livre montre la vie quotidienne dans un grand pays musulman. Il complète idéalement le livre interactif “L’Egypte des Pharaons” en offrant notamment une excursion dans le Centre du Caire.

Les voyageurs vont découvrir l’étonnante diversité de l’architecture des mosquées sur un millier d’années, retrouver les traces encore bien présentes des Chrétiens coptes, s’offrir une immersion en toute sécurité dans une grande cité arabe avec ses marchés permanents et bon enfant, et pour les plus aventureux, connaître le frisson de marcher dans des quartiers où très peu de touristes se rendent mais dans lesquels Sœur Emmanuelle a consacré plus de 30 ans de sa vie pour la dignité de leurs habitants.

Ses plus :

  • 172 pages, 360 photos, des sons et des vidéos pour tout savoir sur 2000 ans d’histoire égyptienne. Par exemple, saviez-vous que l’Egypte fut chiite sous la dynastie des Fatimides ? Quelles furent les relations entre les Mamelouks et les Ottomans ?
  • Un mix parfait entre des explications de première main, puisées à des sources historiques et universitaires, et des conseils pratiques sur la photo.
  • Des éléments de réflexion sur la politique, le fondamentalisme religieux et le développement économique pour mieux comprendre ce pays en pleine évolution.

LE BENIN

Couverture Bénin

Le Bénin est un « petit » pays de 11 millions d’habitants, mais il est représentatif de beaucoup d’autres en Afrique de l’Ouest.

Au fil de ses 177 pages, les voyageurs découvrent son habitat le plus célèbre, les Tatas Sombas, sortes de petits châteaux forts en terre, ses cités lacustres hors du temps où les habitants vivent sans électricité et sans adduction d’eau, ses éleveurs nomades du nord, les Peuls, mais aussi ses grandes villes comme Porto Novo et ses musées, Abomey et son Palais royal, Tanguieta en bordure du parc animalier de la Pendjari, les collines de Dassa et les sentiers des paysans, Natitingou et ses villages perdus dans la brousse.

Le Bénin, c’est aussi le berceau du vaudou, bien éloigné des caricatures que l’on en fait trop souvent.

Ses plus :

  • Près de 400 photos et des vidéos ;
  • Des entretiens passionnants avec des prêtres du Fa, qui est l’art de la divination vaudou, un conservateur de musée, un grand artiste plasticien, beaucoup d’habitants et de paysans et enfin avec un Roi régnant sur 30 000 sujets ;
  • Une autre vision sur l’Afrique pour mieux comprendre son dynamisme et sa capacité à se développer à sa façon, sans que les pays riches lui imposent leur manière de voir, notamment en agriculture comme l’a montré le mouvement Songhai.

LA LOUISIANE

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La Louisiane est une ancienne terre française en pleine Amérique. On y croise des Américains cajuns qui roulent en gros pick-ups, parlent encore français et aiment notre pays. Les dégâts de l’ouragan de 2005 sont effacés, la sécurité est totale pour les touristes. C’est une région de contrastes où l’affirmation de son identité n’est jamais agressive, où la langue française reprogresse et le mélange des cultures ou des ethnies n’est pas vécu comme une régression mais comme une richesse pour l’avenir.

Ce livre de la collection Voyages vous fait découvrir les douces lumières de La Nouvelle Orléans, les bayous et leurs alligators, les grandes demeures coloniales et les traces indélébiles de l’esclavage, les maisons sur pilotis, les chambres d’hôtes et la qualité de l’architecture louisianaise.

Ses plus :

  • 3 chapitres consacrés au jazz, cette musique qui exprime la douleur et l’espoir, l’angoisse et la joie. Il ne pouvait naître qu’à la Nouvelle-Orléans avec ses harmonies occidentales et ses rythmes de l’Afrique, le carrefour et le métissage de toutes les musiques, la réunion de la tradition et de la réinvention permanente ;
  • Plus de 350 photos exclusives commentées, des sons originaux, des vidéos et des textes pour découvrir ou revivre toute la richesse et la diversité de la Louisiane.

LES GRANDS MUSEES DE L’ESPACE

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Sorti cette année dans la collection Reportage, cet ouvrage est le premier livre interactif sur la conquête de la Lune et l’histoire de l’aéronautique.

Le voyage commence avec la capsule Apollo 10 hébergée à Londres dans un musée qui illustre toute l’histoire de la conquête spatiale. Il se poursuit à New York sur le porte-avions Intrepid, ancré dans l’Hudson en plein Manhattan, qui abrite la navette Enterprise.

Ensuite, cap vers le plus grand musée aérospatial du monde, à Washington et dans son annexe de Chantilly en Virginie : la navette Discovery, l’avion X1 qui a franchi le mur du son, des capsules, Mercury, Gemini, Apollo et des éléments du SpaceLab. Enfin, après un détour au musée de Titusville à Cap Canaveral, on découvre le Kennedy Space Center avec Apollo 11, une fusée Saturn V, la navette Atlantis et des quantités d’objets liés à la course à la Lune.

Mais le plus extraordinaire est sûrement la visite du Kennedy Space Center avec un astronaute, Don Thomas, qui est allé quatre fois dans l’espace. Avec lui, nous accédons au simulateur de décollage, nous visitons la plage privée des astronautes, et au cours du repas pris en sa compagnie, nous recueillons plein d’anecdotes sur cette fantastique aventure.

Grâce à Don Thomas, le « New Space », animé par Blue Origin et surtout SpaceX est aussi abordé au travers de leurs grandes innovations, toujours pilotées par la NASA.

Ses plus :

  • Un livre qui séduira tous les amateurs de l’aventure spatiale ;
  • 350 photos toutes légendées en détail et une dizaine de vidéos ;
  • Un texte très complet qui retrace toute la conquête spatiale, la remet en perspective et donne les précisions historiques et techniques indispensables pour mieux comprendre le futur retour sur la Lune et le départ vers Mars.

Dans la même collection, pour les amoureux de la voile, LE VENDEE GLOBE

Couverture Vendée

L’avis des lecteurs.trices

« Des photos extraordinaires et une mine de renseignements pour un voyage fabuleux. Merci pour cette superbe édition. »

« … Un voyage génial ! Je viens d’acheter ce voyage en Louisiane et je ne regrette pas : les images sont superbes et nous apprenons des tas de choses… Merci beaucoup pour ce bel iBook »

« L’Egypte dans votre iPad. Tout y est pour donner envie de découvrir l’histoire de cette civilisation. Bravo à son auteur. »

« Extraordinaire !» « Passionnant ! Pour les amoureux de voile et d’aventure. Textes et photos au top » 

 A propos de Jean-Luc Michel

Ancien Professeur des universités, Jean-Luc Michel est un auteur reconnu pour ses publications sur la communication.

Photographe et voyageur, ce baroudeur dans l’âme a fondé les Editions Communiquance pour rendre accessible à tous l’incroyable richesse des livres interactifs tactiles avec photos et vidéos.

12 livres ont déjà été publiés suivant une ligne éditoriale très exigeante : la maquette professionnelle est inspirée des livres d’art, les photos sont de très grande qualité et toutes les informations fournies sont ultra-fiables.

Aujourd’hui, les Editions Communiquance ambitionnent de continuer à se développer en publiant notamment de nouveaux talents qui vont tous bénéficier d’une rémunération attractive en droits d’auteur. Des collaborations avec des éditeurs traditionnels sont également à l’étude concernant des projets précis.

Pour en savoir plus

Découvrir la collection Voyages : http://www.communiquance.com/voyages.html

Plaquette : http://www.communiquance.com/ewExternalFiles/Plaquette%20Communiquance%20B5%202020%20BD.pdf

Site web : http://www.communiquance.com

Facebook : https://www.facebook.com/Communiquance-638575369588696

LinkedIn : https://www.linkedin.com/in/jean-luc-michel-5b402b4/