Rentrée 2024 : le centre de formation ALPA-is4a, spécialiste des métiers de l’agriculture et du commerce, lance deux nouveaux Bachelors en apprentissage

Depuis 2023, les Licences Professionnelles tendent à disparaitre :

  • Avant, il s’agissait de formations post-Bac+2. D’une durée d’un an, elles permettaient d’atteindre le niveau Bac+3.
  • Désormais, elles sont peu à peu remplacées par le BUT (Bachelor Universitaire de Technologie), un diplôme en 3 ans accessible dès le baccalauréat, avec des passerelles en cours de construction entre BTS et BUT.

Une situation qui pose de nombreux problèmes aux jeunes qui sortent de BTS ! En effet, il existe actuellement peu de solutions leur permettant d’intégrer directement une formation de niveau Bac+3, de type licence.

Les besoins sont particulièrement marqués dans les secteurs agricole, du commerce en produits alimentaires, et dans l’agrofourniture, dont les métiers sont aujourd’hui inscrits dans la liste des “métiers en tension” en raison de fortes difficultés de recrutement. En effet, dans plus de 7 cas sur 10, les employeurs sont confrontés à une pénurie de candidats (source : étude Ifop réalisée en 2023 pour la FNSEA).

Dans ce contexte, dès la Rentrée prochaine, l’ALPA-IS4A, un centre de formation spécialisé dans les métiers de l’agriculture, les métiers du commerce et du conseil en agriculture, lancera deux nouveaux diplômes de niveau 6.

Réalisés en apprentissage, ils ont été spécialement conçus pour répondre aux attentes des jeunes du territoire :

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L’apprentissage, une solution adaptée aux enjeux d’aujourd’hui et de demain

Et si la solution la plus pertinente en matière d’emploi était… l’apprentissage ? L’année dernière, plus de 852 000 contrats ont été signés au niveau national, dans les secteurs privé et public, ce qui représente une hausse de + 2 % sur un an (source).

Un engouement qui s’explique par la dimension gagnant-gagnant de l’apprentissage :

  • Les jeunes vont se former et acquérir de l’expérience professionnelle, tout en obtenant un diplôme.
  • Les employeurs vont accompagner des jeunes qui seront opérationnels dès la fin de leur formation, ce qui permet de répondre efficacement aux besoins en recrutement.

C’est pour cela que les deux nouveaux bachelors proposés par l’ALPA-is4a s’effectueront uniquement en apprentissage.

Ce projet s’inscrit dans le cadre d’un partenariat avec FORMATIVES et vise à proposer un nouveau diplôme de niveau 6, enregistré au RNCP, à tous les jeunes qui souhaitent poursuivre leurs études à l’issue de leur BTS.

Bachelor Responsable du développement commercial

Les débouchés : ce diplôme permet d’exercer différents métiers tels que Chef(fe) de vente, Chef(fe) de secteur, Responsable de secteur, Responsable commercial, Responsable de développement, Responsable grands comptes, Responsable partenariat, et Chargé(e) d’affaires.

Le responsable du développement joue un rôle central dans le développement de l’entreprise. Il a une vision globale de la stratégie de l’entreprise et a pour objectif de déployer :

  • Une stratégie de développement axée sur les tendances, nouveaux modes de vie et de travail, nouvelles réglementations, nouveaux outils,
  • Une stratégie marketing dans le but d’apporter de nouveaux marchés et de développer le portefeuille clients,
  • Sa créativité et des compétences techniques pour faire évoluer ou inventer de nouveaux produits ou services,
  • Des outils, matériels, logiciels pour assurer la transformation numérique permettant d’assurer sereinement le développement de l’entreprise,
  • La recherche de financements pour assurer les projets de développement,
  • Une communication ciblée sur développement du potentiel d’affaires ou les réseaux sociaux pour accroître la notoriété de l’entreprise et développer son réseau professionnel,
  • Des techniques commerciales afin de proposer des solutions pour assurer la croissance de l’entreprise,
  • Des tableaux de bord pour assurer un suivi de l’activité et un reporting, dans un souci d’amélioration de la rentabilité.

Bachelor Responsable du Développement – Multiperformance de l’Entreprise Agricole

Les débouchés : ce diplôme permet d’exercer les métiers de Conseiller(e) technico-commercial, Chargé(e) de mission RSE, Animateur(rice)-conseiller(e) dans le domaine agricole, Chargé de projet développement durable et Agent relation culture.

Le Bachelor RDD MEA couvre un large éventail de responsabilités allant de l’évaluation de la durabilité agricole à la promotion des produits, en passant par la coordination de projets et le développement des compétences numériques :

  • Évaluation et promotion de pratiques agricoles durables.
  • Gestion de projets d’amélioration agricole avec des outils de planification.
  • Évaluation des résultats des projets et présentation de rapports aux parties prenantes.
  • Développement des compétences numériques et anticipation des risques.
  • Optimisation du catalogue de produits pour améliorer le référencement.
  • Diagnostic RSE des produits pour respecter les objectifs organisationnels.
  • Mise en valeur des produits via des fiches techniques et accessibilité pour les personnes handicapées.
  • Proposition d’initiatives commerciales pour augmenter les ventes.
  • Utilisation de techniques de négociation pour stimuler les achats.
  • Promotion de produits via les réseaux sociaux et développement de partenariats pour élargir le portefeuille clients.

À propos de l’ALPA-is4a

Amélie Hemmer, Directrice Formation

Amélie Hemmer, Directrice Formation

ALPA-is4a est une association qui propose des formations dans les domaines de l’agriculture, du commerce et du conseil, du CAP au Bachelor, en apprentissage et en formation continue.

Son objectif : répondre aux besoins en compétences du secteur et former ses futurs professionnels.

Pour offrir un accompagnement à 360°, nous disposons notamment d’une ferme-école, d’un CFA, d’un lycée privé et d’un chantier d’insertion.

L’association est actuellement composée d’une quarantaine de collaborateurs répartis sur 2 sites (Haroué et Laxou).

La Directrice Formation, Amélie Hemmer s’est spécialisée dans les ressources humaines, et plus particulièrement dans le secteur de la formation, après avoir suivi un parcours de formation dans les sciences cognitives, l’informatique et la linguistique.

Les (grands) petits plus

  • Un suivi et un accompagnement individualisé tout au long du parcours de formation ;
  • Des interventions de formateurs et professionnels de terrain ;
  • Des apprentissages et travaux en mode projet ;
  • Une plateforme numérique ;
  • Des sorties pédagogiques à visée professionnelle.

En savoir plus

Les nouvelles formations :

Site web : https://alpa-is4a.fr/

Crise du monde agricole : louer les bâtiments inoccupés, la solution proposée par Mon Hangar qui permet aux agriculteurs d’augmenter leurs revenus.

Blocages des autoroutes, manifestations, lisier déversé… L’explosion de colère des agriculteurs semble avoir surpris tout le monde. Pourtant, cela fait des années qu’ils alertent sur leurs conditions de travail.

Quelles que soient les sujets de divergence entre les différentes organisations syndicales, elles s’accordent d’ailleurs toutes sur un point : il y a urgence à offrir une rémunération plus juste à ceux et celles qui nourrissent la France.

Concrètement, cela signifie qu’ils ont besoin de solutions simples et immédiatement opérationnelles pour mieux gagner leur vie.

À l’image de Mon Hangar, une start-up de l’économie sociale et solidaire qui a pris conscience du quotidien des agriculteurs depuis très longtemps. 

Pour les aider à gagner des revenus complémentaires, elle les aide à louer leurs terrains, hangars et entrepôts inexploités à des particuliers et des professionnels.

Depuis 3 ans, nous facilitons la vie de centaines d’agriculteurs en leur créant un revenu complémentaire à leur activité principale.

Joris Baco, le fondateur
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Mon Hangar, la solution de stockage rurale qui valorise la proximité

Mon Hangar, c’est avant tout un état d’esprit, la volonté de proposer un service citoyen.

Les particuliers et les entreprises à la recherche d’un lieu de stockage vont ainsi être mis en relation avec des agriculteurs disposant d’espaces libres. Les exploitations agricoles vont ainsi pouvoir se générer des revenus supplémentaires.

Ce concept innovant, issu de l’économie sociale et solidaire, permet de répondre aux enjeux d’aujourd’hui et de demain en insufflant une dynamique gagnant-gagnant.

Les agriculteurs et les artisans : profiter de revenus supplémentaires

Les exploitations agricoles, les artisans, et toutes les personnes disposant de bâtiments et d’espaces de stockage peuvent :

  • Publier leurs annonces en quelques clics ;
  • Réaliser une simulation pour estimer leurs revenus complémentaires à partir de quelques données : département, type d’espace et superficie.

Et c’est tout ! Dès que l’annonce est publiée, Mon Hangar se charge de tout : recherche de locataires, rédaction du contrat, facturation, paiement et service après-vente, sachant que le versement des loyers est garanti et sécurisé.

Les entreprises : une solution souple et flexible en phase avec leur politique RSE

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Flexibilité et économies

Sur Mon Hangar.fr, les TPE/PME et les grands groupes accèdent à des solutions adaptées à leurs besoins : à partir de 1 €/m²/mois, les entreprises peuvent louer des espaces de 50 à 5 000 m², de façon ponctuelle ou à long terme. Elles peuvent ainsi stocker facilement leurs véhicules, machines, matières premières et marchandises.

Solidarité et écoresponsabilité

En phase avec la politique RSE des entreprises, Mon Hangar est une alternative de proximité qui leur permet d’améliorer leur impact social et environnemental, en stockant au plus près du lieu de production par exemple. Le but est d’éviter les transports inutiles et la construction de nouvelles structures, alors même que le territoire en regorge. Diminuer son impact écologique est maintenant devenue une obligation légale, alors autant le faire en économie circulaire, en réutilisant les espaces existants !

L’hivernage des véhicules de loisirs devient abordable

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Mon Hangar, c’est aussi un coup de pouce au pouvoir d’achat, grâce à l’entraide. Les familles bénéficient d’une solution à moindre coût pour entreposer durant plusieurs mois leurs caravanes, camping-cars, voitures de collection et bateaux.

Avec, à la clé, de vraies garanties :

  • Des tarifs inférieurs à ceux des professionnels ;
  • Un service sécurisé, à l’écoute et à taille humaine ;
  • Une solution sécurisée et adaptée à vos besoins ;
  • De la flexibilité et du sur-mesure de 1 mois à 1 an sur toute la France.

Aux origines de Mon Hangar : une envie de donner du sens à l’entrepreneuriat

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Joris Baco est originaire de Perpignan. Après un Master en entrepreneuriat, il a travaillé dans l’équipe marketing de Webedia, le groupe qui détient notamment AlloCiné et jeuxvideo.com.

Entrepreneur dans l’âme, il a fondé la société Checklab, spécialisée dans le développement d’algorithmes de reconnaissances d’objets à partir d’une photo, pour laquelle il a réalisé une levée de fonds d’un million d’euros.

Il a ensuite créé Shopedia, une start-up proposant des solutions innovantes de e-commerce et de web-to-store, réussissant une fois de plus une jolie levée de fonds de 800 000 euros. Dans ses deux sociétés, Joris a géré une quinzaine de collaborateurs.

C’est en travaillant pour un grand groupe bancaire que Joris a commencé à côtoyer des agriculteurs et à mieux comprendre leurs problématiques. Cela l’a poussé à se lancer dans une troisième aventure entrepreneuriale, pour mettre ses compétences au service d’un projet utile.

Grâce au soutien de la BPI et d’investisseurs privés, Joris lance Mon Hangar début 2021. Implantée à Orléans, la start-up est accompagnée par l’incubateur Redstart et est hébergée au Lab’O à Orléans. Pour faire grandir Mon Hangar, Joris Baco travaille aujourd’hui avec une équipe de six personnes qui partagent ses valeurs.

Joris Baco souhaite aujourd’hui faire de Mon Hangar la référence du stockage rural, citoyen et éco-responsable en France. Pour ce faire, l’ambition est de multiplier par dix le nombre d’agriculteurs sur la plateforme pour atteindre les 5000 inscrits.

Ensuite, il envisage un développement à l’échelle européenne. Pour l’accompagner au quotidien et l’épauler dans son challenge, Joris s’est associé à Guillaume ROBIN, qui le rejoint sur les sujets commerce et marketing notamment. Guillaume a 39 ans et cela fait maintenant une dizaine d’années qu’il évolue au sein de l’écosystème digital.

Son côté autodidacte lui a permis de côtoyer des particuliers et des professionnels pendant ses dix premières années professionnelles. Par la suite, il a été associé pendant plus de 5 ans chez Touch & Sell, pionnier français du “Sales Enablement”.

Il a été le premier commercial de l’entreprise, puis a connu 2 levées de fond, pour finir directeur des ventes avec une équipe de 8 personnes, dans une entreprise passée de 5 à 35 salariés. Ce bourguignon d’origine a immédiatement trouvé du sens dans l’aventure Mon Hangar. En effet, c’était assez naturel pour lui de s’inscrire dans la politique RSE des entreprises, tout en permettant aux agriculteurs de diversifier les sources de revenus.

En savoir plus

Site web : https://monhangar.fr/

Facebook : https://www.facebook.com/MonHangar/

Instagram : https://www.instagram.com/monhangar/

LinkedIn : https://www.linkedin.com/company/monhangar-fr

Faciliter la transition énergétique des agriculteurs et des industriels : Climat sur-mesure fait rimer écologie avec économie dans tous les bâtiments

L’actualité française est marquée par des bouleversements qui peuvent impacter durablement notre économie :

  • La colère des agriculteurs qui, en raison de leurs faibles revenus (source), souhaitent une refonte de la réglementation et des dispositifs autour de leur activité ;
  • Le nouveau rapport de force qui bénéficie aux industriels français, à condition qu’ils agissent rapidement pour renforcer leur compétitivité (source).

Ces deux problématiques, a priori très différentes, ont pourtant un dénominateur commun : elles ne pourront pas être résolues en profondeur sans la mise en place d’un accompagnement pour aider ces entreprises à effectuer leur transition énergétique.

Car la transition énergétique, ce n’est pas que des contraintes ! Il existe des alternatives très concrètes et opérationnelles pour permettre aux agriculteurs et aux industriels de réduire leur facture énergétique tout en diminuant leurs émissions de CO2.

Climat sur-mesure (CSM) leur propose ainsi de repenser leurs installations en leur apportant des services de conseil et des solutions de gestion climatiques pour tous leurs bâtiments (rafraîchissement par évaporation, chauffage biomasse, ventilation et déshumidification).

Sa force ? Mettre en place des systèmes simples, innovants, économiques et écologiques. 

De beaux projets ont déjà été réalisés dans des entreprises qui ont su nous faire confiance. Aujourd’hui les conditions de travail ont été améliorées dans leurs locaux, grâce à nos solutions écologiques et durables.

 Victor Bernard, le fondateur

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Les grands acteurs de l’économie française ont rejoint le mouvement

Somfy, Veolia, Cofatech, Boche… Conscientes de l’importance du challenge que représente une transition énergétique réussie, de nombreuses sociétés françaises ont déjà fait appel à CSM pour adapter le climat de leur entreprise.

Un mouvement qui prend de l’ampleur, puisqu’en apportant quelques changements à leurs bâtiments, les agriculteurs et les industriels parviennent à :

  • Réduire leur impact environnemental ;
  • Et/ou améliorer les conditions de travail à l’intérieur de leurs bâtiments.

CSM multiplie ainsi les rencontres avec les acteurs de l’industrie et de l’élevage pour leur proposer des solutions innovantes et écologiques qui offrent un retour sur investissement optimum.

En aucun cas, nous ne souhaitons inciter nos clients à faire du « GREENWASHING », ni les rendre dépendants de prix inflationnistes ! Nous travaillons avec eux sur des projets ou l’ensemble de la chaîne de chaque installation a été étudiée et optimisée afin de réduire son impact environnemental et ses coûts.

Lutter contre la chaleur excessive : le rafraîchissement par évaporation

Le défi : gérer les enjeux liés au réchauffement climatique

Alors que l’été 2024 devrait atteindre des températures record (source), les scientifiques estiment que les années à venir seront sans doute les plus chaudes de l’Histoire. Ponctuellement, le seuil de réchauffement de +1,5°C devrait même être battu (source).

Pour les agriculteurs et les industriels, cela signifie que les températures à l’intérieur des bâtiments vont être difficilement supportables.

Une situation qui va impacter leur compétitivité et faire flamber les coûts du travail, tant ses répercussions sont nombreuses : mauvaises conditions de travail, baisse de productivité due à la chaleur, absentéisme, coûts de climatisation trop élevés, systèmes de production inadaptés à la chaleur, les difficultés de ventilation…

La solution accessible dès maintenant : le refroidissement adiabatique

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Le refroidissement adiabatique fonctionne par évaporation, lorsque l’air chaud entre en contact avec l’eau (par vaporisation ou panneau humide). Au contact de l’air chaud, l’eau s’évapore et l’énergie nécessaire à l’évaporation des particules d’eau est puisée dans les calories présentes dans l’air chaud. L’air chaud perd alors des calories entraînant une baisse de sa température.

Concrètement, il est ainsi possible de faire baisser naturellement la température à l’intérieur des bâtiments pour qu’elle passe de 40°… à 24° !

Les (grands) petits plus de cette technologie

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      • Simplicité et efficacité ;
      • Faibles coûts de fonctionnement ;
      • Retour sur investissement rapide ;
      • Système écologique ;
      • Renouvellement de l’air intérieur ;
      • Filtration de l’air entrant ;
      • Aucun risque sanitaire (légionellose) ;
      • Réponse au virus de la Covid-19 ;
      • Aucun fluide frigorigène ;
      • Structure garantie 10 ans ;
      • Tarif : à partir de 20€ HT/m².

Maîtriser la flambée des prix de l’énergie : le chauffage par biomasse

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Le défi : faire baisser le montant de la facture d’énergie

À compter du 1er février, la facture d’électricité des entreprises va augmenter de 6 à 8 % (source). Et ce n’est qu’un début !

Selon la Commission de régulation de l’énergie (CRE), dans une logique purement économique, il faudrait aller encore plus vite et plus fort. Il s’agit en effet d’intégrer la raréfaction des énergies fossiles (gaz, fioul), les problèmes liés à la guerre en Ukraine, mais aussi le coût relatif à la création et à l’entretien des infrastructures nécessaires à la production d’énergie.

La solution accessible dès maintenant : le chauffage par biomasse

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Savez-vous que le bois est la première source d’énergie primaire renouvelable ? Inépuisable, elle représente aussi une formidable opportunité pour les industriels et les agriculteurs : la France est leader dans ce domaine, car elle possède le meilleur potentiel de production bois énergie en Europe.

Le chauffage par biomasse offre ainsi un triple avantage :

      1. Il utilise l’énergie la moins chère.
      2. Il représente l’alternative la plus écologique : la biomasse (plaquettes, miscanthus,etc.) offre un bilan carbone neutre, des émissions nettes de CO2 négligeables par rapport aux autres modes de chauffage, une participation à la gestion durable des forêts en France.
      3. Il contribue à dynamiser les territoires, puisqu’il permet aussi de créer des emplois locaux pérennes.

Différentes solutions de chauffage par biomasse

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CSM propose des équipements adaptés à tous les besoins des professionnels :

      • Poêle à bois industriel à air pulsé ;
      • Générateur d’air chaud à pellets ;
      • Bois déchiqueté, également appelé “plaquettes forestières” ;
      • Générateur d‘air chaud à bois déchiqueté ;
      • Chaudières mixtes à bois granulés et plaquettes ;
      • Chaudières polycombustibles bois et biomasse ;
      • Stockage et diffusion.

À propos de Victor Bernard, le fondateur

Notre ambition : proposer des solutions innovantes, écologiques et un retour sur investissement optimum.

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Fils d’agriculteur et entrepreneur dans l’industrie, Victor Bernard a grandi à Bressuire (79) sur l’exploitation familiale.

Il a ensuite suivi des études d’Ingénieur en Bretagne, région dans laquelle il débute sa carrière professionnelle.

7 ans plus tard, de retour aux sources, il lance l’aventure entrepreneuriale Climat sur Mesure en parallèle à son nouveau statut de jeune agriculteur, avec comme projet une agriculture de conservation.

L’idée du concept Climat sur Mesure est née de son expérience “du terrain”.

En effet, depuis 2011, Victor travaille avec son père sur des projets d’installation de rafraîchissement par évaporation pour des industries situées en France et au Maghreb. Ces systèmes permettent un rafraîchissement et une ventilation efficace des bâtiments en se basant sur un principe simple et naturel d’échange de calories par évaporation.

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Durant la crise sanitaire, comme beaucoup de Français, il réfléchit au sens qu’il veut donner à sa vie professionnelle et à l’impact qu’il peut avoir sur la planète. Il constate d’ailleurs une prise de conscience grandissante face aux enjeux environnementaux de demain. En parallèle, la pandémie de Covid-19 met en lumière l’importance de la gestion climatique et du renouvellement de l’air.

Pour répondre à ces besoins croissants, il fonde Climat sur Mesure avec un objectif : proposer des solutions simples et innovantes permettant de ventiler, refroidir et chauffer un bâtiment, et ce, avec un impact environnemental le plus faible possible, voire positif. En effet, l’énergie peut elle aussi être locale et créatrice d’emplois en favorisant les circuits courts et en les optimisant.

Aujourd’hui, Climat sur Mesure ambitionne de travailler avec les acteurs de l’industrie et de l’élevage pour les aider à réduire leur impact environnemental et/ou améliorer les conditions de travail à l’intérieur de leurs bâtiments.

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En savoir plus

Site web : https://www.climatsurmesure.com/

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LinkedIn : https://www.linkedin.com/company/climat-sur-mesure/

CO2 & Agriculture : Fertiberia France lance Impact Zero® la 1ère gamme d’engrais décarboné

Le réchauffement climatique est à l’ordre du jour.

Ce phénomène a des conséquences sur toute la planète et dans la vie des Français : plus de catastrophes naturelles, l’effondrement de la biodiversité, l’augmentation de la pauvreté, la perte de récoltes, des vagues de migration, la montée des eaux…

Tous les secteurs doivent se mobiliser pour changer leurs pratiques, à commencer par le monde agricole.

Savez-vous par exemple que les fertilisants constituent l’un des principaux émetteurs de Gaz à Effets de Serre (GES) dans la production végétale ?

Pour autant, la planète compte près de 8 milliards d’habitants aujourd’hui et nous serons 10 milliards en 2050 dont près de la moitié dépendront d’une production de végétaux performante grâce à l’utilisation d’engrais azotés.

Cette double contrainte est un des enjeux critiques de l’agriculture : moins de gaz à effets de serre et dans le même temps une agriculture performante et nourricière.

Il peut être résolu par une transition accélérée vers la décarbonation de fertilisants performants.

Le groupe d’origine espagnole Fertiberia, pionnier de la décarbonation des fertilisants, est la première entreprise de ce secteur à s’engager à devenir neutre en carbone en 2035.

Elle propose à l’agriculture française par l’action de sa filiale française la première gamme d’engrais azotés bas carbone : Impact Zero®

 

Les engrais décarbonés sont maintenant accessibles à tous

Convaincu de la nécessité de se mobiliser à son échelle pour contribuer à construire un monde meilleur, le groupe Fertiberia a investi massivement dans la décarbonation de la production industrielle des fertilisants – de manière transparente, concrète et durablement efficace.

La gamme Impact Zero,® produite à Puertollano, est le fruit de cette intense politique de R&D : pour la première fois dans l’histoire de ce secteur, elle propose des solutions de nutrition végétales bas carbone. 

Concrètement, grâce à l’un des plus grands systèmes d’électrolyse au monde (20 MW), l’usine d’Iberdrola produit un hydrogène 100 % vert. Celui-ci est ensuite utilisé pour fabriquer de l’ammoniac et des fertilisants bas carbone.

Ce projet a été développé en plusieurs phases, avec une première de 20 MW, déjà en exploitation, et une deuxième phase actuellement en préparation, qui offrira jusqu’à 200 MW supplémentaires (notamment via l’énergie renouvelable d’une centrale solaire photovoltaïque innovante de 100MW).

Cette technologie va nous permettre de réduire les besoins en gaz naturel de cette usine de 100% d’ici 2035. Nous sommes la première société européenne du secteur à développer une expérience à grande échelle de génération d’ammoniac vert.

 

Un engagement fort : devenir neutre en carbone en 2035

Fertiberia est la première entreprise de son secteur à s’engager à devenir neutre en carbone en 2035.

Pour relever ce challenge, elle a mis en place la stratégie NetZero by 2035, basée sur l’utilisation d’hydrogène vert produit avec de l’énergie électrique renouvelable.

Une démarche qui résulte d’une prise de conscience : le groupe consomme plus de 160 000 tonnes d’hydrogène pour produire ses fertilisants.

Ayant anticipé depuis longtemps l’intérêt de décarboner la chaine de valeur de l’agriculture, le groupe a ainsi passé des accords avec des consortiums industriels en Espagne, en Suède et en Norvège.

Quelques exemples de partenariats :

Avec des consortiums industriels et énergétiques : créée en collaboration avec CEPSA (un autre producteur et consommateur d’hydrogène), Fertiberia développe une usine d’hydrogène vert renouvelable à grande échelle à Huelva (Andalousie). D’une capacité de 400 MW, elle utilise de l’électricité verte et d’autres gaz renouvelables.

À propos du Groupe Fertiberia

Fertiberia, un groupe composé de 13 entreprises leaders du secteur situées en Espagne, en France, au Portugal, aux Pays-Bas, en Suède et en Grèce et comptant plus de 1 600 personnes, est une référence européenne dans le secteur de la nutrition des cultures et de l’industrie, ainsi qu’un pionnier de la production d’ammoniac vert dans l’UE afin de décarboner l’agriculture et d’autres secteurs tels que l’industrie et les transports.

Elle est la première entreprise de son secteur à s’engager à atteindre zéro émission nette d’ici 2035.

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En savoir plus

Site web : https://www.fertiberia.com/fr

LinkedIn : https://www.linkedin.com/company/fertiberia-france/

Elevage : la silphie, la nouvelle plante “écolo” qui pousse malgré la sécheresse et améliore la nutrition des animaux

L’agriculture française de demain sera nécessairement plus respectueuse de l’environnement et plus rentable. Les éleveurs qui ne feront pas leur transition écologique par conviction le feront d’ailleurs pour des raisons économiques.

Car, aujourd’hui, tous sont confrontés à un problème majeur de manque de protéines provoqué par :

  • La sécheresse : certains climatologues prédisent déjà des températures avoisinant les 50 degrés en France dans les prochaines décennies (source) ;
  • Les autres aléas climatiques : le réchauffement climatique génère des épisodes de fortes pluies ou de gel ;
  • La dépendance protéique à l’étranger : les agriculteurs sont contraints d’importer du colza, du soja…

Dans ce contexte, après avoir fait ses preuves pour la méthanisation et la production de biogaz, la silphie séduit le monde de l’élevage bovin pour ses hautes qualités nutritionnelles et son respect de l’environnement.

Cette plante “facile à vivre” garantit une sécurité de stock de fourrage tout en ayant une très grande valorisation alimentaire (teneur en protéine élevée, riche en élément minéral, haute digestibilité et très bonne appétence).

À condition de choisir la bonne semence ! La Silphie ABICA Perfo, distribuée en exclusivité par Silphie France, est la seule à avoir fait ses preuves dans le domaine de la nutrition animale après de nombreuses analyses sur le territoire français.

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Enfin une solution pérenne pour l’alimentation des bovins et autres ruminants

Notre silphie a déjà séduit un grand nombre d’exploitations puisqu’elle garantit un rendement assuré, une réelle pérennité (15 ans et plus) ainsi qu’une réponse concrète à la pression environnementale.

Amédée Perrein, co-fondateur Silphie France

La Silphie ABICA Perfo est parfaitement adaptée à l’alimentation des bovins, ovins, porcins, caprins et daims.

Facile à cultiver, elle peut être récoltée 3 à 4 fois par an (fin juin et fin septembre) avec une fertilisation possible entre les deux. Et elle sait s’adapter à la météo : elle résiste bien à tous les aléas climatiques qu’il s’agisse d’épisodes de sécheresse, de fortes pluies (elle peut résister 2 mois et demi en étant immergée) et de gel jusqu’à -40°.

Son atout majeur au niveau nutritionnel ? Sa teneur en protéines, mais aussi en minéraux et en oligo-éléments, nettement plus élevée que dans le maïs !

En effet, la silphie connaît initialement une période de croissance plus longue et garde des racines vivantes permanentes qui pénètrent dans un volume de sol plus important. Elle est donc idéale pour le fourrage.

Et comme les animaux en raffolent et qu’elle présente un haut degré de digestibilité, la Silphie ABICA Perfo a vocation à devenir incontournable dans tous les élevages français.

Une jolie plante qui se cultive aussi aux abords des lotissements

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En plus d’apporter une réponse efficace aux problématiques climatiques des éleveurs, la silphie présente un autre avantage de taille : elle peut être implantée dans toutes les zones protégées telles que les ZNT (zones de non-traitement) en bord de lotissement.

Sa force : réduire l’impact des intrants sur les cultures aux abords des zones riveraines.

Et comme elle est très belle à regarder, avec ses fleurs estivales qui ressemblent à des marguerites géantes jaune vif, elle sait se faire apprécier de tous. Les particuliers et les collectivités l’utilisent d’ailleurs aussi pour créer des Haies Brise-vue et des massifs de Fleurissement.

Une plante rentable qui aide aussi à protéger la planète

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La Silphie est la plante “green” par excellence puisqu’elle préserve l’environnement et la santé des agriculteurs.

Zéro pesticide : elle permet de se passer des produits phytosanitaires contrairement à toutes les autres cultures à partir de la deuxième année

Une précieuse alliée pour les abeilles : elle produit 150 kg de miel à l’hectare et fournit de la nourriture aux abeilles, grâce à une floraison de mi-juillet à fin septembre, ce qui contribue à protéger cette espèce en voie de disparition.

Un fort rendement : la Silphie grandit lentement mais, dès la deuxième année, il est possible d’obtenir 6 à 7 tiges par pied. Au fil du temps, elle se développe et peut atteindre jusqu’à 80 tiges par pieds.

Plus de travaux dans les champs : pour sa croissance, la Silphie a simplement besoin d’une contribution minérale au printemps. Les agriculteurs gagnent un temps fou tout en réduisant fortement leur empreinte carbone.

À propos de Silphie France

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Silphie France est une société créée en 2020 par Amédée Perrein et Arnaud Febvay afin de démocratiser la culture de Silphie en France et à l’étranger.

Implantée dans les Vosges, elle développe en exclusivité la Silphie Abica Perfo sur tout le territoire français. Elle intervient de la commande à la livraison, en passant par le suivi technique de cette culture. Au fil du temps, elle a donc acquis une réelle expertise et peut conseiller les agriculteurs à chaque étape sur la meilleure manière de semer, entretenir et récolter cette culture nouvelle.

Silphie France multiplie également les initiatives pédagogiques auprès des agriculteurs et du grand public : mise en place du Siphie Tour, édition d’une brochure explicative, création d’un simulateur de plantation, conseils pour associer la culture de la Silphie à celle du maïs, mise en place d’une FAQ sur le site web de Silphie France + silphie days (salon dédié à la silphie).

Avec un objectif : valoriser la Silphie en France et à l’étranger en faisant connaître ses propriétés et ses atouts uniques.

Portrait d’Amédée Perrein, co-fondateur

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Amédée Perrein vit depuis sa plus tendre enfance dans le milieu agricole.

Ce fils d’agriculteur, passionné par ce métier, a tout naturellement suivi un cursus scolaire axé sur l’agrofourniture et le commerce. Il est ensuite devenu co-gérant d’un négoce agricole (Hadn).

L’aventure Silphie France a débuté suite à la demande d’un agriculteur qui souhaitait implanter de la Silphie. Au vu des nombreuses qualités de cette plante aux potentiels infinis, Amédée a co-fondé Silphie France avec Arnaud Febvay afin de démocratiser l’accès à cette culture méconnue.

Les actions de communication lancées sur les réseaux sociaux ont eu un effet “boule de neige” car, très vite, la presse locale et nationale s’est emparée du sujet. Silphie France a ainsi obtenu une réelle reconnaissance dans le milieu agricole et un élan supplémentaire pour la commercialisation au niveau national.

Aujourd’hui, face à une demande grandissante et à une volonté de se développer en France & à l’étranger, Silphie France recrute de nouveaux collaborateurs.

Pour en savoir plus

La silphie pour l’élevage : https://www.silphie-france.fr/elevage.html

Site web : https://www.silphie-france.fr/

Facebook : https://www.facebook.com/amedee.perrein/

“Vivre de son exploitation agricole” : produire de la glace à la ferme, la nouvelle alternative qui permet aux producteurs laitiers de sortir de l’impasse

Alors que la France est le deuxième producteur européen de lait, les 54 000 fermes laitières du pays sont confrontées à une situation économique de plus en plus difficile.

Les éleveurs laitiers font face à deux problèmes majeurs :

  • Le coût de la vie croît plus vite que le prix du lait ;
  • L’augmentation du cheptel entraîne une charge de travail accrue.

Concrètement, cela signifie qu’ils s’épuisent au travail, sans dégager de quoi vivre correctement : leur revenu est parmi les plus bas en agriculture et largement inférieur au salaire médian français (source).

Il y a donc urgence à leur permettre de valoriser leur lait !

La solution ? Se tourner vers la production de glaces, le péché mignon des Français : ils en consomment environ 6 litres par an et sont de plus en plus à la recherche de produits sains et authentiques.

Pour les aider à franchir le cap de fabrication de glaces à la ferme, le concepteur-constructeur français de machines à glace GRIS lance le programme en ligne “Vivre de son exploitation agricole”.

En proposant ce programme de valorisation du lait, nous voulons aider des milliers d’agriculteurs à multiplier leurs revenus par 10, 50 et même 100 pour qu’ils puissent enfin vivre de leur passion.

Fabien Gris, co-fondateur

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Une solution concrète pour aider les agriculteurs à optimiser leur production laitière

Ce programme à 360° est né de la collaboration entre des producteurs laitiers et un constructeur de machines à glace de l’Auvergne.

Ce guide pragmatique offre un accompagnement de A à Z : fabrication de crèmes glacées & de sorbets, techniques pour créer des recettes uniques et savoureuses en utilisant les fruits de la ferme, réussir une glace onctueuse et sans cristaux, normes d’hygiène et de qualité à respecter pour assurer la sécurité de vos clients, stratégies marketing pour promouvoir et vendre les produits…

Ce format 100 % en ligne est adapté à l’emploi du temps des agriculteurs, puisque les modèles sont accessibles 24h/24 et 7j/7.

Avec, à la clé, des bénéfices très concrets pour les éleveurs laitiers :

  • La valorisation de l’exploitation, qu’il s’agisse de lait de vache, de chèvre ou de brebis ;
  • Le retour de la joie de vivre, une dimension d’autant plus essentielle qu’actuellement, le suicide en agriculture touche particulièrement les éleveurs laitiers (source) ;
  • La préparation de l’avenir, qu’il s’agisse de revendre l’exploitation ou de la transmettre à leurs enfants.

Un concept “made in France”, qui favorise un circuit court

La production de glace à la ferme transmise dans ce programme allie éthique et rentabilité.

Les glaces, saines et artisanales (à mille lieues des poudres industrielles !), sont conçues par des machines fabriquées en France. Elles sont vendues directement du fabricant à l’utilisateur, exactement comme un agriculteur vendrait son lait à la ferme.

Une approche riche de sens qui présente un avantage de taille : elle élimine les intermédiaires, réduisant ainsi les coûts de 2 à 3 fois par rapport aux machines de marques italiennes.

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Les (grands) petits plus

La Tropicalisation

Les machines à glace de la maison Gris résistent aux environnements difficiles, tels que les zones côtières, les régions chaudes et humides, ou les régions de haute montagne. Elles sont donc parfaitement adaptées à toutes les conditions climatiques locales.

La Personnalisation

Les machines à glace peuvent être conçues sur-mesure pour intégrer les fonctionnalités spécifiques.

Le Choix

Plusieurs types de machines à glace sont disponibles :

  • Machines à glace à l’italienne ;
  • Turbines à glace professionnelles : production de crème glacée en bac ou en pot ;
  • Turbo Labo II, la remplisseuse de petits pots de glace (jusqu’à 500 pots de 100 ml à l’heure) ;
  • Pasteurisateurs de 30 à 180 litres, pour fabriquer des mix de glaces personnalisés ;
  • Surgélateurs, pour surgeler rapidement la crème glacée avant de la stocker.

À propos de Fabien Gris, co-fondateur

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Titulaire d’un CAP de pâtissier-glacier et glacier de métier, Fabien a évolué progressivement vers la fabrication de machines à glace. Une belle aventure qu’il vit avec son épouse Chantal, petite-fille et sœur d’un producteur de lait.

Nous avons trouvé notre ikigaï ! Nous avons tous les deux la passion de la glace, la compétence dans la fabrication et l’envie d’aider.

La première machine Gris a ainsi vu le jour il y a plus de dix ans, en 2011, grâce au soutien de son fils, diplômé d’un bac pro frigoriste. Ensemble, ils lancent une innovation qui rencontre un vif succès : une machine facile d’utilisation, performante sous la chaleur et bon marché.

L’entreprise familiale, basée en Auvergne, va alors implanter ses machines dans toute la France, des plus grands zoos et parcs aux épiceries de proximité.

Aujourd’hui, Fabien souhaite continuer à développer son activité en créant un concept de glace sans sucre, ainsi qu’une formation sur les sucrettes glacées.

La genèse de la formation “Vivre de son exploitation agricole”

L’idée de la formation est née d’un constat “du terrain” : en livrant de nombreuses machines aux agriculteurs et en discutant avec eux, Fabien a réalisé qu’ils ne savaient pas comment procéder pour commencer à faire leur propre glace.

Comme c’est son métier d’origine, il a souhaité les aider en proposant un cursus adapté. Animé par le goût de la transmission, Fabien a aussi développé une chaîne YouTube qui compte plus de 22k abonnés : elle lui permet d’aider des gens dans toute la francophonie à lancer leur business de glace.

Nous croyons fermement que ce programme apporte une solution innovante pour surmonter les difficultés actuelles, donner un nouvel élan à l’agriculture laitière française et garantir un avenir meilleur pour nos producteurs.

Pour en savoir plus

Site web : https://glace-fermiere.fr/

Facebook : https://www.facebook.com/GlaceFermiere/

YouTube : https://www.youtube.com/@gris

Culture de la Morille : Ceramyca vous invite en forêt découvrir la plus grande exploitation d’Europe

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Il aura fallu de nombreuses années de recherche à Remy, Jonathan et Pierre pour mettre au point cette culture hivernale atypique.

Découverte il y a plus de 35 ans par un étudiant américain (R.D. Ower), la pousse contrôlée de la morille n’était jusqu’alors pas démocratisée. Copiée en Chine à l’expiration des protections du brevet américain, les rendements perduraient capricieux et les récoltes disparates.

Ce n’est que très récemment, grâce à l’invention française du POD à morilles en céramique, que nos trois jeunes agronomes français réussirent le coup de force de produire ce délicat champignon de manière maitrisée et biologique en pleine forêt Savoyarde. Magie de l’histoire, c’est dans cette même région que réside le plus fort intérêt pour ce miraculeux champignon printanier !

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Affairée à rechercher et identifier des variétés françaises devenues rares dans nos forêts du fait du dérèglement climatique et de la cueillette sauvage, l’équipe de Ceramyca s’évertue depuis lors à préserver les viviers naturels et à établir un itinéraire de culture stable pour produire une morille d’excellence, au goût en tout point identique à celles que nous trouvons dans nos terroirs.

C’est tout naturellement que ce champignon iconique, calibré et cueilli à point, se retrouve dressé sur les plus belles assiettes de restaurants étoilés de France et d’Europe.

Les années passées, nos morilles se sont retrouvées sur une table d’exception toute particulière : celle de la Présidence de la République. C’est à cette occasion que nos morilles « Made-in-France » ont été mise en valeur par les Cuisines du Palais de L’Élysée ! 

Jonathan, co-fondateur de Ceramyca

Emmanuel Macron, Président de la République Française avec un bocal des Morilles du Lac

Emmanuel Macron, Président de la République Française au Salon International de l’Agriculture (2023)

Depuis lors, la forte demande pour cette morille extra-fraîche particulièrement goûtue conduit nos trois amis à confier l’invention française à d’autres cultivateurs dans le monde et en premier lieu en Europe.

Accompagnement, fourniture d’équipements dédiés et transmission de savoir-faire sont proposés aux cultivateurs, comme aux jardiniers amateurs, qui souhaitent s’essayer à cette culture chez eux.

Le POD à morille est un contenant breveté en céramique renfermant le mycelium de morille. Le tout est inséré en terre par le cultivateur de façon à inoculer le délicat champignon sur une terre d’accueil. La céramique offre un environnement protecteur et dirige le développement du mycelium, tout en permettant les symbioses bactériennes nécessaires à son épanouissement.

Si les jardiniers et amateurs pourront bénéficier du dispositif de Ceramyca librement, seule une quantité limitée sera confiée auprès de quelques grandes exploitations clefs.

Alimenter la forte demande des restaurateurs tout en préservant la qualité de cette morille de terroir tant convoitée est le fondement de l’établissement de cette filière.

Pierre, co-fondateur de Ceramyca


« Morilles du Lac »
, exploitation pilote du semencier Ceramyca vous invite à découvrir cette culture en forêt au moment de la récolte, et pourquoi pas autour d’une délicieuse fondue aux morilles !

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Pour en savoir plus

Site internet : https://www.ceramyca.com

Possibilité de suivre la récolte sur le groupe Facebook « Gare Aux Morilles ».

Agriculture 4.0 : SAMSYS, le compteur connecté pour le suivi des matériels, accélère son développement et signe un partenariat avec Poclain Hydraulics

À mille lieues des clichés que l’on peut avoir sur elle, l’agriculture française est résolument “geek” ! Dans un contexte économique tendu, elle évolue rapidement pour devenir plus intelligente, plus efficace et plus rentable.

Quitte à insuffler une dose de haute technologie pour gagner en efficacité et éviter les dépenses inutiles.

Parmi les fleurons de la “French AgriTech”, il y a notamment SAMSYS, une start-up française créée en 2017 dans les Hauts-de-France (Lille). Son expertise ? L’internet des objets, l’intelligence artificielle et la captation de données via des boitiers installés sur des machines agricoles essentiellement.

Un concept qui cartonne ! Portée par une forte demande des acteurs du monde agricole, SAMSYS vient de développer un partenariat avec l’industriel Poclain Hydraulics, sous la forme d’une prise de participation qui va permettre de mutualiser leurs expertises “machine & métier”.

Les constructeurs, clients de Poclain, vont ainsi bénéficier de services digitaux innovants dès la phase de prototypage et de design d’une nouvelle machine jusqu’à sa vie en série. Ils pourront ainsi développer et proposer des services à haute valeur ajoutée répondant aux besoins métiers de leurs propres clients.

Jonathan Lomel, COO de SAMSYS, explique :

Ce partenariat renforce notre volonté de coopérer et d’accompagner les constructeurs de machines. Notre expertise et notre bureau d’études permettent à ces acteurs de se tourner vers de la télémétrie optimisée pour eux, en remontant les données nécessaires au bon fonctionnement de leurs machines.

De nouveaux services pour toujours plus d’efficacité

Très dynamique, la plateforme SAMSYS propose toujours plus de services novateurs afin d’être au plus près des besoins des acteurs du monde agricole.

Maintenance prédictive des machines

Anticiper les défaillances à venir, les entretiens ou encore les vidanges des machines devient un jeu d’enfant en paramétrant les différentes tâches à réaliser et des alertes. SAMSYS anticipe ensuite les dates des prochaines actions à mettre en place en fonction de l’usage réel du matériel.

Analyse précise des chantiers

Désormais, l’écran est capable d’analyser des activités ! Une multitude de critères et de filtres sont disponibles (clients, type de matériel, type de culture, marques, chauffeurs, etc.) afin de proposer un affichage sur mesure.

Nouveaux Dashboard pour les machines

Cette première version des écrans à destination des constructeurs leur permet de sélectionner les signaux CAN à remonter dans le cloud et de choisir la façon dont ils vont s’afficher ou être représentés.

SAMSYS : construire dès aujourd’hui l’agriculture de demain

L’optimisation des exploitations est aujourd’hui une étape inévitable pour franchir la crise que l’agriculture vit depuis quelques années. Mais pour pouvoir optimiser, il faut évaluer les coûts et la rentabilité de chacun des postes de dépenses.

SAMSYS a été fondée en juin 2017 par Jonathan Lomel, Olivier Guille et Romain Tribout pour proposer au monde agricole un service innovant.

Le concept : moderniser le parc matériel en concevant des compteurs connectés pour tous les acteurs du machinisme agricole, puisque ce dernier constitue l’un des principaux postes de dépense des exploitations.

Le but étant d’apporter aux propriétaires toute la traçabilité et les statistiques de leur matériel en quelques clics.

Ainsi, grâce à SAMSYS, l’agriculteur peut :

  1. Mieux dimensionner son parc matériel ;
  2. Optimiser ses pratiques ;
  3. Et partager son matériel en toute sérénité.

Une visualisation détaillée pour simplifier la prise de décision

L’interface permet de visualiser dans le détail les travaux réalisés par parcelle et par matériel, afin de disposer de toutes les informations nécessaires au suivi des interventions : mesure des consommations gazole, hectares travaillés, temps d’utilisation, distance parcourue, heures moteur, nombre d’épandeurs…

De plus, SAMSYS sensibilise les utilisateurs à réduire l’impact environnemental et le gaspillage de gazole : conseils pour réduire la consommation ou pour améliorer les techniques culturales, etc.

Zoom sur deux solutions connectées qui simplifient le quotidien des pros

Claude SAMSYS : une solution SaaS 100% accessible en ligne

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Cette solution se connecte aux machines agricoles grâce aux compteurs connectés (SAMSYS Activity).

Elle agit comme un véritable assistant et un gestionnaire de flotte de machines agricoles. Grâce aux algorithmes et aux données des compteurs, il est ainsi possible de mettre en place différents services :

Gestion du parc machines en fonction de la marque, du type de machines ou du propriétaire. SAMSYS met à disposition les données d’entretien du matériel, d’usages, et les propriétés auprès des constructeurs et concessionnaires.

Localisation des machines en temps réel afin d’éviter de perdre du temps à trouver une machine ou encore permettre à la machine d’être utilisée pendant son temps d’inactivité.

Bilan et analyse complète des activités via un historique exhaustif des activités réalisées par les matériels agricoles. Toutes les données spécifiques par typologie de matériel sont fournies, et ce, pour chaque parcelle ou machine : dates, distance sur route, durée, surface avec/sans recouvrement, nombre et temps de pause, nombre de ballots de paille, épandeurs, consommation gazole en litre. Il est ainsi beaucoup plus facile d’optimiser ou de créer des services avec un parc machines, de suivre l’état d’usure du matériel, de gérer l’entretien et surtout de connaître la rentabilité précise d’une parcelle.

Répartitions automatiques des charges. Grâce au planning de réservation, le parcellaire ou les algorithmes auto-apprenants, SAMSYS identifie automatiquement l’utilisateur du matériel. Ces données vont être utilisées pour créer une synthèse de répartitions des charges. Ce rapport s’adapte à la typologie de matériel et aux unités de mesure propres à chaque machine.

Alertes par SMS ou email pour signaler chaque événement anormal au propriétaire ou au responsable du matériel : vol, arrachage du compteur SAMSYS, vitesse excessive, choc, batterie faible…

Exports et API. Toutes les données générées par les utilisateurs et les matériels sont exportables au format Excel et sont facilement intégrables dans les logiciels de comptabilité déjà existants. Tous les services fonctionnent avec des API qui peuvent être directement appelées par des partenaires.

Réduction de la consommation gazole en sensibilisant les utilisateurs à la réduction de l’impact environnemental et du gaspillage : mise en avant de “mauvais” comportements, conseils pour la réduction, sensibilisation à l’écoconduite, conseils sur techniques culturales et sur les cultures, maintenance à distance.

Réservation de matériel : ce module permet de mieux organiser les travaux, la mutualisation et le prêt.

SAMSYS Activity : un compteur connecté pour le machinisme agricole

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Ce compteur connecté permet de mesurer et de quantifier l’utilisation de n’importe quel matériel agricole.

Ses points forts :

  • L’autonomie : jusqu’à 350 heures, et le compteur est rechargeable.
  • La comptabilité avec 100% du parc de machines : toutes les marques et machines, de tout âge, avec ou sans électronique embarquée.
  • Une gamme de produits additionnels (connectiques, capteurs, support de fixation, chargeur, etc.).
  • Le transfert des données via GPRS : les zones blanches étant très présentes en zone rurale, une mémoire permet de stocker jusqu’à une semaine d’activité.
  • La mise à jour à distance des connecteurs pour la maintenance et les évolutions.

Une installation simplifiée en moins de 10 secondes

Dotés d’aimants, les compteurs se posent très facilement sur le matériel. Le client a également la possibilité de se connecter à la machine directement à l’aide d’un câble fourni par SAMSYS.

Une fois installé sur la machine, l’utilisateur n’a plus à s’en soucier : complètement transparent, le SAMSYS Activity démarre automatiquement, sans action spécifique, grâce à la mesure de vibrations des machines.

Il est ainsi possible de mesurer le nombre d’hectares travaillés dans un champ, la distance parcourue sur route, le temps d’utilisation, la vitesse (pour analyser les accélérations par exemple), et les chocs.

Ces données permettent d’alimenter les bases de données et les algorithmes de SAMSYS pour générer des rapports d’activités, des statistiques d’utilisations et du conseil pour maîtriser et optimiser ces charges de mécanisation.

La personnalisation grâce au connecteur

  • D’autres capteurs additionnels peuvent être branchés sur le SAMSYS Activity afin de l’adapter aux unités de mesure de tous les matériels et donc de déterminer leur usure réelle : nombre de ballots de paille, un nombre d’épandeurs, etc.
  • Possibilité de brancher directement le compteur sur la machine (prise diagnostique) pour remonter une petite partie des données qui transitent sur le bus : données consommation gazole, prise de force, état des filtres, couple.

À propos de Jonathan Lomel, co-fondateur

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Diplômé de l’ISEN (Institut Supérieur de l’électronique et du Numérique) à Lille, Jonathan a commencé sa carrière chez Alstom Transport à Villeurbanne près de Lyon en tant qu’Ingénieur Vérification & Validation.

Au sein de cette société spécialisée dans les transports, principalement ferroviaires, il s’est forgé une solide expérience concernant tous les processus d’industrialisation et de qualité d’une entreprise.

Depuis 2017, il est Directeur des opérations chez SAMSYS.

Pour en savoir plus

Présentation : https://www.canva.com/design/DAEphdHEBZ4/_B4x70mCO0d1lZ3KOdrn7Q/view?utm_content=DAEphdHEBZ4&utm_campaign=designshare&utm_medium=link&utm_source=publishsharelink

Site web : https://www.samsys.fr

Facebook : https://www.facebook.com/samsysFr/

Instagram : https://www.instagram.com/samsysfr/

LinkedIn : https://www.linkedin.com/company/10917391

Graine de choc, la première pâte à tartiner française Nutriscore A : bonne pour la santé, bonne pour la planète et bonne pour les agriculteurs

Et s’il n’y avait plus à choisir entre le plaisir, la santé, la protection de l’environnement et une agriculture qui respecte et valorise ses producteurs ?

Dans le domaine du bien manger, la France innove en s’appuyant sur une légumineuse trop méconnue alors qu’elle est cultivée dans notre pays depuis l’âge du Fer : la féverole.

Graine de choc révolutionne les moments gourmands en proposant la seule pâte à tartiner aux noisettes Nutriscore A.

Sans huile, avec une teneur réduite en sucre de 35%, elle est aussi enrichie naturellement en fibres et protéines végétales.

Et le concept cartonne ! Lancée en 2020 en petit format, elle est tellement appréciée des enfants et de leurs parents que la marque française lance un tout nouveau pot avec un format familial (560g).

 

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La féverole, la petite graine qui révolutionne l’alimentation

La féverole est une légumineuse cultivée en France depuis l’âge du Fer.  Elle avait pourtant quasiment disparu faute de débouchés rémunérateurs pour les producteurs.

Mais ça, c’était avant la création de Graine de choc !

Pionnière dans l’utilisation de la féverole en alimentation humaine, sous forme de légumes secs, Graine de choc permet enfin de profiter de tous ses bienfaits :

Un goût raffiné qui enchante les fines bouches : elle se situe à mi-chemin entre le pois cassé et la châtaigne, et certains lui trouvent même des notes de noix.

D’excellents apports nutritionnels : la féverole est riche en protéines végétales (un must pour réduire sa consommation de viande !) et en fibres.

L’ingrédient idéal pour une alimentation saine :

  • elle a un index glycémique bas grâce à sa grande quantité de fibres ;
  • elle permet de diminuer le mauvais cholestérol sanguin ;
  • elle apporte une sensation de satiété rapide et durable.

 

 La seule pâte à tartiner à obtenir un Nutriscore A… et bien plus encore !

Fabriquée sans ajout d’édulcorants, ni additifs et conservateurs controversés, la pâte à tartiner Graine de choc est la seule à afficher un Nutriscore A.

Son secret ? La quantité de fibres apportée par la féverole. C’est une véritable alliée pour une alimentation saine et équilibrée, puisqu’elle va faire baisser l’index glycémique. Le sucre est assimilé lentement par l’organisme, il n’y a pas de pic de glycémie.

La liste d’ingrédients est simple: Purée de féveroles, sucre, pâte de noisette, farine de tourteau de noisette, poudre de cacao maigre, jus de citron, sel.

 Nous arrivons à conserver les fibres grâce à notre savoir-faire et un process unique. Et comme la quantité de protéines végétales est également élevée, notre pâte à tartiner noisette cacao contient plus de nutriments essentiels que de nutriments à limiter.

Pour les producteurs : une filière locale et responsable valorisante

La féverole fixe et rend disponible l’azote présent dans l’air. Elle va donc l’utiliser pour pousser naturellement, mais aussi le répandre dans la terre et enrichir les sols.

Les agriculteurs peuvent donc réduire significativement leurs apports d’engrais de synthèse.

Avec, à la clé, des avantages conséquents :

  • des économies substantielles ;
  • la préservation de l’environnement : les engrais chimiques sont à l’origine d’une grande partie des gaz à effet de serre ;
  • une rotation des cultures facilitée ;
  • le respect de la nouvelle Politique Agricole Commune, qui va inciter les agriculteurs à sortir de la monoculture en cultivant des protéagineux.

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Grâce à la pâte à tartiner Graine de choc, les producteurs locaux trouvent un débouché lucratif, avec une juste rémunération garantie. Ils participent aussi à une initiative positive qui met à l’honneur le savoir-faire “made in Hauts de France”.

2 recettes Nutriscore A pour toujours plus de gourmandise

Ces délicieuses pâtes à tartiner healthy sont disponibles en deux formats :

  • 220g (prix de vente conseillé 4,85 €) ;
  • et 560g (pvc : 8,37 €).

 

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Noisette

 

Graine de choc accélère sa croissance pour faire connaître le bien manger riche en goût

L’aventure Graine de choc a débuté en 2017, quand Béatrice Maire découvre par hasard la féverole sur une manifestation agricole grand public.

Fascinée par le potentiel de cette légumineuse délaissée, elle mène des recherches sur la féverole de la semence jusqu’à l’assiette (caractéristiques agronomiques, fonctionnelles et nutritionnelles).

Face aux enjeux environnementaux et nutritionnels liés à l’utilisation de cette formidable matière première, Béatrice crée une pâte à tartiner au chocolat et noisette alors notée C au Nutriscore, déjà un bond en avant lorsqu’on sait que la plupart des pâtes à tartiner Bio sont actuellement notées E et D.

 

Elle se lance alors un défi un peu fou : atteindre le Nutriscocre A ! Il lui faudra un an de travail dans son petit laboratoire, puis en collaboration avec un centre technique Adrianor (Tilloy-les-Mofflaines 62).

En janvier 2020, l’inatteignable a été atteint ! La 1ère pâte à tartiner Nutriscore A est commercialisée. En parallèle, Béatrice explore les possibilités d’utilisation  de la féverole dans des produits d’épicerie salée afin de démocratiser son utilisation en alimentation humaine sous sa forme brute de légume sec.

Graine de choc lance alors une gamme salée en septembre 2021.

Mon objectif  ? Mieux nourrir les consommateurs et redynamiser cette filière en perdition, alors qu’elle est essentielle dans les assolements.

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La référence de la pâte à tartiner bonne pour la santé et bonne pour la planète

Graine de choc démocratise l’excellence à la française en proposant sa pâte à tartiner à un tarif accessible au plus grand nombre.

Aujourd’hui, pour accélérer sa croissance, cette société de la Somme souhaite référencer ses marques en GMS (3 parfums de la marque Et TOC !) et dans les magasins spécialisés (5 parfums de marque Tartimouss!).

Ainsi, d’ici 2024, elle devrait être disponible dans 800 à 1000 points de vente.

En parallèle, Graine de choc souhaite devenir leader de la transformation de féverole, via des partenariats avec des coopératives et des semenciers.  Toute la filière française pourrait ainsi être redynamisée.

Béatrice Maire, une cavalière professionnelle devenue chocolatière

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Béatrice, 43 ans, est née à Besançon (25). Elle a deux passions dont elle a fait successivement un métier : le cheval et le chocolat.

Après avoir obtenu son bac L en 1997, elle se forme et passe le BEES 1er degré option équitation. Pendant quelques années, elle enseigne cette discipline. Elle continue d’évoluer en se mettant à son compte en tant que cavalière professionnelle afin de valoriser des chevaux et des poneys (achat/valorisation/vente).

À la suite de plusieurs accidents, elle se reconvertit pour exercer un autre métier “coup de cœur” et, en 2015, elle crée une petite chocolaterie artisanale.

Trois ans plus tard, en juillet 2018, elle abandonne complètement ses deux activités pour se consacrer totalement à la féverole.

En janvier 2019, elle fonde la société Graine de choc afin de développer et de commercialiser des produits alimentaires à base de féverole locale.

Pour en savoir plus

Présentation:https://www.relations-publiques.pro/wp-content/uploads/pros/20220810100241-p3-document-fbrv.pdf

Site web : https://grainedechoc.com/

Facebook : https://www.facebook.com/grainedechoc

Instagram : https://www.instagram.com/grainedechoc/

LinkedIn : https://www.linkedin.com/company/graine-de-choc/

Marchés des céréales :
“Face à la volatilité inédite sur les prix des grains, il y a des solutions !”
– Cerexpert explique comment garder le cap

La campagne de commercialisation 2021/2022 a vu le grand retour de la volatilité sur les marchés des grains, sur fond de stocks tendus et d’instabilité géopolitique.

Alors que les moissons battent leur plein sur l’hémisphère nord, les experts redoutent une nouvelle campagne tout aussi instable. Le contexte macro-économique et les conséquences du conflit entre la Russie et l’Ukraine font en effet peser de fortes incertitudes sur les marchés, alors que les équilibres économiques au sein de la filière sont mis à mal.

Pourtant, il existe des solutions pour permettre aux acteurs du secteur d’adapter leur gestion du risque prix à ces nouveaux enjeux.

Cerexpert explique comment procéder pour traverser cette période agitée.

 

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Marchés des grains : des prix records et une volatilité extrême

“Depuis 5 ans, la production céréalière mondiale peine à couvrir une demande toujours plus forte” soulignent Laurent Gaonac’h et Philippe Moulier, fondateurs de Cerexpert, LA société de conseil dédiée aux professionnels de la filière céréales.

Tout déséquilibre du rapport offre / demande déstabilise inévitablement les marchés.

Or, ces dernières années, les facteurs de tensions se sont accumulés sur la planète des grains :

L’augmentation des importations de céréales par la Chine

Les importations chinoises de céréales (maïs, blé, orges) ont triplé ces 2 dernières années par rapport à la décennie précédente, en réponse à la croissance de la demande locale.

La série d’accidents climatiques

Une série d’accidents climatiques a, depuis 2 ans, frappé de grandes puissances agricoles :

  • Brésil : une sécheresse intense a fait chuter la récolte de maïs entre 2020 et 2021
  • Amérique du Nord : le dôme de chaleur qui a recouvert le nord des USA et le Canada l’été dernier a fortement réduit les récoltes de blé des 2 pays
  • Russie : une récolte décevante en 2021 a nettement réduit la capacité exportatrice du pays

La guerre en Ukraine

L’éclatement de la guerre en Ukraine, qui empêche des millions de tonnes de produits agricoles d’accéder aux marchés, exacerbe ces tensions.

Conséquences de ce contexte inédit, ces derniers mois les marchés des grains ont atteint de nouveaux records (Blé 450 €/t), avant de connaître d’importants reculs, à l’approche de la récolte 2022.

La volatilité des cours est omniprésente, et les amplitudes de prix quotidiennes (Blé : 10 €/T en moyenne) dépassent fréquemment les marges de l’amont agricole.

 

Faire face aux enjeux de sécurité et de performance économique

La filière, de son amont agricole jusqu’à la distribution alimentaire, en passant par les industries de 1ère et 2nde transformations, doit gérer un niveau de risque inédit et déstabilisateur pour les marges des entreprises.

Ces dernières vont donc devoir réussir à prendre du recul pour anticiper, faire preuve d’agilité, et continuer à avancer.

Laurent Gaonac’h et Philippe Moulier expliquent :

Pour adapter leur gestion du risque prix à ces niveaux élevés de volatilité, les organisations doivent s’appuyer sur une analyse sur mesure des leviers incontournables de la performance.

Ainsi, Cerexpert a développé une approche intégrant les spécificités et les risques de chaque métier (producteurs, collecteurs, transformateurs, distributeurs) pour sécuriser puis optimiser les performances prix (achat ou vente) et marge.

En effet, il existe des outils éprouvés pour garder le cap face aux marchés et piloter la gestion des risques ! Or, aujourd’hui, il y a urgence à les mettre en œuvre : “La campagne 2022/2023 s’annonce tout aussi mouvementée que la précédente”, complètent-ils. « Cycle baissier ou cycle haussier ? Dans tous les scénarios, le niveau du risque à gérer restera élevé pour toute la filière »

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Cerexpert : plus de 50 ans d’expérience dans les métiers du grain et des marchés céréaliers

Depuis janvier 2021, Cerexpert est le partenaire-conseil dédié à tous les acteurs de la filière céréales : exploitations agricoles, organismes stockeurs, nutrition animale, meunerie, industrie agroalimentaire et grande distribution.

Son offre de services s’étend sur 5 domaines d’expertise :

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Analyse de marchés : service personnalisé d’analyse des marchés céréaliers, accessible et adapté à chaque cœur de métier.

Audit d’activité commerciale : amélioration de l’efficacité opérationnelle, de l’organisation et de la marge.

Gestion du risque prix : optimisation de la gestion du risque pour mesurer et sécuriser la marge et garder un coup d’avance sur les marchés.

Création de filières : accompagnement dans le lancement de nouvelles filières ou activités grâce à l’expertise commerciale et technique Cerexpert.

Services personnalisés : service de management de transition ou d’externalisation dans le périmètre de compétence Cerexpert.

Nos consultants, disponibles et à l’écoute, accompagnent les entreprises de toute taille et interviennent dans toute la France et dans les pays francophones.

Les chiffres clés

  • 50 ans d’expérience cumulée ;
  • 5 000 producteurs partenaires ;
  • 300 sites de collecte desservis ;
  • 50 silos de stockage couverts ;
  • 2.5MT de céréales commercialisées par an.

À propos des fondateurs

Laurent Gaonac’h

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Riche d’un parcours professionnel de 17 ans, comme courtier en grains puis Responsable Commercial au sein de la salle des marchés d’un groupe coopératif agricole, Laurent a souhaité mettre sa passion, son expérience et son expertise des marchés céréaliers au service des acteurs de la filière grains.

Philippe Moulier

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Riche d’une expérience de 35 années au service de la filière céréales, Philippe a assuré la direction des activités de collecte, de stockage et d’une salle des marchés.

Pionnier dans la gestion du risque sur un volume annuel de plus de deux millions de tonnes, il dispose d’une expérience opérationnelle dans la logistique camion et train ainsi que dans les processus du management de la qualité.

Pour en savoir plus

Site web : https://www.cerexpert.fr

LinkedIn : https://www.linkedin.com/company/cerexpert/

 

ECOBANG-NAVY : le recyclage de bateaux au service du traitement des effluents phytosanitaires agricoles

Ecobang-Navy : le premier bateau qu’il faut remplir d’eau !

Alors que le GIEC alerte sur l’accélération du réchauffement climatique, les experts scientifiques préconisent plusieurs solutions pour sortir de l’impasse et réussir une transition vers la sobriété.

À commencer par la valorisation de l’économie circulaire (source), qui était déjà considérée comme un des leviers pour atteindre les objectifs de l’Accord de Paris (source). Avec, à la clé, des bénéfices tangibles pour l’ensemble de la société puisqu’elle pourrait permettre d’économiser 380 milliards de dollars en Europe, créer plus de 800 000 emplois et rapporter 1 800 milliards d’euros d’ici 2030 (source).

La bonne nouvelle, c’est que les acteurs français font figure de pionniers de l’économie circulaire, avec plus de 1 500 initiatives lancées dans ce domaine.

À l’image de la société Vento-Sol et de sa dernière innovation, ECOBANG-NAVY : le premier bateau qu’il faut remplir d’eau. Le concept est particulièrement original : il consiste à récupérer d’anciens bateaux de plaisance pour les transformer en cuves de stockage équipées d’ECOBANG, afin d’y traiter les effluents phytosanitaires à moindre coût.

Une solution d’avenir pour tous les agriculteurs !

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Le prototype Ecobang-Navy avant et après modification.

Le prototype Ecobang-Navy avant et après modification.

Un projet soutenu par l’APER, un éco-organisme agréé par le Ministère de la Transition Ecologique et Solidaire

Durant le 1er confinement, en mars 2020, Nicola Vento, le gérant de l’entreprise Vento-Sol, a pris conscience que de nombreux anciens bateaux de plaisance doivent être détruits.

Un Eco-Organisme, appelé APER (Association pour la Plaisance Eco-Responsable), a même été créé, avec l’agrément du Ministère de la Transition Ecologique et Solidaire, pour gérer la filière de déconstruction de ces bateaux en fin de vie. Son objectif : récupérer et détruire plus de 5 000 bateaux par an.

Nicola a donc décidé de lancer une nouvelle gamme, appelée Ecobang-Navy, qui consiste à reconditionner d’anciens bateaux de plaisance en cuves de stockage équipées d’Ecobang.

Tout de suite, l’APER a été séduite par le projet. Elle va donc aider Vento-Sol à trouver les bateaux adaptés aux besoins spécifiques des clients.

Une fois la décision prise, tout s’est ensuite enchaîné rapidement.

Dès septembre 2020, le prototype était prêt : un ancien voilier, de 6,2 mètres de long, de 2,3 mètres de large et d’une capacité de stockage de 4000 litres, a été reconditionné pour être transformé en cuve (retrait du mobilier, étanchéité intérieure et extérieure, peinture, etc.).

Ensuite, durant 15 mois, Vento-Sol a mené des essais pour vérifier le bon fonctionnement du dispositif et apporter les améliorations nécessaires.

Aujourd’hui, le dispositif Ecobang-Navy est désormais prêt à être proposé. Il est par ailleurs cité dans le récent avis du CESER (Conseil Économique Social et Environnemental). (source)

Les 7 points forts de ce dispositif innovant

Économie circulaire

La réutilisation d’anciens bateaux permet de fortement réduire l’impact sur l’environnement en réutilisant d’anciens matériaux et en prolongeant la durée de vie.

Réduction des coûts

L’économie pour les clients d’un bateau reconditionné (après retrait des équipements intérieurs, peintures, etc.) peut atteindre de 30 à 60% par rapport à l’achat d’un Ecobang équivalent avec une cuve en acier inox. Une attractivité grâce au recyclage encore plus marquée actuellement, en raison des hausses très importantes des coûts des matières premières.

Disponibilité

Plus de 5 000 bateaux doivent être déconstruits par an, afin d’atteindre un objectif de 20 000 à 25 000 bateaux détruits d’ici à 5 ans. Cela laisse donc le choix entre de nombreux modèles, sachant que l’éco-organisme APER aidera Vento-Sol à trouver des bateaux adaptés aux besoins spécifiques de ses clients.

Performances

L’efficacité d’Ecobang-Navy est tout à fait équivalente aux performances des dispositifs ECOBANG standards.

Praticité

Plusieurs mises en œuvre possibles : hors sol ou semi-enterrée (pour plus de discrétion). Par la suite, les bateaux Ecobang-Navy pourront avoir d’autres utilisations, comme par exemple le stockage d’eaux de pluie pour l’irrigation chez les particuliers.

Respect du code de l’environnement

Ecobang-Navy est un dispositif qui respecte toutes les normes et contraintes légales de A à Z : matériaux (résine) des coques de polyester compatibles chimiquement avec les effluents phytosanitaires, étanchéité, stockage en double paroi possible (coque + intérieur du bateau) , résistance mécanique de la coque (qui pourra aussi être consolidée si nécessaire), pas de rejet dans le milieu naturel.

Communication

Ecobang-Navy peut avoir aussi une fonction de support de communication, en y installant une voile imprimée. Les agriculteurs pourront ainsi faire connaitre leurs engagements (bonnes pratiques phytosanitaires, HVE, agriculture bio, Économie Circulaire, etc.). Un kit de communication sera proposé pour accompagner les clients qui le souhaitent.

Ecobang : le traitement “nouvelle génération” des effluents phytosanitaires

Après traitement, les agriculteurs doivent nettoyer le pulvérisateur, ce qui génère des eaux usées appelées effluents phytosanitaires. Tout l’enjeu est donc de les gérer de façon responsable.

Avec Ecobang, la société Vento-Sol propose aux agriculteurs d’évaporer les effluents phytosanitaires directement dans la cuve de stockage. Un système ingénieux, basé sur une ventilation forcée dans la cuve favorisant l’évaporation, qui permet une adaptabilité à presque toutes les cuves (acier, plastique, béton).

Vento-Sol est aussi capable de compléter ou transformer des installations concurrentes, pour en augmenter les performances.

La gamme Ecobang est composée de nombreuses solutions standards et sur mesure, pour répondre à la majorité des besoins. C’est en cherchant une solution pour réduire davantage les coûts que Ecobang-Navy a été imaginé.

Nicola Vento souligne :

Nous sommes les seuls à être capables de réutiliser des cuves pour y adapter Ecobang, ce qui nous permet de proposer une des gammes les plus larges et les plus économiques pour gérer les effluents phytosanitaires.

Zoom sur les incontournables de la gamme ECOBANG

ECOBANG IBC/ GRV : le produit historique

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Vendu en kit adaptable aux cuves standards de 1 000 litres, c’est la version la plus économique disponible pour gérer les effluents phytosanitaires. Le résidu sec est collecté après 5 années d’utilisation par ADIVALOR. Pendant ces 5 années, l’utilisateur n’a rien d’autre à faire que de remplir sa cuve.

ECOBANG CP 900 : pour caisse-palette de 900 litres

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ECOBANG CP 900 est composé du dispositif ECOBANG associé à une caisse-palette de 900 litres. Cette solution est livrée clef en main, préassemblée et prête à l’usage. Elle ne nécessite aucun réglage et elle est évolutive si les volumes augmentent.

Le résidu sec après évaporation est conditionné dans une sache préalablement introduite dans la caisse palette, et sera éliminé par un prestataire agréé une fois par an.

ECOBANG 2 000 à 6 000 : pour cuves acier de 2 000 à 6 000 litres

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Le couvercle amovible est breveté, et a la triple fonction de protection, préchauffage solaire et ventilation forcée ECOBANG. Le résidu sec est récupéré dans une bâche. Cette version permet de gérer des volumes plus importants d’effluents.

ECOBANG sur-mesure : une adaptation à n’importe quelle cuve

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Le principe de fonctionnement permet une adaptabilité à quasiment toutes les cuves :

  • Tous matériaux : cuves aciers, plastiques, béton, résine, et autres ;
  • Toutes les tailles de cuves. Par exemple, la plus grande cuve équipée peut contenir jusqu’à 20 000 litres d’effluents ;
  • Toutes mises en œuvre : cuve hors sol, enterrée semi-enterrée. Par exemple, un client évapore ses effluents dans une citerne enterrée à 2 mètres sous terre ;
  • Permet aussi de compléter ou transformer des installations existantes de traitement des effluents phytosanitaires.

À propos de Nicola Vento, le fondateur de Vento-Sol

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Avec nos solutions, nous permettons le réemploi et la prolongation de produits qui étaient considérés comme des déchets.

Vento-Sol est la société française spécialiste de la gestion des effluents phytosanitaires qui a créé et qui commercialise la gamme Ecobang.

Elle a été créée dans le Sud-Ouest de la France par Nicola Vento.

Diplômé d’école de commerce, il a commencé sa carrière dans une entreprise innovante dont le marché principal était le traitement des effluents.

En 2008, il identifie son futur marché. Ensuite, pendant deux ans, il travaille à la conception du premier produit Ecobang. En parallèle, il passe un CAP de serrurier métallier pour acquérir les compétences requises afin d’être autonome dans la conception & la production de ses produits.

En 2010, il fonde la société Vento-Sol pour développer techniquement et commercialement Ecobang et offrir toute une gamme de solutions standards, afin d’évaporer entre 500 litres/an et 10 000 l/an d’effluents. Elle s’adapte à toutes les cuves, qu’elles soient enterrées, semi-enterrées ou hors sol… tout est possible. Par exemple, la plus grande cuve équipée par Vento-Sol était une ancienne citerne de stockage de vin de 20 000 litres.

Aujourd’hui, Vento-Sol ambitionne de faire construire des Ecobang-Navy à Nantes chez BATHO. Par la suite, si les volumes augmentent, les bateaux seront transformés par des prestataires à proximité des clients.

Les grandes étapes clés de la création d’Ecobang-Navy

Mars 2020 – En cherchant une remorque plateau sur LeBonCoin pour transporter ses cuves, Nicola découvre que nombre de vendeurs offrent en même temps le bateau se trouvant sur les remorques. Il trouve aussi de nombreuses annonces de dons de bateaux de plaisance.

Études techniques réalisées par la société Batho proche de Nantes, dont le métier est la transformation d’anciens bateaux en logements de loisir. Cette société lui fait un devis et trouve un bateau adapté. Nicola lance donc l’opération.

Septembre 2020 – Le bateau est récupéré puis restauré afin de régler quelques problèmes d’infiltrations d’eaux pluviales. En parallèle, les essais d’évaporation montrent que le fonctionnement d’ECOBANG était tout à fait normal.

Pour en savoir plus

Vento-Sol – 55, chemin de Las Tinos 81100 CASTRES

Découvrir la gamme Ecobang : https://www.vento-sol.com/la-gamme-ecobang/

Site web : https://www.vento-sol.com/

Facebook : https://www.facebook.com/entrepriseventosol

LinkedIn : https://www.linkedin.com/company/vento-sol

“Réjouissons la Nature et les Hommes !” : la nouvelle promesse aux consommateurs du label Demain la Terre, la référence en développement durable et RSE de la filière fruits et légumes

Tandis que le système alimentaire français est confronté à de nombreux défis en matière d’agriculture et d’alimentation durable, les consommateurs hexagonaux sont désormais nombreux à vouloir bouleverser leurs habitudes alimentaires.

De plus en plus soucieux du bien manger, une étude menée par Kantar TNS révèle en effet que 63% des français désirent manger sainement et 59% de manière équilibrée.

Mais comment faire quand on aimerait se nourrir sainement ET rémunérer correctement les producteurs ? Pourquoi faut-il toujours faire des compromis ou avoir un doute sur l’impact de son achat ? Est-ce qu’on ne peut pas simplement croquer dans une pomme ou faire cuire une carotte sans se “prendre la tête” ?

Pourtant, il existe déjà un label de référence : le label de Demain la Terre, l’Association de producteurs et transformateurs de fruits et légumes responsables. Ce référentiel comprend 70 critères permettant de répondre aux 3 enjeux du développement durable : environnement, économie et social.

Alors que ce label répond aux exigences de l’agriculture de demain et aux attentes des consommateurs, il souffre encore d’un manque de “lisibilité” du fait de son caractère global.

Alors en 2022, Demain la Terre a décidé de répondre à ces enjeux en dévoilant une nouvelle promesse consommateur : “Réjouissons la Nature et les Hommes !”.

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Demain la Terre : LE label alimentaire de la consommation responsable et durable

Réjouissons la Nature et les Hommes, c’est une promesse 100% positive ! Nous voulons mettre en avant les notions de joie liées à la consommation de bons produits, en rappelant notre dimension collective, et également les deux piliers fondateurs de notre démarche, la nature et tout ce qu’elle recèle, ainsi que les Hommes qui la travaillent et récoltent ses fruits.

Marc De Nale Directeur Général de l’Association Demain la Terre

“Réjouissons la Nature et les Hommes” est bien plus qu’une simple promesse : c’est aussi une vocation, un engagement, et une invitation à passer à l’action.

L’idée est de cheminer vers le mieux, de progresser vers l’avenir, et d’aider sans faire la morale. En avançant, tous ensemble, dans une voie solidaire bénéfique pour tous.

La raison d’être de Demain la Terre, c’est d’initier au changement et de s’engager aux côtés de tous ceux qui aiment la terre et qui sont prêts à construire une nouvelle vision des choses.

Ainsi, le label Demain la Terre fédère les agriculteurs, les producteurs et les consommateurs qui veulent mieux manger au quotidien.

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Il a été finalisé fin 2010, après 3 ans de travail et de recherche avec les meilleurs spécialistes (experts agronomes, nutritionnistes, agriculteurs, laboratoires d’analyses…).

Le Référentiel développé montre des exigences toujours supérieures aux réglementations en vigueur. Contrôlé par un organisme indépendant et avec une obligation d’amélioration continue, il est l’un des plus complets sur toutes les dimensions du développement durable et de la responsabilité sociétale des entreprises (RSE) (source : CTIFL, 2018) et ses pistes d’évolution sont claires.

Marc De Nale souligne :

Le label Demain la Terre ? C’est tout simplement la référence RSE en agriculture fruits et légumes ! Il incarne une troisième voie avec l’agriculture conventionnelle et l’agriculture biologique.

Des fruits et des légumes riches en goûts, sains et accessibles à tous

Pour construire une relation de confiance dans la durée avec tous les acteurs de l’alimentation, dont les consom’acteurs, Demain la Terre prend des engagements forts :

Préserver la santé de tous

Les fruits et légumes restent une véritable source de vitamines et d’antioxydants grâce aux producteurs qui s’engagent à préserver toutes les qualités gustatives et nutritionnelles de leurs produits.

Encourager des pratiques durables

Les adhérents de l’association mettent en place depuis de nombreuses années des pratiques vertueuses pour réduire leur impact sur l’environnement et ainsi préserver la planète (produire sans produits chimiques, réduire la consommation d’eau potable, etc.).

Des produits accessibles à tous

Les producteurs s’engagent à pratiquer des prix justes, pour eux comme pour le consommateur, afin que l’alimentation saine et de qualité soit accessible à tout le monde.

Garantir la qualité des fruits et légumes

Contrôlé par un organisme indépendant, le label Demain la Terre va au-delà de la réglementation en vigueur et garantit une haute exigence de qualité, quel que soit le mode de production.

Promouvoir l’économie locale

Pour préserver la vitalité des territoires ruraux, les producteurs s’engagent sur toutes les dimensions du développement durable (économiques et sociales).

De la clarté et de la transparence pour une alimentation #FeelGood

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Le label Demain la Terre est un champion du développement durable puisqu’il comprend :

10 thématiques environnementales et sociétales

  • Réduire l’usage des pesticides, faire disparaître toute trace de résidu ;
  • Préserver les ressources en eau ;
  • Préserver la qualité des sols ;
  • Sauvegarder la biodiversité et les écosystèmes naturels ;
  • Réduire la consommation d’énergie fossile et l’émission de gaz à effet de serre ;
  • Réduire et valoriser les déchets, limiter la consommation de matière plastique ;
  • Favoriser une relation économique durable avec les parties prenantes ;
  • Développer une entreprise et une société plus humaines ;
  • Exiger les meilleures matières premières (pour les produits transformés) ;
  • Mettre en œuvre des recettes et des procédés responsables (pour les produits transformés)

70 critères précis, objectifs et mesurables

Ces critères fiables et transparents permettent d’apporter des garanties concrètes à tous les consommateurs.

Et surtout, ils aboutissent à des avancées notables et positives telles que :

  • Réduction de 30% en moyenne de l’utilisation de tout type de pesticides sur les 7 dernières années ;
  • Développement du recyclage, de la réutilisation et du fonctionnement en circuit fermé pour réduire la consommation d’eau ;
  • Création de 1 000 hectares de surface d’intérêt écologique, soit l’équivalent du Bois de Vincennes ;
  • Economies de 150 tonnes équivalent CO2, soit l’équivalent de 25 tours de la Terre en voiture ;
  • Valorisation à 100% des déchets de production pour lutter contre le gaspillage alimentaire ;

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L’agriculture responsable, c’est aussi informer et partager !

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Marc De Nale Directeur Général de l’Association Demain la Terre

Envie d’en savoir plus sur l’Association Demain la Terre, sur les 10 thèmes de son Référentiel, les producteurs et les actions menées pour améliorer la production et la consommation au quotidien ?

Demain la Terre vient de publier son Rapport de Développement Durable 2021 : https://demainlaterre.org/wp/wp-content/uploads/2022/04/Demain_la_Terre_RDD-2021.pdf

À propos de l’association Demain la Terre

Demain la Terre est une association loi 1901 de producteurs et transformateurs de fruits et légumes frais, créée en 2004. Elle a pour objectif de fédérer des entreprises de toute taille qui veulent penser, expérimenter et développer : une agriculture d’avenir, une troisième voie avec l’agriculture biologique et l’agriculture conventionnelle et raisonnée.

Elle rassemble aujourd’hui 23 entreprises agricoles de fruits et légumes, réunies autour d’une même vision de l’agriculture et du développement durable, alliant environnement/biodiversité, économie et social.

Demain la Terre a aussi développé son propre label en 2010 afin de répondre aux 3 enjeux du développement durable avec un cahier des charges comprenant des obligations de moyens ET de résultats.

Près de 220 000 tonnes de fruits et légumes frais ou transformés (jus, purées, coulis, compotes, etc.) ont été labellisés en 2021, soit environ 2% de la production française (pomme de terre incluse). 40 variétés de fruits et légumes (pomme, carotte, pomme de terre, fraise, salade, melon, endive…) sont concernées.

Demain la Terre, c’est aussi une communauté de consommateurs soucieux de prolonger leurs engagements citoyens par une alimentation respectant les producteurs, préservant la santé, la Terre et son avenir, tout en profitant de prix abordables.

Demain la Terre est l’un des membres-fondateurs du Collectif de la Troisième Voie des Filières Agricoles et Agroalimentaires Responsables.

Pour en savoir plus

Le rapport de développement durable 2021 : https://demainlaterre.org/wp/wp-content/uploads/2022/04/Demain_la_Terre_RDD-2021.pdf

Le label Demain la Terre : https://demainlaterre.org/communaute-de-producteurs/le-label-demain-la-terre/

Site web : https://demainlaterre.org/

Facebook : https://www.facebook.com/agriculturedemainlaterre

Instagram : https://www.instagram.com/demainlaterre/

LinkedIn : https://www.linkedin.com/company/22311892/

Polyter, pour l’agriculture et la reforestation, un antidote au dérèglement climatique

Alors que les scientifiques du GIEC ont alerté sur l’accélération du réchauffement climatique (source), l’Union africaine et 11 pays du continent se sont lancés dans un projet titanesque : la Grande Muraille Verte de Dakar à Djibouti.

L’objectif est de stopper la désertification du Sahel en restaurant 100 millions d’hectares de terres dégradées. Lancée en 2005, cette initiative devrait prendre enfin de l’ampleur dans les années qui viennent. En effet, lors de la COP26 à Glasgow, le FVC (Fonds Vert pour le Climat) et le FIDA (Fonds International de Développement Agricole) ont promis de financer ce rideau de verdure à hauteur de 143,2 millions de dollars d’ici 2025.

Mais concrètement, comment réussir à restaurer ces terres arides qui s’étendent sur une bande de plus de 8000 kilomètres de long et d’une quinzaine de kilomètres de large ?

Les arbres mettent beaucoup de temps à pousser… or aujourd’hui, face à la situation d’urgence, il faut aller encore plus vite.  Au vu des enjeux, l’Afrique ne peut plus se permettre d’attendre : il s’agit de préserver la paix, d’éviter la famine en facilitant la production de nourriture, et la création d’emplois (source).

D’où l’intérêt de la technologie Polyter. Fiable, éco-responsable, durable et rentable, elle a démontré son efficacité et son efficience depuis plus de 25 ans sur l’ensemble des continents.  Testée, validée et homologuée en agroforesterie, elle offre une approche holistique aux problématiques du monde végétal.

Avec à la clé des résultats bluffants, pérennes et durables : le cycle de développement des plantes est accéléré de 1,5 à 3 fois, tout en réduisant la consommation d’eau et d’engrais.

 

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Repousser le désert, un challenge désormais à la portée de tous

En 30 ans, de Dakar à Djibouti, le désert du Sahara a avancé de 400 kilomètres. A titre de comparaison, cela représente l’équivalent de quatre fois la superficie de la France.

Cette catastrophe écologique, aux causes multiples (surpopulation, surpâturage et coupe pour le combustible), provoque non seulement une déforestation massive, mais entraîne aussi des tensions économiques et sociales.

Dans ce contexte, pour enrayer la progression des sables dans ces régions, où les conflits se multiplient, il existe une solution : planter différentes variétés d’acacias et d’autres variétés d’arbres. Le but est de capturer l’azote de l’air pour enrichir les sols naturellement et ainsi bonifier le travail paysan. Les arbres, en stabilisant et nourrissant les sols, récréent un microclimat et autorisent la mise en place de programmes agricoles.

Polyter permet de relever ces défis et et de répondre à l’urgence de résultats concrets sur un plan agronomique et environnemental. Il s’agit en effet du seul hydrofertilisant capable d’apporter aux plantes, eau et engrais en fonction de leurs propres besoins.

Philippe Ouaki di Giorno, le fondateur, souligne :

Polyter apporte la garantie de réussir des programmes d’ampleur : cette technologie assure une reprise quasi-totale de ces plantations d’arbres avec un ratio inégalé de près de 100%. Elle accélère aussi leur cycle de croissance jusqu’à 3 fois suivant les variétés.

Polyter, un puits et un garde-manger permanent pour les plantes

Présenté sous la forme de granulés, Polyter va absorber l’eau de façon spectaculaire (jusqu’à 300 fois son poids sec initial). Les plantes et les arbres vont donc avoir à disposition toutes les ressources dont ils ont besoin pour un bon démarrage puis croître rapidement et se développer harmonieusement.

Une croissance qui est aussi optimisée par la particularité de cet hydrofertilisant : il baisse la température du sol pour supprimer toute source de stress. Les végétaux poussent ainsi beaucoup plus vite. De plus, à l’intérieur de Polyter, un engrais spécifique optimise le développement de la masse racinaire.

Avec, en prime, une innovation notable :

Les racines se greffent naturellement à Polyter, puisqu’il est pratiquement organique, il devient donc partie intégrante de la plante.  Cela permet d’atteindre des rendements qualitatifs inégalés : de 50 à 300% selon les cultures.

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Une technologie éprouvée

Polyter est utilisé avec succès depuis près de 30 ans dans plus de 70 pays partout dans le monde, dans les zones arides et semi-désertiques (Sénégal, Burkina Faso, Côte d’Ivoire, Namibie, Maroc…), ou, dans des programmes de prestige comme le Festival des Fleurs de Disneyland Paris (France) et Jumeirah Palm Islands Al Nakheel Properties à Dubaï (E.A.U.).

Les principales caractéristiques de Polyter

Fertilisation

Accélération des cycles de culture et du développement du chevelu racinaire ; réduction de la consommation d’engrais de 30 à 50% ; optimisation du rendement, de la qualité et de l’entretien de la production.

Hydro-rétention

Économise au moins 50 à 80% de la consommation d’eau, augmente les surfaces cultivées. Réduction des pertes par évaporation, percolation et lixiviation.

Activation

Accélère les cycles de développement des plantes de 1,5 à 3 fois. Multiplie le développement des masses racinaires et foliaires de 3 à 5 fois. Augmente les rendements et la qualité des production.

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Régénération des sols

Stabilisation et fixation des sols par ventilation et décompactage. Restructuration de l’humus. Réduction des pertes par lessivage de la structure du sol. Augmentation de la vie du sol.

Biodégradabilité

Totalement dégradable naturellement en 3 à 5 ans, selon le nombre de bactéries présentes dans le sol (Analyse certifiée par le COFRAC, Laboratoire INOVALYS, accréditation N°1-5755).

Sécurité

Aucun résidu dans le sol ou dans les productions. Aucun danger pour la faune et les utilisateurs. N° Agrément alimentaire BAES-DMT-2019-0147-06. Analyse certifiée CE par LAUS GmbH.

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La Polysphère, un écosystème de solutions développées autour de Polyter

Pour s’adapter à tous les besoins et permettre de concrétiser tous les projets de végétalisation, Polyter propose tout un écosystème d’innovations :

  • SkyVerde : Support végétal permettant la réalisation de toitures végétalisées avec la plus grande gamme végétale possible en créant la biodiversité et un microclimat.
  • PolyTurba : Base à mélanger à un sol inerte tel que sable et cailloux permettant la création d’aménagements paysagers dans des lieux improbables comme sur Palm Island à Dubaï.
  • PolyterFix : Technologie agissant sur le changement de la structure moléculaire de l’eau afin qu’elle ne soit plus gravitaire, donc verticale, mais avec un écoulement horizontal, et ainsi faire de grandes économies des apports en eau des cultures.

A propos de Philippe Ouaki di Giormo, l’inventeur du Polyter

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Né en 1958 à Tunis, Philippe Ouaki di Giorno vit en Algérie jusqu’en 1962 avant de venir en France.

Dès son plus âge, il développe une sensibilité pour l’environnement l’amenant très vite à se poser une seule et même question : « Pourquoi ne pouvons-nous pas admirer de notre vivant un arbre grand et majestueux que l’on aurait planté soi-même ?».

Philippe obtient en septembre 1977 son Diplôme de l’école d’horticulture Tecomah de Jouy en Josas (78), où il étudie l’agronomie, la physiologie végétale et l’horticulture.

Passionné et après des années de recherche, il met au point le Plantoïde, un composant qui a le pouvoir de générer en quelques mois des arbres centenaires, répondant ainsi à son rêve d’enfant. Il choisit ce nom en référence aux Humanoïdes de la science-fiction, dont il est un fervent lecteur.

En 1991, la profession et le monde horticole lui décerne le prix « Coup de chapeau du Jury » spécialement créé pour cette invention au salon Hortimat d’Orléans.

Philippe Ouaki di Giorno s’aperçoit très rapidement que le Plantoïde, dont l’objectif principal est l’élaboration d’une matière active, développe une masse racinaire aberrante de vingt fois supérieure à celle d’une plante traditionnelle.

Après un an de R&D, il réussit à diminuer l’augmentation de la masse racinaire, qui passe alors de 20 à 5 fois. C’est une petite révolution : sa solution est désormais utilisable et compatible dans tous les domaines de l’agriculture.

Début 1992, après être parvenu à un résultat optimum, il fabrique cette matière active qu’il nommera Polyter. Très vite, l’efficacité du Polyter est confirmée avec succès auprès des professionnels, amenant de très nombreux pays à son utilisation.

Pour en savoir plus

Présentation Polyter : https://www.relations-publiques.pro/wp-content/uploads/2021/11/Polyter-Brochure-2021.pdf

Site web : https://polyter.com/fr/polyter-gr.html

Facebook : https://www.facebook.com/Polyterofficiel/

Instagram : https://www.instagram.com/polyterofficiel/

LinkedIn : https://www.linkedin.com/company/polyter

Beaux Livres : “Paysâmes” de Johanne Gicquel, le regard d’une ex-paysanne sur les femmes qui ont épousé la terre

Un livre de clichés et de mots mêlés 

Du texte (conjugué au « je ») pour raconter des femmes ayant épousé la Terre (bretonne).
Des clichés (pas clichés). Du noir et du blanc pour dire les gris de la vie, raconter la vie dans les campagnes, raconter celles qui ont fait le choix (exigeant) de nourrir les autres.

“Paysâmes” est un livre singulier et hors-du-temps, qui sonne à voir toutes ces “invisibilisées” qui “font”, en pensant les Autres, en pensant la Planète. Ici, ce sont des femmes qui ont fait le choix – exigeant- de nourrir les autres.

Un univers que Johanne Gicquel connait bien, pour avoir été, elle aussi, paysanne. Ses textes, entre coups de gueule et chansons d’amour, disent la vie tout court.

Préfacé par la romancière et poétesse Marlène Tissot, ce livre donne à voir en 10 portraits 11 femmes, enrichis par les 2 poèmes de Yann Morel et 1 complémenterre qui fait écho avec l’actualité en apportant des éléments de connaissance et de compréhension du monde agricole.

L’idée n’est pas de sacraliser – parce que tout est toujours complexe, parce que rien n’est simple – mais d’apporter un regard humain sur d’autres humains. Car en matière d’agriculture, tout est blanc ou noir (soit les paysans sont accusés d’être des pollueurs, soit ils sont encensés). Bref, si le choix a été fait du noir et blanc, c’est aussi pour dire tous les gris de la vie.

Johanne Gicquel

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Un livre pour les femmes et pour les hommes (les leurs ou pas)

Paysâmes s’adresse à tous ceux qui veulent savoir ce qu’il y a dans leurs gamelles (celle des animaux et la leur).

Aux amoureux des bêtes à poils ou à plumes (les bêtes).

Aux Bretons, ceux d’ici et d’ailleurs, ceux de cœur.

A ceux qui aiment le pain (et les boulangères).

A ceux qui aiment les petites histoires (et la grande aussi).

Aux jeunes (ou pas) qui veulent épouser la Terre, pour un temps ou pour toujours (le temps d’un mariage ne se décrète pas).

A ceux pour qui le bonheur est dans le pré (et qui en oublient la gadoue).

A celles et ceux en devenir (en pensant à leur planète).

Paysâmes est un livre très personnel, que Johanne a mené d’un bout à l’autre : photographies, textes (hors 2 poèmes de Yann Morel), maquettage. Pour être libre du contenu du livre, de la forme, du fond. Car derrière la simplicité du propos, du ton adopté direct, c’est l’agriculture qui est interrogée (ses enjeux, locaux, nationaux, environnementaux, sociaux, …) – sujet ô combien polémique. A juste titre, on le comprendra dans le livre.

Et parce qu’elle a été 10 ans les mains dans la pâte et les pieds dans la terre, parce qu’elle a grandi dans ce milieu – rural, rude parfois, misogyne plutôt -, elle en est arrivée à se dire : oui, un livre sur l’agriculture, la vie des champs (il était dans sa tête depuis 12 ans) s’impose mais un livre qui donne à voir des femmes, des faiseuses. Pour croiser le regard.

Au-delà des portraits, la partie complémenterre du livre retrace 60 ans d’agriculture, depuis l’après-guerre. Un contenu qui montre pourquoi ce monde est devenu hyper-intensif et productiviste en région Bretagne, tout particulièrement.

Comprendre hier, pour saisir aujourd’hui et dessiner demain.

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Une démarche artistique affirmée

Le style de Johanne est atypique et multi-facettes, à son image.

Au niveau de la photographie, elle refuse les poses et les artifices. Ses clichés sont pris sur le vif, pour mieux refléter la vérité des conditions de travail de celles qui le font. Ils sont donc une valeur ethnographique. Avec, toujours, une grande exigence au niveau du graphisme.

L’écriture s’inscrit quant à elle sur plusieurs registres, entre textes bruts et poèmes, avec la volonté de poursuivre la mise en musique de textes (du livre ou pas, d’autres sont en attente). Pour écouter le 1e morceau composé et chanté par Philippe Pastor, c’est par ici : https://www.johannegicquel.com/paysames/miseenmusique/

Ce choix de la mise en musique a été fait par défi, jeu, envie, et motivée également par l’idée de toucher un autre public - moins lecteur peut-être, par envie de toucher au cœur. 

Sommaire

Préface

Intro

Paysâmes

Regard de femmes

  • Des images des clichés
  • De l’histoire qui nous fait
  • Mémé
  • Mémère
  • Au nom de la terre et de la famille

dessinRencontres

  • Gene
  • Stéphanie
  • Cécile
  • J’ai vu orange j’ai vu rouge
  • Enora
  • Fabienne
  • Christiane
  • Aziliz
  • Mon châtaignier mon dragon
  • Audrey lauriane
  • Ma paysanne
  • Chants de Terre – Yann Morel
  • Martine
  • Pollution – Yann Morel
  • Humeur noire
  • Françoise
  • (note)

Complementerre

  • Paysâmes du choix des mots
  • Femmes des terres bretonnes
  • Dis tonton
  • Hey Jo
  • 2020 je tu elles
  • Essenti(elle)s

Ultimes notes

portraits

Extrait

“J’ai voulu écrire sur les femmes – celles qui ont choisi d’épouser la Terre – parce que je suis une femme, parce que j’ai été, durant 10 ans de ma carrière, paysanne. Oui, j’ai fait mien ce mot – il n’a de sens ici que celui originel « celui d’un pays ».

Ce livre ? Je le porte depuis une douzaine d’années. Ce n’est donc pas – peu s’en faut – un ouvrage entrepris parce que ce serait à la mode, vendeur, bref, opportuniste.

Il y a 12 ans, je cultivais mes précieux légumes, je pâtonnais, je suais – au champ, au fournil –, j’aimais ça. J’aimais aussi expliquer mon, mes, nos métiers. Envie constante de partager des tranches et des tronches de vie.

Bref. Les années ont passé et la vie – hasard ou pas – m’a ramené ce projet de papier en pleine face. La projection d’un film – qui bouscule –, l’intérêt manifeste et circonstancié pour l’agriculture locale, qualitative [...]. Et puis, reste ce constat, flagrant, du déficit de culture terrienne. Epoque à la fois hyper et dé-connectée. Déconnectée de la nature, des réalités du temps – qu’il fait, qui passe –, des contingences matérielles, une époque éloignée, pour beaucoup, de celles et de ceux qui font l’agriculture et qui, pourtant – qu’y a-t-il de plus précieux –, les nourrissent.

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Le projet de livre réémerge donc. Son contenu évolue. De la photo, du noir, du blanc, pour dire tous les gris de la vie. Des textes, du « je », usé non par pur égotisme mais pour me réapproprier une parole souvent (auto-)confisquée. Des textes peut-être moins naïfs que je ne les aurais écrits il y a 10 ans, si tant est qu’ils aient pu être naïfs. Disons que, même si je suis née dans la marmite du parfait productivisme intensif breton, consciente des enjeux (locaux, territoriaux, sociaux…), il manquait l’expérience, le vécu.

La vie est passée par là, avec ses satisfactions, ses galères, ses réussites [...]. Oui, les pieds dans la terre, parfois dans la merde – disons-le –, ça ouvre les yeux, et rudement, sur les réalités du métier.

Bref. 2020. J’ai eu envie de croiser le regard et le faire avec des femmes – celles qui « pensent » leur métier, serais-je tentée d’écrire. Présomptueux ? Chacun jugera. J’ai eu envie de les raconter, elles, de les dire en images et en mots, et de fait, c’est une agriculture – bretonne, féminine – qui se dévoile.

Alors, vas-y.

Raconte-toi.

Raconte-moi.”

A propos de Johanne Gicquel, artiste et auteure (désormais) dans les herbes

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Johanne a grandi dans une ferme, une des plus grosses de Bretagne, à l’ombre d’un oncle leader de sa filière. Un seigneur de la Terre – certains le pensaient.

Attachée à la nature et à l’écologie (sa formation), elle a accompagné des paysans durables, bio, pendant plusieurs années. Puis elle a quitté ce métier de chargée de mission pour chausser les bottes. Par choix, par “conscience”, elle est devenue paysanne. Elle a vécu ainsi pendant 10 ans, entre champs et fournil.

Johanne est ensuite passée de l’agriculture à la culture tout court. Aux arts et aux livres. Par goût pour ouvrages de papier, pour raconter l’époque à sa façon : simple, directe, en mêlant les mots et les images.

Avec une ambition :”œuvrer” à faire connaître l’Autre (au sens nature ou humain).

Aujourd’hui, dans la continuité de Paysâmes, Johanne aimerait monter une exposition et développer un podcast pour parler des faiseuses, afin de valoriser la matière collectée, écrite et composée (dimension musicale du projet).

Elle souhaite aussi poursuivre le développement de sa maison d’édition, qui compte déjà 5 autres publications (1 conte pour enfant et 4 livres dans la collection Bulles de Vie pour raconter la nature environnante).

Informations Pratiques

“Paysâmes” de Johanne Gicquel

  • Dimensions : 20 x 30 cm
  • Impression en Ille-et-Vilaine sur du papier FSC et PEFC. Beau et brut.
  • 244 pages
  • 910 g
  • Prix : 29,00 €

Pour en savoir plus

Site web : https://www.johannegicquel.com/paysames

Commander Paysâmes, dans la boutik en ligne  : https://www.johannegicquel.com/boutiklivres/paysames/#cc-m-product-14325058532

Site web Johanne Gicquel : https://www.johannegicquel.com/

Facebook : https://www.facebook.com/oplurielle/

Instagram : https://www.instagram.com/oplurielle/

LinkedIn : https://www.linkedin.com/in/johanne-gicquel-856455170/

Silphie Days les 27 et 28 août : le premier événement international organisé autour de la découverte de la Silphie, une “plante écolo” qui révolutionne l’agriculture

L’agriculture française, très dynamique, évolue et se réinvente en permanence.

Souvent pointée du doigt pour son utilisation intensive de pesticides, sa forte consommation d’eau liée à la culture du maïs et ses conséquences sur l’environnement (ex : disparition des abeilles), elle explore désormais de nouvelles cultures qui allient éco-responsabilité et rentabilité.

Car les agriculteurs sont aussi en demandes de solutions qui leur permettent de vivre dignement de leur beau métier tout en respectant leurs valeurs.

D’où l’engouement pour la Silphie, une plante d’Amérique du Nord qui est très répandue à l’Est des Etats-Unis et au Canada.

Encore trop confidentielle, la culture de cette “plante écolo” permet pourtant de répondre positivement aux enjeux d’aujourd’hui et de demain.

C’est pour la faire découvrir à un large public que Silphie France, le fournisseur exclusif de la semence de Silphie ABICA Perfo, organise les Silphie Days.

Les Silphie Days est le premier événement international organisé autour de la culture de la Silphie. Les 27 & 28 août 2021 à DAMAS et BETTEGNEY dans les Vosges (88), dans une ambiance conviviale, les professionnels et les particuliers pourront assister à des conférences, des animations et des démonstrations.

De nombreux exposants seront également présents pour apporter tous les outils nécessaires à la réussite de cette culture nouvelle et prometteuse.

Plus de 3000 visiteurs, venus de toute la France et de l’étranger, sont attendus.

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2 jours pour tout savoir sur la Silphie

La Silphie est une plante pérenne qui répond à de nombreuses problématiques actuelles. Résistante, avec un fleurissement de juin à septembre, elle offre aussi une  garantie de rendement aux agriculteurs… sans nécessiter de travaux dans les champs ou d’utilisation de pesticides.

Mieux : grâce à sa forte capacité mellifère, elle contribue à protéger les abeilles et tous les insectes pollinisateurs (bourdons, mouches syrphides, papillons, etc.).

Durant les Silphie Days, chacun va ainsi pouvoir découvrir la culture, mais aussi le cycle, les nombreux avantages et les particularités de cette plante hors-du-commun.

Amédée Perrein, co-fondateur, souligne :

Nous avons conçu un événement exceptionnel, ralliant agriculture et grand public, grâce à un programme qui mixe convivialité et technique. Il y a même des pôles prévus pour les petits, afin de pouvoir accueillir les familles.

conférences

Zoom sur le programme de cette première édition

Des exposants pour trouver tous les outils & solutions

Le marché du terroir et celui du matériel agricole seront représentés sous toutes leurs facettes : constructeurs, négociants agricoles, partenaires financiers, assurances, paysagistes…

Des conférences pour se former

Vendredi et Samedi, à 10h30, Amédée Perrein animera des conférences pour dresser un tour d’horizon à 360° de la Silphie :

  • historique ;
  • présentation de la culture, son cycle et ses particularités ;
  • explication des utilisations et des débouchés.

animations

Des animations “so waouh” pour les grands et les petits

Les Silphie Days ont été spécialement conçus pour que tout le monde puisse venir, y compris les enfants. La bonne humeur est garantie !

Autour de la Silphie :

  • Démonstration d’ensilage, pressage, fauche et enrubannage ;
  • Visite de parcelles de différentes années ;
  • Présentation du semis et du semoir ;
  • Animations avec les exposants.

Pour se détendre et s’amuser :

  • Labyrinthe dans la Silphie ;
  • Aires de jeux pour les enfants ;
  • Vol en hélicoptère pour survoler les implantations de Silphie ;
  • Restauration sur place.

La soirée de gala

Le vendredi à 19h, un cocktail dinatoire est prévu avec 300 invités (partenaires, propriétaires de parcelles de Silphie).

Ce temps fort permettra de réseauter, d’échanger et de vivre un moment exceptionnel : concert des Diamond Soul (formation musicale soul avec 4 artistes), borne à selfies pour immortaliser cette soirée, animateur général…

Un large panel de possibilités

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S’il est aussi important de démocratiser la culture de la Silphie, c’est que cette plante multi-usages offre un large panel de possibilités, ce qui permet d’optimiser chaque parcelle cultivée :

La production de biogaz

La Silphie est un excellent co-substrat pour produire du méthane et du dioxyde de carbone. De plus, grâce à ses attraits écologiques, elle permet de combattre la mauvaise image de la branche biogaz consécutive aux concentrations en maïs ensilage et d’apporter une diversité dans les rations incorporé.

L’élevage

La Silphie ABICA Perfo peut être récoltée deux fois par an pour l’alimentation des bovins, ovins, porcins, caprins et daims : 1ère coupe début juin, 2ème coupe fin septembre. Entre les récoltes, une fertilisation est possible. Elle contient aussi plus de minéraux et oligo-éléments que le maïs, ce qui est important si la plante en coupe est utilisée comme fourrage.

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Les particuliers et les collectivités

La Silphie est idéale pour créer des Haies Brise-vue et des massifs de Fleurissement. Elle peut atteindre 2.5 à 3 m de hauteur et ses tiges florales qui apparaissent en fin de printemps sont hautes, solides et robustes. Elles portent au cœur de l’été des panicules de fleurs de composées jaune vif, semblables à des marguerites haut perchées très agréables à l’œil.

Les zones de non traitement et les zones de captage

Depuis le 1er janvier 2020, des distances minimales de traitement à proximité des habitations sont instaurées en fonction des cultures et des matériels utilisés. Cultiver de la Silphie dans ces zones permet de supprimer les traitements phytosanitaires, de créer une barrière végétale pour les cultures, d’augmenter la biodiversité et d’obtenir une belle floraison favorisant l’image citoyenne. De plus, elle protège les eaux souterraines et peut donc être cultivée dans les zones de protection de l’eau potable (zone de captage).

L’Apiculture

Les pieds de Silphie ABICA Perfo sont en fleurs pendant environ 8 semaines ou plus, de mi-juillet à fin septembre selon l’année. Pendant cette période, les fleurs attrayantes sont visitées par un grand nombre de pollinisateurs différents (abeilles, bourdons, mouches syrphides, papillons, etc.).

À propos de Silphie France

Implantée dans les Vosges, Silphie France développe en exclusivité depuis 2018 la Silphie Abica Perfo sur tout le territoire français. Elle intervient de la commande à la livraison, en passant par le suivi technique de cette culture.

En trois ans à peine, elle a contribué à implanter plus de 3200 ha de cette plante sur 80 départements partout en France.

Elle multiplie également les initiatives pédagogiques auprès des agriculteurs et du grand public : mise en place du Siphie Tour, édition d’une brochure explicative, création d’un simulateur de plantation, conseils pour associer la culture de la Silphie à celle du maïs, mise en place d’une FAQ sur le site web de Silphie France, …

Un livre pour enfant sur la silphie, avec des graines à semer

Silphie France finalise la préparation du livre “Abigael raconte-moi ta gentille géante”.

Ce livre a pour but de faire connaître la silphie aux enfants, avec une participation de leur part, puisqu’ils seront amenés à semer les graines (qui seront disposées sur le livre) et de communiquer leur expérience via l’adresse mail: abigael@silphie-france.fr.

Le livre est actuellement en phase d’écriture et sera prêt pour les Silphie Days. L’auteur sera présent pour le présenter et le dédicacer aux clients.

Portrait d’Amédée Perrein, co-fondateur

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Amédée Perrein vit depuis sa plus tendre enfance dans le milieu agricole.

Ce fils d’agriculteur, passionné par ce métier, a tout naturellement suivi un cursus scolaire axé sur l’agrofourniture et le commerce. Il est ensuite devenu co-gérant d’un négoce agricole (Hadn).

L’aventure Silphie France a débuté suite à la demande d’un agriculteur qui souhaitait implanter de la Silphie. Au vu des nombreuses qualités de cette plante aux potentiels infinis, Amédée a co-fondé Silphie France avec Arnaud Febvay afin de démocratiser l’accès à cette culture méconnue.

Les actions de communication lancées sur les réseaux sociaux ont eu un effet “boule de neige” car, très vite, la presse locale et nationale s’est emparée du sujet. Silphie France a ainsi obtenu une réelle reconnaissance dans le milieu agricole et un élan supplémentaire pour la commercialisation au niveau national.

Aujourd’hui, face à une demande grandissante et à une volonté de se développer en France & à l’étranger, Silphie France recrute de nouveaux collaborateurs.

Pour en savoir plus

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Les Silphie Days

Présentation des Silphie Days : https://www.silphie-france.fr/module/cms/Fichiers/SILPHIE-DAYS-DOSSIER-EXPOSANTS.pdf

Les Silphie Days : https://www.silphie-france.fr/silphie-days.html

Silphie France

Dossier de presse : https://www.relations-publiques.pro/wp-content/uploads/pros/20210702125529-p3-document-qggk.pdf

Site web : https://www.silphie-france.fr/

Facebook : https://www.facebook.com/silphiefrance/

Facebook Amédée Perrein : https://fr-fr.facebook.com/amedee.perrein

La Silphie, la “plante écolo” qui sauve les agriculteurs confrontés à la sécheresse

Cette année encore, les Français devront affronter une situation de sécheresse. Le Nord et le Pas-de-Calais ont déjà annoncé une limitation de la consommation d’eau (source) et ce n’est qu’un début… Selon Météo France, les étés caniculaires deviendront la norme dans les années qui viennent (source).

Or pour les agriculteurs, cette sècheresse récurrente est problématique. Les éleveurs se retrouvent rapidement sans fourrage car l’herbe des prés jaunit trop vite (source), les céréaliers et les maraîchers voient leurs cultures se dessécher.

D’où l’intérêt de la Silphie, une plante venue d’Amérique du Nord qui est très répandue à l’Est des Etats-Unis et au Canada.  Issue de la famille des Astéracées, elle résiste bien à tous les aléas climatiques qu’il s’agisse d’épisodes de sécheresse, de fortes pluies (elle peut résister 2 mois et demi en étant immergée) et de gel jusqu’à -40°.

Il y a mieux : la Silphie présente de nombreux atouts notamment au niveau agro écologique (plus de produits phyto sanitaires, réduction de l’empreinte carbone et rendements économiques élevés…) et elle offre de nombreuses possibilités d’utilisation.

Silphie France, le fournisseur exclusif de la semence de Silphie ABICA Perfo, constate au quotidien un réel engouement pour cette culture “nouvelle génération”, tant en France qu’à l’étranger.

En pleine période de crise économique, l’entreprise française affiche ainsi une  croissance dynamique malgré la crise et recrute de nouveaux collaborateurs. 

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Silphie France : aider l’agriculture à se réinventer

Implantée dans les Vosges, Silphie France développe en exclusivité depuis 2018 la Silphie Abica Perfo sur tout le territoire français. Elle intervient de la commande à la livraison, en passant par le suivi technique de cette culture.

En trois ans à peine, elle a contribué à implanter plus de 2000 ha de cette plante sur 40 départements partout en France.

La raison de son succès ? Sa forte présence aux côtés des agriculteurs et sa capacité à anticiper le nouveau visage de l’agriculture de demain.

Car de nouvelles tendances émergent et se développent : il y a le changement climatique (sécheresse, pluies diluviennes), l’appétence des professionnels et des particuliers pour des cultures plus respectueuses de l’environnement, et l’envie des agriculteurs de développer des cultures plus rentables…

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C’est aussi pour cela que Silphie France multiplie les initiatives pédagogiques auprès des agriculteurs et du grand public :

  • mise en place du Siphie Tour : des réunions de présentation partout en France (voir les dates) pour répondre à toutes les questions ;
  • édition d’une brochure explicative qui présente la culture de la Silphie en détail ;
  • création d’un simulateur de plantation pour connaître gratuitement la tarification d’un semis de surface agricole ;
  • conseils pour associer la culture de la Silphie à celle du maïs ;
  • mise en place d’une FAQ sur le site web de Silphie France ;

Amédée Perrein, co-fondateur, souligne :

Forts de notre expertise, nous pouvons accompagner les agriculteurs et les particuliers pour les aider à implanter et à entretenir cette nouvelle culture.

Une culture aux multiples facettes

Encore trop méconnue en France, la culture de Silphie connait pourtant un engouement croissant de la part de tous car elle offre un large panel de possibilités.

Elle peut en effet être utilisée dans de nombreux secteurs d’activité :

La production de biogaz

La Silphie est un excellent co-substrat pour produire du méthane et du dioxyde de carbone. De plus, grâce à ses attraits écologiques, elle permet de combattre la mauvaise image de la branche biogaz consécutive aux concentrations en maïs ensilage et d’apporter une diversité dans les rations incorporé.

L’élevage

La Silphie ABICA Perfo peut être récoltée deux fois par an pour l’alimentation des bovins, ovins, porcins, caprins et daims : 1ère coupe début juin, 2ème coupe fin septembre. Entre les récoltes, une fertilisation est possible. Elle contient aussi plus de minéraux et oligo-éléments que le maïs, ce qui est important si la plante en coupe est utilisée comme fourrage.

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Les particuliers et les collectivités

La Silphie est idéale pour créer des Haies Brise-vue et des massifs de Fleurissement. Elle peut atteindre 2.5 à 3 m de hauteur et ses tiges florales qui apparaissent en fin de printemps sont hautes, solides et robustes. Elles portent au cœur de l’été des panicules de fleurs de composées jaune vif, semblables à des marguerites haut perchées très agréables à l’œil.

Les zones de non traitement et les zones de captage

Depuis le 1er janvier 2020, des distances minimales de traitement à proximité des habitations sont instaurées en fonction des cultures et des matériels utilisés. Cultiver de la Silphie dans ces zones permet de supprimer les traitements phytosanitaires, de créer une barrière végétale pour les cultures, d’augmenter la biodiversité et d’obtenir une belle floraison favorisant l’image citoyenne. De plus, elle protège les eaux souterraines et peut donc être cultivée dans les zones de protection de l’eau potable (zone de captage).

Apiculture

Les pieds de Silphie ABICA Perfo sont en fleurs pendant environ 8 semaines ou plus, de mi juillet à fin septembre selon l’année. Pendant cette période, les fleurs attrayantes sont visitées par un grand nombre de pollinisateurs différents (abeilles, bourdons, mouches syrphides, papillons, etc.).

Une culture “green” et rentable qui contribue à préserver la planète

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Au niveau de la préservation de l’environnement, la Silphie présente de nombreux avantages :

Zéro pesticides : elle permet de se passer des produits phytosanitaires contrairement à toutes les autres cultures à partir de la deuxième année

Forte capacité mellifère : elle produit 150 kg de miel à l’hectare, fournit de la nourriture aux abeilles grâce à une floraison de mi-juillet à fin septembre, ce qui contribue à protéger cette espèce en voie de disparition.

Un fort rendement : la Silphie grandit lentement mais, dès la deuxième année, il est possible d’obtenir 6 à 7 tiges par pied. Au fil du temps, elle se développe et peut atteindre jusqu’à 80 tiges par pieds.

Plus de travaux dans les champs : pour sa croissance, la Silphie a simplement besoin d’une contribution minérale au Printemps. Les agriculteurs gagnent un temps fou tout en réduisant fortement leur empreinte carbone.

A propos d’Amédée Perrein, co-fondateur

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Amédée Perrein vit depuis sa plus tendre enfance dans le milieu agricole.

Ce fils d’agriculteur, passionné par ce métier, a tout naturellement suivi un cursus scolaire axé sur l’agrofourniture et le commerce. Il est ensuite devenu co-gérant d’un négoce agricole (Hadn).

L’aventure Silphie France a débuté suite à la demande d’un agriculteur qui souhaitait implanter de la Silphie. Au vu des nombreuses qualités de cette plante aux potentiels infinis, Amédée a co-fondé Silphie France afin de démocratiser l’accès à cette culture méconnue.

Les actions de communication lancées sur les réseaux sociaux ont eu un effet “boule de neige” car, très vite, la presse locale et nationale s’est emparée du sujet. Silphie France a ainsi obtenu une réelle reconnaissance dans le milieu agricole et un élan  supplémentaire pour la commercialisation au niveau national.

Aujourd’hui, face à une demande grandissante et à une volonté de se développer en France & à l’étranger, Silphie France recrute de nouveaux collaborateurs.

Pour en savoir plus

Présentation de la culture de la Silphie : https://www.relations-publiques.pro/wp-content/uploads/pros/20210301144256-p3-document-dpil.pdf

Site web : https://www.silphie-france.fr/

Facebook : https://www.facebook.com/silphiefrance/

Le Ministère de l’Ecologie condamné pour faute par la Cour d’Appel de Bordeaux : l’innovation française ECOBANG n’a pas besoin de reconnaissance pour le traitement des effluents phytosanitaires

C’est un combat surréaliste, digne de David contre Goliath, que livre actuellement une petite entreprise du Sud de la France contre le Ministère de l’Ecologie. Son crime ? Ne pas entrer dans cadre d’une procédure de reconnaissance que l’Etat cherche à lui imposer… alors qu’elle ne la concerne pas.

Après une première victoire devant le tribunal administratif, la société Vento-Sol et son dispositif ECOBANG viennent d’obtenir une nouvelle victoire devant la Cour d’Appel de Bordeaux.

Cette fois, la condamnation pour faute du Ministère de l’Ecologie a été confirmée.

La justice a considéré que notre dispositif ECOBANG aurait pu prendre 20 à 30% du marché agricole si le Ministère de l’Ecologie ne nous avait pas mis, à tort, autant de bâtons dans les roues  ! Ce sont ainsi des milliers d’appareils qui auraient pu être commercialisés… nous permettant de devenir leaders sur notre marché.

Nicola Vento, fondateur Vento-Sol

Il faut comprendre que, depuis 2006, tous les acteurs institutionnels du monde agricole (Agriculteurs, Chambres d’Agriculture, prescripteurs, distributeurs, formateurs, etc.) pensent que seuls les dispositifs inscrits sur la procédés reconnus peuvent être utilisés. De plus, selon le Ministère, seuls les dispositifs inscrits sur cette liste ont le droit d’être subventionnés (PCAE ou autres financements). Enfin, tous les agriculteurs ayant leur Certiphyto (formation obligatoire pour pouvoir acheter et utiliser les produits phytosanitaires) ont appris qu’ils doivent utiliser uniquement des dispositifs officiellement homologués.

En excluant ECOBANG de la liste officielle des dispositifs de traitement des effluents phytosanitaires, le Ministère de l’Ecologie l’empêche donc de toucher le marché français et étranger.

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L’histoire d’un gâchis qui aurait pu être évité en respectant simplement le Code de l’environnement

Les effluents phytosanitaires sont composés des fonds de cuve et des eaux de lavages et rinçages des pulvérisateurs, après les opérations de traitement des plantations.

Avec l’arrêté du 12 septembre 2006 relatif à l’utilisation des produits phytosanitaires, la France a été l’un des premiers pays à réglementer la gestion de ces eaux polluées par des traces de produits phytosanitaires. L’objectif de cette réglementation était de réduire les pollutions des eaux douces et des nappes phréatiques.

L’arrêté du 12 septembre 2006 (ensuite remplacé par l’arrêté du 4 mai 2017) propose aux agriculteurs 3 solutions pour gérer les effluents phytosanitaires:

  • Le stockage et l’élimination par un prestataire agréé ;
  • La vidange et l’épandage au champ ou sur une parcelle, en respectant certaines règles ;
  • Le traitement des effluents phytosanitaires avec un dispositif.

C’est ce dernier point qui pose problème. Le Ministère de l’Ecologie a en effet imposé une procédure de reconnaissance de tous les dispositifs de traitement des effluents phytosanitaires.

Comme l’explique Maître Alice TERRASSE, l’avocate toulousaine spécialisée en droit de l’environnement, qui a défendu la société VENTO-SOL, “selon l’article 9 de l’arrêté du 4 mai 2017 (ex article 8 de l’arrêté du 12 mai 2006), cette reconnaissance n’est obligatoire que si le déchet généré par le dispositif de traitement des effluents peut être épandu. Autrement dit, les dispositions prévues par cet article constituent une mesure dérogatoire à l’obligation de faire détruire des déchets dangereux dans des installations classées au titre du Code de l’Environnement.”

Par conséquent, comme le dispositif ECOBANG génère un déchet dangereux sec qui doit être éliminé en installation classée, il n’a pas besoin de cette dérogation autorisant l’épandage, et doit simplement respecter le Code de l’Environnement.

C’est ce que vient de confirmer la Cour d’Appel de Bordeaux, qui a suivi la position déjà adoptée précédemment par le Tribunal Administratif de Toulouse.

Cette décision de justice a aussi une autre conséquence importante : elle prouve que la liste officielle des dispositifs reconnus n’est pas conforme à la réglementation. En effet, 16 dispositifs sur les 18 qui ont été homologués par le Ministère n’entrent pas dans le cadre de la procédure de reconnaissance, car ils ne génèrent aucun déchet épandable.

https://youtu.be/susoubeRNyY

Chronologie d’une saga judiciaire : quand l’administration paralyse le développement d’une innovation française

2008-2010

Conception d’ECOBANG par Vento-Sol. Nicolas Vento crée un premier prototype, qui donne immédiatement de très bons résultats. Il réalise ainsi une quinzaine de prototypes entre 2008 et mars 2010 pour finaliser le produit final.

Juillet 2010

Le démarrage de l’activité est officiellement lancé… mais est immédiatement stoppé par des blocages administratifs : le Ministère de l’Ecologie impose une reconnaissance à ECOBANG.

Juin 2013

Après 3 années d’efforts, le Ministère reconnait finalement la première version d’ECOBANG… mais avec de telles restrictions que le dispositif est invendable. En septembre, Nicola Vento conteste cette reconnaissance.

2014

Après plusieurs échanges avec l’administration, Nicola comprend en février 2014 d’où viennent les blogages et pourquoi il est si difficile de faire reconnaître ECOBANG : le dispositif ECOBANG n’entrait pas dans le cadre de la procédure de reconnaissance.

Il écrit immédiatement au Ministère pour lui demander pourquoi il impose cette obligation alors que son dispositif n’est pas concerné. A partir de ce courrier, le Ministère cesse toute communication avec Vento-Sol.

Juin 2015

Après avoir épuisé tous les recours amiables, Nicola saisit le Tribunal Administratif.

15 Mai 2018

Le Tribunal Administratif de Toulouse donne raison à la société Vento-Sol. Le Ministère fait alors appel de cette décision.

10 novembre 2020

La Cour d’Appel de Bordeaux a confirmé la décision du Tribunal Administratif.

Et maintenant… un nouveau combat devant le Conseil d’Etat

Malgré cette belle victoire obtenue devant la Cour d’Appel, Vento-Sol n’est pas pour autant libre de développer la commercialisation d’ECOBANG comme elle le souhaiterait !

En effet, le Ministère de l’Ecologie se sachant en faute, il a fait évoluer sa réglementation le 27 décembre 2019, pour éviter d’avoir à modifier sa liste officielle devenue non conforme.

Or les changements apportés posent de sérieux problèmes juridiques et rendent ce texte non applicable selon Vento-Sol.

Ainsi, en août 2020, après avoir épuisé tous les recours amiables, la société Vento-Sol a saisi le Conseil d’Etat pour faire annuler les modifications du texte de loi.

Nicolas Vento, fondateur de Vento-Sol et créateur du dispositif ECOBANG

Nicola Vento, fondateur de Vento-Sol et créateur du dispositif ECOBANG

ECOBANG, une technologie performante et économique pour traiter les effluents aqueux

A l’origine, le système ECOBANG a été imaginé pour apporter une solution efficace aux problèmes de gestion des faibles volumes d’effluents aqueux.

Nicola Vento, qui travaillait déjà dans ce domaine, avait en effet identifié un besoin spécifique. Il a donc développé un dispositif “nouvelle génération” à partir d’un cahier des charges exigeant :

  • une technologie simple et fiable, fonctionnant sans réglages, afin de pouvoir être utilisée sans compétences particulières ;
  • l’adaptabilité aux cuves standards pour réduire les coûts au maximum ;
  • une création à partir d’équipements standards, là encore pour rester compétitif, et avec des outils simples ;
  • une solution vendue par correspondance ;
  • et un dispositif le plus économique possible.

Une solution en phase avec la réalité du marché

Aujourd’hui, ECOBANG présente de nombreux avantages pour ses clients :

Un fonctionnement en mode “zéro prise de tête”

ECOBANG n’est pas seulement une des solutions les plus économiques disponibles sur le marché. Elle sait aussi s’adapter à la réalité du terrain puisqu’elle convient quasiment à tous les types de cuves, y compris à celles que le client a déjà chez lui (le dispositif peut être adapté sur-mesure).

ECOBANG peut donc être utilisé pour les petites/moyennes/grandes cuves (en acier, plastique, béton, résine, etc), en intérieur ou à l’extérieur, enterrée/semi-enterrée ou aérienne. Et si besoin, les solutions concurrentes peuvent être remplacées ou transformées pour les rendre plus performantes.

De bonnes performances

La ventilation forcée utilisée par le dispositif favorise l’évaporation. De plus, avec ECOBANG, la surface de stockage nécessaire est beaucoup plus faible que chez ses concurrents.

Des services à 360°

ECOBANG a signé une convention avec l’Eco-Organisme ADIVALOR pour offrir à ses clients une solution de collecte des déchets.

Un acteur de l’économie circulaire

ECOBANG peut s’adapter à des anciennes cuves non utilisées par les clients. Ce faisant, il peut donner une deuxième vie à des cuves, et prolonge ainsi leur durée d’utilisation. VENTO-SOL est donc un acteur de l’économie circulaire.

Zoom sur les incontournables de la gamme ECOBANG

ECOBANG IBC/ GRV 

ECOBANG IBC/ GRV est le premier produit mis sur le marché par Vento-Sol. Vendu en kit adaptable aux cuves standards de 1000 litres, c’est la version la plus économique disponible pour gérer les effluents phytosanitaires. Le résidu sec est collecté après 5 années d’utilisation par ADIVALOR. Pendant ces 5 années, l’utilisateur n’a rien d’autre à faire que de remplir sa cuve.

ECOBANG IBC-GRV sur rétention

ECOBANG CP 900

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Pour caisse palette de 900 litres.

ECOBANG CP 900 est composé du dispositif ECOBANG associé à une caisse palette de 900 litres. Cette solution est livrée clef en mains, préassemblée et prête à l’usage. Elle ne nécessite aucun réglage, est évolutive si les volumes augmentent.

Le résidu sec après évaporation est conditionné dans une sache préalablement introduite dans la caisse palette, et sera éliminé par un prestataire agréé une fois par an.

ECOBANG 2000 à 6000

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Pour cuves acier de 2000 à 6000 litres.

Le couvercle amovible est breveté, et a la triple fonction de protection, préchauffage solaire et ventilation forcée ECOBANG. Le résidu sec est récupéré dans une bâche.

Cette version permet de gérer des volumes plus importants d’effluents.

A propos de Vento-Sol

Heureusement, malgré tous les blocages administratifs, ECOBANG continue à se développer et à installer ses dispositifs dans le milieu agricole.

Actuellement, sa gamme de produits est l’une des plus larges disponible sur le marché, et sans doute aussi l’une des plus économiques. Elle est actuellement composée de 3 solutions standards, et Vento-Sol est la seule entreprise capable d’équiper sur mesure quasiment tous les types de cuves.

Vento-Sol ambitionne désormais de devenir le leader du marché français, mais aussi européen, du traitement des effluents phytosanitaires.

En parallèle, fidèle à sa démarche pionnière, cette société innovante développe plusieurs autres solutions qui permettront d’élargir la gamme et d’augmenter les capacités d’évaporation des dispositifs proposés. L’objectif sera alors de toucher d’autres régions climatiques, d’autres pays, et d’autres marchés. Certaines de ces nouvelles solutions seront mises sur le marché dans le courant de l’année 2021.

Pour en savoir plus

Dossier de presse concernant la procédure judiciaire disponible sur demande.

Site web : https://www.vento-sol.com/

Facebook : https://www.facebook.com/entrepriseventosol/

LinkedIn : https://www.linkedin.com/in/nicola-vento-b26a6531/ 

Elevage du bétail : avec Datamars, l’identification électronique des animaux devient plus écologique et plus pratique

Le secteur de l’élevage du bétail est en pleine mutation. Les acteurs du secteur (éleveurs et EDE), conscients des enjeux environnementaux, sont à la recherche de solutions plus écologiques pour diminuer leur empreinte carbone.

Datamars, leader mondial de l’identification électronique, s’engage depuis toujours aux côtés de ses clients en leur proposant des outils éco-responsables adaptés à la réalité de leurs métiers.

Nous cherchons et développons en permanence des innovations qui améliorent le quotidien des éleveurs de bétail tout en répondant aux préoccupations actuelles liées au respect de la planète.

Indique Arduino Debellis, Directeur Général de Datamars France.

Datamars présente ses nouveautés pour faire de 2021 une année plus écologique mais aussi plus fonctionnelle.

 

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Contribuer à un avenir durable est à la portée de tous

Depuis son arrivée sur le marché de l’identification du bétail, Datamars propose régulièrement des solutions durables, adaptées au secteur de l’élevage.

Pour protéger l’environnement, Datamars utilise par exemple depuis plusieurs années des cartons recyclés pour expédier ses commandes. Ce geste simple permet d’agir concrètement pour limiter au maximum la production de déchets.

Pour aller plus loin dans cette démarche éco-responsable, Datamars vient d’obtenir la certification Ecoloop.

ecoloop | we will close it!

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Ovimars millésime bleu sur support Ecoloop

Un certificat écologique qualitatif

Ecoloop atteste que les plastiques utilisés pour les nouveaux supports de pendentifs proviennent du recyclage et qu’ils sont recyclables.

Créer un cercle vertueux

Le nouveau support Ecoloop (vierge de boucles)

Le nouveau support Ecoloop (vierge de boucles)

Les supports pour pendentifs vont passer du polyéthylène noir vierge au polypropylène gris recyclé. Une transformation qui a un impact très positif et fédérateur.

D’abord, parce qu’à terme, le plastique utilisé pour les supports des pendentifs sera exclusivement issu de déchets recyclés : emballages alimentaires, jouets, équipements de jeu pour enfants…

Ensuite, parce qu’il sera de couleur grise. Il faut savoir que la couleur noire n’est pas détectable directement par les trieuses automatiques, ce qui rendait les anciens supports difficilement recyclables. Désormais, les supports pour pendentifs utilisés par Datamars pourront également être recyclés et donner naissance à de nouveaux objets.

M. Debellis précise :

A notre échelle, nous voulons participer à une meilleure prise en charge du plastique : il s’agit de mettre en place une chaîne éthique de A à Z, pour que les déchets soient réemployés, valorisés puis à nouveau recyclés.

Une autre nouveauté pour améliorer les conditions de travail des éleveurs : le marquage des numéros agrandi pour les pendentifs OVIMARS

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Depuis le 1er décembre, il y a du nouveau concernant le marquage du numéro d’ordre des pendentifs OVIMARS !

Cette boucle, qui permet d’identifier les ovins et les caprins dans le cadre de programmes officiels ou pour la gestion du troupeau, va considérablement gagner en lisibilité.

Pour les éleveurs, ce changement proposé par Datamars présente un double avantage :

  • il n’y a pas de modification au niveau technique, donc ils peuvent poser et contrôler les boucles comme d’habitude ;
  • ils gagnent en confort de lecture, grâce à l’augmentation de la taille des caractères du numéro d’ordre, ce qui va simplifier leur travail.

Datamars, leader mondial de l’identification électronique de haute performance

 

Datamars développe, fabrique et commercialise depuis 30 ans des solutions d’identification innovantes pour 3 principaux marchés : identification du bétail, animaux de compagnie et marquage du textile.

Forte de son expérience dans les puces RFID et les systèmes intégrés, l’entreprise propose des solutions personnalisées et ciblées sur le marché de l’identification animale en France et dans le monde entier.

Datamars conçoit tous les composants clés de l’identification : tags, lecteurs, antennes, logiciel et services.

Datamars en quelques chiffres-clés

  • Plus de 30 ans d’innovation ;
  • Une présence dans 97 pays, dont la France, le Royaume-Uni, l’Espagne, les États-Unis, l’Australie et l’Argentine ;
  • 14 sites de vente et de production :
  • Plus de 1800 personnes ;
  • Plus de 100 millions d’animaux identifiés chaque année ;
  • Une croissance de 28 % par an.

Pour en savoir plus

Datamars SAS

Adresse : ZA champs des cannes, Route de Seurre, 21 200 Beaune

La boutique en ligne Datamars : http://laboutique.datamars.fr/

Site web : http://www.datamars.fr/

Facebook : https://www.facebook.com/DatamarsFr/

LinkedIn : https://www.linkedin.com/company/datamars-france

Tel : 03 80 24 28 59

Novacrid® par Éléphant Vert, une innovation 100% naturelle recommandée par la FAO pour lutter contre les invasions de criquets en Afrique.
Découvrez la solution à travers cet e-book/ou livre numérique.

 

 

Pour l’Afrique, l’année 2020 n’est pas seulement celle de la pandémie de Covid-19, elle est aussi celle d’une autre crise qui plonge plusieurs millions de personnes dans une totale insécurité alimentaire : l’invasion de criquets.

Il faut savoir que chaque criquet consomme chaque jour son propre poids en nourriture, soit environ 2 grammes. Cela n’a l’air de rien mais, lorsque ces insectes se déplacent en nombre, les dégâts sont considérables : un essaim de 40 millions de criquets consomme en une journée autant de nourriture que 35 000 personnes (source : observatoire des acridés des Nations Unies).

Selon l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), près de 800 000 hectares ont déjà été détruits en Afrique de l’Est (Éthiopie, Kenya, Ouganda, Yémen et Somalie). C’est tout simplement la pire invasion depuis 25 ans…

Les criquets pèlerins ne sont pas les maux d’une seule région : les essaims se dirigent vers l’Afrique de l’Ouest, ce qui causerait une crise alimentaire supplémentaire dans tous les pays qu’ils vont traverser : 9 millions de personnes s’ajouteraient aux 17 millions déjà touchées en ce moment (source).

Une situation que la France a intérêt à suivre de près, tant d’un point de vue humanitaire qu’environnemental, et ce d’autant plus que cette situation va prendre de l’ampleur dans les années qui viennent en raison du réchauffement climatique. D’autres pays ont dû déjà faire face à ce fléau, comme l’Inde qui a subi cette année la pire invasion de criquets depuis 1993 (source).

Dans ce contexte difficile, il y a pourtant un formidable espoir : le groupe Éléphant Vert a développé Novacrid, un insecticide biologique à l’efficacité prouvée – recommandé par la FAO – pour lutter contre les invasions de criquets.

Le concept : une substance active composée d’un champignon entomopathogène, présent naturellement dans le sol qui infecte les criquets par contact. Avec de vraies garanties : ce produit est sans danger pour le sol, l’environnement et la population.

Packaging Novacrid FR

Maud Le Bris, Directrice Communication du Groupe, souligne :

Aujourd’hui, Novacrid est la seule référence naturelle recommandée par la FAO en Afrique. Depuis le mois de janvier, nous avons déjà envoyé sur place plus de 4840 kg qui ont permis de traiter 96 800 hectares en Somalie, en Ethiopie, au Kenya et en Arabie Saoudite. 8435 kg supplémentaires sont en cours de livraison.

A propos du Groupe Éléphant Vert

Logo EV

Expert des micro-organismes, des approches innovantes et de la formulation des biointrants, le Groupe Éléphant Vert s’est engagé à créer, promouvoir et diffuser rapidement auprès des agriculteurs, selon une approche filière et culture, des biosolutions qui permettent de concilier :

  • Rentabilité pour l’agriculteur,
  • Accessibilité/qualité des productions,
  • Et développement durable.

Implanté au Maroc, Sénégal, Mali, Côte d’Ivoire, Kenya, Tanzanie, Belgique, Suisse et en France, le Groupe développe une offre en Afrique et en Europe, afin de participer à la conversion de l’agriculture vers des modèles durables.

Éléphant Vert, c’est :

  • 900 collaborateurs en Afrique et Europe,
  • 7 implantations dans le monde,
  • 7 unités de production,
  • la capacité de produire 180 000 tonnes de biofertilisants par an,
  • 800 000 à 1 200 000 hectares qui peuvent être traités en biopesticides par an,
  • 80 000 à 100 000 hectares qui peuvent être traités en biostimulants par an.

Pour en apprendre davantage sur l’historique du produit, ses caractéristiques, son mode d’emploi et les résultats obtenus grâce à son utilisation, n’hésitez pas à consulter notre livret sur Dossier Novacrid – Éléphant Vert-VDEF.

Pour en savoir plus

Site web : http://www.elephant-vert.com/produit/novacrid/

Dossier Novacrid : Dossier Novacrid – Éléphant Vert-VDEF

Groupe Éléphant Vert : http://www.elephant-vert.com/

Facebook : https://www.facebook.com/GroupeELEPHANTVERT/

Twitter : https://twitter.com/ELEPHANTVERT/

BIOARMOR, le spécialiste des solutions alternatives naturelles pour l’élevage, annonce l’ouverture d’un nouveau site industriel

Le secteur agricole, et plus particulièrement l’élevage, est en pleine évolution technologique. À l’heure de l’urgence climatique et de la prise de conscience autour des enjeux de l’élevage, de plus en plus d’éleveurs sont en recherche de solutions leur permettant d’allier pratiques éthiques et rentabilité. Ils veulent pouvoir travailler en accord avec leurs valeurs, tout en continuant à développer leur exploitation. Progressivement, les pratiques évoluent : à titre d’exemple, l’administration d’antibiotiques aux animaux a chuté de 40% en 10 ans (source). D’où le succès rencontré par BIOARMOR ! La PME bretonne, spécialisée dans les solutions naturelles pour la nutrition, l’hygiène et l’environnement de l’élevage, connaît depuis quatre ans une forte croissance de son activité. C’est pour répondre à cette demande toujours plus forte, que BIOARMOR ouvre un nouveau site industriel à la pointe de l’innovation dans les Côtes d’Armor. L’entreprise s’installe dans un bâtiment d’une surface de 10 000 m², soit 4 fois plus grand qu’auparavant. Logotype_Quadri

BIOARMOR entre dans une nouvelle dimension en faisant le pari de l’innovation

Fidèle à sa réputation de pionnière, la PME BIOARMOR ouvre un nouveau site industriel axé sur l’innovation permanente. Laurent RIO, le dirigeant, souligne :

Nous disposons désormais d’un pôle R&D intégré très performant qui nous permet de développer des formules inédites très efficaces ! En parallèle, nous nous donnons aussi les moyens de nos ambitions, à savoir relever tous les défis tout en restant dans la sécurité.

Les solutions BIOARMOR, toujours naturelles, représentent en effet des alternatives positives et saines favorisant la croissance d’élevages vertueux et performants. Ainsi, il est enfin possible d’en finir avec les solutions chimiques. BIOARMOR propose par exemple des produits nutritionnels naturels, une gamme pour l’Agriculture Biologiques et des détergents enzymatiques. Le secret de ces produits “nouvelle génération”, à la fois sains et vertueux ? L’utilisation d’huiles essentielles dont l’efficacité a été démontrée (source), ainsi que d’ingrédients complémentaires naturels aux multiples bienfaits. Chaque alternative naturelle proposée s’appuie en effet sur des dossiers techniques précis et rigoureux. En ouvrant ce site industriel dans les Côtes d’Armor, BIOARMOR favorise la réalisation de sa vision à long terme avec la préservation de l’environnement pour principale mission tout en augmentant ses moyens matériels et humains, mais aussi en internalisant tous les moyens de production.20200227131408-p3-document-ujda

Un engagement fort en faveur de l’économie locale

Pour maintenir la forte croissance que connaît la PME bretonne depuis 4 ans, BIOARMOR s’est installée dans un espace libéré par l’entreprise Honeywell. Cette société de fabrication de masques, créée à l’époque du SRAS (syndrome respiratoire aigu sévère), a dû faire face à une baisse de production et a donc fermé son site dans les Côtes d’Armor. Laurent RIO confirme :

Nous ne voulions pas voir une friche industrielle apparaître dans la zone de Plaintel ! La revitalisation de ce quartier était une de nos priorités. Nous voulions être en phase avec nos ambitions, qui sont nos moteurs depuis plus de 25 ans. Nous avons toujours été des avant-gardistes, motivés par la création de solutions conjuguant performance économique et respect de l’environnement.

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 En quelques mots, BIOARMOR c’est… :

  • 1 équipe R&D interne, spécialisée dans les huiles essentielles, les extraits de plantes, les prébiotiques, les probiotiques, les algues… ;
  • des technologies brevetées pour utiliser la juste dose de principes actifs ;
  • 1 usine intégrant les dernières technologies ;
  • 1 force de vente internationale pour proposer des solutions toujours plus efficaces et adaptées aux besoins des clients ;
  • plus de 25 ans d’expérience et d’innovation ;
  • une équipe d’une quarantaine de collaborateurs passionnés ;
  • une large gamme de produits qui fonctionnent, avec des résultats avérés et vérifiables ;
  • un service client réactif et à l’écoute des demandes de nos clients et partenaires.

Zoom sur les gammes incontournables de BIOARMOR

Pour améliorer la résistance des animaux

?????????????????????????????????????????????? RUMI PG : pour les ruminants Le RUMI PG augmente la résistance des animaux lors des caps délicats (périodes froides et humides par exemple) et passages sanitaires difficiles. Et pour un maximum de praticité, il peut être distribué à tous les ruminants sans contrainte pour les productions. Ce produit à l’efficacité prouvée depuis plus de 20 ans (20% des vaches en consomment durant l’hiver) et à la formule très économique, est composé d’extraits de plantes, de vitamine C, de vitamine E, de magnésium, d’argile et de levures mortes (pour la version poudre ou granulés) ou de sorbitol (pour la version liquide). STIMMUNACT : pour les porcs En cas de passage sanitaire difficile, le STIMMUNACT renforce la résistance des porcs grâce à son noyau d’huiles essentielles IMMULOR spécialement développé au sein de la R&D NUTRILOGIC BIOARMOR. Les animaux supportent ainsi mieux les micro-organismes environnants. Ils se rétablissent plus vite et retrouvent rapidement leur appétit, ce qui permet de sécuriser la croissance et la reproduction. Ce produit est composé d’extraits de plantes (pour la version liquide), de noyaux d’huiles essentielles IMMULOR (pour la version poudre), de vitamine C, de vitamine E, de magnésium et de sorbitol (uniquement pour la version liquide). AVISTIM : pour les volailles L’AVISTIM améliore la résistance des volailles lors des caps délicats (démarrages, vaccinations, transitions alimentaires…). Son noyau d’huiles essentielles IMMULOR issu de la R&D NUTRILOGIC BIOARMOR est spécialement développé pour un apport d’énergie hautement assimilable, un bon équilibre digestif, plus de tonus et de vitalité et de meilleures performances de ponte et de croissance. Il peut être utilisé pour sécuriser les démarrages de lots, les transferts ou détassages, les interventions sur les volailles (vaccinations, débecquage, dégriffage…), ou les transitions alimentaires. L’AVISTIM est composé d’un noyau d’huiles essentielles IMMULOR associé à un hydrolysat de levures (source de vitamines du groupe B, acides aminés, peptides, minéraux), d’extraits de plantes, de sélénium, de vitamine E et de vitamine B12.

Pour sécuriser la période entourant le vêlage et booster la lactation des ruminants

1_Photo_Nutrition_Page présentation de la gamme Le RUMISTART GREEN révolutionne l’élevage ! Fabriqué dans une usine certifiée STNO et convenant aux filières “nourris sans OGM <0,9%”, il est en effet le premier propylène glycol d’origine végétale garanti sans OGM en France. Il associe des ingrédients complémentaires (acides gras volatils, sorbitol, cobalt et extraits de levures) avec une formule à forte appétence. Il permet au rumen et au foie d’être plus performants pour un démarrage en lactation sécurisé. Il réduit aussi considérablement le risque de cétose (25% des vaches laitières en souffrent en début de lactation), améliore la reproduction et contribue au bon état général des ruminants https://vimeo.com/260432037

Pour assécher et ensemencer les litières et les sols

Schwein Le SOLUSAFE améliore l’équilibre microbien de litières et des déjections des animaux tout en asséchant litières et sols. Son complexe enzymatique et bactérien a pour effet d’acidifier le milieu et de créer une flore positive. L’objectif est de diminuer les risques sanitaires et de mieux valoriser les effluents. Concrètement, le SOLUSAFE a une double action :

  • Hygiène : colonisation du milieu par une flore positive, assainissement de la zone de couchage, réduction de l’humidité des litières, réduction de l’émanation de gaz irritants, amélioration du bien-être des animaux.
  • Assèchement : assèchement efficace, amélioration de la tenue des litières, diminution de la fréquence de curage et des odeurs.

Le SOLUSAFE existe également en version 100% bio sous le nom de COCOON FLORE.

À propos de Laurent RIO, le dirigeant de BIOARMOR

Laurent RioLaurent RIO, 41 ans, costarmoricain d’origine, est à la tête de BioArmor (22), mais aussi de Caroual Finances (35) et Bois Valor (81). Ingénieur diplômé de l’ICAM et de l’ESSEC, il a fait ses armes en management consulting au sein de Roland Berger puis en tant que directeur M&A pour le groupe Roullier, aussi bien en France qu’aux Etats-Unis, en Angleterre ou en Espagne.

Pour en savoir plus

Site web : https://bioarmor.com/ LinkedIn : https://www.linkedin.com/company/bio-armor Facebook : https://www.facebook.com/bioarmordeveloppement/

XTRM Systems : le produit anti-crevaison qui résiste même à une mitrailleuse de 12,7 mm

Et si les pneus devenaient enfin increvables, même lorsqu’ils roulent sur des pointes, du verre ou un clou ?

La société XTRM Systems, a inventé une solution anti-crevaison ultra-efficace et unique au monde puisqu’elle résiste à tout, y compris aux perforations importantes, comme celles causées par les tirs d’une mitrailleuse de 12,7 mm !

Une aubaine pour les professionnels : alors qu’environ 30 millions de pneus sont remplacés chaque année en France, les professionnels évoluent souvent sur des terrains difficiles, dans des conditions parfois extrêmes, ce qui rend les crevaisons particulièrement fréquentes.

Ils vont donc pouvoir réaliser des économies substantielles, gagner un temps précieux et agir concrètement pour préserver la sécurité des personnes.

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La fin du cauchemar de la crevaison

Dans les milieux professionnels du BTP mais aussi agricoles, industriels et militaires, une crevaison est une véritable catastrophe, car elle survient toujours au mauvais moment.

Au-delà du coût et du temps passé à réparer, c’est en effet le chantier en cours qui doit s’interrompre, occasionnant ainsi de grosses pertes financières. En agriculture par exemple, avec l’augmentation de la taille des parcelles, si la moisson s’étale dans le temps à cause d’une crevaison, c’est toute la qualité de la récolte qui est compromise.

Les crevaisons augmentent aussi le risque d’accident, et compromettent donc la sécurité du personnel. Parfois, même sans accident, le danger est bien réel : dans le cas de manœuvres militaires ou de chantiers sensibles, l’immobilisation en elle-même peut avoir de lourdes conséquences.

D’où l’intérêt de l’innovation XTRM Systems, une solution d’exception.

XTRM Systems est un fluide préventif et curatif de dernière génération compatible avec les élastomères et les parties métalliques. Préalablement installé par la valve ou le flanc du pneumatique, XTRM Systems contribue à la diminution de l’air par crevaison ou porosité.

Concrètement, cela signifie que le pneu devient increvable, même en cas de perforations importantes ! La preuve en image avec ce test réalisé par une armée d’Amérique du Sud :

https://youtu.be/c_JzPmVITjE

Des tarifs imbattables, la qualité en plus

Parfois imitée mais jamais égalée, XTRM Systems est une entreprise pionnière puisqu’elle est la seule à fabriquer sa propre gamme de produits crevaisons. La formulation exclusive de ses produits a d’ailleurs fait l’objet de brevets déposés.

Pour démocratiser cette qualité déjà reconnue par les professionnels du monde entier (armée, BTP, secteur agricole et industriel), XTRM Systems a décidé, en août 2019, d’ouvrir sa propre usine de production en Tunisie.

Patrice Chauvin, le fondateur, précise :

En maîtrisant le circuit de production de A à Z, nous sommes passés d’un coût de 9€/kg à 5€/kg à la tonne. Ce gain de trésorerie nous a ainsi permis de continuer à améliorer les performances de nos produits mais aussi de proposer des tarifs attractifs par rapport aux concurrents chinois, qui proposent des copies de mauvaise qualité mais qui inondent le marché.

Avec, toujours, la même exigence de disponibilité et de réactivité. XTRM Systems dispose d’ailleurs d’un bureau en France (en Haute-Saône) et aux Etats-Unis pour une plus grande proximité avec ses clients.

Agriculture

Efficace contre les crevaisons… mais pas seulement !

Le produit anti-crevaison développé par XTRM Systems est particulièrement économique puisqu’il est également anti-surchauffe. Il protège le pneu contre l’usure et l’éclatement, et augmente même ses performances.

Il s’agit également d’une solution durable qui, tout en réduisant significativement les frais d’immobilisation, permet aussi de réutiliser et de réparer le pneu (le produit est lavable à l’eau, il se retire donc très facilement si besoin).

Autre avantage : sa formulation sans latex est respectueuse des autres matériaux, elle ne détériore donc ni le caoutchouc, ni le métal.

La capacité de créer des solutions sur mesure

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XTRM Systems dispose de solutions adaptées à chaque situation et à tous les besoins.

Ses gammes de produits sont notamment performantes sur :

  • Les pneumatiques agricoles, 4×4, véhicules de tourisme, vélos, VTT, motos ou quads, tondeuses autoportées, fauteuils roulants…
  • Les pneumatiques d’engins de travaux publics : construction et levage, grues télescopiques, chargeurs sur roues, excavateurs, remorques…
  • Les pneumatiques pour véhicules logistiques à vitesse lente : camions hors route, tracteurs, remorques, camions citernes, véhicules blindés…
  • Les pneumatiques militaires et notamment les chars à roues gonflées à l’air.

Patrice Chauvin souligne :

Nous pouvons protéger n’importe quel pneu contre le risque de crevaison et donc tous les véhicules. Et pour tous ceux/celles qui travaillent dans des conditions extrêmes ou particulières, nous pouvons aussi créer des kits sur-mesure notamment pour les pays très chauds/très froids ou pour les risques de perforations importantes (comme celle d’une mitrailleuse de 12,7 mm).

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Les (grands) petits plus de cette solution “nouvelle génération”

  • Un produit innovant
  • Pour tous les pneus : de l’engin de chantier en passant par le vélo ou le quad
  • Un produit qui assure sécurité et sérénité
  • Une utilisation des pneus possible dans des conditions extrêmes
  • Des produits spécifiques à chaque véhicule, à chaque utilisation
  • Un produit sans danger pour tous les systèmes TPMS

XTRM Systems : plus de 15 ans d’expérience et une notoriété internationale

Patrice Chauvin, ancien militaire de carrière, s’investit dans le concept XTRM Systems à la suite de sa participation au Salon Eurosatory de 2004 et 2006. Il travaille à la R&D du produit avec son équipe pour déposer un brevet INPI innovant dans la technologie réfrigérante du pneumatique sans azote.

Aux côtés d’Amélia, qui effectuait déjà depuis 1994 un travail de R&D sur le terrain, améliorant la technologie avec l’aide d’un centre de recherche européen, ils parviennent à cette dernière innovation dans le domaine des produits anti-crevaison.

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En 2005, la société perfectionne une nouvelle fois ses formules et propose trois grandes gammes de produits :

XTRM T3, s’installant par la valve du pneu, avec ou sans chambre, s’adaptant aux crevaisons et aux porosités faisant jusqu’à 6 mm de diamètre.

XTRM T6, créée spécifiquement pour l’injection par le flanc dans des pneus tubeless, s’adaptant aux crevaisons et aux porosités faisant jusqu’à 8 mm de diamètre.

XTRM T6 MIL, la solution super strong pour les pneumatiques tubeless des véhicules militaires ou spéciaux, évoluant sur des terrains difficiles : une protection accrue pour colmater les crevaisons et les pertes de pression sur des bandes de roulement comprises entre 12 et 20 mm de diamètre et sur des flancs inférieurs compris entre 8 et 10 mm de diamètre.

Elle crée ensuite l’XTRM T1 Flash, une solution spécialement conçue pour démocratiser l’accès à la solution anti-crevaison. Elle est adaptée aux crevaisons allant jusqu’à 4 mm de diamètre et elle s’injecte par la valve. Elle convient également aux pneus sans chambre à air.

Aujourd’hui XTRM Systems ambitionne d’élargir son réseau de revendeurs en France et aux Etats-Unis.

Pour en savoir plus

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Site web : https://xtrmsystems-tn.com/

Facebook : https://www.facebook.com/anticrevaison

Instagram : https://www.instagram.com/patricechauvin3079/

LinkedIn : https://www.linkedin.com/in/patrice-patricechauvin-54049819/

YouTube : https://www.youtube.com/channel/UCU5Qcm1qBblt5Q836eNMZ3g

Boursagri®, fête ses 1 an et s’impose comme une référence dans le milieu de l’agriculture

Ce n’est un secret pour personne : le secteur de l’agriculture est en crise.

Dans le domaine spécifique des céréales, il est notamment marqué par des intérêts a priori contradictoires :

  • d’un côté, les agriculteurs cherchent à obtenir le prix le plus élevé et à se tourner vers les circuits les plus courts pour préserver leur marge.
  • d’un autre côté, les meuniers, les industriels, les fabricants d’aliments du bétail (FAB), les organismes de stockage (OS), les éleveurs… cherchent à acheter au prix le plus bas.

Les enjeux sont de taille : selon la FAO (Food and Agriculture Organization), le marché des céréales explose. En 2019, la production mondiale a augmenté de près de 57 millions de tonnes pour atteindre le record de 2, 714 milliards de tonnes (source). Mais les agriculteurs, producteurs à l’origine de toute la chaîne, sont loin d’être toujours gagnants !

Dans ce contexte, une start-up de 100 ans révolutionne l’agriculture en la propulsant à l’ère du 2.0.  Boursagri® est un concept inédit et disruptif imaginé et développé par l’entreprise familiale, les ETS Jeudy, négociant en grains chevronné du centre de la France.

Cette plateforme interconnectée et très innovante permet de commercialiser des céréales en direct et donc au meilleur prix, grâce à un système de “matching” automatique.

Un an à peine après son lancement, le succès est au rendez-vous puisque Boursagri® a largement dépassé ses objectifs initiaux et ce n’est que le début d’une très belle aventure pour ce nouvel acteur de l’AgriTech en France !

 

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Le “matching” automatique : une innovation qui réinvente la place de marché

Boursagri® est une place de marché nouvelle génération 100% dédiée aux acheteurs, aux vendeurs et à tous les acteurs de la filière céréale.

Tous peuvent interagir sur une plateforme en ligne sans abonnement, entièrement gratuite et sécurisée. Boursagri® se rémunère à la tonne avec un montant transparent pour toutes les transactions.

Ce nouveau marché ouvert se démarque par un process breveté et incontournable : le matching.

Concrètement, cela signifie que tout devient SIMPLE !

Boursagri® fait se rencontrer automatiquement les ordres de vente et les demandes d’achat à partir de critères communs (produit, zone géographique, périodes, prix…). Il suffit d’offrir ou de demander et, hop, le match s’opère et le contrat est envoyé en instantané.

La sécurité de la transaction est assurée par les ETS JEUDY, porteurs de la marque Boursagri® : ce sont eux qui paient les vendeurs et qui facturent les acheteurs.

Mathilde Overzet, responsable communication, précise :

Boursagri® est l’unique place des marchés céréaliers en ligne et a pour vocation de devenir une référence ! Nous privilégions également une agriculture de proximité, au départ des fermes. Nous redonnons ainsi une vraie marge aux agriculteurs (ils fixent eux-mêmes leurs prix) et simplifions les circuits au profit du prix !

Un concept gagnant-gagnant qui profite à tous

Boursagri® propose un modèle vertueux qui profite à tous les acteurs de la filière céréalière.

Pour les vendeurs : la garantie de vendre au meilleur prix

Avant, vendre des céréales était une tâche fastidieuse et complexe. L’agriculteur n’avait aucune référence pour s’assurer de vendre au meilleur prix. En effet, il fallait appeler les OS : Organismes Stockeurs (négoce/coopérative) pour les interroger sur le marché, le prix, les dates d’exécution… Il y avait alors deux options :

  1. L’OS donnait un prix, une possibilité rapide de chargement, et une garantie de paiement ;
  2. Le courtier proposait un achat à un prix un peu plus avantageux que l’OS grâce à la vente en direct (sans garantie de paiement).
    Mais dans tous les cas, le vendeur se posait toujours la même question : “Ai-je vendu au meilleur prix du jour ?”.

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D’où l’intérêt de Boursagri® : cette plateforme intuitive et sans engagement permet aux agriculteurs de fixer eux-mêmes leurs prix en fonction d’un marché totalement transparent pour pouvoir se positionner. Cette transparence permet à tous les acteurs d’être en concurrence et donc d’offrir le meilleur prix aux agriculteurs.

Les agriculteurs ont aussi une vraie liberté de choix : soit ils vendent directement via la place de marché, soit ils déposent une offre de vente en attendant le matching.
De plus une nouvelle porte de commercialisation leur est ouverte, celle de l’éleveur. Boursagri® est la première place qui rapproche les éleveurs et les céréaliers !
En effet les céréaliers n’ont pas le droit (en France) de vendre en direct aux éleveurs, il faut un collecteur de taxes, grâce à Boursagri® ce problème est résolu et les affaires sont ouvertes !

Pour les acheteurs : intermédiaires en moins et logistique optimisée pour plus d’économies

Les acheteurs, quant à eux, peuvent trouver les céréales à des prix plus avantageux, c’est le rôle de l’innovation disruptive : avec des intermédiaires en moins les prix deviennent plus intéressants. Boursagri® leur permet aussi d’optimiser leur logistique autour de chez eux ou sur un retour de camion. Au delà du circuit court, l’optimisation logistique permet d’améliorer considérablement l’impact carbone sur le transport des céréales.

Les meuniers, les industriels, les fabricants d’aliments du bétail (FAB), et les éleveurs (comme évoqué) utilisent la plateforme au quotidien pour saisir des opportunités sur la place de marché. Ils peuvent également déposer une demande d’achat sur une zone spécifique pour un futur match.

Ainsi, depuis son lancement, la place de marché propose une large gamme de références :

  • Céréales : Blé, Orge, Triticale, Avoine, Maïs, Sarrasin…
  • Oléagineux : Colza, Tournesol
  • Protéagineux : Pois, Féveroles…

Mais face à la demande, elle a décidé d’aller plus loin et d’enrichir son offre dès 2019 en proposant également du Maïs cribs, de la Févérole, du Seigne meunier, du Sorgho.

De plus, d’ici l’été 2020, Boursagri® proposera également des céréales issues de l’agriculture Bio.

Raphaël Jeudy, le fondateur, confirme :

Nous étudions toutes les demandes ! Les Boursagrinautes peuvent déposer des produits spécifiques qui sont automatiquement classés et analysés afin d’étudier contrats et débouchés… Plusieurs nouveaux produits seront ouverts courant 2020 sur Boursagri®…

Une innovation qui fait un carton

Sous le modèle tâche d’huile, Boursagri® a marqué son lancement autour d’une zone solide d’implantation, l’Auvergne, puis s’est développée vers le Rhône-Alpes, le Centre, le Limousin, la Bourgogne et continue de venir à la rencontre des acteurs de la filière afin de se développer au national.

Depuis son lancement officiel le 15 février 2019, ce nouveau fleuron de l’AgriTech a le vent en poupe avec :

  • plus de 3 500 ordres déposés sur sa place de marché ;
  • plus de 2 500 utilisateurs représentés par des fabricants d’Aliments, meuniers, industriels, éleveurs et céréaliers ;

Raphaël Jeudy souligne :

Cette réussite nous permet d’envisager l’avenir avec optimisme et de nous ancrer vers une démarche de promotion de l’innovation et du numérique pour une agriculture performante et durable. Mais, il faut savoir rester terre à terre car la route est encore longue pour promouvoir l’outil sur tout le territoire !

L’expertise d’un acteur centenaire sur le marché agricole

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Derrière Boursagri®, il y a les ETS JEUDY, une entreprise qui est Organisme Stockeur (OS) depuis 1923.

Cet intermédiaire incontournable dans l’agriculture est tous les jours confronté à des agriculteurs en quête du prix le plus haut et des acheteurs de céréales à l’affût du prix le plus bas.

Gilles Jeudy, dirigeant des ETS Jeudy, précise :

En tant qu’OS, nous avons des charges importantes, justifiées par nos infrastructures, la collecte et le stockage de grains. Mais pour les agriculteurs disposant eux-mêmes de leur propre stockage, notre offre de mise en marché n’est plus adaptée. À l’heure du web et de la transparence des prix, au moment où les cotations ne rémunèrent plus les agriculteurs, il nous a donc fallu imaginer une nouvelle forme de commercialisation pour réduire nos coûts de façon spectaculaire.

Avec son fils Raphaël, ils ont alors eu l’idée d’un projet novateur : digitaliser l’agriculture en permettant à tous les acteurs de ce secteur d’accéder à une place de marché nouvelle génération.

Ensemble, ils travaillent durant 4 ans à mûrir et à peaufiner Boursagri® dans la plus pure confidentialité. Le projet est alors officiellement dévoilé le 15 février 2019.

Le succès est vite au rendez-vous et l’innovation Boursagri® est récompensée par de nombreux prix : Trophée de l’Innovation du journal de l’Eco, Trophée des entreprises (catégorie “Ils innovent”) et Trophée des Conseils.

Aujourd’hui, la Dream Team Boursagri® est composée de :

  • Mathilde Overzet, Responsable communication.
  • Laetitia Lamartine, Responsable qualité céréales.
  • Victor Havet, Chef de projet.
  • Christophe Morel, Responsable réseaux et exécutions.
  • Gilles et Raphaël Jeudy, Fondateurs.

Pour en savoir plus

Dossier de presse : https://www.relations-publiques.pro/wp-content/uploads/pros/20200206071411-p5-document-gato.pdf

Site web : https://www.boursagri.com/

Facebook : https://www.facebook.com/boursagri/

Instagram : https://www.instagram.com/boursagri/

LinkedIn : https://www.linkedin.com/company/boursagri/?viewAsMember=true

Du 6 au 29 novembre 2018 : Les Bio Pratiquent en Pays de la Loire

Avec la demande croissante des consommateurs, l’agriculture biologique a le vent en poupe ! Au 31 décembre 2017, 36 691 producteurs étaient engagés dans cette voie (+13,7% par rapport à 2016) et, grâce à de belles perspectives d’avenir, le secteur est même un gros pourvoyeur d’emplois : entre 2010 et 2015, les recrutements ont augmenté de 10 669 emplois en temps plein entre 2017 et 2016, soit +13,7 % (source).

Mais concrètement, comment se convertir à l’agriculture biologique et comment obtenir des résultats conformes aux objectifs des producteurs ?

Pour répondre à ces questions et partager leurs savoir-faire, le réseau des producteurs biologiques des Pays de la Loire (CAB – Coordination Agrobiologique – et GAB / CIVAM Bio – Groupement des agriculteurs biologiques) organise pour la 8ème année consécutive Les Bio Pratiquent.

Du 6 au 29 novembre 2018, 14 fermes ouvriront leurs portes aux professionnels et étudiants du secteur de l’agriculture pour faire découvrir les techniques bio et la valorisation des produits.

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Et si 2019 devenait l’année de la transition vers toujours plus de bio ?

Si les surfaces certifiées bio ont augmenté de 17% en 2017 dans toutes les filières de l’agriculture (céréales, élevage, viticulture…), ce n’est pas un hasard ! Le bio est plébiscité tant par les consommateurs que par les producteurs.

Dans ce domaine, les acteurs des Pays de la Loire, qui représentent une des premières régions françaises en surface agricole, ont un rôle déterminant à jouer. Un record historique d’installations a été battu en 2016 et près de 10% des exploitations sont désormais orientées en agriculture biologique (source).

Mais il est possible d’aller encore plus loin ! Pour encourager, soutenir et valoriser la filière bio, les producteurs de la région des Pays de la Loire se mobilisent autour de la Coordination Agrobiologique, la CAB, et ouvrent les portes de leurs exploitations aux professionnels et étudiants du 6 au 29 novembre

Patrick Lemarié, chargé de mission à la Coordination AgroBiologique des Pays de la Loire sur le développement de la production bio (installations et conversions) et la diffusion des techniques, souligne :

Les Bio Pratiquent ont émergé il y a 8 ans autour d’une idée forte : favoriser les échanges directs de producteurs bio expérimentés avec d’autres producteurs désireux de découvrir ce mode de production : partage des savoir-faire, des parcours suivis pour aboutir à des résultats techniques et économiques qui correspondent aux objectifs des producteurs. Cette année ce sont 14 fermes qui ouvrent leurs portes en production de volailles, bovins lait, bovins allaitants, maraîchage et grandes cultures.

Les Bio Pratiquent : un événement axé sur le concret qui attire chaque année plus de 600 visiteurs

Les Bio Pratiquent représentent une formidable opportunité pour échanger, bénéficier de retours d’expérience et enrichir la réflexion de chacun(e) sur l’évolution de son système de production en abordant différentes thématiques telles que la réduction des produits phytos, la préservation de la biodiversité, la réduction des charges et la meilleure valorisation de leurs productions.

L’accent est mis sur les solutions qui marchent et sur les réponses pragmatiques aux difficultés rencontrées.

Les producteurs témoignent du fonctionnement global de leurs ferme, mais aussi de tous les aspects techniques ou économiques qui peuvent aider d’autres producteurs à se lancer dans l’agriculture biologique.

En parallèle, les différents réseaux d’accompagnement des producteurs (centres de gestion, CIVAM, vétérinaires, CUMA, Chambre d’agriculture…) et les organisations économiques (laiteries, négoce et coopératives en céréales, organisations des éleveurs bio, des viticulteurs bio, …) apportent leur vision et leurs éclairages sur la meilleure façon de réussir cette transition agricole.

Découvrir un réseau dynamique et riche en accompagnement

Organisés par Coordination AgroBiologique des Pays de la Loire, le GAB 44, le GABBANJOU, le CIVAM bio 53, le GAB 72 et le GAB 85, les Bio Pratiquent permettent de découvrir un réseau bio très dynamique qui organise chaque année de nombreux événements pour aider les producteurs :

  • Des groupes techniques (dont actuellement 3 groupes DEPHY et 8 groupes 30 000)
  • Des formations
  • Des échanges avec d’autres producteurs spécialisés en agriculture biologique
  • ….

Au programme des Bio Pratiquent

Volailles

- Créer ou convertir un atelier en volaille

7 novembre de 14h à 17h : SARL du Wagon L’Orgeraie – Begrolles en Mauges (49) avec Entreprise Bodin, SMIB Evre, Thau Saint Denis

13 novembre de 14h à 17h : EARL Bourasseau La Petite Boucherie – Saint Fulgent (85) avec Volailles Bio de l’Ouest (VBO)

Bovins, lait et viande

- Entre cultures fourragères et prairies diversifiées

6 novembre de 13h30 à 16h30 : GAEC Des Futaies L’Epinay – Yzernay (49) avec Agglo du Choletais et Pâture Sens, laiteries, EBIO/FOREBIO, Contrôle laitier, CIVAM AD 49, Centres de gestion

- Sécuriser son système fourrager en production laitière bio

13 novembre de 14h à 17h : Aurélien SABIN de Le bois Rangeard – Ballots (53) avec AFOC, CER, CIVAM AD, Ebio, Laiteries

- Rendre ma ferme plus autonome

14 novembre de 13h30 à 16h30 : EARL PAPIN 5, la Sauzaie – Tillières (49) avec EPTB Sèvre Nantaise, Chambre d’agriculture, CIVAM AD, Mission bocage

- Alimentation du troupeau et conversion : témoignages d’éleveurs

22 novembre de 14h à 17h : GAEC des Glycines 8 Le Petit Plessis – Derval (44) avec Biolait, OP Seine et Loire, Association des coopérateurs laitiers de l’Ouest, E Bio, Cabinet vétérinaire de Redon

29 novembre 14h à 17h : GAEC du Pis Vert, Les Grimaudières – St Philbert de Bouaine (85) avec Biolait, OP Seine et Loire, Association des coopérateurs
laitiers de l’Ouest, E Bio, GAB 85

Bovins allaitants

- Quelle complémentarité entre les bovins allaitants et les PPAM

21 novembre de 14h à 17h : GAEC du Layon 6 rue de l’écluse Maury – St-Georges-sur-Layon (49) avec Syndicat Layon Aubance Louet, Anjou Plantes, GDS, EBIO/FOREBIO, CIVAM AD 49, Centres de gestion

Maraîchage

- Optimisation du temps de travail et commercialisation locale

9 novembre de 14h à 17h : Philippe DUBOIS, Les landes – Aze (53) avec CFPPA de Segré, Amélie Vian (CAB)

- Organiser sa ferme pour livrer les magasins spécialisés bio et la restauration collective

22 novembre de 14h à 17h : Laurent BILLON, La Sordais – Montbert (44) avec Manger Bio 44, Biocoop, L’Eau Vive, Bio Loire Océan

Viticulture

- A chaque millésime, son matériel de travail du sol

13 novembre de 14h à 17h : Alain et Christine BORE, Domaine du Fresche 7 Rte de Chalonnes – La Pommeraye (49) avec Syndicat Layon Aubance Louet,
CAB, Loire Vin Bio, Jarny MVS, ATV 49

Grandes cultures

- Réduire le travail du sol en polyculture-élevage en agriculture biologique

29 novembre de 14h à 17h : GAEC Les Jonquilles, La Mitonnière Nord – L’Hebergement (85) avec Producteurs du groupe DEPHY 30 000 co-animé par le GAB 85 et la Chambre d’agriculture des Pays de la Loire, Jean Jacques GARBAY (agriculteur du Gers, membre d’un groupe DEPHY TCS bio) et témoignages d’agriculteurs de Vendée qui testent le sans-labour et les TCS

- Se convertir en bio en grandes cultures

22 novembre de 14h à 17h : EARL de la Chevalerie, La Chevalerie – Montaillé (72) avec CER, UFAB, BIOCER, CIVAM BIO 53

- Produire des céréales bio pour l’alimentation humaine : quels moyens
de les valoriser ?

27 novembre de 14h à 17h : Claire Ricordel, SCEA DU BOISVREUIL, Le Boisvreuil – Missillac (44) avec Grenier Bio, Union des CUMA

Plaquette, contacts et inscriptions en ligne :

http://www.biopaysdelaloire.fr/bio-pratiquent-14-portes-ouvertes-sur-la-bio/ 

A propos de la CAB

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Depuis 1991, la Coordination Agrobiologique des Pays de la Loire (CAB) accompagne le développement de la bio en Pays de la Loire, dans le respect des producteurs et des valeurs de la bio.

Association régionale de producteurs Bio, la CAB conduit 4 missions fondatrices :

  • Développer la bio en Pays de la Loire
  • Assurer une sécurisation des producteurs (techniques, filières)
  • Soutenir et défendre l’agriculture biologique
  • Représenter la bio dans les institutions politiques et administratives

La CAB fédère les cinq groupements départementaux – GAB 44, GABBAnjou, CIVAM Bio 53, GAB 72 et GAB 85 – et est membre de la FNAB (Fédération nationale d’agriculture biologique).

Pour en savoir plus

Site web : http://www.biopaysdelaloire.fr/bio-pratiquent-14-portes-ouvertes-sur-la-bio/

Plaquette Bio Pratiquent 2018 : http://www.biopaysdelaloire.fr/wp-content/uploads/2017/10/bio_pratiquent2017-web.pdf

Eric Pineau, l’éleveur qui met la bonne viande fraîche à la portée de tous les consommateurs en quelques clics

Depuis le scandale de la vache folle, les Français ont pris conscience que la viande vendue en supermarché est loin de présenter des garanties suffisantes en terme de qualité.

Le goût n’est pas non plus au rendez-vous alors que le prix de vente reste très élevé en raison des différentes marges prises par les intermédiaires.

Cette situation, qui laisse les consommateurs et les éleveurs insatisfaits, ne peut plus durer. C’est pour cela que, depuis quelques années, une nouvelle tendance prend de plus en plus d’ampleur : l’achat en circuit court, directement auprès du producteur.

Mais jusqu’à présent, cette façon de consommer se heurtait aux modes de vie contemporains : tout le monde n’a pas un producteur proche de chez soi ni le temps nécessaire pour se rendre sur place chercher de bons produits.

Dans ce contexte, les éleveurs s’organisent en s’emparant des outils numériques pour rendre la bonne viande accessible à tous !

Eric Pineau, éleveur depuis 1988, a ainsi créé sa propre boutique en ligne https://ericpineau.fr/ pour proposer à tous les Français des colis de bœuf et de veau issus de sa ferme familiale du Maine et Loire. Rôtis, tournedos, faux-filets, saucisses, jarret, bourguignon, côtes de veau, tendrons… il est enfin possible de déguster des produits d’excellente qualité et riches en goût !

Cette viande charolaise est découpée et conditionnée selon des règles strictes dans de petites portions pour être plus facilement stockée et utilisée en fonction des besoins (et des appétits !) de chacun. Elle est livrée dans toute la France par une solution de livraison express qui garantit le respect de la chaîne du froid.

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Eric Pineau : de l’authenticité pour retrouver le goût de la bonne viande

Chez les Pineau, l’élevage est une histoire de famille !

Eric a repris la ferme de ses parents en 1988 et depuis cette année son fils Antoine l’a rejoint dans cette aventure avec un objectif : développer la commercialisation des colis de viande dans toute la France dans une démarche de circuit court afin de permettre à tous les consommateurs de profiter du meilleur du bœuf et du veau charolais.

Située dans la commune du Voide, dans le Maine et Loire, l’exploitation familiale est orientée en polyculture élevage sur une surface de 75 hectares. L’assolement est composé de 80% de prairies et 20% de cultures (blé; orge) pour l’autoconsommation. Son troupeau, de race charolaise, est constitué de 70 vaches reproductrices et de deux taureaux reproducteurs.

Eric Pineau souligne :

Nous vendons dans toute la France nos colis de viande issue de notre élevage. Ils partent directement de chez l’artisan boucher. Notre objectif est de proposer à tous un produit authentique, frais, de qualité et à un juste prix sans passer par des intermédiaires.

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Démocratiser l’accès à la viande de très bonne qualité en supprimant les intermédiaires

Viande de très bonne qualité, très fraîche et très tendre. Conditionnement sous vide très pratique, évite d’en mettre trop au congélateur. Entièrement satisfaite.

Marie-Christine Barville

Pourquoi supprimer les intermédiaires ? Loin d’être anecdotique, cette démarche a du sens pour les éleveurs comme pour les consommateurs.

Il faut bien comprendre une chose : plus il y a d’intermédiaires, plus le coût final de la viande est élevé. De plus, ils ont tendance à imposer aux éleveurs un nivellement par le bas : plutôt que de viser l’excellence, ils exigent une production intensive.

D’où l’intérêt des circuits courts, c’est-à-dire sans ou avec un seul intermédiaire entre le producteur et le consommateur ! Ils valorisent la qualité des productions régionales tout en permettant de réaliser des économies substantielles (on supprime le coût et les marges des entreprises agroalimentaires et des distributeurs) et de mieux rétribuer les éleveurs.

Eric Pineau confirme :

Grâce à l’agriculture éco-responsable et aux circuits courts, nous mettons en place un cercle vertueux qui profite aux consommateurs et aux éleveurs.  Et pour sensibiliser à cette démarche, nous organisons des visites sur la ferme.

Des colis personnalisés pour encore plus de plaisir gourmand

Les colis de viande de 5, 10, 15 et 20 kilos de bœuf ou de veau comprennent :

- 50 %, au choix, de viande à cuisson rapide

  • bœuf : rôti, tournedos, faux filet, rumsteck, entrecôte, basse côte, fondue, bifteck, bavette
  • veau :  rôti, noix en escalope, côte de veau

- 50% au choix

  • viande à cuisson longue : plat de côte, jarret, bourguignon pour le bœuf / poitrine en blanquette ou en tendrons et jarret pour le veau
  • steaks hachés
  • saucisses

Pour une plus grande personnalisation, il est aussi possible de préciser lors de la commande des demandes spécifiques en indiquant quel morceau ne pas mettre dans le colis ou au contraire celui qu’il faut privilégier.

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Des recettes savoureuses qui réveillent les papilles

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En panne d’inspiration ? A la recherche d’une idée pour varier la façon de cuisiner la viande ou pour apprendre à préparer un morceau ?

Eric Pineau a développé des partenariats avec des blogueurs pour suggérer de délicieuses recettes qui mettent l’eau à la bouche : bœuf à la bière façon carbonade, rôti de bœuf en croûte ou à la sauce au poivre, steak araignée à la sauce aux échalotes, jarret de bœuf à la sauce au vin rouge, soupe de bœuf façon asiatique, hampe à la sauce mascarpone, moutarde et poivre….

Idéal pour se mitonner de bons petits plats maison à partager en famille ou entre amis !

 

Pour en savoir plus

Site web : https://ericpineau.fr/

Demain la Terre, l’Association des Producteurs de fruits et légumes responsables, participe au Salon international de l’Agriculture de Paris

7,32 milliards d’habitants dans le monde en 2016, 9 milliards prévus en 2050… et une pression toujours plus forte exercée sur les ressources naturelles de notre planète alors même que les consommateurs aspirent à s’alimenter de manière saine et durable.

Voilà tout à la fois le contexte et l’objectif du mouvement initié en 2004, Demain la Terre, une association loi 1901 de producteurs de fruits et de légumes engagés dans une démarche responsable.

Cette association vise à produire selon une démarche écologique, responsable et qualitative dans le but de répondre tant aux attentes des consommateurs qu’à celles de l’environnement.

Demain la Terre c’est ainsi tout à la fois :

  1. Des producteurs, 10 membres en 2017 qui sont engagés dans une démarche de développement durable
  2. Une charte contrôlée par un organisme indépendant
  3. Des actions pour des fruits et légumes plus sains, plus sûrs !

A ce jour, Demain la Terre représente plus de 130 000 tonnes de fruits et légumes produits par an (soit + de 1% de la production française), plus de 100 producteurs, plus de 2100 salariés impliqués, et 2600 ha de production concernés.

Engagée pour améliorer les conditions de production pour une agriculture plus saine et plus durable et redonner confiance au consommateur en communiquant sur ces nouvelles formes d’agriculture, l’Association Demain la Terre a décidé d’aller à la rencontre du consommateur et du grand public. Pour la première fois depuis sa création en 2004, Demain la Terre participera du 25 février au 05 mars 2017 au Salon international de l’Agriculture.

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Découvrir l’Association Demain la Terre au Salon international de l’Agriculture de Paris

L’agriculture d’aujourd’hui est confrontée à un double défi, qui va en s’accentuant. D’un côté, il faut produire suffisamment pour nourrir les 7,32 milliards d’habitants de la planète et anticiper l’évolution démographique (il y aura 9 milliards de personnes en 2050 !). Et de l’autre côté, il faut préserver l’environnement et permettre à chacun de se nourrir de façon saine.

Depuis 2004, l’Association Demain la Terre a décidé de proposer une réponse complète à ces enjeux  en regroupant des producteurs qui s’engagent à produire de manière qualitative et responsable.

Pour faire connaître sa démarche au grand public, Demain la Terre et ses membres participent à l’un des plus grands événements du monde agricole, le Salon international de l’Agriculture de Paris, qui aura lieu au Parc des Expositions à la Porte de Versailles du 25 février au 05 mars 2017.

Demain la Terre et ses producteurs seront présents tout au long du salon pour faire partager leurs engagements, expliquer leurs actions et répondre à toutes les questions des visiteurs. C’est sur un stand deux faces, n° 4 B 025 situé au Hall 4 (services et métiers de l’agriculture, environnement) que Demain la Terre accueillera les visiteurs de tous horizons.

Ce sera ainsi l’occasion pour les Français de (re)découvrir les produits « certifiés » Demain la Terre et de déguster des fruits et des légumes ayant du goût !

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L’Association Demain la Terre : développer une troisième voie pour l’agriculture

L’agriculture est en pleine mutation. Les producteurs ont pris conscience qu’ils ne peuvent plus se contenter de répondre aux aspirations de leurs clients ou d’attendre une prise de conscience des pouvoirs publics.

S’ils veulent changer les choses, c’est à eux d’agir ! Le mouvement doit venir du terrain et impliquer tous ceux qui travaillent la terre au quotidien.

L’Association Demain la Terre regroupe des entreprises et des exploitations agricoles qui ont décidé d’adopter volontairement une démarche complète et transversale qui intègre le concept de RSE en agriculture. Tous les membres s’engagent autour d’un projet commun de développement durable.

Geoffroy Cormorèche, Président de Demain la Terre et producteur de betteraves rouges, souligne :

Les membres de Demain la Terre sont des entreprises de toutes tailles situées partout en France. Notre objectif est de penser, expérimenter et développer une agriculture d’avenir, une troisième voie avec l’agriculture biologique et l’agriculture conventionnelle/raisonnée.

Tous les fruits et légumes sont concernés par cette vision citoyenne et éthique !

La Charte Demain la Terre®

Finalisée en 2010 après 3 années de recherche, test et développement, la Charte Demain la Terre® apporte aux consommateurs des preuves crédibles de l’engagement des membres de l’Association.

Contrôlée chaque année par un organisme indépendant, la Charte comprend 8 thématiques articulées autour d’une cinquantaine de critères précis, objectifs et mesurables.

L’accent est mis sur trois priorités : la santé, la qualité, et le respect des hommes et de l’environnement.

Marc De Nale, Directeur Général de Demain la Terre, précise :

Notre Charte est devenue aujourd’hui la référence RSE en agriculture fruitière et légumière. Son logo, présent sur tous les produits certifiés, permet une identification directe par le consommateur.

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Pas de paroles en l’air mais des actions concrètes !

Grâce à son implication, l’Association Demain la Terre réussit à obtenir des résultats tangibles qui améliorent le bien-être des consommateurs et qui contribuent à préserver la planète.

Voici quelques exemples d’actions qui changent le visage de l’agriculture :

  • plus de 65% des achats et des prestations réalisées avec des entreprises locales en 2016
  • 92% des salariés des entreprises sont des salariés locaux afin de favoriser l’emploi et le développement économique des régions rurales françaises
  • plus de 1400 familles nourries par les dons aux banques alimentaires
  • l’équivalent de 7 terrains de football est planté chaque année pour offrir des fleurs aux abeilles
  • plus d’une centaine d’analyse de résidus de produits phytosanitaires est effectuée chaque année sur les productions
  • ….

A propos des membres de Demain la Terre

L’Association Demain la Terre est composée de 9 membres, et bientôt 10 puisque une nouvelle adhésion sera annoncée à l’occasion du Salon !

Pierre-Yves Ménager (Ferme de Normandie), producteur de pommes de terre à La Gaillarde (Seine-Maritime). Sa société a produit en 2016 plus de 8000 tonnes de pommes de terre premium et spécifiques. Elle a obtenu les certifications Global Gap et Iso 14001.

Sylvie Cathelain (Fruits Rouges & Co), productrice de fruits rouges à Laon (Aisne). Sa société regroupe plus de 70 producteurs sur le bassin de production régional et plus de 350 producteurs dans le monde. Elle emploie 134 salariés et est certifiée ISO 22 000 et ISF (niveau supérieur).

Geoffroy Cormorèche (SARL Cormorèche), producteur de betteraves rouges à Miribel (Ain) et Président de Demain la Terre. Sa société emploie 18 salariés principalement locaux et pour la quasi-totalité en CDI. En 2016, elle a réalisé un chiffre d’affaires de 2,8 millions d’euros et produit 5000 tonnes de betteraves.

Pascal Delahaye (Le Jardin de Rabelais), producteur de tomates cerises à Avoine (Indre et Loire).  Sur les 15 hectares d’exploitation, 180 salariés produisent 2600 tonnes de tomates cerises, 530 tonnes de tomates grappe et 50 tonnes de tomates Marmande. Le chiffre d’affaire réalisé en 2016 s’est élevé à 23,7 M€.

Didier Foulon (Kultive), producteur de concombres à Sandillon (Loiret). Sa société dispose de 4 bassins de productions dans le Val de Loire, le Val de Seine, les Landes et la Provence. Au total, elle produit 70 000 tonnes de légumes dont 25 000 tonnes de concombres. 770 hectares sont consacrés à la culture en plein champ et 70 hectares à la culture sous serres. Son chiffre d’affaires 2016 était de 52,7 M€.

Robert Franchineau (Val de Serigny), producteur de melons à Sérigny (Vienne). Sur 600 hectares d’exploitation, 23 salariés en CDI produisent 14 000 tonnes de melons. 96% de la production est réalisée en propre. En 2016, la société a réalisé 11,5 M de chiffre d’affaires.

Julien Lemaire (Ferme de la Motte), producteur de condiments (oignons, de pommes de terre, échalotes, échalion) à Talcy (Loir-et-Cher). Sa société emploie 190 salariés et cultive 757 hectares grâce à plus de 50 producteurs partenaires engagés. Elle a réalisé en 2016 un chiffre d’affaires de 38 M€ et produit 45000 tonnes de légumes.

Christian Letierce (Planète Végétal), producteur de carottes et poireaux à Cestas (Gironde). Ses 170 salariés produisent 38 000 tonnes de légumes dans deux bassins de production en France (Hautes Landes de Gascogne) et au Portugal (Vallée du Tage). Sa société a réalisé 20M€ de chiffre d’affaires en 2016.

David Socheleau (Le Verger de la Blottière), producteur de pommes et poires à Saint-Georges des Gardes (Maine et Loire). 70 % du volume de fruits est produit dans le Val de Loire et 30% au Chili (Currico). 325 salariés exploitent 500 hectares pour produire 51 000 tonnes de pommes et de poires. En 2016, le chiffre d’affaires a atteint 44M€.

Pour en savoir plus

Site web : http://demainlaterre.org/

Dossier de presse : http://demainlaterre.org/wp-content/uploads/2017/01/Dossier-de-presse-Demain-la-Terre-2017-1.pdf

Facebook : http://www.facebook.com/agriculturedemainlaterre

Twitter : http://www.twitter.com/DemainlaTerre1

Youtube: https://www.youtube.com/channel/UCL0HqJ5KgZD1mJbgAMbA_2g

 

Comment capter et stocker l’eau de pluie des bâtiments industriel et agricole ? Citerneo !

Selon le CNRS, agriculture et industrie représentent à elles deux 50% de toute la consommation d’eau par l’homme. Très exactement 43% pour le secteur agricole et 7% pour le secteur industriel.

Comment éviter d’épuiser les ressources actuelles de la planète en eau, et ainsi préserver des milliards de mètres cubes d’eau ?

À l’occasion de la COP21/CMP11 qui se déroulera en France du 30 novembre au 11 décembre prochain, CITERNEO, acteur majeur du respect de l’environnement, sensibilise les français à l’économie d’eau, grâce à ses citernes souples autoportantes, solutions uniques et innovantes de stockage d’eau de pluie et de liquides…. particulièrement adaptés aux secteurs de l’industrie et de l’agriculture.

Système ingénieux, fiable et innovant, la citerne souple de CITERNEO est la véritable arme antipollution d’aujourd’hui et de demain.

 

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Le problème de l’eau ne concerne pas que les particuliers

L’essentiel de l’eau de pluie se perd en évaporation et en ruissellement. Et seulement 11% se disperse dans les nappes phréatiques.

Alors que la planète souffre du manque d’eau, l’homme consomme des milliards de mètres cubes d’eau qui n’ont pas besoin d’être potables, et n’utilise pratiquement pas l’eau de pluie, dont la récupération permettrait pourtant de réaliser des économies d’eau substantielles.

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Conscient de ce gaspillage, le groupe CITERNEO crée, innove et propose des citernes souples autoportantes de récupération d’eau de pluie et de stockage sur-mesure pour le monde agricole, l’industrie, le BTP, les collectivités…

Une solution écologique et durable Made in France

En plus de jouer un rôle écologique primordial, les produits CITERNEO représentent un grand nombre d’avantages non- négligeable pour les utilisateurs.

L’auto-portance des citernes

Très facilement déplaçables et transportables, les citernes, une fois vides, se plient et se roulent très facilement pour occuper un minimum de place.

Un confinement des odeurs

Leur structure fermée contient les odeurs et préserve le liquide contenu. Ce confinement évite également la dilution des liquides stockés par les eaux de pluies.

Traités, les liquides sont totalement préservés

Le liquide contenu dans les citernes souples CITERNEO est à l’abri de la lumière et, différence notable par rapport aux citernes hors-sol, à l’abri de l’air. Cette absence d’air évite notamment la formation d’algues.

Des citernes 100% recyclables et hyper résistantes

Les matériaux qui composent les citernes souples CITERNEO, sont 100% recyclables. Les citernes souples CITERNEO résistent au gel et à des températures comprises entre -30°C et +70°C. Installée aux Açores, il y a près de 5 ans, une citerne autoportante CITERNEO a parfaitement résisté à un séisme de magnitude 4. Aujourd’hui, elle remplit toujours et parfaitement son rôle de stockage d’eau de 250 m3.

Aucun de permis de construire nécessaire

La simplicité des solutions de stockage CITERNEO est aussi administrative puisque leur installation ne nécessite aucun permis de construire.

Une confection sur-mesure, même pour les grandes capacités

Les citernes souples sont conçues sur-mesure (dimensions des citernes, nombre et positionnement des piquages, types de vannes, etc.) et offrent des volumes de stockages allant jusqu’à 1700 m3.

Une fabrication française

Tous les produits proposés par CITERNEO sont fabriqués en France à Amboise (Indre-et-Loire).

Un partenaire écologique indispensable à la planète

Les produits de CITERNEO ont un rôle certain pour la préservation de l’environnement. L’eau de pluie, qui peut être récupérée par les bâtiments agricoles et industriels, permet d’économiser l’eau potable utilisée pour l’arrosage, notamment, à grande échelle et ainsi, préserver les ressources de notre planète.

Une solution pour l’eau… mais aussi tous les liquides industriels et agricoles

Outre le stockage des eaux de pluie, le groupe CITERNEO propose des solutions de stockages qui jouent un rôle prépondérant dans le respect des écosystèmes. En effet, le mauvais stockage des liquides, des effluents, des engrais ou des hydrocarbures, est nettement lié à la pollution des sols.

Une réserve incendie de 120 m3 installable en moins d’une heure

La citerne autoportante est également idéale comme réserve d’incendie.

Dans certaines exploitations agricoles, les zones isolées ou encore difficiles d’accès, le stockage de l’eau est parfois nécessaire, voire même obligatoire pour la protection anti-incendie.

Conformes aux recommandations du SDIS, les citernes sont équipées de vanne guillotine, de poteau d’aspiration ou de col de cygne. Elles s’installent aisément et rapidement sur une surface plane recouverte d’un lit de sable ou d’un géotextile. Une fois déposée sur la plate-forme, il suffit de déposer et dérouler la citerne.

Une solution fiable et sans gros travaux de construction

Les citernes souples CITERNEO sont fabriquées en polyester enduit de PVC. Leur équipement spécifique est de très haute qualité et performant : trop-pleins, trappe de visite, vanne guillotine, vanne quart de tour, raccord symétrique, raccord tonne à lisier, poteau d’aspiration, col de cygne… .

L’aspect économique (faibles coûts pour l’achat et l’entretien), la fiabilité et la praticité des citernes en font une solution de stockage extrêmement intéressante et fiable.

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Société croissante et toujours innovante, CITERNEO, au service de la Terre depuis 2007

L’ambition du groupe est sans limites et son histoire le prouve. En 2015, CITERNEO annonce une croissance de 21%.

Les effectifs ne cessent de s’agrandir, les réseaux de distribution se multiplient en Europe, en Afrique, au Moyen-Orient et en Amérique du Sud. Le groupe CITERNEO réalise près de 15% de son chiffre d’affaires à l’international.

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Le groupe dispose de bureaux d’études innovants qui développent constamment de nouveaux procédés techniques : des équipements spécifiques pointus, l’augmentation du volume de stockage, etc.

CITERNEO en bref

Didier SUPPLY est le président fondateur du groupe CITERNEO.

Entre 2007 et aujourd’hui les volumes de stockage ont quadruplé et atteignent maintenant 1700 m3.

En février 2013, le groupe obtient la certification ISO 9001 qui consacre le management de sa qualité.

Aujourd’hui, CITERNEO est leader dans la technologie des citernes souples autoportantes. La société poursuit ses recherches dans les domaines physique et chimique et envisage déjà de proposer des réservoirs aux volumes toujours plus importants.

Pour en savoir davantage

Site internet : http://www.citerneo.com/

Contact presse

Fabien LEMAIRE
Email : communication@citerneo.com
Téléphone : (+33) 2 47 50 15 34

Citerneo : des solutions gonflées pour stocker l’eau !

La prise de conscience collective initiée au milieu des années 2000 dans les domaines de l’environnement, du développement durable et de la gestion raisonnée des ressources a conduit à de lumineuses idées…

C’est le cas de Citerneo, société française innovante dont le Fondateur Didier Supply, autodidacte, s’est lancé dans la fabrication de citernes pour valoriser l’eau (mais aussi les autres liquides)…

… grâce à un produit unique et fabriqué en France : les citernes souples autoportantes qui peuvent contenir jusqu’à 1,5 Millions de litres d’eau, et dont le tissu est 100% recyclable.

Les citernes souples autoportantes Citerneo : un avantage écologique et économique

Citerneo est labellisé Origine France Garantie. Il est l’un des seuls certifié norme ISO9001 et conforme aux normes AFNOR. Le tissu est 100% recyclable et la société fait partie du Pôle de Compétitivité Écotechnologies, plus précisément DREAM Eaux & Milieux (Durabilité de la Ressource en Eau Associée aux Milieux).

L’avantage des citernes autoportantes Citerneo est que l’environnement est pris en compte dans la démarche et préservé. Il n’est pas nécessaire de creuser, d’arracher au sol des centaines de mètres cubes de terre et de les déplacer ailleurs. Il n’est pas nécessaire de faire des talus.

Les citernes souples autoportantes Citerneo se positionnent ainsi dans la démarche de développement durable initiée par le Grenelle de l’environnement à partir de 2007… qui est poursuivie actuellement par le plan national de transition écologique 2014-2020.

La citerne souple apporte enfin un avantage économique.

En effet, pour installer une citerne souple autoportante, une surface plane suffit. Cela coûte moins cher, l’installation est plus rapide à mettre en place, et ne requiert pas de permis de construire.

Didier Supply précise :

A l’origine, j’ai voulu proposer des solutions économiques, fiables et durables pour le stockages de liquides (principalement eau, mais aussi engrais liquide, lisier, boue d’épuration, hydrocarbures, effluent, lixiviats, digestats…) dans le but d’une gestion raisonnée des ressources et de préservation de l’environnement.

Quelques années plus tard, ces citernes peuvent contenir d’1m3 (idéales pour les particuliers) à 1500m3… soit 1,5 millions de litres d’eau.

Les plus grandes citernes sont utilisées par les collectivités comme réserves d’eau, le BTP, l’industrie et l’agriculture pour les eaux usées.

Notons que Citerneo propose les plus grandes capacités (jusqu’à 1500m3) parmi les citernes autoportantes qui existent sur le marché.

Portrait : Didier Supply, Fondateur et Dirigeant de Citerneo

Autodidacte ambitieux, Didier Supply fonde CITERNEO en 2007, d’abord dans un petit atelier à Montrichard (Loir-et-Cher).

 

En 2009, il accroît sa surface de production en emménageant à Saint-Martin-le-Beau (Indre-et-Loire). Une croissance spectaculaire l’amène à déménager de nouveau, à Amboise (Indre-et-Loire) en 2012.

CITERNEO investit. Didier Supply commente :

J’ai réalisé plusieurs études de marché dans le solaire, l’éolien, et j’ai compris que la valorisation de l’eau de pluie pouvait s’améliorer grâce à des citernes souples en tissu enduit de PVC.

A propos de Citerneo

Le groupe CITERNEO, fabricant de citernes souples de haute qualité, industriel innovant ayant plus de 20 ans d’expérience dans son secteur, propose une gamme de citernes souples allant jusqu’à 1500 m3 et d’accessoires complémentaires.

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CITERNEO est le seul fabricant de citernes souples autoportantes labellisé Origine France Garantie, l’un des seuls certifié norme ISO9001 et conforme aux normes AFNOR.
Les réservoirs souples de Citerneo sont installés dans le monde entier. Leurs applications s’enrichissent en permanence pour se conformer à la demande en très forte croissance. Ils permettent de stocker l’eau, ainsi que les liquides utilisés dans les domaines de l’industrie et l’agriculture.

Implantés en région Centre, Citerneo dispose d’un bureau d’études qui permet d’appréhender et de réaliser les citernes sur mesure.

Les réservoirs souples du groupe CITERNEO sont le fruit d’un service R&D dont le pouvoir d’innovation a permis d’atteindre des volumes inégalés. Ces performances ont été réalisées avec une amélioration constante de la qualité du produit en terme de longévité et de conservation du contenu.

Citerneo fait plus que fabriquer les citernes… il les crée !

Caractéristiques techniques

Les citernes souples autoportantes CITERNEO sont constituées d’un tissu technique composite haut de gamme. CITERNEO a mis au point avec ses partenaires la technologie incomparable EXOM : les soudures haute fréquence et la qualité de la toile garantissent une étanchéité durable et une fiabilité absolue.

Les citernes souples CITERNEO offrent une protection totale des liquides contenus. Par leur conception, le liquide qu’elles stockent n’est pas en contact avec les éléments extérieurs car la paroi interne de la citerne est en contact direct et permanent avec le liquide contenu. Cet aspect prévient toute évaporation, coloration et altération du liquide.
La formulation spécifique EXOM, antifongique et anti-UV évite la prolifération de micro-organismes et les migrations dans le support et garantit aux citernes souples autoportantes CITERNEO une longévité supérieure aux standards du marché. Hermétiquement fermées, les citernes souples CITERNEO confinent les odeurs.

Pour en savoir plus : http://www.citerneo.com

Contact presse

Joignez Fabien Lemaire aux coordonnées suivantes :

Téléphone : 02 47 50 15 34

Email : communication@citerneo.com

Prodealcenter au service de l’agriculture 2.0

Alors que plus de 70% des agriculteurs ont une connexion Internet, comment leur faire bénéficier des avantages du e-commerce, pour faciliter leur travail au quotidien et leur faire gagner un temps précieux ?

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Voilà une question que s’est posée en 2010 Alexandre Richard, lui même agriculteur connecté :

Début 2010, je me retrouve à vouloir changer des pièces d’usure de ma charrue et mon premier réflexe fut de les chercher sur le net. Et là, pratiquement aucune offre alors que les pièces auto et moto ont déjà explosé ! Pourquoi pas la pièce agricole ?

Monsieur Richard tient de ce manque l’idée du site Prodealcenter. Réservé aux  professionnels du monde agricole, ce site permet de commander en ligne des pièces de matériel agricole et de les recevoir directement chez soi, en 24 à 48 heures.

Et il y en a pour toutes les utilisations, tous les matériels. Aujourd’hui, le site rassemble à lui seul plus de 80 000 références.

Le gain de temps, la facilité d’accès aux produits et à la vente, les conseils techniques et la livraison sur l’exploitation sont autant d’avantages pour les agriculteurs.

Un bon plan pour les agriculteurs

Monsieur Richard poursuit :

Avant la création du site, les agriculteurs devaient obligatoirement passer par un concessionnaire local pas forcément situé à proximité de chez eux. Cela prenait un temps non négligeable, consommait du carburant et finalement, les prix étaient assez opaques avec régulièrement peu de disponibilité. Les seules alternatives étaient le catalogue papier de vente à distance, les petites annonces d’occasion ou les sociétés uni-marques…

Prodealcenter concentre les avantages du e-commerce : les prix et la disponibilité sont connus à l’avance. Le point important est que les agriculteurs sont eux-mêmes acteurs de la maintenance de leur propre matériel.

Photo technicien commercial

Ils s’y intéressent de fait… et recherchent, comme des professionnels d’autres secteurs, des façons de s’équiper en connaissance de cause et en maîtrisant leur budget.

Pour toute question, des conseillers techniques sont mis à disposition pour répondre à chacun soit par téléphone soit par e-mail.

Et ça marche : en 2014, plus de 3 années après le lancement de la société, plusieurs dizaines de milliers de clients achètent leurs pièces de matériel agricole chez Prodealcenter.

Alexandre Richard précise :

Ce qui nous différencie, c’est notamment l’avance que nous avons sur les autres sites internet. Ce qui nous permet d’en tirer divers enseignements concernant la vente en ligne de pièces agricoles.  Par exemple, nous savons aujourd’hui qu’il est important pour nos clients d’avoir la possibilité  d’établir un devis en ligne. Grâce à eux, nous évoluons.

Prodealcenter se positionne ainsi comme le point d’achat de référence pour tous les professionnels du monde agricole.

A propos de Prodealcenter

Prodealcenter est le site e-commerce de référence pour toutes les personnes qui souhaitent réaliser leurs achats de pièces agricoles sur Internet.

Le site compte aujourd’hui plus de 80 000 références et s’adresse principalement aux 500 000 exploitations agricoles françaises.

Il rassemble les avantages de tout site internet : les prix sont connus à l’avance et à bon rapport qualité-prix, le délai de livraison aussi (24 à 48 heures). La satisfaction est garantie grâce à la qualité du service client, ainsi qu’une offre “satisfait ou remboursé”.

Pour en savoir plus

Logo Prodealcenter

Le site internet : http://www.prodealcenter.fr/
Le dossier de presse complet au format PDF : https://www.relations-publiques.pro/wp-content/uploads/2014/05/DOSSIER_PRODEALCENTER_02052014.pdf

Contact presse

Contactez Sarah Giovanneti, Responsable de la communication
Téléphone : 01 64 90 68 20
Email : giovannetti.sarah@prodealcenter.fr