La 2ème édition du Salon de la vente directe se déroulera à Versailles en février prochain

La vente directe, tout le monde connaît ! Le principe est simple et plutôt sympathique : on participe à une vente à laquelle on est convié par un(e) ami, à son domicile, et on peut, si on le souhaite, acheter un appareil électroménager, des produits cosmétiques, des bijoux, des sous-vêtements…

Mais on a beau connaître, on n’imagine pas forcément l’ampleur de ce mode de consommation en France, et l’essor de ce statut qui offre de véritables opportunités d’emploi.

L’essor de la vente directe en France et à l’étranger

Pourtant, avec plus de 4 milliards d’euros de chiffre d’affaires et 624 600 personnes travaillant dans ce secteur, la vente directe connaît un succès croissant depuis plusieurs années. Et cette tendance s’inscrit également en dehors de nos frontières puisqu’au niveau mondial, la vente directe représente 166 milliards d’euros de chiffre d’affaires (+1,37%) pour un effectif de 100 millions de distributeurs (+1,04%).

Autrement dit, les français sont aujourd’hui de plus en enclins à s’engager pour une marque en vendant ses produits, et en parallèle, les marques sont de plus en plus nombreuses à faire le choix d’un recrutement en VDI (vendeur à domicile indépendant).

Il est vrai que ce statut permet de générer des revenus complémentaires et, dans un contexte économique actuellement peu réjouissant (le taux de chômage est supérieur à 10 %, source Gouvernement français), il représente une réelle opportunité pour les demandeurs d’emploi ou les personnes désireuses d’arrondir leurs fins de mois.

Un statut, de nombreux avantages

Sans compter que la vente directe permet aussi une proximité avec une marque dont on aime les valeurs et les produits ; cela peut ainsi être une façon de s’engager pour une cause. Enfin, ce statut présente de nombreux avantages en termes de relationnel, avec un contact privilégié entre le vendeur et les clients, dans un environnement familier propice aux échanges.

Il est à noter par ailleurs que même Pôle Emploi soutient l’activité de vente directe et le statut VDI ; un partenariat avec la Fédération Française de Vente Directe (FVD) a été signé en 2010 pour trois ans, et a été renouvelé en 2013 pour autres années, avec pour objectifs de favoriser l’emploi de milliers de personnes, de valoriser les métiers de la vente directe, encore mal connus mais à forte valeur ajoutée, et de développer des emplois non délocalisables.

logo

Un salon dédié au recrutement et à la vente directe

Mais en dépit de toutes ces bonnes raisons, il n’est pas toujours facile de se lancer : comment débuter en tant que VDI ? Par où commencer ? Quelles marques représenter ? Quels sont les bons conseils à prendre et les erreurs à éviter ? Y-a-t-il des bonnes offres et des mauvaises ?

C’est pour répondre à toutes ces questions, et plus encore, que Malya a créé le Salon du recrutement et de la vente directe, dont la deuxième édition se déroulera à Versailles le 13 février prochain.

Comme le souligne Malya,

ce salon présente à la fois un intérêt pour les particuliers désireux de se renseigner sur la vente directe, et pour les entreprises, qui ont la possibilité de recruter en VDI. Les marques peuvent y faire connaître leurs produits. C’est un lieu d’échange où l’on peut facilement intégrer un réseau de professionnels.

35 entreprises seront présentes et plus de 200 offres d’emploi proposées. De quoi nourrir encore un peu plus cette activité et ce statut et contribuer ainsi au développement de l’emploi en France.

Au programme de cette journée :

- des ateliers

- des conférences

- des témoignages de vendeurs à domicile

affiche recrutement

A propos

C’est en 2009, alors qu’elle était aide à domicile auprès des personnes âgées, que Malya a souhaité chercher un complément de revenus.

Je voulais un complément de revenus pour arrondir mes fins de mois, mais un complément à temps choisi. Ne trouvant rien de satisfaisant, je me suis naturellement tournée vers la vente directe. Je suis devenue vendeuse de produits coquins pendant six ans et également de bijoux et de cosmétiques pendant quelques mois. Ce complément de revenus me permettait de gagner jusqu’à 800€ par mois en plus de mon salaire d’aide à domicile et d’additionner vie de famille et vie professionnelle sans que cela ne me fasse courir partout.

Quant à l’origine du salon, elle est liée, explique-t-elle

à l’envie de faire découvrir aux demandeurs d’emploi l’opportunité qu’est la vente directe, et de leur faire prendre conscience du tremplin que cela peut représenter pour retrouver une vie professionnelle active et enrichir son expérience.

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Le premier salon s’est déroulé en juin 2015 à Saint-Quentin-en-Yvelines. Cette deuxième édition se distinguera par un nombre d’exposants plus important. A terme, Malya souhaiterait

organiser un salon du recrutement et de la vente directe une fois par mois dans différentes villes de la région parisienne.

S’il existe d’autres salons dédiés à la vente directe en France, Malya possède un truc en plus qui fait la différence

J’ai de l’expérience dans la vente directe. Je peux donc en parler à mes interlocuteurs, que ce soit les organismes de recherche d’emploi, les vendeurs à domicile ou les sociétés. Je donne des conseils, je partage mes connaissances de la vente directe, et c’est ce qui fait la différence avec d’autres salons VDI. Le partage est la base de ma démarche.

Contact presse

MK Events
Malya
Site : http://mk-events.fr/2015/12/02/salon-du-recrutement-et-de-la-vente-directe-a-versailles
Mail : contactmkevents@gmail.com
Tel. 07 64 08 64 01

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