Chaque hiver, alors que la ville se pare de lumières et que l’air embaume le pain d’épices, La Pâtisserie des Marseillais transforme Noël en un itinéraire gustatif d’exception.
Dans son atelier bleu et or, Pascal Guglielmi, ancien cheminot devenu chef pâtissier formé auprès du Meilleur Ouvrier de France Jean-Michel Perruchon, imagine des créations comme autant d’escales : des bûches qui ne se dégustent pas seulement, mais qui se vivent comme un voyage.
Pour Noël 2025, la maison signe une collection de cinq bûches inspirées des grandes destinations du monde : Versailles, Kyoto, Palm Springs, Turin et Le Mistral, locomotive sucrée et pièce maîtresse de la saison. Du marron d’Ardèche aux vanilles de Madagascar et de Tahiti, de la pistache de Sicile à la mousseline pralinée au beurre d’Échiré, chaque création célèbre le raffinement des matières premières et la poésie du geste.
Entre élégance française et lumière méditerranéenne, La Pâtisserie des Marseillais fait de Noël un art du voyage, où le dessert devient souvenir, et où Marseille ose rivaliser avec Paris — avec cette touche d’âme en plus : la sienne.
Quand la lumière du Sud éclaire la haute pâtisserie française
À deux pas du Vieux-Port, La Pâtisserie des Marseillais s’impose depuis quatre ans comme une adresse à part. Derrière sa devanture bleue et or, l’on découvre un laboratoire où le geste est précis, la matière noble, le regard attentif. Ici, la pâtisserie devient langage, celui du raffinement et du voyage.
Chaque création porte un nom de destination : Versailles, Kyoto, Martinique, Palm Springs…, et raconte un itinéraire. Loin du folklore méditerranéen, la maison revendique une esthétique française épurée, teintée de cette chaleur du Sud qui lui donne une âme.
Dans cet univers, le luxe se cache dans la justesse : celle d’un glaçage sans défaut, d’un parfum équilibré, d’une émotion simple mais sincère. À contre-courant des tendances tapageuses, La Pâtisserie des Marseillais cultive une forme de sobriété précieuse, héritée des grandes maisons parisiennes mais ancrée dans la lumière de Marseille.
Chaque gâteau y est conçu comme une pièce de haute joaillerie : façonné, poli, sublimé. Et pourtant, derrière la perfection formelle, subsiste quelque chose d’intime — une trace, un souvenir, un voyage.
« Je voulais prouver qu’à Marseille, on pouvait faire aussi bien qu’à Paris — mais avec la lumière du Sud en plus. » — Pascal Guglielmi, fondateur et chef pâtissier.
Les Bûches de Noël 2025 : un voyage en première classe
Chaque hiver, La Pâtisserie des Marseillais réinvente la tradition de Noël comme un carnet de voyages sucrés.
Derrière les vitrines de la maison bleue et or, Pascal Guglielmi orchestre une collection d’exception où chaque bûche devient une destination.
Raffinées sans ostentation, ses créations unissent la rigueur parisienne à la sensualité méditerranéenne, dans un même esprit : celui du voyage et de la mémoire.
Cette année, cinq escales composent la carte de Noël 2025, cinq invitations au départ, à la rencontre des goûts, des émotions et des horizons.
Le Mistral – L’esprit du voyage en mouvement
Le voyage commence en gare. Inspirée du train mythique reliant Marseille à Paris, la bûche Le Mistral célèbre la rencontre entre tradition et modernité.
Sous son glaçage velours orné d’une feuille d’or 22 carats et de pétales de roses cristallisées, se déploient une mousse onctueuse aux marrons de l’Ardèche, un crémeux aux deux vanilles de Tahiti et de Madagascar, et un cake moelleux aux marrons.
Une création subtile et intemporelle, hommage à l’élégance française et à l’art du voyage, entre raffinement et nostalgie.
Taille : 8 à 10 parts — Prix : 56 €
Versailles – Le classicisme réinventé
Inspirée du célèbre Trianon, la bûche Versailles rend hommage au chocolat dans toute sa noblesse.
Sous un glaçage miroir au chocolat noir, orné d’une fine feuille d’or, se cachent une mousse au chocolat 64 %, un croustillant praliné et un biscuit moelleux aux noisettes du Piémont.
C’est la bûche des puristes : un équilibre parfait entre intensité et élégance, puissance du cacao et précision du geste.
Taille : 6 parts — Prix : 46 €
Kyoto – La délicatesse florale du Japon
Sous un glaçage miroir rose ponctué de pétales de fleurs comestibles, Kyoto dévoile une harmonie délicate entre crème diplomate au litchi, compotée de fraises et fraises des bois, et génoise aux amandes.
Un dessert tout en grâce, inspiré des jardins japonais au printemps, où la délicatesse et la sérénité s’unissent dans un équilibre parfait.
Une création poétique, douce et aérienne, à la fois florale et fruitée.
Taille : 8 à 10 parts — Prix : 56 €
Palm Springs – Le Noël solaire
Un Noël au soleil. Avec Palm Springs, Pascal Guglielmi signe une bûche éclatante où la douceur méditerranéenne rencontre l’esprit californien.
Sous un glaçage rocher pistache et amande, rehaussé d’une feuille d’or 22 carats, s’accordent un moelleux à la pistache de Sicile, un crémeux mangue-passion, et une mousse légère à la pistache.
Un dessert de lumière et de liberté, à la fois intense et aérien — un hymne à la joie de vivre, à savourer même en hiver.
Taille : 8 à 10 parts — Prix : 56 €
Turin – L’Italie en héritage
La bûche Turin clôt ce voyage gustatif sur une note de tradition. Inspirée du célèbre castel, elle superpose dacquoise aux amandes, crème mousseline au praliné, ganache praliné, et noisettes caramélisées.
Réalisée avec le beurre d’Échiré et les noisettes du Piémont, elle incarne la générosité du patrimoine sucré français : un dessert d’héritage, de constance et de transmission.
Turin, c’est la bûche que l’on partage, tout simplement, en famille.
Taille : 6 parts — Prix : 46 €
Un itinéraire du goût et des sens
De Marseille à Palm Springs, de Kyoto à Turin, chaque bûche est une escale, une parenthèse d’émotion.
La maison travaille exclusivement des matières premières d’exception, beurre Échiré, vanilles de Madagascar et de Tahiti, chocolats Weiss, pour composer une symphonie gourmande entre élégance française et lumière méditerranéenne.
Dans ce voyage en première classe, chaque dessert devient souvenir : un hommage à la transmission, à la précision et à la poésie du geste.
Chez La Pâtisserie des Marseillais, Noël se déguste comme un départ — tout en douceur, en exigence et en émotion.
Dans le bleu du laboratoire, un luxe du détail
Dans son atelier bleu nuit, Pascal Guglielmi façonne ses créations comme un orfèvre. Chaque geste est pesé, chaque texture vérifiée. Ici, la précision devient poétique. Les matières premières sont choisies pour leur excellence – marrons d’Ardèche, vanilles de Madagascar et de Tahiti, noisettes du Piémont, pistaches de Sicile – et assemblées dans un dialogue entre terroirs et émotions.
Les bûches sont photographiées comme des œuvres d’art : sobres, géométriques, lumineuses.
Cette exigence du geste juste et du goût vrai fait de La Pâtisserie des Marseillais l’un des symboles du renouveau pâtissier du Sud. Ici, la lumière du littoral rencontre la rigueur du métier. Et Noël devient un moment suspendu, où la technique se met au service de la poésie.
De la SNCF à la haute pâtisserie : un parcours inspirant
Derrière cette maison se cache une trajectoire hors du commun.
Pascal Guglielmi n’a pas commencé sa carrière derrière un fouet, mais sur les rails. Après quatorze ans à la SNCF, il décide de suivre sa passion et intègre l’école Bellouet Conseil à Paris, où il se forme auprès de Jean-Michel Perruchon, Meilleur Ouvrier de France.
De retour à Marseille, il fonde en 2021 La Pâtisserie des Marseillais, une maison à son image : élégante, rigoureuse et sincère. En 2024, il publie Des Trains au Vacherin, un ouvrage autobiographique dans lequel il retrace cette reconversion, guidée par la transmission et le goût du travail bien fait.
Cette double identité, la rigueur ferroviaire et la sensibilité artisanale, donne à ses desserts une profondeur rare. Le Mistral, locomotive sucrée de Noël, en est la parfaite illustration : une bûche qui roule sur les rails de la mémoire, entre précision et douceur.
Marseille, nouvelle destination du goût
Avec sa collection de Noël, La Pâtisserie des Marseillais confirme que l’excellence pâtissière ne se limite plus à Paris. Marseille devient, elle aussi, une terre d’expression pour la haute pâtisserie française.
Les créations de Pascal Guglielmi séduisent une clientèle exigeante : amateurs éclairés, touristes en quête d’authenticité, entreprises à la recherche d’un raffinement discret. Toutes partagent le même émerveillement face à cette maison où le voyage et la rigueur se répondent.
En 2025, La Pâtisserie des Marseillais entend poursuivre son développement autour de nouvelles collections thématiques — Noël, voyages, haute pâtisserie — et renforcer son rayonnement national.
Informations pratiques
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Bûches disponibles sur commande à partir du 15 décembre 2025 ;
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Retrait en boutique les 24 et 31 décembre ;
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Tailles : 6 parts ou 8–10 parts selon le modèle ;
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Prix : à partir de 46 € ;
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Adresse : 28 Grand Rue – 13002 Marseille ;
En savoir plus
Site web : https://www.lapatisseriedesmarseillais.fr/
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