“Black in the City 2 : récits d’identité urbaine” : Marie MUNZA signe un roman marquant de la rentrée littéraire sur l’identité et l’émancipation des femmes afro-descendantes

En 2025, le débat autour de l’inclusion, de la représentation et de la diversité dans la littérature demeure plus que jamais d’actualité. Pourtant, des zones d’ombre persistent et témoignent des limites encore présentes.

La littérature contemporaine peine à offrir des héroïnes noires, modernes et ancrées dans la société française d’aujourd’hui.

Black in the City 2 : chroniques d’une identité urbaine se pose comme une réponse audacieuse et nécessaire à cette lacune.

À travers l’histoire d’Amanda Parks, une femme afropéenne en quête d’équilibre entre son ambition professionnelle et son identité complexe, l’autrice Marie Munza bouscule les codes et invite à repenser la place des femmes afro-descendantes dans nos sociétés urbaines.

Entre les jeux de pouvoir dans le monde de l’entreprise et la lutte personnelle pour se réinventer, ce deuxième tome devient bien plus qu’un simple roman.

Il se transforme en un outil d’émancipation, un manifeste citoyen, où l’esprit entrepreneurial d’Amanda se fait levier de transformation pour une génération en quête de sens et d’authenticité.

Black in the City 2, une œuvre ancrée dans la cité

La série littéraire Black in the City est née d’une volonté : créer une héroïne noire contemporaine, ancrée dans la société française actuelle, loin des stéréotypes.

Amanda Parks, protagoniste centrale, incarne cette double appartenance culturelle, européenne et africaine, qui, dans son parcours, se révèle autant comme une richesse qu’un défi.

Dans le premier tome, le lecteur découvrait ses doutes, ses aspirations, ses fractures et ses luttes pour s’imposer dans un environnement urbain exigeant.

Ce deuxième volume, Black in the City 2 : récits d’identité urbaine, va plus loin : il explore avec intensité le monde professionnel, ses logiques de rivalités, ses alliances fragiles et ses épreuves, où ambition et loyauté se mesurent chaque jour.

Un récit qui conjugue tension dramatique et quête identitaire

Dès les premières pages, le lecteur retrouve Amanda Parks dans un univers urbain parisien, où chaque interaction est une épreuve et chaque choix, une bifurcation.

Dans les coulisses d’API Group, se joue bien plus qu’une intrigue professionnelle : c’est un théâtre où ambitions, alliances fragiles et trahisons se nouent et se dénouent, donnant au récit une intensité dramatique qui maintient le lecteur en haleine.

Cette puissance narrative tient à la construction des personnages, finement ciselés, et à la capacité de l’autrice à entrelacer l’intime et le collectif. Les dilemmes d’Amanda, tiraillée entre héritages multiples et désir d’ascension, résonnent bien au-delà de son parcours : ils deviennent le miroir des contradictions d’une génération en quête de repères.

Amanda Parks : l’esprit entrepreneurial comme moteur d’émancipation

Loin de n’être qu’un ressort narratif, l’esprit entrepreneurial d’Amanda est au cœur de ce deuxième tome.

C’est en créant, en innovant, en se réinventant qu’elle parvient à affirmer sa place dans un environnement souvent hostile. Ce dynamisme devient un levier de transformation : non seulement il lui permet de franchir les obstacles, mais il inspire aussi une génération avide de modèles positifs et crédibles.

Amanda illustre que l’entrepreneuriat n’est pas seulement une affaire de chiffres ou de business plan : c’est une posture face au monde, une manière de refuser la résignation et de construire son indépendance.

En cela, elle devient une figure inspirante, capable de toucher toutes celles et ceux qui cherchent à conjuguer ambition, résilience et authenticité.

Plus qu’un roman : une réflexion sociétale et culturelle

Si Black in the City 2 captive par son intrigue et ses personnages finement ciselés, il s’impose aussi comme une réflexion sur des enjeux majeurs : l’inclusion, la diversité et la place des femmes afro-descendantes dans l’espace social et professionnel.

« J’écris pour que nos voix résonnent, pour que nos histoires trouvent leur place dans la littérature contemporaine. Black in the City 2 s’inscrit dans cette démarche », affirme l’autrice.

En ce sens, l’ouvrage se situe à la croisée de plusieurs registres : roman sociétal, manifeste citoyen et récit entrepreneurial. Sa singularité réside précisément dans cette hybridité, qui fait de la fiction un miroir social et un outil de dialogue.

Quatrième de couverture

Black in the City, le tome 2, retrace le parcours d’Amanda PARKS, une femme afropéenne qui affronte les clivages identitaires et démontre comment la richesse d’une double culture peut devenir un puissant moteur de force et d’épanouissement.

Portée par un leadership inspirant, dans un univers professionnel qui la met à l’épreuve, Amanda évolue au cœur de son entreprise API Group, où se dévoilent jeux de pouvoir, alliances fragiles et conflits d’intérêts.

Chaque personnage, finement ciselé, enrichit ce récit où ambition et trahison se côtoient. Entre quête de sens et pression sociale, ce deuxième tome est un roman de combat, d’élévation et d’espoir.

Marie Munza : une voix montante de la rentrée littéraire

Née à Brazzaville et ayant grandi à Bordeaux, Marie Munza développe très tôt un goût pour les mots, qu’elle perçoit comme des instruments de lucidité et de transformation. Son premier recueil de poésie, Motéma, interrogeait déjà la condition humaine et les liens qui nous traversent.

Avec la série Black in the City, publiée chez Hello Éditions, elle choisit de donner à voir la complexité des identités multiples et des ambitions féminines. Sa plume, où se mêlent sensibilité poétique et regard citoyen, bouscule les clichés pour proposer une littérature qui éclaire autant qu’elle questionne.

Convaincue que chacun porte une part de responsabilité dans l’évolution de la société, elle s’impose comme une voix montante de la littérature engagée.

Derrière l’histoire, une évidence et une ambition

L’origine de Black in the City tient à un constat : l’absence, dans la littérature contemporaine, de personnages féminins noirs réalistes et modernes. Marie Munza a voulu combler ce vide en créant Amanda Parks, une figure universelle dans laquelle se reconnaissent toutes les personnes partagées entre deux cultures.

« C’est un roman engagé, mais aussi profondément humain, parce qu’il parle de questions universelles : comment rester soi-même dans un monde plein de contradictions ? Comment avancer malgré les injonctions, les doutes, les étiquettes qu’on nous colle ? », souligne l’autrice.

L’ambition dépasse le livre. L’autrice espère voir son roman devenir une référence d’une littérature moderne nourrie d’héritages croisés, et attirer l’attention de la presse féminine francophone, voire anglo-saxonne. Elle souhaite également que le projet trouve un prolongement à travers des rencontres, des interviews, des podcasts et des événements littéraires.

Un objectif fort demeure : être distinguée par un prix littéraire de la presse féminine, reconnaissance symbolique et collective d’un récit à la fois intime et universel.