Une piqûre suffit. Une piqûre, et parfois un virus. Une piqûre, et pour une personne immunodéprimée, un risque réel d’hospitalisation, de complications neurologiques, hépatiques, respiratoires, voire de formes hémorragiques sévères. Le moustique n’est plus un simple désagrément estival : il est devenu un vecteur de maladies graves, appelées arboviroses, telles que la dengue, le paludisme, le chikungunya ou le virus Zika.
En France, le moustique tigre est désormais présent dans 78 départements (source), et sa progression ne connaît plus de saison. Entre janvier et mai 2025, Santé publique France a recensé plus de 1 100 cas importés de dengue et près de 900 cas de chikungunya. Ces virus, autrefois considérés comme exotiques, circulent désormais sur le territoire national.
Pourtant, les dispositifs de prévention peinent à intégrer une population pourtant ultra-exposée : les patients sous chimiothérapie. Leur peau est souvent intolérante, leur système immunitaire vulnérable, et les produits existants mal adaptés à leur réalité.
Dans ce vide sanitaire, une réponse inédite voit le jour. Bodyguard Peaux Sensibles, développé par le Laboratoire Astelia, est le premier répulsif cliniquement conçu pour les peaux fragilisées, y compris celles abîmées par des traitements lourds.
À la fois efficace contre les moustiques et les tiques, doux pour la peau, et sensoriellement agréable, il transforme un impératif médical en un geste de soin.
Une innovation portée par une conviction simple : protéger les plus vulnérables ne devrait jamais être un compromis.
Bodyguard Peaux Sensibles : une avancée dermatologique autant qu’épidémiologique
Bodyguard Peaux Sensibles est le premier répulsif sous AMM (Autorisation de Mise sur le Marché) conçu spécifiquement pour ces peaux souvent exclues des produits du quotidien.
Il a été cliniquement testé sur des patients en cours de chimiothérapie, avec des résultats clairs : aucune réaction d’intolérance, 100 % de satisfaction sur le confort d’application et la douceur perçue.
Son efficacité est prouvée : 8h contre les moustiques, 6h contre les tiques.
Mais Bodyguard ne se résume pas à une efficacité technique. Il restitue à ces peaux fragilisées le droit fondamental de se protéger, sans renoncer à la douceur, à la sécurité ni au plaisir sensoriel.
Une protection inclusive, sans distinction d’âge, d’état de santé ou de climat
La philosophie de Bodyguard est limpide : proposer une solution universelle. Le produit peut être utilisé dès l’âge de 3 mois, chez la femme enceinte ou allaitante, chez les personnes âgées ou immunodéprimées, dans des environnements urbains ou tropicaux.
Plus besoin de segmenter, d’adapter, ou de cumuler les flacons : une seule brume suffit. Elle s’applique sur toutes les peaux, sur tous les types de vêtements, sur tous les continents. Ce geste unique, simple et sûr, change le quotidien : il permet d’inclure les plus vulnérables dans les gestes préventifs les plus élémentaires.
Le design de l’usage : quand la protection devient un plaisir
Ce que Bodyguard propose va au-delà de la formulation. Le laboratoire a fait le choix fort de réconcilier efficacité pharmaceutique et plaisir d’usage, en s’appuyant sur une expertise olfactive issue de la parfumerie fine.
La texture est fluide, non grasse, non collante, facile à appliquer sur peau nue ou habillée. Le parfum est léger, discret, agréable, jamais envahissant. À l’usage, on ne distingue plus un soin préventif d’un produit de bien-être.
C’est exactement l’intention : que le produit soit utilisé, aimé, intégré à une routine.
Car un répulsif qui n’est pas appliqué, même efficace, reste inutile.
Bodyguard inverse cette logique : il donne envie de l’utiliser, chaque jour.
Une conviction fondatrice : la prévention ne fonctionne que si elle est désirée
« On se protège mieux quand on en a envie ». Cette phrase n’est pas un slogan. C’est le cœur de la marque.
Trop souvent, les produits de prévention sont vécus comme des contraintes, des obligations désagréables. Résultat : on les oublie, on les évite, on s’expose.
Bodyguard transforme ce rejet en adhésion. En supprimant les freins sensoriels, en rassurant les profils les plus fragiles, en simplifiant l’usage, il crée les conditions pour que la prévention devienne un réflexe durable. Comme un soin quotidien. Comme un geste de confiance.
Un laboratoire d’avant-garde, enraciné dans l’innovation responsable
Le Laboratoire Astelia ne se contente pas d’innover dans ses formules. Il le fait aussi dans ses engagements. L’usine de production est écoresponsable, équipée de panneaux solaires et d’un système de récupération des eaux de pluie. La chaîne d’approvisionnement suit une logique de circuits courts, traçables, éthiques.
Signataire de la Charte Relations Fournisseurs Responsables, Astelia travaille avec des partenaires qui partagent ses valeurs. Son objectif à moyen terme : obtenir un label RSE reconnu, fondé sur la gestion environnementale, la responsabilité sociétale, l’éthique scientifique et la transparence.
Au-delà de la production, Astelia s’engage dans la sensibilisation : organisation de symposiums médicaux, interventions en zones endémiques, soutien aux campagnes de prévention.
Une action cohérente, alignée avec la mission fondatrice : prévenir, protéger, éduquer.
Une croissance forte et des partenariats institutionnels
Depuis son lancement, Bodyguard connaît une expansion sans précédent. En 4 ans, la marque est passée de 78 à plus de 3 500 pharmacies partenaires. Plus d’un million de flacons ont été vendus.
La marque est désormais distribuée dans 8 pays, dont le Portugal, le Royaume-Uni, le Sénégal, le Nigéria et les Philippines (page 10). Elle a été retenue comme fournisseur officiel par le Service de Santé des Armées françaises.
Son comité scientifique, composé de médecins spécialistes des maladies vectorielles (page 9), valide chaque formulation, chaque protocole, chaque étude d’efficacité. Cette crédibilité médicale alimente la croissance – et la confiance.
Une marque de confiance, née d’une vision sincère et audacieuse
Derrière Bodyguard, il n’y a pas un plan marketing, mais une rencontre, une histoire, un engagement. Celui de Célia Nicolosi et Stéphanie Venier Dargent, deux entrepreneures réunies par l’amitié et par une idée simple : on se protège mieux quand on en a envie.
Partant d’un constat personnel, l’absence de répulsif agréable et sûr, elles décident de tout créer. Depuis la formulation, jusqu’à l’outil de production. En 2019, elles fondent le Laboratoire Astelia, s’entourent d’experts scientifiques, construisent leur propre usine à Manosque, et posent les bases d’un modèle indépendant, intégré et responsable.
Leur vision ne s’arrête pas à la prévention : elle s’ancre dans un projet global de santé publique, où la protection des plus fragiles devient un indicateur de progrès collectif.
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