Un roman, dix énigmes, un lingot d’or : “Les Chroniques de Robin” invente la chasse au trésor littéraire du XXIe siècle

Un roman qui vous fait gagner de l’or : mythe marketing ou véritable aventure ?

À la lecture du projet Les Chroniques de Robin – Journal d’une Criminelle, l’interrogation cède vite la place à la curiosité. Et puis à l’obsession. Car ce livre numérique n’a rien d’un simple coup éditorial : il est le point de départ d’une chasse au trésor réelle, rigoureusement structurée, dont l’enjeu est aussi palpable qu’inédit, un lingot d’or pur, offert au premier lecteur capable de percer ses mystères.

Ce roman-jeu, lancé le 16 mai 2025, cache dix énigmes réparties dans ses chapitres. Résolvez-les, et vous accéderez à l’ultime épreuve. Le premier à en donner la clé remportera le métal précieux. Mais ce n’est pas tout : plus la communauté grandit, plus le poids de l’or augmente.

Conçu comme une œuvre hybride, entre feuilleton narratif, escape game littéraire et expérience collective, Les Chroniques de Robin réinvente la lecture comme acte stratégique. À la fois jeu cérébral, enquête immersive et projet éditorial audacieux, cette chasse au trésor signée Les Éditions Fabuleuses, en partenariat avec le spécialiste des métaux précieux Godot & Fils, ouvre une brèche inédite dans l’univers du livre numérique.

Lire pour s’évader ? Oui. Mais cette fois, il faudra aussi lire pour décoder. Et lire pour gagner.

Un roman, dix énigmes, un trésor : les contours d’un jeu narratif inédit

Tout commence par une lecture. Un chapitre par semaine, publié tous les vendredis, dévoile un pan du journal intime de Robin, héroïne aussi énigmatique que troublante. Elle est infirmière, en reconversion, mais surtout fascinée par ce qui ne lui appartient pas. Ni simple voleuse, ni redresseuse de torts, Robin habite les interstices moraux de notre époque, là où la tentation croise le besoin de justice.

Mais Les Chroniques de Robin ne se contentent pas de raconter une histoire. Le texte est parsemé d’énigmes, parfois visibles, souvent discrètes, qui défient la vigilance et l’intuition du lecteur. Il ne s’agit pas de résoudre un puzzle hors-sol, mais de décoder ce que les mots, les structures, les références laissent entendre à demi. Résoudre les dix énigmes permet d’accéder à l’énigme finale : celle qui conduit au trésor.

Le jeu est conçu pour rester purement cérébral. Aucun déplacement n’est nécessaire. Tout se passe en ligne, du téléchargement du roman jusqu’à la validation des réponses.

Un fonctionnement volontairement accessible : la seule condition pour participer est l’achat de l’e-book sur le site editionsfabuleuses.fr, au prix de 19,90 €.

Un trésor réel, une valeur évolutive

La récompense n’est pas symbolique. Il s’agit d’un lingot d’or pur, de 100g minimum, offert par le partenaire du projet, Godot & Fils, figure française reconnue dans la négoce de métaux précieux.

Un trésor tangible, estimé à près de 10 000 euros… et qui peut grossir. Car plus le nombre de participants augmente, plus le poids du lingot évolue :

250g dès 5 000 joueurs ;
500g à 10 000 ;
1 kg à 20 000 ;
Et jusqu’à 12,4 kg si 250 000 personnes prennent part à l’aventure.

L’objectif ? Créer une dynamique collective. Plus on est nombreux à jouer, plus le trésor devient imposant. Une mécanique rare dans l’univers littéraire, où la communauté influe directement sur l’enjeu du récit.

Un roman ancré dans le présent, loin des clichés du genre

Ce qui frappe, dans Les Chroniques de Robin, c’est sa capacité à rendre la chasse contemporaine. Ici, pas de vieux parchemins, de mythologies poussiéreuses ou de codes ésotériques. L’intrigue se déroule dans un Paris actuel, identifiable, et les énigmes s’ancrent dans les références culturelles et les logiques d’aujourd’hui.

Aucune connaissance pointue n’est nécessaire, simplement un esprit curieux, attentif aux détails, et prêt à suivre les traces d’une protagoniste aussi brillante que faillible.

Robin, c’est l’anti-héroïne qu’on ne voit pas venir : drôle, humaine, ambivalente, tiraillée. Elle évolue dans l’ombre mais avec panache, toujours à la frontière du légal, toujours en mouvement. On pourrait la croiser dans un café, un musée, une rame de métro.

Cette proximité narrative fait d’elle une figure incarnée, et rend l’immersion d’autant plus efficace.

Un modèle hybride : entre lecture et jeu, entre fiction et stratégie

L’expérience de Les Chroniques de Robin est pensée comme un terrain de jeu intellectuel. Chaque chapitre est autonome mais connecté aux autres. Des indices parfois infimes renvoient à des mécaniques de décodage logiques, linguistiques, narratives.

Pour accompagner les lecteurs, des livrets d’aide sont proposés au fil des semaines (7,90 € chacun). Ils ne dévoilent jamais les solutions, mais offrent des pistes pour débloquer une énigme jugée trop obscure.

Ce modèle progressif, couplé à la publication séquentielle des chapitres, instaure une dynamique de rendez-vous et de fidélité. On ne lit pas tout d’un bloc : on patiente, on échange, on théorise.

Ce dispositif favorise une forme de lecture collaborative, entre communautés en ligne et cercles de proches.

“Les Chroniques de Robin”, une aventure littéraire en 5 promesses

Un roman contemporain, ancré dans un Paris réaliste, avec un personnage central incarné et inédit ;
Une mécanique d’énigmes intégrées au texte, progressives, stimulantes, sans élitisme ni artifice complexe ;
Un trésor réel, accessible à tous : un lingot d’or dont la valeur évolue avec la communauté ;
Une accessibilité totale, via un simple e-book, sans déplacement requis ;
Une temporalité engageante, avec un chapitre diffusé chaque semaine, recréant le suspense du feuilleton.

Un auteur à contre-courant, un projet né d’un podcast

À l’origine de cette aventure littéraire : Mathieu Leduc, 34 ans. Ancien animateur, patron de bar en station de ski, négociant de sel, puis directeur commercial dans la bière artisanale, il se réinvente en créant Les Éditions Fabuleuses, maison d’édition dédiée aux croisements entre littérature et jeu. Inspiré par un podcast sur le Trésor de Fenn (Best Story Ever de Marina Rollman), il imagine ce concept singulier qui lie narration et énigme.

Sur les réseaux sociaux, il devient Mathieu Trésor, créateur de contenus et visage du projet. Avec l’autrice Terri Bonaconte – pseudonyme volontairement énigmatique – ils coécrivent ce premier tome, avec la volonté affirmée d’en faire une série.

L’ambition ? Réunir une communauté de lecteurs-joueurs, fédérée par l’expérience et pas seulement par le texte. La chasse au trésor devient alors aussi un espace de rencontre entre générations, couples, amis ou collègues – tous unis par la même quête : trouver, ensemble ou en solo, la bonne réponse.