Plus de sept cent vingt mille heures de vidéos mises en ligne chaque jour sur YouTube, plus d’un milliard d’heures visionnées quotidiennement, la plateforme est devenue l’un des plus puissants dispositifs audiovisuels de l’histoire contemporaine (source).
Elle concentre l’attention de la planète, absorbe des volumes de données colossaux et s’appuie sur des infrastructures énergivores dont l’expansion accompagne mécaniquement la croissance de ses usages. Pour les organisations professionnelles qui y déposent leurs contenus afin de bénéficier de sa gratuité apparente, cette ampleur n’est pas anodine. Elle implique une place dans un système dominé par la publicité, l’exploitation des données personnelles et un stockage perpétuel des vidéos qui contribue à l’empreinte environnementale globale du streaming.
Dans ce paysage façonné par un acteur dont les logiques techniques et économiques dépassent largement les besoins réels des entreprises, un paradoxe s’installe.
La vidéo est devenue incontournable pour communiquer, former ou informer, pourtant son hébergement dépend presque exclusivement d’un modèle qui expose les visiteurs à la collecte de données, bloque la lecture pour une majorité d’internautes refusant les cookies et détourne l’audience vers des recommandations générées par algorithme.
C’est à cette contradiction que répond Streamlike.eco, une solution française qui propose une manière plus sobre et plus maîtrisée de diffuser des vidéos, un service conçu pour aligner usages professionnels, conformité réglementaire et responsabilité environnementale.
Sortir du piège de la gratuité : ce que coûte réellement une vidéo en ligne
Les plateformes de streaming gratuites donnent l’illusion d’un modèle sans contrepartie.
Pourtant, publier une vidéo sur YouTube équivaut à céder une partie de sa gouvernance numérique : la plateforme devient copropriétaire des contenus, en exploite l’audience, impose l’exposition publicitaire et récupère les données personnelles des visiteurs. Les entreprises se retrouvent ainsi dépendantes d’un service dont les règles changent régulièrement, sans possibilité de contrôle.
À cela s’ajoute un obstacle de taille pour les organisations soucieuses d’expérience utilisateur : 59 % des internautes français refusent les cookies, ce qui bloque automatiquement la lecture des vidéos hébergées sur les plateformes sociales. Une part significative de la communication devient ainsi inaccessible, alors même qu’elle constitue un vecteur clé pour présenter un service, partager une information ou valoriser un savoir-faire.
Enfin, le modèle technique des grandes plateformes repose sur un stockage permanent : les vidéos, qu’elles soient visionnées ou non, sont conservées sans limite de durée, alimentant une croissance continue des infrastructures. Cette logique industrielle accroît mécaniquement l’impact environnemental du streaming, particulièrement pour les milliers de comptes professionnels qui publient peu et dont les vidéos ne cumulent que quelques dizaines ou centaines de vues.
Streamlike.eco se positionne précisément là où ces contradictions deviennent insoutenables : offrir aux organisations un moyen de diffuser leurs vidéos sans être captives d’un modèle publicitaire, sans exposer leurs visiteurs à des contenus tiers, et sans contribuer à des usages numériques disproportionnés par rapport à leurs besoins.
Une alternative française qui redonne du sens à la diffusion vidéo
Le principe de Streamlike.eco repose sur une idée simple : permettre aux entreprises, TPE, PME, auto-entrepreneurs et collectivités territoriales d’accéder à un hébergement vidéo responsable, sans publicité, sans algorithme, sans collecte de données, et pour un prix volontairement très bas : 30 € HT par mois, sans engagement.
À l’année, le coût est de 360 € HT, une dépense maîtrisée et prévisible, pensée pour être compatible avec les budgets les plus modestes.
L’objectif n’est pas de rivaliser avec les plateformes sociales, mais de proposer une solution cohérente pour les usages réels :
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Peu de vidéos ;
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Peu de vues ;
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Mais un besoin de qualité, de stabilité, de conformité et de sobriété.
La vidéo devient ainsi un outil maîtrisé, intégré dans une stratégie de communication qui respecte les contraintes réglementaires (RGPD, loi REEN, RGESN) et les engagements environnementaux. Streamlike.eco ne demande aucun consentement aux cookies et n’exploite aucune donnée personnelle. Les visiteurs peuvent consulter les vidéos sans interruption, sans suivi, sans exposition à des recommandations extérieures.
Un “streaming bio et pro” : repenser la sobriété numérique
Le projet est né d’un constat étayé : la plupart des organisations n’ont pas besoin des fonctionnalités sociales de YouTube, ni de son modèle algorithmique, ni de sa logique d’amplification. Leur usage est essentiellement professionnel : présenter un produit, former des équipes, répondre à une demande d’information, valoriser un événement.
C’est ce contraste qui a conduit le fondateur, Hervé Nougier, à créer une alternative. Passé par la télévision et le secteur des études pour les médias, il lance dès 2007 la première version de Streamlike, orientée B2B, à une époque où la concurrence misait presque exclusivement sur la publicité. Cette singularité a permis à la plateforme de se développer auprès de grands comptes, industriels, banques, assurances, musées, et de construire une expertise solide dans la diffusion vidéo professionnelle.
À partir de 2019, conscient des enjeux climatiques, Hervé Nougier engage un travail de mesure et de réduction de l’impact environnemental de l’activité. Streamlike.eco est l’aboutissement de cette démarche : une solution pensée pour minimiser l’empreinte du streaming tout en conservant une qualité perçue conforme aux attentes des internautes.
Le service s’adresse particulièrement :
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Aux structures engagées dans une démarche RSE ;
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Aux webmasters de sites écoconçus ;
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Aux organismes publics désireux de réduire l’impact de leur communication.
La vidéo, dont l’impact environnemental est supérieur à tout autre élément d’une page web, devient ici compatible avec une stratégie de sobriété. Contrairement à une idée répandue, héberger ses vidéos sur YouTube ne réduit en rien son empreinte : cela déplace simplement le problème.
Maîtriser ses contenus, son audience et son budget
Streamlike.eco se distingue par une série d’éléments concrets, directement liés aux besoins des organisations :
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Solution française, opérée localement ;
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Assistance continue : téléphone, mail, centre d’aide en ligne ;
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Affichage des vidéos sans cookies, donc sans blocage pour 59 % des internautes ;
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Transmission de données extrêmement réduite, pour une sobriété maximale sans dégradation visible ;
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Aucune publicité, aucune vidéo tierce, aucune recommandation algorithmique ;
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Propriété complète : l’organisation reste l’unique propriétaire de ses contenus ;
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Modification possible des vidéos à tout moment, sans perte ni contrainte ;
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Budget clair, unique, maîtrisé, sans engagement.
Ces éléments redéfinissent la diffusion vidéo comme un service stable, prévisible et cohérent, loin du modèle imposé par les plateformes sociales.
(Enfin) une manière plus juste d’utiliser la vidéo
Streamlike.eco répond à un besoin qui devient structurant : utiliser la vidéo comme outil professionnel sans subir les coûts environnementaux, juridiques et stratégiques associés aux plateformes gratuites.
Pour les PME, TPE, auto-entrepreneurs et collectivités territoriales, la solution ouvre un espace où cohérence, sobriété et maîtrise redeviennent possibles.
En proposant une alternative française, accessible et responsable, Streamlike.eco démontre qu’un autre usage du streaming est envisageable : un usage qui sert réellement les organisations, sans compromettre leurs valeurs, leur conformité ou leur autonomie.
En savoir plus
Site web : www.streamlike.fr
LinkedIn : https://www.linkedin.com/
